Dynamique de l’emploi et évolution des métiers · Réponse : « Augmentation des effectifs » 54% 20% 59% 0% 25% 50% 75% 100% Editeurs de moins de 10 salariés Editeurs de 10

Réalisée par Karim BAHLOUL, Se Eng TAN DUTRIEUX, Sandrine GINESTE, Alain PETRISSANS de chez IDC pour le compte de l’OPIIEC

Le secteur de l’édition logiciels

Dynamique de l’emploi et évolutiondes métiers

4 Janvier 2007

2© IDC - OPIIEC

MéthodologieMéthodologie

Étude quantitative : 735 entretiens

488 entretiens menés auprès des salariés répartis en 6 métiers :

Ingénieur commercial, Ingénieur avant-vente, Responsable de l’offre, Architecte, Ingénieurs développement, Consultants (techniques et fonctionnels)

247 entretiens menés auprès des dirigeants répartis en 3 Directions

Direction Commercial, Direction Études et Développement, Direction des Services

Phase 1 : Étude macroéconomique sur le secteur des logiciels (restitutions le 05/09/2006 et le 21/09/2006)

Phase 2 : Recueil des informations

Étude qualitative : 55 entretiens

19 entretiens menés auprès des dirigeants

26 entretiens menés auprès des salariés

10 entretiens menés auprès d’organismes de formation (6 organismes)

Sage, IBM, Ilog, Progress Software, Generix, Infor, Talend, Coheris, IdealX, Lyria, Esker, Syspertec, Amdocs, Equity, Eudoweb, Mathworks

2 écoles de commerce (EM GRENOBLE, EM LYON)2 écoles d’ingénieurs (INSA Lyon, ESIAC Nancy2 universités : Paris 12 - Créteil : ISIAG – IUP (MIAGE), Paris 5 - IUT de Paris

3© IDC - OPIIEC

Phase 3 : Restitution de l’ensemble des résultats de l’étude devant le comité de pilotage le 19/12/06

Phase 4 : Restitution de la synthèse de l’étude le 04/01/2007

Phase 5 : Mise à jour du référentiel métiers (en cours, livraison 31/01/2007)

Méthodologie Méthodologie

4© IDC - OPIIEC

L’emploi au sein des éditeurs de logiciels : métrique et dynamique 2006

Les besoins de recrutement des éditeurs pour les 24 prochains mois

Les tensions sur le marché de l’emploi au sein de l’édition de logiciels

Les besoins des éditeurs en matière de formation continue

Organismes de formation : constats et leviers d’action

SommaireSommaire

5© IDC - OPIIEC

10%

19%

71%

0% 25% 50% 75% 100%

Moins de 10salariés

10 à 39 salariés

Editeurs avec40 salariés et

plus

Bilan de l’emploi en 2006 Bilan de l’emploi en 2006 Répartition des effectifs salariés

suivant la taille des éditeurs de logiciels (73 000 salariés)

51 600 salariés chez 185 éditeurs

7 500 salariés chez 290 éditeurs

13 900 salariés chez 2 725 éditeurs

73 000 salariés dans le secteur des logiciels en FranceLe top 185 des éditeurs (6% des éditeurs) regroupe près des ¾ des salariés du secteur : 51 600 collaborateursLes petits éditeurs regroupant moins de 10 salariés emploient 20% des effectifs du secteur (13 900 salariés)

17%

30%

53%

0% 25% 50% 75% 100%

Répartition des créations nettes d’emplois sur 2006

(3 000 emplois)

6© IDC - OPIIEC

Les éditeurs qui ont augmenté leurs effectifs en 2006Les éditeurs qui ont augmenté leurs effectifs en 2006

Question : Sur la France, au cours des 12 derniers mois, comment ont évolué les effectifs de votre entité ?Réponse : « Augmentation des effectifs »

54%

20%

59%

0% 25% 50% 75% 100%

Editeurs demoins de 10

salariés

Editeurs de 10 à39 salariés

Editeurs de 40salariés ou plus

Parmi les 3 200 éditeurs en France Dynamique marché : 69% des éditeurs prévoient une croissance de leur activité en 2006

Dynamique emplois : 25% des éditeurs ont augmenté leurs effectifs : 800 éditeurs ont recruté des collaborateurs sur les 12 derniers mois (2006)

