ÉDITO MES NEWS Hardis, cœurs Gefco lance son plan d’action …supplychainmagazine.fr/TOUTE-INFO/Archives/SCM032/Essen... · 2009-04-20 · de La Flèche indique que les véhi-cules

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MARS 2009 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N°32

L ’ E S S E N T I E L

Ca y est : on est en plein dedans…On en parlait, on la voyait venir,

mais maintenant, elle fait les grostitres des journaux, s’invite dans tous les sujets de discussion, se faitmesurer sous toutes les coutures…Qui ça « elle » ? La crise bien sûr !Celle qui fait qu’au moins 400 Responsables logistiques (et non des moindres) sont enrecherche d’emploi en France, celle qui fait faire les pieds aux mursaux organisateurs de la SITL pourgérer les défections, celle qui pousseles entreprises à jouer sur les variables d’ajustement (Interim, formation, mobilité interne…) pourprotéger au maximum les emploislogistiques en place (Cf la 15e EnquêteEmploi et Formation de l’AFT-IFTIM).Nous n’avons pas échappé à l’ambiance générale et ce thème dela crise a largement inspiré les anglesde nos articles dans ce numéro. Mais à l’instar des représentants du monde des chariots élévateursque nous avons invités le 3 mars dernier lors d’une table ronde, nousrefusons de céder au pessimismeambiant. Oui, cela ne va pas fort,mais cela pourrait être pire ! Et nousavons maintes raisons de croire en des jours meilleurs. Même si les prestataires logistiques sont lesgrands absents du SITL, ils ne cessentde clamer leurs bons résultats(Geodis, ID Logistics, ND…). De plus,ce salon présente une multitude d’innovations, que vous pourrezdécouvrir sur place, ainsi que dansnotre guide, preuve que les offresrestent largement dynamiques. Et surtout, des solutions existent pour tenir en attendant la reprise,comme réduire son BFR en diminuantses stocks (voir le PVAO sur « l’Optimisation des stocks » p. 120),lancer des projets de refonte des processus (voir « L’art de con vaincre sa direction », p. 102), ou encore opter pour du matérield’occasion (voirl’Interview de LS Partenaire p. 118).Alors bonne pêcheaux trucs et astuces…et halte à la morosité !

Cathy POLGE

ÉDITOHardis, cœursvaillants !

MES NEWSGefco lance son plan d’action

Face à la crise économique quiaffecte particulièrement le sec-teur automobile, Gefco met en

place un plan d’action qui prévoitnotamment un ajustement des effec-tifs. Ce rééquilibrage implique la sup-pression de 364 postes répartis surl’ensemble du réseau, partiellementcompensée par l’ouverture de 230 pos -tes à pourvoir. Les mesures d’accom-pagnement de ce projet passent pardes départs volontaires et de la mobi-lité interne afin de pourvoir les placesdisponibles. Dans un communiqué,Gefco précise que ce plan d’ajuste-ment des effectifs comporte une opti-

misation du réseau France, « renduenécessaire du fait de l’éloignementde certaines agences des bassinsindustriels (...) et de l’arrivée à matu-rité des nouveaux systèmes d’infor-mation ». Dix agences seront regrou-pées avec d’autres ou cédées à cer-tains acteurs du marché. Ce sontcelles d’Argenton-sur-Creuse, Bour -ges, Nevers, Besançon, La Bathie,Pau, Pleyben, Vannes, Char tres etToulon. Rappelons que Gefco réalise80 % de son activité dans le secteurautomobile. Le groupe compte10.000 collaborateurs pour un CAannuel de 3,5 Md€. JPG

La Flèche réceptionne 60 nouveaux véhicules Renault

Repris en 2007 par ID Logistics, la société de transportLa Flèche a réalisé, après une période difficile, debons résultats en 2008. Ce redressement conduit

l’entreprise à investir dès à présent dans 60 nouveaux véhi-cules Renault (450 Premium et Magnum), commandés à

la société de location Fraikin. Letransporteur loue l’ensemble de saflotte (soit 600 véhicules) en loca-tion simple ou en full services.Jean-Marc Attia, Directeur généralde La Flèche indique que les véhi-cules sont renouvelés en moyennetous les 18 à 24 mois. La Flècheréalise 58 M€ de CA et emploie510 collaborateurs. JPG

La branche Transports et Logistique de la SNCF en ordre de marche

La branche Transport et Logistiquede la SNCF, dirigée par PierreBlayau, a publié la liste des

membres qui composent sa direction àcompter du 1er février : Jean-LouisDemeulenaere est DGA de la brancheet Directeur Général Délégué deGeodis. Luc Nadal, également DGA,se voit confier la charge du pôle

Transport Ferroviaire (dont Fret SNCFet le combiné), Sylvie Charles estPrésidente du directoire de STVA, laDirection Financière est confiée àOlivier Storch, Stéphane Cassagneprend la direction des Affaires Juri -diques et immobilières et la Directionde la Communication interne et externeest assurée par Sylvie Coupaye. JPG

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N°32 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - MARS 2009


MES NEWSVivarte et AtisReal trouvent ensemble des solutions immobilièresLe groupe Vivarte fait fréquemment appel au spé-cialiste des services immobiliers Atisreal pour bâtiravec lui des solutions et mettre en pratique sesdécisions en matière d’immobilier logistique.Exemple de collaboration entre un Conseil immo-bilier et son Chargeur autour de l’enseigne Caroll.

Début 2006, Pascal Franceschi, Directeur des actifs etdu patrimoine du groupe Vivarte entre en contactavec le service de Coor dination logistique nationale,

piloté par Luc Chandelon chez Atisreal. Pour son enseignede prêt à porter Caroll, Vivarte dispose alors d’un entrepôt à Pithiviers dans le Loiret. Implanté sur un terrain de 29.000 m2, plus 13.000 m2 d’extension, l’entrepôt de 9.000 m2 est obsolète et ne répond plus aux normes.Conscient du problème, le groupe Vivarte souhaite, dansune perspective patrimoniale, déménager le stock de Carolldans un nouvel entrepôt à construire à proximité. Il s’engagealors sur un foncier de 48.700 m2 à Ascoux et missionne unarchitecte afin de déposer un permis de construire pour unbâtiment de 16.000 m2 à usage de stockage (15.000 m2), lereste étant dédié aux bureaux et locaux sociaux.

Répondre à des besoins immobiliers évolutifsMais mi-2006, Vivarte repense sa stratégie immobilière etse place dans une perspective locative. Il confie alors àAtisreal le soin de trouver l’opérateur le plus pertinent etintéressant pour reprendre ses droits et obligations concer-nant le nouveau bâtiment, le construire et lui consentirensuite un bail. Seconde mission : Atisreal se voit égale-ment confier l’étude de faisabilité de la vente du bâtimentobsolète ainsi que du terrain d’extension. En collaborationavec Eric Lecomte, Responsable de l’agence Atisreal

Atisreal change de nomen juin 2009

Depuis sa création, Atisreal s’est développée selon deuxaxes majeurs : offrir à ses clients un éventail complet deservices immobiliers et la plus large couverture géogra-phique. Atisreal compte ainsi 23 implantations directesréparties sur l’ensemble du territoire français. Filiale deBNP Paribas Immobilier, Atisreal (qui sera rebaptisée BNPParibas Real Estate à partir de juin) est présente dans 25 pays (en Europe, au Moyen-Orient, en Inde et auxEtats-Unis). Le groupe compte plus de 125 implantations,ce qui lui permet d’accompagner ses clients dans leursstratégies immobilières nationales et internationales.

d’Orléans, Luc Chandelon propose dans la foulée unemission en deux étapes : lancer un appel d’offres restreintauprès des opérateurs (constructeurs et investisseurs), puisun second portant sur la vente du bâtiment obsolète et duterrain d’extension.

Deux appels d’offres successifsLe premier appel d’offres est réalisé en mai 2006. C’est legroupe Argan qui l’emporte. Il livre en juillet 2007, dans lesdélais impartis et aux conditions locatives convenues, unbâtiment de grande qualité permettant ainsi à Caroll d’em-ménager dans des locaux tout neufs. « Compte tenu desdélais impartis, la livraison du bâtiment a été conforme ànos attentes. Une forte synergie s’est instaurée entreAtisreal, le groupe Argan et nous. », déclare PascalFranceschi. Sur leur lancée, Vivarte et Atisreal gardent lamême méthode afin de trouver un acquéreur pour le bâti-ment libéré et le terrain d’extension. La contrainte pour l’ac-quéreur était alors de livrer deux surfaces commerciales,l’une pour La Halle et l’autre pour La Halle aux vêtements.« La problématique n’étant plus la même, nous avons dûrecourir à d’autres savoir-faire en faisant appel à des opé-rateurs promoteurs pouvant réhabiliter et développer »,souligne Luc Chandelon, Directeur associé chez Atisreal.Le vainqueur est alors le groupe ADV Gestion, représentépar Monsieur Guy Puron. Après avoir restructuré l’ancienbâtiment, il livre les surfaces commerciales demandées à sesdeux locataires.

