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DOSSIER DE PRESSE 12H34

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le dossier de presse

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DOSSIER DE PRESSE

Une comédie de bureau Adaptation et Mise en scène Marc Jolivet

B a n c P u b l i c S p e c t a c l e s

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1 5 r u e d e f e n o u i l l e t 3 1 2 0 0 T o u l o u s e

Var Matin – le Pradet- Janvier 2010

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Var matin Le Pradet- Janvier 2010

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Fayence Var Matin- Janvier 2010

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Ouest-France / Bretagne / Concarneau / Archives du samedi 31-10-2009

12 h 34 : joli succès pour la comédie de bureau - Concarneau samedi 31 octobre 2009

Belle surprise, jeudi soir, au Centre des arts, les 250 sièges proposés au parterre avaient trouvé preneurs. Et les spectateurs n'auront pas eu à regretter leur soirée de théâtre avec 12 h 34. L'heure pile poil où tout bascule dans le délire et le surréalisme pour les trois salariés de la multinationale Profidec dont le slogan « Sous le soleil des profits » laisse présumer de l'enfer du décor. Truffée de situations invraisemblables et ahurissantes, la comédie de bureau mis en scène par l'humoriste Marc Jolivet a emballé le public qui a chaleureusement salué la performance des comédiens. Ouest-France / Bretagne / Concarneau / Archives du samedi 31-10-2009

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La montagne – Vendredi 28 novembre 2009

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Actualité critique du spectacle vivant / Grand Toulouse

12h34 : avant / après Première au centre culturel Alban-Minville…

au moment de l’ouverture du G2O à Pittsburg. Il y a deux temps dans cette pièce totalement inédite, écrite par deux auteurs toulousains, Loïc Castiau et Jean Pillet, que présente le centre culturel Alban-Minville : 12h34. Avant 12h34, donc, et après 12h34. C�’est vrai dans la construction de la narration dont cette heure précise marque la césure qui précipitera le dénouement. C�’est vrai dans la mise en scène qui épouse parfaitement la trajectoire ascendante d�’une écriture plus libre, plus folle, moins appliquée au fil des minutes qui s�’égrènent. C�’est vrai, logiquement, dans l�’intérêt et la qualité de l�’ensemble. Avant 12H34, on assiste en quelque sorte à une longue scène d�’exposition, dont la fonction première est de présenter nos personnages ou plutôt, devrais-je dire, nos archétypes du patron (Pierre Diot), du stagiaire (Alexandre Pesle) et de l�’assistante (Laurianne Escaffre). Présentation également en bonne et due forme du groupe Profidec. De sa direction générale en la personne de tonton Pointard, dont le portrait rondouillard (celui de Marc Jolivet) trône au beau milieu du service. De ses antiennes punaisées aux murs : "sous la plage, les profits", "des profits et encore des profits". Enfin du reste de sa fourmilière grouillant en hors-scène depuis les sous-sols du personnel de maintenance aux étages célestes de la direction. Chacun est à sa place, bien en place, et n�’existe semble-t-il qu�’à l�’intérieur de sa relation avec l�’autre. Bien que tout cela soit ponctué de réparties savoureuses, l�’entrée en matière demeure un peu fastidieuse, presque artificielle, en tout cas trop scolaire. Plus qu�’une mise en train conduisant subtilement au n�œud de l�’intrigue, elle enfile comme des perles une succession de sketchs de bureau. Ca vanne, ça chambre, ça blague, et on rit bien comme on le ferait devant une compil des dernières saisons de "Caméra Café" (où Pesle est Sylvain). Jusqu�’au moment où se pose tout de même la question : "Où veulent-ils en venir ?" Et puis sonne le glas de cette première partie : 12h34 et avec lui l�’instant de la libération. On voit pousser des ailes au verbe, la poésie, délirante et fantasmagorique d�’un univers "Monty Pithon" remplace le formatage d�’une sitcom subi jusque-là. Les comédiens, comme soudain étourdis par ce grand bol d�’air créatif, donnent enfin la pleine mesure de leur talent comique, incontrôlables, décravatés, absolument libérés. C�’est là que le "rêve de Michel", conduisant aux épousailles symboliques de Marx et du Führer dans un raisonnement paradoxalement cohérent au plus fort de sa folie, renseigne le mieux sur le talent de notre auteur bicéphale. C�’est là que le brio du jeu de Pierre Diot, imposé à juste raison semble t-il par Marc Jolivet, explose au visage du spectateur, c�’est là enfin que passe le plus fortement le "message" porté en étendard derrière la pantomime. Quel est-il ? Disons sans trop en dévoiler que cette matinée au bureau prend les atours d�’une parabole anticapitaliste, que les saillies verbales brocardent en permanence les Lehman Brother du monde entier, que le dénouement de cette tragi-comédie ultra contemporaine, historique et politique, cristallise l�’implosion d�’un système économico-financier coupable du péché d�’hybris (le péché d�’orgueil de celui qui veut égaler les dieux)�… Que la réponse à tant d�’excès, de déraison et de folie humaine ne peut se trouver que dans la pire des sanctions, et qu�’au no limit n�’existe qu�’une seule alternative : le no futur. Le tout expérimenté par une fin "à la Sixième sens" (de Night Shyamalan), achevant de sauver cette pièce enchanteresse à la fin, mais un peu décevante au début. Dommage, j�’aurais aimé crier au chef d�’�œuvre total ; pour une fois qu�’une comédie actuelle essaie de dire une vérité sans renoncer à divertir.

Bénédicte Soula De Loïc Castiau et Jean Pillet. Mise en scène : Marc Jolivet.

Avec Lauriane Escaffre, Pierre Diot et Alexandre Pesle.

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B a n c P u b l i c S p e c t a c l e s – L e C l o u

T o u r n é e – A d m i n i s t r a t i o n

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