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Le magazine participatif étudiant toulousain !
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Le Nucléaire en questions
Café de l’Actu
Participatif étudiant toulousainGRATUIT
n° 5Mars 2012
Super cocu est de retour !
ITV Décalée
www.facebook.com/diselomagde concert !Gagnez vos places
rubrique
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diselo mag | 3
Le printemps pointe le bout de son nez !
Et Diselo en profite pour sortir son 5ème
numéro, avec cette même volonté d’informer
et de vous divertir.
Et comme d’habitude, ce sont des étudiants
qui ont choisi les rubriques et rédigé les
articles de ce magazine que vous tenez entre
vos mains. Car ne l’oublions pas, Diselo, ce
sont les étudiants qui parlent aux étudiants !
Au menu ce mois-ci, une association qui
prône l’échange entre étudiants de tout les
pays, une interview de Super Cocu, l’égérie
du renouveau du carnaval toulousain, sans
oublier le Café de l’Actu qui se penche sur le
sujet brûlant (sans mauvais jeu de mots) de
l’énergie nucléaire, la carte blanche du mois et
les coulisses de la galerie du Château d’Eau. Et
enfin, des informations culturelles et pratiques
en fin de magazine.
Rendez-vous à la fin du mois pour le prochain
numéro de Diselo !
La Rédac
edito
édité par diselo : 16, rue des Teinturiers 31300 TOULOUSESARL AU CAPITAL de 3000 € - N° SIREN : 535 243 786 RCS Toulousedirecteur de la publication : Cyrille Venaruzzoils ont participé à ce numéro : Gael Cerez, Pierre Fernandez, Pauline Martineau, Fanny Moulin, Nathan Poaouteta, Alice Robinet, Camilo Rodriguez, Matthieu Stricot, Octavie Udave, Cyrille Venaruzzoconception & réalisation : DISELO - impression : COREP
Mars - N° 5
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Échos | 4-5AEGEE-ToulouseVivre l’Europe en l’étudiant
focus | 15-16L’Économie d’énergie / La santé
Interview décalée | 6-7Super Cocu
Coups de Projo | 17-19
so
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eCarte blanche à... | 12Anaëlle Khelif
Café de l’Actu | 8-11Le nucléaire
Dans les coulisses de | 13-14La galerie du Château d’Eau
ContaCt : CyrilleTél. 06 61 78 67 39 | [email protected]
www.facebook.com/diselomag
Rejoignez-nous !
vos informations !Envoyez-nous
p 13
N’hésitez pas à
franchir le pas !
Rejoignez notre équipe
de rédaction !
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rubrique
échos
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L’assoc ia t ion des états géné-
raux des étudiants de l’Europe a été créée en
continuité des Etats géné-raux des étudiants de l’Europe
de 1985, une grande conférence internationale visant à pousser les chefs d’Etats européens à relancer l’intégration politique et sociale de l’Europe et écouter la voix des jeunes. Parmi ses grandes réussites se trouve en tête le lobbying, couronné de succès, en faveur du programme Erasmus auprès des instances de la communauté Européenne.
Créée entre 6 universités de France, Angleterre, Pays Bas, Allemagne, Es-pagne et Italie autour de Franck Biancheri, l’association s’est aujourd’hui étendue à 40 pays du continent et compte 200 antennes locales et
10.000 membres. L’AEGEE est fondée sur quatre grands piliers auxquels doivent contribuer chacun des évènements organisés au sein du réseau : mobilité des jeunes européens, échange culturel, paix et stabilité en Eu-rope et éducation supérieure.Pour cela, les étudiants membres de l’AEGEE se rejoignent au sein de groupes de travail et de projets multiculturels (autour de thématiques telles que l’environnement, la politique internationale, la suppression de la barrière du visa pour tous les jeunes du continent, l’analyse des fron-tières mentales et physiques de l’Europe, l’emploi des jeunes, etc.). Dans le cadre de ces projets et groupes de travail, les antennes organisent des divers types d’évènements locaux permettant la rencontre entre étu-diants étrangers et locaux.
Propos recueillis par Nolwenn DONSIMONI Présidente de l’association AEGEE Toulouse
Vivre l’Europe en l’étudiant
AEGEE-ToulouseAssociation des États Généraux des Étudiants de l’Europe
Créée en 1996, l’aEGEE toulouse est une antenne de l’aEGEE. Depuis plus de 25 ans, cette association promeut l’Europe auprès des étudiants.
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échos
aEGEE-toulouse :[email protected] | www.aegee-toulouse.org
« Penser l’Europe »C’est dans cet esprit de rencontre que l’équipe d’AEGEE-Toulouse organise plusieurs évènements à Toulouse, à commencer par un séminaire d’une semaine intitulé « Penser l’Europe » du 20 au 24 février, autour de la question de l’euroscepticisme et dans le cadre d’un échange avec AEGEE-Utrecht (Pays-Bas). 10 étudiants hollan-dais débattront avec 10 étudiants toulousains sur les thèmes de la crise économique et financière de l’UE, le déficit démocratique de l’UE, ou la question de l’existence d’une identité Européenne. Ces thèmes seront développés lors de trois tables rondes ouvertes au public. Un programme complet de découverte de la culture toulou-saine et occitane est organisé en parallèle pour ces 20 jeunes.Du 15 au 17 mars, un second séminaire de trois jours cette fois sera organisé, sur le thème de « L’Union Européenne et la Grande Europe » dans le cadre du projet Where Does Europe End ? 10 étu-diants venus de toute l’Europe se joindront à 10 étudiants toulou-sains pour débattre et discuter de la position de l’UE vis-à-vis de ses voisins Balkans, Turcs et du pourtour méditerranéen. Des tables rondes ouvertes au public seront également organisées. (Les lieux et horaires de ces tables rondes sont disponibles sur le site web de l’association www.aegee-toulouse.org)
AEGEE-Toulouse organise aussi chaque semestre diverses activités pour les étudiants Erasmus de l’université Paul Sabatier. À venir : sor-tie à Saint-Ferréol, week-end à Marseille, soirées à thème, « speak-dating »… Quelques étudiants Erasmus seront ainsi invités à faire une inter-vention auprès des élèves de première du lycée international de Colomiers en mars, dans le cadre d’une collaboration entre AEGEE-Toulouse et le Lycée international de Colomiers. Ils présenteront le système d’éducation supérieure de leur pays et le programme de mobilité Erasmus dans le but d’encourager les jeunes à la mobilité.L’antenne de Toulouse, créée en 1996, est aujourd’hui animée par une vingtaine d’étudiants de toutes disciplines. Elle bénéficie du soutien de la région Midi-Pyrénées, de la mairie de Toulouse et sur-tout de l’université Paul Sabatier où elle dispose d’un local dans le département des relations internationales. Le bar « Le QG », sur le campus de Paul Sabatier, est le point de rencontre hebdomadaire de l’équipe d’AEGEE-Toulouse et des étudiants Erasmus du campus avec les soirées Erasmus du mercredi. Un rendez-vous incontour-nable lors des évènements organisés par l’association.
