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Aux antipodes, sous des cieux souvent cléments, il existe un bout de France qui renvoie des images de cartes postales : lagons transparents ourlés de sable blanc, cirques montagneux couverts jusqu’aux sommets des pitons d’une végétation luxuriante, villages blottis dans les échancrures des baies. C’est dans cet univers paradi- siaque que notre tour du monde fait escale, pour rendre une visite pleine de courtoisie à une population merveilleusement accueillante, attachée à préserver la qualité d’un monde qui ne se presse pas de changer. DES PAYSAGE MAIS AUSSI DE LHISTOIRE La beauté unique de ces terres lointaines fait trop souvent oublier que, derrière les visions paradisiaques, se cachent des popula- tions qui ont développé une histoire riche et passionnante. Les navigateurs maoris fondèrent leur première colonie aux Mar- quises il y a plus de deux mille ans. De cette base, ils rayon- nèrent ensuite vers les autres archipels polynésiens. Ces lieux ne furent abordés qu’assez tardivement par les Européens. Ce furent surtout les voyages de Louis-Antoine de Bougainville, en 1768, de James Cook l’année suivante et de Jean-François de La Pérouse en 1788 qui firent entrer Tahiti dans l’histoire mondiale. La déstabilisation de la société locale par l’arrivée des Euro- péens conduisit à des périodes de troubles et au renforcement du pouvoir de la dynastie des Pomaré sur l’île de Tahiti. Ce fut finalement en 1842 qu’à la demande de Pomaré IV, la France établit son protectorat sur les îles de la Société et les Marquises. La Polynésie française obtint le statut de Territoire d’outre-mer en 1946 et est dotée, depuis 1984, d’une assemblée territoriale. TAHITI, LÎLE PRINCIPALE DE LARCHIPEL POLYNÉSIEN Tahiti, avec ses 114 kilomètres de côtes, est la plus grande et la plus peuplée des 118 îles de l’archipel polynésien. Papeete est aussi la capitale économique de la Polynésie française et, à ce titre, fait quelques concessions bon enfant à la modernité. La ville possède des édifices religieux intéressants. Le temple protestant de Paofai atteste que le protestantisme est la première religion pratiquée. Ce temple a été érigé sur le site de la première petite chapelle en bambous et feuilles tressées construite par le fon- dateur de Papeete, le révérend Crook. Avec son joli clocher, il est émouvant de simplicité. Changement total d’atmosphère au temple chinois Kanti de Mamao. Il date de 1987, construit sur les cendres de l’ancien temple en bois, disparu dans un incendie. Il est entouré d’un jardin traditionnel chinois et renferme de très nombreux objets d’art anciens, estampes, vases, objets de culte. On y découvre une atmosphère apaisante, baignée des senteurs d’encens et des prières prononcées en Hakka, dialecte d’origine des Chinois de Tahiti. Le panorama ne serait pas complet si nous omettions la cathédrale catholique Notre-Dame. Datant du TAHITI De sable et d’azur Consultez le descriptif complet du programme, des prestations, des conditions, des hôtels choisis et XIX e siècle, elle déploie un style néo-gothique original, rehaussé par les couleurs tendres ou vives propres au goût des gens des îles. Après la visite de ces lieux de culte, il ne faut pas manquer de flâner sur le marché