16
L’art de la décoration sur esclave Texte -. Towaco Takamura. Illustrations - Badia. « Est-ce que nous commençons ? - Quand vous voudrez : je suis prêt. - D’abord, parlez-moi de nos préférences personnelles. C’est normalement le service commercial qui s’occupe de cela mais puisque vous êtes là… - Oui, j’ai demandé à le faire ici. - Comment voulez-vous l’appeler ? Son nom actuel est Suzanne, mais il est assez courant que le propriétaire change le nom. - J’ai regardé ma nouvelle propriété et j’y ai réfléchi. Estrellita, "petite étoile". Ma mère avait une chienne qui s’appelait comme ça. « Bien. La couleur des cheveux. Estrellita est brune. Est-ce que vous préférez les blondes, les rousses, ou voulez-vous quelque chose de plus moderne : rose ou vert ? - Non, c’est bien comme ça. Les brunes ont un air sauvage, exotique. Je les ai toujours aimées. - Est-ce que les seins vous vont ? La chirurgie est en supplément, si vous le désirez. » Je m’approche d’elle et tâte ses nichons. Ses tétons sont percés et attachés au collier. Elle crie et remue autant qu’elle peut… « Reste tranquille, dis-je d’un ton sévère, je t’ai payée un bon prix et j’ai le droit de t’inspecter. » Elle cesse de bouger et réagit à l’exploration de ses seins par de faibles gémissements occasionnels. En la regardant dans les yeux, je commente : « Elle a une très belle paire de seins, avec des tétons très sensibles. » Elle a également de souffrir un peu, donc je les pince. Un filet de salive s’échappe de l’anneau qui maintient sa bouche ouverte. « Ses nichons sont bien. Pour le nez, je ne suis pas sûr. Il est un peu plat. » Les grands yeux d’Estrellita s’écarquillent. « A mon avis, elle est trop jeune pour être opérée, répond le commis. Les chirurgiens préfèrent travailler sur un nez adulte. Mais c’est votre esclave, c’est vous qui décidez. » Peut-être qu’il a raison. Je décide de ne pas prendre le risque. Le commis ajoute : « Nous offrons également ce vibromasseur. » Il lui enfile un énorme vibromasseur et le fixe avec un harnais de caoutchouc.

L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

  • Upload
    others

  • View
    12

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave Texte -. Towaco Takamura.

Illustrations - Badia. « Est-ce que nous commençons ? - Quand vous voudrez : je suis prêt. - D’abord, parlez-moi de nos préférences personnelles. C’est normalement le service commercial qui s’occupe de cela mais puisque vous êtes là… - Oui, j’ai demandé à le faire ici. - Comment voulez-vous l’appeler ? Son nom actuel est Suzanne, mais il est assez courant que le propriétaire change le nom. - J’ai regardé ma nouvelle propriété et j’y ai réfléchi. Estrellita, "petite étoile". Ma mère avait une chienne qui s’appelait comme ça. « Bien. La couleur des cheveux. Estrellita est brune. Est-ce que vous préférez les blondes, les rousses, ou voulez-vous quelque chose de plus moderne : rose ou vert ? - Non, c’est bien comme ça. Les brunes ont un air sauvage, exotique. Je les ai toujours aimées. - Est-ce que les seins vous vont ? La chirurgie est en supplément, si vous le désirez. »

Je m’approche d’elle et tâte ses nichons. Ses tétons sont percés et attachés au collier. Elle crie et remue autant qu’elle peut…

« Reste tranquille, dis-je d’un ton sévère, je t’ai payée un bon prix et j’ai le droit de t’inspecter. »

Elle cesse de bouger et réagit à l’exploration de ses seins par de faibles gémissements occasionnels. En la regardant dans les yeux, je commente :

« Elle a une très belle paire de seins, avec des tétons très sensibles. »

Elle a également de souffrir un peu, donc je les pince. Un filet de salive s’échappe de l’anneau qui maintient sa bouche ouverte.

« Ses nichons sont bien. Pour le nez, je ne suis pas sûr. Il est un peu plat. »

Les grands yeux d’Estrellita s’écarquillent.

« A mon avis, elle est trop jeune pour être opérée, répond le commis. Les chirurgiens préfèrent travailler sur un nez adulte. Mais c’est votre esclave, c’est vous qui décidez. »

Peut-être qu’il a raison. Je décide de ne pas prendre le risque. Le commis ajoute :

« Nous offrons également ce vibromasseur. »

Il lui enfile un énorme vibromasseur et le fixe avec un harnais de caoutchouc.

Page 2: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

2

« C’est vraiment serré. Ce doit être son âge. Comme vous le voyez, nous l’avons rasée. Elle n’avait pas beaucoup de poils, de toute façon. - C’est bien. J’aime bien voir les lèvres.”

