COMMENT TIRER PROFIT DE GOOGLE ADSENSEs2.e-monsite.com/2010/01/27/28116287entrevue-adsense-pdf.pdf · pour certains d’entre vous, c’est-à-dire que Stéphanie a découvert une

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COMMENT TIRER PROFIT

DE GOOGLE ADSENSE

© e-Genèse Inc. Entrevue entre Stéphanie Hétu, spécialiste et passionnée d’Adsense, et Didier Bonneville-Roussy Cette entrevue n’est aucunement affiliée à Google. Google n’endosse pas le contenu de cette entrevue ou e-Genèse Inc. Secrets-Marketing.com/adsense est géré de façon indépendante. Adsense et Google sont des marques déposées de Google Inc. Avertissement legal : dégagement de responsabilité relative aux revenus e-Genèse Inc. ne fait aucune garantie que vous gagnerez de l’argent avec les techniques et les idées présentées dans cette entrevue. Les exemples présentées ne doivent pas être interprétés comme une promesse ou une garantie de revenu. Le revenu potentiel est entièrement dépendant de vos efforts, de vos idées, et de la façon dont vous appliquez ce qui est discuté dans ce document.


Didier :

Bonjour à tous, je suis présentement avec Stéphanie Hétu. Stéphanie,

récemment, m’a communiqué une information qui est d’une importance capitale,

pour certains d’entre vous, c’est-à-dire que Stéphanie a découvert une façon

relativement lucrative de faire de l’argent sur le web en ayant un site qui est

totalement automatisé ; pour lequel il n’y a ni gestion, ni travail à faire ; pour

lequel, tout ce que vous avez à faire, finalement, c’est de le mettre en place, le

référencer et encaisser à chaque mois à partir du moment où le site est terminé.

Stéphanie, peux-tu nous éclairer là-dessus ? Il faut mentionner, à prime abord,

que ça implique AdSense.

Stéphanie :

Oui. AdSense qui est l’envers de la médaille de Adwords. Tout le monde

qui connaît un peu ta méthode et qui a lu un peu sur ta méthode sait comment

Adwords fonctionne bien, comment il est utilisé par plusieurs annonceurs. Dans

votre compte Adwords, vous voyez que les annonces sont affichées sur le

moteur de recherche de Google et sur des sites de contenu. Les sites de

contenu, ce sont des sites qui sont la propriété de webmestres autour du monde,

comme vous et moi qui avons un site, puis Google nous donne la permission de

mettre les annonces sur notre site. Google va prendre le contenu de la page et

placer des annonces qui sont en relation avec le contenu de la page que vous

avez créé et il va vous payer une partie des revenus qu’il va chercher de

l’annonceur au webmestre qui va annoncer.

Didier :

Avant de continuer là-dessus et d’expliquer comment on fait tout ça, moi,

ce qui m’a beaucoup impressionné dans ce que tu m’as dit et révélé comme

information, c’est que d’abord, les taux de clics que tu obtiens sur les annonces

AdSense sont carrément dans le plafond, c’est absolument phénoménal, ça,

c’est la première des choses. La deuxième des choses, c’est que tu as plusieurs

sites comme ça qui sont automatisés : tu as cutepuppydog.com, dont on a déjà

parlé dans le cd en référencement, mais tu m’as dit que tu en avais d’autres,


donc ça doit être quelque chose de relativement simple à faire. L’autre truc, c’est

qu’à la limite, même si quelqu’un ne sait pas comment référencer un site, avec

des taux de clics comme ça, c’est qu’on peut même carrément payer pour de la

publicité et encaisser la différence entre les revenus que ça génère et les

dépenses qu’on fait.

Stéphanie :

Dans certains cas, ça se fait, oui.

Didier :

Peux-tu nous donner un éventail des résultats que tu obtiens, parce que je

trouve ça absolument hallucinant ; je n’ai jamais pensé qu’on pouvait développer

une façon d’obtenir des revenus stables et fiables d’un site de contenu, mais tu

es en train de me prouver le contraire.

Stéphanie :

Il y a une chose que je dois dire, par exemple au départ, c’est que Google,

dans ses règlements, interdit aux webmestres qui utilisent AdSense de dire

combien ils font et qu’est-ce qu’ils obtiennent comme résultats. Donc, je ne peux

pas vous donner des chiffres exacts, mais je peux vous dire que, grosso-modo,

ce que je vais chercher en ce moment avec AdSense, ça couvre toutes mes

dépenses.

Didier :

C’est-à-dire toutes tes dépenses personnelles ?

Stéphanie :

Oui.

Didier :

Est-ce qu’on peut dire que tu as une maison, une auto… ?


Stéphanie :

J’ai deux autos, j’ai deux chiens…

Didier :

Deux autos, deux chiens, une maison…, il faut que tu manges, etc !

Stéphanie :

Donc ça vous donne une idée. Les possibilités sont très très grandes. La

chose qui m’a amenée à AdSense, c’est que je cherchais une façon de pouvoir

annoncer dans Adwords sans débourser de ma poche, il y a plusieurs mois de

ça. Donc je me disais que quelqu’un qui n’a vraiment pas un sou et qui veut

commencer sur internet, qu’est-ce qu’il aurait comme méthode ? Puis, bon,

écrire des textes, moi, c’est quelque chose que j’aimais faire, que j’aime encore

faire et qui est relativement facile, puis je sais comment référencer un site. Donc

je me suis dit qu’il y avait certainement une façon, en utilisant AdSense, de

vraiment rentabiliser ça. J’ai commencé sur cutepuppydog.com, j’ai ajouté des

annonces AdSense sur toutes les pages, je l’ai essayé partout. Pour commencer,

il faut faire la demande d’un compte. C’est Google qui décide entièrement s’il

vous aime ou s’il ne vous aime pas ; s’il vous donne un compte ou pas. Il y a des

façons d’obtenir un compte plus facilement. Quelques trucs : ne pas avoir trop

de liens d’affiliation sur vos pages quand vous en faites la demande ; votre site

doit être complet, il ne faut pas qu’il y ait des pages en construction ; ça, ça

vous assure. Puis la beauté de la chose, c’est qu’une fois qu’ils vous ont dit oui

pour un site, ils vous ont dit oui pour un compte, donc vous pouvez mettre

ensuite tous les sites que vous faites.

Au départ, cutepuppydog a été refusé, alors que c’était un site de

contenu, tout ce qu’il y a de plus correct. Donc, ce que j’ai fait, c’est que j’ai

essayé un autre service, qui est similaire à AdSense, mais qui s’adressait

uniquement aux animaux ou aux marchands qui ont des trucs sur les animaux.

Les taux de clics étaient corrects, mais je faisais un gros 2-3 sous du clic, c’était

absolument pathétique ; c’est ridicule, je faisais beaucoup plus en affiliation

qu’avec ça.