8% des éditeurs ont réduit leurs effectifs en 2006

530 éditeurs

160 éditeurs

110 éditeurs

aux "Dirigeants"

7© IDC - OPIIEC

+4,3%

+7,1%

+6,9%

+3,2%

0% 3% 5% 8% 10%

Editeurs de moins de 10 salariés

Editeurs de 10 à 39 salariés

Editeurs avec 40 salariés et plus

Total Editeurs

La dynamique de l’emploi en 2006 suivant la taille des éditeurs(Croissance nette des emplois entre 2005 et 2006, et volume d’emplois)

La création nette d’emplois en 2006

Croissance des emplois en 2006 Nombre de création nette d’emplois

+900

+500

+1 600

+3 000

0 1 000 2 000 3 000 4 000

1 400 créations nettes d’emploi chez les éditeurs de moins de 40 salariés en 2006

Une dynamique 2 fois supérieures à celle des grands éditeurs : +7% en 2006 versus +3,2%

+7%

Questions aux "Dirigeants"

8© IDC - OPIIEC

La répartition des effectifs salariés par métiersLa répartition des effectifs salariés par métiers

16%

32%

23%

29%

0% 10% 20% 30% 40%

Autres

DivisionServices et

Support

Division Etude etdéveloppement

(R&D)

DivisionCommercial et

Marketing

12 000 salariés• 5 800 commerciaux• 3 800 avant-vente

Répartition des effectifs salariés suivant les métiers (73 000 salariés)

21 000 « développement »

23 000 salariés dans les services

Comptabilité, Finance, RH, informatique …


9© IDC - OPIIEC

La dynamique de l’emploi en 2006 (Croissance nette des emplois entre 2005 et 2006, et volume d’emplois)

500 nouveaux salariés ont gonflé les équipes commerciales des éditeurs en 2006 (hors avant-vente)

Besoin fort exprimé par toutes les classes d’éditeurs 17% des recrutements concernent les commerciaux en 2006

Une dynamique de l’emploi portée en 2006 par le recrutement de nouveaux commerciaux

+4,3%

+7,1%

+5,0%

+5,5%

+9,4%

0% 5% 10% 15%

Division Services et Support

Division Etude et développement

dont commerciaux

Division Commercial et Marketing

Total Editeurs

+1 200

+1 000

+500

+800

+3 000

0 1 000 2 000 3 000 4 000

Croissance des emplois en 2006 Nombre de création nette d’emplois


10© IDC - OPIIEC

Une vue de l’emploi sur 6 ansUne vue de l’emploi sur 6 ans

50 000

60 000

70 000

80 000

90 000

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 (p) 2007 (p) 2008 (p)

5 900 nouveaux emplois sur la période 2000 - 2005

Près de 6 000 créations nettes d’emplois dans l’édition entre 2000 et 2005 (8% des effectifs)

Le nombre d’embauche nette a doublé en 2005 (+4,5%, 3 000 personnes) par rapport à 2004 (+2,1%, 1 400 personnes)

Cette tendance se confirme en 2006 avec la création de 3 000 nouveaux emplois (+4,3%)

80 000

64 100

3 années de stagnation des effectifs en 2001, 2002 et 2003, à l’image du ralentissement sur le marché des logiciels

Reprise de la création nette d’emplois en 2004 (+2,1%) et 2005 (+4,5%), tirée par la bonne tenue du secteur (revenus = +6% en 2005)

• 73 000 salariés

2006

Les effectifs au sein des éditeurs de logiciels en France

• 3 000 emplois créés en 2006

• + 4,3% en 2006

En 2006

11© IDC - OPIIEC






SommaireSommaire

12© IDC - OPIIEC

Les éditeurs créateurs d’emploi en 2007 et 2008

Question : Comment devraient évoluer vos effectifs au cours des 24 prochains mois ?Réponse : « Augmentation »

76%

61%

75%

0% 25% 50% 75% 100%

Editeurs de moinsde 10 salariés

Editeurs de 10 à 39salariés

Editeurs de 40salariés ou plus

2 000 éditeurs projettent d’augmenter le nombre de leurs effectifsLes éditeurs sont confiants dans le développement de leurs activités : 63% d’entre eux projettent d’augmenter le nombre de salariés dans les 24 prochains mois

2% des éditeurs anticipent une réduction de leurs effectifs

aux "Dirigeants"