rubrique
interview
Diselo : Quelle impression ça fait de sortir à l’air libre après 24 ans passés dans les catacombes toulousaines ?Super Cocu : Je n’avais pas souvenir d’un si grand froid. On m’a plongé dans un profond sommeil sans que je puisse réagir. Pourtant, je n’ai ja-mais fait de mal à personne. Je remarque que Toulouse a changé, mais l’esprit de la fête est toujours là.
D : Super Cocu, pourquoi ce nom ?SC : Les Toulousains sont les seuls responsables. Le nom m’a été donné en deux étapes. Déjà, dans les années 80, on parlait beaucoup du COCU (Comité organisateur du carnaval universitaire). Puis, comme tout super héros, j’ai été demandé par mon peuple en 2012. J’ai déjà des touches pour faire carrière à Hollywood, grâce aux quelques épisodes tournés par Francazoul Productions. Je pourrais d’ailleurs succéder à Jean Dujardin. La preuve : dans mes épisodes je ne parle pas, car les images parlent d’elles-mêmes.
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interviewdécalée
Héros du carnaval, Super Cocu investit les rues et les toits toulousains, pour répandre le rire et la bonne humeur. Vous hésitez encore à vous déguiser le 21 mars ? Le super héros aux cornes, personnage rocambolesque, devrait vous séduire.
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✆ 05 62 88 91 88125, route de Narbonne - 31400 TOULOUSEFax : 05 62 17 08 43 | [email protected]
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Super Cocu
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interview décalé
D : Te sens-tu plus proche d’un super héro ou d’un super zéro ?SC : Plutôt du second. Les super zéro sont mon idéal, car ils sont
comme tout le monde. Mais j’ai de réels super pouvoirs : je fais rire, et je peux me déplacer dans des endroits inaccessibles
aux toulousains lambdas. J’investis tous les monuments, je me déplace sur les toits, et circule en char.Je pourrai peut-être même voler un jour. Je me suis pour l’instant contenté d’un vol assisté aux Ailes Anciennes.Du côté des super-héros, Spiderman est le plus sympa. Il m’a transmis quelque chose : « De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ». Je fais le couillon mais sais aussi rester sérieux.
Par contre, Batman fait toujours la gueule. Il faut dire que son costume n’est pas très festif. Du coup, il n’a jamais eu de coquettes
autour de lui.
D : À part faire le guignol, à quoi sers-tu ?SC : Je ne fais pas le guignol, c’est ma nature. Je suis revenu pour le carnaval en 2012, afin de réunir les Toulousains dans la convivialité et la bonne humeur, autour de l’essentiel. D’ailleurs, mes cornes ne piquent que ceux qui sont insensibles au rire.
D : Quand es-tu né ?LM : Je ne sais pas vraiment. Peut-être au Moyen-Âge, époque des pre-miers carnavals. Mais il n’y avait alors pas de super héros, seulement super Jésus. Grâce à Deguisland, je reviens en 2012 avec un costume au goût du jour.
D : Tes aventures sont-elles promises à un grand avenir ?SC : Elles marqueront les esprits. Elles devraient impulser un renouveau au carnaval, et surprendre. D’ailleurs, mes coquettes sont maintenant légion, comme les Anonymous. Tout le monde peut nous suivre sur le site du carnaval ou la page facebook.
D : Un dernier mot aux lecteurs ?LM : Venez nous rejoindre, les coquettes et moi-même, pour le carnaval, le 21 mars. À 14 heures pour les enfants, et entre 18 heures et 19 heures pour les adultes. On finira chez moi, je veux dire... à Toulouse. Il n’est par certain que tout le monde finisse sur un toit. Officiellement, le tout se
cloturera par un bal masqué, au Parc des Expositions. »
Propos recueillis par Matthieu Stricotet Pierre Fernandez.
pour plus d’informations et suivre les aventures de super cocu, rendez-vous sur le site carnavaldetoulouse.fr On attend vos idées !Cette rubrique vous plaît ?
À 14 heures, les enfants toulousains ouvriront le bal place du Capi-tole. Le maire remettra les clés de la ville à la population à 18 heures. Les adultes pourront alors rejoindre le cortège carnavalesque, allées Jean Jaurès. Les fêtards défileront ensuite par les principaux axes du centre, juqu’à la Prairie des Filtres, où sera brûlé le Roi Carnaval.Pour finir en beauté, tous les toulousains seront conviés au bal mas-qué, au Hall 8 du Parc des Expositions (Île du Ramier), pour pour-suivre la fête jusqu’au bout de la nuit...
Programme du 21 marsAux masques, citoyens !
Crédit Photo : Samba Résille
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CaféCafé de l’Actu
Le nucléaire, qu’est-ce queça vous inspire ?
