Dossier de presse - Vannes photos festival · 2019. 3. 25. · metal français, Loudblast. L’exposition propose une sélection d’images de leur quotidien, de leur tribu, des backstages

Dossier de presse

2019

LA PHOTOGRAPHIE ET LA MUSIQUE

Dossier de presse 2019

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La photographie et la musique, quoi de plus difficile que de représenter des sons, des vibrations, des mélodies par des images muettes ? Pourtant depuis la naissance de la photographie, ses auteurs s’y essayent en captant les instruments, les musiciens, leurs gestes, leurs regards, leurs mains, leur énergie… Elle permet de fixer un instant et de donner une dimension éternelle à un moment éphémère.

La photographie est aussi très utile aux musiciens, leur permettant de se faire connaître, de paraître dans les magazines mais surtout d’illustrer leurs cd et vinyls. Les plus grands photographes s’y sont essayés créant des pochettes de disques inoubliables. De nombreux passionnés de musique ou musiciens ont fait le chemin inverse et se sont mis à la photographie comme Patti Smith ou Lenny Kravitz.

Les expositions présentées lors du Festival seront différentes par les styles musicaux (musique classique, jazz, rap, hard rock, chanson française, musique traditionnelle…) mais aussi par l’approche photographique allant du portrait aux photos de concerts en passant par le reportage, la photographie plasticienne et des procédés anciens.

Bon festival à toutes et à tous.

Dominique Leroux Directeur artistique du festival

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Portraitiste des stars, sous l’œil de Richard Dumas l’élégance se teinte de mystère, offrant des visages intemporels, un brin insaisissables à l’image de ces célébrités. Il en résulte des portraits captivants : Keith Richards dans un nuage de fumée, Miles Davis au contraste marqué ou Miossec énigmatique et tout en douceur... Photographe de Bashung ou de Daho dont il a été le premier guitariste, ses images dévoilent bien l’importance de la rencontre, du lien qui se crée entre le photographe et son sujet dans la réalisation d’un portrait intimiste. Mais avant d’être portraitiste, Dumas est photographe. Sa profession ? Amateur, au sens de celui qui aime. Qui éclaire et qui dévoile.

Aux influences multiples, de la littérature au cinéma, ses portraits content des paysages, comme pour mieux percer l’invisible. On y retrouve aussi, quelque part, un peu de l’ébullition du rock rennais dont il est issu.

Né en 1961, Richard Dumas collabore avec les grands titres de la presse française, Libération, Le Monde, Les Inrocks, ou encore Télérama, qui publient ses portraits des personnalités du monde du spectacle, de la musique et du cinéma. Il est aussi représenté par la prestigieuse Agence Vu.

Au cœur des grands espaces ou sous un œil plus intimiste, Nikolaj Lund dévoile la musique classique sous un jour inédit et surprenant. Souvent représentés avec beaucoup de sérieux, les artistes classiques évoluent ici en symbiose avec leurs instruments, dans des mises en scène insolites et décalées où sont défiées la loi de la gravité ou encore les conditions météorologiques. En concertiste aguerri, la partition photographique se doit d’être vivante et harmonieuse. Avec sensibilité, la relation particulière qu’entretient le musicien avec son instrument est disséquée, déployée, puis sublimée. Nikolaj Lund la donne à voir, la donne à entendre, à travers une démarche tant naturaliste que surréaliste.

Après une carrière de violoncelliste pendant 20 ans, le photographe danois commence à immortaliser ses anciens compagnons de scène avant de photo-graphier les grands noms de la musique classique. En se laissant porter par les musiciens et leur environnement pour prendre ses images, il s’attache à saisir la relation intime reliant l’Homme et son instrument, mais aussi l’Homme et la nature. Une démarche unique pour laisser s’exprimer leur musique intérieure.

RICHARD DUMAS Best of !

