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COURRIER La revue de la société vaudoise de médecine DU MÉDECIN VAUDOIS | TARIFS PUBLICITAIRES cmv REVUE DE LA SOCIÉTÉ VAUDOISE DE MÉDECINE FÉVRIER 2017 #1 www.svmed.ch ASSEMBLÉE DES DÉLÉGUÉS Reflets et nouveaux membres CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS La colère gronde SVM Présentation du comité courrier du médecin vaudois Entre devoir et droit, éthique et psychologie Information du patient INÉDIT PUBLICATIONS SA | Avenue de Rumine 37 | Case postale 900 | 1001 Lausanne T +41 21 695 95 95 | F +41 21 695 95 50 | [email protected] | www.inedit.ch Envoi du matériel : [email protected] | PDF HR 300 dpi La revue de la société vaudoise de médecine cmv courrier du médecin vaudois

COURRIER - inedit.ch cmv 2018.pdf · [email protected] – Rédacteur responsable Pierre-André Repond, Secrétaire général Cheffe d’édition Michèle Cassani, Responsable communication

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COURRIER La revue de la société vaudoise de médecine

DU MÉDECIN VAUDOIS | TARIFS PUBLICITAIRES

cmvREVUE DE LA SOCIÉTÉ

VAUDOISE DE MÉDECINEFÉVRIER 2017

#1

www.svmed.ch

ASSEMBLÉE

DES DÉLÉGUÉS

Reflets et nouveaux membres

CONFÉRENCE

DES PRÉSIDENTS

La colère gronde

SVM

Présentation du comité

courrier du médecin vaudois

Entre devoir et droit, éthique

et psychologie

Informationdu patient

INÉDIT PUBLICATIONS SA | Avenue de Rumine 37 | Case postale 900 | 1001 Lausanne T +41 21 695 95 95 | F +41 21 695 95 50 | [email protected] | www.inedit.ch

Envoi du matériel :[email protected] | PDF HR 300 dpi

La revue de la société vaudoise de médecine

cmv courrier du médecin vaudois

Journal officiel de la Société vaudoise de médecine (SVM), destiné à l’ensemble des médecins et employés médicaux du can-ton de Vaud.

DIFFUSION

Cabinets médicaux, hôpitaux, cliniques et centres de soins

THÈMES TRAITÉS

➜ Dossiers ➜ Articles ➜ Portraits de membres ➜ Calendrier médical

TIRAGE

5000 exemplaires

13cmv mai 2015 doSSieR

Les systèmes de santé basés prio-ritairement sur la concurrence sont non seulement inégali-taires, mais aussi particulière-

ment coûteux, ce qui induit généralement un rationnement informel par l’inacces-sibilité financière de prestations médi-cales pour des groupes importants de patients qui ne disposent pas des moyens nécessaires. A l’opposé, les systèmes uni-latéralement basés sur des logiques de planification tendent à réduire le choix du prestataire et à rationaliser les soins. Ce dernier aspect n’est pas nécessaire-ment négatif, mais débouche d’autant plus rapidement sur des mesures de rationnement au détriment des patients financièrement désavantagés que les mesures de rationalisation sont prises dans un contexte de ressources écono-miques limitées, voire réduites.

COnCentRAtiOn, RAtiOnALiSAtiOnCe constat, qu’il concerne des processus de concentration ou d’intégration verti-cale des prestations, peut également valoir pour des mesures de rationalisa-tion dues en premier lieu à des réflexions sur la qualité des soins – notamment parce que l ’approche de rationalisation basée sur l ’utilisation efficace des res-sources financières des contribuables et des assurés, peu contestée du point de vue éthique, n’est pas toujours évidente à distinguer, en pratique, d ’effets de rationnement, éthiquement beaucoup plus contestables, qu’il soient issus d’un processus volontaire, d’un dol éventuel ou d’un effet involontaire.