Estrellita n’a pas l’air contente. Je suppose qu’elle associe le fait d’avoir une toison touffue avec celui d’être une femme. Je mets ma main sur sa chatte et commence à la caresser. Elle se tend mais elle ne peut rien faire. Ses chevilles sont attachées à une barre de bois. Elle essaie de clore les lèvres de son con mais cela lui est impossible. Elle sanglote à travers l’anneau. Après neuf mois d’électrolyse et de cire chaude, le pubis sera propre et épilé définitivement.

« Si vous n’y voyez pas d’objection, nous placerons votre esclave dans un programme strict d’effort physique, pour brûler les dernières traces de graisse enfantine. Vous choisissez les chaussures. »

Je remarque les très hauts talons des chaussures qu’elle porte. Le commis ajoute :

Page 3: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

3

« C’est douloureux au début mais elles s’y habituent. Dans quelque temps, elle sera à peine capable de marcher sur sol plat sans eux. »

J’aime ça. C’est sexy. Je suis un peu fétichiste des pieds et des jambes.

« Bodybuilding ? Piercings ? Tatouages ? Un entraînement spécial en quoi que ce soit ? Demande-t-il. - Des anneaux d’or dans les tétons, un au nombril et un au clitoris – Estrellita hoquette à cet énoncé – et j’aimerais voir quelques exemples de tatouages, des queues, le mot "Esclave", vous voyez… et je la veux experte au service des femmes autant que des hommes. Et bonne pour les danses érotiques, le sexe oral, la conduite dans la haute société, tenir une maison et s’occuper des enfants… - Nous avons neuf mois, dit-il, pourquoi ne l’inscrivez-vous pas pour le cours complet ? - D’accord. Je n’aurai pas besoin de tout ce que vous enseignez mais ça entrera en compte pour son prix à la revente. Oh, oui – je passe mon doigt sur sa langue – mettez-lui un goujon dans le palais et une brosse adéquate sur sa langue, pour gratter ma queue quand elle me démange. »

Vous n’imaginez pas l’expression d’horreur sur son visage. Nous discutons de son corps comme si c’était une voiture. Nous choisissons les options pour le reste de sa vie. Je ne pense pas qu’elle était dans le piercing !

« Très bien, Monsieur, si vous voulez bien signer ici… »

Elle a l’air terrifiée lorsque je décide de sa destinée en apposant mon paraphe.

« Je vais lui parler un moment. Enlevez-lui l’anneau. »

Elle me supplie, elle m’implore de la libérer, elle ose même me menacer…

« Si vous le souhaitez, Monsieur, nous pouvons lui enlever les cordes vocales. Il y a des clients qui préfèrent ça. »

La bouche d’Estrellita s’ouvre toute grande mais elle reste silencieuse. Je reste également silencieux, pesant le pour et le contre de cette option…

Page 4: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

4

Jouets sexuels Lucas

Le sous sol résonne de grognements sourds qui paraissent émis par un animal sauvage. Et de hurlements qui donnent froid dans le dos, provenant d’une jeune femme dans un mauvais moment d’un passage à tabac.

« PILE OU FACE ? REPONDS, PUTAIN DE CHIENNE ! PILE OU FACE ? »

Sous les coups, la fille tombe à genoux. Elle est complètement nue. Ses bras sont attachés serrés derrière son dos pour exposer et relever ses seins. La douleur causée par les cordes la rend folle. Son visage, son ventre et même ses seins sans protection lui font atrocement mal du fait de la terrible punition prodiguée par un long bâton. La terreur est presque pire que la douleur. Cindy hurle lorsque le bâton s’abat de nouveau, près de son sexe, cette fois. Elle a dix-neuf ans. Elle a des cheveux châtains et de gros seins pleins qui pendent comme des melons. Ces seins figurent en bonne place des fantasmes d’un bon millier d’hommes (et de quelques femmes) de son voisinage. La peau de ses seins est douce et luisante comme celle d’une pomme. Son sexe est une figue secrète et fermée que les hommes ont envie de sucer.

« FACE ! Dit-elle en sanglotant, FACE ! »

La brute animale est Kid Rapper, un tueur en série qui pèse cent cinquante kilos. Rien que du muscle pour un pur psychopathe. Un fugitif, évadé du Couloir de la Mort du pénitencier de Rosalito. Un homme avec une liste record d’horribles variations sur le thème du viol, toujours accompagnées de furieuses attaques sadiques. Un homme qui n’a rien à perdre, plus dangereux que jamais. La pièce s’envole et retombe par terre. Le destin des deux sœurs est fixé. Cindy, la plus âgée des deux, attends dans l’angoisse. Sa jeune sœur Gwen, une blonde aux yeux bleus, regarde, terrorisée. Elle est attachée par les poignets et est bâillonnée. Son haut rose est tiré au-dessus de ses jeunes et petits seins. Son jean est découpé et le zip est descendu, qui dévoile à moitié sa toison pubienne. Elle serre les cuisses l’une contre l’autre dans un effort instinctif pour protéger son sexe. De sa voix sombre et tremblante de désir, Kid s’écrie :

« PILE ! Mon jour de chance ! Je vais profiter de gros seins tremblotants ! - NOOOOOON ! J’avais dit FACE ! - Est-ce que tu veux vraiment sur je mette Superbite dans le minuscule con de ta petite sœur et que je le fasse éclater ? »

Cindy bafouille, regarde sa sœur et secoue la tête.