Didier :

Avant de continuer là-dessus, il y a une chose qu’il faut spécifier, c’est

que non seulement tu as réussi à attirer des revenus qui reviennent, finalement,

mensuellement ; ce ne sont pas des revenus résiduels. Non seulement dans un

seul domaine, mais dans plusieurs domaines et en plus, tu as développé une

méthode pour trouver les domaines dans lesquels il y a une possibilité de monter

un site hyper-rentable très rapidement.

Stéphanie :

C’est ça. C’est qu’au départ, les tests que je faisais avec

cutepuppydog.com, quand j’ai réussi à être approuvée avec AdSense, je l’ai mis

aussi, mais je n’avais pas de très bons taux de clics et je ne faisais pas une

fortune, quand même et là j’ai essayé de penser à une façon ; j’ai regardé

d’autres gens, aussi, qui avaient AdSense sur leur site, puis j’ai essayé de

trouver une façon de me dire : « bon, si on pense, dans Adwords, les gens

paient aux clics ; il y a certains mots qui valent plus cher que d’autres. Si moi je

crée des pages et que sur les annonces AdSense qui apparaissent, c’est pour ces

mots-clés là, qui sont très rentables, bien au bout du compte, mon site sera plus

payant ». Donc, sur cutepuppydog, je fais de l’argent parce que j’ai un volume

de trafic qui est énorme, mais je suis capable d’aller chercher presqu’autant en

revenus sur d’autres sites avec un trafic beaucoup moindre parce que au clic, je

vais faire un revenu qui est beaucoup plus grand.

Didier :

Ok. Ce qu’il faut spécifier, c’est que jusqu’à maintenant, tu l’as fait pour

des sites en anglais, que la chose est non seulement possible, mais très très

réalisable en français aussi.

Stéphanie :

Oui.


Didier :

Il y a une chose : moi, j’ai toujours été sceptique par rapport à cette

méthode-là d’attirer des revenus, d’abord parce que je connaissais de méthode

particulière d’obtenir des taux de clics dans le plafond, ce qui est, selon moi le

critère numéro un, à moins que l’on puisse aller au coût par mille impressions de

bannières et à ce moment là, ça prend un trafic absolument phénoménal pour

pouvoir rentabiliser le site. Autrement, si c’est au clic, il faut absolument avoir

des taux de clics monstrueux pour pouvoir rentabiliser la chose. La deuxième

chose, c’est que moi, ce que j’ai entendu, ce que mes clients et d’autres

collègues me disaient de AdSense, c’est que quand ils faisaient un Euro par jour

en revenus de AdSense, c’était phénoménal et ils en étaient très très contents.

Stéphanie :

Moi j’ai entendu ça de gens qui avaient des 5000 affichages et plus de

pages par jour. Des gens qui faisaient un Euro.

Didier :

Au secours ! Bon, je pense que tous les gens vont comprendre que dans

des conditions comme celles-là, c’est complètement impossible de rentabiliser un

site. En fait, ça ne couvre même pas le temps qu’on met à le développer.

Stéphanie :

Non, c’est ça.

Didier :

Par contre, ce que tu as développé, toi, permet d’aller chercher d’abord

des taux de clics élevés ; ensuite, un trafic élevé ; ensuite de ça, des mots-clés

qui paient…

Stéphanie :

…beaucoup plus que la moyenne.


Didier :

On ne parle pas de quelques centimes d’euros du clic…

Stéphanie :

…comme toi tu suggères dans Adwords. Mais ce n’est pas tout le monde

qui connaît ta technique.

Didier :

En tout cas, on ne parle pas de quelques centimes d’euros, mais on parle

littéralement, dans certains cas, j’ai même vu des annonces que ça payait 60

euros par clic. En français, probablement que ce montant là n’existe pas, mais il

existe des domaines où c’est très très élevé. Je sais pertinemment par exemple

que dans le domaine du trading online sur Adwords, pour être positionné dans

les sites de contenu, ça coûte à peu près 25 euros par clic, donc c’est possible.

Il peut y avoir des annonceurs qui paient énormément.

L’autre chose, c’est que tu as découvert une méthode qui permet de

trouver les bons mots-clés, les bons domaines et les domaines qui paient le plus.

On va arrêter ici et on va continuer la discussion. On va expliquer exactement

aux gens comment faire pour monter un site comme ça, puis aussi la méthode

paresseuse : tu disais que ça impliquait d’écrire beaucoup, or, il y a une méthode

paresseuse pour le faire…

Stéphanie :

…qui encore là n’est pas très dispendieuse.

Didier :

Puis à la limite, c’est même plus rentable que de le faire soi-même.

Stéphanie :

Oui.

Didier:


Stéphanie, ce qui m’a le plus fasciné dans ton histoire, c’est la façon par

laquelle tu procèdes pour trouver non seulement des mots-clés payants, mais des

thèmes payants ; des thèmes sur lesquels ça va valoir la peine de monter un site,

de prendre du temps pour monter un site puis de bien le référencer ou payer pour

le positionner, un des deux. Comment tu procèdes ?

Stéphanie:

Premièrement, quand on pense au référencement, il faut avoir en tête

qu’un site de cinq pages, généralement, n’aura pas de résultats dans les moteurs

de recherche, donc il faut une masse critique de mots-clés pour construire un

site, ce qui fait qu’il ne faut pas juste trouver un mot-clé payant, il faut en

trouver plusieurs.

Didier:

Un thème.

Stéphanie:

C’est ça, vraiment un thème. Il existe deux outils pour nous permettre

d’aller trouver combien payent les mots-clés, à peu près. Premièrement, c’est

Overture. Donc, on va sur Overture.fr qui est vraiment le moteur de recherche

comme tel. On fait une recherche à l’intérieur, avec une idée, comme si on était

un internaute qui cherchait vraiment quelque chose, puis dans le haut de la page

à droite, il y a un lien qui vous permet de voir combien les annonceurs ont payé

pour être dans les premiers. Donc, cliquez sur ce lien-là et ça vous permet de

voir exactement chaque position, combien les gens ont payé, puis là vous

pouvez faire autant de recherches que vous voulez. Donc moi ce que je fais,

c’est que je commence comme ça, j’en fais plusieurs et je le note à côté le mot-

clé et combien ça paie. Ensuite, on peut trouver comme ça des pistes de thèmes

qui peuvent être intéressants. Ensuite de ça, je vais dans Overture, à l’outil de

suggestion de mots-clés.

Didier:


Attends, as-tu quelques règles générales sur les thèmes qui peuvent être

payants? Par exemple, je sais que l’hébergement, ça peut être super payant du

point de vue des gens qui publient les annonces des annonceurs; ça c’est un

domaine. L’assurance, les finances, le domaine bancaire, la défiscalisation… Est-

ce que tu as une règle générale pour identifier?

