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DISPARUES! - Reves de femme Recits BDSM

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DISPARUES!

Célébrité disparue

Disparues en Chine

La partenaire de rencontre

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Disparues!

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Célébrité disparue

texte - Lucas. illustrations - Paul. Traduction Henic

Le sergent Esposito s’habille pour l’occasion, comme il l’avait fait le jour où il a épousé Carmela Buitráguez, quelques années auparavant. Il est affecté dans un obscur avant-poste dans le Sud. Il en est le chef mais son travail n’est que routine fastidieuse. Il y a des éléments subversifs partout mais ils ne sont pas intéressants. Il n’y a pas d’étudiants pour se chier dessus lorsqu’ils voient le poste de police, ce qui ajoute toujours un peu de plaisir à la journée. Le subversif bizarre qu’ils attrapent s’avère toujours être un rien du tout, rien qu’un pauvre connard qui trouve là le moyen de se remplir l’estomac de nourriture. La plupart d’entre eux n’ont pas leur propre pot de fleurs à semer pour la récolte de l’année prochaine. Mais cette semaine est différente. Il en a attrapé une bonne, une dame de la haute société qui est toujours aux bals de charité organisés par le régime militaire. C’est une superbe femme bien bâtie, dont les photos sont plutôt la source principale de stimuli masturbatoires dans une région où le commun des mortels est privé de tels stimuli. Son étoile a un peu pâli lorsque son père, le général Augusto Mendoza, fut tué après le coup d’état conduit par le général Titochet. Elle a juste disparu des journaux. Et elle est là, en tous lieux, au fin fond de ce putain de Sud lointain. S’il joue bien sa carte, Cardoso peut gagner un meilleur poste, ou une promotion, peut-être même revenir dans la capitale, là où il y a plus d’éléments séditieux, et plus de putes. Le caporal Endrinas dit avec un sourire :

« Chef, l’élément subversif est prêt pour l’interrogatoire. »

C’est un subordonné. En fait, il est le subordonné de cet avant-poste-ci. Boutonnant sa chemise récemment repassée, Cardoso suit le caporal jusqu’à la cellule. C’est une place dégoûtante, pleine de pisse et de vomi, de rats et de morpions. Les toilettes sont bouchées. La jeune femme attend, tournée vers le mur. Elle est grande et physiquement splendide mais elle n’est pas à son avantage à ce moment-là. Sa chevelure châtain foncé, qui tombe sur son dos comme des vagues, est maintenant hirsute après deux jours et deux nuits de captivité. Elle a l’air fatiguée. Ses yeux sont pleins de larmes et sa robe d’été est trempée de sueur et toute froissée. Elle a un collier métallique autour du cou, qui la contraint à se tenir sur la pointe des pieds. Ses chevilles sont enchaînées au mur de telle façon qu’elle ne peut pas fermer les jambes. Ses poignets sont menottés dans son dos et ses coudes sont liés ensemble. On n’est jamais trop prudent avec des subversifs comme elle… Cardoso l’attrape par les cheveux et tire sa tête en arrière.

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« Est-ce que tu as eu assez de temps pour réfléchir, espèce de putain de rebelle ? Est-ce que tu vas avouer que tu es la pute de Fidel ? »

Il crache par terre et montre à la jeune femme la canne de bambou dont il s’est servi sur ses jambes la nuit précédente. Elle crie, terrifiée :

« Vous n’avez pas le droit de m’arrêter. Je n’ai rien fait. Je n’ai rien à voir avec les affaires politiques de mon père… Je le jure ! »

Elle sait que sa situation est délicate maintenant que son père a été descendu.

« D’accord. Si tu ne veux pas coopérer, nous allons appliquer le règlement. Endrinas, tu la déshabille et je lui fais une fouille au corps. - Non… Ne faites pas ça… Noooon ! Nooooon ! NOOOOOOOOOOON ! »

Un par un, les vêtements de la jeune femme tombe, à mesure que le soldat les coupe avec sa machette. La robe est fendue de haut en bas, le soutien-gorge de dentelle est soigneusement découpé au niveau des bretelles puis par derrière. La culotte est coupée à moitié puis arrachée. Patricia est là, debout, toute tremblante, essayant de maintenir les fesses serrées. Elle serre les poings, attendant l’abus sexuel qu’elle suppose devoir se produire… Non seulement ses jambes mais également ses seins, son derrière, même son vagin, sont terriblement exposés à la canne. Elle ne peut pas serrer les jambes. Il poursuit :

« Tu as beaucoup de poids là où il faut ! Ça va être un plaisir de te fouiller… et de te faire avouer. »

