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^ Clément Magloire DIRECTEUR " 1358. ROt AMEHICAINE 1358 1ELEPHONE N°2242 On ne Murail c ncero r la toi.cj tiou de la pensée uni liberté, eou> me on ne peut in iginei cell» do poumoo MIU .m. La pensée eher< toujours dis sentes, nouvelles et (Ici principe* toujours plus exacts; pei cela un an , elle ne («eut se soumcttie aux limitations et au\ Contraintes ilogmatiqucs. _ *"" 26 f érae ANNEE 7809 PORT-AU-PRINCE.(H A1TH VENDREDI 28 OCTOBRE 1932 »>. . nm Nouvelles DU Cap-Haïtien Peut-on rétablir la corvée ?... Lundi soir.^vers les G heu- res est mort à l'Hôpital Jus- tioieo à la suite d'une courte maladie, l'honorable Me Jo- seph Alexis Vergniaud Le- couie. ancien grand louclion naire, ancien Bâtonnier de l'Ordre des Avocats du Bar- reau de cette ville, auteur de plusieurs drames, représen- tés ici avec un complet suc- cès et l'un des plus remar- quables historié s du Roi Christophe. Ses funérailles ont eu lieu le lendemain.à la Cathé Irale, vers les 4 heures de l'après- midi, en présence de Son Excellence Monseigneur Jan et au milieu d'une assistance nombreuse et distinguée, et lurent rehaussées par la pré- sence de la Fanfare Capois*. lu cimetière, Mr Christian Werleight et Me |Emile St Clair, Bâtonnier de l'Ordre de? Avocats,retracérent,en des termes émouvants, la'vie de l'illusire défunt qui, par l'in- d:pendauee de son caractère, la droiture de son cœur, la rectitude de sa conduite, la diversité de ses connaissan- ces, surtout en histoire d'Haï-, li, la protondeur et la disci- pline de son patriotisme, était parmi nous le symbole des principales vertus haïtiennes. Samedi vers les 2 heures et demie de l'après-midi est décédé en ceite ville le re- gretté William Dugué, mar cband-tailleur,ancien inspec- teur de Police du Cap.aucieu Président de la Société de Secours Mutuel,Membre Fou dateur de la Ligue du Bien Public. Ses luuérailles ont eu lien le lendemain, à la Cathé- drale, au milieu d'une nom- breuse assistance de parents et d'amis. Le Dr Olilant de la Mis- sion Scientifique Américaine a le projet de tonder ici un grand et unique parc com- munal pouvant contenir au moins 101)0 chevaux, avec de gros tuyaux conduisant l'eau dans des abreuvoirs en ci- ment, des water-closets, des douches pour les paysans et 1 vétérinaire pour la guérison des plaies et la toilette des chevaux. Il y aura deux por- tes d'entrée et de sortie mo- numentales. Le Or Olifant compte créer ici une société protectrice des animaux.Déjà tro*médecin de l'Occupation, à Porl-au -Prince, lui a versé à ce sujet 25 dollars.SouhaU tons que chacun, en cette ville," imite cet exemple. D'a- près nos renseignements, no- tre distingué Magistrat Com- munal Mr Edriss Duviviera approuvé tous ces beaux plans du Dr Olilant. Les élections, pour le re- nouvellement du Conseil de Discipline de l'Ordre des Avo- cats, ont eu lieu vendredi, vers les 11 heures du matin. Me Emile St Clair a été réélu bâtonnier, Mes Emmanuel Paul, Edriss Duvivier, Jean Lambert, Gabriel Duchélue, Frédéric Robinson, Descaries Albert, Luc Prophète, Ludo- vic Magloire, membres, L. Prophète, secrétaire.Nos com- pliments aux élus et notam- ment au Bâtonnier réélu, Me Emile St Clair, dont le beau talent d'avocat et les bril- lantes qualités d'orateur ont provoqué.en sa taveur.encore Un fois.toute cette véritable maailt station de sympa Ihie de la part de ses con'rè- çes, o-o Nous rapportions, ces jours derniers, qu'une plainte avait été adressée tant au gouverne- ment qu'au quartier général de la Garde d Haïti contre certaines pratiques abusives mises en œuvre dans les sections rurales, particulièrement dans celle de la Rivière-Froide. Un confrère prit la mouche et nous adressa le reproche d'a- voir cité des noms « honora- bles-». Nous sommes|heureux de pouvoir affirmer que nous n'a- vions point l'intention de nous attaquer à l'honorabilité de qui que ce soit. Nous avons simple- ment fait notre devoir en don- nant un renseignement de pre- mière main, 11 nous revient que l'affaire n'est pas dénuée d'importance. Elle a mérité la haute attention du gouvernement et celle du Commandant de la Garde , au point qu'une enquête a été or- donnée prompîement. Si nos renseignements sont exacts, l'investigation a pris fin avant hier vers midi. Quand nous en connaîtrons les effets, nous les communiquerons à nos lecteurs. Vie Sportive Qu'est-ce que le pro'essioir