Stéphanie:

Non. Je vais identifier des idées comme tu dis, là, des domaines que l’on

pense qui pourraient être plus rentables, mais il ne faut pas non plus trop

s’arrêter juste à ça, parce que ce sont des domaines qui ont aussi beaucoup de

compétition dans les moteurs, donc qui peuvent être plus difficiles à obtenir du

trafic. Par contre, en français, comme la compétition est beaucoup moins grande

au niveau du référencement, ça reste quand même relativement facile de bien se

positionner, même pour des thèmes qui sont très en demande, mais il existe

d’autres domaines, comme les aquariums, dont je te parlais où il y a aussi

beaucoup d’annonceurs. On n’ira peut-être pas chercher un gros clic à 10 euros,

mais ce peut être quand même très intéressant. Il faut sortir un petit peu des

thèmes qu’on penserait à première vue; il faut commencer par des choses qu’on

aime, des passions qu’on a, y aller à tâtons un peu. Donc une fois que l’on a

trouvé des mots-clés, on va dans l’outil de suggestion de mots-clés d’Overture et

l’on entre chacun de nos mots-clés, comme si l’on allait monter une campagne

dans Adwords. Donc, on rentre le premier mot-clé et on sort toute la liste de

déclinaisons, on copie tout ça dans un document à côté.

Ensuite, le deuxième outil qui permet d’avoir une idée de combien les

annonceurs payent, c’est Adwords. Donc, on va aller dans Adwords, on va faire

exactement comme si on voulait commencer une campagne. On va aller créer

une annonce et dans la section où l’on crée notre annonce, on va mettre notre

mot-clé, un des mots-clés dont on veut savoir…

Didier:

Est-ce qu’on peut tous les mettre?


Stéphanie:

Oui. Quand on crée, au début, on en met un, on écrit notre annonce.

Ensuite, on nous demande de mettre la liste des mots-clés. Donc là, on peut

mettre tous ceux qui ont un lien ensemble, quand même, mais je n’irais pas

mettre…

Didier:

… tous les mots-clés qui sont reliés à un thème particulier.

Stéphanie: C’est ça.

Didier: Est-ce qu’on met les différents types de ciblage ou non?

Stéphanie: Moi, je ne vais pas jusque là, mais peut-être que ça pourrait être

intéressant de tester, mais je ne l’ai pas testé, mais la différence serait à

regarder. Une fois que l’on a entré notre liste de mots-clés, on arrive à l’écran où

on nous demande le plus haut clic qu’on veut mettre pour notre annonce. Au lieu

d’utiliser la méthode que toi tu utilises, d’aller toujours au minimum, on laisse le

montant qui est suggéré par Google. Ça va être généralement un montant qui est

très élevé.

Didier: Il faut bien spécifier qu’on ne crée pas une annonce sur Adwords, mais

on fait juste un test. On veut juste avoir une idée relativement précise du prix

que l’annonceur le plus zélé paye pour obtenir un clic sur Adwords.

Stéphanie: C’est ça et n’oubliez pas d’aller désactiver votre campagne à la suite

du test, sinon, ça va vous coûter cher! Donc, on laisse le montant qui est

suggéré par Google et on clique sur le bouton “calculer les prévisions”. Et là, ça

va vous donner toute votre liste de mots-clés avec un coût à côté pour arriver en

première position. On peut augmenter le montant suggéré par jour, jusqu’à ce

qu’on arrive où tous les mots-clés sont en première position. Et ça, ça va vous


donner une idée de combien les gens en première position vont payer. Ce n’est

pas une règle absolue, ce ne sera pas exactement ça que vous allez avoir, mais

ça vous donne un très bon comparatif.

Didier: Ce n’est pas non plus un indicateur de ce que Google va donner par clic.

Stéphanie: Non, parce qu’on ne sait pas combien Google paie au webmestre par

AdSense, ce n’est pas dit, on ne sait pas exactement, mais bon, la légende veut

que ce soit autour de 40% probablement et même peut-être un peu plus. On sait

que certains grands sites de contenu qui ont négocié des ententes à plus haut

revenu avec Google. Donc, ça vous donne une idée.

Didier: Autour de 40% du montant. Ce qu’il faut dire, c’est que ce n’est pas une

méthode de calcul très très précise; c’est une méthode de calcul qui nous permet

d’avoir une idée 1) de ce que les annonceurs paient et 2) de l’intérêt de mettre

des efforts, peut-être aussi un peu d’argent dans le développement d’un site sur

ce thème-là.

Stéphanie: Et ça permet entre 2, 3, 10, 50, 100 mots-clés sur un même thème

de décider lesquels, on va choisir de faire une page pour ce mot-clé là plus tard,

parce que si on en a un qui rapporte 10 fois plus qu’un autre, c’est sûr qu’on va

plus aller viser celui-là. Une masse critique pour créer un site dans Google, c’est

une cinquantaine de pages.

Didier: Donc une cinquantaine de mots-clés différents reliés à un même thème.

Stéphanie: C’est ça. Un mot-clé par page, donc on essaie de se monter une liste

d’une cinquantaine de mots: ça, c’est la première étape.

Didier: Première étape: choisir les mots-clés; deuxième étape, j’imagine que c’est

de construire le site.



Didier: Et, évidemment, de le faire accepter par AdSense. Comment on fait ça?

Stéphanie: Premièrement, il faut rédiger le contenu. Ce qu’on ne veut pas faire,

c’est soumettre un site à AdSense qui n’est pas complété, parce que c’est sûr

que vous allez vous faire refuser. Google aime beaucoup les sites de contenu,

donc dès que votre site a un certain nombre de pages et qu’il y a du contenu

pertinent, vous allez généralement être accepté.

Didier: Le design n’a pas d’importance.

Stéphanie: Non. Ils ne regardent pas du tout les images, ils ne regardent

vraiment que le contenu.

Didier: Ils veulent savoir s’il y a du contenu qui est pertinent par rapport aux

mots-clés qu’on a sélectionnés.

Stéphanie: Parce que c’est leurs annonceurs à eux qui vont être sur votre site,

donc c’est sûr qu’ils veulent que ça soit honnête, ils ne veulent pas de clics

inutiles sur les annonces, il faut un contenu. Donc la première chose à faire est

de rédiger le texte

Didier: Rédiger le texte, évidemment, selon toutes les règles du référencement.

Stéphanie: Selon toutes les règles du référencement que l’on peut voir dans le cd

sur le référencement. C’est sûr que ça prend du temps, 50 pages. Les premiers

sites que j’ai fait, je les écrivais moi-même. Maintenant, ce que je fais, c’est que

j’ai des gens qui écrivent pour moi.