Sa voix tremble un peu lorsqu’il passe devant elle et fixe ses seins lourds… Puis il met la canne entre ses dents et s’accroupit entre ses jambes. Ses mains passent sur ses cuisses, sur son sexe qu’il lèche. Il joue autour pendant quelques minutes avec ses doigts et sa langue jusqu’à ce que son épaisse toison pubienne soit mouillée par ses propres sécrétions et par sa salive… Il reprend, la voix rauque et instable, chargée de désir et de menaces…

« Vous, les filles de la ville, vous avez la peau douce… Bonne viande pour les riches ! Et vous êtes agréablement douces à l’intérieur aussi ! »

Les mains de Cardoso parcourent tout le corps à présent, faisant rouler les seins, puis elles descendent en griffant jusqu’au vagin – le pot à miel, ainsi qu’il l’appelle -, puis plus bas vers les cuisses, de haut en bas et de bas en haut… Elle essaie de fermer les jambes mais c’est impossible. Il est à genoux devant elle, passe sa main par derrière et trouve son anus. Il respire lourdement. Il lui lèche les cuisses. Il les a vues dans les magazines, il les a même découpées et placées au-dessus des toilettes afin de les voir lorsqu’il a besoin d’une petite branlette. A présent, il les lèche. Que pourrait-il demander de plus ?

« Une putain comme toi peut rapporter beaucoup d’argent dans ce loin. Dommage que je doive te renvoyer à la capitale ! »

Patricia se mord les lèvres. On la tuera s’ils la renvoient là-bas… En posant deux doigts sur son anus, il lui demande :

« As-tu quelque chose dans ton cul, espèce de salope aux gros seins ? De la drogue, peut-être ? Des capotes pour Fidel ? »

Elle est sauvée par le téléphone. Endrinas dit :

« C’est pour vous, Sergent. »

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Les deux hommes s’en vont au bureau et Patricia pousse un soupir de soulagement. Elle est seule, son corps est couvert de contusions, ses épaules lui font mal, ses jambes sont tétanisées par les crampes et son moral est au plus bas. Elle se demande s’il y a moyen d’en sortir. Peut-être pourrait-elle acheter sa liberté avec de l’argent, ou des faveurs sexuelles à ce soldat aussi grossier qu’idiot ? Cardoso revient.

« Des nouvelles de la capitale. On dirait qu’ils sont en ébullition, là-bas !

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Patricia voit qu’il regarde ses seins en lui parlant et inconsciemment, elle se détourne, essayant de les lui cacher. Il lui tourne autour et touche ses mamelons.

« L’ordre est de ne pas te renvoyer là-bas. Tu y as peut-être des soutiens. Le seul soutien que tu as ici est ceci, dit-il en soupesant ses gros seins dans ses mains en coupe, et en les suçant. - S’il vous plaît… Ne faites pas ça… Plaide-t-elle en regardant Cardoso. - Mes ordres sont de te faire disparaître. Pas de détails. »

Patricia se met à trembler. Il la caresse et ouvre ses fesses d’une manière plus familière et plus possessive qu’avant.

« Bon. C’est moi qui donne les ordres ici, et je pense que ce serait du gaspillage si tu disparaissais sous un mètre de terre. Donc, voici le plan. Tu veux l’entendre ? »

Patricia hoche la tête, essayant d’ignorer le doigt qui frotte l’entrée de son anus.

« Tu vas rester ici avec moi. Tu seras nue jour et nuit ! Je m’occuperai de toi et tu t’occuperas de ma queue. Ce n’est pas un mauvais marché, hein ? »

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Avant qu’elle puisse répondre, il lui met un vieux chiffon dans la bouche et l’attache bien serré. Il enlève le collier et les chaînes des chevilles et la jette par terre. Elle est trop faible pour résister. Il al retourne brutalement, soulève ses fesses et la pénètre par derrière. Il maintient sa tête contre le sol, appuie son sein droit sur le ciment froid et la viole, douloureusement, en lui murmurant des obscénités, gémissant et grognant : « Tu aimes ma bite ?... C’est une vraie bite de macho pour toi !... Tu as de la chance… Aaaaarrh… Tue s ma putain privée à présent… Aaarrrhhh… Je vais t’enfermer et je ne te sortirai que pour tirer un bon coup… Je t’apprendrai à sucer comme il faut… Aaaarrrhhhh… Tu me nettoieras le cul avec ton visage… Et je sucerai ta chatte… Je te mordrai les seins… Je te mangerai le cul… Je te lécherai la chatte… Je… Aaaaaaarrrrrrhhh ! AAAAARRRRRHHHHHHH ! »