NIKOLAJ LUND Everybody Loves Classical Music

Miles Davis, 1999 © Richard Dumas, courtesy Polka Galerie© Nikolaj Lund


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Le rap, tout un univers avec sa propre culture. Divergence propose une plongée dans le temps, des débuts du rap marseillais et parisien avec notamment les incontournables IAM et NTM, ou encore Oxmo Puccino, jusqu’aux groupes plus récents comme Big Flo et Oli. On retrouve ces artistes en dehors des concerts, à travers des portraits réalisés en studio, mais aussi appréhendés dans leur environnement direct. Une sélection qui dévoile l’évolution du genre sur les 25-30 dernières années et sa popularité grandissante. Et comme la culture rap dépasse largement sa musique, le collectif fait aussi place à la danse hip hop, notamment ses battles.

Association de photographes, Divergence rassemble aujourd’hui plus de 110 professionnels et est devenue une importante plateforme pour la presse et l’édition avec des publications régulières dans Le Monde, Libération, le JDD et autres noms de la presse nationale et internationale. Beaucoup de photoreportages, mais aussi une ouverture sur différentes écritures photographiques. L’objectif est de proposer une alternative aux agences en proposant une réelle indépendance, en mutualisant les coûts et en permettant aux photographes de gagner 100%de leurs ventes. À Vannes, ils fêtent leurs 15 ansavec ce projet collectif très rassembleur.

Le concert comme si on y était. Mathieu Ezan a à cœur de saisir ces perles de scènes sans oublier une rigueur quasi maniaque de la prise de vue. Très inspiré par le cinéma, il aime les images qui racontent une histoire et ne semblent pas s’arrêter à la fixation d’un moment. Ses portraits plus posés auront la même exigence. Ayant beaucoup pratiqué les scènes de metal, sillonné les festivals et notamment celui des Vieilles Charrues, il montre un large panel de la musique d’aujourd’hui, du rap à l’électro, en passant par le rock. À l’image du photographe, la sélection dévoile l’éclectisme de ses goûts, mais aussi les liens d’amitié qu’il a pu créer avec les groupes qu’il suit depuis plusieurs années.

Photographe officiel de nombreux festivals, sa capture saisissante des ambiances où transpire la musique l’ont vite rendu incontournable. L’enfant du pays a choisi de rester en Bretagne, quitte à se déplacer à Paris pour honorer ses contrats ou les faire venir à lui. S’il a démarré par la photographie en 2009, la vidéo a progressivement pris le dessus.

Mathieu Ezan a réalisé de nombreux clips qu’il conçoit comme de véritables courts-métrages. Aujourd’hui, c’est l’appel d’un long métrage qui lui donne des fourmis dans les jambes… Affaire à suivre !

DIVERGENCE Rapattitude(s)

MATHIEU EZAN Patience

Saul Williams © Camille Millerand

Headcharger, 2017 © Mathieu Ezan


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Photographes des stars, leurs clichés ont marqué l’histoire de la musique. Dominique Tarlé, Guy Le Querrec, Jean-Pierre Leloir, Pierre Terrasson, Claude Gassian, Tony Frank, Bruno Ducourant, sont réunis pour la première fois. Des années 40 à nos jours, ils offrent une sélection d’images mythiques et plus confidentielles, en faisant la part belle à de nom-breuses pépites des années 60 et 70. Alain Bashung, Edith Piaf, Miles Davis, Barbara, Jim Morrison, Chuck Berry, The Beatles, Louis Armstrong, The Clash… Incontournables mais aussi moins connus, les photographes dévoilent leurs coups de cœur qui parlent tant de l’artiste illustré, du photographe, que du tireur qui les sublime.

Ils sont fondateurs de Salut les Copains ou encore de Rock & Folk. Les plus grands musiciens de variétés françaises et internationales, mais aussi de rock, de pop, de jazz, sont passés devant leurs objectifs. À l’origine de cette exposition, Thomas Consani, l’homme de l’ombre, leur tireur depuis plus de 18 ans. Il les réunit ici dans une production du laboratoire Dupon-Phidap. Elle est présentée pour la première fois à Vannes avant de rejoindre en grandes pompes les locaux de ce dernier en juin.