Xavier : Je pense à la centrale de Golfech parce que je l’ai visité en pri-maire. C’est gros donc ça marque. C’est aussi une manifestation de la puissance du pays. Tout le monde ne peut pas construire une centrale.
Julie : ça m’évoque quelque chose de très dangereux comme Hiroshima et Tchernobyl. Je vois les conséquences d’une mauvaise utilisation et les dégâts inévitables du nucléaire.
Marc : Pour moi, c’est le principal espoir écologique de la planète parce que c’est la seule énergie qui n’émet pas de carbone et qui fonctionne à grande échelle.
Quels sont selon vous les avantages du nucléaire ? Xavier : Du point de vue géopolitique, le nucléaire, c’est l’indépendance
Le nucléaire
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MARS 2012 ~ LA PROGRAMMATION Co-Working
GRATUIT*
La Cantine - 27 bd Matabiau - Toulouse
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Vous cherchez un lieu pour travailler en
groupe ?
DISELO et La Cantine s’associent pour vous o�rir une journée de co-wor-king sur présenta-tion de ce numéro.
Jeudi 8 - 9h00 ~« Externalisation des systèmes d’information » Vendredis 9 et 23 - 14h00 à 16h00 ~Conférences UniversiTIC Mardi 13 et Mercredi 14 - 9h00 à 18h30 ~Google Adwords Academy Jeudi 15 - 17h00 ~Table-ronde SFR Entreprenariat Social Mardi 20 - 17h00 à 22h00 ~Innov’Camp - Barcamp Innovation Jeudi 29 - 18h00 à 22h30 ~Anonymous : « Peuvent-ils changer le monde ? »
INFOS 05 32 10 81 27
Mercredi 7 - 18h00 à 22h30 ~« In�uence des TIC sur le stress au travail »
Mercredi 1 - 8h30 ~« Optimisez votre stratégie e-Commerce »
* O�re Valable du 1er au 31 mars 2012
www.cantine-toulouse.org @LaCantine_tlse
Marc, 24 ans, étudiant en technologie spatiale à Paul Sabatier.
Xavier, 26 ans, étudiant en géographie au Mirail.
Julie, 22 ans, étudiante en géographie de l’environnement au Mirail.
Nos cafetiers de l’Actu
Comme chaque mois, Diselo interroge et donne la parole à des étudiants toulousains. Le 11 mars 2011, la centrale de Fukushima au Japon était touchée par un tsunami dévastateur. après tchernobyl, une nouvelle catastrophe nucléaire défrayait la chronique. Plus que jamais, le nucléaire fait polémique. Entre inquiétudes et interrogations, qu’en pensent Julie, Marc et Xavier ?
La centrale de Golfech
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Café de l’Actu
énergétique, une expertise technologique, une question de prestige.
Marc : C’est une industrie neutre en émission de CO2 (NDLR vrai si on ne compte pas l’impact de construction des centrales et d’achemine-ment des matières premières) et qui produit beaucoup d’électricité. Elle nous évite d’importer trop de pétrole et de gaz. Et puis, la technologie est connue et produite en France, au contraire des éoliennes dont il faut importer les pièces.
Julie : De mon point, rien ne justifie l’utilisation d’une technologie aussi dangereuse.
Et les inconvénients ? Marc : Le risque zéro n’existe pas. Une catastrophe nucléaire c’est ef-frayant et puis c’est trop lié à l’armement. En plus, les stocks d’uranium sont limités et cela fait des déchets intraitables. Au Canada, on se dé-brouille très bien sans.
Julie : Le nucléaire est dangereux en soi. Les déchets aussi. Mais ça ne remet pas en cause notre mode de vie actuel. Les jeux de pouvoirs in-ternationaux autour du nucléaire ne me plaisent pas. Par exemple, on continue d’exploiter l’Afrique pour extraire l’uranium. On ne sait pas dans quelles conditions c’est fait.
Xavier : Avec le nucléaire, on a un chantage « c’est ça ou la chandelle ». On nous dit que c’est la seule façon d’être indépendant énergiquement. Personne ne remet en cause cela. Pour exister politiquement, il faut être pro-nucléaire. Les écolos restent minoritaires à cause de ça. Il n’y a pas de débats démocratiques sur comment on le fait et pourquoi. Je pense d’ailleurs que les gens évitent de soulever vraiment le sujet parce que le nucléaire c’est létal. Plutôt que d’en débattre, on préfère faire comme si on n’était pas concerné. C’est plus rassurant.
Comment avez vous réagi le 11 mars 2011 ? Est-ce que Fukushima a changé votre regard sur le nucléaire ? Julie : C’est dur à dire mais c’est une catastrophe pédagogique. Cela nous a rappelé les vrais risques du nucléaire. Moi, ça a renforcé mon opi-nion sur cette énergie et sur la façon dont les politiques ont minimisé l’incident.
Xavier : J’ai d’abord pensé à ceux qui subissaient la catastrophe. Avec un peu de recul, je me suis dit « Faut être vraiment con pour faire des cen-trales nucléaires dans un pays qui subit le plus de séismes au monde. » A court et moyen terme, c’était peut-être un bon calcul pour faire repartir le Japon d’après-guerre mais ça montre bien la folie furieuse de cette technologie. ça fait de nous la seule espèce capable de se suicider à l’échelle planétaire.
Marc : J’ai été surpris et choqué. Je croyais que l’ère des catastrophes était finie dans les pays très développés. Je croyais que c’était une ques-tion technologique et qu’on avait assez avancé sur ce plan là. Le gou-vernement a mal géré la catastrophe. Je ne crois plus qu’on puisse gérer cette énergie et ses conséquences.
L’Allemagne va sortir du nucléaire. D’autres pays, au contraire, continuent à construire des centrales (Iran, Chine, France, Etats-Unis,... ). Vous êtes aux commandes, que décidez vous ?
Xavier : Ce n’est pas une décision autoritaire qui ferait sortir la France du nucléaire. A mon avis, c’est même impossible vu la pression des lobbies.
