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#«• Année. - H* 41 LR NUMÉRO QUlNZR CENTIMES Oimnneàe Ë7 Septembre I S»*B JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS Paraissant le Dimanche Dn a n .... Six moi#. -J3 O 3ST 3ST :E3 3VE E 3STTS Oise et limitr. Antres dép. 8 fr. 10 rr. 5 fr. 6 fr. On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux do poste. — L’abonnement est payable d’avance et continue de plein droit jusqu'à réception d’avis contraire. Les Abonnements partent du de chaque mois bureaux , rédaction &/ administration SENLIS — 11 , Place He»ri-IV, 11 --- S E N L IS TÉLÉPHONE 4 Directeur Commercial i E. VIGNON 1==» 1=4 t: 3C. Annonces légation— .. Annonces volontaires. ....... 1 fr. la ligna. j RÉCLAMES r ....... ? fr: la ligne. | £ ou 3* page... ...... Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus 1 fr. Si U ligna. Question sociale Question morale Le problème à résoudre est bien celui-ci : Faire dispa raître le péril social. Mais, pour y parvenir, par où commencer ? Dédaigneux du long chemin des réformes le Méphitophélès socialiste s’écrie : « Commencez par exproprier Créez un monde nou veau et une humanité nouvelle naî trai » Sans doute, le grand problème ne sera résolu que le jour où l’esprit social, qui n’est pas allumeur de torches incendiaires, mais dont le but est de venir en aide aux individus pour les amener à s’aider eux-mêmes en travaillant au bien de tous, aura pénétré l’humanité tout entière. Mais, prétendre changer les hommes en changeant le monde, c’est prendre le contrepied de la réalité et de la vie. L’esprit social suppose une trans formation des%sentiments et des cœurs, un renversement des mobiles de l’activité humaine. Alors, ne laissons pas le peuple se bercer d’illu sions et croire qu’il en verra l’épa nouissement quand notre société individualiste aura changé seulement son organisation et sa forme exté rieure. Le mal a des racines plus profondes... On peut créer de toutes pièces des lois; on peut changer les formes sociales extérieures; les hommes n’en restent pas moins les hommes. Les idées et les mœurs échappent à ces métamorphoses soudaines. Le passé subsiste quand nous croyons avoir rompu avec lui; il continue d’agir sur le présent; et, quand nous croyons nous être soustraits à sa domination, c’est encore lui qui nous mène. capable de remédier au mal dont nous souffrons, ne naît pas des brusques révolutions. Il est l’œuvre d ’u n travail opiniâtre et profond d’éducation morille. Il suppose chez tous, grands et petits, riches et pauvres, le respect des parents et des maîtres, le culte des lois et de la morale, le sentiment de l’honneur et du devoir. Ce qu’il veut, c’est trans former non seulement les patrons, mais aussi les ouvriers, en combat tant chez les premiers l’égoïsme et l’esprit de domination, chez les seconds la méfiance, l’envie, la cupi dité, la convoitise. . C’est donc une transformation dans le fond et dans l’esprit de la société qu’il faut opérer. La réforme sociale doit être d’abord et surtout une réforme morale. Si nous suivons la marche inverse, il est à craindre que le problème social demeure jamais sans solution, et que le monde reste éternellement le même. Or le monde doit se transformer. L’esprit social-démocratique a pour lui l’avenir et le droit. Disons donc aux classes popu laires : revenez aux idées qu’on vous dit vieillies de travail et de disci pline, n’étouffez plus dans vos cœurs le sentiment du respect à l’égard de la loi, de la déférence à l’égard des honnêtes gens Disons aux classes bourgeoises : ayez et développez chez les vôtres le respect du travail et des travailleurs. Disons aux deux par ties : ayez un idéal. La tâche n’est peut être pas aussi séduisante que les rêves dorés dont se peuple l’utopie socialiste. Elle est plus pratique qu’un rêve. Echos et Nouvelles QUESTION DE TITRE Ce brave hôtelier savoyard, qui venait de | s’installer dans un palace en miniature ré- j cemment ouvert par lui en pleine montagne, I se trouva bigrement embarrassé quand il s’agit de donner un nom à son établissement. Il songea avant tout à flatter sa clientèle et songea à intituler sa maison : « Hôtel des Anglais, Hôtel Franco-Italien », mais tout cela semblait exolure certains étrangers, au profit de certains autres. Il pensa alors à appeler son établissement : « Hôtel du Nord », mais alors 1}ue dirait le Midi. Et il finit par s’arrêter au titre conci liateur d’ « Hôtel du Nord et du Midi ». Notre homme, hélas ! n’en avait pas fini avec les difficultés. Les clients du Midi ré clamèrent parce qu’on donnait la préséance à ceux du Nord. _ L’hôtelier alors fit peindre ces mots : « Hôtel du Midi et du Nord » sur un second panneau qu’il Ht clouer au-dessous de l’autre. Et tout le monde fut enfin satisfait. « Les Alpes Françaises et la Cote d’Azur ». ' ■ ■*** ; . DEPARTEMENT Conseil généra! de l’O'se C’est demain que s’ouvrira à Beauvais, la séance du Conseil générai de l’Oise. Nous en donnerons le compte rendu dans nos prochains numéros. Au point de vue professionnel, le Con seil général de l’Oise comprend : Médecins, 6 ; industriels, 3; agricul teurs, 3; notaires, 2; journalistes, 2; an ciens officiers, 2 ; avocats, 2 ; instituteurs, 2 ; magistrats, 2 ; négociants, 2 ; ingé nieurs, 2 ; professeur, 1 ;.huissier, 1 ; p r o priétaires, 5. PRESOMPTION Un directeur de Berlin, reçut l’autre jour le manuscrit d’un drame qu’il se mit à lire consciencieusement. Les premières lignes évoquèrent des souvenirs imprécis, qui ne tardèrent pas à se préciser : c’était l’exacte oopie d’un drame de Schiller I Désireux de confondre le plagiaire — ou fumiste, la chose était possible, — le directeur le lit venir à son bureau. A l'heure dite, arriva un jeune homme bla fard accompagné d’un père imposant et très décoré. — Votre pièce est fort belle, monsieur, fort belle. Le père, tremblant de joie, s’avançait la main tendue. — Attendez une seoonde. Il est seulement regrettable que oette œuvre soit de Schiller et non de vous I Pourquoi avez-vous cherché à me tromper ? Tandis que la figure du vieillard revêtait successivement, les expressions classique ment attribuées à la stupeur, à la'honte, à la colère, oelle du fils, devenue très rouge, ne révélait qu’un peu de gêne. , Voilà. J’ai une jolie écriture, et comm exercice de calligraphie, je me suis mis à oo-pier cette pièce. Et, parce qu’elle me plai sait beaucoup, voue l’ai apportée, Je ton- «M* qu* psn‘-«tp? a» e* au **** * * #**&!»* M üM lty » Société des Courses de Compiègne Nous arrivons' à la fin de la saison. Compiègne va fermer, dans quelques jours, après une série des plus brillantes et les plus beaux succès, son hippodro me, si fréquenté, du Putois. iC’est le jeudi 8 octobre qu’aura lieu la dernière réunion compiégnoise ; elle sera consacrée, uniquement, aux épreuves de plat. Le total des allocations prévues pour ^ “ l ! 6 s 5 g à ,tiélkg 'T e l d u P - l M * iL-av S ep tembre. ---------- Les Tournois de Tennis de « l’Echo de Paris » Résultats de Province. Compiègne Dames plus de 18 ans : Mlle 0. Cout- tolenc b. Mlle M. Demasures, 9-3; Mlle Bouy b. Mlle Nortlhenn, 9-3; Mlle Mauduît h. Mlle T. Couttolenc, 9-4; Mlle Lambin ib. Mlle Poutrel, 9-0. Demi-finales : Mlle Bouy b. Mlle Cout tolenc, 6-2, 6-3 ; /Mlle Lambin b. Mlle Mau duit, 6-3, 10-8. Finale : Mlle Bouy b. Mlle Lambin, 6-4, 6-3. Messieurs 18 ans : Troncin b. Carel, 9-1 ; Turneyssen b. Devaux, 9-6; Poullain b. Deguingue, 9-2; Duibois b. Godet, 9-6. Demi-finales : Troncin bat Turneyssen, 6-0, 6-2; Poullain b. Dubois, 6-1, 6-4. Finale : Troncin b. Poullain, w.-o. Messieurs de plus de 18 ans : Troncin b. Commien, 9-6; Bouy b. de Branges, 9-7 ; Poullain b. Lerouge, 9-7; P. Boucher h. Coutte, 9-5. Demi-finales : Troncin b. Bouy, 4-6, 6-2, 6-1 ; Pierre Bouciher b. Poullain, w.-o. Finale : Troncin b. P. Boucher, 6-2, 6 - 8 , 7-5, 6-2. v- : +. ---------------------------- L’EMPRUNT 4 °/o Des objections ont été faites en ce qui concerne le taux de l’intérêt de l’emprunt 4 0/0. Il est, paraît-il, des porteurs de bons de la Défense à un an ou de bons du Trésor 1922 et 1923 qui hésitent à admet tre que le revenu que leur assurent ces valeurs soit ramené de 5 0/0 ou de 6 0/0 à 4 0/0; il leur répugnerait d’accepter cette perte d’intérêts. Cette objection n’est pas fondée. Sans même qu’il soit besoin de tenir compte de la prime de 0,35 0/0 qu’im|plique, aux taux actuels des devises, le fait que la garantie de change est accordée sur la base du cours de 95 francs pour une livre sterling, il est évident, pour quiconque réfléchit tant soit peu, que cette garantie si précieuse vaut bien le sacrifice d’un ou de deux pour cent d’intérêts. Comme nous l’avons déjà fait remarquer précédem ment, ce sacrifice constitue une prime d’assurance très modique contre le dan ger d’un avilissement éventuel du franc; pour s’en rendre compte, il suffit de le comparer à la dépréciation des rentes anciennes, priime d’assurance d’un autre genre, infiniment plus onéreuse, bien que donnant une garantie moins efficace. A cela, plusieurs répondent qu’ils se refusent à envisager une baisse du franc telle que la perte d’intérêts que leur im pose la consolidation pourrait se trouver compensée; se baser sur l’éventualité d’un véritable désastre monétaire, ajoutent-ils, c’est invoquer un argument de panique. Mais en réalité celui qui souscrit au nou vel emprunt ne prévoit pas plus cette éventualité que celui dui contracte une assurance contre l’incendie ou sur la vie ne prévoit la destruction prochaine de sa maison par le feu ou son décès im minent; il se met simplement à l'albri d’un risque dont l’expérience lui a montré que la réalisation était dans le domaine des possibilités et ce faisant il agit sagement Les capitalistes qui achètent à des prix exorbitants des valeurs internationales, et qui, garantissant ainsi leur capital con tre le danger d’un fléchissement de notre change, acceptent en revanche le risque des pertes considérables qu’ils subiraient dans l’hypothèse contraire d’une amélio ration du franc, pertes auxquelles l’em prunt en cours d émission ne les exposa ûfdati de flWlWtHl», pç*. pmi/ Uiu ftssd* «aaeii d* w s w «raîwàra, ton# «tu laÿts .1 GflU SERIE POLITIQUE En l’absence des Chambres, le Gouverne ment s’occupe activement, tant à Genève qu’au Maroc, en Syrie, etc., de régler de nombreux problèmes et difficultés. Il s’ef force également de développer le succès de Temprunt en cours. Il faut avouer que de tous ces côtés le travail ne lui manque pas. Aussi est-il bien difficile de se faire une idée des directives politiques qu’il entendra suivre à l'intérieur lorsque le Parlement sera de nouveau réuni. Toutefois, le discours que M. Arîtériou, ministre des Pensions, a récemment pro noncé à Thueyts, dans l’Ardèche, mérite de retenir l’attention. Nous y relevons ce pas sage qui a trait au Cartel : « On nnrl a dp séo,anation. On narle même de divorce, mais aveugles sont ceux qui nfi voient qu’Herriot c’est Painlevé, et que Pain- levé c’est Herriot. Non, le Cartel vit, il vi vra, il vaincra ses adversaires, il réalisera son programme. Pour cela, que faut-il ? Attendre la clôture de l’emprunt-or, quel ques semaines à peine... » Et voici le commentaire qu’en a donné le journal Le Temps : Demander au pays, à celui qui produit, qui épargne, qui possède, celui qui prête à l’Etat, lui demander de couvrir remprunt er et lui promettre, comme récompense, qu’aux lendemains « de la clôture de l’em- prunt-or » on reprendra à fond la politique du Cartel, tracassière, inquisitoriale, con tre tout ce qui produit, épargne et possède, c’est d’abord un étrange moyen de favoriser l'emprunt, c’est aussi une figure singulière qu’on donne au Cartel. Sans doute, qui dit Cartel des gauches dit union avec les socia listes et qui /dit socialisme dit guerre au capital. Mais est-ce bien à un membre du gouvernement à déclarer, dans les circons tances présentes, que la politique du Cartel, condamnée le 12 juillet avec racquiescement du gouvernement, reprendra bientôt dans I fnîc nADÎ vo économique. M. Loucheur s’est fait le pro moteur de celle-ci, qui s’annonce comme devant être très importante. L’idée, fort juste, part de cette constatation que puisque bien des guerres ont pour origine un conflit économique, il est naturel qu’une assemblée chargée de créer la piaix, étudie de près une questions les plus propres à la troubler, nfin, vers lin octobre, se tiendrait à Genève, un congrès des représentants des minorités nationales. * Bien des discours ont été prononcés à Genève et la place nous manque pour les résumer, même brièvement. Les délègues des gouvernements représentés, entre autres MM. Chamberlain, Paul Boncour, Apponye, Motta, Ishii, etc., etc..., ont parlé du proto cole, du désarmement, de la sécurité, été... Les Commissions travaillent toujours et les problèmes : Mossoul, protection des mino- a -, va»,., ne paraissent pus ueiimtivcuieui réjlés. flOUÏEIiliES DE LR S E P IR E M. Henriet, député communiste de la Seine, a été arrêté à Alger. Il est Inculpé de complot contre la sûreté de l’Etat. -— Un auto-car de tourisme est tombé dans un ravin aux environs de Londres; sur les 13 personnes qui se trouvaient dans la voiture, quatre ont été tuées et quatre sérieusement blessées. -— Un incendie s’est déclaré aux usines André Citroën, quai de Javel, à Paris. Les ateliers de vernissage ont été complètement détruits avec l’outillage qu’ils contenaient. •— Le maréchal Foch a présidé la réunion île l’Union nationale des officiers de réserve de Morlaix. Cependant, M. Painlevé, en revenant de Genève, s’est arrêté à Mulhouse, Strasbourg et à Metz, où il a prêché l’union sacrée et recommandé de souscrire à l’emprunt. Il y a affirmé également que tous les pro blèmes intérieurs, si graves qu’ils soient en eux-mêmes, s’effaçaient devant les problè mes extérieurs, la sécurité et la paix : : Si nous poursuivons une œuvre de paix, il y a aussi une œuvre de guerre à accom plir; le gouvernement a le devoir de faire l’effort nécessaire; vous pouvez compter sur lui pour que tant qu’il le faudra, cet effort se poursuive, pour que cet effort qui a été rendu indispensable malgré notre volonté de paix poussée à l’extrême limite de lon ganimité, soit le moins coûteux, pour que tout ce qui est nécessaire soit à pied d’œuvre. » Ces paroles ont recueilli l’approbation de tous et M. Painlevé s’est déclaré, à son re tour à Paris, très satisfait de son voyage eu Alsace et en Lorraine. « Le Gouvernement entend, a-t-il dit aux journalistes qui l’inter- wievaient, faire aboutir dans un délai extrê mement bref les questions économiques et financières depuis trop longtemps en sus pens et dont la solution est indispensable pour donner son plein essor à la prospérité de nos trois départements libérés. » De son côté, M. Caillaux et les services du ministère ,des Finances ont travaillé avec rapidité. Lè projet de budget de 1926 a été distribué aux membres de la Commission des Finances de la Chambre, après avoir été établi en moins de deux mois. Les dépensas s’élèvent à 36 milliards 39 millions. L’équilibre a été obtenu au moyen d’une aggravation des impôts. Sont prévus un relèvement du taux des impôts cédulai- res sur le revenu, des capitaux mobiliers et immobiliers, sur les bénéfices industriels et commerciaux, sur les traitements et salaires et deux taxes nouvelles sur la richesse ac quise. La première est unie taxe complémen taire sur les revenus des capitaux entrant dans la composition du revenu global; la seconde est une taxe annuelle sur les capi taux mobiliers improductifs, sur les « capi taux oisifs » : collections, bijoux, etc... Il est à prévoir que ces mesures, qui risquent d’avoir de graves conséquences, feront l’ob jet de discussions passionnées. Notons la nomination de M. Malvy à la Présidence de la Commission des Finances de la Chambre des députés, en remplace ment de M. Vincent Auriol, démissionnaire. En marge de la Société des Nations, le pacte de sécurité a réalisé un petit progrès: M. Brianid, au nom de ses collègues alliés a signé et adressé à M. Streesemann la lettre par laquelle il l’invite à assister à une con férence sur le pacte qui aurait lieu au début d’octobre. Ce n’est d'ailleurs pas la seule conférence Bfi *Uàt On part# d’ytijj prochain « confie A travers Sentis Pharmacie ouverte : Dimanche 27 Septembre: M. Morcrette, place de la Halle. S. V. S. Réunion meusuelle Samedi 26 à 21 heures, Café du Commerce. Société de Secours Mutuels de Saint- François-Xavier. — Dimanche 27 , réu nion mensuelle, à 20 h., salle Jeanne-d’Arc. Syndicat d’initiative, 1 , avenue du Maré- chal-Foch. — Tous renseignements pour le tourisme. — M. Poincaré a inauguré le monument aux morts do Beaulieu-en-Argonne. — M. Maginot, ancien ministre de la Guerre, s'est élevé, à Saint-Mihial, 'contre la révision des pensions. -— Trois personnes ont été brûlées vives et trois autres grièvement blessées dans un acci dent d’auto à Namur. logne-sur-Mer; dégâts matériels très impor tants, mais aucun voyageur blessé. — On a annoncé que la rentrée des Chambres aurait lieu vers fin octobre. — Le ministre des Finances, accompagné de la mission financière, s’est embarqué au Havre pour l’Amérique sur le paquebot <> Paris ». — M. Boujou, préfet de la Seine-Inférieure, a remplacé M. Naudin, à la Préfecture de la Seine. — M. Malvy a été élu président de la Com mission dos Finances de la Chanjbre en. rempla cement de M. Vincent Auriol, démissionnaire. — Un incendie à détruit, à Saint-Denis, de 3 baraquements de la Compagnie du Nord. Un pharmacien- de Tournay (Haute-Pyré- nées), M. Cieutat, a été arrêté pour trafic de certificats de nationalité et de réforme. Aû cours d’une séance du Conseil général de la Gironde, M. Bouderie, ancien député, qui venait de prendre la parole, s’affaissa frappé d’une attaque. Il a été transporté dans une cli nique de Bordeaux où il a succombé. - Le général Durand (Léon), ancien mem bre du Conseil supérieur de la Guerre, ancien commandant du 6 Corps d’armée, président fondateur de l’Union Nationale des Combattants, grand officier de la Légion d’honneur, vient de mourir à Corb-eiil. — Au Maroc : continuant leurs importantes opérations, nos troupes ont repris à l’ennemi le massif du Bibane. — L’inauguration d’une plaque commémora tive sur la maison d’Emile Zola, à M-édan, aura lieu le 4 octobre et sera présidée par M. Pain levé. — Les obsèques du coureur automobiliste Henri Mattys, décédé des suites des graves bles sures reçues lors du dernier metting automo bile, ont eu lieu à Boulogne-sur-Mer, au milieu d'une grande affluence. —- On a découvert une affaire importante de fabrication de faux passeports et de certificats frauduleux de nationalité destinés à des Espa gnols. La gendarmerie a mis en état d’arresta tion un espagnol naturalisé français, soldat mé téorologiste, Ramon de Alderete, au fort du Bois d’A-rcy, près de Saint-Gyr où il .était en garni son. — Le Consul de France à Dantzig a été tué aecidentellemeift, dans un port polonais, par une benne de -charbon qui l’a heurté violem ment. — Le premier concours de candidats manda taires aux Halles centrales de Paris est fixé au 1er octobre. On compte, jusqu’à présent, l’ins cription d’une trentaine de candidats. — On a arrêté à Paris, un roumain Samuel Foesanéanu, voleur international, auteur d nombreux méfaits. — Les journaux ont publié une dépêche de Valladolid (Espagne) relatant un cas extraor dinaire de fécondité. Mme Camille Lorenzo, âgée de 68 ans, vient de mettre au monde un ro buste garçon, son vingt-neuvième enfant. La plupart de ses autres enfants sont encore vi vants. * -— Une dépêche de Florence annonce que parmi des communistes arrêtés récemment dans cette ville, se trouve une couturière de dix-huit ans qui serait parmi îles chefs du mouvement. — Le « Journal Officiel » a publié un décret établissant la prépondérance du ministère des finances en ce qui concerne le régime des pres tations en nature à fournir par l’Allemagne et fixant l’organisation pour en développer l’usage sans nuire à l’intérêt national. — En Chine, le fleuve Jaune, brisant ses di gues, a débordé, détruisant 1.000 villages et causé la mort de 3.000 personnes. — En exécution de récentes décisions minis térielles, les voyageurs français ou étrangers se rendant au Maroc, devront être munis de leur passeport national, régulièrement visés pour chaque voyage par les soins de la Préfecture. —* L’aasSimbW# générale aanuehç d«# chomL Slofih qui ua.rhpt!etj'i*piu» ds ÔiOdO ' Chaâlis - Ermenonville, - Excursion Jeu dis, dimanches et jours dï fête. Départ de la gare, 14 heures. Reteni r ses places. conseil municipal Le Conseil municipal s’est réuni lundi idernier, à l’Hôtel de Ville, à 8 heures 1/2 du soir, sous la présidence de M. L. Es- cavy, maire, assisté de MM. Gazeau et Louât, adjoints. Etaient en outre présents : MM. Bardou, Chastel, Moquet, Barbier A., Baujard, R. Barbier, Frigaiult, Lemaitre, Levasseur, Julien, Griimlbert, Hennequin, Fossiez. Les autres Conseillers absents s’étaient fait excuser. M. Barbier R., secrétaire, prend place au bureau et lecture est donnée du pro cès-verbal de la séance du 30 juillet 1925 qui est adapté, après observations de MM. Chastel et Bardou au sujet du maintien du dépôt d’ordures de la route de Crépy; M. le Maire a promis de prendre toutes me sures nécessaires pour remédier à cet état de choses. M. le Maire rappelle à ses collègues qu’à la suite d’une deimande formulée par le capitaine Mahieux, pour l’achat d’une pompe et de certains accessoires, une Commission a été chargée d’examiner cette question. A l’unanimité, la Commis sion a décidé qu’il y avait lieu de s’en tenir à Rachat d’une pomipe à bras, une pomipe à vapeur devant occasionner non seulement une dépense importante, mais aussi une modification de la canalisation de la prise d’eau. La Commission a été d’avis d’accepter le devis fourni par la A r unanimité, 1e v.onseii muifieipai approuve la décision de la Commission. IM. le Maire donne ensuite la parole à M. Levasseur, rapporteur de la Commis sion des travaux, qui s’exprime en ces termes : Messieurs, Lors de votre dernière réunion du Con seil municipal, vous avez bien voulu charger votre Commission des travaux d’examiner la situation de la Tour du Marché Saint-Pierre, ainsi que l’état ex térieur de la Cathédrale et de mettre au point la réparation du Théâtre et l’étude de Tinstallâtion du chauffage et de l’éclai rage à l’Hôtel de Ville et aux Abattoirs. C’est le résultat de cette mission que j’ai l’honneur de vous exposer. Tour Saint-Pierre. — La Commis sion s’est préoccupée de rechercher si l’état actuel de cet édifice présentait un danger peu éloigné, et s’il y avait lieu en conséquence de prévoir sa restaura tion dans un court délai. En présence de MM. Escavy et Louât, et de M. Valentin, architecte de la ville, les membres de la Commission, MM. Bar bier, Friigault, Hennequin et votre rap porteur, ont examiné les structures de la Tour et ont constaté l’état de choses sui vant : Les quatre piliers ne -présentent aucun travail d’écartement et c’est de l’affaisse ment des façades qu’il s’agit : Les baies jumelées ont leurs meneaux reposant sur les clefs d’arcs en plein cintre, ces der nières n’ont pas résisté à cette charge. Il s’en est suivi un écrasement et une dislocation générale ayant l’axe des baies du rez-de-chaussée pour point faible. C’est ce qui a motivé rétaiement actuel. Cet étalement installé avant la guerre pour éviter la démolition totale des faça des, paraît en bon état et est susceptible de résister encore plusieurs années. Certes, une révision de cet étalement, avec recalage et resserrage, serait utile et ce travail ainsi que l’examen d’une clef supérieure en fafhde suid seraient à signa ler aux Beaux-Arts; mais les membres de la Commission ainsi que l'architecte de la Ville, ont été d’avis que la réfection totale envisagée pouvait être retardée jusqu’à ce que les finances de la Ville permettent de contribuer pour une part sensible à la dépense importante prévue par l’archi tecte en chef des Monuments historiques, dépense qui ne nous paraît pas estimée au-dessous de sa valeur. Nous croyons donc devoir vous propo ser de remettre à uen date ultérieure le vote des crédits susceptibles d’être accor dés et de vouloir bien prendre une déli bération signalant à l’adfinistration des Beaux-Arts la nécessité de ne pas négliger la surveillance des étalements actuels. Théâtre municipal. — Les travaux de réparation de l’escalier et de la cou verture du Théâtre sont en cours d’achè vement et les prévisions envisagées ne seront pas dépassées, sauf en ce qui con cerne une réparation de charpente impos sible à prévoir, mais cette réparation ne sera pas très coûteuse. Cathédrale. — Il nous avait été si gnalé le fâcheux état dans lequel se trou vaient les murailles, les gouttières et les chenaux de la Cathédrale dont Senlis s’enorgueillit. Vous savez que la végéta tion s’y était développée et c’est à juste titre que notre Municipalité s’était in quiétée. Il était à craindre que les racines de certains arbustes ne dégradent les joints de pierre au point de permettre l’accès ides eaux pluviales, avec toutes ses consé quences. Du reste l’architecte ordinaire des Mo numents historiques a donné des ordres au sacristain pour l’enlèvement de ces herbes et ce nettoyage est en cours d’exé- c'ution. Il ne subsiste que quelques arbus tes constituant une menace de dégrada tion profonde et il suffira sans doute d’en aviser Tarchitecte pour qu’il donne des instructions à un couvreur pour enlever ces quelques arbustes hors de la portée de la personne s’en occupant actuelle ment. Il est à croire que dans un court délai, il ne subsistera plus rien de cette végéta tion inquiétante. Chauffage. — Nous avions envisagé une dépense de 15.000 francs pour l’ins- tallatiqn du chauffage central à la Mairie. L’extension de ce chauffage à la maison Thiriet et à la Justice de Paix a fixé à 16.500 francs ees premières prévisions. o*oax^ une tiûpunsc importante qu'il est ipeut être difficile d’incorporer dans rexerciice actuel. La Commission donne avis favorable à l’étude qui lui a été présentée, cais elle s’en remet aux possibilités budgétaires pour décider dè l’exécution immédiate de cette installation. Eclairage électrique. — En ce qui concerne l'installation de l’éclairage électrique à la Mairie et aux Abattoirs, la Commission propose d’accepter les chif fres discutés avec la Compagnie. f Lffe formule le regret que les contrats s’oppose à une mise en concurrence; mais elle compte sur le soin apporté par la Compagnie à une parfaite exécution. Tels sont, Messieurs, les quelques points sur lesquels vous nous aviez demandé des précisions et que nous soumettons à votre appréciation. M. le Maire remercie M. Levasseur de son rapport si précis. En conséquence, la Municipalité adop tant les conclusions de ce rapport deman de au Conseil : 1 ° d’ajourner la question de la Tour Saint-Pierre et de prendre une. délibération dans le sens indiqué par le sympathique rapporteur de la Commis sion; 2 / de prendre acte des mesures d’exécution commencées pour détruire les végétations inquiétantes d’arbustes à l’extérieur de la Cathédrale et de sollici- 1 ---- » --------- qu’il fasse enlever par un couvreur les quelques arbustes restants; 3° d’ajourner la question du chauffage central; 4 “ de voter l’installation de l’éclairage électri que dans les conditions indiquées au rap port, tant à la Mairie qu’à l'Abattoir. A l’unanimité, les conclusions sont adoptées après observations de MM. Ga zeau et Louât qui font remarquer qu’il y aurait lieu d’exiger un éclairage autre que l’éclairage électrique dans la salle con duisant à l’escalier de sauvetage et à l’en trée dudit escalier. M. le Maire répond que le nécessaire sera fait à ce sujet. M. Escavy soumet à l’approbation du Conseil plusieurs délibérations de la Com mission administrative de l’Hôpital géné ral de Senlis, tendant la première à une demande d’attribution de fonds prove nant du pari mutuel pour l’installation de matériel de chirurgie dans le nouveau bâtiment de l’Hôpital général, la seconde ayant pour but d’approuver une conven tion passée avec F autorité militaire con cernant les prix de journée pour les offi ciers, sous-officiers, brigadiers et cava liers hospitalisés et le tarif des sépultu res; la troisième afin d’aliéner 645 obli gations P.-L.-M. provenant de donations diverses, aliénation nécessaire pour l’exécution de certains travaux; et enfin la quatrième l’aliénation de rente 3 0/0 léguée à l’Hôpital par M. Morel spéciale ment pour la construction de bâtiments ou l’exécution de divers travaux. A l'una nimité, le Conseil approuve les délibéra tions prises par la Commission adminis trative de l’Hôpital général. M. le Maire entretient ses collègues do la pétition qui lui a été remise par les habitants avoisinant la poudrière située rue du Lion et dans laquelle ceux-ci fai saient remarquer que celle-ci pouvait constituer un sérieux danger pour la sé» eurité publique. ® M. le Maire ayant transmis cette péti tion à l’administration compétente a reçu de celle-ci une réponse faisant savoir qu’il n’y avait aucun danger à craindre, mais cependant qu’elle serait disposée à déplacer cette poudrière si la Ville de Senlis lui faisait construire un bâtiment spécial en dehors de la ville, ou si elle mettait un local à sa disposition. Dans sa réponse, l’administration fait connaître qu’il existe un paratonnerre sur la poudrière la mettant à l’abri de la foudre, que d’autre part, les portes du bâtiment sont en fer, que les murs sont 3 mètres de hauteur, que la porte d’en trée est munie d’une serrure très solide et qu’une explosion est impossible par la combustion spontanée. Déjà en 1911, une enquête similaire avait été faite et après avis des autorités compétentes, le main tien de la poudrière ^avait été accepté. M. le Maire soumet la pétition et la ré ponse, en demandant au Conseil de se prononcer. U y a là, une question de sé curité intéressante pour les habitants de ce quartier, il estime qu’il y a lieu à un examen. Il est anormal qu’une poudrière (poudre de chasse) existe au milieu d’une ville comme la nôtre et il est certain que si aujourd’hui, on sollicitait une installa tion semblable dans un endroit comme celui actuel, l’administration ne le per mettrait pas. Finalement, M. Escavy propose de ren voyer l’examen de cette affaire à une Commission laquelle aurait également pour mission de s’entourer de tous ren seignements auprès de personnes compé tentes et de faire ensuite un rapport pour être soumis au Conseil. A l’unanimité, les Conseillers se ran geant à cet avis et l’examen de la question par Nous avons fait une visite sur place et I est renvoyé à ,,,= ------- „v=M„ I La demande d indemnité formulée j Mme Retirasseur pour occupatiôti dè son