nalisme ? L'évolution des sports athlétiques, notam- ment le'foot-bail, sa pratique à outrance, a lait de ce jeu un jeu national; «comme t*l, tout le inonde devrait pou- voir saisir les moindres nuan- ces qui caractérisent l'acti'a- lité du « ballon rond ». A ce sujet nous voulons souligner que les régies de Vamateurvh me sont aujourd'hui en op- position crian e avec les vi- sées'-professionnalistes des amateurs marrons qui intes- tent les clubs sportifs d'Haïti et des autres pays. L'Anglais, peuple pratique.a, le premier, compris l'utilité d'étiqueter les amateurs camo iflea, par- fois plus exigeants que les piofessijnnels eux-mêmes. En France, la il F A résolvant le honteux problème dïnsincé- le Purgatif idéal * c'est la i PILULE JfflUT 147, Rui du Faub. St-Dtnis. Paris Ne n< c- iitmit aucun prlpnratSf, elle De provoque jamais de dégoût. Supprimant la dirt«\ elle ne débilite pas le malade. NVsigeant pas de repos à la chambre, elle tu cause aucune perle de temps. Pl»tf active que tous les similaires, elle est, par conséquent, moins cbère. DOSE PURGATIVE. 2 a 3 Pilule* LAXATIVE, 1 Pilule C —ECHOS- On se plaint généralement de la courte vue du Bureau dea Contributions qui exige que lea touristes qui débarquent en Hafc ti payent quatre dollars cha- I cun, pour passeport Dans tous 1 \ les pays, de très grandes l'acili- I i tés sont accordées aux touriste», I , } - et ceci pour le profit public. £~J«f< ? uaa *** Fort Le Bureau des Contributions a- St.-Ua.r la mer a rejeté le es- *.;j»W» VOIRE CUISINE, MADAME. Lui de nos amis qui était parti pour un tort long sé- jour aux Etats-Unis est rentré précipitamment l'autre matin à Port-au-Prince. A ceux qui lui demandaient la cause de ce retour inatten - du, il a répondu : Que voulez-vous ? la cuisine qu'on me taisait ne l'était point avec la hantègue des Lsines de Port au-Prince et de Saint-Marc. Bec-Fin. nérer leurs joueurs ou de re- venir à l'amateurisme inté- gral. Notre club qui rompn n«l 1.352 membres ne devient pas professionnel en indemnisant une di/.iine di joueurs. Il reste essentiellement ama- teur, son unique bat étant de développer et d'encourager la pratique des Sports. Nous rite de ceux qui s'intitulent, avûlls . Ull passé et une réputa- amateurs, vient aussi d'orga-j |j oa àldétendrcce serait taire niser le «championnat de m r cH* arriére q'.e d'aller à France profession lel » (19:12- rencontre de révolution du 33), Donc « pas de milieu »»: football Qu'avons nous à per- toutinlividu qui reçoit une dre dars l'aventure? \bsolu- îndemmté quelconque pour m « n[ r j en , nous ne voyons sa participation à une réu |)1S eil cel t e ail lire du pre- Dion athlétique est proies- iessionnalisme une faillite li sionnel, exception faite des nancière, nous avons pesé le Irais de voyage et de séjour pour et j e conlre e t nous limité des athlètes en pays croyons que les conséquences étrangers. Toute fédération seraient peut-être plus graves q li orgauise des (êtes athléti- s j nolre équipe première re- quesoû sont admis des pro devenait amateur.» lessionnels qualifiés fait aussi acte de protessionualisme.— Tout membre individuel nu sociétaire qui reçoit des trais pour soins médicaux d'un nuséie ou de la le isori Ml tatéréi B^éToignar Wtôuriï- . davre , , d ' ua nouveau-né. à la us de nos rives ? Il semble, à !P eau Waneha et aux yeux pis, considérer les embarras qu'il. leur ciée pour séjourner en|*« li0 .'<' ,e J"T* e */**}, u-j.j (.jamais? hn allendan'.'a pol ce . -On annonce que la alation^clte'che actnemert la mère de radio H. H. K. ne fonction-T«M«<" , as. ne plus. Des gens penseul que' ce n'esl pas h op lot. Les préfets dea communes de première catégorie, informe- ! on, ont BUgfféré aux Conseils communaux de confier la per ception des taxes communales au service des Contributions. Celle suggestion parait avoir été agréée par les Communes de la République, sauf Port-au- I Prince et la Cité de l'Indépen- ' ( ...voit qu'a Damien un p»:it Scandale ;i encore éclaté l'au're jour à l'occasion de l'auto d'un Chel de service, qu'un ci s de lorce majeurs avait obligé la direction à réquisitionner. Le Chel de service, perdant tout sangdio'd, proféra, paiail- il, des menaces inq mêlantes.