13© IDC - OPIIEC

Les éditeurs anticipent 11 000 nouveaux collaborateurs d’ici fin 2008

5 500 créations nettes d’emploi anticipées par les éditeurs chaque année en 2007 et en 2008

Plus de la moitié des prévisions d’augmentation est issue des éditeurs de petite taille : 5 800 créations d’emploi anticipée à l’horizon 2008 (53% du total)

Sur cette base, le nombre total d’employés dans le secteur des logiciels atteindrait 84 000 salariés en 2008 (contre 73 000 en 2006)

+19%

+9%

+4%

+7%

0% 5% 10% 15% 20% 25%

Editeurs de moins de 10 salariés

Editeurs de 10 à 39 salariés

Editeurs avec 40 salariés et plus

Total Editeurs

Croissance annuelle moyenne des emplois en 2007 et 2008

(projet déclarés)

Nombre de créations nettes d’emplois sur 2 ans (2007 + 2008)

(projet déclarés)

+11 000

+3 800

+1 400

+5 800

0 5 000 10 000 15 000


14© IDC - OPIIEC

Les créations nettes d’emploi en 2007/2008 selon les métiers

Nombre de créations nettes d’emplois sur 2 ans (2007 + 2008) (projet déclarés)


900

1 875

725

325

850

1 800

125

1 525

1 725

0 500 1 000 1 500 2 000

Supports techniques

Consultants Services

Responsable de l'offre

Architectes

Chefs de projet développement

Analystes programmeurs

Marketing/Communication

Avant-vente

Commerciaux

56% chez les petits éditeurs de moins de 10 salariés

80% chez les éditeurs de plus de 40 salariés

75% chez les éditeurs de moins de 10 salariés

Une répartitionUne répartition identique : 45% chez les petits, 15% chez les moyens et 40% chez les grands

15© IDC - OPIIEC

50 000

60 000

70 000

80 000

90 000

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 (p) 2007 (p) 2008 (p)

5 900 nouveaux emplois sur la période 2000 - 2005

64 100

2008(p)

Les effectifs au sein des éditeurs de logiciels en France : prévisions à 2008

3 000 en 2006

3 400 à 5 500 nouveaux

emplois par an en 2007 et 2008

Hypothèse basse**79 80073 000

Hypothèse haute*84 000

Les hypothèses IDC de la création nette d’emploi en 2007 et 2008

Hypothèse haute* : basée sur le déclaratif des éditeursL’hypothèse basse** : basée sur la pondérations suivante

50% pour les éditeurs de moins de 10 salariés65% pour les éditeurs de 10 à 39 salariés80% pour les éditeurs de 40 salariés et plus

16© IDC - OPIIEC

Une croissance de l’emploi en ligne avec la croissance économique du secteur

Le marché des logiciels (source IDC) 2005 2006 2007 2008

Marché en valeur (M€) 8 191 8 689 9 197 9 750

Croissance marché 6,6% 6,1% 5,8% 6,0%

Le marché de l'emploi (éditeurs de logiciels) 2005 2006 2007 2008

Croissance de l'emploi (Hypothèse basse) 4,5% 4,3% 4,6% 4,6%

Croissance de l'emploi (Hypothèse haute) 4,5% 4,3% 7,3% 7,3%

Les prévisions de croissance IDC pour 2007 et 2008 sont révisées chaque trimestre

La tendance est une révision à la hausse des prévisions de croissance

17© IDC - OPIIEC



Les tensions sur le marché de l’emploi au sein de l’édition de logicielsLes métiers du développement

L’Offshore impacte les métiers du développement

Difficultés de recrutement et évolution technologique au cœur des enjeux

Les métiers de la vente



SommaireSommaire

18© IDC - OPIIEC

86%

11%

0,3%

3%

0% 50% 100%

Non et pas de projet

Non, mais en réflexion

Non, mais en projet

Oui

11% des éditeurs français ont localisé des équipes de développement à l’étranger

Question : Est-ce que certaines équipes de développement sont basées hors de France (éditeurs français) ? aux

"Dirigeants"

3%

21%

4%

0% 10% 20% 30%

Editeurs de moins de10 salariés

Editeurs de 10 à 39salariés

Editeurs avec 40salariés et plus

Pourcentage d’éditeurs français qui localisent des équipes de développement

dans les pays à faibles coûtsQuestion aux "Dirigeants"

Réticence à communiquer une information sensible : le faible taux de projets n’est pas représentatif2% des éditeurs de plus de 40 salariés déclarent des projets d’offshoring pour les prochaines années

L’offshore est moins considéré comme une solution pertinente par les éditeurs développant des solutions à forte connotation métiers (RH, Gestion comptable…)

Bulgarie, Roumanie, Russie, Maroc, Liban, Chine …

19© IDC - OPIIEC

L’impact de l’Offshore sur les équipes locales

Question : Souhaitez-vous conserver des développeurs sur la France dans les prochaines années ?

