du 1er au 15 décembre 2016 Drancy
Coupe de France de foot : tous supporters de la JAD p.13
L’ égalité des chances : une priorité
AgendA
Un peU plUs tard...
Jusqu’ au lundi 5 décembre • salon du livre Une invitation vous
était offerte dans Drancy immédiat n°328 p .15. Montreuil
Jusqu’ au vendredi 16 décembre • préinscriptions séjours d’ hiver
pour les 6-17 ans Sur sejours.drancy.fr ou directement au service
municipal de la Jeunesse. 01 48 96 39 20 -
[email protected] 117,
avenue Sadi Carnot
Jusqu’ au jeudi 22 décembre • exposition Avec Shelomo Selinger, au
Mémorial de la Shoah : de la conception à la réa- lisation du
Mémorial national du camp de Drancy. www.memorialdelashoah.org de
10 h à 18 h, tous les jours sauf vendredi et samedi, Mémorial de la
Shoah, avenue Jean Jaurès
Jusqu’ au samedi 31 décembre • exposition Le centenaire de la
guerre 14 - 18 (p. 3). du mardi au dimanche, de 12 h à 17 h,
château de Ladoucette
Jeudi 1er décembre • spectacle Marie-Hélène Féry, 14 - 18 en
chansons. Tarif : 10 € 20 h 30, Espace culturel du parc
Vendredi 2, samedi 3 et dimanche 4 décembre
• téléthon (p. 12).
Samedi 3 décembre • Théâtre L’ éventail de Lady Windermere.
Tarifs : 24 € / 21 € / 16 € 20 h 30, Espace culturel du parc •
Basket (seniors hommes) USBD / Espérance Bourg-la-Reine. 20 h 30,
gymnase Régis Racine
doctor strange Doctor Strange suit l’ histoire du Doc- teur Stephen
Strange, talentueux neu- rochirurgien qui, après un tragique
accident de voiture, doit mettre son égo de côté et apprendre les
secrets d’ un monde caché de mysticisme et de dimensions
alternatives. Basé à New York, dans le quartier de Greenwich
Village, Doctor Strange doit jouer les intermédiaires entre le
monde réel et ce qui se trouve au-delà, en utlisant un vaste
éventail d’ aptitudes métaphysiques et d’ artefacts pour protéger
le Marvel Cinematic Universe. Dimanche 4 décembre à 15 h et 17 h
30, mardi 6 dé- cembre à 20 h 30. Film américain. Genre :
fantastique, actions. De Scott Derrickson avec Benedict Cumber-
batch, Chiwetel Ejiofor, Tilda Swinton
la folle aventUre de max et léon Les aventures de Max et Léon, deux
amis d’ enfance fainéants et bringueurs, qui tentent par tous les
moyens d’ échap- per à la Seconde Guerre mondiale. Mercredi 7
décembre à 14 h 30 et 20 h 30, dimanche 11 décembre à 15
h, mardi 13 décembre à 20 h 30. Film français. Genre :
comédie, guerre. De Jonathan Barré, avec David Marsais, Grégoire
Ludig, Alice Vial
Pas de séance dimanche 11 décembre à 17 h 30
les anImaUx fantastIQUes New York, 1926. Le monde des sorciers
est en grand danger. Ignorant tout du conflit qui couve, Norbert
Dragonneau débarque à New York : il a répertorié un bestiaire
extraordinaire de créatures fantastiques dont certaines sont
dissimulées dans les re- coins magiques de sa sacoche en cuir - en
apparence - banale. Mais quand Jacob Kowalski, Non-Maj’ qui ne se
doute de rien, libère accidentellement quelques créatures dans les
rues de la ville, la catastrophe est imminente. Mercredi 14
décembre à 14 h 30 et 20 h 30, dimanche 18 décembre à 17 h 30,
mardi 20 décembre à 20 h 30. Film américain et britannique.
Genre : fantastique, aven- ture. De David Yates, avec Eddie
Redmayne, Katherine Waterston, Dan Fogler
cIgognes et compagnIe À partir de 3 ans Pendant longtemps, les
cigognes livraient les bébés. Désormais, elles acheminent des colis
pour un géant de l’ Internet. Junior, coursier star de l’
entreprise, s’ ap- prête à être promu. Mais il actionne
accidentellement la Machine à Fabriquer les Bébés... qui produit
une adorable petite fille, en totale infraction avec la loi !
Junior se précipite pour effectuer sa toute première li- vraison de
bébé. Pourra-t-il redonner aux cigognes leur vraie mission ?
Dimanche 18 décembre à 15 h, lundi 19 décembre à 15 h et mardi 20
décembre à 15 h. Film : américain.
Genre : animation, comédie, famille. De Nicholas Stol-
ler, Doug Sweetland, avec Florent Peyre, Bérengère Krief, Issa
Doumbia
cinéma Du 4 au 20 décembre
Dimanche 4 décembre • foot US Alençon / JAD Foot (p. 13). 14 h 30,
départ en car à 10 h (sur réservation)
5, 6, 7, 8, 9 et 12 décembre • spectacle offert aux retraités par
la ville et le ccas À l’ issue de la représentation, les retraités
pourront retirer leur colis de fin d’ année (p. 11). 14 h, Espace
culturel du parc
Mercredi 7 décembre • Cinéma En attendant la fin de l’
hiver (p. 3). 14 h 30, médiathèque Gaston Roulaud
Vendredi 9 décembre • concert U’ N’ I (p. 4). Tarif : 10 € 20
h 30, Espace culturel du parc
Samedi 10 et dimanche 11 décembre • téléthon (p. 12).
Samedi 10 décembre • collecte solidaire Eco-systèmes, en
partenariat avec la ville, récupère vos déchets électriques et
électroniques. de 9 h à 13 h, à l'angle de l'avenue Henri Barbusse
et de la rue Raymond Bertout, à proximité du marché • Basket
(seniors hommes) USBD / CTC Vanves Meudon. 20 h 30, gymnase Régis
Racine
Dimanche 11 décembre • Basket (seniors femmes) USBD / BC
Franconville Plessis 3. 15 h 30, gymnase Régis Racine • Rink-hockey
8e de finale de la Coupe de France (p. 14). 20 h 30, gymnase
Liberté, 31, rue Henri Langlois
Mardi 13 et mercredi 14 décembre • préinscriptions aux sorties des
retraités (p. 11). de 9 h 30 à 11 h 30 et de 14 h à 17 h, salle
Louis Méret et Maisons des services publics
Jeudi 15 décembre • Conseil municipal 20 h 30, salle du
Conseil
Vendredi 16 décembre • vacances Début des vacances scolaires.
Reprise mardi 3 janvier 2017. • soirée Le stade nautique
propose une soirée zen. de 18 h à 21 h, stade nautique, 37,
boulevard Paul Vaillant Couturier Sur inscriptions, sur place, à
partir du 5 décembre
Samedi 17 décembre • foot Championnat de France (CFA) : JAD
Foot / Fleury 91. 18 h, stade Charles Sage
Dimanche 18 décembre • Animations de Noël de 8 h 30 à 13 h, marché
des Quatre Routes
12.11 > 31.12.2016Château de Ladoucette Exposition Drancy
14-18
www.drancy.net
2 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
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Exposition
Comme en 14 L’ exposition consacrée à la Grande Guerre se poursuit
au château jusqu’ à fin décembre. Prenez le temps d’ y faire un
tour.
DANS LES MÉDIATHÈQUES Contes de Noël
Samedi 3 décembre Le Père Noël venu du Nord, par Caroline Castelli
- à 10 h 30, médiathèque Gaston Roulaud - à 15 h, médiathèque Bois
de Groslay Samedi 10 décembre Noël d’ un autre genre, par l’ Eki
Compagnie - à 10 h 30, médiathèque Économie - à 15 h,
médiathèque Avenir Mercredi 14 décembre Julie et le livre
magique, par la compagnie Nomades - à 16 h, médiathèque Georges
Brassens
et d’ autres contes... Les mercredis et samedis Heure du conte,
“tout conte fait” - à 15 h, médiathèque Georges Brassens
Courts métrages • pour les adultes Samedi 17 décembre à 15 h,
médiathèque Georges Brassens Le meilleur du court Ennemis
intérieurs de Selim Azzazi, Ghost d’ Antoine Delacharlery, Le repas
dominical de Céline Devaux, Madam Black de Mat- thew Harris,
Réplique d’ Antoine Giorgini à partir de 14 ans Pour faciliter la
venue des parents, des programmes pour enfants seront dif-
fusés en section jeunesse pendant la pro- jection.
• pour les enfants Mercredi 7 décembre à 14 h 30,
médiathèque Gaston Roulaud Samedi 17 décembre à 14 h,
médiathèque Avenir En attendant la fin de l’ hiver Novembre de
Marjolaine Perreten, Des pas dans la neige de Makiko Sukikara,
Histoires d’ ours de Mikhail Aldashin, Avec l’ arrivée de l’ hiver,
Léo se transforme en lion des neiges de Pal Toth, Flocon de neige
de Natalia Chernysheva à partir de 3 ans
Samedi 17 décembre à 16 h, médiathèque Avenir À table ! Le
chapeau à surprise de Georges Mé- liès, The fresh lobster, Le génie
de la boîte de raviolis de Claude Barras, Illustration :
compostage d’ Elise Auffray, La soupe au caillou de Clémentine
Robach, Fatty Cui- sinier de Roscoe “Fatty” Arbukle à partir de
5 ans www.lafeteducourt.com
Ateliers informatiques Samedi 3 décembre Initiation à Powerpoint de
10 h à 11 h 15 Mercredi 7 décembre Découverte du site Internet des
médiathèques de 10 h à 10 h 45 médiathèque Georges Brassens
mediatheques.paristde.fr Adresses des médiathèques Georges
Brassens : 65, avenue Marceau Avenir : place de l’ Amitié
Économie : 29, rue Dominique Roberty Gaston Roulaud :
118, rue Roger Salengro Bois de Groslay : rue des Bois de
Groslay
CONSERVATOIRE Musique classique
Par les élèves Dimanche 11 décembre Concert de fin de stage de l’
orchestre d’ harmonie à 19 h, Espace culturel du parc Vendredi 16
décembre Prélude de Noël à 20 h 30, Espace culturel du parc
Brèves
Des collégiens de Pierre Sémard visitent l’exposition.