La semaine suivante, Patricia Mendoza, dont les photos et les sourires avaient rempli les magazines, découvre ce que signifie être dans les mains d’un psychopathe tordu et cruel. Enfin, il a quelqu’un qu’il peut dominer. ET il ne rate aucune occasion d’humilier sa prisonnière et d’en abuser sexuellement. Il lui ordonne de faire les tâches les plus dégradantes, de prendre les positions les plus absurdes, et de pratiquer les actes sexuels les plus obscènes. Et si elle désobéit, il la punit. Ce que Patricia en vient à détester le plus sont les dîners intimes avec son geôlier. Il l’habille d’une robe blanche qu’il a coupée très court pour dévoiler son sexe. Elle n’a pas de culotte. Il lui fait porter des bas couleur chair et des chaussures rouges à hauts talons. Ses poignets sont menottés dans son dos et elle mange ce qu’elle peut directement dans l’assiette. Quelquefois, elle est debout près de lui, les jambes largement écartées, à moitié accroupie, et il lèche alternativement sa nourriture et sa chatte. Quelquefois, il lui met du miel à l’intérieur et il le lèche complètement. Après le dîner, elle se donne en spectacle pour lui, arpentant la pièce comme un mannequin, adoptant diverses poses pour exposer les parties de son corps qui l’intéressent sur le moment, en général ses seins ou son vagin. Elle doit se tortiller par terre sur le dos, ou sucer une bouteille ou une bougie. Quelquefois, elle doit se masturber contre n’importe quoi et n’importe où dans la pièce – le coin de la table, le dos d’un fauteuil, la rampe de l’escalier… El elle doit avoir des relations sexuelles. D’habitude, il s’assoit sur une chaise dure. Elle lui enlève ses vêtements avec les dents. Puis elle suce ses orteils, ses testicules et son pénis. Elle descend sur lui, les jambes largement écartées. Il joue avec son clitoris et avec ses seins pendant qu’elle s’agite en rythme, de haut en bas. Les sécrétions vaginales, le sperme et le miel coulent le long de ses cuisses. Aujourd’hui, Cardoso est au téléphone avec ses supérieurs, des officiers :

« Tout est en ordre, mon colonel. Elle a été neutralisée… Oui, c’est exact, elle est " portée disparue". »

Patricia entend la conversation, nue et agenouillée sur son bureau. Elle suce un énorme phallus en bois sculpté pour elle par Cardoso. Il la tire vers le haut et vers le bas avec une corde passée dans une poulie.

« A vos ordres, mon colonel… Merci… Merci. »

Il raccroche.

« Suce, espèce de putain. Muscle-toi! Tu vois quel macho il est ? Tu vois comment il m’a félicité ?

Patricia redresse son dos douloureux, désobéissant aux ordres. Il bondit, en fait le tour et appuie sa tête contre la table. Il soulève son derrière bien haut et saisit la canne. SSSSSSSSWWWWWIIIIIIIISSSSSSSSS !

« AAAAARRRRRRHHHHHHH ! OUUUUUUUUUUUAAAAAAAAHHHHHH ! »

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Il ouvre largement ses jambes et frotte lentement la canne de haut en bas entre les lèvres de son sexe. Il la retourne sur le dos, place ses jambes sur ses épaules et fait courir ses doigts rapidement et brutalement sur son clitoris. Il tient ses lèvres ouvertes de la main gauche et passe plusieurs fois l’énorme phallus sur son clitoris. Puis il l’introduit lentement en elle. Elle est trop fatiguée pour protester… Tel est l’enfer sur terre de Patricia. Et il n’y a qu’une semaine qu’elle a disparu…