Wynton Marsalis, Elvin Jones, Ravi Coltrane, RoyHargrove, c’est toute l’histoire du jazz, d’hier à aujourd’hui, qui vit dans cette série que Philippe Lévy-Stab alimente depuis 35 ans, tel un insatiable collectionneur. Pour représenter ces légendes, le photographe a usé de beaucoup de patience et agit en véritable puriste du genre. Certains musiciens à la carrière très confidentielle ne sont connus que des spécialistes et ne passent pas les frontières amé-ricaines. C’est au cœur du berceau du jazz qu’il est allé les chercher, avec des scènes de rues saisies en plein New-York, comme pour ne pas les déposséder de leurs vibrations. Certaines auront été prises en France, dans un club parisien ou un festival de jazz,

sans pour autant perdre de cette âme new-yorkaise.

Dans un couloir mal éclairé, au milieu de la nuit, la photo de ces rois de l’improvisation est presque à voler tant seule la musique compte. Philippe Lévy-Stab les dévoile à travers de magnifiques argentiques, aux noirs profonds, saisissant leurs personnalités dans une recherche documentaire devenant quête de vérité. Ces clichés traversent le monde dans une multitude d’expositions et publications prestigieuses, de Paris à New-York, en passant par San Francisco, Washington, Londres, Taïwan, Lausanne...

BRUNO DUCOURANT TONY FRANK / CLAUDE GASSIANGUY LE QUERREC / JEAN-PIERRE LELOIR / DOMINIQUE TARLÉ PIERRE TERRASSON Des notes en photos

PHILIPPE LÉVY-STAB Jazz, the sound of New York

Jimi Hendrix Experience, Royal Albert Hall, Londres, 1969 © Dominique Tarlé

Hank Jones - Birdland, 2008 New York © Philippe Lévy-Stab


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Le heavy metal, plus qu’un genre musical, une famille. C’est sur cet aspect communautaire que tournent les projets de Moland Fengkov. La sélection d’images qu’il propose est tirée de trois principaux travaux dévoilant le heavy metal sous différents angles : le Hellfest, le groupe Loudblast et la croisière 70 000 Tons of Metal. Avec sa propre identité et ses propres règles, le camping du Hellfest ne ressemble à aucun autre. À travers lui, on retrouve un reflet de ce qui fait le succès d’un des plus grands festivals du pays : son ambiance. Pendant deux ans, Moland Fengkov a suivi le plus vieux groupe de death metal français, Loudblast. L’exposition propose une sélection d’images de leur quotidien, de leur tribu,

des backstages. Enfin, en février 2018, il est monté à bord du festival flottant : 70 000 Tons of Metal. Cinq jours en mer des Caraïbes avec 3000 metalleux, 60 groupes et 5 scènes pour une croisière improbable et bon enfant.

Moland Fengkov est photojournaliste depuis 8 ans. S’il travaille sur de nombreux sujets allant de la politique à l’écologie, il connaît bien les codes du metal, une thématique qu’il affectionne et qu’il explore depuis longtemps. Ses travaux ont été exposés aux festivals Visa pour l’Image ou encore Barrobjectif.

Donner à voir la musique… En utilisant le procédé du collodion humide, Mélanie-Jane Frey offre une manière presque palpable et charnelle d’entendre les ondes sonores. Les accidents de révélateur associés au choix du sujet et aux mouvements donnent en effet la sensation que la musique se joue devant l’observateur. à l’aide d’un temps de pose long, l’instrument prend vie, accompagné des mouvements de celui qui fait naître les sons. Par ensemble de trois à cinq images, les plaques sont associées pour former une même partition.Cello, cette première série consacrée au violoncelle, est constituée de 23 ferrotypes réalisés en 2016.À Vannes, il ne s’agira pas de tirages, mais des

véritables plaques d’aluminium de ce procédé photographique très ancien.