Directeur Commercial i E. VIGNON A travers Sentisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_09_27_MRC.pdf · C’est donc une transformation dans le fond et dans l’esprit de

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#«• Année. - H* 41 LR NUMÉRO QUlNZR CENTIMESO im nneàe Ë 7 Septem bre I S»*B

JO U R N A L DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLISParaissant le Dimanche

Dn a n ....Six m oi#.

-J3 O 3ST 3ST :E3 3VE E 3 S T T S Oise et limitr. Antres dép.

8 fr. 10 rr.5 fr. 6 fr.

On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux do poste. — L’abonnement est payable d’avance et continue de plein droit jusqu'à réception d’avis contraire.

L e s A bonnem ents partent du d e c h a q u e m o is

b u r e a u x , r é d a c t i o n &/ a d m i n i s t r a t i o n

S E N L IS — 1 1 , P la ce He»ri-IV, 11 --- S E N L IST É L É P H O N E N ° 4

Directeur Commercial i E. VIGNON

1==» 1=4 t: 3C.Annonces légation— ..

Annonces volontaires.. . . . . . . 1 f r . la l ig n a . j RÉCLAMES r

. . . . . . . ? fr: la ligne. | £ ou 3* page... ......

Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus

1 fr. Si U ligna.

Question sociale Question morale

Le problème à résoudre est bien celui-ci : Faire dispa­raître le péril social.