Au début de la guerre, les militaires français portaient un
pantalon rouge, c’ est-à-dire un uniforme idéal pour se retrouver
dans le viseur ennemi. C’ est un soldat grandeur nature qui
accueille les visiteurs de l’ expo- sition drancéenne. En le
regardant, avec son barda de plus de 20 kilos, on comprend que l’
armée française venait d’ aborder la pre- mière guerre moderne
(armes chimiques, tanks, aviations...) avec des stratégies totale-
ment dépassées. Ce fut un carnage chez tous les protagonistes du
conflit.
Cette guerre a été maintes fois racontée. Elle fit longtemps partie
du grand récit français où s’ entremêlent sacrifices, honneur et
dra- peaux. Une histoire de boue et de baïon- nettes, de carnets
quotidiens où des gradés notaient, chaque soir, les noms de paysans
moustachus morts ou blessés au combat. Il a fallu de longues
décennies pour que cette histoire pleine de souffrances humaines
prenne le pas sur la grandeur de généraux. Cette exposition est en
cela passionnante. Elle mélange judicieusement nos livres d’
histoire et des destins individuels, ceux de Drancéens qui
partirent au front. 348 d’ entre eux, dont 105 de moins de 25 ans,
n’ en revinrent pas. Rappelons qu’ en 1911, il n’ y avait que 4200
habitants à Drancy. De nombreux objets sont aussi exposés, comme
des douilles de bombes gravées à la main par des soldats qui
cherchaient à passer le temps et recycler la laideur en productions
artistiques. La guerre de 14-18 est au programme d’ his- toire,
notamment au collège en classe de 3e. C’ est donc naturellement
pour ces collé- giens qu’ est organisé un grand nombre de visites
guidées. Ils peuvent ainsi toucher du doigt la réalité de ce
conflit qui a marqué les mémoires. Drancy 14-18 Conçue
et réalisée par la Société Dran- céenne d’ Histoire et d’
Archéologie, le Papy- rus drancéen, Mémoire de l’ Est parisien, l’
association Jeunesse Préhistorique et Géo-
logique de France du Bourget et la commune de Drancy dans le cadre
des commémora- tions du centenaire de la Grande Guerre.
Jusqu’ au samedi 31 décembre Entrée libre Du mardi au dimanche de
12 h à 17 h château de Ladoucette
- Atelier “écriture à la plume” - Visite guidée et commentée par
les as-
sociations Le Papyrus drancéen et la Société drancéenne d’ histoire
et d’ ar- chéologie (SDHA)
- Jeux animés par la Société des Amis du Musée de la Grande Guerre
de Meaux Animations gratuites samedi 3 décembre à 15 h
Les animations
Il fallait bien soutenir le moral des troupes et de celles et ceux
qui, à l’ arrière, guet- taient le passage du facteur pour recevoir
des nouvelles du front. Alors, en atten- dant, on chantait. Et
puisque, juste avant- guerre, la mode était aux chansonniers et aux
paroles légères, on a simplement adapté le genre à la rudesse de l’
époque. C’ est ainsi que naquit un drôle de style, entre chansons à
boire et soutien aux ar- mées qui allait perdurer longtemps
après
la fin de la guerre avec le comique troupier. Après tout, la
plupart des soldats mobilisés étaient de simples paysans qui, pour
beau- coup, n’ avaient pas été à l’ école. Il fallait donc leur
envoyer des clins d’ œil de l’ ar- rière qui, le temps d’ une
chanson, leur faisaient oublier l’ horreur du quotidien. La Madelon
venait leur servir à boire, et même si ce n’ était qu’ un rêve, c’
était déjà ça de pris. La toute jeune Frehel faisait ses débuts.
Les chanteuses acquirent alors un
tout nouveau statut qui, peu à peu, les éloi- gna des courtisanes
du music-hall. Marie-Hélène Féry interprète ce réper- toire, haut
en couleurs, qui a tant marqué nos aïeux.
Jeudi 1er décembre à 20 h 30 Tarif unique : 10 € Espace
culturel du parc Billetterie sur place www.mariehelenefery.fr
14-18 en chansons
CULTURE
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Culture
Au départ, c’ est l’ histoire d’ une amitié musi- cale qui débute
entre Valérie, la chanteuse, et Laurent, auteur, compositeur et
guitariste, en 2009, pendant le spectacle Drancy, au Fil de l’ Eau.
Ces deux-là, vous les connaissez sans doute déjà : ce sont les
interprètes de Ce re- frain-là, la musique du Téléthon drancéen.
Après un petit bout de chemin en duo avec des chansons originales
et quelques reprises, le hasard des bonnes rencontres décide de s’
en mêler. Ils sont rejoints d’ abord par Philippe, le batteur, qui
apporte la touche rythmique qu’ il manquait. Arrive ensuite
Olivier, le deuxième guitariste, pour poser ses accords. U’ N’ I
peut dès lors délivrer la formule secrète de mélodies savamment
concoctées, avec un zeste de bonne humeur, un soupçon de charme et
une grosse dose de bonne musique. Le premier album du groupe sort
en février dernier. Douze titres en français et en anglais, “plutôt
pop rock, explique Valérie, même si on a dû mal à se placer dans un
seul style”. “Pour les chansons, c’ est principalement Laurent qui
les a écrit, mais tout le monde y a mis sa patte”, ajoute-t-elle.
Les musiques alternent entre ballades douces et titres plus péchus,
à l’ instar de “Nim”. “On n’ a pas de titres phares mais celui-ci
ressort vraiment”, constate la chanteuse. Le cocktail fonctionne,
les amis deviennent des fans et les fans, des amis. Quand on écoute
le groupe répéter, on sent bien qu’ il se passe quelque chose. Il
vit la musique et
elle lui rend bien. Les notes se posent, les ins- truments s’
ajustent, la voix se fait entendre... Petits instants magiques qui
se partagent sur scène et bientôt avec le public drancéen...
Vendredi 9 décembre à 20 h 30 Espace culturel du parc Tarif
unique : 10 € uni-musique.fr
Le groupe U'N'I accompagné par Marc, bassiste (à droite)
Portrait
U’ N’ I sont à l’ Espace Ils sont Drancéens et vous pourrez les
retrouver vendredi 9 décembre, à l’ Espace culturel du parc.
Rencontre.
P U B L I C I T É
4 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
vie municipale
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Le conseil a voté une demande subvention auprès de l’ État afin de
réaliser des travaux de sécurisation des écoles et établissements
scolaires. Les travaux concernent essentiel- lement la pose de
portails, de clôtures bar- reaudées, de visiophones et l’
installation de caméras. Les écoles concernées sont les
suivantes : groupes scolaires Macé, Cachin, Jorissen,
Timbaud-Dewerpe, September, Rolland/Garcia, écoles maternelles
Bloch, Bronsztein, Langevin, Perriot, Fromond, école élémentaire
Diderot. Le montant des travaux s’ élèvent à 323 859 €.
La demande de subvention s’ élève à 259 087 €, soit
80 % du prix total, le maximum autorisé par la loi. Par
ailleurs, dans le cadre de la sensibilisation aux risques de la
radicalisation, la Ville s’ est engagée en direction des jeunes
collégiens et lycéens pour les prévenir contre les dangers de l’
embrigadement. Le film Le ciel attendra a notamment été diffusé au
cours de plusieurs séances programmées spécialement pour les jeunes
à l’ Espace culturel du parc (lire p. 10). Pour que la diffusion
puisse être réalisée, le film a été réservé auprès du Centre
National du cinéma pour la somme de 3000 € maxi- mum, somme
votée par le conseil. À la fin de chaque séance, un débat a été
animé par l’ association Coexister. Le conseil municipal a voté une
subvention de 1000 € à l’ associa- tion, somme correspondante à ses
interven- tions à l’ issue des projections.
Activités jeunesse Le prix d’ adhésion annuelle aux accueils de
loisirs et activités du service municipal de la Jeunesse a été fixé
à 5 € à partir de janvier 2017. Ce vote fait écho à la régle-
mentation de la Caisse des Allocations fa- miliales (CAF), qui
exige l’ existence d’ un tarif annuel d’ adhésion afin de continuer
à verser ses subventions.
Développement durable La Ville tient à garder son label “Territoire
de commerce équitable” obtenu en 2007 et
renouvelé depuis. Les différentes actions en faveur du commerce
équitable ont permis - et permettront sans doute - de conserver ce
label : achat de produits commerce équi- table, orientation du
développement écono- mique local en accord avec les objectifs de
développement durable, ville modèle pour les entreprises et
organisations, valorisation des actions communales par la communi-
cation. Afin d’ obtenir de nouveau ce label, valable deux ans, un
dossier de candidature a été déposé, nécessitant des droits de
300 €, votés par le conseil municipal. Développe- ment durable
encore, la ville passe au “Zéro phyto” à partir du 1er janvier
2017. Afin de réaliser cette transition dans les meilleures
conditions, la ville sollicite l’ aide de l’ Agence de l’ Eau
Seine-Normandie et de la région Île-de-France, pour une somme qui
s’ élève à 12 000 €.