Page 5: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

5

Kid Rapper se rapproche de Gwen qui se tortille et gigote nerveusement dans ses liens. Il lève la main et elle sursaute, s’attendant à ce qu’il frappe son sein. Au lieu de quoi il caresse son téton, doucement, délicatement, jusqu’à ce qu’il s’érige. Puis il descend un peu plus le zip pour révéler l’essentiel de son sexe. Il se déplace derrière elle et s’appuie contre le postérieur de la jeune fille en pelotant ses seins fermes et levés. Gwen frissonne et crie à travers le chiffon sale qui lui tire les coins des lèvres. Elle ferme les yeux lorsque ses énormes mains deviennent plus dures, tirant et poussant ses seins, les torturant. Puis elle le sent qui tire son jean pour l’enlever et découvrir son postérieur, et elle ressent le contact collant d’un corps sale et en sueur. Elle a également conscience d’une immense érection qui s’appuie verticalement dans la fente entre ses fesses et qui remue lentement de bas en haut. Kid Rapper est en train de s’exciter. Il lui tire les cheveux, lui fait tourner la tête et l’embrasse sur les lèvres en suçant la salive qui traverse le bâillon mouillé. Gwen frissonne. Kid lui frappe le ventre, puis entre son doigt d’abord dans son vagin, puis dans son anus.

« AAAAAAARRRRRRHHHHHHHHH ! AAAAAAAAARRRRRRRHHHHHHHH ! - Hmmmmm… Vierge par devant et par derrière, croasse-t-il en léchant le sang qui est sur ses doigts. Est-ce que tu veux que je te montre pour quoi ton con et ton cul sont faits ? Est-ce que tu veux que j’offre une chevauchée à Superbite dans ton cul ? - NOOOOOOOONHHHHHH ! - Non… Je ne vais pas te baiser. Ne t’excite pas ! Dit-il d’un ton bourru en léchant et suçant ses doigts. Kid Rapper joue réglo. Ta sœur a dit pile et c’est elle qui va se faire piler. A moins que je ne commence par sa crosse chatte juteuse. »

Il remonte son jean et s’accroupit devant Gwen qui a l’air terrifiée. Il lui montre la seringue pleine d’un liquide marron et l’aiguille usagée qu’il lui plante dans la cuisse, à quelques centimètres de son entrejambe.

« AAAAAAARRRRRHHHHHHH ! AAAARRRRRHHHHHHHHH ! »

Il injecte une triple dose d’aphrodisiaque, la même drogue qu’il utilise pour lui-même afin de tirer pleinement profit de ses victimes.

« Attends juste une minute. Tu vas aimer ça… »

Soudain, il baisse son jean sur ses chevilles, écarte les lèvres de son sexe en tirant dessus des deux mains, et se met à les embrasser et à les lécher à grands et larges coups de langue de bas en haut.

« SLURP… Tu vas bientôt… SLURP… supplier pour… SLURP… une bonne bite… SLURP… Quand tu vas voir ce que je… SLURP… vais faire à ta sœur. Mais je ne vais pas te baiser… SLURP… et je ne te laisserai pas… SLURP… te toucher non plus…SLURP… Tu vas mourir d’envie d’une bonne baise et… SLURP… et je ne t’en donnerai pas… SLURP… du tout… SLURP… Tu vas penser bite… SLURP… mais tu ne feras qu’y PENSER. Tu fais une mauvaise affaire, gamine. Parce que tu ne jouiras plus, gamine… SLURP… C’est tout maintenant. C’est ta sœur qui aura tous les orgasmes à partir de maintenant… SLURP… SLURP… Tu seras à la limite de l’orgasme, mais tu n’y parviendras pas ! Qu’est-ce que ça donne ? SLURP… SLURP… SLURP… »

Gwen se tortille et gigote à chaque coup de la langue râpeuse, et à chaque suçon sur son clitoris. Kid Rapper se lève. Il se sent maintenant prêt et bien excité. Il laisse Gwen suspendue pas les poignets, avec les fesses, les cuisses et les mollets très douloureux, et le vagin tout enflammé, couvert de salive et qui réclame qu’on s’occupe de lui. Il se retourne et regarde la grande sœur. Elle est toujours nue, à l’exception des cordes. Il prend dans sa main son énorme érection et lui donne quelques caresses. Ses yeux de fou sont fixés sur les gros seins lourds de Cindy.