Didier: Ce qu’il faut dire, c’est que ça peut être long de rédiger un site de 50

pages et dépendamment de la vitesse à laquelle on écrit et qu’on est capable


d’aller chercher des informations. Ça peut être plus ou moins long; ça peut varier

de 10 minutes par page à…

Stéphanie: … au-dessus d’une heure par page, parce qu’on a de la recherche à

faire.

Didier: Ce qu’il faut dire, c’est que tu as développé un réseau de gens qui, eux,

sont prêts à rédiger des pages pour 5 euros par page pour des textes qui varient,

quoi, entre 250 et 500 mots?

Stéphanie: 400 mots à peu près, 350-400 mots. Moi, je leur enseigne comment

écrire pour les moteurs de recherche donc, dès que je reçois l’article, il est déjà

optimisé pour les moteurs de recherche.

Didier: C’est génial.

Stéphanie: Oui. Donc je me sauve en plus une partie du travail au niveau du

référencement.

Didier: Finalement, tu es paresseuse!

Stéphanie: Bien oui!! Moi j’aime mieux trouver les idées, c’est ça qui me

passionne le plus.

Didier: Donc, il y a des gens qui sont prêts à le faire; il y a des gens qui sont

prêts à le faire en anglais, en français. Il faut dire que le réseau que tu as

développé, ce sont des gens qui le font en français. Il y en a aussi un pour

l’anglais, il y en a pour l’espagnol; il doit y en avoir pour l’allemand, il doit y en

avoir pour toutes les langues.

Stéphanie: Tout à fait.


Didier: C’est sûr que si vous le faites en anglais ou en espagnol, vous allez

trouver des gens qui vont être prêts à rédiger un texte pour 5 Euros, vous allez

en trouver par pleins camions. En français, c’est un peu plus dur à trouver, il faut

connaître des gens, se faire une liste…

Stéphanie: Et il faut tester, parce qu’en anglais comme en français, il y a des

gens qui écrivent mal, il y en a qui écrivent très bien et il y en a qui écrivent

“potable”. Il faut savoir que pour bien référencer un site, on n’a pas besoin de

grande littérature, on ne cherche pas des écrivains qui vont avoir une prose

incroyable.

Didier: Non, surtout pas.

Stéphanie: On cherche des gens qui sont capables d’écrire selon des règles de

base que je vais leur enseigner.

Didier: On ne cherche pas des prix Goncourt, on cherche des techniciens de la

rédaction.

Stéphanie: C’est ça. Des gens qui sont capables d’aller chercher l’information, de

ne pas copier tout ce qu’ils trouvent sur internet et de créer du contenu qui va

être intéressant.

Didier: Il faut faire attention aux gens qui font carrément du plagiat.

Stéphanie: Oui.

Didier: Il faut tester plusieurs personnes.

Stéphanie: Oui et une fois qu’on a trouvé quelques bonnes personnes, on peut

travailler avec ceux-là puis dépendamment du volume qu’ils sont capables de


nous fournir…Donc si on y va à 5 euros l’article, un site de 50 pages va nous

coûter 250 euros.

Didier: Disons 250 euros, pour faire court.

Stéphanie: C’est ça. Donc une fois que j’ai les articles de complétés, je vais

mettre le site en place.

Didier: 250 euros, pour certaines personnes qui vont écouter ces informations-là

vont dire “ah c’est cher” et d’autres personnes vont dire “c’est qui, c’est qui?!”

Ce qu’il faut comprendre là-dedans, c’est qu’un article qu’on paie 5 euros peut,

au cours d’une année, nous rapporter 1000, 2000, 3000, 5000, 25 000

visiteurs dépendamment du mot-clé. S’il est bien référencé, bien positionné, ça

peut être une machine à imprimer de l’argent absolument phénoménale.


Didier: C’est-à-dire qu’une seule page bien optimisée, dans la mesure où l’on en

a 50 et on suit les règles de base d’un bon référencement; une seule page bien

optimisée pour un mot-clé hyper-populaire peut rapporter littéralement des

milliers d’euros en revenus AdSense pour une page qu’on a payée 5 euros.

Stéphanie: C’est ça. Donc le retour sur l’investissement est énorme.

Didier: C’est gigantesque. Ce qu’il faut dire aussi, c’est que ce ne sont pas les

50 pages que vous aller créer qui vont vous rapporter autant.

Stéphanie: Non.

Didier: Mais c’est important de créer ces 50 pages-là pour avoir une masse

critique de pages, que les pages qui rapportent énormément de trafic soient

extrêmement rentables.


Stéphanie: C’est ça, c’est comme un tout, en fait.

Didier: Donc, créer le contenu, c’est important pour obtenir le référencement

puis, en plus, pour être accepté par AdSense.

Stéphanie: C’est ça. Le premier site que vous allez faire va être un peu plus long

parce qu’il faut le faire avec juste du contenu idéalement, puis pas trop

d’annonces, rien dessus. Et là, vous faites votre demande à Google pour obtenir

votre compte.

Didier: Ok. Je te vois venir un peu.. Parce que j’imagine que le premier site, ce

n’est pas nécessairement le site qui rapporte…

Stéphanie: Bien oui, ça peut l’être, mais c’est juste que ça va être plus long dans

le développement et vous ne pourrez pas mettre vos annonces AdSense dès le

départ. Tu sais, dans le sens qu’une fois que ton modèle est fait, les sites

d’après, c’est très rapide.

Didier: Ok.

Stéphanie: Il existe trois types de sites qu’on peut choisir de faire. Ce peut être

soit un site qui est fait uniquement de contenu avec des annonces Adense, un

site où l’on n’aura pas à faire de mise à jour. Ça c’est une chose: essayer de

prendre un sujet sur lequel vous n’aurez pas à faire de mise à jour. Si vous parlez

du golf, par exemple, n’allez pas mettre des dates de tournois, restez vraiment

dans des choses que vous n’avez pas besoin d’optimiser.

Didier: On pourrait dire comme sujet qui touche à l’informatique ou au

développement technologique, ne touchez pas à ça, parce que vous allez être

obligé de faire des mises à jour pratiquement quotidiennement. C’est-à-dire

qu’une page va vous apporter 1000 visiteurs en une journée et vous en rapporter


0 le lendemain parce que la technologie est dépassée, donc ne touchez pas à ça.

Pour prendre ton exemple du golf, c’est très bon. Par exemple, on donne des

trucs pour allonger son coup de départ, ça va fonctionner aujourd’hui et demain,

ça va fonctionner, dans 10 ans, dans 100 ans, ça va fonctionner.