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Disparues en Chine Matador

Illustrations : Badia Traduction: Henic

Premier récit qui transcrit les paroles d’un Occidental qui connaît la valeur des arts de l’amour. Je confesse que le travail n’est pas mon point fort. Je me lève à trois heures, je vais au lit lorsque ça plaît et je travaille quand je n’ai pas le choix. En général, avec un verre de vin dans la main. Mon boulot est délicat. Il nécessite un contact en douceur avec les gens. Vous pouvez dire que je suis un changeur d’argent de haute volée. J’échange des femmes contre de l’argent. Une ou deux opérations par an sont tout ce dont j’ai besoin. Ici, je suis en Chine, au milieu de nulle part, en train de travailler sur la troisième chatte de l’année. C’est une vieille tradition de venir ici pour la soie ou les épices ou d’autres choses, mais il y a plus d’argent dans le commerce des chattes. Je suis très reconnaissant envers Chiu-Piu. Il avait ce restaurant minable qui a fait faillite après l’intoxication de la moitié du quartier. Il a fini sur la paille. Nous avons donc décidé de nous mettre dans l’import-export. Avec les Chinois, bien sûr. Des transistors ? Des réveils ? Des baguettes ? Non. Nous sommes dans des Marie-Anne, Suzanne et de curieuses Carolines. Tout d’abord, elles tombent amoureuses de moi. Je suis grand, mes cheveux sont bien gominés, je porte des costumes onéreux, elles ne peuvent pas me résister. Nous partons pour des vacances en Chine. Une fois là-bas, Chiu-Piu a les contacts, et nous rions pendant le trajet vers la banque. Elles sont si naïves que parfois, elles paient mon voyage ! Sally est la troisième cette année. Vingt ans, blonde aux yeux bleus. Le rêve de tout Chinois. La pauvre fille suit un cours de Mandarin par correspondance et elle voulait pratiquer. J’ai failli me prendre les pieds dans le tapis. Je croyais que le Mandarin était un plat de canard ! Mais tout s’est passé en douceur. Nous avons pris le car pour Tun-Tin-Ton. C’était le morceau désagréable, trois jours dans une boîte à sardines pleine de Chinois. Chiu-Piu nous attendait avec la charrette. Six heures derrière un âne et nous arrivons au quartier général de la Chiu-Johnson Corporation, multinationale sino-américaine (parrainée), là où je travaille. Je m’appelle Johnson. Nous sommes tous très contents de la société. Les profits sont élevés. Pour chaque oiseau que nous plaçons – vous pouvez imaginer comme les Américaines sont bien vues ici – nous récupérons un poids lourd de dollars US. Très peu de dépenses. La curieuse tasse à café. De nos jours, les filles paient pour leurs propres yaourts. Peut-être quelques préservatifs. Quelquefois, il faut que j’achète des billets classe touriste pour la Chine mais ce n’est pas si cher que vous pourriez le penser. Les gens du fisc ne sont pas trop au courant de tout ça. Voilà comment se font les présentations : « Sally, Chiu-Piu. - Salut.

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- Bonjour. - Sally aimerait voir tes mandarines, dis-je à Chiu-Piu. » Et je m’en vais. Mon boulot est terminé et je vais prendre quelques photos de la Grande Muraille. Je rencontre un groupe de touristes de l’Ohio. Surtout des veuves, qui profitent de l’argent de l’assurance-vie et espèrent saisir au passage quelque queue tardive. Pas vraiment de la jeune chair succulente, c’est vrai, mais il y a du bon argent dans les vieilles chattes aussi, si vous savez les choisir.

*

* * Deuxième récit, qui transcrit les paroles du Chinois qui vend les jeunes chattes. (Note de Chiu-Piu : certains "l" sont probablement des "r"). Ouaouh ! Une autre superbe ! Où les trouve-t-il ? Si rondes ? "Des seins comme des oranges pleines sont harmonieux à l’œil", disait Confucius.

« Par ici, s’il vous plaît. »

Et je l’emmène tout droit au "Tabouret à Chattes Chinois" comme l’appelle Johnson. C’est un tlès long bâton avec une bite au bout ! Elle a l’air surprise, pas pour longtemps. Je lui donne des coups de pied un peu tout autour de la pièce, et je lui enlève tous ses vêtements. J’aime voir les chattes occidentales. Elles sont velues. Et quand je pense comment je travaillais dans le restaurant, sans jamais sucer rien de plus doux qu’une pousse de bambou ! J’attache ses poignets et ses coudes derrière son dos, je la saisis par ses toisons de la tête et de la chatte et je l’assois précautionneusement avec le bâton enfiché en elle. Vous devriez voir comment elle serre les jambes ! Pour l’aider à garder les jambes l’une contre l’autre, j’enchaîne ses chevilles. Puis j’attache un morceau de bambou entre ses dents et j’enlève tous mes habits. Vous me voyez, là, nu à l’exception des bottes ! Belle moustache, hein ? Lorsque je descends sur une femme, elle garde l’odeur. C’est bien à ça que servent les poils, n’est-ce pas ? J’ai une bonne vue sur elle. Elle agite ses jambes dans tous les sens.

« Legarde, Sally, il n’y a pas d’olanges ici, juste un gloupe de Chinois qui en ont plein les boules des Chinoises habillées comme le Plésident Mao. »

C’est tlès socio-politique mais je ne clois pas qu’elle ait complis.