« Je vais sûrement être bien occupé avec tes seins ! »

Page 6: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

6

Il s’avance vers elle. Elle court vers un coin de la pièce, les seins sautent lourdement au rythme de ses pas. Elle se tourne face à lui. Tout ce qu’elle voit est un énorme pénis noir, déformé, courbé comme un boomerang. Ses jambes fléchissent et elle tombe à genoux, les cuisses serrées pour se protéger. Mais la noire masse de muscles s’avance lentement vers elle. Elle lève les yeux. Elle ne voit que ses lèvres et ses yeux. Et sa queue, qui lui paraît plus grosse et plus longue que son propre bras.

« NOOOON ! Vous allez me tuer ! S’il vous plaît ! NOOON ! Je ne peux pas recevoir ça dans moi ! »

Kid repousse Cindy à coups de pied vers l’endroit où Gwen est attachée. Il saisit Cindy par les cheveux et la force à se remettre à genoux. Elle se débat, gigote, rue et griffe comme un chat acculé… Les yeux de Kid sont fixés sur les seins généreux qui remuent et gigotent en tous sens. Il leur donne des claques, puis gifle son visage. Sa tête cogne par terre et elle reste un moment abasourdie. Il en profite pour mettre son membre dans sa bouche. Il force sa gorge jusqu’à ce que la moitié disparaisse dedans. Cindy revient à elle et réalise qu’elle est en train d’étouffer. Elle essaie de mordre mais sa mâchoire douloureuse et les élancements de douleur l’en empêchent. De toute façon, le membre de Rapper est trop épais et trop dur pour que ses dents puissent lui faire grand mal… Kid rit, il pousse et appuie jusqu’à ce qu’il parvienne de manière inattendue à forcer sa gorge et à s’introduire dans son ventre, puis il se retire et arrose son visage et ses seins s’un sperme épais et malodorant. Il jure avec colère. Jouir trop vite gâche le plaisir, pour quelques minutes en tout cas… Le ventre de Cindy commence à se manifester. Elle essaie de ne pas vomir mais avant de savoir ce qui lui arrive, elle se retrouve sur le dos, allongée sous cent cinquante kilos de muscles… Rapper lui pelote les seins et son pénis reprend de la vigueur. Il entrouvre les lèvres presque virginales de Cindy avec son gland violet. Il la regarde, serre les dents et pousse fort. Avec un grognement animal, il la pénètre d’un seul coup, écrasant et déchirant tout ce que son pénis trouve sur son chemin. Cindy ouvre la bouche pour crier, mais rien ne sort. Sa gorge récemment violée ne produit aucun son. Kid pousse sa longue langue souple dans sa bouche et explore ses gencives, son palais et sa langue. Il boit le mélange de sperme et de salive qui lui emplit la bouche. Cindy a la nausée et vomit sur le côté. Pendant ce temps, l’horrible membre la martèle en rythme, emplissant et déchirant tout ce qu’il rencontre. VLAN... VLAN… Et Cindy se met à crier… VLAN... AHHH ! VLAN… AHHH ! De gigantesques mains tirent ses cheveux en arrière… VLAN... AHHH ! VLAN… La langue de Kid sort de la bouche de Cindy et parcourt son visage, les yeux, les joues, le nez, le menton, les oreilles… VLAN... AHHH ! VLAN… Kid frappe ses seins pour les voir voltiger lourdement… Tout en la léchant ; la suçant et la mordillant, il lui murmure à l’oreille :

« Tu aimes ça, espèce de salope ? »

VLAN... VLAN… CLAAC

« AAAARRRHHH ! - C’n’est pas ce que tu voulais, à longueur de journée, dans le supermarché… ? »

VLAN... VLAN…

« … Assise sur ta petite chatte mouillée qui s’ennuyait, pendant que tu avais des idées cochonnes… ? »

VLAN... VLAN…

« Est-ce que tu voulais que quelqu’un te claque les nichons ? »

Page 7: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

7

CLAC

« AAÏÏÏÏÏEEE ! »

VOLTIGE… CLAC…

« AAÏÏÏÏÏEEE ! »

… VOLTIGE…

« Est-ce que tu voulais une grosse bite dans ton con… ? »

VLAN... VLAN…

« Quel effet te fait celui-ci ?

VLAN…

« Assez gros pour toi ? »

VLAN... VLAN…

“Dis quelque chose, putain de garce ! »

VLAN… CLAC…

« AAÏÏÏÏÏEEE ! »

VLAN… CLAC…

« AAÏÏÏÏÏEEE ! - Remue-moi ces seins ! »

CLAC…

« AAÏÏÏÏÏEEE ! - Bouge tes seins ! »

CLAC…

« AAÏÏÏÏÏEEE !