—- Sonl-ce toujours les mêmes iu- trigues, les mêmes tripotages et lance. Mais on prévoit qu'elles! indisdplins récemment slig- .iniront par capituler. J inatisés par le Président de la | -On parle d'un petit iiui- .République q u continuent.» J dent de voiture automobile qui •'• ... mirait eu lieu a Dainiens l'autre , - » revl av , e , c Plwsir. notre : our charmant ami Robert Nadal de La nouvelle loi sur lad-1 rel °* ,r d'un vovage d'affaires mission des étudiants à l'École "* E'»'»* 1 uis et au Canada. \li Nadal nous revient plein de lanté et d'eniliousasnie. Il croit à une prochaine reprisa des al ' laires el à la victoire de Hoover ( sar Roosevelf, crace au con- i.iiwini.ii viinii.ii ,i cuit - i j ,• ,-j gislré dans I.. journée du 22 , K -J cou,s généreux de Loolidge. . tobre quatre accidents,— dans celle du 23 huit,— 7 décès du de Droit a donné ses résultats : sélection. Aussi, ne comple-l-on en première année qu'une Iren- taine d'étudiants. L'Hôpital Général a enre- o-o Vous connaissez la lière réponse que fit un jour Jean Kichepin à l'é- conome de l'Ecole normale supé- rieure qui. s'étail oublié à lui récla- mer de l'argent. Le futur poète des T gueux avait d'abord boutonné son veston, et se drapant dans sadigr.ilé, avait répondu sublimeiuent u l'im- pudent : « Monsieur, apprenez qu'on ne tond pas un œuf. » Certes, on ne tond pas un œuf qui nous arrive tel qu'il a élé pondu. Mais on sècbe un carafon de RHUM SARTRE CA- CHET D'OR qui sort du Grand Dé- pôt. Autour du retour de la «1 io- Ici te t à 11 SSfi> - H nous en COÛ'e de parler une nouvelle Saoo^ûoeTéSrâÛîeirëlit fji , s je cette vieille querelle au'si professionnel; que«»aa4l dej; Comme on a pu le com- prendre, le p ofessionnalisiue, à trivers le monde, est nette-1 ment de'ini et devenu une i réalité objective, que les Clubs et Fédérations em!> as sent pour combattre l'ami teurisme cam >uflé. 0', nous croyons taire plai question atm qnouue s avise sir à nos lecteurs en publiant | l»' ,, J ul m'o is. lerement de ilt extenso l'interview sur le I rent,re 1 celui-ci ou celui .a, pr itessiourvilisme.-parue dans c, \ upa ^ e , ( ^ A ..'/-. (''''' b oo l liait, heb loin daire 22 au 23. | En Angleterre, les inein- ( lues libéraux du Cabinet Ram- S8V Me Donald se sont retirés, à cause de la politique protec- tionniste de celui-ci. Snowden, dans une lettre retentissante, a . . a vu le Capitaine Saiut- Cloud des boys scouts, en uni- forme militaire, insignes au re- vers, boulons métalliques, poi- trine constellée de décorations, culotte de pesa,jambières, épe- rons, stick, et que sais-je en- core, se pavanant dans les bu- rédaction. Passe au Par: Leconte. Malheureu- sement, un maie l'endu adroi- tement eiïtrefcuu condamne les inté.esses à garder une attitude dam iur propre qui retarde jusqu'ici leur rappio chement. -- Toutefois, essa- yons brièvement de situer la aussi démissionné en disant ; ',\reau- de rédaction, fasse en- .soncama.vde Me Doiudd qu'il \cors de taire la roue mais le avait renie ses principes I e ca- capilainedssbs^swuls^ao*. bineta élé complété. s .' u . n Intarissable aud.enc.er. m 28 spéculateurs prévenus d'avoir violé les règlements de la Commune sur les parcs d'animaux ont été expédiés par la police au J Tribunal.de Paix qui les a condamnés chacun à 7 gourdes d'amende. D'après nos renseignements, la police,'dans l'exécution de la loi.s'est montrée très cour- toise à leur endroit. En vue du déplacement pro- chain du^Colone: Calixte, le Major P. 3. André, "désigné pour le remplacer feomme Commandant du Département militaire du Centre, a accom- pagné le Sous-.Jiel de la Gar- de dans une tournée d'inspec- tion et de décharge que le Générai Vogel effectue dans ce Département, hi les choses marchent com- me nous n'avons jamais cessé de rapprendre, nous souhai- tons que le Commandant de la Garde ne trouve que des éloges a l'actif du Colonel Ca- lixte. Il faut aussi espérer que le Major André continuera cette discipline eijcetart de com- mander qui ont fait la repu 1 talion de son ^prédécesseur- iLes annales Ça^oises > Irança s exclusivement con sacré au toot-bill ( Jeu li 7 Juillet 1932;. In sroiew sur le profession - nalisiw. « Il est mainte- nant certaiu que l'Etcelsior de Koubiix participera au championnat professionnel Voici ce que m'a déclaré l'un des almin's'rnteurs: « Nous ue voulons plus vivre en marge des règlement < el no i voulons appeler un chat un Li Violette et deux de ses membres s sont radiés à tout jamais di cadre le 1TJSSI1 ». L'assemblée générale, du 2 Octobre 1932. jugeant trop sévère l'indication qui mi nace d'arrêter, du moins mo- lli