Julie : Je ne serai jamais élue de toutes manières mais je pense que je sortirai du nucléaire. Il faut forcer les gens à sortir du nucléaire, à changer sa consommation. Il y a pas mal de choses à remettre en question.
Êsuite
La Cinémathèque de touLouse et edF présentent
l’exposition14 février > 15 avril 2012À l’espace eDf Bazacle
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tous les jours sauf le lundi 11h > 18h | entrée libre - espace eDf Bazacle - 11 quai saint-pierre - 31000 toulouse - M° compans caffarelli
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La Cinémathèque de touLouse et edF présentent
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Café de l’Actu
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1 Quel est l’âge du plus vieux réacteur encore en activité ins-tallé en France ?
a) 24 ans b) 34 ans c) 44 ans
Réponse : c Celui de la centrale de Fessenheim,
mis en activité en 1977, c’est-à-dire il y a 44 ans. La première centrale en France fut installée à Chinon en 1963, avec un réacteur arrêté 10 ans plus tard en 1973.
2 Selon vous, combien de réac-teurs nucléaires sont exploités en France ?
a) 25 b) 43 c) 58
Réponse : c Il y a en France 58 réacteurs en acti-
vité, pour 19 centrales. Soit plus de 10 % du total mondial (entre 400 et 500 réacteurs).
3 Quelle est le pourcentage d’électricité provenant du nu-cléaire dans la consommation électrique française ?
a) 58% b) 68% c)78%
Réponse : c Selon le CEA, Commissariat à
l’Énergie Atomique,78% de l’élec-tricité consommée en France pro-vient du nucléaire contre 22% en Allemagne avant la fermeture des premiers réacteurs en 2011-2012.
4 En Allemagne, suite à l’acci-dent de Fukushima, la décision d’arrêter les 17 réacteurs du pays a été prise. Dans combien de temps ce processus sera-t-il terminé ?
a) Dans dix ans b) Dans quinze ans c) Dans vingt ans
Réponse : a Les derniers des 17 réacteurs
que l’Allemagne exploitait avant Fukushima seront arrêtés en 2022.
5 Que fait-on des déchets nu-cléaires ?
a) on les détruit b) on les réutilise c) on les entrepose
Réponse : b et c C’est un des points de discorde entre
défenseurs du nucléaire et oppo-sants. En France, selon l’ANDRA, (l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs ) environ 2 kg de déchets radioactifs sont produits par an et par habitant. Une partie des déchets peut-être réutilisable après un traitement chimique.
Marc : Moi, je commencerai par faire enfermer tous mes ennemis poli-tiques (rires) et je continuerai le statu quo en France. 4/5ème de nucléaire ça me semble bien ?
Xavier : D’accord mais à la base, il faut quand même qu’on se demande pourquoi on a besoin d’autant d’énergie. Si chaque pays consommait autant que la France, l’humanité s’éteindrait en moins d’une semaine.
Qu’on le veuille ou non, le nucléaire est encore là pour un bout de temps, vivriez vous à côté d’une centrale ?Julie : ça ne change pas grand chose. Des études montrent que les gens habi-tants juste à côté sont blindés car ils doivent bien s’y habituer pour vivre. Si on m’offre une maison à côté d’une centrale, je la prends. Il y a le village de Barjac, près des centrales du Rhône. Les ha-bitants l’ont trans-formé en village écolo. J’y vivrai bien.
Xavier : Si la centrale de Golfech pète, on n’a pas l’impression de vivre à côté, mais ça sera pareil pour nous. Alors… L’aspect esthétique peut me gonfler mais il y a d’autres raisons qui m’empêchent d’aller vivre près d’Agen (rires)...
Marc : J’éviterai si possible.
Julie : Olala, excuse-moi mais c’est hypocrite.
Marc : Attends, j’ai le choix, je dis non. Je pense qu’il y a une différence de sécurité si on est à côté ou à 100 km. En cas d’accident, le voisinage est tout de suite contaminé. Par contre, je pourrais bosser dans une centrale. Nettoyer des déchets nucléaires, je dis oui aussi mais en fait je ne sais pas. Faut attendre d’être devant un tel choix pour voir ce que tu fais.
Propos recueillis par Gael Cerez & Nathan Poaouteta
Quizzatomique
On attend vos idées !Cette rubrique vous plaît ?
anDRa : http://www.andra.fr/index.html
CRIIRaD : http://www.criirad.org/
CEa : http://www.cea.fr/jeunes/themes/l_energie_nucleaire/questions_sur_le_nucleaire/l_energie_nucleaire_en_france
Sortir du nucléaire : http://www.sortirdunucleaire.org/ http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/24/allemagne-la-fin-du-nucleaire-passe-par-le-charbon_1592962_3244.html
Pour en savoir plus
Carte blanche à...
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«En CP, je passais mon temps à dessiner. Ma mère m’a dit qu’elle allait me mettre dans un cours de dessin. Du coup, j’ai fait de l’art plastique.» De là sûrement son attirance pour l’abstrait. «Le figu-ratif, je le réserve au design, explique-t-elle. J’ai étudié la sociologie et l’anthropologie. Et puis je me suis rendu compte que je devais travailler dans les arts pour m’épanouir.» Anaëlle étudie le design à Toulon. Une bonne façon d’allier le concret et la créativité.
Depuis 2006, Anaëlle peint sur toile. Ces oeuvres sont abstraites et colorées. «Je couche sur mes toiles ce que je ressens au moment où je peins. Chaque couche et couleur reflètent plus ou moins mes humeurs. Je ne sais jamais comment va finir ce que je commence.»
Toile d’automne est très représentative de son travail. L’œil se perd entre les couleurs et les pro-fondeurs. «La palette de couleurs me plait. Elle est vive, mouvementée et en même temps, le marron lui donne une certaine prestance.» Réa-lisée aux couteaux, la peinture est une accumu-lation de couches de couleurs. Une vingtaine au total que la peintre laisse sécher l’une après l’autre. D’où l’impression de profondeur quand on observe les croisements de couleurs.