Stéphanie: La différence entre les bâtons, mais peut-être pas aller parler d’une

marque, ça dépend: il faut essayer d’y aller…

Didier: Un article sur Tiger Woods, c’est très bon, ça risque d’être bon

relativement longtemps. Par contre, le gagnant du dernier tournoi, ce n’est même

plus intéressant deux jours après qu’il ait gagné.

Stéphanie: C’est ça, à moins que ce soit un gros nom.

Didier: Donc des informations dont vous pouvez prévoir qu’elles vont demeurer à

jour relativement longtemps.

Stéphanie: C’est ça. Donc ça, c’est le premier modèle. C’est un site où l’on va

avoir uniquement du contenu et des annonces AdSense. Le deuxième modèle,

c’est un modèle où par exemple vous voudriez aussi vous construire une liste.

Donc là on va intégrer les boîtes d’abonnement.

Didier: Petite question comme ça: quelqu’un qui a une liste et qui décide de

l’envoyer en html.

Stéphanie: Tu n’as pas le droit, tu ne peux pas mettre d’annonces AdSense.

Didier: Ah, tu ne peux pas inclure d’annonces AdSense.

Stéphanie: Tu ne peux pas avoir non plus d’annonce AdSense sur une page de

remerciements, après que la personne se soit abonnée, ou sur une page vide…

pour ça, il y a des règles. Parce qu’il faut comprendre une chose, c’est que


AdSense, c’est un moyen extraordinaire pour aller chercher de l’argent, mais ce

n’est pas une entreprise en soi parce que vous êtes à la merci totale de Google si

vous développez uniquement ça. Bon, ce n’est pas dit que Google va fermer

demain matin, mais si pour X raisons vous construisez 50 sites et qu’ils ne sont

que basés sur AdSense et que, dans un an AdSense ferme, vous n’avez plus de

business. Donc il faut le voir vraiment comme un revenu, mais ce n’est pas votre

entreprise en soi.

Didier: C’est pas une entreprise. On parle de revenus, mais ce n’est pas une

entreprise.

Stéphanie: C’est une source de revenus.

Didier: En tout cas, ça ne correspond pas à ma définition de l’entreprise.

Stéphanie: Donc ça peut être intéressant de construire des sites qui vont être

uniquement à contenu avec AdSense, mais c’est bon aussi de considérer…

Didier: C’est pas l’idéal.

Stéphanie: Non, c’est pas l’idéal. Ça peut être bon au début de ne faire que ça

pour aller chercher le plus de revenus AdSense possible, ça vous permet de vivre

correctement, mais après, vous pouvez travailler à développer votre entreprise.

Donc l’autre modèle, ça va être d’intégrer des annonces un formulaire

d’abonnement pour votre newsletter puis, l’autre modèle, ça va être d’intégrer

aussi de l’affiliation, où on vend des produits.

Didier: Ça, c’est un peu plus difficile en français, mais ça se fait.

Stéphanie: Oui. La chose à éviter à ce moment-là, c’est d’essayer de garder

certaines pages où vous allez pousser vos produits et à l’autre page, vous allez

pousser AdSense. Parce que si vous poussez les deux, vous perdez des deux


côtés un peu. Sur cutepuppydog, j’ai des pages où je vends des produits et où je

n’ai pas du tout d’annonces AdSense.

Didier: De toute façon, on a déjà énoncé cette règle-là dans le cd en

référencement: si vous vendez quelque chose, ne mettez pas de pub; si vous

mettez de la pub, ne vendez rien.


Didier: C’est une règle de base fondamentale que malheureusement peu de gens

comprennent, mais c’est une règle de base fondamentale en marketing: plus il y

a de choses différentes sur votre site, moins la réponse agrégée est haute.

Stéphanie: Et intéressante.

Didier: C’est aussi simple que ça. Il n’y a même pas de discussion à y avoir là-

dessus.

Stéphanie: La troisième étape, une fois qu’on a été accepté par Google, c’est

qu’il faut placer nos annonces AdSense sur le site.

Didier: C’est là qu’on obtient des taux de clics.

Stéphanie: C’est ça. AdSense, premièrement, propose plusieurs formats

d’annonces qui sont un peu les mêmes formats que les bannières régulières; des

bannières qu’on est habitué de voir en image, c’est-à-dire le bandeau, 468 par

60 pixels, le sky scrapper qui est de 600 pixels de haut.

Didier: L’équivalent de la bannière, mais en vertical.

Stéphanie: Un peu plus large et un peu plus longue. Il y a aussi des blocs, des

carrés. Les carrés peuvent avoir quatre annonces, trois annonces ou une


annonce. Aussi, dans AdSense, vous avez le choix entre les annonces-textes et

les annonces-images que Google a essayé de mettre en place. Selon moi, ça ne

fonctionne pas vraiment parce que premièrement, il n’y en a pas beaucoup et

deuxièmement, ça reste comme une bannière que les gens sont habitués de voir.

Didier: Du point de vue AdSense, c’est pas intéressant.


Didier: Mais du point de vue de l’annonceur, dans la mesure où la plupart des

gens ne savent pas comment on procède pour obtenir des taux de clics élevés,

du point de vue de l’annonceur, c’est mieux l’annonce graphique que l’annonce

texte normale. Mais quand on prend des sites de contenu, quand on tombe sur

des sites de contenu comme ceux que tu fais, c’est super bon pour l’annonceur.

Stéphanie: C’est beaucoup mieux d’utiliser les annonces-textes. Premièrement,

on va utiliser ce qu’on appelle les channels, en français, ça risque d’être des

canaux, je n’ai pas vu exactement le terme utilisé. Mais ça, ça vous permet de

créer un code différent pour chacun de vos sites ou même chacune de vos

pages, si vous voulez.

Didier: Ok.

Stéphanie: Ça vous permet ensuite de mieux voir combien vous avez fait pour

chaque site et chaque section.

Didier: Ok.

Stéphanie: Donc ça c’est intéressant, selon moi. Ensuite, vous pouvez choisir la

couleur du titre de l’annonce, la couleur du texte, la couleur du lien, la couleur de

la bordure de l’annonce et du background, le fond.


Didier: Ok.

Stéphanie: C’est là que ça joue beaucoup.

Didier: J’imagine que ce sont les mêmes principes que pour la bannière: le fond

doit être de la même couleur que le fond du site.


Didier: Le titre doit être de la même couleur que les liens sur le site.

Stéphanie: Oui, parce que ça a l’air d’un lien cliquable.

Didier: Et, autant que possible, un bannière doit se fondre dans le site.


Didier: Comme habituellement, une bannière qui correspond à ces critères-là,

c’est une bannière-texte, donc pas de cadre.


Didier: Est-ce que j’ai bien compris?