Le sens de la collaborationSi Luc Chandelon admet que la très bonne conjoncture éco-nomique et immobilière des années 2006 à 2008 a aidé àtrouver des solutions, il insiste sur un autre point qui luisemble décisif : « Entre Vivarte et Atisreal, chacun a étéforce de proposition. Les décisions ont été prises en com-mun, depuis l’établissement de la liste des candidats jus-qu’au choix final, le tout dans le cadre d’une transparencetotale et d’un dialogue permanent ». Et Pascal Franceschi

Luc Chandelon,CoordinationLogistique,Directeur AssociéAtisreal,

Pascal Franceschi,Directeur des actifs

et du patrimoinedu groupe Vivarte.

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Le groupe Vivarte en brefLeader en France sur le secteur de l’équipement de la per-sonne, le groupe Vivarte répartit ses activités entre prêt àporter et chaussures, en s’installant en centre et en péri-phérie des villes, ainsi que dans les centres commerciaux.Comptant 3.900 points de vente en France et à l’étranger,Vivarte (ex Groupe André) rassemble 20 enseignes dontCaroll, Kookaï, La Halle !, Naf Naf, Défi mode… pour l’ha-billement et André, Minelli, La Halle aux chaussures, SanMarina, Pataugas, Chaussland… pour la chaussure.Vivarte compte près de 22.000 collaborateurs.

de renchérir : « Notre choix a porté sur une équipe très réac-tive, ayant une forte connaissance du marché et du mondedes investisseurs en logistique. Ils ont réussi à trouver l’in-vestisseur idoine par rapport à nos attentes et à nosméthodes basées sur la réactivité et la prise de décisionrapide, encore renforcées par nos échéances très proches. »Cette collaboration s’est poursuivie par la commercialisa-tion d’un bâtiment à Toulouse (cession de crédit bail) pourl’enseigne Liberto. Un autre projet est également en cours… On ne change pas une équipe qui gagne ! ◆

Pickup Services sécurise son réseauavec Cards Off

Al’origine de la création du réseau de pointsrelais « à2pas », déployé en 2005 avec AltadisDistribution France et qui compte 3.200 points

relais, Pickup Services souhaitait endiguer la haussedes fraudes à la livraison. En recrudescence, en parti-culier pour le produit Hi-Tech, elles sont en effet pré-judiciables aux distributeurs. Il a fait appel à la sociétéCards Off pour déployer une solution d’identificationinfaillible du client. Lors de son achat, le cyber-ache-teur reçoit un mot de passe à usage unique par SMS.Pour retirer son colis, il doit saisir ce mot de passe surle terminal de Pickup Services. Ainsi, le commerçantdu point relais n’a plus la responsabilité de vérifierl’identité du client, ce dernier s’identifie de manièresimple et sans erreur et ce n’est qu’après avoir récupéréson colis qu’il paie son achat. « Les points relais sontpratiques et économiques, grâce à Cards Off, ils sontégalement fiables à 100 % », se réjouit DiegoMagdelenat, Président de Pickup Services. CP

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MES NEWSPrologis renouvelle cinqbaux totalisant102.000 m2

Prologis prolonge cinq bauxcouvrant une surface totale de102.000 m2 d’entrepôts. AinsiDarty prolonge son bail de43.200 m2 à l’Isle d’Abeau jus-qu’en 2016 ; ND Logistics, loca-taire de 20.100 m2 à Orléans re-signe pour un an ; Burton, quioccupe 13.000 m2 à Paris, recon-duit jusqu’en 2017. Enfin, à Lille,Auchan et une société de matériel électrique ont renou-velé leurs baux respectifs de16.000 m2 et de 9.700 m2 pourneuf ans. « Dans un contexteéconomique difficile, notre taux d’occupation est proche de 100 %. Notre approcheproactive de la gestion du patri-moine et les excellentes relationsque nous entretenons avec nosclients, expliquent ces bonsrésul tats », commente SimonNelson, Directeur de l’AssetManage ment de Pro log i sEuropean Properties. JPG

Une nouvelletransactionpour CBRE dans le nord

La filiale commerciale de distri-bution de pièces de rechange dePSA a pris à bail long termeauprès de WDP un entrepôt de9.000 m2 dans la zone indus-trielle de Seclin (59). Ce bâtimentneuf livré fin décembre 2008 afait l’objet d’aménagementsspécifiques. Pour cette transac-tion, CB Richard Ellis Lille a étéconseil des deux parties. JPG

Honeywell va porter ses efforts surla logistique

Honeywell Scanning &Mobility, la filiale quiregroupe les rachats du

groupe Honeywell en matièred’identification automatique(Hand Held Products e tMetrologic Instruments), pro-jette de compléter son offreproduit de terminaux RF des-tinés au marché de la logis-tique, probablement à partir du second semestre de cetteannée. «Aujourd’hui, par le simplehéri tage de Metrologic et de HHP, lesmarchés sur lesquels nous sommes lesplus présents sont le Retail et le trans-port, il s’agit de notre cœur de ciblehistorique. Mais l’ambition d’Honey -well n’est pas de se concentrer sur cessegments, en particulier, nous allonscompléter notre offre produits en logis-tique », nous a confié Philippe Buidin,Directeur marketing Europe chezHoneywell Scanning & Mobility.L’objectif serait de réactualiser l’offreentrée de gamme, alors que les termi-naux Dol phin actuels sont plutôt hautde gamme et que les Optimus etScanpal de Metrologic fonctionnent

sous OS proprié-taire (les Dolphinsont sous WindowsMobile). Les nomsOptimus et Scanpalsont d’ailleurs con -servés pour les pro-duits Metrologicactuels, mais tousles nouveaux pro-duits de mobilitésortiront désormais

sous la gamme Dolphin. En revanche,il est encore trop tôt pour découvrir auSITL les futurs terminaux Dolphind’entrée de gamme. Les nouveautésporteront plutôt sur le haut de gammeavec les Dolphin 7850 et 9950. Le constructeur ne sera présent sur lesalon qu’indirectement, via ses parte-naires CEMI (stand Q37), Nomad -vance (Q43) et Neopost (P06). « Nousenvoyons un message clair au marché :Honeywell fonctionne dans un modèlede distribution 100% indirect et nousfaisons entièrement confiance à nospartenaires pour fournir des solutionsparfaitement adaptées aux clientsfinaux » précise Philippe Buidin. JPG

Philippe Buidin, Directeur marketing Europe chez Honeywell Scanning & Mobility

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GSE lance le concept deModulog System

Le constructeur GSE a mis aupoint Modulog, une nouvelleapproche pour concevoir des

bâtiments logistiques. Il s’agit en faitd’un entrepôt de taille et de géométriemodulaires qui s’inscrit dans lagamme des bâtiments sur mesure que propose GSE. Le chantier estorganisé autour de l’assemblaged’éléments préfabriqués. Selon leconstructeur, la conception modulairepermet d’éviter de répéter la concep-tion d’un « prototype » pour chaquenouveau projet. « Chaque module afait l’objet d’une conception très

aboutie qui se répète de projet en pro-jet. Au-delà d’une garantie de qualité,l’effet de série permet aussi de réali-ser des économies d’échelle », pré-cise GSE. L’idée qui sous-tend ceconcept est d’aller à l’essentiel et debâtir vite et bien. Fruit de 30 annéesd’expérience, Modulog est présentéau SITL Hall 7.2 stand B46. JPG

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MES NEWSUn gerbeur qui passe mieux les rampes

Still vient d’équiper son gerbeur électrique EXV-12-i,d’une levée initiale qui augmente sa garde au sol de150 mm. Il peut donc désormais être utilisé sur des solsinégaux ou dans des rampes d’accès aux quais dedéchargement. Cet appareil est équipé d’une limita-tion de vitesse en fonction de l’inclinaison du timon :plus le timon remonte, plus il ralentit. « De plus unsimple relâchement du papillon suffit à déclencher lefreinage automatique et l’arrêt du chariot », expliqueLaurent Sautier, Chef de produit à l’usine deMontataire. « Ainsi, même en rampe, il redémarre sansaucun recul, ce qui limite considérablement le risqued’accident ». JPG