Toile d’automne par Anaëlle Khelif
Étudiante de 23 ans en Design Global à Montpellier, anaëlle Khelif a commencé la peinture à 6 ans.
anaëlle Khelif expose ses toiles dans le restaurant Soup’Here, 25, rue Pharaon à toulouse.
2011, acrylique sur toile.
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Dans les coulisses de
Un jour de grand vent, alors que vous passez par le Pont Neuf pour y admirer le soleil printanier se refléter sur la Garonne, vous apercevez un bâtiment aux briques orangées qui vous fait de l’œil. Sensible aux charmes architecturaux des châteaux d’eau du début du XIXème siècle, vous décidez de vous y abriter. Les cheveux en bataille, vous pénétrez dans ce monument à l’histoire bien particulière...
« Que d’eau, que d’eau ! »Mais reprenons au tout début. Imaginez Toulouse en 1822. A l’époque, le Capitoul Charles Laganne a fait une donation pour la construction de l’édifice. Après avoir abreuvé les toulousains pendant près d’un demi siècle, le Château d’Eau, dont la capacité est devenue insuffisante, est laissé à l’abandon et dépouillé de ses pompes au cours de la seconde guerre mondiale. Ensuite, c’est devenu un hangar à outils pour les can-tonniers * !Bref ! Il est en danger.
Heureusement, il est protégé dès 1962 par une association d’érudits locaux. Transformé en Galerie en 1974 par le Cercle des 12, des photo-graphes amateurs et professionnels, qui exposent leurs propres œuvres dans la ville rose. Basés à l’origine au Musée des Augustins, ces derniers cherchent un nouveau lieu de création après la fermeture de celui-ci en 1973. La Galerie Municipale du Château d’Eau – première institution consacrée uniquement à cet art en France - est née !
La galerie du
Château d’Eau
tout le monde est déjà passé devant le Château d’Eau à proximité du Pont neuf. nous sommes allé visiter cette galerie photo et ses secrets...
Êsuite
* cantonnier: ouvrier chargé de l'entretien des routes ou des voies ferrées
THEATRE DU PONT NEUFESPACE DE CREATION
LA PRINCESSE EN PIÈCES DÉTACHÉES
Mardi au Jeudi > 19h30Vendredi et Samedi > 21h00INFOS ET RESERVATIONS
05 62 21 51 78
Théâtre
20 > 24 MARS
C
Le Théâtre du Pont Neuf est soutenu par la Ville de Toulouse, la Région Midi-Pyrénées et le Conseil Général Haute GaronneLicences d’entrepreneur de spectacles : N°1 : 1-1032551 / N°2 : 2-1032552 et N°3 : 3-1032553
Dans les coulisses de
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« C’est beau ! Merci la culture »C’est ce qu’on peut lire griffonné sur un boîtier électrique près des bu-reaux de Jean-Marc Lacabe (Directeur du Château d’Eau) et de ses col-lègues. Parce que la culture est partout, il nous explique comment, en choisissant d’exposer des photographes aux origines et aux expériences diverses, il partage sa passion avec les amateurs d’art venus de Toulouse et d’ailleurs admirer sa galerie.Mais organiser des évènements n’est pas chose aisée. Et pour cause : les subventions gouvernementales se font de plus en plus rares, la culture n’étant désormais plus au centre des préoccupations de l’Etat, et la Mairie de Toulouse s’implique peu. Si vous, étudiant(e) décoiffé(e) par le vent de modernité qui souffle sur le XXIème siècle, aviez connu l’époque où l’art florissait, les années soixante-dix et tout le tralala, vous seriez étonnés des changements opérés ces quarante dernières années. Imaginez vos parents caméra au poing pour l’inauguration de la galerie, cinéphiles dans l’âme, passionnés et convain-cus que cela durerait éternellement. Vos pas dans les leurs, vous arpentez l’édifice circulaire. Vous auriez bien assisté à l’exposition des clichés de Robert Doisneau à l’initiative de Jean Dieuzaide vous aussi...
« Se laisser prendre par le réel »Redescendu(e) sur terre, c’est maintenant le présent qui vous préoccupe. On demande un bref état des lieux au directeur, qui se fait une joie de renseigner les lecteurs sur l’actualité de la photographie.Pour Jean-Marc Lacabe, ce support est avant tout une prise de parole.
L’aspect esthétique a bien sûr son importance, mais il y un vrai travail documentaire derrière les œuvres exposées. En citant Baudelaire, il ex-plique qu’il « refuse l’effet d’art », c’est-à-dire qu’il n’est pas intéressé par les personnes qui imitent l’art sans questionner le media qu’ils utilisent.
Propos recueillis par Octavie Udave, Cyrille Venaruzzo & Fanny Moulin
La galerie du
Château d’Eau
Questions Réponses
Au cours de l’entretien, il révèle même le nom d’un jeune talent qu’il suit attentivement : « Sarah Mei Herman ».
Intrigué(e), plusieurs questions vous brûlent les lèvres. Un coup de cœur ? « Viviane Sassen et Antana Sutkus ».
Et les photographes toulousains alors ? « Bien que Toulouse soit une ville de photographie depuis le début, et que la galerie essaie de leur faire une place, ils restent peu nombreux ».
Comment on les choisi ? « Le plus souvent par intuition. En voyageant, à Arles ou à Paris par exemple ; mais aussi en feuilletant des portfolios. ».
Si vous voulez tenter votre chance, sachez que la pertinence du travail fourni, la conscience du photographe de ce qu’il est et sa sincérité sont des critères indispensables à la sélection de l’artiste pour être exposé dans la Galerie du Château d’Eau.
Une fois dehors, la lumière du jour semble un peu plus brillante, les couleurs plus flamboyantes, et vous vous dites qu’il est bien dommage de ne pas avoir pris un appareil photo avec vous...