Ça remue, ça voltige... Cindy serre les dents pour lutter contre la douleur et ferme les yeux. Son visage est enflé et son corps tendu comme une corde de violon. Ses seins la piquent. Elle retient sa respiration dans une tentative désespérée d’éviter l’haleine puante et la salive qui goutte de la bouche de son tortionnaire et qui tombe sur son ventre. Kid met ses mains sur les bras de Cindy et se redresse pour mieux voir ses gros seins. Ils sont toujours gros, bien qu’elle soit sur le dos. Il ajuste son regard sur les tétons d’un rose délicat et leurs auréoles, et se pousse encore plus en elle. Il la sent qui frémit dans ses entrailles. Il sait que c’est de la douleur, pas du plaisir, mais ça fait bouger ses seins et il aime voir ça… Cindy fond en larmes. Elle est couverte de sueur, la sienne propre et celle de son violeur, ses bras lui font mal à cause du poids, la salive lui tombe sur l’estomac, et son énorme membre, dur comme du fer et pour ainsi dire aussi douloureux, lui pistonne encore et encore les entrailles. Pendant tout ce temps, sa sœur Gwen regarde la scène avec horreur, le sexe prêt à partir en flammes. Kid est maintenant comme une bête sauvage qui bave. Il tire sur le buisson de Cindy pour la faire crier encore plus. Il lui arrache quelques poils. Il accélère, sa respiration devient plus rapide et plus chaude, il ne parvient toujours pas à détacher son regard de ses seins tremblotants, secoués et totalement sans protection… Sa queue façon batte de baseball pistonne de plus en plus fort la jeune fille. Il perd la maîtrise mais il se concentre suffisamment pour lui mettre un pouce entre ses lèvres gonflées et parvient à soulever ses hanches. Il se met à genoux et place les jambes de Cindy sur ses épaules.

Page 8: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

8

Plus profond… Plus mouillé… Plus douloureux… Plus sadique… Un viol profond. Une pure torture. Une pure souffrance. Le monde devient noir aux yeux de Cindy. Kid sait qu’il est train de venir et il essaie d’en ralentir l’arriver mais il n’y parvient pas. Son corps est pris de très forts mouvements saccadés, il relève la tête, se cambre et grogne comme une bête sauvage. Un grognement primitif à vous glacer le sang, issu du désespoir et de la désolation. Il crie et s’effondre en avant tandis que son sperme se déverse dans Cindy et que ses testicules se vident dans sa délicate chatte désirable si comestible…

« OUUUUAAAAAAARRRRRRRRHHHHHHHhhhhhhhh ! »

Silence. Les sécrétions vaginales de Cindy gouttent en silence, se mélangent avec le sperme de Kid et coulent sur ses mains et sur les testicules de Kid avant de former une petite flaque sur le

Page 9: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

9

sol. Gwen regarde avec horreur Kid qui roule sur le dos, épuisé pais toujours en train d’éjaculer… Quelques heures plus tard, Cindy ouvre les yeux et voit la même cagoule, les mêmes épaisses lèvres violettes profondément fendues, les yeux gris acier parsemé de rouge toujours fixés sur ses seins et la salive qui tombe toujours sur son ventre. Un cauchemar ? Une hallucination ? A-t-il recommencé ? Elle essaie de parler, d’implorer l’apparition, mais elle n’y parvient pas… Il y a toujours le même pénis qui fait un bruit sourd profondément en elle. Le même viol dégoûtant, la même brutalité. Ses bras lui font mal. Ses mains sont mouillées et visqueuses. VLAN… VLAN… VLAN… Est-ce qu’il continue encore ? Ne s’arrêtera-t-il donc jamais? Elle se rappelle Gwen et tourne la tête. Gwen est toujours suspendue par les poignets, les seins exposés et le jean ouvert sur le devant. Leurs yeux se croisent un instant. Le regard de Cindy est absent, vidé par des heures de torture sexuelle. Les yeux de Gwen sont plus brillants, plus effrayés… Cindy remarque que les cuisses de Gwen sont toujours serrées l’une contre l’autre, mais elle voit que la raison en est différente cette fois. Le derrière de sa sœur gigote d’avant en arrière et d’arrière en avant. Gwen essaie de se masturber… Cindy sent que Kid la tire par les cheveux et lui fait tourner la tête. Il l’embrasse de nouveau. Il veut la regarder dans les yeux, voir sa douleur, évaluer son humiliation… Ses yeux tombent une fois encore sur ses seins. CLAC !

« …AAAARRRHHH… »

VOLTIGE ! Voir ce tremblement gélatineux l’excite toujours. CLAC !