Oui49%

Non42%

Pas encore décidé

9%

69% des éditeurs pratiquant l’externalisation projettent de renforcer leurs équipes basées hors de France (ou y réfléchissent)

Volonté croissante d’externaliser à l’étranger la réalisation des tests

La moitié des éditeurs pratiquant l’offshore souhaite conserver des équipes de développeurs en France

42% des éditeurs souhaitent externaliser tous leurs développeurs : ils ne conservent localement que des fonctions d’architecte ou chefs produits

aux "Dirigeants"

20© IDC - OPIIEC

Le recrutement des analystes programmeurs se fera dans les petites structures

Les métiers du développement (salariés) 2006 2008 (p) Création nette

Analystes programmeurs / Développeurs 9 000 10 800 1 800

Chefs de projet développement, Ingénieur développement 6 250 7 100 850

Architectes techniques ou fonctionnels 3 200 3 525 325

Responsable produit, responsable de l'offre 2 550 3 275 725

Total Division 21 000 24 700 3 700

14%

17,1%

44%

26%

0% 20% 40% 60%

Analystes programmeurs

Chefs de projet développement

Architectes techniques oufonctionnels

Responsable produit, responsablede l'offre

Question : Projetez-vous d'augmenter les effectifs suivants au cours des 2 prochaines années (à fin 2008) ?Réponse « Oui »

• Essentiellement les petits éditeurs(41%) et les moyens (53%)

• 75% chez les petits éditeurs (1 350 salariés)

• 19% chez les moyens (350)• 6% chez les grands (100)

Les métiers du développement : volumétrie et perspectives de recrutement à 2008

aux "Dirigeants"

• Seuls 15% des « grands »éditeurs projettent d’embaucher des analystes programmeurs

• Près de 10% d’entre eux projettent de réduire leur nombre

21© IDC - OPIIEC









SommaireSommaire

22© IDC - OPIIEC

56% des éditeurs déclarent des difficultés majeures pour recruter leurs équipes de développement

Éditeurs de plus de 40 salariésDifficultés pour recruter des profils haut niveau à des postes de chef de projet ou responsable de l’offre

Éditeurs de moins de 40 salariésDifficultés à recruter des profils d’analystes programmeurs

Question : Éprouvez-vous des difficultés importantes pour recruter des salariés au sein de la Division Étude et développement logiciel ?

Pas de difficultés majeures

44%

Difficultés majeures

56%

aux "Dirigeants"

Des difficultés partagées quelle que soit la taille• 58% des éditeurs de plus de 10 salariés• 52% des éditeurs moins de 10 salariés

23© IDC - OPIIEC

11%

14%

11%

23%

9%

39%

64%

0% 20% 40% 60% 80%

Localisation géographique peuattractive

Faible attractivité del'entreprise

Manque de visibilité del'entreprise

Salaires proposés insuffisants

Désaffection de la filière deformation

Pénurie de postulants pourcombler la forte demande

Manque de connaissances /compétences des postulants

Question : Selon vous, quelles sont les raisons majeures qui expliquent les difficultés de recrutement des populations « Études et Développement logiciels »?

Difficulté #1 : Déficit de compétence des postulants

Les éditeurs remettent en question les formations courtes (Bac+2, Bac+3)

Les profils juniors développeurs / analyste programmeurs sont très nombreux à postuler mais ont de fortes lacunes

mauvaise maîtrise des fondamentaux à la sortie du cursus (C++, Java) Manque de maturité/sensibilité àla vie de l’entreprise

Stages et apprentissage sont identifiés comme permettant d’intégrer les nouvelles recrues (culture maison, méthodes de développement)Les stages sont pratiqués, mais peu d’éditeurs ont aujourd’hui recours à l’apprentissage

aux "Dirigeants"

24© IDC - OPIIEC

11%

14%

11%

23%

9%

39%

64%

0% 20% 40% 60% 80%








Question : Selon vous, quelles sont les raisons majeures qui expliquent les difficultés de recrutement des populations « Études et Développement logiciels »?