Pendant 20 ans, la photojournaliste a sillonné la planète en quête d’images pour la presse française et internationale. Photographie politique, portraits de personnalités, grands reportages, sa formation d’historienne et d’artiste lui fait toucher de nombreux sujets de société. Aujourd’hui elle se consacre aux techniques anciennes. Celle du collodion humide, par son procédé lent et capricieux, oblige à ralentir, à écouter un langage plus poétique et se laisser imprégner par sa musique.

MOLAND FENGKOV « Hellway to heaven »

MÉLANIE JANE FREY Cello

Spectacle de Pyrohex, dans l’espace VIP du Hellfest Open Air Festival. Clisson, France, juin 2015 © Moland Fengkov

© Mélanie Jane Frey


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Une image peut-elle avoir un son ? Silencieuse par nature, peut-on y faire naître des sonorités, ne serait-ce qu’un chuchotement, un bruissement d’âme… Benjamin Deroche, photographe plasticien des plus prometteurs de sa génération, s’est penché sur la question. Toujours en quête du silence absolu dans ses créations, il était bien l’artiste le plus à même de se pencher sur cette question. À travers diverses installations, il est parti en quête sonore au cœur des paysages, des textures, des sensations. Interroger le son et le silence par la saisie d’une luminosité parfaitement calculée, par une suggestion faite à l’observateur… jusqu’à l’absorber complètement dans un échange quasi méditatif.

Benjamin Deroche vit entre Paris et Brest où il a étudié la photographie. Très inspiré par la philosophie asiatique, son approche du paysage et du land art en est pleinement imprégné. Ses photographies réalisées au moyen format représentent, au final, la seconde œuvre après la création physique flottant dans un arbre, au bord d’une rivière…

Coté par ArtPrice, il dénombre déjà de nombreuses expositions prestigieuses comme le Festival de La Gacilly, les Rencontres photographiques d’Arles, Paris photo, la Fiac, ou encore Photo London.

BENJAMIN DEROCHE Composite

East river, New York @ Benjamin Deroche

St Pierre et Miquelon et mer Baltique @ Benjamin Deroche

LES ASSOCIATIONS VANNETAISES


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L’association Contraste pose un regard intimiste sur le musicien, le musicien ordinaire et méconnu. C’est un voisin, un membre de la famille, un ami, qui joue ou apprend discrètement de son instrument. Dans son salon, son garage, un atelier, seul ou en famille, chacun vit la musique à sa manière. Les photographes sont allés saisir ces moments privilégiés dans l’environnement qui est le leur, un endroit qui leur ressemble et où ils aiment jouer. L’enjeu est alors de se faire oublier pour retranscrire au mieux cette relation intime entre le musicien et son instrument.

Contraste, né en 1968, compte 70 photographes qui se réunissent chaque semaine avec la même envie de partager. Chaque mercredi le club se retrouve autour d’une thématique (commenter des photos, recevoir un photographe, aborder un point technique…), perfectionne le développement d’images les jeudis, tandis que les fondamentaux sont repris les mardis, alors que les adeptes de l’argentique s’affairent dans la salle voisine. En parallèle, de petits groupes œuvrent sur des projets qui déboucheront sur une exposition ou un livre.

CONTRASTE Répète un peu !

© Contraste

Il nous faudra la secouer, la froisser, la déchirer pour en extraire un son… La photographie reste silencieuse par essence, alors comment le démentir ? C’est la question que se sont posée les membres du collectif vannetais In Visu. Avec Sounds of Silence, les pho-tographes ont choisi d’allier le visuel aux sensations afin de suggérer des sonorités. À travers diverses situations, l’observateur est invité à se laisser porter et surprendre par le son qui, par-delà les frontières de la matière, peut l’atteindre, non par l’intermédiaire de l’ouïe, mais de la vue.