Urbanisme Concernant l’ aménagement du territoire : le conseil
municipal a autorisé le maire à signer le protocole d’ accord entre
la ville et la socié- té Saint-Gobains Abrasifs. La ville récupère
ainsi un territoire stratégique pour son dé- veloppement futur,
puisqu’ il se situe au cœur du futur nœud de transports qui se
trouve près de la gare RER du Bourget avec le mé- tro du Grand
Paris, la tangentielle et le RER. “Cette nouvelle gare va changer
la vocation de ces terrains qui appartenaient à la société Saint
Gobains Abrasifs, a expliqué le député- maire. Cet endroit va être
le mieux desservi de toute la ville. Le projet d’ aménagement
existe, avec la capacité de faire des bureaux et des commerces,
mais il prendra du temps. Le fait d’ avoir la maîtrise de ces
terrains nous per- met de mieux préparer l’ aménagement de ce
territoire”. L’ autre apport stratégique réside dans le
désenclavement du quartier de l’ Ave- nir avec un accès direct vers
la RN2. Il est aussi la voie de rattachement à la commune de la
cité de la Butte. Pour Jean-Christophe Lagarde, “Nous avons enfin
les moyens d’ être
Conseil municipal
Une ville qui bouge L’ avant dernier conseil de l’ année 2016 a vu
de nombreux sujets passés entre les mains des élus : sécurité,
développement durable ou encore tarif des adhésions aux centres de
loisirs. Résumé.
Demain un nouveau quartier Une ville se gère sous deux
angles : le court terme d’ abord, qui se traduit par des
dé- cisions applicables dans l’ année en cours ou l’ année suivante
et le moyen ou le long terme, qui conduit à prendre aujourd’ hui
des mesures importantes pour le devenir de notre ville demain. Le
dernier conseil municipal fournit une parfaite illustration de ces
choix qui préfigu- rent le Drancy de 2030. Il s’ agit de l’ acqui-
sition par la ville des terrains de la société Saint Gobains
aujourd’ hui coincés entre l’ A86, la RN2 et les voies ferrées du
RER B et de la Tangentielle. Cette partie de la ville n’ est connue
que d’ une poignée de Drancéens qui habitent dans la cité HLM
située rue de la Butte, ou encore des jeunes qui fréquentent le
Centre de formation professionnelle AFORP. Ce bout de territoire va
se retrouver demain au cœur d’ un pôle d’ interconnexion entre le
RER B, la ligne Tangentielle, les lignes 16 et 17 du métro du Grand
Paris et peut- être la ligne 7 du métro. Un tel point de rencontre
de transports en commun lourds va conduire à un développement
urbain de grande ampleur. Évidemment, des urba- nistes et des
aménageurs nous ont déjà sou- mis depuis des années leurs croquis
et leurs réflexions sur les solutions possibles, dans une approche
de moyen et long terme. Il fal-
lait donc saisir dès maintenant l’ opportunité de cette acquisition
comme une première étape en vue de l’ avenir de ce quartier. Dans
le même temps, la Ville a engagé de- puis près de 10 ans avec l’
État des discus- sions pour récupérer une voie parallèle à l’ A86
qui va de la RN2 jusqu’ au terrain à proximité duquel sera
construit demain le nouveau collège Langevin. Cette voie est depuis
des années un vrai dépotoir ce qui a conduit la ville à interpeler
l’ État pour nettoyer ces tas de déchets. Dix ans après, grâce à
notre persévérance, il semble qu’ une solution soit enfin possible
et elle conduira à terme à désenclaver toute cette partie du
quartier de l’ Avenir et à l’ ouvrir sur la RN2. Façonner une
ville, conduire sa transformation suppose de la persévérance, de la
détermination et surtout une vraie vision de son devenir. Mais il
ne faut jamais perdre de vue notre objectif constant, celui de
modeler une ville à taille hu- maine, une ville où il fait bon
vivre.
Le mot du maire
les principaux acteurs de ce nouveau territoire qui certes
représente un investissement de 4 millions d’ euros, mais qui
incontestablement constitue une étape pour l’ avenir avec la créa-
tion future de logements, d’ activités écono- miques et de
commerces essentiels”.
Parc de Ladoucette Les toilettes publiques du parc de Ladou- cette
deviennent payantes : 20 centimes
seront demandés pour chaque pause pipi. Cette somme a notamment été
décidée afin de préserver les toilettes des dégra- dations dont
elles sont régulièrement victimes. Les sanisettes automatiques
comptent donc sur la civilité de tous ses utilisateurs afin de
perdurer le plus long- temps possible, et pour que chaque nou- vel
utilisateur puisse profiter de toilettes propres.
5
Vie municipale Rénovation urbaine
Des dessins pour le dire Le service municipal de la Rénovation
urbaine, celui de la Jeunesse et le centre de loisirs Salengro -
Voltaire organisaient, mercredi 9 novembre, une animation pour
expliquer à une quinzaine d’ enfants les futurs travaux de la cité
Gaston Roulaud.
Sécurité
En écoutant les questions posées par les enfants aux différents
intervenants de cette journée, on se dit que la démarche entre-
prise par les services municipaux afin de leur présenter la
rénovation urbaine du quartier Gaston Roulaud est loin d’ être
inutile. A priori, un concours de dessins n’ est pas de nature à
révolutionner le monde de l’ ani- mation. Sauf que, cette fois, il
ne s’ agissait pas simplement d’ occuper les enfants un après-midi
durant, mais plutôt de se faire une idée de la façon dont ils
perçoivent les bouleversements à venir. Or, il semble bien qu’ un
important travail d’ explications soit nécessaire dès maintenant.
La rénovation urbaine est un sujet compli- qué. Pour ceux qui le
mettent en place, mais aussi pour les habitants qui sont concernés
par ces futurs travaux. Il faut environ une dizaine d’ années pour
mener à bien un tel projet. C’ est pourquoi il est source d’ incer-
titudes. Entre l’ annonce de sa mise en place et sa réalisation
effective, il peut s’ écouler un long temps propice à toutes les
rumeurs. Et parce qu’ il touche au plus profond de la vie
quotidienne (Où vais-je vivre dans les années à venir ? Où seront
scolarisés mes enfants ? Les loyers vont-ils augmenter
?...), il génère un grand nombre d’ incompréhensions. On le sent
chez les adultes, mais aussi chez les enfants, qui perçoivent cette
rénovation ur- baine au travers des inquiétudes de leurs parents et
de mots-clés tels que “destruction” ou “déménagement”. “On va
partir, mais est-ce qu’ on pourra re- venir ?”, demande une
petite fille les larmes aux yeux. “Mais l’ école, elle sera
toujours là ?”, s’ inquiète une autre. Ces interroga- tions
méritent bien d’ être entendues : ces enfants seront tous
majeurs lorsque l’ opé- ration Gaston Roulaud sera achevée. Mieux
vaut donc ne pas laisser de fausses idées faire leur chemin dans
leur tête. C’ est une des raisons d’ être de la Maison du projet.
Fort de son expérience avec l’ ANRU 1,
le service municipal de la Rénovation urbaine va, au fil des ans,
mener différentes actions vers les habitants de la cité et des
alentours. La proximité régulière est un atout maître dans la main
de ceux qui agissent. Et les dessins alors ? Ils sont
actuellement exposés dans la Maison du projet. Vous y retrouverez
un zoo, des pistes cyclables, des
arbres en toiture, des immeubles de toutes les couleurs et même des
chevaux. On aime- rait bien que les architectes viennent y pui- ser
quelques idées.
Maison du projet 120, rue Roger Salengro
[email protected]
Élus À gauche pour Drancy réussir ensemble Lors d’ un
précédent conseil municipal, le maire faisait voter le fait qu’ un
bureau de ta- bac dans le centre commercial Avenir assume la
mission de “point poste” tout en acceptant que le service postal de
proximité recule de nouveau dans notre ville. A l’ époque, nous
avons refusé ce choix. Aujourd’ hui, Le gouvernement prépare un
accord sur la présence postale territoriale pour 2017. Au
programme : Fermetures de bureaux de poste, réductions des
horaires d’ ouvertures de bureaux, suppression de tournées de fac-
teurs, transfert d’ activités postales dans des commerces,
réduction du nombre d’ agents... la situation est déjà dure et elle
va terrible- ment se dégrader. Les élus communistes front de gauche
sont opposés à cet accord. Comme nous l’ avons fait contre la
fermeture de la CPAM, des CMS ou encore des bureaux de poste Nous
refusons tous les choix poli- tiques du maire et de la majorité
présiden- tielle qui visent à retirer des services publics dans nos
quartiers.
Nathalie VASSEUR et Olivier VALENTIN
Élus socialistes Zones Bleues = En avant vers le
stationnement payant En février 2016, le président de l’ UDI
fai- sait voter une délibération pour la four- niture, la pose et
la maintenance d’ ho- rodateurs sur Drancy. Il expliquait alors
vouloir rendre payant le stationnement aux alentours de la gare du
Bourget et créer un stationnement résidentiel. La vérité est que le
stationnement payant et l’ installation d’ horodateurs est une
nouvelle manière de taxer les drancéens car il ne faut pas douter
que la ville toute entière sera rapidement touchée. Rappelons
que le stationnement en zone bleue, même résidentiel, est
limité de 1h30 à 4h. C’ est l’ assurance de pouvoir taxer les
habitants pendant qu’ ils sont au travail. Les zones bleues à
Drancy, c’ est comme la primaire à Droite, vous croyez être pro-
tégé mais en fait, vous êtes taxés...