Difficulté #2 : Pénurie de postulants

Les éditeurs sont satisfaits des compétences des niveaux Bac+5Mais ils font face à une pénurie de postulants

Ils déplorent la faible visibilité des éditeurs et de leurs métiers auprès de la cible

Pénurie forte sur les profils junior+(3 à 5 ans d’expérience) et sur les profils confirmés (5 ans et +)

Sur les métiers de chefs de projet développement et architectes(avec des compétences Java pointues)

aux "Dirigeants"

Concurrence des SSII : forte attractivité (diversitédes missions, salaires, évolutivité)

Concurrence des Directions Informatiques

15% à 20% des salariés du développement projettent de quitter le secteur de l’édition logiciels

25© IDC - OPIIEC

Faire face à l’évolution permanente des technologies

Nécessité de s’adapter dynamiquement àl’évolution des technologies

Accélération forte des cycles technologiquesNécessiter d’adapter les applicatifs pour qu’ils supportent les environnements Open Source (Jboss, PostgreSQL, MySQL, Linux…) Réécriture des logiciels pour les adapter au monde objet, à l’ASP (Java/J2EE, .Net, Plates-formes Websphere…)Eclipse RCP Méthodes Ajax pour les environnements Web Réflexions fortes autour des architectures orientées services (SOA), du Web 2.0

60%

24%

23%

45%

0% 20% 40% 60% 80%

L'évolution de l'organisation dutravail

L'évolution des méthodologies detravail

L'évolution des usages destechnologies par vos clients

L'évolutions des technologies

Question : Quels sont les facteurs qui ont un impact important sur l'évolution de votre métier dans l'entreprise ?(Questions aux salariés : métiers du développement)

Besoins de formation des équipes de développement sur ces technologies

Tant au niveau des formations initiales que des formations continues

Peu de développeurs aujourd’hui car environnement très récent (2 ans), mais adoption en phase de croissance

26© IDC - OPIIEC

Le support technique alimente les équipes de développementsDiminution des besoins en support technique : maturité/stabilité croissante des logicielsTendance à l’externalisation du support technique à l’étranger pour en réduire les coûts

Ouverture des postes d’architectes aux consultants services (techniques ou fonctionnels)

Favoriser la montée en puissance des développeurs vers les métiers de l’architecture

Réaffectation des équipes de réalisation des testsL’externalisation à l’étranger de la réalisation des tests est en cours de réflexion chez les éditeurs

Certaines pratiques présentées par les éditeurs

Les éditeurs mettent en place des processus de gestion des compétences internespermettant de favoriser les passerelles entre les métiers

58% des éditeurs de plus de 40 salariés ont développé la gestion des compétences internes38% des éditeurs de 10 à 39 salariés et 10% des éditeurs de moins de 10 salariés

Développement des initiatives en matière de formation continue57% des équipes de développement qui en ont bénéficié déclarent un rythme supérieur à 30H/an23% constatent une augmentation du nombre annuel d’heures de formation

27© IDC - OPIIEC







SommaireSommaire

28© IDC - OPIIEC

6%

44%

0% 30% 60%

Editeurs demoins de 10

salariés

Editeurs de10+ salariés

Question : Éprouvez des difficultés majeures à recruter des commerciaux ?Réponse « Oui »

Les difficultés à recruter des commerciaux

Tension moins forte chez les petits éditeurs : la fonction commerciale est souvent assurée par les équipes de développement ou par les consultants

60% des éditeurs de moins de 10 salariés n’ont pas de commerciaux dédiés

22%

24%

60%

0% 20% 40% 60% 80%

Junior sortie d'école oud'université

Junior : 2 à 5 ans d'expérience

Seniors : plus de 5 ansd'expérience

Question : Quels sont les profils les plus difficiles àrecruter au sein de la Division CommercialTensions importantes pour le recrutement de

profils confirmés (+ de 5 ans d’expérience) Problèmes rencontrés par les éditeurs :

les profils confirmés sont rares

les postulants confirmés sont aujourd’hui généralement issus du monde de l’édition logiciels

Le secteur de l’édition logiciels fonctionne en circuit fermé

à la Direction Commerciale


29© IDC - OPIIEC

3%

11%

28%

19%

8%

19%

53%

0% 20% 40% 60%








Question : Selon vous, quelles sont les raisons majeures qui expliquent les difficultés de recrutement des populations commerciales et avant-vente ?