Des chariots gros tonnagessilencieux et sobresLa société Jungheinrich a lancé une nouvelle gammede chariots thermiques diesel et gaz à transmissionhydrodynamique. D’une capacité de 6 à 9 tonnes, cesmachines offrent un couple élevé à bas régime ce qui,selon le constructeur, réduit de manière significative leniveau sonore et la consommation de carburant. Dotésd’une transmission avec convertisseur de couple, ceschariots conviennent particulièrement aux utilisationsles plus intensives. Ajoutons qu’ils peuvent être équipésdu « pack confort hydrostatique », particulièrementadapté pour les applications avec manœuvre inverséeet changements rapides de sens de marche. Junghein -rich insiste également sur la maniabilité de ces machinesqui, en dépit de leurs 15 tonnes, sont flexibles avec unrayon de braquage inférieur à 4 mètres. Ces chariotslèvent des charges jusqu’à 8 mètres et à vide peuventatteindre une vitesse de 22 km/h en 5 secondes. JPG

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Les nouveaux chariots gros tonnages de Jungheinrich

Swisslog se focalisesur le secteur hospitalier

Créée en 1898, la société Swisslog ne s’est vérita-blement imposée en France qu’à partir de 1994,date du rachat de l’équipementier Télédoc.

Depuis, l’entreprise se développe dans le tertiaire(Ministère des finances, Bibliothèques...), mais surtoutle secteur hospitalier, identifié comme la cible priori-taire en France. Jean-Michel Hamard, ex DG France deRedprairie, est aujourd’hui Président du directoire del’entité française. Pour lui, l’automatisation des hôpi-taux doit permettre au personnel soignant de s’exonérerdes tâches sans valeur ajoutée pour mieux se concentrersur l’activité de soin : « Dans une période fortementmarquée par les restrictions budgétaires, les hôpitauxont plus que jamais intérêt à mettre en place des orga-nisations productives leur permettant d’optimiser le

potentiel soignant. A cet égard, Swisslog propose dessolutions qui suppriment des tâches répétitives ou fontgagner du temps dans les déplacements entre des ser-vices parfois éloignés ». Pour ce faire, l’entreprise dis-pose de tout un éventail de solutions techniques quivont du Transponet (un système de tubes pneumatiquesà cartouches) aux systèmes de transport autoguidéspouvant porter jusqu’à 450 kg. « Swisslog dispose éga-lement d’équipements très spécifiques comme lePillPick, un robot qui automatise le conditionnement endoses individuelles de médicaments, ou encore leBoxPicker, qui assure une gestion et une distributionautomatisée des stocks de médicaments à partir detiroirs intelligents et modulables », précise encore Jean-Michel Hamard. Conscient qu’il existe en France unimportant marché à conquérir dans le domaine hospita-lier, le Président du directoire n’exclut pas de mettre àprofit sa connaissance des entrepôts pour attaquer ulté-rieurement le marché de la logistique industrielle.Présent dans une vingtaine de pays, Swisslog compteplus de 2.000 collaborateurs dont 150 en France. JPG

De gauche à droite : RemoBrunschwiler, CEO,Charles F.Kegley,President de la divisionHealthcare Solutionset Jean-MichelHamard, Présidentdu directoire de Swisslog France.

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MES NEWS Thomas Fleurs se lance dans la location de chariots pliablesNégociant Cash & Carry, spécialisé dans la vente en gros de fleurscoupées auprès des professionnels, le Groupe Thomas Fleurs aconçu un chariot en aluminium pliable et démontable. Original (ilfait bénéficier à Thomas Fleurs du Label Entreprise Innovante), ilréduit les frais de transport parce qu’aisément empilable. Une per-sonnalisation des plaques individuelles et des couleurs de bar-reaux est également possible. Sur la base d’un parc de 1.500 cha-riots, le groupe a lancé un service de loca-tion, auquel a déjà souscrit FloraHolland.Des études sont aussi en cours pour adap-ter ces chariots, au-delà de l’industrie desfleurs, aux entreprises de transport et dedistribution (hypermarchés, etc.).Créée en 1993 par Thomas Van Pul, leGroupe Thomas Fleurs siège à Entraiguessur Sorgue (84). Disposant de six plates-formes de vente à Avignon, Clermont-Ferrand, Hyères, Nancy,Montpellier et Marseille, il emploie une quarantaine de collabora-teurs pour un C.A. 2008 de 26 M€ (doublé par rapport à 2007, parrachat de la société hollandaise Gouverneur). CP

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SFPL opte pourles demi-palettesbois métal

La SFPL (Société Flandres PicardieLait), un important fabricant de pro-duits laitiers dont le siège est à

Abbeville (dans la Somme), a choisi lasociété Chep pour ses besoins en demi-palettes display, correspondant à unnombre supérieur à 300.000 mouvementspar an. Par rapport au support bois tradi-tionnel, cette demi-palette bois-métal apour avantage de réduire significative-ment le taux de casse tout au long de la Supply Chain. « Cette solution devraitnous permettre de réaliser des écono-mies », estime M. Delval, Directeur desopérations de la SFPL. Filiale de lacoopérative VPM, cette société emploie190 personnes. JPG

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MES NEWSUn tapis pour charger 33 palettes en 4 minutes chrono

La toute jeune société SGM/Alpi lance une bandetransporteuse en textile pour charger les camions enquatre minutes au lieu des 45 minutes nécessaires entemps normal. Le principe est relativement simple :le tapis est posé à l’intérieur de l’entrepôt face à laporte de chargement. Le cariste vient directementdéposer les palettes sur ce tapis. A l’arrivée ducamion, le textile est attaché à une sangle, elle-même reliée à un treuil fixé à l’intérieur du camion.On active le système qui entraîne le tapis et son char-gement à l’intérieur du véhicule. Arrivées à destina-tion, les palettes peuvent être déchargées d’unemanière traditionnelle ou selon le même principe, sile quai de déchargement est équipé. L’innovationprincipale réside dans la résistance du textile quipeut transporter une charge supérieure à 24 tonneset est garanti pour plus de 3.000 mouvements : « Aujourd’hui certains textiles sont plus résistantsque l’acier », rappelle Thierry Gachet, Président etfondateur de l’entreprise. Le textile, comme le sys-tème, est issu de la recherche (Itech, Enise, EM/ -Lyon...) et l’entreprise a été lauréate au concours duMinistère de l’Enseignement Supérieur. A ce titre,elle a bénéficié d’un programme de R&D de plus de800.000 €. A présent, après des mois de recherche etde mise en production, Thierry Gachet et son associéJérôme Dumont ont bien l’intention de convaincreles transporteurs et les logisticiens. Le système seraitdéjà à l’étude chez des grands noms de la logistique.Pour tous ceux qui seraient curieux d’en savoir plussur cette nouveauté, la société disposera d’un grandstand près du plateau TV du SITL. Vous pourrezprendre contact et assister en avant-première à laprésentation du système en fonctionnement : « Nous pensons faire 4 à 8 démonstrations physiquespar jour en live » confient les deux associés quiattendent beaucoup de cette première apparitionen public. JPG