« …AAAARRRHHH… »

VOLTIGE ! Il la regarde dans les yeux. CLAC ! VOLTIGE ! Il propulse sa queue loin à l’intérieur. VLAN ! Puis il glisse un doigt entre ses lèvres et commence à faire rouler son clitoris de-ci de-là, en le griffant avec son ongle et en le pinçant entre son pouce et son index. Il lui parle à l’oreille en lui en léchant l’intérieur :

« Tu as un joli con juteux… »

VLAN… VLAN…

« Un con serré… »

VLAN… VLAN…

« Un con…

VLAN…

« … bien chaud… »

VLAN…

« …tout mouillé… »

VLAN…

« …bien huilé. Et comment est ton cul ? »

VLAN. Cindy est prise de tremblements. Elle se tortille et s’agite sous le poids du grand nègre. S’il vient dans son cul, il pourrait vraiment la tuer ! Kid Rapper continue de la violer en la tenant par les cheveux…

Page 10: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

10

« Mais je ne vais pas venir dans ton cul… »

VLAN…

« Je vais aller dans celui de ta petite sœur ! »

VLAN…

Cindy parvient à tourner la tête et regarde Gwen…

« La salope a un cul serré… »

VLAN…

« … et elle meurt d’envie que je la lui ouvre… »

VLAN…

« … pour qu’elle puisse mieux chier ! »

Il se tourne vers la plus jeune des sœurs:

« Il n’y a qu’une seule règle ici, petite… »

VLAN…

« Pas d’orgasme ! »

VLAN…

« Si tu jouis pendant que je suis dans ton cul juteux… »

VLAN…

« Je t’arrache le clitoris avec les dents et je le mange devant toi ! »

VLAN…

« Et je couds ton con avec du fil de fer ! »

VLAN… Kid tend le bras et tire le pantalon de Gwen sur ses chevilles.

« Sors de là ! Maintenant, tiens-toi avec les pieds écartés ! »

VLAN… Gwen écarte les pieds. Les lèvres de son sexe sont maintenant entrouvertes et sa cyprine dégouline lentement le long de sa cuisse.

« … Prépare ton petit trou du cul ! Je termine cette salope dans une seconde… »

VLAN…

« AH ! AH ! AH ! »

Page 11: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

11

Manuel pour utilisateurs de bâillons Anonyme

Permettez-moi de me présenter. Je suis un vrai salaud. Je suis aussi un expert en bâillons. C’est ce dont je vais vous parler maintenant. Il y a des bâillons de toutes tailles et formes, de toutes couleurs et en tous matériaux, mais ils ont tous trois choses en commun : ils abaissent l’esclave au niveau d’un animal, ils déforment le visage et, si vous les serrez suffisamment, ils rendent fous la personne qui les porte. Oh, bien sûr… j’oubliais de dire qu’ils sont extrêmement sexys. Je suis certain à présent qu’il y a sadique et sadique, mais je suis d’une espèce particulière de sadique, une race spéciale, vraiment, et mon espèce pense qu’il n’y a rien de plus provocant ni de plus excitant qu’un joli visage défiguré par un bâillon. Si vous ne me croyez pas, jetez un œil sur mes quatre esclaves avec leur bouche grande ouverte, les coins des lèvres écartés, et la salive qui coule sur leur menton. Regardez Berta, la grande brune du haut. Il y a trente-deux heures qu’elle a cette balle entre les dents. Sa tête commence à exploser… Cette balle-ci est faite d’un matériau plutôt doux mais il n’est pas aussi souple que vous pourriez le penser et même si elle n’avait pas le harnais, elle ne pourrait pas la faire sortir en la poussant avec la langue. La procédure pour mettre une telle balle à Berta est très simple… Voilà comment je m’y suis pris. Je la frappe plusieurs fois, juste assez pour qu’elle soit un peu hébétée et pour vaincre sa résistance. Puis, sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je la tire par les cheveux pour amener sa tête en arrière, je serre la balle entre mes doigts et le la place précautionneusement entre ses dents en faisant tout particulièrement attention de ne pas en casser. Je relâche la balle et elle se met en place dans la bouche de l’esclave en appuyant sa langue vers le bas et déboîtant presque sa mâchoire. La douleur est aiguë et intense, je peux vous l’assurer, un peu comme de recevoir un coup de couteau à la base du cerveau. Ensuite, je prends mon temps, je place le harnais sur la tête de Berta et je le serre avec les différentes boucles. Cette manœuvre demande un peu de brutalité, surtout si c’est la première fois que l’esclave est punie de cette manière. Même si les lanières du harnais sont un peu souples, il est nécessaire de les mouiller d’abord et de les laisser serrées dès le début. Lorsqu’elles sèchent, le cuir rétrécit et la torture devient plus incisive. L’esclave va compter chaque seconde qui passe, chaque instant… Elle va supplier Dieu de venir la libérer de cette torture ou de la tuer et de la soulager de cette souffrance. Comme une esclave qui n’est pas habituée à ce genre de bâillon, Berta commence par mordre la balle dans une tentative désespérée de fermer ses mâchoires et de soulager la douleur. C’est inutile ! Inutile à cause du matériau constitutif de la balle. En mordant, un esclave inflige une pression supplémentaire à sa mâchoire, ce qui rend les choses dix fois pires.