Stéphanie: C’est exactement la même chose. La seule règle, c’est que Google

refuse que l’adresse web, l’url, soit d’une même couleur que le background,

donc idéalement, on le met très pâle. La couleur du texte de l’annonce, on la met

de la même couleur que le texte sur notre site. Si on veut pousser encore plus

loin, on essaie de mettre la taille des caractères sur notre site à peu près de la

même grosseur; on va plus vers helvetica, comme font.


Didier: Donc, dans le fond, ce que tu es en train de nous dire, c’est que l’idéal

est que les annonces Google aient le plus possible l’apparence d’un texte

éditorial qui fait partie intégrante du site.

Stéphanie: Parce que les gens, quand ils lisent votre texte, votre article, ils

trouvent ça intéressant et ils ont l’impression que vous êtes en train de leur

suggérer d’aller vers un lien et ils vont cliquer dessus.

Didier: Donc j’imagine que le format bannière du genre 3-4 annonces Adwords

en haut, une à côté de l’autre..

Stéphanie: Ça a beaucoup moins de résultats.

Didier: Et l’article en dessous, c’est pas intéressant.

Stéphanie: Non.

Didier: Ce qui est intéressant, c’est l’article, format skyscrapper.

Stéphanie: Non.

Didier: Non? Ok!

Stéphanie: Moi ce que je vais utiliser sur chacune de mes pages et vous irez voir

sur cutepuppydog comment j’ai fait, je mets le titre de l’article, je mets un bloc

AdSense et je mets mon article ensuite.

Didier: Ok.

Stéphanie: Et j’enligne à gauche mes annonces AdSense avec mon texte.

Didier: Ok.


Stéphanie: Et dans les blocs, vous avez le choix d’un bloc à 3 annonces, à 4

annonces ou à une. Idéalement, je prends le bloc à 3 parce que plus vous avez

d’annonces sur votre page, plus il y en a qui paient moins cher dans ces

annonces-là, dans les annonceurs. Celle qui va payer le plus, c’est la première,

après la deuxième, après la troisième, après la quatrième, donc en en mettant 3

au lieu de 4, vous éliminez celui qui paie le moins. L’autre chose, c’est que vous

pouvez maintenant mettre plus qu’un bloc par page: Google autorise 3 blocs par

page. Moi, je ne le recommande pas, je ne l’utilise pas sauf à quelques

exceptions peut-être, mais je ne l’utilise pas parce que si vous mettez deux blocs

de 3 annonces, les trois dernières vont se retrouver à la fin de votre article. Les

gens vont cliquer et ça va être les annonceurs les moins payants. Donc en ayant

vraiment l’annonce en haut, c’est la première chose que les gens voient et les

taux de clics sont énormes.

Didier: Donc, l’annonce en haut, juste au-dessous du titre de l’article, c’est très

important.

Stéphanie: Oui. Des fois après le premier paragraphe, aussi, ce peut être

carrément dans l’article.

Didier: Est-ce que tu peux marquer des trucs du genre “lien recommandé”?

Stéphanie: Non. On ne peut pas inciter les gens à cliquer. On ne peut pas dire

“svp, je veux faire de l’argent, aidez-moi, cliquez une fois par jour là-dessus”.

Ça, c’est strictement interdit et je ne vous conseille pas de vous y essayer parce

que vous allez vous faire bannir de AdSense.

Didier: Donc le fond de la même couleur que le fond du site, pas de bordures ou,

s’il y a une bordure, de la même couleur que le fond du site.


Stéphanie: C’est ça. Le titre de l’annonce qui a l’air d’un lien cliquable, vous le

mettez de la même couleur que vos liens sur votre site; le texte de la même

couleur que le texte sur votre site et l’url, proche de la même couleur que le fond

de votre site, mais pas exactement de la même couleur parce que vous n’avez

pas le droit.

Didier: Ok. Sur la pertinence des annonces, est-ce que AdSense prend par

exemple…si la structure de la page est faite pour être référencée par exemple

pour mot-clé “chien” est-ce que AdSense reconnaît ça?

Stéphanie: Oui. Puis il va aller placer des annonces.

Didier: Est-ce tu peux expliquer un peu plus parce que pour avoir les annonces

les plus pertinentes, ça peut être intéressant.

Stéphanie: Quand vous avez choisi votre phrase-clé, si vous suivez les règles de

base en rédaction pour l’optimisation d’un site web, automatiquement, vous allez

avoir votre mot-clé qui est là quelques fois et c’est ça qui va ressortir le plus au

niveau de AdSense aussi. Donc c’est ça que Google va voir le plus et il va aller

mettre une annonce qui est en lien avec ça. Ça peut valoir la peine des fois de

faire des tests, d’aller voir ce que ça donne parce qu’il y a certaines fois où vous

allez voir des annonces publiques qui sont publiées et qui ne vous rapportent pas

un sou: ça c’est parce que Google n’a pas suffisamment réussi à déterminer

votre page, ce que c’est, ou parce qu’il n’y a pas d’annonceurs pour ce thème-

là. Ça, ça ne devrait pas vous arriver tellement si vous avez suivi la méthode que

j’ai démontrée, mais ça arrive quelques fois. À ce moment-là, il faut aller

retravailler le texte un peu, rajouter quelques fois le mot-clé qu’on veut cibler.

Didier: Je crois que ça clos la section sur “comment construire le site”. Il en

reste une, maintenant: comment on fait pour aller chercher du trafic rentable?


Stéphanie: C’est sûr qu’étant donné que le site est bien monté au niveau des

moteurs, qu’il est bien référencé, c’est-à-dire que le site est bien optimisé et prêt

à être soumis à tous les moteurs.

Didier: Est-ce qu’on peut dire à prime abord qu’il y a deux méthodes?

Stéphanie: Oui.

Didier: Un référencement naturel, c’est-à-dire le référencement comme on l’a

expliqué dans le cd que j’ai fait avec toi.

Stéphanie: Où on va aller soumettre le site comme il faut, les échanges de liens,

des choses comme ça. Donc ça, ça va nous amener un trafic qui ne nous coûte

rien entre guillemets, parce qu’on a quand même travaillé fort sur ce site-là, mais

ce ne sont pas des visiteurs pour lesquels on paie. Donc ça c’est la première

méthode.

Didier: Donc c’est la première méthode dont on ne parlera pas parce qu’on a déjà

tout un produit là-dessus. Par contre, la deuxième méthode qui peut être

intéressante pour quelqu’un qui ne veut pas investir sur son éducation en

référencement…

Stéphanie: Qui veut des résultats plus rapides aussi peut-être parce que des fois

le référencement, ça peut prendre un certain temps avant d’avoir d’énormes

résultats. Donc, l’autre façon, c’est le pay per clic, c’est d’acheter des annonces

sur Adwords ou d’autres moteurs.

