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Dossier de presse SaNGO

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2010 dossier de presse

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Riche de ces influences familiales et musicales, SaNGO arrive en France en 1986.Alors, bassiste autodidacte confirmé, il intègre rapidement le groupe funk-rock « Vol de nuit ».

Fin 80, début 90, le jeune artiste part pour une tournée nationale avec le groupe africain Tessito.Quelques temps plus tard, il enchaînera en tant que percussionniste et choriste avec Ekambi Brillant puis, revenant à la basse, il sillonnera de nouveau la France avec le groupe Sita Lanta.

Depuis 1996, SaNGO forme son propre groupe éponyme. Il se lance alors dans la chanson et choisit la guitare comme instrument de prédilection.Dans le même temps, il multiplie les collaborations artistiques avec Les Nubians, Raul Paz, David Charvet, Ophélie et Michaël Winter, Noël Ekouabi ou encore Nathalie Cardone.

Auteur-compositeur et interprète, SaNGO enregistre alors son single « Preuves d’amour », en 2007, dans les studios de Patrice : « Supow Music ». Ce single a été édité par AIM et lui même sous le label AIM Editions Amélie (aim-production.com), il est aujourd’hui téléchargeable sur la plateforme Believe.fr.

De cette collaboration est aussi né un album qui sortira d’ici quelques mois. SaNGO y exhibe là ses compositions dans 3 langues : le français, l’anglais et le douala, sa langue maternelle.

Après plusieurs tournées estivales dans le sud durant lesquelles il s’est vu jouer pour Gad Elmaleh, Busta Rhymes ou encore Quincy Jones, SaNGO est alors de retour à Paris et continue à s’y produire accompagné de ses deux musiciens : Emah OTOU à la contrebasse et Paulo GOUDE au cajon, beatbox et chœur.

Sa résidence dans le restaurant le « Murano » et ses apparitions dans des salles parisiennes ( l’Olympia, la Boule Noire, la Bellevilloise, etc) assoient sa notoriété et prouvent la convivialité de son jeu de scène.

En 2008 SaNGO se produit au Divan Du Monde juste avant Les Nubians. En 2009,il fait la première partie de Ayo puis de Patrice à l’Olympia et au Zénith ainsi. Il assure également celle de William Baldé à « La Boule Noire » en 2010.

Parmi ces moments, on en retiendra certains comme un boeuf mémorable avec Keziah Jones, Jean-Louis Aubert et Lenny Kravitz !

Autant de rencontres que d’inspirations qui affirme la diversité de ses influences Funk, Afro-Soul, Pop et Rythm’n’Blues.

BiographieOriginaire de Douala, SaNGO est le fils de Rudolf James Moukoko, « Prince de la nuit camerounaise » des années 70 et créateur du premier Festival africain de musique à Yaoundé en 1972. Cette année-là, le Festival réunissait les plus grands : Fela, Manu Dibango, André-Marie Tala, Ekambi Brillant, Prince Niko Mbarga, Francis Bébé...

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Autres travaux

- Conception de programmes courts pour la télévision avec macabo production [2010]

- Composition et interprétation de la musique d’une publicité Lipton pour le marché africain [2008].

- Voix dans un clip pour la commémoration de l’abolition de l’esclavage [2006]

« LIPTON YELLOW label film "Africa" »

myspace.com/sangosango

SaNGO (Officiel)

Sur internet

youtube.com/user/sango100go

digg.com/users/sangosango

twitter.com/sangochanteur

- Olympia- La Boule Noire- Casino de paris [Caruso]- Murano- Le VIP room- Royal Turenne- Bellevilloise- Le Matignon

- Zénith de Paris- Olympia

- Le Divan du Monde- Murano- Le Sens- Le Kube- Le 105 feaubourg St Honoré- Le réservoir- Grand café de la poste (Marrakech)

- Espace Montorgueil- Le Man Ray- La scène- L’opus Jazz and Soul Club- Le Jokko- Le Gips- Les Etoiles- Le cithéa- Les Bains- Satellit Café

Paris

St Tropez- Byblos- Club 55- Le VIP room

Les salles

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Success Story   Diaspora   Jeunes talents   

Jeudi 15 Juillet 2010

Dernière mise à jour : 17h37

15 Juillet 1987 : La ville de Yaoundé est transformée en communauté urbaine.

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Le musicien camerounais Sango chante l’amour pour tous Par Luidor NONO N. - 05/07/2010

«Je me suis rendu compte que je ne pouvais plus dissocier ma vie de la musique» 

 