m'auément, l'évolution sportive de la jeunesse émet un vœj d'apaisement. Ce vos i, par si rédaction incon- ditionnelle, mt face à face le Violette et le Conseil de I USSH. Lequel des deux élé- ments en présence est nor- malement, légilement armé chat. Nous avouons employer et qualilié pour donner suite des joueurs rémunérés, il a au jugement de la majorité? été créé uue catégorie spé- . Ua club irrémissiblement ra ciale pour eux, {nous les yjdié d'une Fédération peut-il engagerons. Nous ne voulons y retourner sans uuegirantie avoir d'amateurs marrons, motale qui soit la coasécra- nous prêterons avaut tout la tiou préalable de l'union dans franchise, nous aurons dans laquelle les adversaires d'hier notre Club des amaledrs purs entendant désormais vivre? et des protessionnels, mais Penser autrement équivaut pas de milieu au conseil ou à l'ordre donné i Four nous, ce n'est pas à un boni ne alterné, chargé une question de pourcentage de fers et le «carcan* au cou dans le pauage des recetles d'aller à ou une question de groupes qui doit changer la qualifica- tion des joueurs. L'uniqoe question qui est posée aux clubs, c'est de savoir s'ils sont encore partisans de rémuué- Carrefour,en vue de la cé- lébration de sa tète patronale : Si Charles, le I Novembre pro- chain, offre l'aspect dune foire. La fêle sera celte année parti- culièremenl brillante. i Des employés de com- merce haïtiens, sont renvoyés de cet laines maisons syriennes, sous prétexte d'économie, avec une grande désinvolture. On pense (pie le Gouvernement au- rait envisger, pour la protec- tion des indigènes, l'application de la loi Cauvin. | L'Institut Tippsnhauer B engagé connue professeur de culture physique el de sports un jeune anglais européen. Mon sieur Grebbs dont les étals de | service sont fort brillants. Les élevés de l'Institut donneront ', bientôt de beaux résultat* spor tils. C'est au Stadium Dessalincs I qu'ils évoluent. Avons revu avec plaisir à i Port BU Prince notre ami Mr Pernand Sajpus, Magistral Coin munal de Sainl Michel de l'Alla- laye, en voyage d'à lia ire. | Lire dans notre édition de ' demain : l Autour de lu Dette ' Publique, /.< Secrétaire d'Etat, desiFinajices et su Politique, »— i « Réponse à îles < onfrères ». Malgré l'intervention légale de I Ingénieur en Chef, Jeannol, j conlre le trafic illicite de crème glacée de l'Usine à (ilace, celle- ci conliuue son commerce abit , •if. On se demande quand pieu- dra fin ce scandale ? loué, au surplus, d'une voix de sientor. Lt cette lois, ca ne va plus. Nous prions les boys-scouts et son capitaine, malgré le plai- sir que l'on éprouve à les re- cevoir à la rédaction, de se rappeler qu'un bjreau de jour- nal est un endroil l'on ne s'attarde pas sans raison, et sur- tout l'on ne parle pas à lue tê'e. de peur de tmubler le travail des rsd icfsars.S ms ran- cune, Capitaine! » . . voit qu'à la rue Dan'ès Dfslouches, il y a une maison de passe l'on se livre à la petite industrie denUMer le ponte. li boorgeoil qu'on venail d'y tondra d sa montre et de st bourse eut l'autre lois le BSS> vais Bout de ne pas prendre la dune à la blague, el de laire un boucan de tous les diables. Le lieutenant Mole, lapidement alerté, lit une descente de lieux et repartil, son panier à salade clnrgé de gibier. Retrouvera- Lon les objets perdus? En tous cas, il reste à la victime la res- source 1 une neuvaia aSt.-\n- toine. la maison d'en face qui est pourvue de provi- sions de tuiles sortes: le supplice de Tantale. Enlevez d'abord les entraves et le supplicie lera le geste que vous souhaitez. *— JALMA LU DOUBLE ... voilque notre charmant ami Robert N'a lai, qui se proposait d être absent trois mois et plu*, nous esl revenu de New York quelques semaines après son départ. Abl nous a l-il confié, tous ne sauriez, vous imaginsr ce {que représente pour un Haïtien - ' dans ce pays dry, l'envie de . | déguster un petit Rhum Alix J. Roy'? A Haitlana, dimanche. Ce scénario s'apauie sur le i Idéal Rlium ALIX ROY 30 années de succès. rail, dans les roISS de Je m- données d'un roman célèbre. I I P-ol e. £Atejds> U révélât milieu évoqué est encore Irè) £'• * " î.ftK'ÏÏ^ i près de nous, et on ressentira u n Jirar 'i aftst e su cette terre 'Lotion réelle en assistant a >«» e che » ns s^nt n;s scelle aventure qui se passe en rares. ^«Lamu^y. daas Le ro^• ité el certaines Conatantinonlç constituent des f 80 nt dans Jalms 3 SfeM'RawsaB-