Didier: Overture, par exemple, e-spotting…

Stéphanie: C’est ça. Il faut faire très attention, il faut faire des tests parce qu’il

faut faire le calcul. Si ça nous coûte, par exemple 1 euro – toi tu suggères 8

sous du clic…


Didier: Oui, c’est 5 centimes d’euro du clic. En fait, en gros, ce qu’on peut dire

c’est que tant et aussi longtemps…c’est que ça vaut la peine de perdre, je dirais,

un …

Stéphanie: Disons 20 euros pour faire un test, ce sera assez..

Didier: Oui, c’est ça, de faire un test à 20 euros ou d’aller chercher le maximum

de trafic pour un coût minimum. Ça va vous donner une très très bonne idée des

pages qui vous rapportent le plus haut taux de clics, le taux de clics moyen sur

vos annonces et le revenu moyen. Ça va vous permettre ensuite de calculer

jusqu’à quel prix vous êtes prêt à payer pour obtenir un trafic maximum, c’est-à-

dire que si par exemple vous avez un taux de clics de 30%, donc 300 clics pour

chaque 1000 visiteurs qui passent…

Stéphanie: …vous payez 5 centimes du clic, vous en achetez pour 5 euros, vous

avez 250 clics.

Didier: Non, 5 euros, ça fait 100.

Stéphanie: 100 clics. Si là-dessus il y a 20 personnes qui cliquent sur vos

annonces AdSense une fois rendues sur votre site et que ces 20 clics-là vous

rapportent 10 euros et bien vous faites de l’argent. Parce que vous payez 5

euros pour annoncer et vous allez en chercher 10: c’est comme ça qu’il faut le

calculer, ce n’est pas très complexe, il faut juste le tester. L’une des choses qui

est très pratique, c’est que dans AdSense, dans votre compte, ça vous donne

votre revenu au coût par mille dans les statistiques. Ça vous dit, pour ce site-là

ou cette page-là, vous faites en moyenne 200 euros du 1000 affichages ou 2

euros du 1000 affichages. Donc ça vous permet de suivre un peu.

Didier: Ce qu’on peut dire, c’est que sur Adwords, pour aller chercher du trafic,

ça coûte au minimum 50 euros par 1000. Donc, si vous faites plus de 50 euros


par 1000 visiteurs, c’est intéressant. Sur Overture, c’est plus cher, ça revient à

150 euros; sur E-spotting, ça revient à 100 euros par 1000. Donc ça vous donne

une bonne idée de ce que vous pouvez obtenir comme revenus. C’est clair que si

vous faites 500 euros par 1000 et que ça vous en coûte 50, vous avez peut-être

intérêt à augmenter le coût par clic…

Stéphanie: Pour aller chercher plus de trafic parce que vous savez que vous

faites de l’argent au bout du compte.

Didier: Mais il se peut très bien que vous décidiez de payer plus cher et qu’il n’y

ait pas d’augmentation en trafic qui suit. Il faut faire beaucoup de tests, mais ça

vaut la peine de les faire parce qu’une fois qu’ils sont faits, les résultats d’un

mois ne varieront pas tellement l’autre mois; ce qui veut dire qu’une fois que ces

tests-là sont faits, votre compte Adwords est bien monté si vous suivez les

directives que je donne dans mon cours et que vous montez votre compte

Adwords comme ça, que vous montez votre site de contenu comme Stéphanie

vous l’a montré, que vous choisissez votre thème de la même façon et que vous

placez vos annonces AdSense de la même façon; ce qui va arriver, c’est que

vous allez obtenir très très rapidement un revenu prévisible et comme vous avez

aussi créé un site de contenu, éventuellement, votre site va être référencé et

vous allez obtenir du trafic naturel qui va aussi vous rapporter. À partir de ce

moment, vous avez deux options, soit continuer de mettre de l’argent dans

Adwords… C’est une possibilité intéressante. Il y a des gens qui mettent leur

argent en bourse et qui perdent leur chemise, il y en a d’autres qui mettre leur

argent dans Adwords et qui doublent leur investissement à chaque coup. C’est

un choix personnel, vous pouvez le retirer et vous pouvez le garder.

Stéphanie: Ou vous pouvez vous servir d’une partie des revenus, moi c’est ce

que je fais. À chaque mois, je réinvestis une partie des revenus que je fais dans

AdSense et je le mets dans la création d’un nouveau site. Et si vous en faites un

par mois et si on y va de façon très hypothétique et disons qu’un site vous


rapporte 100 euros par mois ou 500 euros par mois et que vous en avez fait 10

à la fin de l’année, bien l’année d’après, vous faites 5000 euros par mois.

Didier: On peut dire très très facilement qu’en suivant cette méthode-là, ce ne

serait pas étonnant de voir des gens qui ont en 6 mois, 1 an, une dizaine de sites

qui leur rapportent 1000 euros, 10 000 euros par mois.


Didier: Tous les sites ne rapporteront pas 1000-2000 euros, mais ce ne serait

pas étonnant de voir certaines personnes qui ont une dizaine de sites et dont

chacun de ces sites-là rapportent 1000 euros par mois, on parle quand même de

10-12 000 euros par année…

Stéphanie: C’est qu’à côté de ça, vous pouvez laisser rouler ça tout seul après et

ça vous laisse du temps pour créer des produits, créer une liste et là, vraiment,

grossir votre entreprise. Ça vous permet, enfin, d’investir peut-être sur d’autres

choses qui demandent peut-être plus de temps ou plus d’argent, mais vous

n’avez pas sorti un sou de votre poche finalement. Vous allez chercher un

revenu et vous pouvez le réinvestir donc le risque est beaucoup moins là. Moi,

quand je pense à la situation où j’avais un emploi à temps partiel et que je

n’avais pas beaucoup d’argent de disponible pour investir, pour moi ça été une

façon d’augmenter mes revenus hyper-rapidement et je n’ai presque pas sorti un

dollar de ma poche.

Didier: Entre autres, c’est ce qui te permet, par exemple, de savoir que si tu

quittes ton emploi, tu vas avoir, dans ton cas c’est pratiquement quelques

dizaines de milliers de dollars par année en revenu sûr.

Stéphanie: C’est ça. C’est comme si je recevais un chèque de paie une fois par

mois!


Didier: C’est comme si tu étais une assistée sociale, mais payée par Google! Il y

a des gens pour qui ce type de trucs-là, même si ça rapporte à tous les mois, qui

ne voient pas l’intérêt de mettre un effort. Mais ce que je peux dire par rapport à

ça, c’est que la chose la plus difficile à faire sur internet, quand on veut faire de

l’argent sur internet, c’est de dégager ses premiers revenus. À partir du moment

où on a dégagé ses premiers revenus…

Stéphanie: … La croissance est très rapide.