Mais, pour y parvenir, par où comm encer ? Dédaigneux du long chemin des réformes le Méphitophélès socialiste s’écrie : « Commencez par exproprier Créez un monde nou­veau et une humanité nouvelle na î­tra i »

Sans doute, le grand problème ne sera résolu que le jour où l’esprit social, qui n ’est pas a llum eur de torches incendiaires, mais dont le butest d e v e n ir en a id e a u x in d iv id u spour les am ener à s’aider eux-mêmes en travaillant au bien de tous, aura pénétré l’hum anité tout entière. Mais, prétendre changer les hommes en changeant le monde, c’est prendre le contrepied de la réalité et de la vie.

L’esprit social suppose une trans­formation d e s% sentiments et des cœurs, un renversement des mobiles de l’activité humaine. Alors, ne laissons pas le peuple se bercer d ’illu­sions et croire qu ’il en verra l’épa­nouissement quand notre société individualiste aura changé seulement son organisation et sa forme exté­rieure. Le mal a des racines plus profondes...

On peut créer de toutes pièces des lois; on peut changer les formes sociales extérieures; les hommes n ’en restent pas moins les hommes. Les idées et les m œ urs échappent à ces métamorphoses soudaines. Le passé subsiste quand nous croyons avoir rom pu avec lui; il continue d ’agir sur le présent; et, quand nous croyons nous être soustraits à sa domination, c ’est encore lui qui nous mène.capable de remédier au mal dont nous souffrons, ne naît pas des brusques révolutions. Il est l’œuvre d ’un travail opiniâtre et profond d ’éducation morille. Il suppose chez tous, grands et petits, riches et pauvres, le respect des parents et des maîtres, le culte des lois et de la morale, le sentiment de l’honneur et du devoir. Ce qu ’il veut, c ’est t ra n s ­former non seulement les patrons, mais aussi les ouvriers, en combat­tan t chez les premiers l’égoïsme et l’esprit de domination, chez les seconds la méfiance, l’envie, la cupi­dité, la convoitise. .

C’est donc une transformation dans le fond et dans l’esprit de la société qu ’il faut opérer. La réforme sociale doit être d ’abord et surtout une réforme morale. Si nous suivons la m arche inverse, il est à craindre que le problème social demeure jamais sans solution, et que le monde reste éternellement le même.

Or le monde doit se transformer. L’esprit social-démocratique a pour lui l’avenir et le droit.

Disons donc aux classes popu­laires : revenez aux idées qu ’on vous dit vieillies de travail et de disci­pline, n ’étouffez plus dans vos cœurs le sentiment du respect à l’égard de la loi, de la déférence à l’égard des honnêtes gens Disons aux classes bourgeoises : ayez et développez chez les vôtres le respect du travail et des travailleurs. Disons aux deux par­ties : ayez un idéal.

La tâche n ’est peut être pas aussi séduisante que les rêves dorés dont se peuple l’utopie socialiste. Elle est plus pratique qu ’un rêve.

Echos et Nouvelles

QUESTION DE TITRE

Ce brave hôtelier savoyard, qui venait de | s ’installer dans un palace en miniature ré- j cemment ouvert par lui en pleine montagne, I se trouva bigrement embarrassé quand il

s ’agit de donner un nom à son établissement.Il songea avant tout à flatter sa clientèle

et songea à intituler sa maison : « Hôtel des Anglais, Hôtel Franco-Italien », mais tout cela semblait exolure certains étrangers, au profit de certains autres.

Il pensa alors à appeler son établissement : « Hôtel du Nord », mais alors 1}ue dirait le Midi. Et il finit par s ’arrêter au titre conci­liateur d’ « Hôtel du Nord et du Midi ».

Notre homme, hélas ! n’en avait pas fini avec les difficultés. Les clients du Midi ré­clamèrent parce qu’on donnait la préséance à ceux du Nord. _

L’hôtelier alors fit peindre ces m ots : « Hôtel du Midi et du Nord » sur un second panneau qu’il Ht clouer au-dessous de l’autre.

Et tout le monde fut enfin satisfait. •« Les Alpes Françaises et la Cote d’Azur ».

' ■ ■*** ; — .

DEPARTEMENTConseil généra! de l’O'se

C’est demain que s’ouvrira à Beauvais, la séance d u Conseil générai de l’Oise.

Nous en donnerons le compte rendu dans nos prochains numéros.

Au point de vue professionnel, le Con­seil général de l’Oise com prend :

Médecins, 6 ; industriels, 3; agricul­teurs, 3; notaires, 2; journalistes, 2; an­ciens officiers, 2 ; avocats, 2 ; instituteurs, 2 ; m agistrats, 2 ; négociants, 2 ; ingé­nieurs, 2 ; professeur, 1 ;.huissier, 1 ; p ro ­priétaires, 5.

PRESOMPTION

Un directeur de Berlin, reçut l’autre jour le manuscrit d’un drame qu’il se mit à lire consciencieusement. Les premières lignes évoquèrent des souvenirs imprécis, qui ne tardèrent pas à se préciser : c ’était l’exacte oopie d’un drame de Schiller I Désireux de confondre le plagiaire — ou fumiste, la chose était p o ss ib le , — le directeur le lit venir à son bureau.

A l'heure dite, arriva un jeune homme b la ­fard accompagné d’un père imposant et très décoré.

— Votre pièce est fort belle, monsieur, fort belle.

Le père, tremblant de joie, s ’avançait la main tendue.

— Attendez une seoonde. Il est seulement regrettable que oette œuvre soit de Schiller et non de vous I Pourquoi avez-vous cherché à me tromper ?

Tandis que la figure du vieillard revêtait successivem ent, les expressions classique­ment attribuées à la stupeur, à la'honte, à la colère, oelle du fils, devenue très rouge, ne révélait qu’un peu de gêne.

, Voilà. J ’ai une jolie écriture, et commexercice de calligraphie, je me suis mis à oo-pier cette pièce. Et, parce qu’elle me plai­sait beaucoup, voue l’ai apportée, Je ton - «M* qu* psn‘-«tp? a» e* au

**** * * #**&!»* M üM lty »

Société des Courses de Compiègne

Nous arrivons' à la fin de la saison. Compiègne va ferm er, dans quelques

jours, après une série des plus brillantes et les plus beaux succès, son h ippodro­me, si fréquenté, du Putois.

iC’est le jeudi 8 octobre qu’aura lieu la dern ière réunion compiégnoise ; elle sera consacrée, uniquem ent, aux épreuves de plat.

Le total des allocations prévues pour ^ “ l ! 6 s 5 g à ,tiélkg 'T e l d u P - lM * iL -av S e p ­tembre. ----------

Les Tournois de Tennis de « l’Echo de Paris »

Résultats de Province. — Compiègne Dames plus de 18 ans : Mlle 0 . Cout-

tolenc b. Mlle M. Demasures, 9-3; Mlle Bouy b. Mlle Nortlhenn, 9-3; Mlle Mauduît h. Mlle T. Couttolenc, 9-4; Mlle Lambin ib. Mlle Poutrel, 9-0.

Demi-finales : Mlle Bouy b. Mlle Cout­tolenc, 6-2, 6-3 ; /Mlle Lambin b. Mlle Mau­duit, 6-3, 10-8.

Finale : Mlle Bouy b. Mlle Lambin, 6-4, 6-3.

Messieurs 18 ans : T roncin b. Carel,9-1 ; Turneyssen b. Devaux, 9-6; Poullain b. Deguingue, 9-2; Duibois b. Godet, 9-6.

Demi-finales : T roncin bat Turneyssen, 6-0, 6-2; Poullain b. Dubois, 6-1, 6-4.

Finale : Troncin b. Poullain, w.-o. Messieurs de plus de 18 ans : Troncin

b. Commien, 9-6; Bouy b. de Branges,9-7 ; Poullain b. Lerouge, 9-7; P. Boucher h. Coutte, 9-5.

Demi-finales : Troncin b. Bouy, 4-6, 6-2, 6-1 ; P ierre Bouciher b. Poullain, w.-o.

Finale : T roncin b. P. Boucher, 6-2, 6 -8 , 7-5, 6-2. v-

: +.----------------------------

L ’E M P R U N T 4 ° / oDes objections ont été faites en ce qui

concerne le taux de l’intérêt de l’em prunt 4 0/0. Il est, paraît-il, des porteurs de bons de la Défense à un an ou de bons du Trésor 1922 et 1923 qui hésitent à adm et­tre que le revenu que leur assurent ces valeurs soit ram ené de 5 0/0 ou de 6 0/0 à 4 0 /0 ; il leur répugnerait d’accepter cette perte d’intérêts.

Cette objection n’est pas fondée. Sans même qu’il soit besoin de ten ir compte de la prim e de 0,35 0/0 qu’im|plique, aux taux actuels des devises, le fait que la garantie de change est accordée sur la base du cours de 95 francs pour une livre sterling, il est évident, pour quiconque réfléchit tant soit peu, que cette garantie si précieuse vaut bien le sacrifice d’un ou de deux po u r cent d’intérêts. Comme nous l’avons déjà fait rem arquer précédem ­m ent, ce sacrifice constitue une prim e d ’assurance très modique contre le dan­ger d ’un avilissement éventuel du franc; pour s’en rendre com pte, il suffit de le com parer à la dépréciation des rentes anciennes, priime d’assurance d’un autre genre, infinim ent plus onéreuse, bien que donnant une garantie moins efficace.

A cela, plusieurs répondent qu’ils se refusent à envisager une baisse du franc telle que la perte d’intérêts que leur im­pose la consolidation pourrait se trouver compensée; se baser sur l’éventualité d ’un véritable désastre m onétaire, ajoutent-ils, c ’est invoquer un argum ent de panique. Mais en réalité celui qui souscrit au nou­vel em prunt ne prévoit pas plus cette éventualité que celui dui contracte une assurance contre l’incendie ou sur la vie ne prévoit la destruction prochaine de sa maison p a r le feu ou son décès im ­m inent; il se m et sim plem ent à l'albri d’un risque dont l’expérience lui a m ontré que la réalisation était dans le domaine des possibilités et ce faisant il agit sagement Les capitalistes qui achètent à des prix exorbitants des valeurs internationales, et qui, garantissant ainsi leur capital con­tre le danger d’un fléchissement de notre change, acceptent en revanche le risque des pertes considérables qu’ils subiraient dans l’hypothèse contraire d’une am élio­ration du franc, pertes auxquelles l’em­p ru n t en cours d émission ne les exposa ûfdati de flWlWtHl», pç*. pm i/ Uiu ftssd* «aaeii d* w s w «raîwàra, ton# «tu

laÿts .1

GflU SERIE POLITIQUEEn l’absence des Chambres, le Gouverne­

m ent s’occupe activement, tan t à Genève qu’au Maroc, en Syrie, etc., de régler de nom breux problèm es et difficultés. Il s’ef­force égalem ent de développer le succès de Tem prunt en cours. Il faut avouer que de tous ces côtés le travail ne lui m anque pas. Aussi est-il bien difficile de se faire une idée des directives politiques qu’i l entendra suivre à l 'in té rieu r lorsque le Parlem ent sera de nouveau réuni.

Toutefois, le discours que M. Arîtériou, m inistre des Pensions, a récem m ent p ro ­noncé à Thueyts, dans l’Ardèche, m érite de re ten ir l ’attention. Nous y relevons ce pas­sage qui a tra it au Cartel :

« On nnrla dp séo,anation. On narle même de divorce, m ais aveugles sont ceux qui nfivoient qu’H errio t c’est Painlevé, et que Pain- levé c’est H erriot. Non, le Cartel vit, il vi­vra, il vaincra ses adversaires, il réalisera son program m e. P our cela, que faut-il ? A ttendre la clô ture de l ’em prunt-or, quel­ques semaines à peine... »

E t voici le com m entaire qu’en a donné le journal Le Temps :

D em ander au pays, à celui qui produit, qui épargne, qui possède, celui qui prête à l’E tat, lu i dem ander de couvrir rem p ru n t­e r et lu i prom ettre, comme récompense, qu’aux lendem ains « de la clôture de l’em- p run t-o r » on rep rend ra à fond la politique du Cartel, tracassière, inquisitoriale, con­tre tout ce qui produit, épargne et possède, c’est d ’abord un étrange moyen de favoriser l'em prunt, c’est aussi une figure singulière qu’on donne au Cartel. Sans doute, qui dit Cartel des gauches dit union avec les socia­listes et qui /dit socialism e dit guerre au capital. Mais est-ce bien à un m embre du gouvernement à déclarer, dans les circons­tances présentes, que la politique du Cartel, condam née le 1 2 juillet avec racquiescem ent du gouvernement, rep rend ra bientôt dans

I fnîc nADÎ vo

économique. M. Loucheur s’est fait le p ro ­m oteur de celle-ci, qui s’annonce comme devant être très im portante. L’idée, fort juste, part de cette constatation que puisque bien des guerres ont pour origine un conflit économique, il est naturel qu’une assemblée chargée de c rée r la piaix, étudie de près une

questions les plus propres à la troubler, nfin, vers lin octobre, se tiend ra it à

Genève, un congrès des représentants des minorités nationales.

*

Bien des d iscours ont été prononcés à Genève et la place nous m anque pour les résumer, même brièvem ent. Les délègues des gouvernements représentés, entre autres MM. Chamberlain, Paul Boncour, Apponye, Motta, Ishii, etc., etc..., ont parlé du proto­cole, du désarmement, de la sécurité, été... Les Commissions travaillent toujours et lesproblèmes : Mossoul, protection des mino- a -, v a » , . , n e p a r a i s s e n t p u s u e i i m t i v c u i e u i

réjlés.

flOUÏEIiliES DE LR SE PIR E

M. Henriet, député communiste de la Seine, a été arrêté à Alger. Il est Inculpé de complot contre la sûreté de l ’Etat.

-— Un auto-car de tourisme est tombé dans un ravin aux environs de Londres; sur les 13 personnes qui se trouvaient dans la voiture, quatre ont été tuées et quatre sérieusement blessées.

-— Un incendie s’est déclaré aux usines André Citroën, quai de Javel, à Paris. Les ateliers de vernissage ont été complètement détruits avec l’outillage qu’ils contenaient.

•— Le maréchal Foch a présidé la réunion île l’Union nationale des officiers de réserve de Morlaix.

Cependant, M. Painlevé, en revenant de Genève, s ’est arrêté à Mulhouse, Strasbourg et à Metz, où il a prêché l ’union sacrée et recom m andé de souscrire à l’em prunt.

Il y a affirmé également que tous les p ro ­blèmes in térieurs, si graves qu’ils soient en eux-mêmes, s’effaçaient devant les problè­mes extérieurs, la sécurité e t la paix :

: Si nous poursuivons une œuvre de paix, il y a aussi une œuvre de guerre à accom ­p lir; le gouvernement a le devoir de faire l’effort nécessaire; vous pouvez com pter sur lui pour que tan t qu’il le faudra, cet effort se poursuive, pour que cet effort qui a été rendu indispensable m algré notre volonté de paix poussée à l’extrême lim ite de lon­ganimité, soit le moins coûteux, pour que tout ce qui est nécessaire soit à pied d’œuvre. »

Ces paroles ont recueilli l’approbation de tous et M. Painlevé s’est déclaré, à son re ­tour à Paris, très satisfait de son voyage eu Alsace et en L orraine. « Le Gouvernement entend, a-t-il d it aux journalistes qui l’in ter- w ievaient, faire aboutir dans un délai extrê­mement b ref les questions économiques et financières depuis trop longtemps en sus­pens et dont la solution est indispensable pour donner son plein essor à la p rospérité de nos trois départem ents libérés. »

De son côté, M. Caillaux et les services du m inistère ,des Finances ont travaillé avec rap id ité . Lè projet de budget de 1926 a été distribué aux membres de la Commission des Finances de la Chambre, après avoir été établi en moins de deux mois.

Les dépensas s’élèvent à 36 m illiards 39 millions. L’équilibre a été obtenu au m oyen d ’une aggravation des impôts. Sont prévus un relèvem ent du taux des impôts cédulai- res sur le revenu, des capitaux m obiliers et immobiliers, sur les bénéfices industriels et com m erciaux, sur les traitem ents et salaires et deux taxes nouvelles sur la richesse ac quise. La prem ière est unie taxe com plém en­taire sur les revenus des capitaux entrant dans la composition du revenu global; la seconde est une taxe annuelle sur les cap i­taux m obiliers im productifs, sur les « cap i­taux oisifs » : collections, bijoux, etc... Il est à p révo ir que ces mesures, qui risquent d ’avoir de graves conséquences, feront l’ob­jet de discussions passionnées.

Notons la nom ination de M. Malvy à la Présidence de la Commission des Finances de la Chambre des députés, en rem place­m ent de M. Vincent Auriol, dém issionnaire.

En marge de la Société des Nations, le pacte de sécurité a réalisé un petit progrès: M. Brianid, au nom de ses collègues alliés a signé et adressé à M. Streesemann la lettre p a r laquelle il l’invite à assister à une con­férence sur le pacte qui aurait lieu au début d ’octobre.

Ce n’est d 'ailleurs pas la seule conférence Bfi *Uàt On part# d’ytijj prochain « confie

A travers SentisPharm acie ouverte :

Dimanche 2 7 Septembre: M. Morcrette, place de la Halle.