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Jérôme Dumont etThierry Gachet,

les deux associés de SGM/Alpi

CEPL reprendla logistique de Go Sport

Thierry Ortmans, PDG de CEPL entend puiser dans lacrise de nouveaux arguments en faveur de l’externali-sation. Ce spécialiste de la logistique fine, met en

avant sa capacité à reprendre les équipes et les sites de sesclients pour maximiser leur potentiel. Pour ce faire, laméthode est toujours la même : filialisation du site repris,intéressement du management, mise en place ou améliora-tion du processus de préparation de commandes, mutualisa-tion du site permettant des économies d’échelle et un lissagede l’activité. C’est autour de ce concept que l’entrepriseconnaît une croissance de 20 à 25 % chaque année depuissa création. Dernier succès en date, le distributeur GO Sportqui a signé avec CEPL un contrat de prestation logistiquedont la mise en œuvre est programmée pour 2010. L’accordprévoit le transfert de l’activité sur une nouvelle plate-formede 40.000 m2, à une vingtaine de kilomètres d’Amiens. Plusde 200 personnes sont concernées par ce déménagement.L’acquisition du bâtiment a déjà fait l’objet d’un protocoled’achat. Thierry Ortmans a été conseillé dans cette affaire

par Laurent Sabatucci, PDGd’Entrepôt On Line (EOL), « qui s’est personnellementinvesti pour trouver le bâtiment »,précise le fondateur de CEPL.Récemment le prestataire aégalement pris à bail un entre-pôt de 10.000 m² à Coignièrespour Fujifilm et Fuji Medical.Autre signature récente et nonmoins importante, celle qui

concerne Yves Rocher à Gemersheim en Allemagne (entreStrasbourg et Francfort). Ce site, où travaillent plus de 250 personnes, couvre toute l’Allemagne pour la logistiquemulticanal des produits de beauté de l’industriel français : e-commerce, vente à distance et distribution en magasins. « Comme souvent en pareil cas, la mécanisation existantesera complétée par du matériel mécanisé Savoye, et toutel’informatique sera remplacée par le logiciel LM7 de lasociété a-SIS », précise encore Thierry Ortmans. Partie d’unsite voici une dizaine d’années, la société CEPL emploieaujourd’hui 2.500 personnes et réalise 165 M€ de CA. Un chiffre que l’entreprise prévoit de doubler d’ici quatreans. Mais alors, la crise ? « Il y a plusieurs façons de l’abor-der », estime cet ancien prof de Sup de Co : « L’étymologiegrecque du mot crise « krisis » veut dire « moment décisif ».En chinois, il correspond à deux idéogrammes l’un signi-fiant danger, l’autre opportunité. Alors soyons vigilantsquant aux dangers... mais surtout saisissons les opportuni-tés qui se présenteront en 2009 ». JPG

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Un système de convoyage ultra-silencieuxLa société SSI Schaefer, ensemblier spé-cialisé dans les matériels de stockage etde manutention mécanisée, annonce lelancement d’un système de convoyageextrêmement silencieux. Selon le cons -tructeur, tous les éléments mécaniquesont été repensés dans les moindresdétails, afin de diminuer au maximumles frottements et les résistances. Uneattention toute particulière a été accor-dée aux transferts qui orientent les bacset les cartons. Cette amélioration peut être mise en place sur l’en-semble du convoyeur, ou uniquement sur les zones sensibles, parexemple autour des postes de travail. Il est également possibled’adapter cette nouveauté aux systèmes de convoyage existants. « Le bruit est un facteur essentiel à prendre en compte dans lesconditions de travail. Une exposition répétée peut entraîner unedégradation des capacités auditives. En outre, elle peut entraînerune baisse de concentration et favoriser les accidents de travail »,commente l’équipementier. JPG

MES PRODUITSMES NEWS

Acteos commencebien l’année

Bon début d’année pour l’éditeurActeos qui a signé pour 1,4 M€ denouveaux contrats avec les sociétés

Fnac Eveil et Jeux, Trox et SiemensMedical Solutions Diagnostics. Con -cernant ces deux dernières commandes,après une première étape d’intégration,une seconde phase de déploiement estd’ores et déjà programmée. Celle-cidevrait permettre de porter le volumed’affaires total de ces trois contrats à 2,6 M€. « Ces succès commerciauxtémoignent du positionnement solide dugroupe sur des marchés plus que jamais àla recherche de solutions de productivitéet d’optimisation du service clients,offrant des retours sur investissementmesurables », a commenté Joseph Felfeli,PDG de l’entreprise. JPG

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MES ETUDES

Tendances, défis et opportunités à venir pour le SCM en Europe

De fin 2007 à mi 2008, le cabinetde conseil stratégique RolandBerger a mené, en partenariat

avec les Universités de Stanford, WHUet ETH de Zurich, une étude surl’Excellence en Supply Chain auprèsde 284 sociétés industrielles d’Europeet des Etats-Unis. Ils se sont appuyéspour ce faire sur un questionnaire stan-dard complété par des données finan-cières publiées (Bloom berg). L’objec -tif principal de l’étude était d’analyserl’impact de l’adéquation de la stratégieSupply Chain sur la performance del’entreprise. L’étude s’est focaliséepour ce faire sur les sociétés d’Europede l’Ouest et des USA, de divers sec-teurs industriels, dont le chiffre d’af-faires était supérieur à 1Md€. En termede méthodologie, Roland Berger ad’abord segmenté ces entreprises endeux catégories : celles fabriquant desproduits standards (cycle de vie de plusde 24 mois, moins de 50 varianteserreur de prévision inférieure à 9 % etfréquence de changement de com-

mande extrêmement faible à faible) etcelles fabriquant des produits sur-mesure (moins de 24 mois de cycle devie, plus de 50 variantes, une erreur deprévision supérieure à 10 % et une fré-quence de changement de commandemoyenne à extrêmement élevée). Puisles auteurs de l’étude ont défini deuxcatégories de Supply Chain : perfor-mantes (focalisées sur la minimisationdes coûts de la Supply Chain, la rota-tion des stocks et le taux d’utilisation)et orientées clients (axées sur la fiabi-lité de livraison, le taux de serviceclient, la fréquence de lancements deproduits...). Par ailleurs, le ROA(Return on Assets) basé sur les immo-bilisations, les stocks, les coûts deSupply Chain et le niveau de service,

est l’indicateur de mesure de la perfor-mance retenu. Sur la base de ces défi-nitions, la bonne stratégie SupplyChain pour les fabricants de produitsstandards est la recherche de perfor-mance, et la bonne stratégie SC pourles fabricants de produits sur mesureest la recherche de la satisfaction client. L’étude démontre que : ◆ les sociétés ayant une stratégieSC adaptée ont une performanceplus élevée ;◆ les niveaux de développement diffè-rent d’un secteur/pays à l’autre ;◆ les sociétés qui n’ont pas choisi labonne stratégie Supply Chain ont demauvaises priorités en termes deSupply Chain Design ;◆ la prévision et la planification de lademande deviennent les leviers d’op-timisation centraux. CPPour consulter la synthèse de cette étude, aller sur :www.SupplyChainMagazine.fr/TOUTE-INFO/ETUDES/Etudes.html

Aquels défis et opportu-nités un Directeur desopérations sera-t-il

confronté dans ses prises dedécisions sur les opérationsfutures ? C’est pour les déter-miner que le MassachussetsInstitute of Technology (MIT)et le cabinet de conseil Tru -Economy ont mené une étudeauprès de plus de 100 cadressitués pour deux tiers en Europe et untiers aux Etats-Unis. Cinq domainessont apparus comme fondamentauxdans les changements futurs de laSupply Chain :

◆ la configuration de la Supply Chain( r é p o n d r e à l ademande de marchésémergents, s’approvi-sionner auprès defournisseurs dans cesmarchés et recourir autransport multi modalsont vus comme lespremiers moteurs de

reconfiguration des Supply Chains) ; ◆ le risque de la Supply Chain (pour 70 % des cadres interrogés, une visionglobale de l’impact sur le Businessdes risques, comme des interruptions

dans la Supply Chain par exemple,n’existe pas) ;◆ le développement durable (vucomme une opportunité et comme unavantage concurrentiel à développer) ; ◆ les transitions produits (la capacité àintroduire de nouveaux produits sur lemarché est perçue comme essentiellepour être leader) ;◆ l’intégration (une vision globale de laSupply Chain est déterminante, bien quenon encore acquise par beaucoup). CPPour prendre connaissance de cette étude, aller sur :www.SupplyChainMagazine.fr/TOUTE-INFO/ETUDES/Etudes.html

EUROPE/USAComment le SCM peut booster les performancesd’une entreprise ?