SuiVi PeRManentEntre les deux modèles de gouvernance, la Suisse a choisi une voie médiane dont les résultats tant médicaux que sociaux sont plutôt bons, mais la complexifica-tion du système et l ’individualisation des approches thérapeutiques forcent à des remises en question permanentes. Si, par exemple, le développement des connaissances dans le traitement du diabète impose certaines concentra-

Ce qu’en pense…

entre libre concurrence – des patients comme des prestataires – et régulation du système de santé pour des raisons d’économicité et/ou de qualité, où se trouve l’intérêt des patients ?

tions pour des raisons de qualité et/ou d’efficacité, il sera irresponsable de ne pas aller dans ce sens. En pratique, les choses se corsent cependant, dans la mesure où il y a rarement unanimité dans l’analyse anticipatoire des effets de telles mesures sur la qualité, l ’efficacité et l ’économicité. De plus en plus sou-vent, les moins mauvaises solutions devront être trouvées par le biais de pro-cessus ad hoc, selon des critères qui ne seront pas entièrement objectivables et, par conséquent, avec une forte nécessité de transparence et de participation, tant pour les prestataires concernés que pour les patients et leurs associations – et sans doute avec le développement de savoirs neutres tel que le prévoit le Conseil fédéral dans sa stratégie de qua-lité. Cela s’applique tant aux questions relatives à la médecine hautement spé-cialisée qu’à l ’organisation interdiscipli-naire de maladies chroniques complexes – et tant l ’intérêt public que les intérêts des petits prestataires privés de santé commandent à long terme que de telles approches se fassent a priori dans une logique d’organisation publique plutôt que privée. ■

JeAn-FrAnçoiS STeierT

conSeilleR national PS

Planification et liberté de santé: le point de vue du patient

3cmv mai 2015 éditoRial

sommAire

4 DOSSIER 4 Le point de vue de la fmCh6 Trop de règles dérègle ?9 Surveillance parlementaire inexistante ?10 Une médecine libérale est-elle encore possible ?11 Un exemple concret13 Ce qu’en pense J.-F. Steiert

14 InfO SVM Reflets de l’AD et liste des nouveaux membres

18 Actu Information officielle, actualité générale

21 cIcéROn et HippocRate

22 Rendez-vouSFormation continue, à vos agendas!

24 PORtRAItL’amour de l’art est certes une tradition familiale, mais aussi une passion per-sonnelle pour le Dr Lanfranco Gazzola. Il vient de fermer son cabinet de chirur-gien, ce qui ne veut pas dire qu’il renonce à tous ses engagements de médecin.

26 RepéRageS

Le système de santé suisse est un des plus perfor-mants au monde. Avec une médecine de proximité de haut niveau, les soins sont de qualité et reconnus comme tels internationalement. Cela a un coût. Ainsi, le législateur a souhaité intro-

duire un système de concurrence économique incitant les pou-voirs cantonaux à agir. Sommes-nous pour autant sur la bonne voie? Quels sont les dangers pour notre système de santé?

En planifiant les prestations, les politiciens «étatisent» le sys-tème et le rigidifient. Le Dr Trutmann nous explique pourquoi une concurrence entre les prestataires est salutaire pour le maintien de la qualité dans le système et pour l’innovation.

En concentrant les prestations spécialisées, la médecine de proxi-mité, le libre choix du médecin et la liberté thérapeutique sont inévitablement menacés. Méfions-nous de ces «règles qui dérèglent», comme l’écrit le Dr Jotterand. Alors qu’il faudrait tout faire pour maintenir, voire renforcer, les compétences des médecins de premier recours, les filières de soins ramènent les prestations dans les grands centres, qui élargissent leurs presta-tions ambulatoires et éloignent à nouveau les malades de leur médecine de proximité. Ce n’est pas souhaitable, et certainement pas économique. De plus, selon P.-A. Hildbrand, la présence de différents acteurs est salutaire à l ’en-semble du système et à la médecine libé-rale, valeur essentielle pour les citoyens.