« Tu as été commandée. Le client est un vieil homme qui veut une blonde avec des yeux londs, et des seins londs aussi. Il veut quelqu’un qui ne complend pas le Mandalin. Et il veut qu’elle soit d’abold éduquée, alols, allons-y. »

Vous savez plobablement à quel point les Chinois sont bons dans l’alt de planter des aiguilles dans les gens. "Cela vient du fait de manger avec des baguettes", dit Johnson ! Ah, ah ! Donc, je connecte le négatif de la battelie au bâton planté dans le cul de Mademoiselle Sally, et je lui montle l’aiguille. Elle secoue la tête d’un côté à l’autre. Si je n’avais pas voyagé, je ne saulais pas qu’elle dit non. Je plante l’aiguille dans son nichon et j’y connecte la battelie. Mademoiselle Sally continue de secouer la tête, et ses nibards ! Elle les agite si fort que je m’inquiète poul ses veltèbles et lui mets un collier. Une autle invention chinoise. C’est moulant et ça dispose d’un plateau à

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l’avant pour maintenil le menton. Il est tlès long. Il maintient sa tête vels le haut et tient le bâillon.

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Où en étais-je ? Ah oui, les aiguilles. L’électlocution des seins est une affaire tlès chinoise. A la diffélence d’autres cultules, qui appliquent la tension à la sulface de la peau, les Chinois aiment aller sous la peau, pour que les volts et les ampèles toulnent tout autoul des seins. Aplès une heure de ce légime, Mademoiselle Sally opine à tout ce que je dis. Elle n'a pas vraiment le choix, en fait, avec deux douzaines d'aiguilles à tlavers ses seins, tout autoul, et les soixante-dix ampèles de la battely complètement utilisées. Lorsque je reviens du dîner, elle est plesque obéissante. Je l’enlève du bâton, ce qui est dommage palce que c’était agléable de voil ses jambes seller.

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Je la place sur les taboulets de baise – deux taboulets écaltés d’un mètle cinquante. Ce n’est pas un ploblème poul elle car elle a de longues jambes. J’enchaîne aussi ses poignets au plafond palce que cela folme un si joli X, comme votre Léonald de Vinci. Nous, les Olientaux, nous applécions l’halmonie de la natule. Obselvez, s’il vous plaît, comment la londeul de ses seins d’Occidentale est équiliblée par la londeul de mes couilles olientales. Je ne me contente pas de baiser un oeuvle d’alt. Je suis une une oeuvle d’alt qui baise ! Je suis aussi un peu misogyne, mais je dois admettle que cette fille me fait de l’effet. Elle est si agléable à legalder que je suis en élection. D’habitude, je dois felmer les yeux et penser à mon paltenaile Johnson pour y alliver pleinement. Je ne suis pas vlaiment attilé par les vagins. Je pléfèle des tlous plus londs. C’est poulquoi je fais le toul et je commence pal le cul avant de pénétler la chatte. Bien qu’elle soit une femme, elle une bonne valeul. Elle en aura une encole meilleule la plochaine fois palce que je lui aulai enseigné un ou deux trucs. Il y a des choses qui devlaient faile paltie de tous les culsus scolailes ! Mademoiselle Sally apprend vite. Il suffit que je mentionne l’acupunctule et elle monle un gland intélêt à la leçon. Je tlouve tlès confoltable son passage allièle pendant que je felme les yeux en pensant à Johnson. Puis je la mets dans une petite cage – fabliquée en Chine – dont les balleaux sont en fil de fel balbelé. Je la lécupèlelai dans quelques heules. Je vais me promener vels la Glande Mulaille, avec la satisfaction du devoil accompli, pour voil si je peux tlouver ce vieux couleul de jupons, ce salaud de Johnson. Je le tlouve au milieu d’un gloupe d’Amélicaines. Il dit que ce sont des veuves qui chelchent un mali. Je plends la palole :

« Bonnes dames, honolables dames, lappelez-vous les mots de Confucius : "vendez votre figue quand elle est mûle, parce que la figue mûle est londe et flaîche". »