municipal. Les marchands de fruits et de légumes vous attendent devant leurs stands multicolores : uru, ignames, taro, patates douces côtoient goyaves, mangues ou pommes cannelle. Mais voilà que de nouvelles senteurs se profilent… Vous arrivez devant les étals des poissonniers, qui regorgent des richesses des fonds polynésiens : thons, bonites, mahi mahi, poissons perroquets, rougets… Impossible de tous les citer ! Passez ensuite dans la section réservée aux fleurs, et observez les mamas (“grands-mères”) fabriquer les couronnes et colliers à base de fleur de tiaré Tahiti, tipanier, pitate (jas- min local) ou encore taina. Résisterez-vous à l’envie d’acquérir les paréos et chemises à fleurs ou les tifaifais, ces étonnants patchworks qui ont inspiré les peintres Matisse et Gauguin ? MOOREA Si l’on veut vraiment approcher l’exotisme des îles dans toute sa splendeur, c’est à Moorea qu’il convient de se rendre. Un coup de catamaran nous y emmène dans un décor marin exception- nel. Les atolls sont recouverts d’une flore typique de la zone corallienne, comprenant une centaine d’espèces endémiques. L’île sœur de Tahiti permettait autrefois aux clans vaincus, lors des conflits de pouvoirs qui déchiraient l’île principale, de trouver un refuge. Et celui-ci valait la peine. Quand on monte jusqu’au Belvédère, le point de vue est exceptionnel. On peut admirer les plus fameux pics de Moorea. On compte ainsi alentour, du nord au sud, près d’une dizaine de monts offrant une vue à couper le souffle. Le panorama le plus exceptionnel est celui donnant sur le mont Rotui avec, à sa gauche, la baie d’Opunohu et, à sa droite, la fameuse baie de Cook. Il faut aussi prendre le temps de découvrir les superbes plages de sable blanc tout autour de l’île, avec leurs cocotiers inclinés, avant de goûter à la saveur inimitable des ananas, stars gastronomiques de Moorea. La Polynésie ressemble quelque peu à un paradis préservé : des îles luxuriantes au cœur du Pacifique, avec du soleil, des coraux et des eaux turquoise… La culture polynésienne, à l’autre bout du monde par rapport à l’Occident, est fascinante et peut certainement, mieux que n’importe quelle autre, incarner l’exo- tisme. L’accueil des habitants y est doux, comme les fruits frais, juteux et sucrés… ananas, cocos, bananes, pastèques. On y fait l’expérience d’un monde marin où la terre est une exception et où, pourtant, l’homme a inventé une façon de vivre originale : sans doute la vraie découverte que permet un voyage à Tahiti. TOUR DU MONDE Le Tour du Monde de Clio Kyoto, Angkor, Borobudur, Sydney, Ayers Rock, Auckland, Tahiti, Moorea, Île de Pâques, Santiago, Rio de Janeiro TDM 90 - 28 jours • à partir de 14 815 € Du 4 novembre au 1 er décembre, avec Alexis Seydoux LES POINTS FORTS Les temples de Kyoto au Japon Angkor au Cambodge Les temples de Borobudur et Prambanan en Indonésie Le site d’Uluru et l’opéra de Sydney en Australie Tahiti et l’île idyllique de Moorea Les moais de l’île de Pâques Santiago du Chili et Valparaiso La baie de Rio de Janeiro Le Chronoguide Tour du monde L i m i t é à v o y a g e u r s 15 2 © Miguel Michan © Rawpixel Ltd/iStock/Thinkstock © gnomeandi/iStock/Thinkstock © Office du tourisme Australie © Philippe Le Nédic © evenfh/iStock/Thinkstock © AchimHB/iStock/Thinkstock