Hacène CHIBANE 06 20 65 24 48
[email protected]
Majorité municipale 78 000 € gaspillés C’ est bien le constat que
fait avec regrets la majorité municipale. On aurait pu faire tant
de chose avec cette somme. On aurait pu soutenir davantage de
projets éducatifs afin d’ accompagner plusieurs centaines d’
enfants en plus. On aurait pu aussi créer de nouvelles places de
crèches ou encore augmenter le nombre de places réservées pour des
séjours à la neige ou à l’ étranger pour les jeunes ; on aurait pu
accroître le budget réservé au fleurissement de notre Ville ou bien
accélérer la mise en place de caméras de vidéo protection aux
abords des écoles. Voilà des besoins réels et des actions utiles
qui auraient mérité de béné- ficier de 78 000 € supplémentaires.
Mais il n’ en sera rien, car ces 78 000 € ont servi uniquement à
payer les avocats pour représenter la Ville dans toutes les procé-
dures engagées contre elle par les socialistes. Et pour quel
résultat ? Aucun. Juste pour priver la municipalité de conduire des
actions utiles à tous avec ces 78 000 €.
libre opinion
libre opinion
libre opinion
Un peu plus tard, les enfants dessinent le futur Gaston
Roulaud.
Malamine Sanogo, du service de la Rénovation urbaine, présente le
projet aux enfants.
6 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
dossier
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Le partenariat Ville-ESSEC : une réalisation exemplaire pour
l’ égalité des chances Depuis la rentrée 2015, Drancy est la
première et la seule ville de France à faire partie du dispositif
“Une grande école pourquoi pas moi ?” de l’ ESSEC, la prestigieuse
école de commerce. Un an après sa mise en place, le partenariat
fait l’ unanimité chez les enseignants, les jeunes et leur famille
mais également bien au-delà de la ville. Jeudi 15 décembre, la
Ville recevra le Trophée défi Responsabilité sociale et
environnementale (RSE) à l’ Assemblée nationale pour l’ audace, la
pérennité et l’ innovation de la démarche.
“Une grande école, pourquoi pas moi ?” (PQPM), pouvait-on
lire sur les sweat-shirt de nombreux jeunes présents à l’ ESSEC,
sa- medi 15 octobre, pour la cérémonie de lance- ment des
programmes d’ égalité des chances 2016-2017 de la grande école de
commerce. Drancy, invitée d’ honneur de la cérémonie, pourrait sans
doute se réapproprier le slo- gan : “Une grande école,
pourquoi pas les Drancéens ?”. À la rentrée 2015, la Ville
intégrait ce dispo- sitif PQPM et était la première collectivité à
le déployer sur l’ ensemble de son territoire. Cette année, plus de
3000 jeunes drancéens bénéficieront d’ un accompagnement collectif
par le biais de cours en ligne et 180, sélection- nés pour leur
motivation et leur potentiel, de trois heures hebdomadaires de
tutorat.
Donner les clés de la réussite L’ accompagnement de groupes de huit
jeunes par deux tuteurs, le samedi et pen- dant les vacances
scolaires, permet de déve- lopper de nombreuses compétences autres
que strictement scolaires. Collégiens et lycéens débattent de l’
actualité, échangent en anglais, s’ entraînent à la prise de parole
en public, font des sorties culturelles, ren- contrent des
entrepreneurs... Ainsi, ils dé- veloppent leur esprit critique,
étoffent leur culture et acquièrent les bases nécessaires à la
réussite de leurs études supérieures. Pour Marvin, en Terminale au
lycée Delacroix, ça
a été dans le domaine “de l’ assiduité et de la ponctualité” ; pour
Ashley, en Terminale au lycée Charles Péguy, dans celui de “l’
aisance à l’ oral”. D’ après une étude menée par l’ ES- SEC en
2012, les jeunes qui ont bénéficié du programme ont deux fois plus
de chances d’ intégrer une filière sélective que leurs ca- marades,
toutes choses égales par ailleurs.
Révéler les talents “Une grande école, pourquoi pas moi ?” donne
aux jeunes la chance de révéler leurs talents. “En fonction de leur
lieu d’ habitation, de leurs origines sociales ou des personnes qu’
ils côtoient, les jeunes n’ ont pas tous le même rapport à la
réussite, constate Jean-Chris- tophe Lagarde. Certains ont des
chances de réussite mais l’ ignorent ou ignorent quels chemins ils
doivent emprunter.” L’ ESSEC, par son programme, rétablit l’
égalité et permet aux jeunes d’ être sélectionnés en fonction de
leur talent. L’ idée n’ est pas de les pous- ser vers une
filière mais de leur permettre de choisir l’ orientation qui leur
correspond le mieux sans se mettre de limite. “Pour nous, l’
égalité des chances, c’ est permettre à chacun de trouver sa voie
dans la vie et d’ aller le plus loin possible dans cette voie,
définit Chantal Dardelet, responsable du programme d’ éga- lité des
chances de l’ ESSEC. Trouver sa voie pour un jeune, c’ est savoir
ce qui lui permet- tra de construire une vie en phase avec ce qu’
il est.”
Quels sont, selon vous, les bénéfices du pro- gramme ? Le programme
nous insère dans la vie, il nous ap- prend à suivre les médias, à
comprendre le monde qui nous entoure, il permet de nous cultiver,
d’ ap- prendre à réfléchir par nous-même. Alors qu’ avant je ne
lisais jamais le journal, aujourd’ hui, lire Le Monde est naturel.
À chaque début de séance de tutorat, on a un questionnaire sur l’
actualité, ce qui fait qu’ on est obligé de s’ intéresser au monde,
à l’ actualité, à la politique. Le programme nous ouvre l’ esprit.
Avec le programme, nous nous intéressons davantage à notre avenir
professionnel. Les tuteurs nous conseillent en fonction de nos
envies. Ce sont des étudiants ou des anciens étudiants, ils nous
expliquent leur par- cours, nous influence positivement,
comme des en- traîneurs avec des joueurs : ils nous
expliquent, nous guident et nous faisons nos choix.
Qu’ avez-vous fait l’ année dernière ? On a fait beaucoup de
simulations. Nous étions regroupés par équipe avec, chacune, une
mission à accomplir. Pour atteindre cet objectif, il fallait
débattre avec les autres, les convaincre de nos opinions. On a
également écrit des poèmes. Ces exercices nous ont aidés à
améliorer notre expression à l’ oral, à synthétiser, à développer
des arguments, à persuader. C’ est vraiment intéressant et
enrichissant.
Le programme est-il outil de réussite ? Oui, évidemment. PQPM nous
aide à réussir nos études, environ à hauteur de 50 %. Les 50%
restants viennent de nous, de notre volonté de réussir. Il a fallu
que je fasse quelques sacrifices pour assister au programme, mais
ça en valait vraiment la peine.
Denis Hilaire, lycéen en Terminale à Delacroix, tutoré en 2015/2016
et 2016/2017.
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Dossier Donner confiance en un potentiel Pour leur permettre de
réaliser leur projet, les jeunes doivent avoir confiance en eux, en
leur potentiel. “Croire en soi est indispen- sable pour réussir,
affirme Chantal Dardelet. Le programme travaille donc beaucoup là-
dessus.” Il les incite à ne se mettre aucune barrière. “Nous les
encourageons à s’ investir dans la construction de la société de
demain. Les jeunes sous-estiment leur pouvoir de faire changer les
choses, regrette la responsable des dispositifs des d’ égalité des
chances. Avec le programme, ils voient à quel point chacun à
quelque chose à apporter aux autres, à une construction
collective.”
Les tuteurs : des repères Pour trouver leur voie, les jeunes,
à commencer par les Terminale, comp- tent beaucoup sur l’
expérience de leurs tuteurs, de jeunes étudiants volontaires et
bénévoles, de quelques années seule- ment leurs aînés. “J’ hésite
entre deux sec- teurs, l’ histoire et l’ armée, explique Mar- vin.
J’ espère que mes tuteurs m’ aideront à faire le choix qui me
correspondra le mieux.” Une attente partagée par Ashley : “Je
souhaite devenir journaliste. L’ année prochaine, je pense intégrer
une classe pré- paratoire. Je vais avoir besoin de conseils afin d’
opter pour celle qui me correspon- dra le mieux et me donnera le
plus de chances de réussir. J’ aimerais également rencontrer des
professionnels de la filière pour préciser mon projet et commencer
à me constituer un réseau.” Tutorés et tu- teurs nouent une
relation de confiance. “Il n’ y a pas de rapport d’ autorité comme
à l’ école, juge Marvin. On parle au tuteur,
sans tabou, comme avec un grand-frère ou une grande sœur. Ils sont
là pour nous ai- der, rien de plus.” Cette proximité est un atout
pour transmettre à chaque jeune les clés de sa réussite.