Dans le cadre de la médecine hautement spécialisée (MHS), les prestations sont par définition très rares. La réduction d’une surcapacité coû-teuse doit être pensée au niveau national et nécessite une action politique. Pourtant, l ’organe décisionnel de la MHS chargé de conduire ces réformes est insuffisamment surveillé politiquement, comme nous l’explique O. Feller. C’est diffici-lement tolérable et cela a conduit à des dérives. Notre système de santé doit être modifié durablement par un parlement élu démocratiquement.

C’est le rôle de l’Etat de prendre conscience que la qualité de notre médecine actuelle repose sur des compétences humaines. Personne ne conteste la nécessité d’une rationalisation des soins, mais cette évolution doit se faire dans le respect des dif-férents partenaires et par des mesures économiques et démo-cratiques. De cette manière, l’Etat pourra assurer la pérennité d ’un système souple et diversifié dans lequel les acteurs peuvent exprimer leur art librement, et préserver ainsi les inté-rêts du patient et du citoyen. ■

Dr ADrien TempiA

MeMbRe du coMité

de la SVM et du coMité

de Rédaction du CMV

les politiciens «étatisent» le système

et le rigidifient.“

”Société Vaudoise de Médecinechemin de Mornex 38 – 1002 lausannetél. 021 651 05 05 – Fax 021 651 05 [email protected] – www.svmed.ch

Rédacteur responsablePierre-André Repond, Secrétaire général

Cheffe d’éditionMichèle Cassani, Responsable communication

Coordinatricenathalie Panchaud

Collaboratrice externeagnès Forbat

Comité de rédaction du CMVDr Louis-Alphonse CrespoDr Henri-Kim de HellerDresse Véronique Monnier-CornuzDr Jean-Pierre RandinDr Patrick-Olivier Rosseletdr adrien tempia

Régie des annonces et mise en page inédit Publications Satél. 021 695 95 95 – www.inedit.ch

PhotographiesFotolia.com, iStockphoto.com, Vanina Moreillon

le comité de la SVM rappelle que la présence d’un encart publicitaire dans le CMV n’engage pas la SVM.

impressum

planification hospitalière

Intérêts et enjeux

Le modèle d’affaires développé par la pharmacie de vente par cor respond ance Zur Rose implique des médecins qui lui

sont contractuellement liés. Dans ce contexte, les médecins établissent des ordonnances électroniques à l’attention de Zur Rose. Celle-ci envoie les médica-ments aux médecins pour remise ulté-rieure à leurs patients ou les envoie direc-tement aux patients. Les médecins sont rémunérés pour leurs activités (CHF 40.– par nouveau client; CHF 12.– par an pour la gestion du dossier; CHF 1.– par ligne d’ordonnance pour le contrôle des inte-ractions).

LA RéMunéRAtiOn, un AVAntAGe MatéRiel illiciteLe Tribunal administratif zurichois a décrété en mars 2012 qu’un tel modèle d’affaires ne pouvait pas être admis. Un médecin et la pharmacie Zur Rose ont recouru auprès du Tribunal fédéral (TF) contre cette décision. Par un arrêt du 7 juillet 2014 (2C_477/2012), le TF a

rejeté le recours et confirmé les conclu-sions de la cour zurichoise. La pharmacie s’est engagée à respecter la décision du TF.Selon le TF, le modèle de Zur Rose, qui transfère au médecin les activités de pharmacien à fournir lors de la remise, ne peut pas être appliqué si le médecin ne possède pas lui-même une autorisation de commerce de détail de médicaments. Or le canton de Vaud interdit la pratique de la propharmacie et ne délivre pas de telles autorisations. De plus, le TF conclut que, tant le médecin que la phar-macie Zur Rose enfreignent l’article 33 de la loi fédérale sur les produits théra-peutiques (LPTh), qui «interdit aux per-sonnes qui prescrivent ou qui remettent des médicaments (…) de solliciter ou d’accepter des avantages matériels», car l’indemnisation versée par Zur Rose est déjà rémunérée par Tarmed. C’est une rétribution additionnelle sans prestation supplémentaire et sans rapport direct avec le traitement, proportionnelle au nombre de commandes. Le Service de la santé publique informe

infraction

Communication du Service de la santé publique aux médecins vaudoisLe Tribunal fédéral confirme que le modèle développé par zur rose Ag est contraire au droit. Le Service de la santé publique informe les médecins.