Elles ne semblent pas me complendre. Oh, bon, c’est elles qui y peldent…

* * * Troisième récit, qui transcrit les paroles du Chinois qui vend les jeunes chattes (traduit). Je ne savais pas que les dollars américains étaient si utiles. Je les ai ramassés avant de le savoir. La chienne caucasienne me coûte cent beaux d’entre eux, comme on dit dans les films. Mais elle vaut vraiment chaque centime. Les enfants la recherchent. Ils la peignent, la maquillent - les Blancs sont si pâles qu’il nous faut les peindre -, la nourrissent, la lavent à l’intérieur et à l’extérieur, et d’une manière générale, maintiennent ses fonctions corporelles en ordre de marche. Ils lui prodiguent aussi le sexe au gin, ce qui la fait aller comme une lapine, ce qui, en jargon de baise moderne est appelé "vibrations à haut taux d’octane", "multi-orgasmique, super-lubrifiant, hyper saccadé. Comme une lapine. Hors de contrôle. Lorsqu’elle n’est pas en train de vibrer palrout par terre, je la garde dans un placard avec des barreaux à la place des portes. Il est si bas que la chienne caucasienne doit s’y accroupir. Il est si étroit qu’elle doit faire sortir ses genoux entre les barreaux. Et comme les barreaux du milieu sont assez gros pour que ma main passe entre eux, mais pas assez pour ses genoux, elle doit ouvrir largement les jambes et passer ses genoux par les barreaux plus écartés qui sont sur les côtés. Elle montre en permanence sa chatte, voyez-vous, grande ouverte. Vous pourriez aussi demander pourquoi elle ne sort pas ses pieds pour s’asseoir ? Bonne question. La réponse est qu’elle ne le peut pas. Ses orteils sont fixés au sol par une sorte de

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piège à souris en forme de chaussure de ski. Elle ne peut pas les libérer parce qu’elle a les bras attachés dans le dos. Mais ce n’est pas tout. Comme tout bon Oriental, j’aime la symétrie et je ne veux pas qu’il n’y ait que les genoux qui pointent à travers les barreaux. Après avoir réfléchi à la question, je décide d’attacher les nichons aux barreaux avec deux pinces crocodiles, qui fournissent à la fois une agréable harmonie circulaire de genoux et de seins, et soumettent ses orteils à une tension supplémentaire. Je ne sais pas si vous savez cela ou non, mais si vous conservez vos putes dans un rien d’inconfort, elles produisent plus d’efforts et de jus lorsque vous en avez besoin. Où en étais-je ? Ah, oui, un autre avantage des tapettes à souris est qu’elles me laissent utiliser la bouche des salopes sans les sortit de leur cage. J’ai oublié de vous dire, mais la chienne blanche a un bâillon et un anneau entre ses dents, réalisé à l’exacte taille de ma queue, ce qui est une taille respectable pour un Asiatique ; comme elle porte toujours le collier standard, et qu’elle ne peut bouger, je peux baiser son visage tout en prenant un shampoing ou en me culant le nez. Aujourd’hui, par exemple, je me déshabille et je baise son visage en lisant Confucius. Comme nous autres Chinois sommes de grands producteurs de semence jaune, elle a plus l’air oriental que caucasien lorsque je me retire. Je la lave un peu plus tard avec une bonne dose d’urine jaune sur son visage et dans sa bouche. Avant d’aller faire une sieste bien méritée, je lui enfonce une banane non épluchée dans la gorge et une aubergine dans la chatte. Je me réveille en forme et avec une réconfortante érection. J’ordonne à un de mes larbins de la sortir de la cage. Les tétons et les orteils de la chienne sont rouge brillant et deux fois plus gros que leur taille normale. Lorsqu’elle voit le superbe étendard que je brandis, elle sait exactement quoi faire… D’abord, elle rampe jusqu’à mon lit, avec les seins et la joue droite – jamais la gauche ! – au sol. C’est un protocole aussi vieux que le monde : la race inférieure rampe devant la supérieure en signe de respect. Lorsqu’elle arrive au lit, elle bombe le torse et offre ses seins. Je lui fais signe de monter. Comprendre une femme est toujours difficile, et dans ce cas, elle ne comprend pas du tout la langue de Confucius, mais je trouve que trois ou quatre gestes éloquents sont suffisants pour signifier ce que je veux dire. Une fois sur le lit, la chienne caucasienne me fait un massage élaboré avec ses seins. Là, je dois l’avouer, la race blanche est supérieure à la nôtre. Les nichons de nos femmes emplissent un petit bol à riz tandis que ceux des Américaines emplissent un wok. Lorsque j’en ai assez, je la gifle et ma chienne caucasienne enduit mon corps de salive en utilisant sa langue ignorante comme un pinceau. Elle n’a pas la permission d’oublier le moindre millimètre de peau jaune. C’est un dur travail pour elle parce qu’elle ne peut pas plier le cou. Cela signifie que tout son corps doit monter et descendre, et faire osciller et balancer ses gros nichons. Une claque dessus lui dit qu’elle doit faire mieux. Puis nous jouons. Nous jouons à l’Occident contre l’Orient. La chienne essaie de mettre sa bouche autour de ma bite et j’essaie de l’éviter. Lorsqu’elle y parvient, sa récompense consiste à jouer avec pendant un moment. C’est plaisant de voir un visage aussi blanc avec une grosse queue jaune dedans. Surtout si c’est la mienne. Bien sûr, la chienne sait comment utiliser sa gorge. Elle le doit. Une fois arrivée là, je la laisse me finir de la manière qu’elle veut, ou bien je la saisis par les cheveux, la projette sur le dos et je baise son visage jusqu’à ce qu’elle commence à étouffer, ou bien je lui donne quelques claques sur les nibards ou sur les fesses. C’est une fille qui a des chairs qui tremblotent bien. On peut dire qu’avec elle, j’emploie le langage des signes.