De sable et d’azur - Clio

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Page 1: De sable et d’azur - Clio

Aux antipodes, sous des cieux souvent cléments, il existe un bout de France qui renvoie des images de cartes postales : lagons transparents ourlés de sable blanc, cirques montagneux couverts jusqu’aux sommets des pitons d’une végétation luxuriante, villages blottis dans les échancrures des baies. C’est dans cet univers paradi-siaque que notre tour du monde fait escale, pour rendre une visite pleine de courtoisie à une population merveilleusement accueillante, attachée à préserver la qualité d’un monde qui ne se presse pas de changer.

DES PAYSAGE MAIS AUSSI DE L’HISTOIRELa beauté unique de ces terres lointaines fait trop souvent oublier que, derrière les visions paradisiaques, se cachent des popula-tions qui ont développé une histoire riche et passionnante. Les navigateurs maoris fondèrent leur première colonie aux Mar-quises il y a plus de deux mille ans. De cette base, ils rayon-nèrent ensuite vers les autres archipels polynésiens. Ces lieux ne furent abordés qu’assez tardivement par les Européens. Ce furent surtout les voyages de Louis-Antoine de Bougainville, en 1768, de James Cook l’année suivante et de Jean-François de La Pérouse en 1788 qui fi rent entrer Tahiti dans l’histoire mondiale. La déstabilisation de la société locale par l’arrivée des Euro-péens conduisit à des périodes de troubles et au renforcement du pouvoir de la dynastie des Pomaré sur l’île de Tahiti. Ce fut fi nalement en 1842 qu’à la demande de Pomaré IV, la France établit son protectorat sur les îles de la Société et les Marquises. La Polynésie française obtint le statut de Territoire d’outre-mer en 1946 et est dotée, depuis 1984, d’une assemblée territoriale.

TAHITI, L’ÎLE PRINCIPALE DE L’ARCHIPEL POLYNÉSIEN Tahiti, avec ses 114 kilomètres de côtes, est la plus grande et la plus peuplée des 118 îles de l’archipel polynésien. Papeete est aussi la capitale économique de la Polynésie française et, à ce titre, fait quelques concessions bon enfant à la modernité. La ville possède des édifi ces religieux intéressants. Le temple protestant de Paofai atteste que le protestantisme est la première religion pratiquée. Ce temple a été érigé sur le site de la première petite chapelle en bambous et feuilles tressées construite par le fon-dateur de Papeete, le révérend Crook. Avec son joli clocher, il est émouvant de simplicité. Changement total d’atmosphère au temple chinois Kanti de Mamao. Il date de 1987, construit sur les cendres de l’ancien temple en bois, disparu dans un incendie. Il est entouré d’un jardin traditionnel chinois et renferme de très nombreux objets d’art anciens, estampes, vases, objets de culte. On y découvre une atmosphère apaisante, baignée des senteurs d’encens et des prières prononcées en Hakka, dialecte d’origine des Chinois de Tahiti. Le panorama ne serait pas complet si nous omettions la cathédrale catholique Notre-Dame. Datant du

tahitiDe sable et d’azur

Consultez le descriptif complet du programme, des prestations, des conditions, des hôtels choisis et des formalités de ces voyages sur www.clio.fr ou demandez une fi che détaillée au 01 53 68 82 82

XIXe siècle, elle déploie un style néo-gothique original, rehaussé par les couleurs tendres ou vives propres au goût des gens des îles. Après la visite de ces lieux de culte, il ne faut pas manquer de fl âner sur le marché municipal. Les marchands de fruits et de légumes vous attendent devant leurs stands multicolores : uru, ignames, taro, patates douces côtoient goyaves, mangues ou pommes cannelle. Mais voilà que de nouvelles senteurs se profi lent… Vous arrivez devant les étals des poissonniers, qui regorgent des richesses des fonds polynésiens : thons, bonites, mahi mahi, poissons perroquets, rougets… Impossible de tous les citer ! Passez ensuite dans la section réservée aux fl eurs, et observez les mamas (“grands-mères”) fabriquer les couronnes et colliers à base de fl eur de tiaré Tahiti, tipanier, pitate (jas-min local) ou encore taina. Résisterez-vous à l’envie d’acquérir les paréos et chemises à fl eurs ou les tifaifais, ces étonnants patchworks qui ont inspiré les peintres Matisse et Gauguin ?