Les familles, au cœur d’ un travail d’ équipe L’ investissement des
différents acteurs de l’ éducation des jeunes est indispensable au
succès du dispositif. Le programme est un partenariat. Jeunes,
familles, membres de l’ Éducation nationale et de l’ ESSEC tra-
vaillent ensemble, main dans la main. “C’ est l’ addition des
compétences de chacun qui per- met la réussite”, affirme Chantal
Dardelet. Parmi ces acteurs, un se distingue car il est plus que
les autres au cœur de la construc- tion du jeune : la
famille. “Elle constitue le premier acteur de sa réussite, après le
jeune lui-même et avant nous, estime la respon- sable du programme.
La présence de leurs parents à leurs côtés, leur soutien, leurs en-
couragements, leur fierté... sont essentiels.”
Le partenariat en bref
Drancy, première ville et seule ville à pro- poser le dispositif à
l’ échelle d’ un territoire
Les bénéficiaires • Tutorat : 90 collégiens de 3e et 90
lycéens de première et de terminale • Moocs : + de 3000 jeunes
accompagnés Les établissements partenaires • 4 lycées • 4
collèges
Quelle est la valeur ajoutée du tutorat en termes d’
orientation ? Les tuteurs sont jeunes, assez proches des tutorés,
ils ont des parcours très différents et sont sur le point d’ entrer
dans la vie professionnelle ou viennent d’ y entrer. Les écouter
est intéressant parce que c’ est très concret.
Est-ce que les jeunes qui participent au programme en parlent aux
autres ? Une fois par semaine, je demande aux élèves qui font
partie du programme PQPM d’ être des ambassadeurs auprès de leur
classe, de faire profiter les autres de ce qu’ ils ont
entendu.
Avez-vous noté des changements chez les élèves qui participent au
programme ? Je vais prendre un exemple très précis : l’
année dernière, c’ était la première année du programme, j’ ai une
élève qui est venu me dire qu’ au moment de son oral d’ histoire de
l’ art, elle avait perdu pieds. Elle me disait que sans avoir
participé au programme, elle se serait complètement écroulée, elle
se serait arrêtée et n’ aurait pas pu redémarrer. Là, elle ne s’
est pas déstabilisée, elle a pris le temps qu’ il lui fallait, a
repris son oral très cor- rectement et l’ a très bien terminé. C’
est une anecdote, mais, grâce au programme, elle a gagné en
confiance. Et ça, c’ est très positif. D’ autres élèves me
disent que désormais ils regardent davantage le journal
télévisé, qu’ ils lisent plus les journaux. Le programme leur donne
la volonté de réussir, le goût d’ apprendre. J’ insiste sur le fait
qu’ il ne faut pas que ce soit une contrainte mais au contraire un
plaisir d’ apprendre toujours plus.
Laurence Lassus, responsable éducative du collège Charles
Péguy.
Extraits du rapport du CNESCO 2016 (Conseil national d’ évaluation
du système scolaire) • La France fait partie des pays de l’ OCDE
(Organisation de coopération de développement économiques) dont le
niveau des élèves défavorisés baisse le plus entre 2003 et
2012.
• La France est devenue le pays avec l’ école la plus inégalitaire
de l’ OCDE, cette ten- dance s’ inscrit désormais dans la
durée.
• On donne moins à ceux qui ont moins. • C’ est
majoritairement en développant des politiques éducatives qui ont
réussi à faire
progresser le niveau scolaire des élèves les plus défavorisés que
des pays sont parvenus à réduire les inégalités sociales à l’
école.
• Il existe une longue chaîne de processus inégalitaires :
orientation, accès aux diplômes... Si ces inégalités sont limitées
à l’ école primaire, elles explosent à partir du collège :
dans les établisse- ments les plus défavorisés, les élèves de 3e ne
maîtrisent que 35% des compétences attendues en français contre 80%
pour les élèves scolarisés dans un contexte privilégié. À même
niveau scolaire, les premiers ont deux fois moins de chances d’
intégrer le lycée général.
Les inégaLités à L'éCoLe
8 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
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Liberté compte 12 élèves dans le programme ESSEC, Paul Langevin 16
élèves.
Comment les professeurs ont été impliqués dans le programme
ESSEC ? Mathilde Soilleux : Nos équipes nous ont
surtout beaucoup aidés à trouver les élèves qui correspon- daient
au profil que recherchait l’ ESSEC. Ce sont des élèves qui
pouvaient être parfois fragiles sco- lairement mais qui avaient
vrai- ment envie de réussir et qui avaient besoin d’ un petit coup
de main. Le programme pouvait les aider. C’ est surtout dans le
savoir-être qu’ on note une évolution. Les élèves sont vraiment
épanouis, ils ont pris confiance en eux. Ils s’ affirment de façon
positive, ils sont dans la discussion et l’ ar- gumentation pour
transmettre leurs idées, alors qu’ avant, ils étaient plutôt dans
la confrontation. Carine Pelegrin : Le programme a aussi
beaucoup joué sur la timidité. Beaucoup d’ élèves, très bons et
très très timides, n’ ont pas progressé en termes de résultats,
mais plutôt en termes d’ ouverture d’ esprit, dans leur capacité à
prendre la parole en public. C’ est vraiment flagrant.
Quels bénéfices les élèves tirent du programme ? Mathilde
Soilleux : C’ est très important comme ouverture sur le monde. On a
des élèves qui sont issus de catégories socio professionnelles
plutôt défavorisées. Rencontrer des gens qui font des études
supérieures et qui connaissent bien le système ; c’ est, pour eux,
très important. Carine Pelegrin : Moi, j’ ai en tête l’
exemple d’ un jeune qui voulait être médecin et qui grâce au
programme PQPM s’ est rendu compte qu’ il était important de suivre
l’ infor- mation. Il n’ avait jamais ouvert un journal de sa vie.
Il me racontait, très fier, que main- tenant, il écoute la radio
tous les jours pour savoir ce qu’ il se passe et qu’ une fois par
semaine, il lit un journal. Cette ouverture-là, s’ il n’ y avait
pas eu les tuteurs, il n’ aurait pas vu à quel point c’ était
important.
On sait que certains élèves font le choix de quitter Drancy en
arrivant au lycée, pour intégrer des lycées plus réputés. Est-ce
que le programme ESSEC change la donne ? Mathilde Soilleux :
Avoir quelque chose de positif comme le programme ESSEC, qui se
passe chez nous, est une valeur ajoutée pour les établissements
drancéens. Carine Pelegrin : On a certains élèves de Troisième
qui ont intégré Delacroix en se di- sant : “C’ est bien, on va
pouvoir continuer le programme PQPM”. Ils étaient très contents de
pouvoir rester à Delacroix grâce à ça. Le programme rend, sans
aucun doute, le lycée plus attractif.
Carine Pelegrin et Mathilde Soilleux, principales des collèges
Liberté et Paul Langevin.
Georges-Marie Yerro, adjointe au maire en charge de l’ Éducation.
Un an après la mise en place du partenariat, quel bilan
faites-vous ? Notre première réussite est d’ avoir su
intéresser les élèves des différents ly- cées et collèges, des
élèves de tous les milieux socio-professionnels, au pro- gramme
ESSEC. De nombreux jeunes ont souhaité suivre ce programme, qui
leur permet de progresser à tout point de vue. D’ abord, ils
envisagent désor- mais leur avenir sous un autre jour et prennent
conscience qu’ aucune porte ne leur est fermée, quel que soit le
type d’ études qu’ ils envisagent. Ensuite, ils s’ ouvrent sur le
monde, apprennent à se forger une opinion, à la défendre, à
argumenter. Ils peuvent penser en toute indépendance, c’ est ce qui
est aussi très intéressant. En résumé, c’ est un bilan extrêmement
positif que nous pouvons dresser aujourd’ hui, et nous sommes très
satisfaits de voir que tous, les élèves, les familles, les
professeurs comme les tuteurs, se sont investis tout au long de l’
année.
Le programme va-t-il s’ installer durablement à Drancy ? Bien sûr
que oui. Il ne faut pas oublier que le programme ESSEC à Drancy est
le pre- mier à concerner l’ ensemble d’ un territoire et non pas un
seul établissement d’ une ville. Tous les jeunes scolarisés à
Drancy sont concernés. Ce n’ est pas seulement l’ idée d’ une
grande école qui est intéressante pour ces jeunes, ce sont les
perspectives que le pro- gramme leur offre. Il leur dit que, s’ ils
ont la volonté de réussir, ils le peuvent et qu’ ils peuvent même
envisager de faire un métier auquel ils n’ auraient peut-être même
pas osé penser. Il fallait leur donner un coup de pouce pour leur
permettre de regarder leur futur autrement, et c’ est ce qu’ a
réussi le programme. Des élèves qui ont eu leur bac en 2016 et qui
étaient suivis par le programme ESSEC souhaitent à leur tour
encadrer d’ autres jeunes. Ces jeunes ont envie de transmettre ce
qu’ ils ont appris, c’ est de très bonne augure pour la suite,
évidemment.
Le Mot de L’ éLue
Retouvez la vidéo en ligne
Un programme qui évolue au profit des jeunes Un an après sa mise en
place, la Ville a déci- dé d’ étendre le dispositif. Trente lycéens
de plus que l’ an dernier ont intégré les séances de tutorat et
2000 lycéens de plus suivront les MOOCS (cours en ligne). Aujourd’
hui, 4 lycées (Eugène Delacroix, Saint-Germain, Charles Péguy ainsi
que le lycée du Bourget) et 4 collèges (Paul Langevin, Liberté,
Saint- Germain et Charles Péguy) font partie du dispositif. De
nouveaux établissements sont encore susceptibles de rejoindre
PQPM : “Un cinquième collège devrait bientôt le pro- poser à
ses élèves”, a annoncé Jean-Chris- tophe Lagarde, le 15 octobre, à
l’ ESSEC. L’ objectif est de permettre à un maximum de jeunes
motivés d’ en profiter. Une nou- veauté est également mise en place
pour l’ année 2016-2017 : la délocalisation du tu- torat des
lycéens dans les locaux de l’ ESSEC à Cergy. “Nous souhaitons ainsi
créer davan-
tage de synergie entre l’ école et les jeunes”, ex- plique Sarah
Khamassi, chargée de mission à l’ égalité des chances de la ville
de Drancy. En venant chaque semaine ainsi que pen- dant les
vacances scolaires, ils deviendront familiers des lieux et des
élèves et pourront se projeter plus aisément dans la vie d’ étu-
diants.