Sarah Mei Herman : http://www.sarahmeiherman.nl/Viviane Sassen : http://www.vivianesassen.com/
Mr Jean-Marc Lacabe le directeur
diselo mag | 15
FocusfocusPuisqu’en septembre prochain, toutes les vieilles ampoules incandescentes de plus de 25 watts seront retirées du marché, autant sauter le pas tout de suite. Éclairer sans gaspiller, c’est facile. Il faut juste changer ses habitudes. Place aux Leds et aux ampoules basse consommation (aBC).
On dit que ça coûte cher, que ça n’éclaire pas bien. Oui, une Led et une ABC coûtent plus cher à l’achat (20 € pour une Led et 7 € pour une ABC), mais l’investissement vaut largement les euros déboursés. D’abord parce que ces ampoules ont une durée de vie beaucoup plus longue. Le rap-port est de 1 à 8 pour les ABC et de 1 à 56 pour les Leds. Une ampoule incandescente fonctionne 1000 heures. Faites le calcul ! Ensuite parce que les économies d’électricité sont de l’ordre de 70 à 90 %. Reste la question de la lumière. La mauvaise presse qu’on fait aux am-poules basse consomation et aux Led vient principalement du fait qu’on ne sait pas vraiment les utiliser. Souvent, on achète des ampoules qui ne correspondent pas, car pas assez puissantes. La faute à une confusion sur les étiquettes entre puissance enWatt, conso en Watt, luminosité en Lumens etc... Pas facile de s’y retrouver. Il faut faire attention. Et puis, il faut bien choisir les emplacements. Les Leds conviennent aux zones de passage (couloirs, etc...) alors que les ABC seront plus efficaces si on les laisse allumées dans la salle à manger.
Propos recueillis par Gael Cerez
Parfois mal informés, les jeunes et les étudiants sont
les premiers concernés par les thématiques liées à la santé
ou à l’économie de l’énergie. Dans ce numéro et ceux qui suivront, Diselo consacrera
une page à ces questions essentielles.
Comment réduire sa
facture d’électricité
en changeant ses lumières ?
Bon à savoir Saviez-vous qu’il est possible de bénéficier d’un tarif préférentiel avec Edf ? Ce « tarif de première nécessité (TPN) » permet de réduire de 40 à 60% le prix de son abonnement. En moyenne, on peut économiser 88 euros par an. Ça n’est pas négligeable. Pour en bénéficier, il ne faut pas gagner plus de 1332 euros par mois en couple. Une paille pour des étudiants sans revenus. Le plus simple est d’appeler le 0800 333 123 pour obtenir plus de renseigne-ment et recevoir le dossier.
Soleval,en quelques mots.
Mieux utiliser l’énergie, lutter contre le changement climatique, voilà les missions de l’association Soleval. Consommation de l’eau et de l’énergie, conception et rénovation d’habitat, modes de déplacements, les champs d’action de Soleval sont nombreux. « Les économies d’énergies sont dans les petits gestes du quotidien », rappelle Aurore Saurel, l’une des cinq salariés de l’agence. « Les gens n’en ont souvent pas conscience. »
Créée en 2007, l’association conseille particuliers et collectivités locales du sud-est toulousain. Elle fait partie du réseau Info énergie qui propose des conseils gratuits pour réduire les factures en maîtrisant sa consommation.
Une page,
une thématique.
Économie de l’énergie
focus
16 | diselo mag
Focus
Une étude CSa publiée début 2010 par l’Usem (mutuelles étudiantes) révèle qu’un étudiant sur cinq ne prend que deux repas par jour, et que 14% ne mangent ni fruits ni légumes au quotidien. Pour 60% d’entre eux, c’est parce qu’ils n’ont pas faim ou pas le temps. Pourtant, plus de la majorité des étudiants ayant répondu à cette étude jugent leur alimentation équilibrée !
Grignotage, la petite faiblesse qui vous perdra ?Le grignotage reflète souvent un déséquilibre alimentaire global. De plus en plus fréquent dans nos sociétés « développées », il traduit une façon de vivre déstructurée dans laquelle les 3 principaux repas ne jouent plus leur rôle habituel : soit ils ne sont pas assez copieux, d’où une sensation de faim entre les repas, soit ils sont trop riches en sucres simples, d’où une hypoglycémie réactionnelle et une fringale.Aujourd’hui, le grignotage fait partie de nos vies. Tout nous y encou-rage : la facilité à se procurer des produits prêts à consommer, les horaires déstructurés, l’effacement des repères habituels (3 repas par jour…). Le grignotage s’immisce dans notre quotidien, insidieusement… Une barre chocolatée par ci, une viennoiserie par là, des chips, un soda, quelques cacahuètes avalées en dehors des repas histoire de combler un « petit creux »… Nous sommes tous des grignoteurs !Soumis à un rythme de travail soutenu, à des horaires élastiques, nous avons tendance à déstructurer notre alimentation. Et comme de son côté l’offre alimentaire se multiplie et se diversifie, les occasions de gri-gnoter ne manquent pas !
Petits grignotages, grandes conséquences !Grignoter entre les repas sollicite les organes digestifs de façon trop continue :pour digérer le sucre présent dans le sang, le pancréas sécrète un excès d’insuline, ce qui déstabilise le métabolisme global, cet excès d’insuline provoque une crise d’hypoglycémie. Résultat ? on se sent fatigué et on grignote de nouveau pour compenser cette baisse de tonus.Grignoter augmente sensiblement les apports caloriques quotidiens. L’organisme s’empresse de transformer ces excès en masse grasse. Chaque fois que l’on mange, les sécrétions acides présentes dans la sa-live attaquent l’émail dentaire qui augmente d’autant le risque de caries (les aliments les plus cariogènes étant les aliments « collants », sucrés et/ou gras).Comment lutter contre le grignotage ?• veillez à prendre des repas complets et équilibrés (en particulier le petit
déjeuner),• trompez l’envie de manger avec un grand verre d’eau,• programmez un petit en-cas régulier dans l’après-midi à heure fixe (lai-
tage, fruit) pour éviter de craquer sur n’importe quel aliment,• retrouvez petit à petit un rythme de prises alimentaires régulier.
