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. Quelgàchis, bon Dieu! quels croasse-

' JOURNAL HEBDOMADAIRE IYÈTUDES ÈSOTÉRIQUES:

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Directeur : PAPUS LE ll.SAllDî Rédacteur ep Clgefz LUGIEN IMUCHEL

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sm-times ae ii neamm = F. senza et ma sxsnm.

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Le Numéro : 10 Centimes

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4 et 5, rue de Savoie UN AN ______H,

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D. actuel de la question. le diable lui-même

(etre cher à tous ces genslà) hesiterait a

l

_ mum (ru þÿ o S u m l t e ) repondre. Les apparences disent : oui, et

ile jour où preuve en main ou dirait

¿(Smic) « Diana, þÿ v o i l a ! . : :je ne serais nullement

. 01, n« 244, 245 et 261 du voue wlm

p,25 decembre 1896.

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1i

@ms ch - `= z ces excellents diabloma-

S (um Ê p etieux a imprime dÿilo-þÿ S g `n dernier article)l Les

þÿ . å t i S j g g î aient inventé (ou copié) Ligue du Labarum

iam n i.. li cette machine-de guerre

..uS1e_ gigi ¿. Le chef, « l'homme aux

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"emi þÿ : : L60-Taxil-Paul-de-» gis-Jd ' þÿ ; § a , , ° a g è s(ouf l) vient d'abdi-

u¢1¢ la ¢_¿uW_pgissance, et c'est le « doux

þÿ ' eû - a l s i g Î - K á t g i a - d û - B û f g l a - D O Î D G Îquii þÿ s u c c èû e@lg direction de cette entre-

pige de ¢1é1agi01~ mutuelle. Et l'on ritl...

pour meme 1accord parmi messieurst; Catholiques les seuls dignes. de ce

m_ vouë sav ...) Voilà queje1corseþÿ qû a g r eþÿ Lû û û üghüfl.

* .

* i'

' m.

Diana V ughan. existe-t-elle ? En l'etat

étonne, ni d'autres non plus, tant nous

sommes de tt bons idiots þÿ - : : comme disent

les brutes allemandes qui polémiquentactuellement et avec quel esprit... de

bière._

_

Quoi qu'il en soit, une partie des catho-

liques (les seuls... etc.) affirme que l'ordrede nier l'existence de Diane vient 'duvieux singe materialiste prussien Findel.Or chacun sait que Findel est un haut-

macon, voila pourquoi la presse bien pen-

sante lui obéit, c'est logique... Une autre

bande (c'est peut-être la mème que`ci-dessus: les seuls qui... etc.) jure queTaxil est le « machinateur þÿ : : de toute l'af-

faire, que Diana est un mythe, ou simplerole joue par ledit Taxil avec la compli-cité de Margiotta.

Un drole de type ce chevalier Dominico,qui a Pindustrie de changer d'opinionstous lesjours; mais (moins heureux queBataille,le gargottieraux centaines de mille

francs( qui eut cru que le bonhommevalut tant que cela "ll le petit jeu des

'Y2 LE vdlLE' b'1s1s

.«

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transformations ne lui rapporte pas grandchose, semble-t-il.þÿ E nû n ,d'autres personnes, et celles-là,je les admire, examinent le dossier sans

cesse grossissant de cette curieuse ques-tion, et attendent les évènements. Unecommission romaine a été nommée dontil n`y a pas grande lumière a attendre, cesmessieurs sont trop intéressés à la chose...Il y a mieux à faire, peut-être

Résumons 5 Hacks-Bataille déclare qu'ila menti ; rien ne prouve qu'il nement pasencore.

Domenico Margiotta, déclare qu'il amenti. Cette déclaration était þÿ s u p e rû u e ,c'est un incorrigible fourbe. -

Leo Taxil est accusé de mensonge partout le monde. Il se défend, mais il estfort suspect.

Je neparle pas de la Presse dont la po-lémique n'a pour bases que les dires deces trois compères. Polémique oiseuse etbete par conséquent. Notons en passantl'esprit de charité qui anime tous ces dé-vots plumitifs. Pouah I

Diana Vaughan ou le personnage quitient ce rôle défend sa personnalité avecun entrain troublant, Il y a de certaineslettres...