MOOREASi l’on veut vraiment approcher l’exotisme des îles dans toute sa splendeur, c’est à Moorea qu’il convient de se rendre. Un coup de catamaran nous y emmène dans un décor marin exception-nel. Les atolls sont recouverts d’une fl ore typique de la zone corallienne, comprenant une centaine d’espèces endémiques. L’île sœur de Tahiti permettait autrefois aux clans vaincus, lors des confl its de pouvoirs qui déchiraient l’île principale, de trouver un refuge. Et celui-ci valait la peine. Quand on monte jusqu’au Belvédère, le point de vue est exceptionnel. On peut admirer les plus fameux pics de Moorea. On compte ainsi alentour, du nord au sud, près d’une dizaine de monts offrant une vue à couper le souffl e. Le panorama le plus exceptionnel est celui donnant sur le mont Rotui avec, à sa gauche, la baie d’Opunohu et, à sa droite, la fameuse baie de Cook. Il faut aussi prendre le temps de découvrir les superbes plages de sable blanc tout autour de l’île, avec leurs cocotiers inclinés, avant de goûter à la saveur inimitable des ananas, stars gastronomiques de Moorea. La Polynésie ressemble quelque peu à un paradis préservé : des îles luxuriantes au cœur du Pacifi que, avec du soleil, des coraux et des eaux turquoise… La culture polynésienne, à l’autre bout du monde par rapport à l’Occident, est fascinante et peut certainement, mieux que n’importe quelle autre, incarner l’exo-tisme. L’accueil des habitants y est doux, comme les fruits frais, juteux et sucrés… ananas, cocos, bananes, pastèques. On y fait l’expérience d’un monde marin où la terre est une exception et où, pourtant, l’homme a inventé une façon de vivre originale : sans doute la vraie découverte que permet un voyage à Tahiti.

TOUR DU MONDE

Le Tour du Monde de ClioKyoto, Angkor, Borobudur, Sydney, Ayers Rock, Auckland, Tahiti, Moorea, Île de Pâques, Santiago, Rio de JaneiroTDM 90 - 28 jours • à partir de 14 815 € Du 4 novembre au 1er décembre, avec Alexis Seydoux

LES POINTS FORTS

Les temples de Kyoto au Japon Angkor au Cambodge Les temples de Borobudur et Prambanan en Indonésie Le site d’Uluru et l’opéra de Sydney en Australie Tahiti et l’île idyllique de Moorea Les moais de l’île de Pâques Santiago du Chili et Valparaiso La baie de Rio de Janeiro Le Chronoguide Tour du monde

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Situé au cœur de l’Upper East Side, sur la 5e avenue de New York, le Metropolitan Museum – appelé aussi le “Met” – est l’un des plus grands musées au monde. Né en 1870, à l’initiative d’investisseurs privés, il n’a cessé jusqu’à nos jours d’enrichir ses collections, à la faveur de multiples legs et donations. Derrière sa monumentale façade de style Beaux-Arts, en calcaire gris de l’Indiana, il abrite ainsi trois millions d’œuvres d’art de tous les temps et de tous les continents. Réparties sur 18 hectares, ses prestigieuses collections s’offrent au regard sous le signe du grandiose et du spectaculaire, à l’image du Nouveau Monde qui les a accueillies.

UN RÊVE DEVENU RÉALITÉL’idée du Metropolitan Museum naît à Paris, un jour de fête nationale américaine, le 4 juillet 1866. Réunis pour l’occasion, au Pré Catelan, dans le bois de Boulogne, l’avocat John Jay et ses amis de l’Union League Club de New York décident d’offrir à leur ville un musée “moral, beau et didactique”, “où l’on pourra venir en famille”. A peine rentrés au pays, ils rallient à leur cause les instances municipales, mais aussi des hommes d’affaires, des mécènes et des collectionneurs. L’aventure du Met vient de commencer. Le musée est fondé le 13 avril 1870 et ouvre offi ciellement ses portes deux ans plus tard, pour montrer au public ses premières acquisitions : un sarcophage de marbre romain de la période des Sévères et 174 peintures européennes, parmi lesquelles des œuvres de Van Dyck, Poussin et Tiepolo. D’abord installée à l’académie de danse de Dodsworth, la nouvelle institution déménage en 1880 à son emplacement actuel, au cœur de Central Park. Le premier édifi ce de brique rouge est dessiné par Jacob Wrey Mould et Calvert Vaux dans le style néogothique, mais, sans être détruit, il est bientôt englobé dans un plus vaste ensemble com-prenant l’élégante façade principale et l’aile orientale, œuvres de Richard Morris Hunt. Alliant la majesté à la délicatesse, elles suscitent l’admiration des habitants. Pour l’Evening Post, New York a enfi n son “palais néoclassique de l’art”, “l’un des plus beaux au monde”.