S. V. S. — Réunion meusuelle Samedi 2 6 à 2 1 heures, Café du Commerce.

Société de Secours Mutuels de Saint- François-Xavier. — Dimanche 2 7 , réu­nion mensuelle, à 2 0 h., salle Jeanne-d’Arc.

Syndicat d’initiative, 1, avenue du Maré- chal-Foch. — Tous renseignements pour le tourisme.

— M. Poincaré a inauguré le monument aux morts do Beaulieu-en-Argonne.

— M. Maginot, ancien ministre de la Guerre, s'est élevé, à Saint-Mihial, 'contre la révision des pensions.

-— Trois personnes ont été brûlées vives et trois autres grièvement b lessées dans un acci­dent d’auto à Namur.logne-sur-M er; dégâts matériels très im por­tants, mais aucun voyageur blessé.

— On a annoncé que la rentrée des Chambres aurait lieu vers fin octobre.

— Le ministre des Finances, accompagné de la mission financière, s ’est embarqué au Havre pour l’Amérique sur le paquebot <> Paris ».

— M. Boujou, préfet de la Seine-Inférieure, a remplacé M. Naudin, à la Préfecture de la Seine.

— M. Malvy a été élu président de la Com­mission dos Finances de la Chanjbre en. rempla­cement de M. Vincent Auriol, démissionnaire.

— Un incendie à détruit, à Saint-Denis, de3 baraquements de la Compagnie du Nord.

Un pharmacien- de Tournay (Haute-Pyré- nées), M. Cieutat, a été arrêté pour trafic de certificats de nationalité et de réforme.

■ Aû cours d ’une séance du Conseil général de la Gironde, M. Bouderie, ancien député, qui venait de prendre la parole, s’affaissa frappé d ’une attaque. Il a été transporté dans une cli­nique de Bordeaux où il a succombé.

- Le général Durand (Léon), ancien mem­bre du Conseil supérieur de la Guerre, ancien commandant du 6” Corps d’armée, président fondateur de l’Union Nationale des Combattants, grand officier de la Légion d’honneur, vient de mourir à Corb-eiil.

— Au Maroc : continuant leurs importantes opérations, nos troupes ont repris à l ’ennemi le massif du Bibane.

— L’inauguration d’une plaque commémora­tive sur la maison d’Emile Zola, à M-édan, aura lieu le 4 octobre et sera présidée par M. Pain­levé.

— Les obsèques du coureur automobiliste Henri Mattys, décédé des suites des graves b les­sures reçues lors du dernier metting automo­bile, ont eu lieu à Boulogne-sur-Mer, au milieu d'une grande affluence.

—- On a découvert une affaire importante de fabrication de faux passeports et de certificats frauduleux de nationalité destinés à des Espa­gnols. La gendarmerie a mis en état d’arresta­tion un espagnol naturalisé français, soldat m é­téorologiste, Ramon de Alderete, au fort du Bois d’A-rcy, près de Saint-Gyr où il .était en garni son.

— Le Consul de France à Dantzig a été tué aecidentellemeift, dans un port polonais, par une benne de -charbon qui l ’a heurté violem­ment.

— Le premier concours de candidats manda­taires aux Halles centrales de Paris est fixé au 1er octobre. On compte, jusqu’à présent, l ’ins cription d’une trentaine de candidats.

— On a arrêté à Paris, un roumain Samuel Foesanéanu, voleur international, auteur d nombreux méfaits.

— Les journaux ont publié une dépêche de Valladolid (Espagne) relatant un cas extraor­dinaire de fécondité. Mme Camille Lorenzo, âgée de 68 ans, vient de mettre au monde un ro buste garçon, son vingt-neuvièm e enfant. La plupart de ses autres enfants sont encore v i­vants. *

-— Une dépêche de Florence annonce que parmi des communistes arrêtés récemment dans cette ville, se trouve une couturière de dix-huit ans qui serait parmi îles chefs du mouvement.

— Le « Journal Officiel » a publié un décret établissant la prépondérance du ministère des finances en ce qui concerne le régime des pres­tations en nature à fournir par l’Allemagne et fixant l’organisation pour en développer l’usage sans nuire à l ’intérêt national.

— En Chine, le fleuve Jaune, brisant ses di­gues, a débordé, détruisant 1.000 villages et causé la mort de 3.000 personnes.

— En exécution de récentes décisions minis­térielles, les voyageurs français ou étrangers se rendant au Maroc, devront être munis de leur passeport national, régulièrement visés pour chaque voyage par les soins de la Préfecture.

—* L’aasSimbW# générale aanuehç d«# chomL Slofih qui ua.rhpt!etj'i*piu» ds ÔiOdO '

Chaâlis - Erm enonville, - Excursion Jeu­dis, dimanches et jours d ï fête. Départ de la gare, 14 heures. Reteni r ses places.

conseil m u n ic ip a lLe Conseil m unicipal s’est réun i lundi

idernier, à l’Hôtel de Ville, à 8 heures 1/2 du soir, sous la présidence de M. L. Es- cavy, maire, assisté de MM. Gazeau et Louât, adjoints.

E taient en outre présents : MM. Bardou, Chastel, Moquet, B arbier A., Baujard, R. Barbier, Frigaiult, Lem aitre, Levasseur, Julien, Griimlbert, H ennequin, Fossiez.

Les autres Conseillers absents s’étaient fa it excuser.

M. B arbier R., secrétaire, p rend place au bureau et lecture est donnée du p ro ­cès-verbal de la séance du 30 juillet 1925 qui est adapté, après observations de MM. Chastel et Bardou au sujet du m aintien du dépôt d ’ordures de la route de Crépy; M. le Maire a prom is de p rend re toutes me­sures nécessaires pour rem édier à cet état de choses.

M. le Maire rappelle à ses collègues qu’à la suite d ’une deimande formulée p a r le capitaine Mahieux, pour l’achat d ’une pompe et de certains accessoires, une Commission a été chargée d’exam iner cette question. A l’unanim ité, la Commis­sion a décidé qu ’il y avait lieu de s’en ten ir à Rachat d ’une pomipe à bras, une pomipe à vapeur devant occasionner non seulement une dépense im portante, mais aussi une modification de la canalisation de la p rise d ’eau. La Commission a été d ’avis d’accepter le devis fourni p a r laA r unanim ité, 1e v.onseii muifieipai approuve la décision de la Commission.

IM. le Maire donne ensuite la parole à M. Levasseur, rapporteu r de la Commis­sion des travaux, qui s’exprim e en ces termes :

Messieurs,Lors de votre dernière réunion du Con­

seil m unicipal, vous avez bien voulu charger votre Commission des travaux d’exam iner la situation de la Tour du Marché Saint-Pierre, ainsi que l’état ex­té rieu r de la Cathédrale et de m ettre au point la réparation du Théâtre et l’étude de Tinstallâtion du chauffage et de l’éclai­rage à l’Hôtel de Ville et aux Abattoirs.

C’est le résultat de cette mission que j ’ai l ’honneur de vous exposer.

1° Tour Saint-Pierre. — La Commis­sion s ’est préoccupée de rechercher si l’é ta t actuel de cet édifice présentait un danger peu éloigné, et s’il y avait lieu en conséquence de prévo ir sa restaura­tion dans un court délai.

E n présence de MM. Escavy et Louât, et de M. Valentin, architecte de la ville, les m em bres de la Commission, MM. Bar­bier, Friigault, Hennequin et votre rap ­porteur, ont exam iné les structures de la Tour et ont constaté l’état de choses sui­vant :

Les quatre p iliers ne -présentent aucun travail d’écartem ent et c’est de l’affaisse­m ent des façades qu’il s’agit : Les baies jumelées ont leurs meneaux reposant sur les clefs d ’a rcs en plein cintre, ces der­nières n ’ont pas résisté à cette charge.

Il s’en est suivi un écrasem ent et une dislocation générale ayant l’axe des baies du rez-de-chaussée pour point faible.

C’est ce qui a motivé rétaiem ent actuel. Cet étalem ent installé avant la guerre pour éviter la démolition totale des faça­des, p a ra ît en bon état et est susceptible de résister encore plusieurs années.

Certes, une révision de cet étalement, avec recalage et resserrage, serait utile et ce travail ainsi que l’examen d’une clef supérieure en fafhde suid seraient à signa­le r aux Beaux-Arts; mais les membres de la Commission ainsi que l'arch itecte de la Ville, ont été d ’avis que la réfection totale envisagée pouvait être retardée jusqu’à ce que les finances de la Ville perm ettent de contribuer pour une part sensible à la dépense im portante prévue p a r l’arch i­tecte en chef des Monuments historiques, dépense qui ne nous p ara ît pas estimée au-dessous de sa valeur.

Nous croyons donc devoir vous propo­ser de rem ettre à uen date ultérieure le vote des crédits susceptibles d’être accor­dés e t de vouloir bien p rend re une déli­bération signalant à l’adfinistration des Beaux-Arts la nécessité de ne pas négliger la surveillance des étalem ents actuels.

2° Théâtre m unicipal. — Les travaux de réparation de l’escalier et de la cou­verture du Théâtre sont en cours d’achè­vement et les prévisions envisagées ne seront pas dépassées, sauf en ce qui con­cerne une réparation de charpente impos­sible à prévoir, mais cette réparation ne sera pas très coûteuse.

3° Cathédrale. — Il nous avait été si­gnalé le fâcheux état dans lequel se trou­vaient les m urailles, les gouttières et les chenaux de la Cathédrale dont Senlis s’enorgueillit. Vous savez que la végéta­tion s’y était développée et c’est à juste titre que notre M unicipalité s’était in quiétée.

Il était à craindre que les racines de certa ins arbustes ne dégradent les joints de p ierre au po in t de perm ettre l’accès ides eaux pluviales, avec toutes ses consé­quences.

Du reste l’architecte ord inaire des Mo­num ents historiques a donné des ordres au sacristain pour l ’enlèvement de ces herbes et ce nettoyage est en cours d’exé- c'ution. Il ne subsiste que quelques arbus­tes constituant une m enace de dégrada­tion profonde et il suffira sans doute d’en aviser Tarchitecte pour qu’il donne des instructions à un couvreur pour enlever ces quelques arbustes hors de la portée de la personne s’en occupant actuelle­ment.

Il est à croire que dans un court délai, il ne subsistera plus rien de cette végéta­tion inquiétante.

4° Chauffage. — Nous avions envisagé une dépense de 15.000 francs pour l’ins- tallatiqn du chauffage central à la Mairie. L’extension de ce chauffage à la maison T hirie t et à la Justice de Paix a fixé à 16.500 f r a n c s e e s p r e m iè r e s p r é v is io n s .o*oax une tiûpunsc im portante qu'il est ipeut être difficile d ’inco rpo rer dans rexerciice actuel.

La Commission donne avis favorable à l’étude qui lui a été présentée, cais elle s’en rem et aux possibilités budgétaires pour décider dè l’exécution im m édiate de cette installation.

5° Eclairage électrique. — En ce qui concerne l'installation de l’éclairage électrique à la Mairie et aux Abattoirs, la Commission propose d ’accepter les chif­fres discutés avec la Compagnie. f Lffe formule le regret que les contrats

s’oppose à une mise en concurrence; mais elle compte sur le soin apporté p a r la Compagnie à une parfaite exécution.

Tels sont, Messieurs, les quelques points sur lesquels vous nous aviez dem andé des précisions et que nous soumettons à votre appréciation .

M. le Maire rem ercie M. Levasseur de son rapport si précis.

En conséquence, la M unicipalité adop­tan t les conclusions de ce rap p o rt deman­de au Conseil : 1 ° d’ajourner la question de la Tour Saint-Pierre et de p rend re une. délibération dans le sens indiqué p a r le sym pathique rapporteu r de la Commis­sion; 2 / de p rend re acte des m esures d’exécution commencées pour détru ire les végétations inquiétantes d’arbustes à l’extérieur de la Cathédrale et de sollici-1----»---------qu’il fasse enlever p a r un couvreur les quelques arbustes restants; 3° d’ajourner la question du chauffage cen tral; 4 “ de voter l’installation de l’éclairage électri­que dans les conditions indiquées au rap ­port, tan t à la Mairie qu’à l'A battoir.

A l’unanim ité, les conclusions sont adoptées après observations de MM. Ga­zeau et Louât qui font rem arquer qu’il y aurait lieu d’exiger un éclairage autre que l ’éclairage électrique dans la salle con­duisan t à l’escalier de sauvetage et à l’en­trée dudit escalier.

M. le Maire répond que le nécessaire sera fait à ce sujet.

M. Escavy soumet à l’approbation du Conseil plusieurs délibérations de la Com­mission adm inistrative de l’Hôpital géné­ral de Senlis, tendant la p rem ière à une dem ande d’attribution de fonds prove­nant du pari mutuel pour l’installation de m atériel de chirurgie dans le nouveau bâtim ent de l’Hôpital général, la seconde ayant pour bu t d’approuver une conven­tion passée avec F autorité m ilita ire con­cernan t les p rix de journée pour les offi­ciers, sous-officiers, brigadiers et cava­liers hospitalisés et le ta rif des sépultu­res; la troisièm e afin d’aliéner 645 obli­gations P.-L.-M. provenant de donations diverses, aliénation nécessaire pour l’exécution de certains travaux; et enfin la quatrièm e l’aliénation de rente 3 0/0 léguée à l’Hôpital p a r M. Morel spéciale­m ent pour la construction de bâtim ents ou l’exécution de divers travaux. A l'una­nimité, le Conseil approuve les délibéra­tions prises p ar la Commission adm inis­trative de l’Hôpital général.

M. le Maire entretient ses collègues do la pétition qui lu i a été remise p a r les habitan ts avoisinant la poudrière située rue du Lion et dans laquelle ceux-ci fai­saient rem arquer que celle-ci pouvait constituer un sérieux danger pour la sé» eurité publique. ®

M. le M aire ayant transm is cette pé ti­tion à l’adm inistration compétente a reçu de celle-ci une réponse faisant savoir qu’il n ’y avait aucun danger à craindre, m ais cependant qu’elle serait disposée à déplacer cette poudrière si la Ville de Senlis lui faisait construire un bâtim ent spécial en dehors de la ville, ou si elle m ettait un local à sa disposition.

Dans sa réponse, l’adm inistration fait connaître qu’il existe un para tonnerre sur la poudrière la m ettant à l’abri de la foudre, que d’autre part, les portes du bâtim ent sont en fer, que les m urs sont 3 mètres de hauteur, que la porte d’en­trée est m unie d’une serrure très solide et qu’une explosion est impossible p a r la com bustion spontanée. Déjà en 1911, une enquête sim ilaire avait été faite et après avis des autorités compétentes, le m ain­tien de la poudrière ^avait été accepté.

M. le Maire soumet la pétition et la ré ­ponse, en dem andant au Conseil de se prononcer. U y a là, une question de sé­curité intéressante po u r les habitants de ce quartier, il estime qu’il y a lieu à un examen. Il est anorm al qu’une poudrière (poudre de chasse) existe au m ilieu d’une ville comme la nô tre et il est certa in que si aujourd’hui, on sollicitait une installa­tion semblable dans un endroit comme celui actuel, l ’adm inistration ne le per­m ettra it pas.

Finalem ent, M. Escavy propose de ren­voyer l’examen de cette affaire à une Commission laquelle au ra it également pour m ission de s’entourer de tous ren ­seignements auprès de personnes compé­tentes et de faire ensuite un rap p o rt pour être soumis au Conseil.

A l’unanim ité, les Conseillers se ran ­geant à cet avis et l’examen de la question

parNous avons fait une visite su r place et I est renvoyé à,,,= ------- „v=M„ I L a demande d indem nité formulée jMme Retirasseur pour occupatiôti dè son

Page 2: Directeur Commercial i E. VIGNON A travers Sentisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_09_27_MRC.pdf · C’est donc une transformation dans le fond et dans l’esprit de

pour rapport de M. Chastaing, avoué de la V ille .

'M. Casse qui» à une précédente séaœsee avait «Ltenu Tuttoication d’une subvention p o u r son fils aîné suivant les cours de l ’école pratique d’im lustrie de Beau vais, sollicite une nouvelle allocation pour son second fils qui va suivre également les mêmes eours. Cette allocation est de 170 francs environ.

'Conformément aux précédents établis en faveur des enfants de Sentis suivant 'des cours sim ilaires, le Conseil vote, à l ’unanim ité, l ’allocation sollicitée.

Avis favorable est donné à la demande d e sursis d 'incorporation dem andée par M. Mahet.