L'Evêque de Grenoble parle avec unebelle assurance et en homme qui Saitparfaitement où est et ce que fut Diana.Cependant n'oublions pas que ce p1'él8.l 8accueilli et soutenu Margiotta. Donc...

***Mais Diana vraie ou supposée a parlé

de sa famille dont quelques membres ha-bitent tout pres de nous: en Angleterreoù ils occupent des fonctions sacerdota-les élevées; de son oncle qui demeure en

Amérique, et l'étude de ses Mémoiresfournirait des indices. Voyons, ne POUP-rait-on pas se tourner de ces côtés?_

Diana, si elle existe, ne p01'Pa1i'e11Gse montrer à. une commission dont lesmembres (3 ou 5) seraient des personnesconnues, d'une honorabilité parfaite, ni

/

jésuites, nt franc-maçons, qui lui ga:raient le secret, mais dont la parole fe;-foi?

af* 2

Au Voile d'1sis comme a l'1nttz'atfeles rédacteurs sont seuls responsablesH

leurs opinions, c'est pourquoi j'ai crpouvoirjeter sur le papier les notes qprécèdent. -

Lud Rnonovnoae»-_~__.

c__(

Quelques `hypoll;èses historiquesI

(Suite) ¿

L'0uvrage auquel nous aliens empru iter notre' étude est intitulé <g_H:1s'taireph.losop/tique du genre humain þÿ : : et il e

I

consacré à la démonstration et ala reche '

che des principes supérieurs qui dirigela marche des peuples et des nation 1dans le temps et dans l'Espace. - Ca 1

comme tout initié, Fabre ÿlivet cons'dere tout peuple comme un* etre collect

'

soumis aux même lois physiques et mor 5

les que i'etre,inaiviaue1. L'-(fu vl .le em "'=d'abord l'homrne dans si ¢-_»-ismugi _

psychologique puis part de là ;,;v;;- fai gnune étude toute spéciale dela mt-Ulilatic '-

depuis son origine (envh-in I:¿m.0 WaJ. C.)jusqu'a nos jours.

A ce propos il est utifl-'de tltire, dmaintenant; ã'íni`por%anr«;;, distiz: .tions

ll n'y a-pas þÿ l o n g t èû ï p a'nacre Un crm* ,

aller bien loin en wm"-'-'liçant l`hi=tffî 'Br ifla guerre de Troif- f L2î.);tv_ .l_ (_). þÿ m l v 1 : * ~ :_Les érudits þÿ s ' oû ' r a ; : « l . (xtlïxiie le luxe «lèq

chronologie sacrt-e ~j-~v l('llI!(`"ilå1lïreculer jusque vet. Îvütavzuif .l. Cconsidérait du rush: .-nome *<t~*mhé!-orques et fabnwzi-* = þÿ i « » « : ¿ce IÎsortait du cadre courtn mem ad que -

Abraham (1996 aveu J- C-l était z

près la limite extrêmf it ;:lqu ne un hitorien qui se respectait [WW .1 comme

m_ lÎ_~l

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DE FABRE IYQLIVET df.

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LE VÖILÉ u*ls1s _ L*

er l'histoire de la Race blanche car on

emontait rarement jusqu'à Sem-Cham

t Japhet. - , _

Il est vrai que les Chinois þÿ a fû r m a i e n t,i Fo-Hi avait constit1ié*l'Empirc VGPS

av J C De leur côte les Blahmanes

seignaient que vers cette époque (26 il

siecles av J C trois grands réforma

urs avaient déja paru dans l Inde Ram,rshou et Krishnen (Gopalla) c est a peu res la mème date qu attrlbuaient les

haldéensa leul 1' Zoroastre et les Phehi

ens a Sanchomaton Et nous ne parlons as des Egyptiens qui pouitant avaient

t*1bhlesG|and~< Mystères en 2600 avant

(` lors de l invasion des « Pasteurs þÿ : :

(A Suivre)

Lettre de Malaisie

(Suite)