DU c'est la i PILULE JfflUT - ufdcimages.uflib.ufl.eduufdcimages.uflib.ufl.edu/UF/00/08/12/13/07141/00971.pdf · Clément Magloire DIRECTEUR " 1358. ROt AMEHICAINE 1358 1ELEPHONE

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Clément Magloire DIRECTEUR "

1358. ROt AMEHICAINE 1358 1ELEPHONE N°2242

On ne Murail c ncero r la toi.cj tiou de la pensée uni liberté, eou> me on ne peut in iginei cell» do poumoo MIU .m. La pensée eher< toujours dis sentes, nouvelles et (Ici principe* toujours plus exacts; pei cela un an , elle ne («eut se soumcttie aux limitations et au\ Contraintes ilogmatiqucs. _ *""

26férae ANNEE N° 7809 PORT-AU-PRINCE.(H A1TH VENDREDI 28 OCTOBRE 1932 ■ »>. . nm

Nouvelles DU

Cap-Haïtien Peut-on rétablir

la corvée ?...

Lundi soir.^vers les G heu- res est mort à l'Hôpital Jus- tioieo à la suite d'une courte maladie, l'honorable Me Jo- seph Alexis Vergniaud Le- couie. ancien grand louclion ■ naire, ancien Bâtonnier de l'Ordre des Avocats du Bar- reau de cette ville, auteur de plusieurs drames, représen- tés ici avec un complet suc- cès et l'un des plus remar- quables historié s du Roi Christophe.

Ses funérailles ont eu lieu le lendemain.à la Cathé Irale, vers les 4 heures de l'après- midi, en présence de Son Excellence Monseigneur Jan et au milieu d'une assistance nombreuse et distinguée, et lurent rehaussées par la pré- sence de la Fanfare Capois*. lu cimetière, Mr Christian Werleight et Me |Emile St Clair, Bâtonnier de l'Ordre de? Avocats,retracérent,en des termes émouvants, la'vie de l'illusire défunt qui, par l'in- d:pendauee de son caractère, la droiture de son cœur, la rectitude de sa conduite, la diversité de ses connaissan- ces, surtout en histoire d'Haï-, li, la protondeur et la disci- pline de son patriotisme, était parmi nous le symbole des principales vertus haïtiennes.

Samedi vers les 2 heures et demie de l'après-midi est décédé en ceite ville le re- gretté William Dugué, mar • cband-tailleur,ancien inspec- teur de Police du Cap.aucieu Président de la Société de Secours Mutuel,Membre Fou dateur de la Ligue du Bien Public.

Ses luuérailles ont eu lien le lendemain, à la Cathé- drale, au milieu d'une nom- breuse assistance de parents et d'amis.

Le Dr Olilant de la Mis- sion Scientifique Américaine a le projet de tonder ici un grand et unique parc com- munal pouvant contenir au moins 101)0 chevaux, avec de gros tuyaux conduisant l'eau dans des abreuvoirs en ci- ment, des water-closets, des douches pour les paysans et 1 vétérinaire pour la guérison des plaies et la toilette des chevaux. Il y aura deux por- tes d'entrée et de sortie mo- numentales. Le Or Olifant compte créer ici une société protectrice des animaux.Déjà tro*médecin de l'Occupation, à Porl-au -Prince, lui a versé à ce sujet 25 dollars.SouhaU tons que chacun, en cette ville," imite cet exemple. D'a- près nos renseignements, no- tre distingué Magistrat Com- munal Mr Edriss Duviviera approuvé tous ces beaux plans du Dr Olilant.

• • Les élections, pour le re-

nouvellement du Conseil de Discipline de l'Ordre des Avo- cats, ont eu lieu vendredi, vers les 11 heures du matin. Me Emile St Clair a été réélu bâtonnier, Mes Emmanuel Paul, Edriss Duvivier, Jean Lambert, Gabriel Duchélue, Frédéric Robinson, Descaries Albert, Luc Prophète, Ludo- vic Magloire, membres, L. Prophète, secrétaire.Nos com- pliments aux élus et notam- ment au Bâtonnier réélu, Me Emile St Clair, dont le beau talent d'avocat et les bril- lantes qualités d'orateur ont provoqué.en sa taveur.encore Un • fois.toute cette véritable maailt station de sympa Ihie de la part de ses con'rè- çes,

o-o

Nous rapportions, ces jours derniers, qu'une plainte avait été adressée tant au gouverne- ment qu'au quartier général de la Garde d Haïti contre certaines pratiques abusives mises en œuvre dans les sections rurales, particulièrement dans celle de la Rivière-Froide.

Un confrère prit la mouche et nous adressa le reproche d'a- voir cité des noms « honora- bles-». Nous sommes|heureux de pouvoir affirmer que nous n'a- vions point l'intention de nous attaquer à l'honorabilité de qui que ce soit. Nous avons simple- ment fait notre devoir en don- nant un renseignement de pre- mière main,

11 nous revient que l'affaire n'est pas dénuée d'importance. Elle a mérité la haute attention du gouvernement et celle du Commandant de la Garde , au point qu'une enquête a été or- donnée prompîement.

Si nos renseignements sont exacts, l'investigation a pris fin avant hier vers midi. Quand nous en connaîtrons les effets, nous les communiquerons à nos lecteurs.