M. le Maire — en l’absence de M. De- m oinet, président du Syndicat d’in itia ­tive — fait connaître à ses collègues, q u ’une exposition canine internationalea u r a l ie u so u s le s om tbra 'ges d u c o u r s eu1920. La Ville s’associera entièrem ent à icette manifestation qui partout a r é u s s i e t a été une source de revenus pour le com m erce local. Le Syndicat s’est mis en rap p o rt avec le Club de P icardie, pour que cette exposition puisse avoir lieu à Serai is tons les trois ans, en 1924, c’était à Crei'l, en 1925 à Chantilly, en 1926, ce sera à Senlis. Le budget et l’organisation ide la m anifestation profetée étant du res­sort do Syndicat d 'initiative.

Ë n sa (fuatité de vice-président du Syn­d ica t, M. Louât, adjoint, donne des expli­cations su r le concours projeté pour 1926 e t dem ande au Conseil d’accueillir favo­rab lem ent cette fête.

A 1 unanim ité, l ’Assem'blée donne son entière approbation à cette m anifestation can ine et autorise le Syndicat organisa­teu r à se servir des -cours à cet effet, adressant en même temps au Syndicat d In itiative de Senlis ses plus vives féli­cita tions pour cette heureuse idée.

M. G-azeau, adjoint, fait connaître qu’il y aura aussi l’an prochain à Senlis, un festival de musique. La Musique de la Garde Républicaine partic ip era it à cette g rande m anifestation musicale.

'M. Louât indique qu’il serait in téres­san t que ces fêtes ne coïncident • pas avec les eourses de Chantilly, c ’est pour­quoi^ le Syndicat d ’I-nitiative a prévu la m anifestation canine pour le dern ier di­m anche de juin ou le p rem ier dim anche d e juillet. Pour ne pas se gêner l’un l’au­tre , un ca lend rier des fêtes s’impose.

'M. le M a ire ait q u ’i l a v a i t é g a le m e n t (cette intention et qu’il attendait les p re ­m iers jours d’octobre pour convoquer les présidents ou d irecteurs des Sociétés lo­cales pour s’en tendre à ce sujet.

I l est -]'■ stion aussi de l’organisation d ’une ne 4-e fête locale -dont il sera parlé à un o-chaine séance._ Greffant » observation sur cette ques­

tion, M, le { Jhastel dem ande, si enfin les 'Ponts et t aussées vont se décider à goudronner R» routes des boulevards ex­té rieu rs de ïa Ville.

I l p a ra ît que ces routes ne sont pas assez dégradées vou-r l’instant, dit-on en hau t lieu.

iComime conclusion de cette observa­tion, le Conseil s’y associe et une nou­velle réclam ation sera transm ise à qui de idrôit.

'Le Conseil approuve une convention à passer entre le Maire et la maison Desma- re t et Compagnie au sujet d’un m oteur (défectueux de l’usine des eaux.

-A une pétition des habitants du quar­tie r d e la Gare et de la rue du Maréohai- Foch, qui se plaignent d’une invasion de m oustiques, la Commission sanitaire de l ’Oise fait connaître qu’il y a lieu de cu re r les fossés, m ares et bassins les avoi- sinant.

(L’adm inistration m ilitaire dem ande l ’aménagement plus convenable des bains publics. A^cet effet, une somme de 4.300 francs^ a été affectée au Corps d’armée Ide garnison du corps. Cette question sera examinée.

A une question concernant des étale­ments placés à travers la rue du Petit- Ghaâlis, il est répondu que ceux-ci vont être retirés.

M. Julien souligne un affaissement au m ilieu du souterrain de la ligne du che­m in de fer p rès l’Qrpihelinat. M. le Maire p rend note de cette observation qui sera signalée à la Compagnie du Nord.

(M. le Dr Ghastel dem ande à M. le Maire si on ne pourrait pas trouver un moyen quelconque pour protéger les Senlisiens contre la folie dom inicale des automobi­les venant ou allant vers Paris. M. le (Maire répond que certainem ent le danger devient de plus en plus grand et qu’il faud ra it une surveillance de plus en plus active, la p lupart des chauffards ne tenant pas com pte de l ’arrêté en vigueur, notam-

.nient au croisem ent des rues.M. Levasseur signale que dans la tra ­

versée de Louvres, il est form ellem ent in ­te rd it de doubler.

M. le Maire va exam iner cette question et proposera un nouvel arrê té en consé­quence.

M. Bardou réclam e de la lum ière dans nos rues.

(M. le Maire fait connaître que la dé­pense annuelle de l’éclairage public est d isproportionnée avec une ville comme Senlis, à ce sujet il a tem porisé tant que cela a été possible pour faire des écono­m ies sur ce chapitre , il a demandé des m odifications tan t au po in t de vue du nom bre que de l’intensité de l’éclairage pour d im inuer encore la dépense. C’est la troisièm e année qui commence et m ainte­nant, cette affaire va être mise au point.

iM. Gazeau dit que c’est le gaz qui coûts le plus cher relativem ent à l’électricité et à ce sujet, il donne des explications sur le nom bre des lampes avant et depuis la guerre.

■M. B arbier Roger serait heureux de voir les routes entièrem ent em pierrées.

M. le Maire répond qu’il faut faire des économies, du haut en bas de l’échelle. Il rend hommage à tous ceux, industriels, com m erçants, cultivateurs qui ont bien voulu donner leur gracieux concours à la ville pour le transport des cailloux, trans­ports qui sont aujourd’hu i excessivement élevés et p a r conséquence très onéreux pour les finances de la Ville.

M. Fossiez signale qu ’il peut y avoir une question de responsabilité en cas (d’accident avec les Compagnies d ’assu­rances, leurs polices étant faites pour un travail déterm iné.

'M. le Maire rendan t également hom m a­ge à M. Fauvet et à ses collaborateurs pour l’entretien des chem ins, déclare qu ’il faut veiller plus que jamais à év iter «les dépenses et en s’adressant à ceux qui se servent presque chaque jour des rou­tes, il espère qu’ils voudront bien coopé­rer encore à leur entretien, connaissantà l'avance leur esprit «le bonne volonté.

A 10 h e u r e s 1 /2 , la s é a n c e e s t le v é e .LEGRAND.

Chambre des NotairesA p a rtir du 10 octobre prochain , la

Cham bre des notaires sera transférée rue (de Beauvais, n* 9.

Les séances auront lieu comme p récé ­dem m ent le p rem ier jeudi de chaque tnois.

Union Natirna’e des CombattantsSection de Senlis

L ’assemblée générale de la Section et d e la Société de secours mutuels de ljU. N.’C. aura lieu le samedi 3 octobre p ro ­chain, à 20 heures 30, au siège social, salle de l’Horticulture.

ORDRE BC JOUR SPaiem ent des cotisations.Questions diverses.

■ -♦-------

Sport Set lisienLa réunion de courses départem entales

qui devait avoir lieu le dim anche 27 sep­tem bre, est remise à une date ultérieure.

En rem placem ent de cette réunion, le Sport VÔlocipédique Senlisien organise, à 14 heures 30, an Vélodrome, une réu­nion de courses rt*S( yx‘e à ses coureurs, pour les encourager à défendre les chan­ces du S. V. S. dans les réunions futures.

Au cours de cette réunion, sera disputé le P rix de la Compagnie du Nord, une course de vitesse, une américaine et une course de primes.

P rix des places r Tribunes, 2 f r . ; P re­mières, 1 fr. ; M ilitaires, 0 fr. 50.

En cas de pluie, la réunion sera rem ise à une date ultérieure.

Société de Secours-M utuels de Saint-François-Xavier

La réunion mensuelle aura lieu dim an­che prochain, à 8 heures du soir, salle •ejuine 4 AüiÇi

La tournée Dona au théâtre municipal

On nous annonce pour m ardi p rochain , en soirée, au Théâtre m unicipal, le pas­sage de la Tournée Dona, qui obtient p a r­tout un grand succès.

Le célébré chanteur populaire Dona, le c réa teu r de J’ai perdu la Boule, Marjo­laine, La Dame de Pique, Pandore en Ballade, etc», chantera et jouera dans la g rande Revue Je PELOTE E T REPE­LOTE, en uii_ prologue et deux actes do M. Alfred Moyne et musique de Lafbus- quière, avec le concours d ’artistes du Casino de Paris, de la Gaieté-Lyrique, de l’Olympia et des Folies-Bergères.

La location est ouverte au Théâtre.

Club Sportif SeniisienDim anche prochain 27 courant, l’équi­

pe prem ière du C. S. S. reçoit sur son te r­r a in d u c h e m in Latéral, l ’é a u in e c o r r e s ­pondante de TEtoile Sportive de Crépy- en-V alois.

M atch de cham pionnat. Coup d’envoi à 2 h. 45. Entrée : 0 fr. 50.

Cette partie prom et d ’être des plus acharnée et le résultat est incertain . Jus­qu ’alors ces deux équipes se sont respec­tivem ent battues l’an passé sur leu r te r­ra in : à Crépy Senlis battu de 2 buts à 1. Match re tour : Senlis gagne p a r 3 buts à 0 .

Ce sera le prem ier m atch de Senlis sur son terra in et le deuxième de la saison. Crépy m atch depuis août et doit être en souffle; dim anche dernier TE. S. Crépy batta it en cham pionnat Amicale de Béthi- sy-Saint-Pierre p a r 3 buts à 0.

Rendez-vous de la 2' équipe à 14 heu­res à la Gare; d épart po u r Crrépy-en- Vaîois.Résultats du dimanche 20 septem bre 1925

(Matches de Championnat)A SaintSauveur : C. S. Senlis (1) battu

par A. S. S.-S. (1), p a r 4 à 3.A Senlis : C. S. Senlis (2) battu p a r A.

S. S.-S. (2), par 6 à 0.P o u r son prem ier matclh de la saison

l’équipe prem ière du C. S. S. composée de Cottrau M., Tarey Oh., Jallois, Ramu, Gagneux (cap.), Tarcy R., Bricot, Cou­vreur, Magnier, Boulet et Bunel, s’est fait battre p ar TA. S. Saint-Sauveur p ar 4 buis à 3 (match de cham pionnat). s i ^ ’ijôu'4«fP57 dm ^uar‘>P»#,-Sx.ïSé-t (»8“»& belle partie du keeper adverse, ce qui n’em pêche pas Saint-Sauveur de m ener au repos p ar 2 à 0 , grâce (entre autre) à un penalty accordé bien légèrement.

A la reprise Senlis domina encore, mais sur échappées Saint-Sauveur m arque en­core deux fois.

Senlis se reprend pourtan t vivem ent; un penalty accordé en sa faveur n’est pas transform é (C’est connu), m ais bientôt m arque un but, suivi d ’un second et bientôt d’un troisième, mais la fin arrive avant qu’il puisse égaliser.

Attitude correcte des joueurs et jeu sans brutalité.

A Saint-Sauveur, le dem i-centre et sur­tout le keeper doivent la victoire de leur équipe.

A Senlis, excellent entrainem ent pour cette équipe qui suscitait les plus vives crain tes; le manque de cohésion se fit sen tir surtout au début.

L a seconde équipe composée de jeunes éléments ne put mieux faire, réduite à huit joueurs, d’encaisser courageusement 6 buts à 0 .

RemerciementsMlle Déformé, Mme veuve Chilo et Mlle

Chi'lo rem ercient les personnes qui ont assisté aux obsèques de leur mère et g rand’m ère. Elles s’excusent auprès de celles qui, soit p a r e rreu r ou ouhli n ’au­r a ie n t pas r e ç u d e f a i r e - p a r t .

NécrologieLe Colonel André, com m andant le 5*

régim ent de chasseurs et Mme A. André ont la douleur de faire part de la m ort de Mme M'étivier, leur 'belle-mère et m ère décédée le 16 septem bre à la Har- tem pied Juigné-sur-Sarthe.

Cet avis tiendra lieu de faire part.

Nous avons appris ! • m ort de M. Vèran Nicolas, receveur d’octroi faubourg Saint- Martin, décédé à l’âge de 52 ans.

M. Nicolas qui exerçait en même temps la profession de cordonnier, avait été assez longtemps receveur d ’octroi à la Porte Saint-Rieul avant de p rend re le poste qu’il occupait faubourg Saint-Mar- tin. C’était un excellent homme qui lais­sera beaucoup de regrets.

Ses obsèques ont eu lieu jeudi m atin, en la cathédrale, en présence d ’une nom­breuse assistance.

Nous adressons à Mme Nicolas, sa veuve, à Mlle Yvonne Nicolas, sa fille et à tous ceux que cette mort met en deuil, nos plus sincères condoléances.

A V I SLa M aison de Fourrures M A U PA S,

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M. Maupas y se r a Mardi 2 9 Septem bre.8084

3M . F . G H R ^ r s T I E I r l CHIRURGIEN - DENTISTE

reçoit dans son' Cabinet,5 8 , rue de la République, à Senlis,les L und i, Mardi, Jeud i et Vendredi,

de 9 h. à 18 h.P R I X M O D d R K S 268 y g y i»»» y a e'v 1 «c «g .-.je1:

Mort subiteMme Yvonne Roussel, née Henwood,

âgée de 2 1 ans, dom iciliée rue du Four* recevait la visite de sa grand’mère, Mme’ Antoinette Ragois, née Caron, âgée de 72 ans, qui venait l’aider dans les travaux d u ménaige, p a r suite de la présence d’un jeune bébé de 3 mois 1/2 environ.

Rendant que Mme Roussel était occu­pée à confectionner des boîtes, la grand - mère était descendue au rez-de-chaussée pour chercher de l ’eau dans un broc, quand soudain un b ru it anorm al se lit en­tendre. Mnve Roussel descendit aussitôt et trouva Mme Ragois tombée au bas de

T’escalier, la tète touchait le sol tan.de; que les jambes étaient appuyées contre les m arches, le sang s’échappait de ses blessures.

Im m édiatem ent, la jeune femme appela ides voisins au secours et le docteur Palet, qui heureusem ent passait non loin de-hî rue du Four, accourut aussitôt; Mme Ra- igois resp irait encore, mais malgré hs soins prodigués, elle rend it le dernier soupir un instan t après, la m ort était dm à une congestion cérébrale.

Cette femme était forte, alerte et rien ne faisait p révo ir une fin si rapide.

Ses obsèques ont eu lieu en la cathé­d ra le de Senlis, lundi dernier.

Nous adressons nos condoléances à la famille en deuil.

Petites nouvellesRoute Nationale 17, les gendarmes con­

trô lant l’identité d’un homme qui leur é ta it inconnu, ce dern ier eut la mala­d resse de la isser tom ber un bpiquet non m uni de l’estampille de la régie. C’est ainsi que ce Monsieur du nom de Georges, Delaunay, 36 ans, m assieotier à Tour­coing, s’est vu d resser procès-verbal après saisie du briquet.

Théâtre municipal cinémaProgram m e des 26 et 27 septembreSamedi, soirée à 8 heures 45.Dimanche, m atinée à 2 heures 45. —

Soirée à 8 heures 45.Un grand film docum entaire LES MER­

VEILLES DE LA MER, scènes sous-mari­nes prises p ar 30 m ètres de fond.

j c a . V E & G 11A.W CE u n v u t.F .FO RT. suite des aventures du Comte de Montf- Gristo, d ram e d ’aventures en 5 parties à grande mise en scène.

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ETAT CIVIL DE SENLISdu 18 au 2 ; Septembre iq2 5

paissances21. Jacqueline-Suzanne Dichelle, Faubourg-

S t-M art in , 1.22. Renée-Rose-Françoise Cayeux, 25, rue

de Beauvais.P ublications de <Mariages

19. M. René-Albert D utriaux , menuisier à ?Ù'i,ù,ii\-1iie'Kd(baùVv'liAVL5fùal-;î,roac,r;t„x'-Allc à C ham ant .

22 M. A im able-Edm ond-Louis Martin, se r rurie r forgeron, à Senlis, rue du Heaume, 8, et Mlle Hélène-Ernestine Clément, em- ployéede commerce à Senlis, rue du C hâte l ,6 .

22. M. Jean-Jacques Philippe, ouvrier de fabriques, actuellement au 5' Régiment de chasseurs à cheval, et Mlle Thérèse Cro- nauer, sans profession, demeurant à Sarre- guemines (Moselle).

IMariage24. M. R ao u l-Ju le s -A u g u s te Vincent,

peintre en bâtiments, dem eurant à Senlis, rue de Beauvais, 12, et Aille Gilberte-Augustine Jab in , employée, demeurant à Senlis, rue du C hâte l , 2.1.

Pécès19. Mme Lefèvre Marie-Désirée, V" De-

lorme, 81 ans, rue de la Tonnellerie, 11.19. Mme Caron Victoire-Antoinette,*femme

Ragois, 71 ans, rue du F our, 3.21. A1. Nicolas Véran, receveur d ’octroi,

52 ans, F aubourg-Sain t-A lart in , 31.

pour cet 2{iver

Que vous fa u t-il ?

) (TJIST B O I S T R É V E I L

p o u r les Jeu n es

Une Bonne Paire de Lunettespour les plus âgés

A lp h o n s e GIGOGNEpeut vous les fournir

A S E N L I SP U E V IE IL L E -D E -P A P IS

V 442

Police Correctionnelle de SenlisAodlence du 22 septem bre 192 5

Présidence de M. Herbet, juge.Ministère Public ; M. Gérède, substitut.