þÿ C e r S* me þÿû i t e n ó o f e linstitutrice, si

ous ne co ptions que des élèves euio-

péennes l enseignement de ce christianis-þÿ : eeut été s résultat Notre Jéiôme le

ondateui it /ant des émissaires re-

ueillir pt 1 f` ine et leslles les enfantssf ll ii lneureuses délaya la mi

des vn. i cidentales trop mobiles,«mm ni mi decuple des es its

oriel taux lptts 1 «visu labstraction Ledésir des égal ir l ~» unes les autres,ammacesjeun suitui ices et le commerce

de leur ~, idees mn lles façonna un espritmoveut s þÿ c i ¼ b ile s intéresser à nos

leçons 1 n in i s qu elles vous'pa_ralssen' ll Il i, pt la pédagügie se

þÿ f m l dû lb* '11 Un t t me excellent amu-

sant l ile 1 Ten fl vos dlsclplines lan-nes Pax ' þÿ : i*mm ne, les déclinaisonsles r þÿ : n * xnsrns Ix syntaxe, papmijjerèglcs nuinciol *t rébarbatives" vos

pr0f6Ss (el) m daDe fo e Lus 5 13 le de pensums etïdé

bord l enfance

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retenues, vous obligez åretenir par þÿ c S u r

sans qu'on s'interesse, les avatars du

participe passé. Au contraire, nous com-

mençons par amuser l'elève. Nous lui

llsonsfhistoire. Nous disons' comment

se forme la pluie, l'orage, et pourquoil'encre tache ses doigts. ll aime tout de

suite les aventures de Romulus et celles

de Noé. Il appelle sa poupée Cléopatre,et son polichinelle César. Par Fhistoire,il apprend la géographie, qui n*est -plusune triste énumération de sous-préfectu-res, mais Yevocation des lieux où luttèrent

les hommes. Bien plus tard, nous adjoi-gnons aux certitudes historiques la classi-

tication des-dates, les thèses de l'écono-

gxjgwspcialei la présentation cles idées

þÿ p h ã l d s o p h l q t í a aþÿ d öû û l n s p i r è r e n tles gou-vernements et leurs adversaires, þÿ e nû n

Penseignement des langues que parlèrentles grands peuples. Mais tout cela s'enca-

dre dans des faits objectifs. Jamais nos

programmes ne comporteront de choses

analogues à vos themes et à vos discours

latins. La grammaire n'est apprise qu'àlaadolescent comme la mathématique, lors-

que l'esprit de l'eníant, éveillé par les

récits de l'histoire, recherche spontané-ment une mesure exacte de ses connais-sauces. Aussi les ahstractions philoso-phiques, mathématiques, grammaticalesn'eñ`arent point. Elles complètent des no-

tions antérieures. Elles viennent satisfaireune curiosité, une véritable convoitise,tandis que votre élève ahuri trop jeune,dégoute par les déclinaisons, les syntaxes,les exemples, ne retrouve au boiit de sescours, dans la philosophie et la science,qu'une somme de ses ennuis passés. Il

apprend mal, mécaniquement. Il se gavela mémoire en vue de l'examen ; il prend,pour jamais, la haine des sciences dontil ne veut plus rien connaître, passé le

collège. ll ne lihi plus que des romans

ou des journaux. Nos élèves gardent,pour la vie, l'avidité d'accrottre leur intel-

ligence. C'est un plaisir.(A Suivre) PAUL ADAM

LE VOILE D IH!!

MERVElLLEUX

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e.Colonel de Rochas et les apparitions de TillyEugène Cmxvoisizn; Reportages dans un fauteuilLa Dame blanche de Hohenzollern. le Spectre deWindsor, Histoire de revenants : George MALE:Les yeux des Visionnaires : MARQUIS nx L. LClassification des phénomènes dits spirites d'aprèsla Théosophie : Henry Fmcuzr ; Les Prophéties etLouis. XVII. - Le Masque de fer: Léo FmmcChez la Voyante : G. M. :Çá et là ; Chez le pèroJourdain: Gaston Msn!

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'È' -, *.

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SOMMAIRE DE UÉCHO DU . Drach. þÿ : +Lettre d'un rabbin convert' ~

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N" 2 Ch. de Cattan. '- Onomanie astronov1'

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À ÿá.

çà;inAbpé c°ns_ta'nt.' _ E' Lévy _ Bible Balsamo et le comte de St-Germain. jde la l1berté.(l:.d prmceps) 1841 broché Jfr.

Sädresser à M Sédir 4 ru de savoiåf Morin. - Revol du temps ; brochéParis

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L Gémnk CHAMUEL Èin-8° relié 6 fr. 6 ''

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1' Ê'Vient de paraître Ê' 'E _

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