Retrouvez plus d’informations ici : http://www.profilprof.com
Propos recueillis par Cyrille Venaruzzo
en partenariat avec la MGEN FILIA / EFFICIENCE SANTE
Ennemi n°1,l’apéritif entre amis
Un paquet de biscuits apéritif = 6 à 7 cuillères à soupe d’huile ! Alors pour vos apéritifs, choisissez de préférence :
des légumes à croquer (40 kcal) plutôt que des chips ou des cacahuètes (180 kcal),
un verre de jus de tomate (60 kcal) plutôt qu’un jus de fruit sucré (120 kcal),
un alcool doux moins calorique qu’un alcool fort.
Bien s’alimenterSanté
Coup de Projo
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Rythmique hispaniquePour la 9ème fois, la ville de Colomiers orga-nise sa biennale des musiques ibériques. La programmation est riche et offre aux aficionados de la musique espagnole de quoi satisfaire les curieux les plus exi-geants : l’univers de Miguel Hernández, le flamenco du Montse Cortes Quartet ou Mercedes Ruiz et enfin la nouvelle création de Farruquito. N’oublions pas le « off » du festival qui propose divers spectacles, lectures au grand public ou bien un grand weekend de la voyance !
Du 21 au 24 mars – Horaires et tarifs : www.ville-colomiers.fr
Claude Nougaro revisitéCette année, le centre cultu-rel de Ramonville accueille un combo jazz qui revisite les plus grands succès de Claude Nougaro, poète Jazzman tou-lousain qui nous a quitté en 2004. « Nougaro façon trom-bone » est une formation imaginée par Lionel Ségui composée de 4 trombones et d’un percussionniste. Une fa-çon originale qui saura rendre hommage à l’artiste et ravir le public !
Vendredi 30 mars - à 20h30Tarif étudiant : 8 €
Ramonville
Electro SwingAprès la sortie de leur premier album éponyme en 2008, et son immense suc-cès international, Caravan Palace a multiplié les concerts en France et à l’étran-ger. Leur son unique a séduit les spectateurs comme les critiques. Ils travaillent
parallèlement à l’enre-gistrement de leur deuxième album (sor-tie prévue courant de l’année 2012) et font une tournée française avant d’attaquer les nombreux festivals estivaux. Un concert à ne pas manquer sur Tournefeuille !
Jeudi 29 mars – 20hAu Phare à TournefeuilleTarif étudiant : 20,80 €
Tournefeuille
Soldes monstresDans une société où tout peut s’acheter, quoi de plus évident de pouvoir profiter d’une promotion pour s’offrir un couple d’amis ? C’est le pitch de départ de cette pièce féroce , « Les amis du placard », écrite par Gabor Ras-sov. Rangé dans un placard, le couple d’amis est de plus en plus maltraité par le couple acheteur. Avec, dans les rôles du mari et de la femme, Didier Bénureau et Romane Bohringer, cette pièce tient ses promesses et provoque le public par son absurdité.
Du 12 mars au 1er avril – Horaires et tarifs : www.odyssud.com
Blagnac
Extra Muros
Colomiers
Coup de Projo
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Vie étudiante
L’apprentissage fait son printempsLes CFA ouvrent leurs portes au public ! Au programme : visites d’ateliers, démonstrations de métiers, témoignages d’apprentis... Consultez le calendrier des journées-portes ouvertes des Centres de Formation d’Apprentis. Le Printemps de l’apprentissage est organisé par les CFA avec la collabora-tion des CAD (Centre d’Aides à la Décision des Chambres de
Métiers), des Points A (Chambres de Commerce et d’Industrie), etc.
Toutes les informations : http://www.midipyrenees.fr/Le-printemps-de-l-ap-prentissage
La Ludi fête sa 15ème bougie !Joyeux anniversaire ! Pas de gâteaux, ni de bougies, la Ludi préfère organiser « le XV de la LUDI », un tournoi international réunissant des équipes de France, Belgique et Suisse. Ber-ceau de l’improvisation toulousaine, l’associa-tion est née en 1997 à l’initiative d’une poignée d’étudiants de l’université Toulouse III - Paul Sabatier. Ses objectifs ? Initier les étudiants, ainsi que tous les curieux, à l’improvisation théâtrale et proposer des spectacles avec des ligues amies venant de toute la France, de Belgique, Suisse, Italie, et même du Qué-bec. Initialement composée d’une quinzaine d’étudiants, l’association compte aujourd’hui plus de 70 membres.
Le XV de la LUDI – Du 22 au 24 mars – Salle Le Cap (campus Paul Sabatier) – 20h30 – 3 € chaque soirée ou forfait Tournoi (les 3 soirées) : 7 €
Première édition d’une nouvelle Biennale !Cette année, à Toulouse comme à Monauban va se dérouler la biennale « Passage(s) » consacré au design. Ils s’interrogent sur les questions du design dans son sens large et de leurs modes de transmission. Passage(s ) est un événe-ment ouvert au grand public mais aussi aux initiés et spécialistes des domaines des Arts, du Design et de la Transmission. Une semaine ponctuée d’événements multiples présentés en trois volets ( événements recherches, expositions et ren-dez-vous d’art ) et permettant de rencontrer des étudiants, des enseignants et enseignants-chercheurs, des plasticiens, designers ou écrivains, des profession-nels issus des milieux de l’édition, de la médiathèque, de la création numérique, du design d’objet, du design d’espace, de l’architecture, du graphisme, de l’ani-mation 2D et 3D…
Du 1er au 11 mars – Toutes les infos : http://www.biennale-passages.com
L’AFEV contre les inégalitésDepuis 9 ans, « Pas de Quartier pour les Inégalités » vient sen-sibiliser le grand public sur l’engagement de la jeunesse et la solidarité. L’Afev Toulouse réédite l’opération menée en parte-nariat avec les structures locales toulousaines, axée autour de deux types d’actions : des animations dans des quartiers de la ville et un concert solidaire au Zénith, le 26 avril, qui sera égale-ment l’occasion de fêter les 20 ans de l’association. Sont réunis des artistes engagés pour les causes portées par l’association :
Sinsemillia, Les hurlements de Léo, entre autres.