In Visu est un regroupement de huit photographes amateurs et professionnels. Le collectif se réunit chaque semaine avec pour objectif de mener à terme les projets artistiques de ses membres. Ils unissent ainsi leurs forces et leurs regards afin de matérialiser un travail d’auteur vers une exposition ou une publication. Créé il y a près de 8 ans, In Visu participe aussi aux divers évènements de la vie vannetaise à travers des expositions ou encore la co-gestion de la galerie Les Bigotes.

COLLECTIF IN VISUSounds of Silence

© Collectif In Visu - Cédric Wachthausen


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Trouver un angle nouveau pour aborder la musique bretonne, c’est le challenge auquel se sont attelés les membres du club photo de l’IUT de Vannes. Musiciens, danseurs, costumes, comment proposer un regard neuf sur un sujet incontournable dans la région et mille fois photographié ? Les volontaires l’ont pris comme un exercice, une occasion de sortir de leur zone de confort. Au-delà des scènes saisies lors d’évènements, les photographes ont aussi poussé la porte d’un fabricant d’instruments traditionnels. Ils offrent par ailleurs une séance de photos studios en collaboration avec les bagads de Theix et de Baden, en osant un choix de lumière très contrastée et des angles variés.

L’association Club Photo IUT Vannes compte 70 membres qui se réunissent chaque semaine. Les lundis sont consacrés à une approche technique autour des prises de vue, des cadrages, de la manipulation des appareils ou encore du traitement d’image. Les mercredis laissent chacun se dévoiler autour d’une thématique, d’un sujet de prédilection. Dans les deux cas, une heure est consacrée à la lecture d’image, garant d’un œil aiguisé.

Et si les biligs étaient des platines de disques et les casseroles des percussions ? Avec l’exposition Détours InSOLites, les membres de l’atelier photo de l’association GEM (Groupement d’Entraide Mutuelle) Vannes Horizons invitent à dépasser les frontières de la perception. Sous leur regard, les objets du quotidien se font instruments pour un surprenant voyage musical.

À travers une série de triptyques, chaque « détour » est mis en scène, mis en lumière, mis en mouvement, recréant une ambiance sonore étonnante et très convaincante.

CLUB PHOTO IUTDe la musique bretonne plein les yeux

© Club Photo IUT © Gem Vannes Horizons

GEM VANNES HORIZONSDétours InSOLites

Hôtelde ville

HÔTELDE LIMUR

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Jardinsdes remparts

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BASTION DE GRÉGUENNIC

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CathédraleMusée dela Cohue

LE KIOSQUE

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Les photographies sont libres de droit pour la promotion du festival dans la presse. Le format de l’image ne devra pas dépasser un quart de page et l’image ne devra pas être recadrée ni modifiée sans autorisation préalable.

Les images peuvent uniquement être utilisées pour la promotion de Vannes Photos festival. Chaque photographie devra être accompagnée du crédit photographique correspondant Pour toute autre utilisation, ou pour l’utilisation d’autres photographies, merci de contacter directement Julia Fouquet :

[email protected] 02 97 01 60 19

www.vannesphotosfestival.fr/pratique/espace-presse/

LES LIEUX

LE KIOSQUE Rive droite du portRichard Dumas ESPLANADE SIMONE VEILNikolaj LundCollectif Divergence BASTION DE GRÉGUENNIC + HALLE AUX POISSONS Place de la PoissonnerieMathieu Ezan CHÂTEAU DE L’HERMINE 6, rue de la PoterneExposition collective

HÔTEL DE LIMUR 31 rue ThiersMélanie Jane FreyBenjamin DerochePhilippe Levy StabIn VisuContrasteClub Photo IUT Vannes JARDIN DE LIMUR31, rue ThiersMoland Fengkov RUE RICHEMONT Gem Vannes Horizon