FLAGRANT-DELITS. — Au début de l ’aul dience le Tribunal confirme les mandats de dépôt délivrés les jours précédents contre quelques indésirables et condamne pour va­gabondage Pinohon Louis-Charles, 55 ans, à 3 mois de prison. Désimeur Sosthène, 44 ans, à 1 mois de prison.1 Héron Louis-René, 52 ans, e t l'algérien Medjaleb Tayeb Ben, 28 ans, chacun en 15 jours.

BOULLARRE. — Dans la nuit du 30 au 31 août, les polonais Stamarcki André, 41 ans, et Sokal Pierre, 31 an.s, ouvriers agricol»*, étant en état d 'iv re sse , ont pénétré dans le domicile de leur compatriote Skovronski, ha­bitant Louvres, en brisant la porte et la fenê­tre. Ils attrapent chacun 50 fr. d’amende pour bris de clôture et 5 fr. pour ivresse

ClIAlMBLY. — S ’étant riïcontrés le 2 août, les sieurs Gense Albert, âgé de 55 ans et Fizanne Victor, 72 ans. maçon, demeurant tous deux à Chantbly, s ’adressèrent des inju­res réciproques, sans que l ’on puisse en con­naître Je motif. Fizanne aurait, paraît-il, me­nacé son antagoniste avec une pelle; crai­gnant d’ètre frappé Gense lui appliqua un violent coup de bâton sur la tête. Le scène s ’étant passée sans témoin, le Tribunal sem ­blant embarrassé pour déterminer lequel a été le provocateur, inflige à Gense 16 francs d ’amende avec sursis. ' -

CHANTILLY. — De passage à Chantilly ]e 1er août, conduisant un oharrlot attela 9 , qtwtrs o h m u k i )« iwtnmrf Jutai,

30 ans, charretier à Surviffiers, heurta avec son véhicule l ’automobile du sieur Vollmeke, stationnant sur le côté droit de la route fa i­sant lace au Château. Une altercation survint entre le charretier et le propriétaire de l'au­tomobile au sujet de cet accident et comme :1e sieur Vollemeke le saisissait par le bras, Lejeune pour lui faire lâcher prise, lui porta un coup de tête dans l’estomac. Cet acte de violence rapporte à Lejeune 50 fr. d’amendo.

CBEIb. — Le 29 août, Rave Tmon-Auguste. 30 ans, manouvrier, disant demeurer à Beau­vais rue de la Madeleine, est venu à Gre-tl, alors que le 'séjour de cette localité lui était interdit. Rave qui a déjà contrevenu à. F'ar­rêté ipfis contre lui, récolte 2 mois de prison.

— Au cours d ’une réunion de famille à l ’occasion d’un baptême chez le polonais Jorkiewcr, habitant au Tremblay, dans l’après-midi du 9 août, une querelle éclata entre .plusieurs convives au -sujet de l’atti- mUa inconvenante d e l’un d'eux, 'le nommé Lanezak. lie s injures furent échangées et le nommé Zuirkowsky Bo'laslaw, âgé de 30 ans, ouvrier forgeron se voyant menacé s ’empara d’un couteau et en frappa son compatriote Madey qu’il blessa à la poitrine et au bras gauche. Zurkowsky est -condamné en 1 mois de prison.

\ FONTAINE-GHAALIS. — Travaillant corn­u e bûcheron dans les boi-s de Chaâtis, le mmmé Pochet Lucien, âgé de 23 ans, dansl’intention d’améliorer son ordinaire avait posé quelques collets. Le 20 juillet dans l’après-midi alors su’il es disposait à em­porter un lapin -pris à l’un des engins, sur­vint le garde -particulier Ghourlet qui l ’ob­servait et lui .déclara prowès-ve-rbal. Pochet s ’entend octroyer 8 jours de prison 100 fr. d ’amende. •

GLAIGNES. — Occupé à des réparationsà un immeuble appartenant à M. Leboi», in­dustriel à Qrrouy, le nommé Bouton Mau­rice, âgé de 33 ans, maçon à d a ign es , a dé­robé plusieurs marceaux de bois façonnés, avec lesquels il a fabriqué un pigeonnier et des cabanes à lapins. Il est condamné en 15 jours de prison.

— Ayant acheté un fusil et impatient de l’essayer, le nommé Pèlerin Léandre, âgé de 37 ans, manouvrier à Glaignes, n ’a pu atten­dre l’outverture de la chasse. Les 23 et 24 juillet il a été vu par plusieurs habitants de la commune et notamment par le garde par­ticulier Legra-n-d, en attitude de chasse ac­compagné d ’un chien dans la plaine de Glai-I4TIGfc>• 1 viÿttu 1 owavo u juuaa tac ptisou J.V/Ufrancs d’amende, pour chasse sans permis et en temps prohibé.

MONTATAIRE. — Exerçant une surveil­lance à la su ite de nombreux vols constatés en gaire du « P etit Thérain », le surveillant de ronde Ratte, a 'surpris le 11 août à 3 heures du soir, l ’algérien Cherifi Khelonfi Ben, âgé -de 22 ans, manœuvre à Montataire, enlevant d es traverses en bois, disposées près des voies pour êdre employées à la ré­fection. Par défaut le Tribunal oondamne Cherifl à 1 mois de -prison.

— Travaillant à une entreprise de battage le 26 août à Boran, les nommés Vergnier Edmond, 17 ans, de N ogeat-sur-O ise et Cocu Maxime, 18 ans, de Montataire, ont capturé une poule appartenant au sieur Broutin. Vergnier récemment condamné pour vol at­trape 2 mois de prison et Cocu 15 jours.

SENLIS. — Le 25 août sur la place du Marché, à propos d’une question d’intérêt, le nommé Brébant Louis, 43 ans, marchand de marée à Senlis, et son frère Brébant Vic­tor, 35 ans, bûcheron à Montlévêque, ont exercé des violences sur le sieur Drocourt André. Après avoir brisé une bouteille vide sur la tête de son antagoniste, Brébant Loui3 s ’est servi du débris lui restant à la main pour le frapper, occasionnant à Drocourt de sérieuses blessure-s à la tête. Brébant Louis s ’entend infliger 15 jours dé prison et son frère Victor 16 francs d’amende; tous deux bénéficient de la loi de sursis.

» MiDuniE,. ■— ruur la irorsieme 101s ae- puis dix mois, Balny Désiré, 51 ans, manou­vrier à Verberie, comparaît devant les Juges pour ivresse en récidive. Après s'être montré clément, le Tribunal se trouve dans l’obliga­tion de sévir, Balmy n’ayant pas tenu sa pro­messe de ne plu-s s ’enivrer. L'ivrogne récolte don-c 1 mois de prison 300 francs d’amende.

CHANTILLYM U SE E. — O uvert : i° les D imanches et

Jeudis (entrée gratuite) ; 2° les Samedis, 2 fr. l’entrée ; de 1 h à 5 h . , sortie à 5 h. 12 du parc.

P H A R M A C IE S ouvertes tous les Di­manches ju squ’à midi.

S E R V IC E A U T O M O B IL E C HA NTILLY- G OUVIEUX. — D épar t de Chantilly , place de la Gare : 6 h . 55, 8 h., 10 h. 40, 11 h. 30,17 h. 30, 18 h. 30. D épart de Gouvieux, place d e là République ; 7 h . 20, 8 h. 1 5 ,1 1 h . . 11 h. 45, 17 h. 50, 18 h. 50.

Le premier service ^6 h. 55) dessert le h a ­meau de C haum ont, il en est de même au tour de 17 h. 30.

Les D imanches et Fêtes, le dernier départ de Gouvieux est reculé à 19 h. 45.

Rectification au Concours hippique. — Leprix de la Coupe de Chantilly qui sera couru le lundi 5 octobre, est, grâce à un legs g é ­néreux, augmenté et porté à 4.000 fr., dont1.500 fr. aju prem ier et 800 fr. au second.

En outre, une épreuve supplémentaire esT- créée, dotée d’un prix de 1.000 fr. qui sera attribué au plus beau cheval de poids lourd de 4, 5 ou 6 ans.

Cette dernière compétition aura lieu Im­médiatement avant la Coupe, à 14 heures.

Elle e st partie ? — Le jeune Pierre Re ■ gnault, âgé de 14 ans, fils du métreur de -l’avenue Aumont, se trouvait en bicyolette sur la route Nationale numéro 16, au moment du passage d’une course cycliste organisée par un Journal sportif de Paris.

Au moment du passage du peleton de tète, d’un des cyclistes s'amusa de prendre la casquette en drap bleu foncé avec initiales S. E. et de s ’en coiffer.

Le jeune Regnault le suivit un certain temps croyant que le cycliste lui rendrait sa casquette, mais il n’en fut rien.

M. Regnault père a porté plainte à la gen­darmerie qui enquête.

Préjudice : 50 francs.— Les gendarmes ont arrêté et conduit à

Senlis, sous 1’inc.utpatlon d’outrage public à la pudeur, le manouvrier Paul-Edmond Lê- ques, âgé de 31 ans, domicilié à Boran, 22,rue de Filon.

— Rue des Fontaines, les gendarmes en vertu d’un extrait de jugem ent confirmé par arrêt de la Cour d ’appel d’Amiens, ont arrêté Charles Mahreux, âgé de 43 ans, né à Gou­vieux, condamné à 2 mois de prison, 500 fr. d'amende, plus 100 francs pour prix de per­mis de chasse.

II a CIO d ir ig é s u r S e n lis a la d is p o s it io n d u Parquet.

G olf de Chantilly. — Résultats des con­cours. — Prix des Tribunes (D am es). —18 engagements. Gagnante : Mme A.-M. Va-gliano, 78 net. Mme Monter et Mme Borel de Kink-elin arrivènt secondes et ex-æquo avec 80.

Prix du Bois Saknt-Martin (D am es). — 16 engagements. Gagnante : Mlle P. Fou- cher h. 30 net 71.

Seconde ; Mille S. Carré, h. 21 net 74; Troisième : Mme P. Borel, h. 17 net 75.

Prix du Gros Chêne (M essieurs). — 28engagements. Gagnant : M. Stifter, h. 222 downs; second : M . D. Caillet, h. 103 downs ; troisième : M. Carlhian, h. 184 downs.

— Dimanche 20 courant, le Groupe Sym­phonique de la Gare de Pantin, venu en ouuMttm il übwuujr. • <dotw< un esnaer»

public au Bois Bourillon, sous les ombrages de la forêt, de 16 h, 30 à 17 h. 30.

Ce concert a été très réussi et les habi­tants de Chantilly ont pu ^apprécier le talent artistique de cette Société'qui a fait entendre Ie-s morceaux suivants :

Joyeux Montmartre (Paradis); Ouverture du Voyage en Chine (B azin); Mme Mousset dans son répertoire; Lafleurance, caprice pour petite flûte (Coûtent) ; M. Monnerat dans son répertoire; Le Réveil des Francs (Lebcrt) ; Lune de miel (R psey).

Mme Mousse t qui possède une jolie voix de soprano eb M. Monnerat jeune ténor plein d ’avenir qui fait partie des concerts Radio, ont. charmé les auditeurs en interprétant avec sentiment les œuvres de leur répertoire ac­compagnées des violons de l’orchestre.

Aussi les auditeurs venus fort nombreux ont été très agréablement surpris et n’ont pas ménagé les applaudissements m anifes­tant leur satisfaction pour ce concert dont ils garderont longtemps un souvenir agréable.

A l’issue de ce concert un apéritif d’hon­neur a été offert à cette Société par la Muni­cipalité pour la remercier.

— L’Harmonie municipale de Chantilly a donné de son côté un magnifique eoneert sur la place de l ’Hospice-Condé, de 17 h. 30 à 18 heures 30.

L’exécution parfaite des morceaux du pro­gramme choisis judicieusement, témoigna des travaux e t des progrès de notre excel­lente Société musicale.

Le publie très nombreux n’a pas ménagé non plus ses bravos à chaque morceau et notamment après l’exécution de la polka pour piston « Rossignol et. Fauvette » interprétée brillamment, par les deux solistes MM. Le- fort et Rousseau qui ont droit particulière­ment à toutes les félicitations.

Une requête à notre Société musicale; c ’est de voir se Renouveler plus souvent de semblables auditions qui sont goûtées du public et seront à n’en point douter suivies avec le -plus grand intérêt.

En attendant toutes nos félicitations aux musiciens et à leur dévoué ehef M» Daguet.

ACY-EN-MULTIEN

Pour défaut d’éclairago. — Amédée Flam- bert, 57 ans, -peintre, n’a pas éclairé sa voi­ture, de même Aristide Petit, 27 ans, cafe­tier,» qui circule sur une bécane dépourvue de lumière.

Procès-verbaux ont été dressés.APREMONT

Mordu par un ohten. -—- M. Jean Léonard, âgé de 42 ans, inspecteur„de la police munici­pale à Paris, demeurant 60, rue Mouton- Deveroet, à Paris, et aetueffeme-nt en villé­giature à Apremont, rue de la Haute-Pom-

<ùietr«.-ie, se promenait en bicyclette ac-compa- , gné de ses deux enfants, lorsqu’arrivé au

village de Vineuil-Saint-Firmin, à hauteur de la maison portant le numéro 15, un chien sous poil noir et blanc de taille moyenne se jeta sur la jeune Odette Léonard qui était en bécane et la mordit à la cheville droite.

L’enfant a reçu les soins du Docteur Rlu- vignon, de Chantilly, et l ’enquête a fait con­naître que le chien en question qui n ’aime par les qyclistes ni les automobilistes appar­tenait à M. Jean Dufour, blanchisseur, 8 , rue des Sœurs, à Vineu-il, -contre qui procès- verbal a été dressé. Celui-ci a promis de dé­sintéresser entièrement le plaignant et de faire visiter son chien.

AUMONT

Le chauffeur Fernand W iort, 35 ans, au service de M. Piedloup, brasseur à Chantilly, avait arrêté son oamon-auto de poids lourd devant le débit Roland.

Les gendarmes de Senlis passent et cons­tatent que le chauffeur n’a pas de permis de conduite pour véhicules autos de poids lourds.

Procès-verbal a été dressé.- 7 :

Nous apprenons le prochain mariage de Mile Renée Collas, chef de troisième à la Maison Potin, 103, boulevard Séhastopol, à Paris, avec M. Paul Delpech, chef du per­sonnel de la Maison Potin et Cie, boulevard Séhastopol, à Paris.

Le mariage sera célébré le mardi 6 octo­bre à la mairie de Béthisy-Saint-Martin et la bénédiction nuptiale leur sera donnée le même jour, en l’église du pays par M. le curé Bahier, curé de Béthisy-Saint-Pierre.

Nous présentons aux futurs époux, nos meilleurs vœux de bonheur,

-— A la suite de la mort de M. Louis Fou- quoire, fabricant de vannerie, Mme veuve Fouquoire a fait don d’une somme de 50 fr. à la caisse de la Section de TU. N» C.

-Le bureau de TU. N. C. présente à Mme Fouquoire, l ’assurance de ses bien sincères remerciements.

BON NEUIL-EN-VALOIS

Un cultivateur de Bonneuil-en-Valois, M. Pierre Mariette, qui, étant dans la rue de Paris, à Villers-Cotterêts, avait laissé une c-harette à deux roues attelée de trois che­vaux -de file, en stationnement devant un ma­gasin de cycles, sans prendre la précaution d’enrayer les roues du véhicule et d’attacher les chevaux, a été l ’objet d’un procès-verbal pour abandon d ’attelage.

CHAMANT

Dimanche 27 septembre, sous la tente deM . Delsuplaice, grand bail en m a tin ée , de 4 heures a 7 heures et grande soirée d’adieu.

Toute danseuse accompagnée d’un cava­lier ne paiera qu’une placé.

— Au Poteau, Mme Dubon, âgée de 76 ans, voulant se reposer vers 13 heures, alla se coucher, mais quelle ne fut pas sa sur­prise de constater à son réveil que son mari M. J. Dubon, âgé de 84 ans, s’était pendu à l ’intérieur de son habitation à un clou ac­croché au mur. Elle prévint aussitôt une voi­sine Mme Hubert qui oourut immédiatement avertir M. et Mme Dubon, ses enfants.

M. Dubon arriva, coupa la corde, mais son père avait cessé de vivre, le corps était déjà froid.

Paralysé du côté droit, M. Dubon qui était un travailleur acharné, ne pouvait souffrir son inaptitude au travail causée par cette paraJysiè.

Le Docteur Chastel a délivré le permis d’inhumer.