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MES ETUDES

Préserver les emplois logistiques en place

Quel sera l’impact del a c r i s e s u r l e sbesoins en emplois

et formation en logistique en2009 ? C’est pour le mesurerque le Dépar tement desEtudes e t Recher ches du Groupe AFT-IFTIM al a n c é s a 1 5 e e n q u ê t eannuelle du 6 au 23 janvier2009, auprès de 701 entre-prises (dont 135 entre 50 et 100 sala-riés, les autres en ayant plus de 100).Il ressort de cette étude menée parJean-André Lasserre et Valérie Castayque l’érosion de l’emploi, inenvisa-geable un an plus tôt compte tenu dela croissance de l’activité, devraitramener les chiffres à ceux de 1993,date de la première enquête. Par

ailleurs, l’activitélogistique connaît unralentissement, maisavec des différencessectorielles très mar-quées (l’automobile,la chimie et le trans-port souffrent tou-chés tandis que lecommerce et la phar-macie restent dyna-

miques). Dans ce contexte difficile,les entreprises s’efforcent néanmoinsde préserver leurs forces productiveset leurs compétences en propre. C’estainsi que les gens en poste ont faitd’avantage d’heures supplémentaires(impact de la loi TEPA), que la mobi-lité interne (sans promotion) est favo-risée et que le recours à l’Intérim, en

tant que variable d’ajustement, se res-treint. Quant à la demande en presta-tions logistiques, elle devrait stagner,voire baisser, pour 76 % des entre-prises interrogées de 100 salariés etplus. Autre impact, les systèmesd’identification et de reconnaissancevocale ont le vent en poupe, de mêmeque les projets de refonte des organi-sations logistiques, visant essentielle-ment à réduire les coûts. Ces projetsplaident en faveur du recrutement decadres issus de grandes écoles oud’écoles d’ingénieur avec une spécia-lisation logistique. CPPour prendre connaissance de cette étude, aller sur : www.aft-iftim.com/infos-sec-teur/publications/etudes-et-enquetes/

Jean-AndréLasserre,

Responsabledes Etudes

etRecherches,

Groupe AFT-IFTIM

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ILS BOUGENTPierre Fournet devient Directeur commercial de Diagma

A 45 ans, Pierre Fournet rejoint legroupe Diagma en tant que Directeurcommercial. Ce CPIM, également titu-laire d’une maîtrise de gestion de l’IAEde Lyon, possède une expérience de 20 ans dans le domaine de la SupplyChain. Dans ses nouvelles attributions,Pierre Fournet aura également la direc-

tion commerciale d’Azap, logiciel de planification avan-cée. Créé par Jean-Patrice Netter en 1973, le groupeDiagma propose une offre globale autour de quatre pôlesd’expertise : Diagma Consulting, Human Ressources,Managed Services et Software Publishing. JPG

TXT e-solutions se renforce dans la mode et le textile

L’éditeur milanais de solutions logi-cielles TXT e-solutions a promuNicolas Peraldo Responsable du déve-loppement du secteur mode et distribu-tion textile en France. A ce poste, samission sera de renforcer la position del’éditeur sur ce marché en mettant enavant les offres PLM (Gestion du cycle

de vie des produits) et Supply Chain de la suiteTXTPerform 2008. Agé de 30 ans, Nicolas Peraldo estentré chez l’éditeur en 2006 en tant que Consultant avantvente Mode et Distribution Textile. Diplômé deSciences Po, il a acquis une expérience en informatiqueet Supply Chain au sein d’Orange France, de BNPParibas, de Kingfischer et de Castorama. CP

Pierre Demourespromu Territory Manager de Zebra

Zebra Technologies, spécialiste de solu-tions d’impression et d’identificationautomatique, annonce la nomination dePierre Demoures au poste de TerritoryManager France. A ce poste, PierreDemoures prend la tête de l’équipecommerciale de Zebra France. Arrivéchez Zebra en 2003 en tant que

Business Development Manager, il est à l’origine dudéveloppement commercial des imprimantes mobilesen France. Il a également déployé des solutions de traçabilité dans le secteur hospitalier. Pierre Demouresreporte toujours à Thierry Vasseur, qui a été nomméRegional General Sales Manager pour la France,l’Afrique du Nord, la péninsule ibérique et leMoyen-Orient. JPG

Pierre Girardin devient Managing Director

Ceva Logistics annonce la nominationde Pierre Girardin en tant que Directeurgénéral France, Benelux et Europe dunord. Il succède à ce poste à Onno Meij,lui-même promu Directeur des opéra-tions pour l’ensemble du groupe. Avantde rejoindre Ceva en 2001, PierreGirardin a occupé plusieurs fonctions au

sein d’entreprises comme Caterpillar Overseas etMcKinsey. Il est diplômé d’une école d’ingénieur et titu-laire du MBA de l’Insead. JPG

Transporeon pose un second pied en France

L’éditeur allemand de solutions de ges-tion du transport Transporeon vient denommer Jérôme Gabalde Directeur desVentes France. Sa mission à ce poste estd’ouvrir à Saint-Germain-en-Laye lafiliale française de Transporeon e-sour-cing Gmbh. Cette société est chargée depromouvoir les solutions d’e-sourcing

TiContract, une plate-forme web de communication et degestion des appels d’offres proposée aux chargeurs. Cetteplate-forme, qui met en relation les chargeurs et les presta-taires, offre des fonctionnalités étendues d’analyse et dechoix de prestataires. Jérôme Gabalde vient rejoindreStéphanie Körwer Italiano, Responsable Grands Comptes,qui a ouvert en 2008 à la même adresse la filiale françaisede Transporeon Gmbh, pour promouvoir la plate-formeTisys de gestion et de suivi des ordres d’affrètements entrechargeurs et transporteurs. Avant d’entrer chez l’éditeur deTMS, Jérôme Gabalde a passé plus de quatre ans dans legroupe Heppner, quatre ans chez Mory Group et trois anschez DHL. Il y a assumé des fonctions opérationnelles,puis d’encadrement de force de vente et de service clientet enfin, de gestion de compte et de projets à la fois dans letransport et l’entreposage. CP

Thierry Bruneauentre chez SNC-Lavalin

Thierry Bruneau, 53 ans, est nomméVice-Président Europe de SNC-Lavalin. Cette société d’ingénierieemploie sur le continent 2.200 salariés(347 M€ de CA), et est présente dansdifférents secteurs, notamment le bâti-ment, les infrastructures, le transport,l’environnement et les procédés indus-

triels. Thierry Bruneau a exercé différentes responsabili-

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MARS 2009 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N°32MARS 2009 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N°32


tés de direction chez Savoye, Siemens Dematic, etplus récemment, au sein de la société CEPL. JPG

Alain Fanet devient PDG de Tagsys

Le conseil d’administration de Tagsysannonce la nomination d’Alain fanetau poste de CEO. Avant de rejoindreTagsys, Alain Fanet a été Co-fondateuret Président d’Arteris, une société spé-cialisée dans le développement desolutions de réseaux sur semi-con -ducteurs. Plus récemment, il était

Président de l’European Technology Tour Asso ciation,une entité industrielle qui favorise l’extension interna-tionale des entreprises. Rappelons que la société Tagsysconçoit, produit et commercialise des infrastructuresRFID pour le suivi d’objets et de marchandises sur l’en-semble de la Supply Chain. JPG

Herbert de Saint Simonnouveau DG de SDV

Herbert de Saint Simon a été nomméDirecteur général de SDV LogistiqueInternationale. Ce diplômé de l’Euro -pean Business School a débuté sa car-rière en 1974 chez Arthur Andersen. En1986, il rejoint le monde du transportcomme DGA de Chronopost Inter -national, puis en 1989, il devient PDG

de TNT Express France. Il entre chez Bolloré en 1991en tant que Directeur du fret aérien de la SCAC, puis sevoit confier l’ensemble des activités de fret aérien dugroupe. Depuis 2006, il était Directeur Europe de SDVLogistique Internationale. Le groupe SDV LogistiqueInternationale est implanté dans 88 pays. JPG

Gilles Charpille rejoint a-SISGilles Charpille entre chez a-SIS entant qu’Ingénieur commercial. Cethomme de 49 ans a passé de nom-breuses années chez Dematic où il asuccessivement exercé les fonctionsde Chef de projet informatique,Responsable d’affaires, Ingénieurcommercial et Responsable commer-

cial pour la partie IT. Sa mission chez a-SIS sera prin-cipalement axée sur le développement des projets duWMS LM7 et la mécanisation des entrepôts avec leséquipements Savoye. Rappelons qu’ a-SIS est unefiliale du groupe Savoye, lui-même division de l’en-semblier-constructeur Legris Industrie. JPG

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MES SORTIES22 % de stocksavec la solutiond’AperiaLors d’une conférenceorganisée au NovotelParis Défense, BeautéPrestige International apu détailler devant unecinquantaine de partici-pants sa nouvelle organi-sation en matière de pré-vision de ventes et com-menter les résultats obte-nus après la mise en placed’Aperia Forecaster. Ainsi,installé en quatre mois, lelogiciel aurait généré unretour sur investissementen moins d’un an, avecune diminution de stocksde l’ordre de 22 %. Dans un même temps, letaux de rupture aurait étédivisé par trois et le tauxd’obsolescence, par cinq.Société Internationale,BPI est présente dans 112pays et s’appuie sur unedouzaine de filiales dansle monde. JPG