Pas de quartier contre les inégalités – Places en prévente à partir du 5 mars : 10 € - 12 € sur place le 26 avril
Sortie metro «Université Paul Sabatiervers Ramonville à deux pas du MacDonald’s
✆ 05 62 26 79 73
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le mois de la couleur17€
au lieu de 20 €au lieu de 20 €
PROMO DU MOIS
L’Oréal finance les études des femmesL’Oréal France lance la 6ème édition des Bourses “ Pour les Femmes et la Science “, avec le soutien de la Commission française pour l’UNESCO et de l’Académie des sciences. Cette année, L’Oréal France va encore plus loin dans son engagement en ne récompensant plus 10 mais 12 étudiantes pour leur dernière année de thèse. Les Bourses sont cumulables avec
d’autres allocations de Recherche et ont pour but de permettre à des étudiantes doctorantes de se faire connaître, de rendre visible leur travail et d’activer leur projet. Les critères d’éligibilité : être âgée au maximum de 30 ans, être inscrite en avant-dernière année de thèse dans une école doctorale, être française et dans un laboratoire de recherche en France, être inscrite dans une discipline des Sciences du Vivant ou de la Matière.
Clôture des demandes fixée au 15 Avril 2012Toutes les infos : www.femmescience.fr
Coup de Projo
diselo mag | 19
Intra Muros
Campus FM en danger !Radio Campus FM va fêter ses 30 bougies ! Aujourd’hui, ce sont 3 salariés à temps plein et plus d’une centaine de bénévoles qui se battent jour après jour pour sauver la radio. Elle se trouve malheureusement dans une position finan-cière très délicate. Pourtant, son action est unanimement reconnue tant par son apport sur le plan des cultures alternatives que par le lien social qu’elle tisse.
4 possibilités pour aider la radio : • Dons par chèque à l’ordre de l’association Radio Cam-
pus Toulouse MP – 15 rue des Lois – 31000 TOULOUSE.• Par virement bancaire : 10278 02206 00032724740 17
CCM Toulouse Sainte Agne• En espèces : que vous pouvez porter au siège de la radio.• Par paypal sur le site
Téléchargement gratuit !Tezla est une association qui programme des groupes de la scène locale depuis 3 ans. Ils se sont constitués un réseau de mu-siques indépendantes sans distinction de genre. C’est comme ça qu’ils ont eu l’idée de créer un site de téléchargement gra-tuit : Voltadikt. La différence avec d’autres plateformes ? Il créé un lien entre l’internaute et le groupe, lequel pourra informer
l’utilisateur de leurs actus. C’est au total plus de 70 groupes de la scène locale et nationale qui mettent à disposition leur œuvres.
Site web : www.voltadikt.com
Une Maison Blanche à ToulouseRien à voir avec Washington. C’est un tout nou-veau Café Culturel qui voit le jour au cœur du quartier Arnaud Bernard, et qui vous propose de venir découvrir des univers culturels insolites autour d’un plat ou d’une boisson chaude. Maison
Blanche propose des concerts (Musiques du monde, sons latins ou jazzy, etc.), mais aussi des projections (des longs métrages aux docu-fictions, il y en a pour tout les goûts!) et des ateliers. Venez nombreux(ses) !
Horaires d’ouverture : Du lundi au vendredi : 10h à 00h - samedi : 14h à 01h - dimanche : 14h à 23 h.
Stage de danse et percussions en Guinée !Au large de la capitale Guinéenne Conakry, les stagiaires logeront sur une île dans la Villa Elijah. Vous y serez comme chez vous … Vous logerez en pension complète au bord de la mer, avec une alimentation africaine et insulaire très riche en poissons, fruits et légumes. Le prix du stage ? 650 € (Possibilité d’étaler le paiement sur plusieurs mois) qui comprend les cours de danses et de percus-sions, hébergement et les repas, les transports locaux.Renseignements et inscriptions : 05 61 76 58 48 / [email protected] – Date limite d’inscription : le 15 Mars
Corrida AudiovisuellePour cette 26ème édition des rencontres internationale des écoles de cinéma et d’audiovisuel, l’ESAV invite des établisse-ments venant d’autres pays. Loin de l’esprit de compétition, c’est surtout le partage et la convivialité qui vont ponctuer les différentes projections prévues à la fin du mois. Le public tient une place étonnante : d’une part, il a compris sa fonction, une critique intelligente et argumentée de chacun des films d’étu-diants qu’il regarde, afin d’aider l’apprenti-cinéaste ; d’autre part, il fait en même temps l’apprentissage de l’esthétique fil-mique et de la critique.Informations et tarifs : www.esav.fr – Du 19 au 24 mars
www.facebook.com/diselomag
de concert !Gagnez votre place
Un groupe culte au Connexion !Pour tout ceux qui ne les connaissent pas, vous n’avez pas à rougir. Malgré une discographie digne des plus grands, The Fleshtones n’est pas un groupe connu du grand public. Il est d’avis général
que le groupe originaire du Queen’s dans New York est un des plus digne repré-sentant de la scène rock depuis la fin des années 70. Ils associent l’énergie punk à des influences allant du rockabilly à de la surf music. Montée de température garantie ! N’oublions pas en première partie les Jack of Heart, du label Born Bad Records qui sauront faire monter l’adrénaline !
Connexion Café - 8, rue Gabriel Péri - 18 mars - Tarif étudiant : 14 €
6e festival
zOOM aRRIÈRE
La Cinémathèque de Toulouse< < < < < < < < < <
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9 > 17mars2012
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