La Ville saluée au niveau national L’ audace, la pérennité et l’
innovation de l’ implication de la Ville seront récompen- sées par
le Trophée Défis Responsabilité sociale et environnementale (RSE),
jeudi 15 décembre, à l’ Assemblée nationale, sous le haut-patronage
de son président, Claude Bartolone. L’ objectif de ce prix
: récom- penser les plus vertueux et créer une forme d’
émulation pour que d’ autres s’ inspirent de leurs bonnes
pratiques. Le partenariat mis en place entre l’ ESSEC et Drancy
pourrait donc bien faire des petits.
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Préinscriptions en maternelle Pour qui ? Les enfants nés en 2014.
Quand ? Dès maintenant.
Préinscriptions en CP Pour qui ? Les enfants nés en 2011. Quand ?
Dès le mois de janvier.
Comment pré inscrire son enfant en maternelle ou en CP ? Les
parents doivent se présenter au service Mairie accueil ou dans les
Maisons des ser- vices publics munis de pièces justificatives
suivantes : - livret de famille ou extrait d’ acte de
nais-
sance de l’ enfant. - pièce d’ identité - carnet de santé à jour de
vaccinations
ou attestation vaccinale pour le DT Coq Polio
- attestation ou carte de sécurité sociale - carte de mutuelle ou
attestation de CMU - attestation CAF - les coordonnées des
employeurs des deux
parents (adresse et numéro de téléphone) et dernière fiche de
salaire
- attestation de l’ assurance responsabilité civile - justificatif
de domicile - si l’ enfant est en famille d’ accueil :
attesta-
tion du placement et coordonnées de l’ as- sistant social chargé du
suivi de l’ enfant
- en cas de séparation ou de divorce, présen- ter le jugement
La liste des pièces justificatives est dispo- nibles sur drancy.net
démarches admi- nistratives inscriptions scolaires Mairie accueil,
rez-de-chaussée du centre administratif Place de l’ Hôtel de ville
Maison des services publics : - Avenir, place de l’ Amitié -
Économie, 29, rue Dominique Roberty
Éducation
Préparons la rentrée 2017 Afin que la ville puisse préparer au
mieux la rentrée prochaine, pensez à pré inscrire vos enfants à
l’école maternelle et élémentaire.
Le 14 novembre au soir, 961 Drancéens étaient inscrits à l’ achat
groupé d’ énergies. Quelques jours plus tard, ils étaient plus de
1000. “C’ est un vrai succès, se réjouit Ber- nadette Vandenabelle,
adjointe au maire en charge du Développement durable. Nous étions
la première grande ville à proposer ce service. Le nombre très
important d’ inscrits prouve qu’ il répond à une préoccupation
importante des Drancéens : réduire leurs facture, augmenter
leur pouvoir d’ achat et consommer des énergies écologiques.”
Pour être encore plus nombreux et obtenir des prix d’ achat d’
électricité et de gaz en- core plus attractifs, Drancy a décidé de
s’ as- socier avec d’ autres villes : Besançon a donc rejoint
l’ achat groupé initié par Drancy, Aulnay-sous-Bois est sur le
point de faire de même. Dans un contexte énergétique compliqué,
avec une fourniture d’ électricité qui s’ annonce tendue, il est
important d’ être dans les meilleures conditions pour négo- cier.
Tous les Drancéens sont donc invités à rejoindre cette opération,
et, comme elle est ouverte à tout consommateur d’ énergie, à
inviter leurs proches, Drancéens ou non, à faire de même.
Comment se déroule l’ achat groupé d’ électri- cité et de gaz pour
les Drancéens ? Plusieurs étapes : 1. Les inscriptions Les
Drancéens s’ inscrivent gratuitement en complétant un formulaire d’
inscription, en ligne, par téléphone ou par courrier. Ils n’ auront
aucune obligation de souscrire l’ offre sélectionnée. 2. L’
estimation des économies potentielles des ménages Les ménages
reçoivent par mail ou par cour- rier une estimation personnalisée
des éco- nomies qu’ ils réaliseraient en souscrivant l’ offre. 3.
La souscription Les Drancéens décident ou non de souscrire l’
offre.
Qui peut s’ inscrire à un achat groupé ? La participation est
ouverte à tout consom- mateur d’ électricité et/ou de gaz qui
reçoit des factures à son nom, quel que soit son fournisseur
actuel. Peuvent s’ y inscrire les ménages (propriétaires ou
locataires à condition que le contrat et les factures soient
établis à leur nom), les indépendants et les petites
entreprises.
Mon contrat actuel arrive à échéance bientôt ou vient d’ être
prolongé auprès de mon four- nisseur, est-ce que je peux tout de
même par- ticiper à l’ achat groupé ? Oui, vous pouvez tout de même
parti- ciper puisque vous pouvez changer de fournisseur à tout
moment, sans payer d’ indemnité de rupture. En outre, votre nouveau
fournisseur se charge de toutes les démarches administratives
envers votre ancien fournisseur. Si le fournis- seur sélectionné
dans le cadre de l’ achat groupé est votre fournisseur actuel, vous
pouvez, généralement, tout de même bé- néficier des économies et
des réductions négociées.
Bon plan
Achat groupé d’ énergies : participez Lancé à l’ automne, l’
achat groupé d’ énergies a pour l’ instant séduit plus de 1000
drancéens Drancéens. Rejoignez-les pour bénéficier de tarifs
attractifs sur le gaz et l’ électricité. Plus nous serons nombreux,
plus les tarifs seront intéressants.
Brèves
Centres de loisirs et club ado Les inscriptions pour les vacances
de Noël sont ouvertes. Pour rappel, elles peuvent se faire au plus
tard 48 h ou- vrées avant l’ accueil de l’ enfant. Comment ? En
retournant le formulaire (téléchargeable sur drancy.net) au ser-
vice Mairie accueil, au rez-de-chaussée du centre administratif et
dans les mai- sons des services publics Avenir et Éco- nomie Pour
les centres de loisirs, également : en ligne sur le Portail
famille ou en retour- nant le formulaire aux directeurs des centres
de loisirs, mercredi 7 décembre.
Retraités : retrait des colis de fin d’ année
Les retraités qui ne peuvent pas assister aux spectacles de fin d’
année peuvent retirer leur colis, sur présentation de leur carte de
retraité et du coupon qu’ ils ont reçu par courrier début
novembre. Espace culturel du parc • Mardi 6, jeudi 8 et lundi
12 décembre
de 9 h 30 à 11 h Maisons des services publics • À partir du mardi 6
décembre
du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 45 et de 13 h 30 à 18 h 30, le
samedi de 9 h à 12 h
Retraités : préinscriptions aux sorties du 1er trimestre
2017
Programme des sorties : • Jeudi 19 janvier : “Les
destins de la
Comtesse de Ségur et de la Dame au Camélias”
• Jeudi 2 février : “Un voyage en musique pour la
Chandeleur”
• Jeudi 2 mars : “Femme romantique, Femme scientifique”
• Jeudi 9 mars : “Sur les pas de l’ Impératrice Joséphine” Les
préinscriptions : - mardi 13 décembre de 9 h 30 à 11 h
30
et de 14 h à 17 h - mercredi 14 décembre de 9 h 30 à 11 h 30 salle
Louis Méret et dans les maisons des services publics
Salon de l’ orientation et des métiers : venez présenter vos
métiers
Le BIJ recherche des professionnels pour présenter leur métier au
salon, le 3 février 2017. Cité Paul Bert 01 48 96 51 10
L’ actu de la • Une nouvelle antenne rejoint le réseau Jeudi 10
novembre, Jean-Christophe La- garde, président du réseau national
des Mission emploi, inaugurait la Mission em- ploi de Coubron. Le
réseau compte désor- mais 10 antennes locales, dont 6 en Île-de-
France.
• Un partenariat avec Lapeyre Mardi 8 novembre, le réseau national
des Mission emploi a signé un partenariat avec l’ entreprise
Lapeyre pour la ges- tion au niveau national de ses contrats aidés.
Objectif : simplifier les démarches de l’ entreprise afin de
favoriser les em- bauches.