Didier: Oui, la croissance est très rapide, mais pour une seule raison, c’est que le

sentiment de sécurité qu’on a; on sait que si on a besoin d’argent pour le mois

prochain, tout ce qu’on a à faire, c’est faire exactement la même chose qu’on a

fait le mois dernier.

Stéphanie: Oui, ça enlève le stress…

Didier: Ça enlève le stress et ce qui arrive, c’est que les gens qui commencent à

faire de l’argent, ça n’a pas besoin d’être beaucoup, peut-être 500 euros, 100

euros, juste le fait d’avoir les premiers chèques qui rentrent, on se dit: “bon là,

j’ai une méthode et je vais l’utiliser encore et je vais essayer de l’améliorer, je

vais essayer de la multiplier, c’est-à-dire de créer plusieurs sites, par exemple,

par cette méthode-là et, en même temps, je vais en trouver une autre”. On va

essayer de rentabiliser l’affiliation. Ça, c’est un exemple que je donne, mais peu

importe comment vous le faites, si c’est par AdSense qui est une manière très

très facile de le faire pour la simple et bonne raison que ça ne demande pas

beaucoup de temps, ça ne demande pas beaucoup de gestion, ça ne demande

pas beaucoup de connaissances non plus à part quelques connaissances en

référencement et même là c’est pas nécessaire comme tel, ça vous permet

d’avoir une expérience d’une certaine mesure de succès sur internet, ce qui est

très important pour la suite. Le meilleur exemple que j’ai à donner, c’est,

éventuellement, quand vous aurez décidé de passer par un système où vous

avez un site plus une mailing list, à un moment donné, éventuellement, quand


vous aurez assez d’abonnés et que vous aurez pigé comment les gens pensent

sur internet, comment les gens achètent sur internet…pour certaines personnes,

ça prend 2-3 jours, ils comprennent comment les gens pensent et achètent sur

internet et ils savent quoi faire tout de suite après avoir lu ma méthode et il y en

a d’autres, ça leur prend plus de temps. Mais à partir du moment où vous avez

une liste qui a assez d’abonnés et que vous pigez comment ça fonctionne sur

internet pour vendre des trucs aux gens, c’est absolument incroyable. Moi je sais

que si demain matin, j’ai besoin de 5000 dollars, je n’ai qu’à envoyer un e-mail

qui me prend 10 minutes à écrire, peser sur « send » et, la semaine suivante, j’ai

5000 dollars dans mon compte de banque. AdSense, c’est une méthode pour le

faire: vous savez que, monter un site là, le mois prochain ce site-là va peut-être

vous rapporter 500 euros, vous en montez un autre, le premier vous rapporte

750, le deuxième vous rapporte 500; vous savez qu’à chaque fois que vous le

faites, vous allez augmenter vos revenus de 500 euros par mois en utilisant cette

méthode-là.

Stéphanie: C’est ça. Ce ne sera pas le premier mois que votre site est en ligne,

généralement, que vous allez faire 500 euros, mais ça ne prend pas tant de

temps que ça.

Didier: Il faut dire que le maximum de résultats, comme on parle de

référencement, va être obtenu à peu près à partir du sixième mois.

Stéphanie: C’est ça. Entre trois et six mois, c’est là qu’on va voir vraiment la

vitesse de croisière que l’on va avoir après, généralement. Mais vous avez une

longueur d’avance avec ce que je vous ai dit aujourd’hui, parce que juste les

tests sur la façon de placer les annonces, ça fait toute la différence. Moi, au

début, je faisais assez pour me payer un café par jour et aujourd’hui, je fais

assez pour en vivre.

Didier: Payer ta voiture, payer ton hypothèque…


Stéphanie: C’est vraiment la différence entre les deux, là. Dites-vous que vous

avez une longueur d’avance sur les gens parce que je suis sûre que vous les

remarquez, les annonces de Google sur les sites parce que tout le monde les

place comme des bannières. Très peu de gens, en français encore moins, mais

très peu de gens les placent comme ne vous ai expliqué de les placer.

Didier: Et il faut dire que ça marche dans toutes les langues, c’est ça qui est

fantastique, c’est que ça ne demande pas plus de travail, je dirais que ça

demande moins de travail de le faire dans une langue qui n’est pas votre langue

maternelle; c’est plus facile de le faire en anglais parce qu’il y a des gens qui

peuvent le faire pour nous; c’est plus facile de le faire en espagnol parce qu’il y a

des gens qui peuvent écrire pour nous et en plus les montants payés par les

annonceurs sont absolument…

Stéphanie: Incroyables…

Didier: J’ai vu des 60 dollars américains…

Stéphanie: Jusqu’à 100. Surtout aux États-Unis au niveau des avocats en

personal injury, quand les gens se blessent, parce qu’il y a beaucoup de

poursuites aux États-Unis; les avocats sont rémunérés généralement en

pourcentage sur le gain qu’ils vont chercher donc c’est énorme. Ils peuvent

parfois aller jusqu’à 100 dollars du clic.

Didier: C’est carrément aberrant, les assureurs, même chose, ça peut aller

jusqu’à 25, 50 dollars américains…

Stéphanie: J’ai fait le test avec les avocats, j’ai construit un site, ça m’a pris

deux heures, j’ai fait un petit répertoire des avocats. Je n’ai même pas écrit

d’article, je n’ai pas fait un site qui va être référencé, ce n’est pas un site qui va

obtenir du trafic naturel, mais j’ai juste fait comme si c’était un mini-annuaire


d’avocats et chaque page est faite sur un thème. Je paye sur Adwords pour

amener du trafic et je fais à peu près dix fois mon investissement.

Didier: C’est fou!

Stéphanie: C’est sûr qu’étant donné que je n’ai pas le référencement naturel

pour l’instant, je ne vais pas chercher 1000 clics par mois, mais ça roule tout

seul, je ne m’en occupe même pas, je le laisse aller.

Didier: Quand bien même ce serait un 100 euros de plus par mois.

Stéphanie: Ça m’a pris deux heures.

Didier: 100 euros ou beaucoup plus par mois quand on ne travaille pas pour

l’obtenir, c’est super agréable, ça permet de faire une foule de choses qu’on ne

se permettrait peut-être pas normalement, surtout quand on peu faire la chose à

répétition, c’est vraiment très bien. Écoute, Stéphanie, je te remercie d’avoir

partagé toutes ces informations avec moi, avec les clients, avec les abonnés,

c’est vraiment gentil.

Stéphanie: Ça me fait plaisir, je vous souhaite d’impressionner votre banquier

avec un beau chèque qui provient de Google, vous allez voir, ça fait un effet.

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COMMENT TIRER PROFIT DE GOOGLE ADSENSEs2.e-monsite.com/2010/01/27/28116287entrevue-adsense-pdf.pdf · pour certains d’entre vous, c’est-à-dire que Stéphanie a découvert une