Vie Sportive

Qu'est-ce que le pro'essioir nalisme ? — L'évolution des sports athlétiques, notam- ment le'foot-bail, sa pratique à outrance, a lait de ce jeu un jeu national; «comme t*l, tout le inonde devrait pou- voir saisir les moindres nuan- ces qui caractérisent l'acti'a- lité du « ballon rond ». A ce sujet nous voulons souligner que les régies de Vamateurvh me sont aujourd'hui en op- position crian e avec les vi- sées'-professionnalistes des amateurs marrons qui intes- tent les clubs sportifs d'Haïti et des autres pays. L'Anglais, peuple pratique.a, le premier, compris l'utilité d'étiqueter les amateurs camo iflea, par- fois plus exigeants que les piofessijnnels eux-mêmes. En France, la il F A résolvant le honteux problème dïnsincé-

le Purgatif idéal * c'est la

i PILULE JfflUT 147, Rui du Faub. St-Dtnis. Paris

Ne n< c- iitmit aucun prlpnratSf,

elle De provoque jamais de dégoût. Supprimant la dirt«\

elle ne débilite pas le malade. NVsigeant pas de repos à la chambre,

elle tu cause aucune perle de temps. Pl»tf active que tous les similaires,

elle est, par conséquent, moins cbère.

DOSE PURGATIVE. 2 a 3 Pilule* LAXATIVE, 1 Pilule C

—ECHOS- — On se plaint généralement

de la courte vue du Bureau dea Contributions qui exige que lea touristes qui débarquent en Hafc ti payent quatre dollars cha- I cun, pour passeport Dans tous 1

\ les pays, de très grandes l'acili- I i tés sont accordées aux touriste», I , } - et ceci pour le profit public. £~J«f< ?uaa *** J» Fort

Le Bureau des Contributions a- St.-Ua.r la mer a rejeté le es-

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VOIRE CUISINE, MADAME.

Lui de nos amis qui était parti pour un tort long sé- jour aux Etats-Unis est rentré précipitamment l'autre matin à Port-au-Prince.

A ceux qui lui demandaient la cause de ce retour inatten - du, il a répondu :

— Que voulez-vous ? la cuisine qu'on me taisait ne l'était point avec la hantègue des Lsines de Port au-Prince et de Saint-Marc.

Bec-Fin.

nérer leurs joueurs ou de re- venir à l'amateurisme inté- gral. Notre club qui rompn n«l 1.352 membres ne devient pas professionnel en indemnisant une di/.iine di joueurs. Il reste essentiellement ama- teur, son unique bat étant de développer et d'encourager la pratique des Sports. Nous

rite de ceux qui s'intitulent, avûlls.Ull passé et une réputa- amateurs, vient aussi d'orga-j |joa àldétendrcce serait taire niser le «championnat de m rcH* arriére q'.e d'aller à France profession lel » (19:12- rencontre de révolution du 33), Donc « pas de milieu »»: football Qu'avons nous à per- toutinlividu qui reçoit une dre dars l'aventure? \bsolu- îndemmté quelconque pour m«n[ rjen, nous ne voyons sa participation à une réu |)1S eil celte ail lire du pre- Dion athlétique est proies- iessionnalisme une faillite li sionnel, exception faite des nancière, nous avons pesé le Irais de voyage et de séjour pour et je conlre et nous limité des athlètes en pays croyons que les conséquences étrangers. Toute fédération seraient peut-être plus graves q li orgauise des (êtes athléti- sj nolre équipe première re- quesoû sont admis des pro devenait amateur.» lessionnels qualifiés fait aussi acte de protessionualisme.— Tout membre individuel nu sociétaire qui reçoit des trais pour soins médicaux d'un

nuséie ou de la le isori

Ml tatéréi B^éToignar Wtôuriï- . davre, ,d'ua nouveau-né. à la us de nos rives ? Il semble, à !Peau Waneha et aux yeux pis, considérer les embarras qu'il. leur ciée pour séjourner en|*«li0.'<',eJ"T*e*/**}, u-j.j ■ (.jamais? hn allendan'.'a pol ce

. -On annonce que la alation^clte'che actnemert la mère de radio H. H. K. ne fonction-T«M«<",as. ne plus. Des gens penseul que' ce n'esl pas h op lot.

— Les préfets dea communes de première catégorie, informe- ! on, ont BUgfféré aux Conseils communaux de confier la per ception des taxes communales au service des Contributions. Celle suggestion parait avoir été agréée par les Communes de la République, sauf Port-au-

I Prince et la Cité de l'Indépen- ' (

...voit qu'a Damien un p»:it Scandale ;i encore éclaté l'au're jour à l'occasion de l'auto d'un Chel de service, qu'un ci s de lorce majeurs avait obligé la direction à réquisitionner.

Le Chel de service, perdant tout sangdio'd, proféra, paiail- il, des menaces inq mêlantes.—- Sonl-ce toujours les mêmes iu- trigues, les mêmes tripotages et

lance. Mais on prévoit qu'elles! ■ indisdplins récemment slig- .iniront par capituler. J inatisés par le Président de la

| -On parle d'un petit iiui- .République q u continuent.» J dent de voiture automobile qui •'• ... mirait eu lieu a Dainiens l'autre , - » revl'» av,e,c Plwsir. notre :our charmant ami Robert Nadal de

— La nouvelle loi sur lad-1 rel°*,r d'un vovage d'affaires mission des étudiants à l'École ■"* E'»'»*1 uis et au Canada.