Vous avez plus de 3500 amis sur myspace, pour ceux qui n’y sont pas et qui n’y vont pas, qui est Sango? Je suis camerounais de naissance et d’origine, je vis à Paris depuis près de 25 ans, je fais la musique depuis mon jeune âge. Je devais avoir 10 ans quand j’ai touché à mon premier instrument de musique. J’ai appris à jouer de la basse sur une guitare acoustique. La pratique de la guitare est venue très rapidement pour la composition et l’accompagnement. Pourquoi a-t-on besoin de la guitare pour les compositions? La guitare est l’un des instruments facile à emporter. Une guitare acoustique, on n’a pas besoin de la régler. C’est assez complet comme instrument. On peut arranger des lignes de basse avec une guitare. Ça me semble facile pour composer, placer des accords, etc. Que signifie Sango pour vous? Sango ça veut dire Monsieur en Douala. C’est un petit nom à la base. J’ai un cousin qui m’appelait comme cela quand j’étais petit. Ma mère m’a raconté l’anecdote. Je m’appelle Ndedi Ndolo Jacques Désiré Alexandre, un peu trop long pour un nom d’artiste. Sango, je trouvais que c’était bien.  Lorsque vous arrivez dans les années 80 en France, c’est pour faire quoi? Comme tous les jeunes africains, il était question que je poursuive des études. Moi, j’avais surtout en tête de faire de la musique. Ma mère savait bien que je tournais un peu en rond au Cameroun. A 16 ans à Yaoundé, je m’ennuyais déjà. Ce n’était pas comme actuellement où il y a quelques structures pour encourager les jeunes qui en ont véritablement besoin. Il y a des artistes qui ouvrent des structures pour donner des cours afin que l’on sache lire la musique en Afrique. C’est important quand on veut jouer avec d’autres personnes et on visualise mieux ce que l’on fait. Pour l’instant, il n’y a pas assez de ces structures.

 

Vous veniez suivre quels genres d’études? Des études d’électronique et je puis vous assurer que cela avait un rapport (pour moi) avec la musique. Très rapidement je me suis retrouver seul à m’assumer, les études se sont calmées, il a fallu travailler, faire des petits boulots. Pendant ces années là, ce n’était pas simple ni très facile. Qu’est-ce qui vous décide à vous jeter entièrement dans la musique? J’ai fait un peu de tout et même du journalisme. J’ai été commercial et plein d’autres choses. A chaque fois, force était de constater que je revenais à la musique. Chaque fois que je faisais un écart hors de ce milieu, je constatais que j’étais malheureux malgré les sommes d’argent que je gagnais. Pourtant avec la musique, je gagnais deux ou trois sous, je m’achetais un sandwich et j’étais content. Tout naturellement, je 

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Sango sur scène

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me suis rendu compte que je ne pouvais plus dissocier ma vie de la musique. Comment réagit la famille dans ce cas? Aujourd’hui ça va! L’on s’est rendu compte que ce n’étais pas de la plaisanterie et que c’est fait à un autre niveau. Mon père a découvert mon univers musical il n’y a pas très longtemps. Il n’avait jamais écouté et on en n’avait jamais parlé. Je suis allé chez lui et je lui ai mis les écouteurs sur les oreilles, en lui faisant croire qu’il n’avait pas trop le choix. A mon âge c’était émouvant à regarder. Il hurlait de joie comme un gamin en disant: «tu es un génie mon fils, mais ci, mais ca, … » Et là il m’a finalement dit pourquoi il n’avait jamais cherché à entendre ce que je produisais. Quelles étaient ses raisons? Il avait peur d’être déçu. Mon père est un monsieur qui a organisé un festival africain au Cameroun dans les années 70. Donc il a une idée claire de l’univers musical. Il peut reconnaître le bon grain de l’ivraie. C’est vrai qu’à un moment donné au Cameroun, on a l’impression qu’il n’y a pas de recherche alors que l’on a tant de richesses musicales. Avec le makossa, le bikutsi, l’essèwè, le mangambeu, l’ambas-baie et les autres rythmes du nord-ouest ou du grand nord, on a de quoi faire. Faire du surplace à essayer ce qui fonctionne c’est un peu décevant. J’ai l’impression que l’on se contente parfois de très peu.  Cela n’a rien à voir avec les groupes Tessito ou Sita Lanta? Tessito c’est un groupe de Sénégalais crée par Sali Diouf. Il faisait du «mbala» et moi j’étais le bassiste. Sita Lanta était un groupe «zaïrois» avec lequel j’ai passé de belles années. J’ai joué avec d’autres groupes aussi.

 