11
Vous pouvez encore rejoindre l’ achat groupé d’ énergie. Pour vous
inscrire, pensez à vous munir de votre facture, vous y trouverez
toutes les informations demandées. drancy-energie.fr 01 84 21 29 94
[email protected]
Rejoignez l’ achat gRoupé d’ éneRgies
• Tous les Drancéens peuvent s’ inscrire
• Plus nous serons nom- breux, plus nous ferons d’ économies
• Une énergie 100% verte • Une inscription gratuite • Une
estimation personnalisée des éco-
nomies potentielles • Aucune obligation de souscription
l’ achat gRoupé d’ éneRgies en bRef
11
Loto Natur’ bien-être organise son loto Dimanche 4 décembre, de 19
h à 20 h, salle Louis Méret
Marché de Noël
Vide-grenier Avec lcassociation la Voie de l’ Avenir. Dimanche 11
décembre de 8 h à 18 h Place de l’ Amitié
Concert de Noël La Jeanne d’ Arc de Drancy (JAD) chorale organise
son concert de Noël. Vendredi 16 décembre à 20 h Église
Sainte-Louise de Marillac
Fête de fin d’ année L’ association tamoule IMTC organise une fête
de fin d’ année. Samedi 17 décembre de 11 h à 20 h Grande salle de
la Maison orange
Bal country Avec l’ association Seminol Country. Tarif : 10 €
Samedi 17 décembre de 14 h 30 à 22 h 30 Gymnase Auguste
Delaune
Improvisation théâtrale
Danton Chœur organise un cabaret d’ improvisation théâtrale. Un
article lui sera consacré dans un prochain numéro. Tarif :
3 €, gratuit pour les moins de 6 ans Samedi 17 décembre, à 20
h 30 Espace culturel du parc
Animations Noël Drancy outre mer organise son traditionnel Punch en
musique suivi du Chanté Nwel. Tarifs : 6 €, enfant (-
de 12 ans) : 3 €, adhérent : 4 € Dimanche 18
décembre de 14 h à 20 h Espace culturel du parc
Renseignements : 06 60 40 33 87 / 06 83 27 74 03
Brèves
LES JEUDI 1ER ET VENDREDI 2 DÉCEMBRE • Le goûter Distribution de
viennoiseries dans les établis- sements scolaires maternelles et
élémentaires. À cette occasion, les élèves pourront colo- rier une
carte de vœux portant un message de soutien pour les enfants
malades. Elle sera ensuite transmise à l’ AFM. • Petit-déjeuner des
étudiants infirmiers et aides-soignants de l’ I.F.S.I.- I.F.A.S
Dans leur école
VENDREDI 2 DÉCEMBRE • Gala des associations Spectacles des
associations locales et tombola (ticket : 1 €) Buvette
tenue par l’ Union des parents d’ élèves indépendants (UPEI) à
partir de 19 h 30 Espace culturel du parc Tarif : 2 € •
Vente de primevères et de jacinthes organisée par Drancy ville
fleurie Fleurs offertes par des fleuristes de Dran- cy :
“Chevalier fleurs” (marché des Quatre routes), “Monceau fleurs” et
“À la pensée” de 8 h 30 à 13 h À l’ entrée de Carrefour Market, rue
de la Haute-Borne
SAMEDI 3 DÉCEMBRE • Brocante organisée par la Croix-Rouge de 9 h à
17 h Dans les locaux de l’ association 31, bis avenue Marceau •
Vide-grenier organisé par la CFE-CGC 93 de 9 h à 18 h Gymnase
Joliot-Curie • Vente de primevères et de jacinthes organisée par
Drancy ville fleurie
Les fleurs sont offertes par des fleuristes de Drancy :
“Chevalier fleurs” (marché des Quatre routes), “Monceau fleurs” et
“À la pensée” de 17 h à 20 h À l’ entrée de Carrefour Market, rue
de la Haute-Borne • Stand de maquillage pour enfants, confection et
vente de pâtisseries organisée par les hôtesses de caisse du
magasin toute la journée À l’ entrée de Carrefour Market, rue de la
Haute-Borne • Bourguignon des Confederate Animation et
restauration à partir de 9 h Place de l’ Hôtel de ville •
Baptême de plongée pour les personnes à mobilité réduite en
fauteuil de 14 h à 16 h stade nautique
DIMANCHE 4 DÉCEMBRE • Bourse aux jouets organisée par la CFE-CGC
93 Vente de jouets, jeux, livres pour enfants (ni vêtements,
ni articles de puériculture) de 9 h à 18 h Gymnase Joliot-Curie
Réservations d’ un emplacement (coût reversé au Téléthon) et
informations :
[email protected] ou 01 48 32 44 25 •
9ème journée des collectionneurs organisée par les collectionneurs
dyna- miques 93 de la CFE-CGC93 de 9 h à 18 h Gymnase
Joliot-Curie
SAMEDI 10 DÉCEMBRE • Zumbathon organisée par l’ association
“DaizOr’ Fit” Animations zumba sur les rythmes latinos, afro,
kuduro, salsa... pour les enfants et les adultes de 20 h à 22 h
Gymnase Delaune 21, rue Pierre et Marie Curie Tarifs :
7 € pour 1 h, 10 € pour 2 h (- de 10 ans :
5 €)
DIMANCHE 11 DÉCEMBRE • Loto organisé par Century 21 Lots fournis
par les commerçants drancéens de 14 h à 18 h Gymnase Auguste
Delaune • Tournoi de tarot organisé par l’ Excuse drancéenne à
partir de 13 h 30 Salon Petieu Rue Petieu
Téléthon
Les rendez-vous du Téléthon
L’ histoire entre Agir ensemble et le futsal féminin débute en 2015
avec un appel à projets de la Fondation de France. Il s’ agissait
alors de promouvoir une politique sportive pour les jeunes filles
dans les “quartiers”. Car si dans les clubs et associations la
parité est à peu près de mise chez les moins de 15 ans, passé cet
âge, la proportion d’ adhérentes diminue considérablement. Or, Agir
ensemble est un cas particulier puisqu’ on y recense pas moins de
80 % de jeunes filles de 17 à 25 ans, dont un bon nombre ont
envie de jouer au foot. C’ est ainsi que, grâce à une première
subvention de 4000 € accor- dée par la Fondation, une équipe
féminine de futsal a vu le jour, aussitôt alignée dans le
championnat régional, non pour y faire des étincelles, mais
simplement pour le plaisir d’ être ensemble. L’ équipe a néanmoins
terminé sa saison à la 2e place. Beau résultat pour une première.
S’ il faut aussi féliciter les joueuses, on ne manquera pas de
saluer le travail des deux entraîneurs, Selim et Matyre, qui ont
remarquablement bien su mettre cette équipe sur orbite. C’ est donc
reparti pour une nouvelle saison. Lors de sa dernière sor- tie,
samedi 19 novembre, l’ équipe s’ est imposée sur le parquet du
Nouveau souffle FC sur le score de 9 à 5. Et même si, cette année,
le niveau est bien supérieur, ce sport se développant à vitesse
grand V, Agir ensemble envisage l’ avenir avec gourmandise. L’
ambition n’ est pas forcément de finir la saison en tête du
championnat, mais plutôt de poursuivre l’ aventure en mettant en
avant les belles valeurs de l’ as- sociation. On est, par exemple,
ravis de recenser trois jeunes femmes en école de médecine (1ère,
5e et 7e année) dans les rangs de l’ équipe. Et puisque tout va
bien, on veut le faire savoir. L’ organisation du tournoi qui se
déroulera à Drancy sera la vitrine de cette bonne hu- meur. 16
équipes y participeront. C’ est pourquoi, le matin, une par- tie
des matchs de poule auront lieu au gymnase Henri Wallon à Bo-
bigny. En partenariat avec la Ville et la Région, et avec le
mécénat de Mac Hallal et Sports élite, cette journée s’ annonce
déjà comme une belle réussite du sport féminin. La Fédération
française de football et le ministère des Sports ont retweeté l’
affiche dès sa publication !
Quartiers
Dribbles en talon L’ association Agir ensemble organise un tournoi
de futsal féminin, samedi 11 décembre, qui s’ annonce d’ ores et
déjà comme une belle réussite.
SportVie aSSociatiVe
12 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
Lors de la signature du renouvellement du partenariat avec l’ASSE.
De gauche à droite : Jean-Luc Millard, adjoint au maire chargé des
Sports, Gérard Fernandez, coordinateur recrutement, Alain Melaye,
président de la JAD et Roland Romeyer, président de l’ASSE.
13
Cette saison, le seniors de la JAD football jouent sur tous les
tableaux. Il y a, tout d’ abord, le plus important, le Championnat
de France amateur où l’ équipe réalise cette année une belle
performance. Avec une seule défaite à domicile, face au premier de
la poule, la JAD tient bien son rang. Idéa- lement positionnée en
7e position, elle n’ est qu’ à 5 points du 3e, Lille, après un bon
match nul, samedi 19 novembre, sur la pelouse d’ Amiens. Cette
bonne vitesse de croisière, qui augure un hiver serein, est d’
autant plus appréciable que l’ équipe a les yeux tournés vers la
Coupe de France, une compétition qui lui a bien réussi par le
passé, mais qui, depuis quelques saisons, semblait lui échap-
per.
Le match qu’ il faut gagner Pour son 8e tour, la JAD va se rendre,
di- manche 4 décembre, à Alençon pour y ren- contrer une équipe qui
évolue en Division d’ honneur. Les Drancéens ont la faveur des
pronostics. Mais attention, la Coupe est une épreuve très
particulière : la JAD y a enre- gistré ses plus belles
victoires, souvent face à des équipes bien plus fortes qu’ elle sur
le papier. Alors, attention à ne pas vendre la peau de l’ ours
avant de l’ avoir tué. Gageons que les supporters qui feront le
déplace- ment (lire encadré) sauront le rappeler aux joueurs, sans
parler de Malik Hebbar et Yan- nick Floch, les deux entraîneurs de
l’ équipe, qui n’ ont pas pour habitude de laisser filer des
matchs. Il faudra donc rester concen- tré sur l’ adversaire du
jour, en évitant de se projeter vers un 32e de finale qui s’
annonce pourtant très alléchant. Il y a en effet quelques années
que les Dran- céens n’ ont pas donné de la voix en tribune, lors de
ces grands matchs qui sont tout le sel du football. Comme d’
habitude, si le ré- sultat est positif à Alençon, on se mettra à
rêver d’ une belle affiche, contre une équipe de Ligue 1, pour le
plus grand bonheur des jeunes, et moins jeunes, Drancéens. Mais
surtout, on rêvera d’ un beau match à domi- cile (ou à La
Courneuve) : depuis des an- nées, la JAD passe ses
tours à l’ extérieur.