Du 12 avril au 12 mai 2019Gratuit

ANIMATIONS ENFANTS

Ateliers photographie (de 7 à 12 ans)

Mercredi 17 avril « Découverte et appréhension de l'appareil photo numérique »Vendredi 19 avril« Initiation à la prise de vue photographique »Mercredi 24 avril « Découverte et appréhension de l'appareil photo numérique »Samedi 27 avril« Initiation à la prise de vue photographique »

De 10h à 12h3,50 € - Hôtel de Limur - 31 rue ThiersRéservations auprès de la direction de l’événementiel02 97 01 62 34

VISITES GUIDÉES

Regards croisés photographies et patrimoineAnimés par un guide-conférencier du service musées-patrimoine de la ville de Vannes et l’association Contraste.Samedis 20, 27 avril, de 15h à 17hSamedis 4 et 11 mai, de 15h à 17hDimanche 5 mai, de 15h à 17hGratuit

« Croquez Vannes »Un peu de patrimoine entre midi et deux, à la pause déjeuner ? Un guide-conférencier vous raconte l'histoire du Bastion de Gréguennic…Jeudi 9 mai à 12h45 Gratuit

Visite adaptée de l’Hôtel de LimurDans le cadre des Journées nationales du handicap, l’Office de Tourisme Golfe du Morbihan Vannes Tourisme propose une visite adaptée de l'Hôtel de Limur en partenariat avec le service musées-patrimoine de la ville de VannesSamedi 27 avril à 17hHôtel de Limur - 31 rue ThiersGratuit sur réservation (Limité à 25 personnes)Informations : www.golfedumorbihan.bzh Réservations au 02 97 47 24 34 ou 02 97 53 69 69Visites à destination des personnes à mobilité réduite, mal marchantes et malentendantes. Accompagnant accepté.

BOUTIQUE OFFICIELLE DU FESTIVAL

Boutique ouverte au Kiosque - Rive droite du port La carte postale : 1€ / Le livret visiteur : 2€ / Le carnet : 3€ / Le tote bag : 5€ / L’affiche format 40x60 : 10€

RENCONTRES

Visites des expositions en présence des photographesDimanche 14 avril toute la journée GratuitEn partenariat avec l’association Contraste.Heures et contenus des visites à retrouver sur le site www.vannesphotosfestival.fr ainsi que sur les sites d’exposition.

Apéro-rencontre autour de l’exposition Rappatitude(s)Avec l’association Divergence et Dominique Leroux, directeur artistique du Festival.Mardi 30 avril à 18hGratuit Esplanade Simone Veil - Rive droite du port.

CONCERTS

Laurent Coulondre Trio Hommage à Michel PetruccianiSamedi 27 avril à 20h La Nuit Jazz en villePalais des arts et des congrèsPréventes sur les réseaux habituels. Billetterie sur place le soir-même.

Tradi'deizDimanche 14 avril 17h30Défilé de danseurs et de musiciens bretons dans le centre-ville. Danse des mille dans le jardin des remparts.

EXPOSITION À DÉCOUVRIR

« De l'image au son »Exposition photos proposée par les étudiants de l’UBSDu 23 avril au 12 mai. Ouvert de 9h à 18hDans le hall de la Faculté de Droit, Sciences Économiques et Gestion (DSEG) Campus de TohannicGratuit

HORAIRES D’OUVERTURE DES SITES D'EXPOSITIONS

Du lundi au vendredi de 13h à 18h.Les week-end et jours fériés de 10h30 à 13h30 et de 14h30 à 18h. Le Kiosque : ouvert tous les jours 10h-12h / 13h-18h.

Toutes les expositions sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, excepté le Bastion de Gréguennic.

Entrée libre sur l'ensemble des sites d'expositions

Organisation Ville de Vannes Pôle Animation - Direction de l’événementielTél. 02 97 01 62 30 - [email protected]

www.vannesphotosfestival.fr

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