\li Nadal nous revient plein de lanté et d'eniliousasnie. Il croit à une prochaine reprisa des al ' laires el à la victoire de Hoover

( sar Roosevelf, crace au con- ■ i.iiwini.ii viinii.ii ,i cuit■- i j ,• ,-j gislré dans I.. journée du 22 ,K-Jcou,s généreux de Loolidge.

. tobre quatre accidents,— dans celle du 23 huit,— 7 décès du

de Droit a donné ses résultats : sélection. Aussi, ne comple-l-on en première année qu'une Iren- taine d'étudiants.

— L'Hôpital Général a enre-

o-o

Vous connaissez la lière réponse que fit un jour Jean Kichepin à l'é- conome de l'Ecole normale supé- rieure qui. s'étail oublié à lui récla- mer de l'argent. Le futur poète des T gueux avait d'abord boutonné son veston, et se drapant dans sadigr.ilé, avait répondu sublimeiuent u l'im- pudent : « Monsieur, apprenez qu'on ne tond pas un œuf. » Certes, on ne tond pas un œuf qui nous arrive tel qu'il a élé pondu. Mais on sècbe un carafon de RHUM SARTRE CA- CHET D'OR qui sort du Grand Dé- pôt.

Autour du retour de la «1 io- Ici te t à 11 SSfi> - H nous en COÛ'e de parler une nouvelle

Saoo^ûoeTéSrâÛîeirëlit fji,s je cette vieille querelle au'si professionnel; que«»as«a4l dej;

Comme on a pu le com- prendre, le p ofessionnalisiue, à trivers le monde, est nette-1 ment de'ini et devenu une i réalité objective, que les Clubs et Fédérations em!> as sent pour combattre l'ami teurisme cam >uflé.

0', nous croyons taire plai question atm qnouue s avise sir à nos lecteurs en publiant |l»',,J

ul m'o is. lerement de ilt extenso l'interview sur le I rent,re

1 celui-ci ou celui .a,

pr itessiourvilisme.-parue dans c,\upa^e ,(^ A ..'/-.■(''''' b oo l ■ liait, heb loin daire

22 au 23. | — En Angleterre, les inein- ( lues libéraux du Cabinet Ram-

S8V Me Donald se sont retirés, à cause de la politique protec- tionniste de celui-ci. Snowden, dans une lettre retentissante, a

. . a vu le Capitaine Saiut- Cloud des boys scouts, en uni- forme militaire, insignes au re- vers, boulons métalliques, poi- trine constellée de décorations, culotte de pesa,jambières, épe- rons, stick, et que sais-je en- core, se pavanant dans les bu-

rédaction. Passe

au Par: Leconte. Malheureu- sement, un maie l'endu adroi- tement eiïtrefcuu condamne les inté.esses à garder une attitude dam iur propre qui retarde jusqu'ici leur rappio chement. -- Toutefois, essa- yons brièvement de situer la

aussi démissionné en disant ;',\reau- de rédaction, fasse en- .soncama.vde Me Doiudd qu'il \cors de taire la roue mais le avait renie ses principes I e ca- capilainedssbs^swuls^ao*. bineta élé complété. s.' u.n Intarissable aud.enc.er.

m

28 spéculateurs prévenus d'avoir violé les règlements de la Commune sur les parcs d'animaux ont été expédiés par la police auJ Tribunal.de Paix qui les a condamnés chacun à 7 gourdes d'amende. D'après nos renseignements, la police,'dans l'exécution de la loi.s'est montrée très cour- toise à leur endroit.

• • En vue du déplacement pro-

chain du^Colone: Calixte, le Major P. 3. André, "désigné pour le remplacer feomme Commandant du Département militaire du Centre, a accom- pagné le Sous-.Jiel de la Gar- de dans une tournée d'inspec- tion et de décharge que le Générai Vogel effectue dans ce Département,

hi les choses marchent com- me nous n'avons jamais cessé de rapprendre, nous souhai- tons que le Commandant de la Garde ne trouve que des éloges a l'actif du Colonel Ca- lixte.

Il faut aussi espérer que le Major André continuera cette discipline eijcetart de com- mander qui ont fait la repu 1 talion de son ^prédécesseur-

iLes annales Ça^oises >

Irança s exclusivement con sacré au toot-bill ( Jeu li 7 Juillet 1932;.