Page 12: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

12

Page 13: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

13

Et come si ça ne suffisait pas, la balle se gonfle lorsqu’elle est mouillée… L’effet produit est tout simplement merveilleux : la balle grandit dans la bouche tandis que les lanières sèchent et compriment le crâne, et cela tire la mâchoire et écarte les lèvres. Toute la tête souffre des effets de ces forces opposées. La douleur est si forte qu’elles peuvent en devenir folles et qu’il faut alors les sacrifier. Mais ça ne vaut la peine. Si vous êtes de la même espèce que moi, ça le vaut. Croyez-moi, rien ne vaut la lecture du journal en compagnie d’une esclave nue, accroupie sur ses chevilles, bâillonnée et la tête dans un harnais. Une esclave doit ressentir la torture, mais aussi l’humiliation, quelque chose qui est difficile à décrire… Elle ne peut pas parler, elle ne peut qu’implorer des yeux. Elle ne peut même pas déglutir. La salive sort entre les lèvres et la balle et elle mouille ses seins. Elle mouille même ses cuisses. Quelquefois, elle ne peut plus le supporter et un gémissement sourd sort de sa gorge et interrompt ma lecture. Une gifle ou une cigarette posée sur un mamelon suffit en général à le faire cesser. Mais la variété est le piment de la vie et c’est une bonne idée que d’avoir plusieurs esclaves. Et plusieurs bâillons ! Maintenant, regardez Marga, en bas. Je l’entraîne à être une jument. Par conséquent, la meilleure chose dans ce cas est un mors dans la bouche… Une barre de caoutchouc très dur et collant enfoncée entre les dents fait l’affaire. L’effet est aussi plaisant à regarder que celui de la balle et produit les mêmes effets comme punition et comme humiliation, mais elle vous permet en plus de tirer la tête d’un côté ou de l’autre en titrant sur les rênes qui sont de part et d’autre du mors. Il y a quelques minutes, Marga a subi sa première séance, destinée à la briser. Je l’ai maintenue debout pendant des heures avec la tête penchée en arrière et sur les côtés, et je lui ai fait pratiquer sur place les différentes allures du cheval que j’attends d’elle. Tout cela devant un grand miroir qui couvre tout un mur de la salle de jeux – c’est ainsi que j’appelle la pièce où je profite de mes esclaves. Marga apprend et pratique les virages à gauche et à droite selon différents styles : en marchant, en trottant, et en dressage. C’est une fille intelligente et elle a un corps splendide. Pendant ce temps, Miriam est toujours dans son coin, dans l’obscurité. C’est mon dernier caprice. Je l’ai kidnappée il y a quelques nuits alors qu’elle sortait de boîte de nuit. Elle a la même balle que Berta dans la bouche mais en plus, elle a un bandeau sur les yeux. Elle ne peut pas voir, elle ne peut pas parler et elle ne peut pas entendre. Elle ne peut que souffrir et ressentir… souffrir des cruels pinçons que je lui fais sur les tétons, et sentir le vibromasseur – le vibromasseur irritant punitif – qui pénètre son sexe. Bientôt, très bientôt maintenant, je vais lui enlever son bandeau et elle pourra me voir. Elle me connaît et je peux vous assurer que ça sera une vraie surprise pour elle… Enfin, il y a Sandra, la plus âgée de toutes. Sandra est – ou était – une vraie dame de la bonne société. Il y a maintenant deux ans qu’elle m’appartient. Deux ans que je l’ai enchaînée par le cou dans la salle de jeux avec l’anneau dans la bouche. Sandra est le trou pour tous usages. Vous voulez que je sois plus explicite ? Je parie que oui ! Mais la bière est tellement diurétique que vous allez juste devoir m’excuser. Une autre fois, peut-être…

Page 14: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

14

Marchandises en transit Elisa - Badia

Putain ! C’est toujours la même chose ! Saloperie de lundi ! Il fait encore sombre mais la bétaillère est déjà arrêtée sur le quai. J’ajuste ma ceinture et pars travailler. Le pire, c’est l’odeur à l’ouverture. Ils mettent parfois soixante à soixante-dix filles en même temps dans le camion, accrochées à des rails par groupes de six. Je ne sais pas pourquoi ils en mettent tant. Quelquefois, il y en a qui étouffent en route. Dans l’entrepôt, je les arrose au jet pour leur ôter l’essentiel de la saleté, leur propre vomi et leur merde, et ceux des autres. Puis je les désinfecte une par une avec mon jet. D’abord le con, puis le cul. Elles crient et hurlent. Elles n’aiment pas ça ! Puis je les emmène à la fosse à moutons. Heureusement, leurs bras sont attachés, sinon, ce serait impossible de les y faire entrer. Le règlement prévoit une plongée de trente secondes mais je les laisse d’habitude une minute pour être plus sûr. Elles en sortent avec du désinfectant partout : ventre, poumons et parties intimes. A présent, les rails se divisent en trois. C’est le moment d’une première sélection : viande de première classe, de seconde classe et rebut. La première classe est vendue aux enchères le lendemain, la seconde classe est distribuée aux grosses chaînes de prostitution et la troisième classe par vers le Tiers-Monde pour y être baisée ou nourrir les animaux, ou pour y être baisée et servir de nourriture aux animaux. Le deuxième et le troisième groupe sont emballés et expédiés quelques jours plus tard, mais le premier groupe requiert beaucoup de travail, parfois pendant toute la nuit. La vente aux enchères est le lendemain. Pour commencer, je réveille celles qui dorment en leur injectant un stimulant dans le clitoris. Il n’y a pas de raison particulière pour choisir cet endroit mais je l’aime bien. Puis je leur lave les cheveux individuellement avec du shampoing et leur parle de leur avenir…