les médecins vaudois que le modèle d’af-faires actuel de la pharmacie Zur Rose est illicite. Les médecins qui le pratiquent peuvent être sanctionnés pour infraction à l’article 33 LPTh et à l’article 81 de la loi vaudoise sur la santé publique (LSP), qui interdit au professionnel de «conclure une association ou de contracter une obligation incompatible avec les exi-gences de la profession, notamment sus-ceptible de faire prévaloir des considéra-tions économiques sur l ’intérêt de la santé du patient ou de porter atteinte à sa liberté de choix». ■

voir CMV 5-2005

Anne-SyLvie FonTAnnAz

PhaRMacien cantonal

exclusion

Communication de la CD.

L a commission de déontologie porte à la connaissance des membres de la SVM qu’elle a procédé courant 2014 à l ’exclusion de la Société Vaudoise de Médecine du Dr

Pierre-Edgar Broquet pour non-paiement de ses cotisations, malgré tous les rappels d’usage. ■

18 actu cmv mai 2015

6 cmv mai 2015doSSieR

Dans un monde parfait, il n’y aurait pas de lois, pas de règlements, mais seulement des règles connues et observées de tous. retour à la réalité.

Centralisation: un monde idéal ?

Trop de règles dérègle

et qui est le spécialiste du traitement des séquelles neurologiques de la maladie de Lyme» et qui a, finalement, été très satis-faite des conseils donnés par un confrère infectiologue, installé comme médecin de famille à trente minutes en voiture de chez elle. Cette régulation est plus diffi-cile lorsque le patient souhaite recourir à des thérapeutes non-médecins qui appliquent des méthodes originales pour traiter des symptômes résistant à notre approc he méd ica le, te l que les acouphènes. Là, on ne peut que laisser le patient faire ses expériences, après s’être assuré que la méthode n’avait rien de dangereux… sauf pour son porte-mon-naie! Souvent, l’ouverture à une approche complémentaire de qualité, pratiquée par des thérapeutes régionaux que l ’on connaît pour la qualité de leur formation (par exemple ostéopathe, shiatsu ou acu-puncture), permet d’éviter ce tourisme médical et d’améliorer les chances de soulager le patient.Donc, dans un monde idéal, nous vou-lons le meilleur médecin, les meilleurs soignants pour notre patient et, bien sûr, qui soient le plus près possible de son lieu

Appliquée à la médecine, cette vision de monde idéal signifie que nous, médecins de famil le, adresserions nos

patients en fonction de leurs besoins aux médecins et aux soignants spécialisés, voire hautement spécialisés, en tenant compte de leurs préférences. En effet, lorsqu’il s’agit de médecine hautement spécialisée (MHS), techniquement, les patients – une fois orientés sur leur dia-gnostic – se sont souvent bien renseignés sur le «meilleur endroit de Suisse» pour se faire soigner, surtout s’ils sont assurés en privé évidemment. Comme ce respon-sable de vente qui va se faire opérer à Zurich par un grand chirurgien car-diaque… et qui finira par s’installer à Lausanne ou encore ce dignitaire qui souhaite aller se faire opérer à Zurich pour son canal cervical étroit, mais qui bénéficiera d’une prise en charge hors pair pour une maladie oncologique diges-tive entre radiothérapie et chimio néo- adjuvante en clinique régionale, puis subira une opération en hôpital de zone par un chirurgien agréé hautement spé-cialisé.