De tous les artistes que vous avez accompagnés, lequel vous a marqué? Moi et mon groupe avons travaillé pour M. Quincy Jones. Il est l’homme le plus humble que j’ai jamais rencontré. En l’espace de deux trois rencontres nous nous sommes rapprochés. Il a découvert il n’y a pas longtemps qu’il était bantou du Cameroun. Je croise beaucoup de gens parce que je joue dans des soirées dites privées. Je croise beaucoup de gens et je suis tombé sur Bono de U2. Il est d’une gentillesse … Parmi les artistes camerounais? J’ai joué avec l’artiste musicien compositeur Noël Ekwabi. Il a fait un album récemment avec sa compagne Alvine Ava. En ce qui concerne la communauté, je connais quelques noms, mais je ne suis pas très impliqué. Muntu Valdo, princesse Erika, Django Jacques, Joëlle Esso, Coco Mbassi, les Nubians. C’est bizarre parce que quand vous m’avez parlé d’artistes camerounais, je pense à tous ceux qui sont au pays avec des choses bien précises.  Votre première scène en tant que chanteur quel souvenir gardez-vous? J’étais adolescent et s’était lors d’un concert scolaire. A l’approche de la fête de la jeunesse. J’ai joué un remplaçant de bassiste et j’ai souvent fait des remplacements. L’une des fois qui m’a plus marqué c’est avec M. Ekambi Brillant qui m’a pris sous son aile. Il trouvait que j’avais quelque chose et alors il m’emmenait sur scène avec lui. Pour ma première scène en solo, cela je ne le souhaite à personne. C’était un concert où je devais assurer la première partie du groupe Tessito. Je composais depuis un moment déjà pour des artistes. Là je me suis dit que mes chansons je pourrais les chanter moi-même. Je rencontre une bassiste. Je voulais quelque chose de pas commun. Elle jouait bien mais n’avait jamais fait de la scène et je ne savais pas. A la dernière minute elle se débine en me confiant qu’elle ne peut pas jouer devant tout le monde. Moi, j’avais invité tout le monde. C’était aussi la première fois que j’avais une guitare à la main, un micro devant moi et une bassiste. J’ai trouvé l’image belle les chansons bien arrangées. Tous les musiciens étaient là, mais ils n’avaient pas répétés avec moi. Lorsque ma bassiste m’a lâché c’était la panique à bord. Nous avons produit un grand bordel pour le public qui a apprécié. Moi j’étais très mal et voilà! La musique est un métier où on peut être super bon, mais si on je ne pratique pas on se perd.  Pourquoi avoir attendu si longtemps avant de réaliser votre premier album? Je n’étais pas dans la logique de faire un album. J’écrivais pour des voix et autres artistes. Au fur et à mesure je me suis rendu compte que je prenais beaucoup de plaisir à chanter certains textes moi-même. Voilà pourquoi j'ai décidé d’en faire un. Actuellement, le single «Preuve d’amour» est sur le marché.

 

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Sango et quelques amis

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A quand le Cameroun? En fait, je suis attendu. Mais j’ai besoin que ces invitations soient plus étoffées. L’album sortira ici et après l’on pensera au Cameroun. L’on a d’autres combats là bas. Notamment la piraterie. On comprend bien pourquoi c’est un peu difficile pour les artistes au Cameroun et partout ailleurs en Afrique. Malheureusement c’est après le décès de ma maman que j’ai décidé d’y aller tous les ans. C’est important pour se ressourcer. Pourquoi c’est important? A chaque fois c’est un recommencement quand on n’y va pas souvent. Par contre, c’est juste du suivi que l’on fait quand on y va tout le temps. Psychologiquement ca me fortifie, ça nourrit l’esprit. Cela m’a ouvert les yeux sur certaines réalités et les comparaisons permettent de voir les choses différemment. Dans une chanson à venir, je dis que nous aimons bien copier les choses. Malheureusement, je trouve que l’on ne copie pas les bonnes choses. Ce qui est important pour moi c’est de faire connaître ma musique au Cameroun. J’ai bien compris, que si tu arrives à leur vendre quelque chose alors ta musique passera partout. Vos autres loisirs en plus de la musique? Faire du violoncelle. J’aime faire du cinéma. Avec des amis, nous faisons des programmes courts pour la télévision. La maison s’appelle «Macabo-production.» Pour une fois une personne qui ne parle pas foot! J’aime bien le foot. J’ai de bons amis footballeurs et une coupe du Monde en Afrique c’est parfait pour l’Afrique. Cependant, je ne connais pas le pays et j’étais impressionné par le fait qu’il y a quelques années déjà, sur les passeports on marquait qu’il y avait un pays sur la planète où il était interdit d’y aller. Quant on parle d’Afrique du Sud, on pense à Mandela, à Myriam Makéba. Le rapport musique foot qu’est ce que cela vous inspire? Au Cameroun, il y a le foot et la musique. C’est la culture par laquelle on découvre un pays et le sport a cette faculté d’amener les gens découvrir les pays. 

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Sango sur scène avec les Nubians

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Le chanteur Sango réinvente la soul sur Afrobuzz !V OXA FRICA .COM | 11-05-2010 16:48

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Créa Carib est une association qui réunit des passionnés de musique et d'art et qui organise desconcerts et des expositions qui mettent en valeur la culture afro. Le mois dernier Créa Carib aorganisé le « Misik'Art », un show qui allie art et musique ! En marge de cet événement, Afrobuzz arencontré Gary , un artiste peintre d'origine haïtienne et le chanteur camerounais Sango, qui v ient desortir son premier single « Preuves d'am our » ! Pour plus d'informations, surfez sur le site :www.crea-carib.webs.com/ www.my space.com/sangosango / www.netlog.com/gary legrandLes Neg'Marrons Jacky et Ben J sont de retour sur Afrobuzz avec leur tout dernier titre « Jeux dejam bes » issus de l'album « Les liens sacrés »! N'hésitez pas à v isiter leur site internet : www.neg-marrons.com!

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Sa la m a Ma da g a sca r !Le 2 6 ju in der n ier , la Répu bliqu e deMa da g a sca r fêta it ses 5 0 a n sd’In dépen da n ce

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