Si vous avez des infostoutes fraîches,

contactez-nous [email protected]@scmag.fr

[email protected]

GS1. Annonce de « l’observatoire de l’excellencelogistique et de la traçabilité »…

Toutes les enseignes de la grande dis-tribution hexagonale et un grandnombre d’industriels ont assisté le

10 février à Paris à un événement orga-nisé par GS1 à l’occasion du lancementofficiel de l’Observatoire de l’ExcellenceLogistique et de la Traçabilité. Il s’agitd’un portail internet sur lequel serontremontées toutes les anomalies consta-tées par les distributeurs en comparant lesinformations reçues dans les avis d’expé-dition électronique (DESADV, messageEDI) et les palettes réceptionnées. A par-tir du mois de mai, date annoncée d’en-trée en service de cet outil informatique,tous les adhérents GS1 devraient pouvoirconsulter les statistiques qui les concer-nent, sans coût supplémentaire. L’objectifest d’améliorer la fiabilité du processus

Desadv + étiquette logistique en donnantune meilleure visibilité aux fournisseurssur les actions correctives à mener. SelonGS1, les gisements d’économies attein-draient « 1 à 2 € de gain par palette échan-gée ». Cette assertion s’appuie notam-ment sur une étude réalisée en 2007 par lasociété de conseil Traceval. Dans la salle,certains industriels ne cachaient pas leurinquiétude quant à d’éventuelles sanc-tions des distributeurs à l’égard de ceuxd’entre eux qui ne corrigeront pas lesécarts constatés sur le portail. « C’est jus-tement pour éviter cela que l’observa-toire a été créé. Les distributeurs qui fontpartie du comité de pilotage du projetsont dans une démarche d’améliorationet non de pénalisation », a tenu à les ras-surer Pierre Georget, DG de GS1 France.

… mais l’outilreste encore à (re)développer

La mise à disposition technique de ceportail internet collaboratif n’est pré-vue qu’en avril, pour un début de

déploiement début mai. L’objectif estqu’à la fin de l’année 150 fournisseurs et 10 distributeurs y soient connectés etl’utilisent. Pourtant, un outil de ce typeexistait déjà, celui qu’avait développéTraceval pour GS1 et qui a été utilisé dansle cadre du pilote sur « l’Observatoire de laTraçabilité », mené demai à septembre 2008pour GS1, avec sept dis-tributeurs et douze indus-triels. Mais la semainedernière, à l’issue d’unappel d’offres, le comitéde pilotage a finalementsélectionné un prestatairepurement informatique,Zenexity, pour réaliser le projet. « Nous recher-chions avant tout une

plate- forme technologique de workflow,de partage d’informations. Le comité depilotage a considéré que Zenexity avait lameilleure technologie disponible, et pro-bablement aussi la moins chère », nous aexpliqué Pierre Georget. « L’interfaçagedans les SI des distributeurs et la remon-tée d’informations est un travail pure-ment informatique qui ne suppose pas de

compétences métier, sachant queGS1 accomplira le travail de sou-tien et d’aide à la correction deserreurs », a-t-il ajouté. Il sembleégalement que le modèle écono-mique ait pesé dans la balance :Traceval proposait un modèled’abonnement annuel alors queZenexity, fervent promoteur deslogiciels libres, laisse la propriétéintellectuelle du projet à GS1.Zenexity, qui n’a pour l’heureprésenté qu’une maquette, s’estengagé à développer l’outil enhuit semaines. JLR

Pierre Georget, DG de GS1 France

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■ ERRATUM : Alain Labégorre,Directeur Logistique CanonFrance (et non M. Bagegorre)comme mentionné en page 78 du numéro 30 de SupplyChain Magazine tient à rectifierl’information publiée dans lecadre de l’article consacré ausecteur High Tech. Canon dis-pose bien d’un entrepôt centraleuropéen pour les pièces à rota-tion lente. En revanche, contrai-rement à ce qui a été stipulé, la société gère en France 10 %des références qui génèrent plusde 90 % des mouvements (expé-ditions).

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MES SORTIESFret SNCF demande à l’Etat de faire un choix

La question est de savoir ce que la collectivité estprête à faire. Je ne parle pas des décideurspublics installés dans leurs bureaux et profes-

sant des opinions qui défendent leurs institutions, jeparle du contribuable à qui il va falloir expliquer àun moment donné que pour faire circuler des mar-chandises sur des trains, il faudra probablementchanger l’équation économique ». C’est avec cesmots percutants que Pierre Blayau, Directeur délé-gué Transport et Logistique à la SNCF, a conclu lajournée sur l’éco-mobilité organisée le 4 février àParis par la SNCF et Sciences Po. Quelques minutes plustôt, Véronique Wallon, la Directrice de la stratégie de RFFdéfendait au contraire l’idée que le fret ferroviaire devait « largement trouver en lui-même les ressorts de sonredressement », en équilibrant son exploitation et sondéveloppement : « Les trains de fret ne règlent pas à RFF40 % de ce qu’ils coûtent en exploitation, cela ne peut pasdurer, car chaque train de fret augmente le déficit d’exploi-tation de RFF » a-t-elle ajouté. « Le doublement du prix despéages va faire plonger l’ensemble des opérateurs de trans-

port combiné dans le rouge dès 2010 », lui arépondu Luc Nadal, Directeur de FretSNCF. Et d’ajouter, devant un public acquisà sa cause : « si nous n’attaquons pas assezfrontalement la question du modèle écono-mique dans les prochains mois, on peut sefaire du souci pour l’avenir du transport demarchandises ferroviaire. Voulons-nous unétat qui subventionne les exploitations ou unétat bâtisseur mettant à disposition des opé-rateurs économiques une infrastructure per-

mettant la viabilité d’un modèle économique ? ». Pourenfoncer le clou, Pierre Blayau a insisté sur sa « convictiontrès forte » : le problème ne pourra pas se résoudre par laseule confrontation des chargeurs et des opérateurs ferro-viaires, compte tenu du prix de la route et des charges quipèsent sur la SNCF. « La collectivité est appelée à dire cequ’elle souhaite et bien entendu, à ce moment là, la SNCFsera au rendez-vous, car elle a les capacités d’innovermais pas de porter elle seule les solutions à cette problé-matique ». A bon entendeur... JLR

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Pierre Blayau, Directeurdélégué, Transport etLogistique de la SNCF

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MES SORTIES-AGENDALes ténors de la Supply Chainreviennent !

En 2007, le CNAM avait organisé « LesTénors de la Supply Chain », une journéede conférences qui avait rassemblé plusde 400 participants. Le 2 avril prochain,Thierry Jouenne, professeur associé auCNAM et organisateur de l’événementrécidive avec une journée de confé-rences et de débats sur le thème : « Solutions Logistiques pour tous ». « Nous voulons placer au cœur du débat,le besoin d’aider les PME à relever le défilogistique », précise Thierry Jouenne. Leprogramme définitif est actuellementen cours de finalisation. Mais on saitdéjà que l’économiste Christian Saint-Etienne interviendra sur le thème : « Quelles stratégies pour les PME » etque cette journée bénéficiera du soutiende GS1, de l’ARIA Ile de France, et de laFEEF. Le flowcasting et des innovationsdans le domaine du management et dela mesure de la performance seront éga-lement au programme. Cette annéeencore Supply Chain Magazine sera le partenaire presse de l’événement. Les inscriptions seront ouvertes dansquelques jours. Mais vous pouvez dès àprésent bloquer cette journée sur votreagenda. JPGInvitation gratuite sur réservation. Pour s’inscrire et découvrir le programme sans plus attendre,www.colloque.cnam.logistique-syste-mique.netManifestation recommandée par Supply Chain Magazine.

Spilog se tiendra le 18 juin à l’Espace de la Tête d’Or de Lyon

Le salon Spilog monte en puissance. Cette manifesta-tion qui avait pris naissance voici trois ans dans leslocaux de l’IUT Louis Lumière Lyon 2 se profession-

nalise pour devenir un grand rendez-vous annuel.Première nouveauté, Supply Chain Magazine, qui a sou-tenu l’initiative dès son origine, sera partenaire de l’orga-nisation. Deuxième nouveauté, la manifestation se tiendraà l’Espace de la Tête d’Or de Lyon pour offrir aux visiteurset aux exposants un cadre plus adapté et plus spacieux.