L’HeRbe eSt-eLLe VRAiMent PLuS VeRte ailleuRS ?Cela peut parfois prendre des allures iné-dites, comme cette patiente qui voulait consulter «le médecin qui est aux Grisons

le risque n’est pas tant dans la régulation,

mais dans la dérive à laquelle cette

volonté de contrôle peut amener.

d’habitation. Il n’y a pas de régulation, seulement la connaissance d’un réseau constitué avec l’expérience ou à la faveur d’échanges dans les cercles de qualité ou avec nos confrères spécialistes.

iMPlication deS MédecinS de FaMilleMais la médecine hautement spécialisée dans le domaine technique peut aussi concerner des situations extrêmement rares à l’échelle de notre cabinet, comme la greffe cardiaque. Dans ce cas, si l ’or-gane intercantonal de planification de la

MHS décide de centraliser ces interven-tions à Lausanne, Berne et Zurich, alors nous ne nous sentons pas concernés par

7cmv mai 2015 doSSieR

un éventuel débat. La nécessité d ’at-teindre une masse critique d’interven-tions pour pouvoir être efficace et sûr fait partie de nos préoccupations. Le risque n’est pas tant dans la régula-tion, mais dans la dérive à laquelle cette volonté de contrôle peut amener. Rappe-lez-vous cette récente initiative qui demandait que les traitements oncolo-giques soient proposés dans les régions à condition seulement que soient établies des conventions avec les centres univer-sitaires et référents, d’abord destinés aux tumeurs, puis finalement élargis aux situations plus fréquentes, ce qui aurait placé tous les centres oncologiques de Suisse dans une situation de dépendance opérationnelle avec un centre universi-taire ou assimilé, initiative combattue par les oncologues installés et périphé-riques et qui finalement fut abandonnée après votation à la CDS (Conférence suisse des directeurs et directrices canto-naux de la santé). Cette tendance à la centralisation, pré-sentée comme une solution à la gestion des maladies rares, commence aussi à s’appliquer à des maladies moins rares,

voire courantes, tel que le diabète, cette fois-ci sous prétexte d’efficacité. La ten-dance à la centralisation est d’ailleurs à ce point contre-nature qu’elle doit en général s’appuyer sur des arguments fal-lacieux qui montrent une grave mécon-naissance du fonctionnement du terrain. Si nous voulons aider nos patients à lut-ter contre la maladie et à la supporter, nous devons pouvoir leur assurer un suivi proche qui leur permet de garder leurs repères et leurs marques. Pour réus-sir, il s’agit de renforcer la collaboration entre médecins de famille, soignants de santé primaire et spécialistes de proxi-

Dr SébASTien JoTTerAnD

PRéSident

MédecinS de FaMille Vaud

Check-uphumour

mité. C’est ainsi que nous pourrons nous faire considérer et respecter par les centres, non pas en qualité d ’«aiguil-leurs» ou de fournisseurs de patients, mais comme véritable fondement du sys-tème de santé. ■

DONNÉES TECHNIQUES ET TARIFS

Pleine page intérieure Prix 3990.–

M 170 x 263 mmF 210 x 297 mm

2e, 3e de couverture Prix 4750.– M 170 x 263 mmF 210 x 297 mm

4e de couverture Prix 5030.–

M 170 x 263 mmF 210 x 297 mm

1/2 page Prix 2730.– M 82.5 x 263 mm 170 x 129 mm

9 février 2018 26 janvier 2018

21 mars 2018 2 mars 2018

16 mai 2018 27 avril 2018

27 juin 2018 8 juin 2018

5 septembre 2018 17 août 2018

3 octobre 2018 14 septembre 2018

7 novembre 2018 19 octobre 2018

12 décembre 2018 23 novembre 2018

PARUTION MATÉRIEL PUBLICITAIRE

M = Miroir

F = Franc-bord (+ 3 mm de chaque côté) Les textes qui ne doivent pas être rognés doivent être placés à 8 mm du format fini.

Emplacements spéciaux: +10%Rabais de répétition: 2 x = 5%, 4 x = 10%Commission d’agence: 10%

Tous les prix s’entendent en francs suisses.TVA non comprise.

Tarifs publicitaires valables à partir du 01.01.2018, sous réserve de modifications. Les conditions générales font foi.

1/4 page Prix 1470.–

M 170 x 62 mm 82.5 x 129 mm

Les tarifs comprennent la publication sur iPadavec un lien dynamique.

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