« Ils les prennent de plus en plus jeunes aujourd’hui, dis-je en pinçant les fesses d’une fille d’à peine plus de seize ans… - C’en est fini pour toi… dis-je en plantant mon poing dans le cul d’une brune plus âgée. - Prie pour ne pas être achetée par un vieil homme qui ne peut plus bander, dis-je en mordant les lèvres (les bonnes lèvres, bien sûr) d’une fille superbe aux cheveux châtains et aux yeux verts qui n’arrête pas de gémir. - J’espère que tu ne tomberas pas entre les mains d’une lesbienne, dis-je à une femme sculpturale d’environ trente ans, avec une paire de nichons un peu trop gonflés, le type de femme que les viragos lesbiennes sadiques achètent pour les torturer pendant leurs orgies. - Ils paieront une fortune pour ces nibards, dis-je à une blonde au visage d’ange avec une énorme paire de seins, les plus beaux du groupe ; je joue un peu avec pendant un moment. - Si tu étais à moi, je t’arracherai cette petite chose avec les dents, dis-je à la plus jolie de toutes en lui pinçant le clitoris ; la trentaine, très mignonne, une belle peau et un visage distingué, il y a là beaucoup de plaisir potentiel ! »

Puis je les étiquette – elles vont toutes à la vente avec des étiquettes numérotées – et je les pousse vers le petit théâtre où elles seront vendues dans quelques heures. C’est très

Page 15: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

15

pratique de les bouger avec les rails. Elles sont moins en peine et plus faciles à manipuler. Souvenez-vous qu’il s’agit de viande jeune et effrayée. Parfois, elles sont étonnamment fortes. Il faut faire attention. Lorsque le travail est terminé et s’il reste du temps – j’aime bien rentrer à la maison avant que les enfants soient couchés – je joue avec l’une ou l’autre. Aujourd’hui, par exemple, j’ai mis à part le numéro 140, une blonde avec des seins à vous rendre la bite douloureuse. Je me mets à me branler entre ses seins, puis j’ouvre une canette de bière, tire un fauteuil et m’assois avec son visage pendu juste au-dessus de mon entrejambe. Je lui demande :

« Tu veux voir le monde à l’endroit ? »

La blonde me prie et me supplie, mais je la laisse comme ça et lui dit ce à quoi elle peut s’attendre…

« Demain, je t’emmène comme tu es maintenant, avec sept de tes compagnes. Il n’y aura pas beaucoup de public, au maximum une douzaine d’hommes et deux ou trois lesbiennes. La plupart sont des intermédiaires mais quelques-uns achètent pour leur propre usage. Ce sont des collectionneurs privés qui ont l’habitude de la viande fraîche. Ils sont rudes. Ils ne tournent pas autour du pot. Ils vont t’inspecter attentivement, les cheveux, les ongles de pied, les dents, les nichons, le con, le cul, partout… Ne sois pas surprise s’ils te masturbent ou introduisent quelque chose dans ton con ou dans ton cul pour voir comment tu réagis… Puis ce sera la vente et quelqu’un va t’acheter. L’acquéreur peut être n’importe qui mais le plus probable dans ton cas, avec des nibards pareils, est qu’un acheteur privé fasse une offre sur toi, peut-être une vieille femme. Les vieilles femmes sont folles des jeunes femmes de ton âge… Quoiqu’il arrive, prépare-toi au pire. Ils te gardent cachée quelque part dans un sous-sol secret, enchaînée, et ils t’utilisent pour des choses que tu ne peux même pas imaginer… Tu veux que je te décrive quelques trucs qu’ils font ? »

Je cesse de parler quelques secondes. Les yeux de la blonde s’emplissent de larmes. Son visage angélique est suspendu au-dessus de ma bite et de mes couilles et je sens une larme qui tombe dessus. Je jette un coup d’œil à ma montre… Il est tard et les enfants sont sans doute déjà au lit. Je décide de passer la nuit avec le numéro 140 et de lui montrer quelques trucs barbares qui l’attendent, elle et ses nichons. Ça la préparera à sa vie d’esclave… et je me mets au travail. J’avance un peu la chaîne, ouvre mon postérieur et appuie son visage sur mon cul. La tête en bas !

« Ouvre la bouche, esclave ! C’est le moment de décharger mon repas… »

Page 16: L’art de la décoration - Reves de femme Recits BDSM

L’art de la décoration sur esclave et autres récits

16