Troisième nouveauté, l’Ardi-Perfor -mance (ex Pôle Productique Rhônes-Alpes), organisera en parallèle sa troi-sième journée régionale de la SupplyChain avec un programme complet deconférences et d’ateliers. « Toutes cesnouveautés vont créer les conditionsd’une manifestation de grandeampleur avec doublement du nombred’exposants (par rapport à 2008) etplusieurs centaines de participantsattendus », déclare Michel Wacquet,Directeur du salon. A noter égalementque le Club Logistique Globale orga-nisera trois conférences débats sur les différents aspects de la « logistique

durable ». Enfin, une douzaine d’ateliers thématiquesseront proposés par les exposants. Un jeu concours,dégustation de vins et de nombreuses surprises, sont éga-lement prévus.

Toutes les sociétés qui souhaitent connaître les modalitéspour exposer sur ce salon peuvent contacter directementSpilog ou d’adresser à Supply Chain Magazine.Contact Audrey Zugmeyer : tel. 01 41 79 56 21 [email protected]

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VU AILLEURSUSAAPL condamnépour fraudeAPL, qui appartient à NeptuneOrient Lines, basée à Singapour,a été condamnée par la justiceaméricaine à une amende de26,3 M$ (18 M€). L’entreprise,dans le cadre de contrat detransport de marchandises pourles troupes américaines baséesen Irak et en Afghanistan, a sur-facturé le Département de laDéfense pour le transport demilliers de conteneurs depuisles ports jusqu’à leur destina-tion finale dans ces deux pays.La fraude a été rapportée parun employé de la compagniequi va toucher 5,2 M$. (Marine Log, février 09)

EUROPE DE L’EST

Planipe vise la Hongrie depuis Lyon

L’éditeur de solution de prévision et d’optimisation de stocks Planipe ouvre unbureau à Lyon, près de la gare de la Part-Dieu. A sa tête, Mourad Darkaoui,Ingénieur commercial de l’ESC Saint-Etienne où il a effectué un Master en

Supply Chain Management, aura pour mission de commercialiser l’offre de l’édi-teur sur le quart sud-est de la France. Mais plus loin, Mourad Darkaoui serachargé, en partenariat avec la Coface, de développer l’activité dans les pays del’Est. Il commencera par la Hongrie, où Planipe a équipé la plate-forme Auchand’Üllö (près de Budapest) pour gérer le Grand Import. CP

ESPAGNE

Dynasys trouve un partenairedans la péninsule

L’éditeur informatique Dynasys a signé un partenariat avec la société espa-gnole Isoco, positionnée sur les systèmes d’information à valeur ajoutée.L’accord a été signé fin décembre 2008 et a pour objectif de permettre aux

deux entreprises d’accroître leur présence dans la péninsule. « Le marché espa-gnol représente un fort potentiel pour les solutions de Supply Chain Planningn.Skep », estime Ariel Weil, DG de Dynasys qui a trouvé dans Isoco « un parte-naire idéal » pour se renforcer sur le territoire espagnol. JPG

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E N B R E F . . . VU AILLEURSBRESILCeva bien pour LGLe groupe électronique coréenLG Electronics a choisi le presta-taire néerlandais Ceva Logisticsau Brésil. Les produits d’équipe-ment électrique et électroniqueet les climatiseurs fabriqués dans

les trois usinesdu site de LG àM a n a u s , e nAmazonie, sontstockés depuisl e d é b u t d el’année dans lecentre de distri-bution de Cevaà L o u v e i r a ,dans les envi-

rons de Sao Paulo. La distribu-tion s’effectue désormais depuisle centre et non plus depuisl’usine. Ceva dédie 120 salariés et35.000 m2 pour son client. Ilinvestit dans les domaines de lasûreté, de la radiofréquence etde l’informatique de gestiond’entrepôt. Le groupe coréenutilise déjà les services de Cevaen Italie. CC

USATag RFID tout-en-un

Les sociétés améri-caines Savi, filiale deLockheed Martin spé-cialisée dans la RFID,et Numerex, spécia-liste des technologiespar satellite, dévelop-pent ensemble le ST-694 GlobalTag, éti-quette hybride combi-

nant RFID, GPS et communica-tion par satellite. Quand il seraterminé, ce tag fournira ainsi entemps réel une informationcontinue et précise sur les actifsétiquetés. CC

AUSTRALIE

Pénalités contre les compagniesaériennes soupçonnées de cartel

surcharges fuel avec KLM et Car -golux, et cette dernière a admis s’êtreentendue avec Lufthansa, Air Franceet KLM.La Cour Fédérale a déjà condamné endécembre dernier les compagniesaériennes australienne Qantas et britan-nique British Airways à des amendesrespectives de 20 et 5 M$ australiens(11,9 M€ et 3 M€) pour entente illégale.Une autre procédure de l’ACCC est encours contre Singapore Airlines Cargo.L’ACCC enquête sur d’autres compa-gnies et entamera d’autres actions dansles mois à venir. CC

L’ACCC, la Commission austra-lienne de la Concurrence et de la Consommation, a entamé le

10 février une procédure contrequatre compagnies aériennes pourentente sur la fixation des surchargesfuel appliquées au fret aérien interna-tional entre 2003 et 2006.Le 16 février, la cour fédérale deSidney a condamné les quatre compa-gnies en faute. Des amendes de 3 M$australiens (1,8 M€) chacune ont étéinfligées aux sociétés française AirFrance et hollandaise KLM, et de 5 M$ australiens (3 M€) chacune pourles compagnies néerlan-daise Martinair et luxem-bourgeoise Cargolux.Aujourd’hui, Martinairappartient à KLM, au seindu groupe Air France-KLM. Air France et KLMont admis s’être entenduesavec Lufthansa ; Martinaira reconnu avoir eu des dis-cussions portant sur les

ROYAUME-UNI

Howard Tenens retient Quintiq

Le prestataire logistique anglaisHoward Tenens a choisi QuintiqLogistics Planner pour optimiser

la performance de ses opérations etréduire ses coûts opérationnels.Disposant d’une flotte de plus de 200camions et de près de 279.000 m2 desurfaces d’entreposage en Grande-Bretagne, Howard Tenens a décidéd’investir dans ses infrastructures etsystèmes d’information pour gérer sonexpansion et le développement de sesactivités. Il recherchait une solutioncapable de répondre aux besoins deses nombreux sites, intégrant de la pla-nification automatique, dotée d’uneergonomie agréable et en mesure de

procurer plus de visibilité à ses clients.Howard Tenens a sélectionné Quintiqcomme nouveau système de gestiondu transport en raison de sa bonne adé-quation fonctionnelle et de sa capacitéd’adaptation par paramétrage.L’objectif est à présent d’optimiser lesressources existantes du prestataire(personnel, surfaces de stockage, kmparcourus...) et de gagner de nouveauxclients tout en gardant un haut niveaude services. Couplée à de l’informa-tique embarquée dans les véhicules, lasolution de Quintiq doit permettre auxplanificateurs d’Howard Tenens degérer en temps réels les fréquents aléasde dernière minute. CP

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VU AILLEURS

CHILI

TNT acquiert LIT Cargo

Au Chili, le groupe de transport hollandais TNT renforce sa position enacquérant LIT Cargo, une entreprise familiale de transport nationalexpress créée en 1952, qui comporte 1.500 salariés, une flotte de

496 véhicules et 55 dépôts. D’après Marie-Christine Lombard, Directrice de ladivision Express de TNT, « TNT est en passe de devenir le leader de l’expressinter-régions en Amérique duSud. Nous développons desplates-formes opérationnelles auChili et au Brésil pour offrir auxclients un portefeuille de servicesdomestiques, continentaux etinternationaux. »TNT prévoit que le marché del’express domestique au Chili,qui s’élève à 165 M€, va croître de 21 % par an dans les cinq prochainesannées. TNT était présent au Chili depuis 1986 via un agent, et l’est en propredepuis 1995 ; il y a démarré l’express national en 2002. Il évalue le marché del’express domestique en Amérique du Sud à 2,2 Md€ en 2007, un marché quidevrait continuer sa croissance en 2009. CC

DJIBOUTI

Nouveau terminal à conteneurs

Le nouveau terminal à conteneursde Doraleh, proche du port de

Djibouti, a été inauguré début février.La compagnie portuaire DP World,qui appartient au groupe DubaïWorld, basé à Dubaï aux EmiratsArabes Unis, a construit le terminal.Il a une capacité de traitement annuelde 1,2 million d’équivalent vingt pieds(EVP) ; il dispose de 1.050 mètres dequai, pouvant accueillir les plus grosbateaux en service.Cette opération fait suite à la jointventure en 2000 entre le gouverne-ment de Djibouti et DP World, qui a obtenu une concession de 20 ans en tant qu’opérateur du port deDjibouti. CC