DE PRESTIGIEUX MÉCÈNESSoucieux du bien commun, ou simplement désireux d’entrer dans la légende, de nombreux milliardaires américains vont alors rivaliser de générosité à l’égard du musée new-yorkais. En 1901, Jacob Rogers, un magnat de l’acier, déshérite son neveu au profi t du Metropolitan, qui reçoit à cette occasion le legs le plus important de son histoire. Neuf ans plus tard, John Pierpont

Le metroPoLitan museumTemple de l’art du monde entier

Morgan offre, de son vivant, sa prestigieuse collection, comptant entre autres la Madone entourée de saints de Raphaël ou encore l’Adoration des bergers de Mantegna. Bientôt, c’est au tour de Benjamin Altman de céder, avec d’autres chefs-d’œuvre, un Auto-portrait de Rembrandt âgé, et la Jeune Fille endormie de Ver-meer. En 1929, de nombreuses toiles impressionnistes prennent place sur les cimaises grâce à Louisine Havemeyer. Cette femme d’un riche industriel du sucre était aussi l’amie d’enfance de Mary Cassatt. Lors de ses pérégrinations en France, elle avait découvert en sa compagnie Manet, Degas ou encore Monet. Mais pour celui qui arpente, émerveillé, les salles du Métropoli-tan, c’est sans doute le legs fait par le banquier Robert Lehmann qui paraît le plus extraordinaire. Il est comme un musée dans le musée, ouvert sur Central Park, laissant pénétrer la lumière du ciel. Au cœur d’une reconstitution de son appartement, les pièces de sa collection – meubles, tableaux, ou objets d’art – ont retrouvé leur place originelle. De Bellini à Botticelli, Memling, Cranach, Goya, Velázquez, ou de Renoir à Van Gogh, Degas, Matisse, ce n’est qu’une éblouissante suite de chefs-d’œuvre.

REDONNER VIE AU PASSÉ Le parcours muséographique du Met est d’ailleurs jalonné à de multiples reprises de telles reconstitutions ou mises en situation. Jeune nation, bâtie sur la conquête d’immenses étendues natu-relles, l’Amérique ne compte pas d’anciens vestiges à exhumer. La redécouverte du plus lointain passé ne saurait prendre forme au détour de ses routes ou de ses chemins, mais n’est rendue fi na-lement possible que dans l’enceinte même des musées, conçus comme des réservoirs à la fois sacrés et ludiques de la mémoire. D’une salle à l’autre, c’est toujours un véritable voyage dans le temps qui est proposé au visiteur. La galerie des sculptures médiévales, avec ses colonnes massives et sa grille en fer forgé provenant de la cathédrale de Valladolid, nous plonge ainsi au cœur du Moyen Age. Dans l’aile Sackler, le temple égyptien de Dendur reconstitué avec un lac au premier plan, semble s’élever comme autrefois au bord du Nil. Au Met, la transmission du sa-voir s’opère bien par le truchement du rêve et de l’enchantement.

Temple de l’art du monde entier

NEW YORK

LES POINTS FORTS

La National Gallery de Washington

Independance Hall et la Fondation Barnes à Philadelphie

Le Museum of Arts de Baltimore

Deux jours pour visiter New York

Le Novotel Time Square 4* au cœur de Manhattan

Le Chronoguide Etats-Unis

L im i t é à

voya ge u r s

18LES POINTS FORTS

L’esprit de New York La Frick collection Les collections du MoMa et du Metropolitan Museum Un spectacle au Metropolitan Opera

Une soirée jazz au Birdland Le Chronoguide Etats-Unis

L im i t é à

voya ge u r s

18

Washington, Baltimore, Philadelphie, New YorkUS 34 - 9 jours • à partir de 4 570 €Du 10 au 18 septembre, avec Violaine Joessel

New YorkAvec L’Italienne à Alger de Rossini au Metropolitan OperaUS 100 - 6 jours • à partir de 2 975 €Du 5 au 10 octobreavec Frédérique Barbier