Partenariat renouvelé Mercredi 9 novembre, le club a renouvelé son
partenariat avec l’ AS Saint-Étienne pour deux saisons
supplémentaires. Il permet aux Dran- céens de bénéficier du
savoir-faire technique et de l’ attractivité de l’ ASSE, qui est
sans doute le club le plus attachant du Championnat de France, mais
qui, surtout, est un vrai club for- mateur. Des éducateurs
drancéens partent ainsi régulièrement en formation à Saint-Étienne
et des jeunes de la JAD sont invités dans le chau- dron de
Geoffroy-Guichard pour assister à des rencontres. En échange, le
club stéphanois enri- chit son réseau de détection et élargit son
poten- tiel de recrutement puisqu’ il a un regard priori- taire sur
les joueurs drancéens, notamment les jeunes. Tout le monde est donc
gagnant.
Assister à lA rencontre
Venez encourager votre équipe pour le 8e tour de la Coupe de France
: départ en car à 10 h, à l'Espace culturel du parc, place Maurice
Nilès. Renseignements et inscriptions : JAD : 01 48 91 95 42
Service municipal des Sports : 01 48 96 50 96
Événement
Au plaisir de la Coupe L’ actualité de la JAD football est très
riche en ce début de saison, avec notamment un 8e tour de Coupe de
France plein de promesses.
Boxe
Belles performances pour CDR Changeons de regard a brillé lors des
Coupes de France de kick-boxing et boxe thaï.
sport
Les 15 et 16 octobre derniers, Changeons de regard disputait la
Coupe de France de kick-boxing. Neuf sportifs de l’ association
sont montés sur un podium dont trois ont gagné le convoité trophée
: Ferhat, Jassim et Sofia (diplômes en main sur la photo de
gauche). Quelques jours plus tard, leurs sponsors, M. Lilingue,
directeur de Pizza Hut (avenue Jean Jaurès) et M. Lahlou, di-
recteur de Carrefour Market ainsi que Mo- hamed Khemliche,
conseiller municipal sont venus saluer la performance des jeunes
sportifs de l’ association de Jamel Guenaoui, entraînés par Laurent
Cortesi et en contact régulier avec l'ancien boxeur de haut niveau,
aujourd'hui entraîneur, Cevdet. Trois semaines plus tard, les 5 et
6 no- vembre, le club était engagé en Coupe de France de boxe thaï.
Sur les 20 sportifs de l’ association en compétition, 13 ont décro-
ché une place sur un podium, dont trois la Coupe de France, Sofia,
Volodia et Kimia (photo de droite).
1313
Brèves
Drancy futsal 3e tour Coupe nationale Futsal gymnase Samedi 19
novembre Futsal Drancy - OR Club Asso : 10 à 0 Prochain match
: samedi 10 décembre, gymnase Paul Langevin. Plus d'information sur
la page Facebook du club
Aito du Tigre blanc Coupe de France karate light contact Samedi 5
novembre • Maylisse Morin Pinto et Anthony
Drillien, médailles d’ argent • Jean-Baptiste Clervil Decoeur,
médaille de bronze
Judo club drancéen Championnat Île-de-France par équipe Samedi 19
novembre • Lauryne Duguet (- 57 kg) 3e en benjamine Adrien Marquès
(16 ans) est devenu le 20 novembre la 22e ceinture noire du
club
JAD football Coupe de France féminine, 4e tour Samedi 19 novembre
JAD - Domont FC 2 à 3
USNCD Judo Le club organisait son tournoi annuel Jigoro Kano, le 6
novembre. Une vingtaine de clubs de la région (450 judokas)
participaient. Ils ont eu la visite surprise de Larbi Benboudaoud,
ancien judoka originaire de Drancy, vice-champion olympique,
champion du monde, champion d’ Europe et ac- tuellement entraîneur
de l’ équipe de France féminine.
P U B L I C I T É
14 Drancy immédiat - n°329 - du 1er au 15 décembre 2016
C’ est un apprentissage difficile mais qui laisse augurer de belles
choses pour l’ ave- nir. À la fin de la saison passée, nous avi-
ons laissé tout à son bonheur la JAD qui venait d’ obtenir son
ticket pour accéder en Nationale 2. Néanmoins, tout le monde s’ en
doutait, l’ année à venir s’ annonçait bien compliquée. Et c’ est
le cas : en cinq rencontres, les Drancéens ont enregistré
autant de défaites. Mais mise à part celle encaissée à
Aix-les-Bains, toutes ont été concédées de peu. La JAD rivalise
avec ses adversaires. Il lui manque juste ce petit coup de pouce
pour enfin prendre le des- sus. Et comme souvent, c’ est peut-être
la Coupe de France qui le lui apporter. Samedi 5 novembre, la JAD
recevait son meilleur ennemi, Villejuif, dans le cadre des 16e de
finale. Survoltés, les Drancéens menaient 3 à 0 après seulement 1
minute et 28 secondes ! Pour autant, le match n’ était pas encore
plié, puisque 40 minutes plus tard, les deux équipes se
retrouvaient à égalité avec 4 partout. Il fallut attendre 5
secondes avant le coup de sifflet final pour que les Drancéens
inscrivent le but victorieux. Ce succès, à même d’ insuffler une
nouvelle dynamique au club, est im- portant car, Villejuif étant
dans la poule, il démontre que les Drancéens ont le niveau pour
rivaliser avec les autres équipes de Nationale 2. Le 8e de finale
s’ annonce beaucoup plus compliqué puisque l’ adversaire sera le
SA
Mérignac qui évolue en Nationale 1 Élite. On attend une belle fête,
un public nom- breux, un bon match et un petit miracle.
Samedi 10 décembre à 20 h 30 8e de finale de Coupe de France
JAD rink-hockey - SA Mérignac gymnase Liberté
sport Événement
Nouveau tour pour le rink Les seniors de la JAD rink-hockey
disputeront, samedi 10 décembre, leur 8e de finale de Coupe de
France, contre une redoutable équipe, le SA Mérignac.
15
Annonces
EN JOURNÉE LES DIMANCHES ET JOURS FÉRIÉS 2016
Les gardes indiquées ci-dessous sont sous réserve de modification.
Pour la déli- vrance de médicaments sur ordonnance, en dehors des
heures et jours d’ouverture normaux des pharmacies, s’adresser au
commissariat de police (01 41 60 81 40).
4 décembre PHARMACIE PRINCIPALE DE DRANCY 160, avenue Henri
Barbusse Drancy
11 décembre PHARMACIE CENTRALE DE BOBIGNY 64, avenue Louis Aragon
Bobigny
PHARMACIE FATEALY 2, avenue de la Division Leclerc Drancy
EmPloi Offre • Professeur de mathématiques depuis 12 ans
propose un accompagnement personnalisé en cours particuliers à
domicile pour tout niveau collège/lycée. 06 22 69 28 04
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mathématiques, français et anglais, tous niveaux collèges et
lycées. Prépa- ration intensive et personnalisée en mathé- matiques
pour le brevet, bac S... Accepte les chèques emploi service. 01 48
49 35 63
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physique/chimie, mathéma- tiques. Niveau collège. 06 29 26 97
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et repassage chez les particuliers et dans les entreprises. Travail
sérieux. 9 € / h. Libre de suite et à temps plein. 01 48 32 39
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papier peint, inté- rieur et extérieur...). 07 58 59 02 76
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beaux volumes, habitable de suite, clair et spacieux, entrée,
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cave - parking couvert. Dans une agréable petite copropriété de 4
étages avec jardin, avenue Henri Barbusse au centre ville de
Drancy, bien gérée, ascenseur mis aux normes. Très bonne
situation, proximité transports, commerces, écoles, marché,
installations sportives et éducatives, soins médicaux. 200
000 €. 06 63 13 47 66
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150 € à débattre. 07 68 24 32 53
• Vends manteau noir femme, col agneau T3 200 € ; tailleur
lainage beige irisé T. 38 Alain Manoukian, 20 € ; doudoune
noire homme TL Abercrombie 50 € ; basket ar- gent Nike T.47
20 € ; pantalon noir Kookaï neuf T.40/42 20 € ; short
tweed bleu neuf T.38 20 € ; pantalon noir Camaïeu T.40 neuf,
imitation cuir 20 €. 06 71 85 79 13
• Vends étaux pour bricoleur 40 €. 06 25 36 00 45 • Vends
accordéon 300 €. Tondeuse à ga-
zon 60 €. Kärcher 30 €. Prix à débattre. 06 52 06 42
28 ANimAl TroUvÉ Trouvé vendredi 11 novembre, avenue
Garibaldi, petit chat noir et blanc, mâle. Environ 1 an avec
collier en cuir. Pas de tatouage ni puce d’ identification. 06
07 26 53 31 / 06 76 05 58 17
Le plomb est un métal d’ usage très ancien qui peut être présent
dans notre environnement quotidien. Son ingestion (mains non lavées
portées à la bouche, produits sucés ou avalés) ou son inhalation
(re