In sroiew sur le profession - nalisiw. — « Il est mainte- nant certaiu que l'Etcelsior de Koubiix participera au championnat professionnel Voici ce que m'a déclaré l'un des almin's'rnteurs: « Nous ue voulons plus vivre en marge des règlement < el no i voulons appeler un chat un

Li Violette et deux de ses membres s sont radiés à tout jamais di cadre le 1TJSSI1 ». L'assemblée générale, du 2 Octobre 1932. jugeant trop sévère l'indication qui mi nace d'arrêter, du moins mo- lli m'auément, l'évolution sportive de la jeunesse émet un vœj d'apaisement. Ce vos i, par si rédaction incon- ditionnelle, mt face à face le Violette et le Conseil de I USSH. Lequel des deux élé- ments en présence est nor- malement, légilement armé

chat. Nous avouons employer et qualilié pour donner suite des joueurs rémunérés, il a au jugement de la majorité? été créé uue catégorie spé- . Ua club irrémissiblement ra ciale pour eux, {nous les yjdié d'une Fédération peut-il engagerons. Nous ne voulons y retourner sans uuegirantie avoir d'amateurs marrons, motale qui soit la coasécra- nous prêterons avaut tout la tiou préalable de l'union dans franchise, nous aurons dans laquelle les adversaires d'hier notre Club des amaledrs purs entendant désormais vivre? et des protessionnels, mais Penser autrement équivaut pas de milieu au conseil ou à l'ordre donné

i Four nous, ce n'est pas à un boni ne alterné, chargé une question de pourcentage de fers et le «carcan* au cou dans le pauage des recetles d'aller à ou une question de groupes qui doit changer la qualifica- tion des joueurs. L'uniqoe question qui est posée aux clubs, c'est de savoir s'ils sont encore partisans de rémuué-

— Carrefour,en vue de la cé- lébration de sa tète patronale : Si Charles, le I Novembre pro- chain, offre l'aspect dune foire. La fêle sera celte année parti- culièremenl brillante.

i Des employés de com- merce haïtiens, sont renvoyés de cet laines maisons syriennes, sous prétexte d'économie, avec une grande désinvolture. On pense (pie le Gouvernement au- rait dû envisger, pour la protec- tion des indigènes, l'application de la loi Cauvin.

| — L'Institut Tippsnhauer B engagé connue professeur de culture physique el de sports un jeune anglais européen. Mon sieur Grebbs dont les étals de

| service sont fort brillants. Les élevés de l'Institut donneront

', bientôt de beaux résultat* spor tils. C'est au Stadium Dessalincs

I qu'ils évoluent. — Avons revu avec plaisir à

i Port BU Prince notre ami Mr Pernand Sajpus, Magistral Coin munal de Sainl Michel de l'Alla- laye, en voyage d'à lia ire.

| — Lire dans notre édition de ' demain : l Autour de lu Dette ' Publique, /.<■ Secrétaire d'Etat, desiFinajices et su Politique, »— i « Réponse à îles < onfrères ».

— Malgré l'intervention légale de I Ingénieur en Chef, Jeannol, j conlre le trafic illicite de crème glacée de l'Usine à (ilace, celle- ci conliuue son commerce abit • , •if. On se demande quand pieu- dra fin ce scandale ?

loué, au surplus, d'une voix de sientor. Lt cette lois, ca ne va plus.

Nous prions les boys-scouts et son capitaine, malgré le plai- sir que l'on éprouve à les re- cevoir à la rédaction, de se rappeler qu'un bjreau de jour- nal est un endroil où l'on ne s'attarde pas sans raison, et sur- tout où l'on ne parle pas à lue tê'e. de peur de tmubler le travail des rsd icfsars.S ms ran- cune, Capitaine!

• » . . voit qu'à la rue Dan'ès

Dfslouches, il y a une maison de passe où l'on se livre à la petite industrie denUMer le ponte. li boorgeoil qu'on venail d'y tondra d sa montre et de st bourse eut l'autre lois le BSS> vais Bout de ne pas prendre la dune à la blague, el de laire un boucan de tous les diables. Le lieutenant Mole, lapidement alerté, lit une descente de lieux et repartil, son panier à salade clnrgé de gibier. Retrouvera- Lon les objets perdus? En tous cas, il reste à la victime la res- source 1 une neuvaia • aSt.-\n- toine.

la maison d'en face qui est pourvue de provi- sions de tuiles sortes: le supplice de Tantale. Enlevez d'abord les entraves et le supplicie lera le geste que vous souhaitez.

*—

JALMA LU DOUBLE

... voilque notre charmant ami Robert N'a lai, qui se proposait d être absent trois mois et plu*, nous esl revenu de New York quelques semaines après son départ.

Abl nous a l-il confié, tous ne sauriez, vous imaginsr ce

{que représente pour un Haïtien - ' dans ce pays dry, l'envie de

. | déguster un petit Rhum Alix J. Roy'?

A Haitlana, dimanche. Ce scénario s'apauie sur le i

Idéal Rlium ALIX ROY

30 années de succès.

rail, dans les roISS de Je m- données d'un roman célèbre. I I P-ol e. £Atejds> U révélât milieu évoqué est encore Irè) £'•■*■" î.ftK'ÏÏ^

i près de nous, et on ressentira u n Jirar 'i aftst e su cette terre 'Lotion réelle en assistant a où >«» e™bûche» ns s^nt n;s scelle aventure qui se passe en rares. ^«Lamu^y. daas Le ro^•

ité el certaines Conatantinonlç constituent des f 80nt dans Jalms

3 SfeM'RawsaB-