COYE-LA-FORET

Soirée de flala du 20 septem bre au Fa- m lly-C iném a. —- Le salle do- patronage était apchloomble dimanche dernier. Ce fut une belle fête de la musique et de la Poésie que bien des grandes villes pourraient nous en­vier. Quel charme élégant pour les yeux de voir Mme Bastide jouer de la harpe et quel délice d’entendre « La Source » et « La Pa­trouille » aux uuanoes et à l’harmonie imita ­tive si bien rendues par son merveilleux Ins­trument.

M. R ich a rd n o u s a d it « L a V ache » e t « Le Crabe », de Zamacois, et sa diction im­peccable et si personnelle, ses jeux de phy­sionomie, ses gestes nous ont amusés beau­coup avec peu de chose. Très plaisante aussi et actuelle, sa chanson de » La Vie Chère ».

Nous avons entendu ensuite « W erther », l ’adimirable acte des lettres, avec Mme Delé- cluze, de l ’Opéra-Comique, Charlotte émou­vante dont la voix au timbre puissant, au régistre étendu nous a tenus sous le charme. Mme Print chante comme l ’oiseau : même fraîcheur, même aisance, même roulades cristallines.

Le programme d’un goût éolairé se ter­minait par « Gringoire », joué dans les beaux costumes de l’époque par de vrais ar­tistes. M. Bastide, le réputé violoniste des grands concerts de Paris, qui nous avait charmés à la grand’m esse et dont le théâtre eet le violon d’Ingres, fut un Louis XI eur- wwMdtt d» virlW) .»*# <fu« kou* UAdiqipj

l ’Histoire et nous le représente le Miracle des Loups : superstitieux, rusé, tenace « .aimant son peuple et ses bourgeois plus que tout au monde », intraitable pour les rebelles,..m ais bon pour 'ses amis, tel le marchand Fournie*, dont, à cause des. temps sans doùté, nous avons surtout retenu ces paroles : «.Il noue fallait un chef à la main, rude , et vaillante, un maître inflexible pour le s bergers qui ton­daient de trop près notre laine »... A côté du Roi, les gracieuses Mme Bouchaeourt (Ni­cole) et Mlle Arnaud (L oyse), M. Redon, parfait artiste dans le. rôle de Gringoire,,: pâle poète rêveur, M. Richard (Olivier .le Daim) c.t.M. Lemoine (Simon Fournlez), nous firent avec beaucoup de talent apprécier, la. jolie pièce de Banville, et méritent notre bien vive et bien sincère reconnaissance pour cette belle sorée. H. S.

CREIL

Comité crelllo ls des Colonies Scolaires. —Le retour des enfants en vacances à la Colo­nie d’Onival est fixé au mardi 29 courant. Ils arriveront à Greil par le train de 15 h. 04.

Chaque mois le retour des enfants est an­noncé dans les journaux locaux et par lettre envoyée par les petits colons. Malgré ces précautions nous avons eu le regret de consr tater le mois dernier l’absence de quelques parents pour recevoir leurs enfants. Nous espérons que pareil fait ne se renouvellera plus et nous prévenons les familles qu’à l'ar­rivée des enfants en gare de Greil, le Comité oonsidère sa mission terminée.

F ête annuelle de la 8 o c lê t i am icale desanolens é lèves de l’école Som asoa. — Nousavons informé nos lecteurs que cette Société organisait une matinée concert le 11 octobre prochain, à 14 h. 30, dans la salle des fêtes de Nagent, rue Jean-de-la-Fontaine.

Le Comité de cette Société nous prie d’in­former le public que des cartes payantes sont en vente au prix de 3 francs.

Il est prudent de retenir dès maintenant se s places auprès des membres de cette So­ciété, ou chez le secrétaire, A. Dubail, 1, rue du Dépôt, à Nogent-sur-Olse.

Nous donnerons dans notre prochain nu­méro un aperçu de cette matinée.

ERMENONVILLE

M, Alfred Béry, peintre en bâtiments, par­tait en voiture à Montméllan accompagné de sa femme, de sa belle-sœ ur et du fils de cette dernière âgé de 11 ans, lorsqu’arr.vée à l’embranchement de la route d.e V er, sortie nOra-ouest a ’Ermenonviue, n aperçut uue auto venant en sens inverse qui vint droit sur le cheval qui eut l’antérieur gauche cassé nécessitant son abattage.

L’auto conduite par M. Georges Lejour, in­génieur oomimeroial, 41, rue d’Islande, à Bruxelles, allait à une allure modérée, mais aucun son de trompe n’avait ôté entendu, et la fatalité voulut que la voiture du peintre fut cachée par une maison faisant coin au tournant.

Le cheval était d’une valeur de 4.000 fr.La brigade de gendarmerie de Nanteull a

ouvert une enquête.

FEIGNEUX

M. le Sous-Préfet a agréé M. Marcel Goa- son, domicilié à Morcourt, en qualité de garde particulier de M. Frédéric Poiret.

GOUVIEUX

La section de TU. N. C. qui organise son bal annuel pour le samedi 17 ootobre, et dont le profit devait être réservé à sa caisse de secours, vient de faire un beau geste des plus méritants.

Dans son assemblée générale du 3 septem­bre, sur la proposition de son dévoué prési­dent, M. Galiehan, la section a décidé, à l’unanimité, que les bénéfices de son bal an­nuel seront versés par période aux jeunes gens de Gouvieux que le service militaire appelle au Maroc et en Syrie. Le bHlet est envolé.^ —— M. P ie r re Tro-Préoy, au lieudit les Bouleaux, a signalé à la gendiarmerie de Chantilly que pendant sonabsence, on avait pénétré chez lui et fait main-basse sur un billet de banque de 100 francs qui se trouvait placé avec d’autres dans un porte-monnaie lequel était dans un .pardessus accroché dans la chambre du rez- de-chaussée. H a fourni à la gendarmerie cer­tains renseignements qui pourraient peut- être faire découvrir le voleur.

LA CHAPELLE-EN-SERVAL

Pour tapage injurieux, Georges Nectoux, 25 ans, tourneur-mécanicien, 3, rue d’Au- male à Orry-la-Ville It Pierre Legros, 23 ans, charron à La Chapelle, ont récolté uh procès-verbal.

LEVIGNEN

Vagabondant, le sujet serbe Duro Kapès, 25 ans, venant d ’Arras, est arrêté et transféréà Senlis.

MAROLLES

P én ib le accident de ohasse. — Un enfant tué son grand-père. — Un tragique accident de ohasse vient de coûter la vie à M. Frédéric Longuet, propriétaire, rue Demoustier à Vil- lers-Ootterêts, ancien agriculteur à Marottes.

M. Longuet, âgé de 70 ans, ancien maire de Marottes, se trouvait à la chasse en com­pagnie de son petit-fils René, âgé de 13 ans.

Le grand-père tira un lièvre qu’tt tua et alla lui-même le ramasser. Auparavant, il avait remis son fusil à René en lui deman­dant de le recharger, ce que fit le jeune gar­çon; mais comme il rabattait les canons, le coup partit. M. Longuet fut atteint par toute la change et eut le genou fracassé et l’ar­tère fémorale coupée.

Aussitôt conduit à l'hôpital de Meaux, la malheureux grand-père y est décédé dans U soirée, malgré les soins qui lui furent prodi­gués.

Les obsèques de M. Frédéric Longuet ont eu lieu en présence d’une aflluenoe considé­rable.

Au oimetlère, un dioours a été prononcé par M. Bernhàrd, ancien instituteur et an­cien maire, discours que l ’abondance des matières nous oblige à renvoyer la publica­tion au prochain numéro.

Nous prions la famille de M. Longuet d’ac­cepter nos plus sincères oondoléances.

ORMOY-VILLERS

Une quête faite au profit de la caisse des écoles au mariage Rachel-Triff, a produit la somme de 15 francs.

— M. le Sous-Préfet a agréé MM. Eugène Gaillard et Clément Morel, en qualité de gar­des particuliers dl M. Jean-Flrmin Marjollet,

ORROUY

Quatrième liste de la souscription pour l’érLction d ’un monument aux enfants d’Or- rouy à Morts pour la France » :

M. Lefèvre-Debouvère, à Glllocourt, 5 fr.; M. Fri'son-Lefèvre, à Gillocourt, 5; M. Cta-baut Victor, à JoinviUe-le-Pont, 10; M. L&s- salle-Thiéflne, à Vlllers-Cotterête, B; Ano­nyme, 5; M. Tourneur-Barborye, à Complô- gne, 20; M. Bahu Alphonse, à Boissy-Free- noy, 20; M. Vérez Alphonse, à N ogent-sur- Oiee, 10; M. R. B„ à Béthisy-Saint-Pierre. 5; M. Beaudequln-Patou, à Béthlsy-Salnt- Plerre, 20; M. Duponchel-Vlncent, à Glttp- court, 20; M. Esmery-Courtln, à Béthlsy- Saint-Plerre, 10; M. le Directeur de la su ­crerie de Longuell-Salnte-Marle, 50; M. Le- mercier-Bahu, à Auger-Saint-Vinoent, 20; M. Lemaire Justin, garde champêtre à Or- rouy, 5 ; M. le baron de Seroux, château de tt Mothe, 25; Mme Jeanne Brasseur, à Paris, 20; M. Drteux Gaston, à Crépy-en-Valois, 10; M. Desse Jules, 5; M. Choron-Oage. à Rober- val, 20; M. Balagny-Cormont, à Boissy-Fres- moy, 10 francs.

Total au 20 septembre 1925 : 9.230 fr. 45.L'inauguration du monument aura Ueu dl»

Page 3: Directeur Commercial i E. VIGNON A travers Sentisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_09_27_MRC.pdf · C’est donc une transformation dans le fond et dans l’esprit de

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UNE GRANDE MAISONsise à SENLIS

rue Sainte-Geneviève, n* 14 à l’encoignure

de la rue de la Carne-de-Cerf

U ne autre M aison sise à SENLIS

rue Rougemaille, n° 7

L'adjudication aura lie .1 le MARDI 2 0 O ctobre 1 9 2 S, à quatorze heures, en l’Etude et par le ministère de M® PETIT, notaire à Senlis, commis à cet effet.

L’autre composé de : une cui­sine, une chambre et une salle àmanger.

Dans le couloir desservant les appartem ents de eet étage, water- cioset.

Au-dessus, grenier couvert en tuiles, divisé en cinq parties.

Vastes caves e t double-cave ayant accès e t par l’intérieur de la maison sous l’escalier desser­vant les étages e t par la rue de la Corne-de-Cerf.

Concession d’eau desservant tous les étages.

Cour avec entrée de porte co- chère sur la rue Sainte-Gene­viève ; dans cette cour, w ater- closet et atelier.

Le tout tenant par devant à la rue Sainte-Geneviève, par der­rière à Madame Roze, d’un côté à la rue de la Corne-de-Cerf, d’au- côté à Madame Chéron.

Cadastré section H, numéro 1 2 2 0 pour deux ares quatre-vingt- deux centiares.

Deuxième lot.,Une Maison, sise à Senlis, rue

Rougemaille, n® 7, comprenant :Au rez-de-chaussée : magasin,

salle à manger, cuisine, petite cour et cabinets d’aisance.

Au prem ier étage : chambre et cabinet de toilette.CttCAlVWt MM.-'MWrtUW v v w , %tuiles.

Cave sous la maison.Lé tout tenant p a j devant à la

rue Rougemaille, par derrière à Monsieur B oiv in , d’un côté à Monsieur Rqmand, et d’autre côté à Madame Yavasseur.

Cadastré section H, numéro 672 pour cinquante et un centiares.

En présence ou eux dûment | appelés de :

I 'n*. Monsieur /vie;»gny, maréchal, dem eurant à La ; Villeneuve-sous-Thury.

Adjudicataire surenchéri. N’ayant pas d’avoué constitué. 2'ftl. Mme Henriette - Désirée |

Gogly, épouse assistée et autorisée | de M. Louis-François-A rratoile Philippin, commerçant aveclequel elle demeure à Paris, rue du Fau-| bourg-Poissonnière, n* 53 ; 3'n‘. M. Gabriel-Georges Brismontier, brocanteur, dem eurant à Mareuil- sur-Ourcq ; 4'"1. Mme Marcelle- ! Eugénie. Brismontier, épouse as­sistée e t autorisée de M. Jules | Dubois, gendarme, avec lequel

sises terroirs de M ontigny-l’Allier (Aisne)

cii w u u -oui—v u i vvj v ~ M)*

L’adjudication aura lieu le Sam edi 2 4 O ctobre 1 9 2 5 , à quatorzeheures, en la Mairie de Mareuil- sur-Ourcq, par le m inistère de M» PETIT, notaire à Betz, com­mis à cet effet.

elle demeure à Maubeuge ; M.

DÉSIGNATION & MISES A PRIXD E S IM M E U B L E S A V E N D U E

T erro ir de M ontigny-l’A ilierCanton de N euilly-Saint-F ront

Arrondissem ent de Château-Thierry (A isne)Georges - Auguste Brismontier,

employé de chemin de fer, demeu­rant à, M areuil-sur Ourcq « agis-« sant en son nom personnel et a u , , , v.« nom et comme tu teur naturel et I ^ peupliers de i l ans, neu-« légal de : 1” Camille-Eugénie | dit les Marais de Noisj% tenant d.

Premier lot 1 are 73 centiares d’aunaie plan-

NIISES A PRIX

notaire à Senlis, et déposé en son Etude, où toute personne peut en prendreconnaissance,les enchères seront reçues sur les mises à prix suivantes, fixées par le jugement précité, savoir :

Pour le premier

a p p a r t ie n d r a -Qu en vertu et en exécution d’un

jugem ent contradictoirem ent ren­du par le Tribunal civil de Senlis, le prem ier juillet 1925, enregistré e t signifié.

Il sera, aux requêtes, poursuites e t diligences ae : i® Madame Louise-Julie-Henriette Frigault, épouse de Monsieur Paul-Marcel- lin Hergle, comptable, avec lequel elle dem eure à Cramoisy, et ce dernier tant en son nom person­nel au besoin que pour assister et autoriser la dame son épouse sus­nommée ; 2° Mademoiselle Ma- thilde-Jeanne Frigault, sans pro fession , célibataire majeure , dem eurant à Senlis, rue Sainte- Geneviève, n® 14; 3* Monsieur André-Jules Frigault, entrepre­neur de couvertures, demeurant i Senlis, rue Sainte-Geneviève, 14: [lot, à la somme de ..4® Madame Marthe- Aurélie F ri-1 Pour le deuxièmegaplt. sans profession, dem eurant lot à la somme d e . . i ©ramoisy. 1

Poursuivants, ayant M® L. Chas- taing pour avoué Constitué, de­m eurant à S en lis , rue Sainte- Geneviève.

E t encore en présence ou lui dûm ent appelé de : Monsieur An- dré-M arius Rechain receveur des d o m a in e s , d e m e u r a n t à S e n 'i s rue Saint Frambourg. pris comme agissant par délégation de Mon­sieur le Conseiller d 'E tat Diree teu r général de l’Enregistrement, des Domaines et du Timbre, de­m eurant à Paris, place Vendôme B* 16. e t plus spécialement de Monsieur le Directeur de l’Enre-

f iatrement, des Domaines e t du fmbre du département de l’Oise,

dem eurant à Beauvais, et en cette qualiié comme séquestre des biens de Monsieur Ilenry-Anatole Fri gault, domicilié à Senlis, rue Sainte-Geneviève, 14.

Ayant M* Morand pour avoué constitué, dem eurant à Senlis, rue Saint-Hilaire.

« Brismontier; 2° Eugénie-Jeanne « Brismontier ; 3" et Georgette- « Jeanne Brismontier, ses trois «en fan ts mineurs issus de son « union avec Mme Georgette - « Jeanne Gogly, son épouse dé- « cédée ».

Poursuivants la prem ière vente. Ayant pour avoué. M® Georges

Morand, dem eurant à Senlis.

Legrain, manouvrier. avec lequel elle demeure àMareuil-sur-Ourcq. « agissant au nom et comme su- « brogée tutrice des mineurs « Brismontier, sus-nommés »,

Il sera, le Sam edi vingt-quatre Octobre 1925, à quatorze heures en la Mairie de Mareuil-sur-Ourcq,

c. est aux héritiers Delaporte- Brisset, d. c, à Mme Godé-Ful- gence, d. b. au canal du Clignon,d. b. à la commune de Montigny. Cad. section C, n° 507 p.

Mise à prix : 4 0 francs.Deuxième lot

3 ares de jardin avec arbres frui­tiers, lieudit près de la Coinman- derie et la Fontaine des Chiens, c. à la ferme cfë là Commanderié, d b. nord au chemin de fer. d. b. à la route. Cad. section C, n* 132 p.

Mise à prix : 4 5 francs.

25.000 fr.5.000 fp.

Troisième lot7 ares 65 centiares de terre , lieu-

d itlaH eulardeou le Poirier Gallet, par le m inistère de M* Petit, no-1 louant d. c. nord à la ferme de la taire à Betz, commis à cet effet, I Çominanderieet M. Aubry-Halard, procédé à la vente sur surenchère! d- C. a M. Bouvrande Emile, d. b. du sixième, aux enchères pu-1 o&t à M Pivot Léon < t d. b. à M.

dernier I Daniel Léon. Sect. C, 11» 218 du extinction des | oadastre.