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Un jour, la chienne caucasienne abaisse sa chatte sur mon impériale queue et commence à me traire à la manière que je lui ai montrée – lentement et comme si elle aimait ça. Je crois que c’est Confucius qui disait :

« Si une chienne caucasienne n’a que sa chatte pour communiquer, elle deviendra experte en communication. »

Ou peut-être est-ce Johnson. Je lui donne de petits prix si je vois qu’elle l’emploie bien. Par exemple, si je vois ses sécrétions vaginales couler le long de sa cuisse, je lui laisse faire un peu d’exercice sans les cordes. L’autre jour, elle m’a remercié en se masturbant juste devant ma figure. De temps en temps, elle écartait ses lèvres en les tirant, pour que je puisse voir comment ça se passait. Nous autres Orientaux, nous aimons voir à l’intérieur d’une chatte, ainsi que vous le savez si vous avez vu notre art érotique. "Délicieusement explicite", c’est ce que vous en dites, vous, les Occidentaux. Pourquoi est-ce que vous ne dessinez pas vos propres chattes ? Sally est maintenant à moitié Chinoise. Nous n’aimons pas que nos femmes montrent trop leurs émotions. Nous souhaitons qu’elles baisent calmement et d’une façon délicatement retenue. Elle le fait, à présent. Pas vraiment beaucoup de choix lorsque la seule chose que l’on peut bouger est sa chatte ! Elle ne peut pas bouger les bras, les mains ni les pieds. Elle peut balancer un peu ses nichons, c’est vrai, mais à part ça, ses mouvements sont ceux de sa chatte. Et lorsqu’elle est dans la cage, je suis celui qui met les mains entre les barreaux et la fais remuer. De toute façon, tout cela va changer parce que j’ai décidé de commencer à utiliser son train arrière. C’est pourquoi je le fais nettoyer tous les jours, intérieur et extérieur. Mais je ne crois pas que ce soit pour moi. Nous autres Chinois sommes trop délicats pour cela. C’est pour Longue Queue. Et qui est Longue Queue ? C’est mon cheval. Un cheval d’authentique race Kentucky avec une vraie queue américaine. Sally sera contente d’être baisée par un Américain, surtout celui-là !

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La partenaire de rencontre Texte :Sandra

Illustration : De Haro Traduction: Henic

Ne trouvez-vous pas qu’elle est superbe ? Elle s’appelle Renata. Elle est Italienne mais elle parle parfaitement l’anglais. Je l’ai trouvée ce soir, elle dansait sur l’estrade en agitant ses magnifiques seins sous un étroit haut de coton. Elle va les secouer encore plus maintenant ! J’ai bavardé avec elle et j’ai vu ce qu’elle cherchait. Elle est droguée. Ce n’est pas mon truc mais je lui ai dit :

« Allons chez moi pour un trip. »

Aussi simple que ça ! Elle est allée directement au vestiaire pour récupérer ses affaires… Et elle est là. Pas vraiment contente. Pas de drogue, de nombreuses cordes, quelques vibromasseurs de bonne taille et une superbe bite qui attend son tour. Vous auriez dû voir sa tête quand j’ai sorti le vibromasseur, le bâillon avec un phallus à l’intérieur, la planche de bois qu’elle va devoir chevaucher… Elle ne savait pas si c’était une blague ou pas ! Il a fallu que je lutte un peu avec elle au début mais elle s’est fatiguée. Trop de danse ou trop de drogue. Elle a l’air bien, hein ? Vous aimez le pantalon à moitié ouvert ? J’ai coupé sa culotte en deux par devant et je l’ai retirée. N’aimeriez-vous pas juste glisser la main dans ce buisson ? Et les seins ? Où avez-vous déjà vu une paire pareille ? Elle ne portait pas de soutien-gorge. Pas besoin, sans doute ! J’ai coupé son chemisier et ses seins ont jailli. Je mets ma main dans son pantalon et dans sa chatte, rien que pour les voir bouger ! Et ils bougent ! Ils s’agitent et oscillent dans tous les sens. Je jouis presque à chaque fois qu’ils montent et descendent ! J’aime les chattes et je les aime mouillées. Je lui mets un doigt pour ramener un peu de jus et je l’étale autour. Sa toison s’humidifie et sa chatte fait des bruits de siphon !