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E N B R E F . . . VU AILLEURSAUTRICHELa RFID p(n)euttout faireLe prestataire logistique luxem-bourgeois Logwin utilise la RFIDpour le montage complet desroues, dans son centre logistiquede Traiskirchen, près de Vienne,en Autriche, depuis l’été 2008.Selon l’entreprise, la RFID simpli-fie le processus de traitement, faitgagner du temps et trace lesmouvements de façon plus fiable.Le centre autrichien monte41.000 roues par mois. Chaquepneu est doté d’un numérod’identification stocké dans l’éti-

quette RFID. Leslecteurs lisentautomatique-ment les numé-ros des 16 pneus

d’une palette. Au numéro corres-pondent diverses informationsstockées dans le logiciel de ges-tion d’entrepôt : type de pneu, dejante, date de fabrication... Le sys-tème informatique attribue auto-matiquement un espace de stoc-kage au pneu. CC

SINGAPOURNouveau centrePanalpina

Le prestataire logis-tique suisse Panalpinaa inauguré son nou-veau centre logistiqueet de distribution àSingapour, tout près

de l’aéroport international deChangi. Doté d’un entrepôt de8.546 m2, il est destiné à la clien-tèle des secteurs de la santé, du high-tech et des télécoms.Multimodal, avec accès auxauto routes, à l’aérien et àl’océan, il sert d’interface cen-trale à Panal pina pour étendresa gamme de services dans larégion Asie-Pacifique. CC

ALLEMAGNE

K+N récolte un nouveau contrat

Le fabricant allemand de machines agricoles et moissonneuses-batteuses Claas, a renouvelé pour deux ans son contrat avec le groupel o g i s t i q u e

suisse Kuehne +Nagel, chargé degérer sa SupplyC h a i n a m o n tdepu i s l e s payseuropéens jusqu’àses sites de produc-tion en Allemagne,en France et enHongrie. CC

MONDE

GAC récompense les initiativesen faveur de l’environnement

La compagnie maritime et logis-tique GAC, dont le siège est àDubaï, aux Emirats Arabes Unis,

lance un prix annuel d’excellenceenvironnementale pour récompenserles initiatives concrètes et mesurablesqui sont prises par les plus méritantesdes 79 entreprises du groupe. Les

prix, jusqu’à 10.000 $, seront décer-nés à celles réalisant des actionssimples de réduction de consomma-tion de ressources, de recyclage et deréutilisation de matériaux, commedes économies en eau ou en papier,ou le recyclage des cartouchesd’encre. CC

ALLEMAGNE

HAVI Logistics planifie son réseauavec Axxom

Le prestataire HAVI Logistics achoisi de faire appel à l’éditeurallemand Axxom pour l’aider

dans sa planification stratégique et tac-tique, dans l’optimisation de sa pro-duction et de ses réseaux logistiques.Le groupe, qui se fait appeler « TheGlobal Lead Logistics Provider », uti-lisait déjà depuis début 2008 l’outilORion-PI Value Network Optimizationd’Axxom pour remettre à plat leschéma de distribution de sa filialeWLS, le prestataire logistique deMcDonald’s en Allemagne et auLuxembourg. Il s’agit désormais, avecle même logiciel, d’analyser, de faire

des simulations, de concevoir et aufinal, d’optimiser l’ensemble de laSupply Chain de Havi Logistics :logistique amont, distribution et pro-duction. Havi Logistics, qui compteplus de 6.000 employés dans lemonde, fournit un service à plus de5.500 sites dans 32 pays. JLR

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E N B R E F . . . VU AILLEURSROYAUME-UNI

Ford utilise GefBoxAprès ses confrères de l’auto-mobile BMW ou Volvo, FordRoyaume-Uni utilise le systèmeGefBox offrant une gamme decontenants réutilisables, lavésdans les neuf centres de lavageGefco en Europe. CC

SUISSE

Holding helvétiquepour Willi BetzLe groupe de transport Willi Betza créé une holding suisse au nomd’Avelli AG à St Gallen, afin decoordonner l’ensemble des activi-tés de transport internationales àpartir d’un seul centre. Le diri-geant de la société Thomas Betzavait été condamné pour corrup-tion, faux en écriture et fraude àla sécurité sociale il y a plusieursannées. Quelques jours après sacondamnation, le dirigeant avaitété libéré et le mandat d’arrêtavait été retiré.(Le Lloyd, 19/02/09)

ALLEMAGNE

L’Allemagne participe à la mission anti-piratesde l’OtanL’Otan va envoyer au printempssix navires de guerre pour luttercontre les pirates de la côte soma-lienne. L’Otan avait déjà envoyédes navires durant le dernier tri-mestre 2008 pour protéger lesbateaux de commerce le long descôtes de Somalie. Cette missionsera menée en coordination avecles partenaires internationaux, aupremier rang desquels l’UnionEuropéenne. L’Allemagne parti-cipe à la mission en envoyant unefrégate et un bateau de ravitaille-ment. (DVZ, 20/02/09)

USA

International Inspirations s’en remet à DHL

La société familiale new-yorkaise International Inspirations, designer etgrossiste en bijoux, a rendu exclusif son contrat de logistique et de trans-port express avec DHL. Depuis la création en 2005 de la société par le

couple Mandy et Shaya Reiter, DHL Import Express Services livre en deuxjours ouvrés au centre de distribution de l’entreprise dans le New Jersey lesbijoux fabriqués dans des ateliers chinois situés dans des régions reculées, loinde Shanghai. « Le time-to-market est critique pour nos collections qui se veu-lent à la pointe de la mode, souligne Shaya Reiter. Et DHL nous a permis dediversifier nos fournisseurs à travers la Chine ».CC

ITALIE

Le transport fluvial, c’est possible !

CHILI & THAÏLANDE

Dachser crée deux JV

Le prestataire de servicesinternational de transportet de logistique Dachser

étend son réseau interconti-nental en Amérique latine eten Asie du Sud Est en créantdeux joint ventures : une auChili et une en Thaïlande.Baptisée Dachser Chile S.A.,la nouvelle société est une joint ven-ture à 50/50 avec la société GestoLog(fusion du transporteur local LogisticaIndustrial et du logisticien RolfGremler). Sur un marché latino-améri-cain en plein boom, elle devra accélé-rer les flux export vers les Etats-Unis,l’Europe et l’Asie, de même que lesflux import. En janvier 2009, le groupeallemand s’est également implanté àBangkok via une nouvelle entité,

Dachser AFL Thailand Ltd,une JV pilotée par sa sociétéen Inde, AFL Dachser Pvt. -Ltd. qui détient 90 % desparts, le reste appartenant à la direction locale. « Avec lebénéfice de nos nombreusesannées d’expérience sur lesmarchés du continent asia-

tique et le relais de notre réseau mon-dial, la Thaïlande se révèle un marchéprometteur », assure Thomas Reuter,Directeur de la division Dachser Air&Sea Logistics. En 2007, Dachser a réa-lisé un CA de 3,5 Md€. Le groupeemployait 17.100 collaborateursrépartis dans 297 agences de par lemonde. Son réseau a géré 39,1 mil-lions d’envois pour un poids total de25,8 millions de tonnes. CP

Thomas Reuter,Directeur de la division DachserAir& Sea Logistics

Une nouvelle ligne de transport sur le Pô, opérée par Fluviomar, compagnieappartenant conjointement à l’autorité portuaire de Venise, à des opéra-teurs privés et à la Province de Mantoue, a été inaugurée en janvier. La

péniche Jacopo, partie du port de Venise, Marghera, avec 1.200 tonnes de farinesest arrivée au port fluvial de Crémone, en Lombardie. Cinq péniches opèrent surla ligne Venise-Crémone, pouvant transporter jusqu’à 2.060 tonnes de marchan-dises, équivalant à 70 poids lourds. Une ligne de transport de conteneurs, avecune capacité de 60 conteneurs par péniche, équivalente à un train et demi, devraits’y ajouter à l’avenir. (Logisticamente, 23/01/09)

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ÉDITO MES NEWS Hardis, cœurs Gefco lance son plan d’action …supplychainmagazine.fr/TOUTE-INFO/Archives/SCM032/Essen... · 2009-04-20 · de La Flèche indique que les véhi-cules