Mise à prix : 3 0 francs.

Quatrième lot18 ares 78 centiares de pré plan­

té de 46 peupliers de 22 ans, lieudit la prairie de Nois.y, près le Moulin, tenant d. c. est à M. Sainte Jules, d. c. à M- Desjardins-Qué- met, d. b. à la rivière de Clignon,

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

Senlis, le 24 septembre 1925.Signé : L. CHASTAING.

E t enregistré.

Us renseigne-

immeuble dont la désignation suit :

DÉSIGNATION & MISE A PRIXD E L ’IM M E U B L E A V E N D R E

Une Maison Bourgeoise sise à Mareuil-sur-Ourcq, rue du Jour, élevée sur sous-sol d’un rez-de- chaussée comprenant cuisine et salle à manger et d’un étage com­prenant deux chambres, grenier au-dessus couvert en tuiles.

Jardin.Au fond du jardin, adossé à la

propriété de M. Bézardin. bâti­m ent servant de cabanes à lapins.

Cabinets d’aisances.

tit, et d. b aux héritiers Leroy Jules. Sect. A, n°446p. du cadastre.

MÎSjB à : G O fr&ï*<?£t.Onzième lot

4 ares 60 centiares d’aunaie plantée de 6 peupliers de 1 0 ans. à la Chaussée, tenant d. c. est aux héritiers Leroy Jules, d. c. faisant hache à Mme' Chéron Albert et autres, des 2 bouts à M. Aubry- Halard. Sect. A, n» 136 du cadastre.

Mise à prix : 4 5 francs.

Douzième lot

2 ares de pré planté de G peu­pliers de 24 ans. lieudit la Planche, tenant d. c. est à Mme Godé Ful- gence, d. c. à MM. Fallai François et Quémet, d. b. nord à Mme Tar- rète-Demont, d. b. à M. Aubry- Delaplace. Sect, A, n“ 44 du cad.

Mise à prix : 9 0 francs.

Treizième et dernier lot

12 ares 40 centiares d'aunaie plantée de 37 peupliers de 26 ans, lieudit la Planche, tenant d. c. est à MM. Fallai François et Quémet, d. c. aux héritiers Dubois Jules, d. b. nord à Mlle Marteau et d. b. au grand Fossé. Sect. A, n° 48 du cadastre.

Mise à prix : 5 3 0 francs.

L’adjudication aura lieu en exé­cution d’un jugement rendu sur requête par le Tribunal civil de Senlis, le trente juin 1925, enre­gistré, et sous les charges, clauses etconditions du cahier des chargf s dressé par Me Petit, notaire à Betz, et déposé en son Etude, où toute personne peut en prendre connais­sance, et sur les. mises à prix sus- indiquéos, fixées par le jugem ent sus-éuoncé.

A r t . 5.

Compagnie des Chemins de Fer de l’Est

LIGNE DE TRILPQRT A LA FERTÉ-MILON

Dépôt d’escarbilles et agrandissem ent éventuel du dépôt de La Ferté-Milon

A . V I S

Suivant contrat reçu par M* Raimondi, notaire à La Ferté-M ilon, le cinq décembre miP neuf cent vingt-quatre, la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est, dont, le siège est à Paris, rue et place de Strasbourg, a acquis de M. Charles-Victorien-Jules Petit et M. Henri- Lueien Huyot, éleveurs, dem eurant à La Ferté-Milon, rue Saint- Lazare, agissant comme seuls membres de la Société en nom collec­tif « PETIT & HUYOT », dont le siège est à La Ferté-Milon, rue Saint-Lazare. l ’immeuble désigné au tableau ci-dessous, déclaré cessible p a r arrêté de M. le Préfet du Département de l’Oise, en date du 1er Septembre 1925, nécessaire au dépôt d’escarbilles et à l’agran­dissement éventuel du dépôt de La Ferté-Milon.

Etude de M» LANGLOIS, notaireà Senlis.

A vendre de gré à gré, Maison avec ses meubles et grand jardin, h Baron.

Etude de Me TABARD, notaire à Précy-sur-Oise.

Maison à Bury, avec Fonds de Cafetier-Restaurateur, et Pièce de Terre, te rro ir de Bury, à vendre aux enchères publiques, en deux lots, à Précy-sur-Oise, en l ’Etude et par le m inistère de M* Tabard, notaire, le Samedi 47 Octobre 1925, à quatre heures du soir.

CO M M U NE

Marolles

N A T U R E

terrainplanté

L I E U D I T

Port de Nimer

C O N T E ­

N A N C E

13 a. 80

r e l a t i o n d u c a d a s t r e

Sect. N*

602P

Propriétaire InscritScart Arthur

cultivateur à Préciamont.

P R IX

3.800 fr

A vendre aux enchères, pour cause de suppression de vacherie, à Précy-sur-O ise, en la ferme outre l’Oise, requête de M. Bet- nier, le Dimanche 4 Octobre 1925, à 14 heures 30, par le m inistère de M' Tabard, notaire, 2 Tau­reaux (dont un Hollandais), et. 2 0 bonnes et jeunes Vaches laitières, Normandes e t Flaman­des, pleines et fraîches vêlées.

Les personnes ayant des privilèges 0 q des hypothèques conven­tionnelles, judiciaires ou légales sur l’immeuble sus-désigné, qui n’auraient pas encore pris inscription ou dont les inscriptions ne por- îafihftnb a ’t?Ae,.'Uci'aî:o''auidfiy’ï cgvÆ-jîA'Bis(i-Sv,fiL.)f!% \yyhftmes .qui meuble, sont prévenues que le contrat de vente ci-dessus énoncé va être immédiatement transcrit au Bureau des Hypothèques de Senlis, et qu’après l’expiration de la quinzaine qui suivra cette transcription, le prix de la dite vente sera payé aux vendeurs s’il n’existe ni inscrip­tion contre ces derniers ni autre obstacle au paiement.

Le présent avis donné en conformité des articles 1S et 19 de la loi du 3 Mai 1841 et certifié conforme par le Directeur de la Compagnie des Chemins de fer de l’Est.

Signé : RIBOUD.

Vente Mobilière, à Blaincourt,en la demeure et à la requête de Mme veuve Peltier, le Dimanche U Octobre 4925, à 1 heure 1/2, par.! . : - a i. -i _ irAaire.

d. b. au grand Fossé. Sect. C, 655 du cadastre.

Mise à prix : 0 0 0 francs.

Cinquième lot12 ares 76 centiares de terre,

lieudit à Moreau, près la Fontaine Blanche, tenant d. c . nord à la

Les im m eubles dont s’agit dé­pendent de la com m unauté et des successions de M. Pierre- Aimable-Francois Eloy et Mme , rançoise Dubois, son épouse, tous deux décédés.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

A Senlis, le 26 septembre 4925.(Signé) MORAND.

Et enregistré.

A r t . 6 ,

Etude de M® V1DY, notaire à Chantilly.

Le tout entouré de m urs, d’une I peut» de la Commanderie, d. c. àS 'a d re sse r p o u r

ment» :1" A M« L. Chastaing, avoué à

Senlis, poursuivant la vente ;2° A M® Morand, avoué à

Senlis, présent à la vente;3® A M® Petit notaire à Senlis,

chargé de la vente et dépositaire du cahier des charges. 8080

sup. rficie de 11 ares 2 0 , centiares e n v iro n , t i e n t du nord à la r u e du Jour (ancien chemin de Collinan- ce), à l’ouest la route (ancien che­min des Buttes), au midi M. Bé­zardin et à l’est à M. Jules Paris.

Section B, n ' 280 p. du cadastre. IVIise à prix : 2 9 .1 6 6 fr. 6 6

M. Dubois Alexandre, d. b. est à MM. Sainte Jules et Ducerf, d. b. à M. Aubry-Halard. Sect C, n® 58 p. du cadastre.

Mise à prix : 4 5 francs.

T erro ir de C rouy-sur-O urcqCanton de Lizy-sur-O urcq

Arrondissem ent de Meaux (Seine-et-M arne).En outre des charges, clauses et

conditions énoncées au cahier des charges drossé par M* Malézieux, notaire à Betz, pour là première adjudication, et déposé en son

.E tude où toute personne peut e n . , , ^ .Me COURTIER notaire à Meaux | prendre connaissance, l'immeuble | d. c. à la route de Crouy, d. c. a

et de M René PETIT, notaire ci-dessusdésignéseram isen vente I M. Fallai-Chéron et d. b. àM.Mar-1 la mise h prix s u s - é n o n c é e , tin Léon. Sect B , n“s 893 p. m.

* i . I OH A » d . . n o d n c t r û

Art. 2.Etudes de M® Georges MORAND

avoué-à Sentis

à Betz.

V E N T ESUA SURENCHÈRE DU SIXIÈME

DE : UNE

( M a i s o n B o u r g e o i s esise à Mareuil-sur-Ourcq

rue du JourUne g ra n d e M aison, sise à l ; mpiemen£ désignée ci-après

Senlis, rue Sainte-Genevieve, n“ 14 eà l'encoignure de la rue de

Sixième lot18 ares de terre formant pointe

au-de6 sus de la Vallée Mirelle, lieudit la Terre Blanche, tenant

Procédé aux jour, heure et lieu sus-indiqués, par le ministère de M® Petit, notaire à Senlis, commis k cet effet, à la vente sur licitation aux plus offrants ‘>t derniers en­chérisseurs et à l’extinction des feux, des immeubles dont la dÉsi guation suit :

DÉSIGNATIONPrem ier lot.

r -1

fixée par la surenchère

Fait et rédigé par l’avoué pour­s u iv a n t soussigné.

A Senlis, le 26 septembre 4925.(Signé) MORAND.

E t enregistré.

la 1Corne-de-Cerf, comprenant

Au rez-de-chaussée • vestibule d ’e o t r ô e a v e c d e u x p i è c e s à d r o i t eet deux pièces à gauche, cuisine et salle à manger dans le fond ; eicalier conduisant aux étages.

Au premier étage :A gauche, deux appartements

donnant sur la rue Sainte-Gene­viève.

L’un composé de : un vestibule, uné cuisine e t tro is chambres, -t

L’autre composé de : un vesti­bule, une salle à manger et une chambre

L'adjudication aura lieu le Sam edi 2 4 O ctobre 4 9 2 5 , à quatorze heures, e n la M a i r i e de M a r e u i l -sur-Ourcq, par le ministère de M' PETIT, notaire k Betz, com­mis à cet effet.

S'adresser pour le» renseigne-| m ent» t

A M® Georges Morand, avoué j à Senlis, poursuivant la vente ;

A Me Courtier, notaire à Mbaux ; ] E t à M® René Petit, notaire

B etz , r é d a c te u r e t d é p o s i ta i r e d u I cahier des' charges. 8 0 6 8 1

894 p. du cadastre.Mise à prix : 9 0 francs.

Septième loi5 ares de pré planté de 17 peu

pliers de 20 ans, lieudit la Prairie de Grands Prés, près la rivière d’Ourcq, tenant d. c. nord à M. Au bry-Navarre, d. c. M. Lamoureux Gilbert et des 2 bouts aux Noues Sect. G, n* 239 du cadastre.

Mise à prix : 2 2 0 francs.

Huitième lot 8 ares 17 centiares de terre

Suivant acte reçu par le dit tyle Yidy, le 5 septem bre 1925, enre­gistré à Creil (A. C ), le 9 septem ­bre 1925, vol. 324 bis, f° 17, n* 110, Mpae Victoria - Blanche - Hélène SÉGARD, veuye de M. Camille Léon-Marie MINY, et M. Paul- Léon-Louis MIN Y, dem eurant tous deux à Chantilly, ont vendu .à M. Emile - François - Louis ME- REAÜ, à Paris, rue de l’Evangile, n° 16, le fonds de com m erce de

S'adresser pour les renseigne-[laiterie exploité à Chantilly, place ments à ; I de l’Hôpital, n° 14 bis.

A M° Georges Morand, avoué | i-108 oppositions, s il v a lieu,à Senlis, pouisuivant la vente ; [seront reçues dans les dix jours

J ue la présente insertion, a Clian- Et à M® René Petit, notaire à J tilly, én l’Etude de M* Vidy, do-

Betz, rédacteur et dépositaire du j micile élu

Etudes de M® Louis ESCAVYdocteur en droit, avoué à Senlis

7, rue de Villevert- et M® VALLÉE, docteur en droit

notaire à Crépy-en-Valois

V E N T E S U R L IC IT A T IO Nau plus offrant

et dernier enchérisseurDE

Une Maisonsise à GILOCOURT (Oise)

rue .de la Croix-Duval ET

DEUX PIÈDES DE TERRET erro ir d e GILOCOURT

cahier des charges. 8070

Art. 4.

Etudes de M* Georges MORAND javoué à Senlis

et de Me René PETIT, notaire à Betz.

Y E N T Ele Samedi 2 4 Octobre 1 9 2 5

à 14 heuresen la Mairie de Mareuil sur-Ourcq |

par le ministère- de M* PETIT notaire à Betz

Dommages de Guerre1® Certificat de créance (biens

meubles reconstitution), numéro 1.131.193, montant net. 88 Ir.

2* Certificat de créan­ce (biens meubles re­constitution ) , numéro t .291.099, sur lequel il reste à toucher en frais

8064Pour deuxième insertion

Signé : VIDY.

lieudit la Ruelle du Puits, au-des- su p p lé m e n ta ire s ....... 2.408 fr.

Par suite de la surenchère du | sixième faite au Greffe du Tri­bunal civil de prem ière instance

| de Senlis, le vingt-trois juillet I 1925, enregistrée et dénoncée! conformément à la loi, e t en exé­cution d’un jugem ent rendu par le dit Tribunal, le onze août 1925,

A "droite, un autre ape.rtem e». p r S K f "composé de une chambre, une

Art. 3.

Etudes de M* Georges MORAND,avoué à Senlis,

et de M' René PETIT, notaire à Betz.

Loi du 23 Octobre 188b

petite cuisine, une salle à manger et water-closet.

Au deuxième étage :A gauche, deux a .

donnant sur la rue Sainte-Gene­viève.

L'un composé de ; une cuisine, uns chambre, une salle h mange? gt u» rablMSt de débarras

renchère dont s’agit.Et anx requête , poursuite et

diligence de :Monsieur Lucien Jouffroy, né­

gociant, demeurant à Paris, rue Notre-Dame-de-Nazareth, n° 13.

Surenchérisseur. Ayant pou? avoué constitué M*

Georges Morand, dumcurant * »0SÜ*. . -

YENTE SUR LICITATIONDE

13 Pièces de Jardinavec Arbres Fruitiers

f o m , Aimai# planté# d# Paupliars t t Pré planté de Peuplier#

sus de la Chaussée, tenant d. c .j est et d. b. sud à M. Théroude Alexandre, d. c. à Mme Petit Louis, d. b. à MM. Théroude et Chéron.Sept. A, n° 454.

Mise à prix : 4 5 francs.

Neuvième lot5 ares 1 0 centiares d’aunaie

plantée de 1 2 peupliers de 18 ans, lieudit la Chaussée, au Sentier des Trous, tenant d. c. à la commune de Crouy, d .ç , &M. Aubry-Halard d. b. à la route de Montigny I Grouy et d, b- à M. Lherm itte Gas­ton. Seèt. A, n* 84 du cadastre.

Mise à prix : 1 5 0 francs.

Dixième lot10 ares 40 centiares de terre ,

lieudit la Ruelle du Puits, au- „ .... n ,deasu» du Fond Méhon, tenant d.jdépositai c, h M, Lerov-Çopin, d, c, h, M. Au-1 bry Haiard, d. b. » M. LefèvrH’c- 1 —

Ensem ble 2.496 fr.

Mise à prix : 5 0 0 francs.

Etude de #*• L. CHASTAING,avoué k Senlis

V E N T E SUR SAISIE IMMOBILIÈRE

E N UN SEU L LO T UNE

PROPRIÉTÉsise à

NOGENT- SUR -O ISErue de la Passerelle, n° 7

AUTREFOISA U S A G E D ’ U S I N E

avec m achines et objets| considérés comme immeubles par

destination et se trouvant dans ladite propriété.

L’adjudication aura lieu en exé­cution de deux jugem ents rendus par le Tribunal civil de Senlis. les 9 juin et U août 1925, enregis­trés, et sous les charges, clauses et coinli ; ions du cahier des charges déposé en l’Etude de M ' Petit, notaire à Belz, où toute personnel peut en prendre connaissance.

Les certificats dont s'agit dé­pendent de la succession de M. Erançoia-Henri Gogly,

S’adresser pour les renseigne' monts, audit M® Morand, avoué, j et à M René Petit, notaire à Betz,

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