« Maintenant, je vais te baiser un bon coup. C’est ce dont vous autres droguées avez besoin, plus de queue et moins de drogue. Tu devrais te shooter à la bite de bonne qualité ! »

J’ouvre mon pantalon et lui montre ce que je veux dire. Elle essaie de gagner du temps et dit :

« On n’est pas pressé, n’est-ce pas ? - Ma bite est pressée, réponds-je. »

Je prends ses seins à pleines mains. Ils sont énormes et fermes. Je lèche les tétons et les suce pour les faire gonfler. Ils grossissent bien, de vrais stylos ! Je mets ma main entre ses jambes pour maintenir les sécrétions. Je l’embrasse sur la bouche. Elle tient ses mâchoires serrées et appuie ses lèvres l’une contre l’autre mais je lui mords les lèvres jusqu’au sang. Je force ma langue à l’intérieur. Elle n’osera pas me mordre. Elle a peur. Elle tremble. J’aime ça. C’est une marque de respect !

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Disparues!

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Je me mets à embrasser tout ce qui est visible – son visage, sa bouche, sa toison… Je tire un peu son pantalon vers le bas et j’embrasse le haut de son cul. C’est un cul ferme, un cul de danseuse. Mais je reviens toujours aux nibards. Le tire ses cheveux en arrière pour les faire sortir… Je la secoue par les épaules pour les faire se balancer, le les attrape, je les tire ensemble et je travaille ses tétons avec mes pouces, je les suce… Elle panique et essaie de me frapper avec sa tête. Je la gifle, sur la figure d’abord, puis sur chaque sein, je descends son pantalon et fesse son derrière, durement, jusqu’à ce qu’il soit rouge.

Je défais les cordes qui entourent ses jambes et j’enlève ses bottes, son pantalon et ce qui reste de sa culotte. Je remarque qu’elle est tachée de jaune. Puis je lui remets ses bottes. Je la fais asseoir sur la barre supérieure et j’ouvre largement ses jambes.

« Si tu n’ouvres pas grand tes jambes, je les rattache, et cette fois, plus écartées encore ! Alors ouvre-les ! »

Elle les ouvre en grand. Elle a l’air splendide, légèrement penchée en arrière. Des cheveux châtain foncé, des yeux verts, d’épaisses lèvres sexy, d’énormes nichons, et maintenant, une magnifique chatte exposée en plus. C’est ce sur quoi je porte mon attention à présent. Je mets mes doigts entre ses lèvres. Elle se trémousse un peu mais ne dit rien. Je travaille son vagin pendant longtemps. Il y a beaucoup de jus. Je l’essuie sur ses seins et nous pouvons le sentir tous les deux. Elle commence à répondre à l’action de mes doigts. Elle s’agite un peu et sa tête oscille. Son jus coule maintenant le long de sa jambe. Je m’agenouille et le lèche. Je trouve son clitoris et je le suce. Je bois son jus et lui laisse ma salive, c’est un échange équitable. Puis je me relève et entre lentement ma bite en elle. Elle se penche en arrière, à moitié assise sur la barre, retenue par les cordes. Je vais plus vite à présent. Je tiens ses seins et les embrasse. A chaque fois que je pousse, elle vacille… Elle me regarde avec de la haine dans les yeux, mais elle prend le bon rythme… Je descends une main pour lui travailler le clitoris et la faire continuer… Nous verrons ce qu’elle donne. Si elle est bonne, je la garde. Sinon, je l’envoie à Ahmed. Il saura comment en tirer le meilleur. Mais pour l’instant, elle est sur ma queue, je pousse tout droit dedans et… aaarrhh… elle enroule une jambe autour de l’arrière de mon cul… et… aaarrhhhh… Je m’enfonce plus profond et… Ouh !... Elle s’agite contre moi… et… ouh… Elle gémit elle aussi et :

« AAAAAARRRHHHHHHHHHHHH ! AAAAAARRRHHHHHHHHHHHH ! »

Nous partons dans d’énormes mouvements saccadés des corps et dans une convulsion des esprits, ensemble. Sa tête tombe en arrière et la mienne tombe sur ses seins. Puis nous repartons dans des mouvements effrénés ! Elle en veut encore ! Je n’ai pas encore repris mon soufflé! Il faut que je le fasse avec mes doigts… ! Je crois que je vais la garder ! Sa chatte goutte sur toute sa jambe ! Elle me demande de lui sucer à nouveau les seins ! Elle veut que je suce sa chatte ! Elle gigote à nouveau ! Elle me comprend !

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