Réticence des petits éditeurs àembaucher des profils juniors

26% des éditeurs ont des difficultés importantes à recruter des commerciaux disposant de spécialisations métiers fortes (Banque, Médias, retail …)

27% des éditeurs sont freinés dans leurs recrutements car ils ne trouvent pas de profils ayant une double compétence technologique et commerciale

Difficulté #1 : Des profils pointus difficiles à trouver

+15% à +20% sur les 12 derniers mois pour des profils « confirmés »


30© IDC - OPIIEC

3%

11%

28%

19%

8%

19%

53%

0% 20% 40% 60%








Question : Selon vous, quelles sont les raisons majeures qui expliquent les difficultés de recrutement des populations commerciales et avant-vente ?

Les éditeurs déplorent le manque important de notoriété et de visibilité de leur entreprise et plus généralement du secteur auprès de la cible

Les métiers des éditeurs sont méconnusLes profils issus des écoles de commerce n’identifient pas le secteur du logiciel comme attractifLes commerciaux confirmés évoluant dans d’autres secteurs d’activité ne postulent pas


Difficulté #2 : Le secteur est méconnu

31© IDC - OPIIEC

Les solutions étudiées par les éditeurs pour répondre aux difficultés

Favoriser le recrutement des commerciaux issus de secteurs d’activité connexes à l’édition de logiciels

Sur le marché des applicatifs : Secteurs d’activité « clients » liés aux spécialisations métiers (banque, assurance, retail …)

Difficulté : promouvoir l’image des éditeurs de logiciels auprès des secteurs cibles

Enjeux : ouvrir le marché de l’emploi tout en renforçant les compétences métiers des équipes de vente

Puiser dans les secteurs d’activité caractérisés par des méthodologies proches : processus et cycles de vente similaires

Par exemple, processus de vente complexes et cycles de vente long : secteur aéronautique, secteur de la Défense

Favoriser les passerelles entre les métiers de l’avant-vente et ceux de la vente

Les éditeurs recherchent des profils Vente à triple compétences : techniques de vente, compétence technologique et connaissances métiers (secteurs d’activité, métiers des clients)Rareté des profils

Favoriser la montée en puissance des profils consultants et avant-vente vers les métiers de la vente Développer les formations orientées « connaissance des marchés »

Difficulté des éditeurs pour trouver des ressources à fortes compétences métiers au sein du secteur des logiciels (profils confirmés rares)

Demande croissante pour des cycles de formation continue diplômante en direction des métiers de la vente

32© IDC - OPIIEC

Les axes d’amélioration proposés par les éditeurs

61%

44%

28%

47%

0% 20% 40% 60% 80%

Adapter le contenu des filières deformation initiale

Promouvoir plus directement lesmétiers des éditeurs auprès des

étudiants

Développer les cycles deformation reposant sur

l'apprentissage

Renforcer les liens entre laformation initiale et les éditeurs

de logiciels

Question : Quels pourraient être, selon vous, les axes d'amélioration qui vous permettraient de faciliter le recrutement des commerciaux ? Les éditeurs constatent des relations

presque inexistants avec les écolesPas d’écoles ou d’université de prédilection Peu d’actions des éditeurs en direction des organismes de formation initiale (offres de stage, présence sur les forums métiers, jury…)

La moitié des éditeurs se déclarent intéressés par l’apprentissage (47%)

Lourdeur constatée liée à la prise en charge des apprentis Ils voient un intérêt de l’apprentissage des étudiants de niveau Bac+3/Bac+4Peu d’entre eux concrétisent l’alternanceManque d’informations sur les mécanismes de l’apprentissage


33© IDC - OPIIEC






SommaireSommaire

34© IDC - OPIIEC

La formation continue est pratiquée par tous les éditeurs

55%

24%

11%

10%

0% 20% 40% 60% 80%

Moins de 10 heures par an

10 à 19h

20 à 29h

30h et plus par an 62%

16%

5%

17%

0% 20% 40% 60% 80%

76%

6%

4%

15%

0% 20% 40% 60% 80%

Question : Quel est le nombre d'heure de formation dont vous disposez en moyenne par an ?Aux salariés

Éditeurs avec moins de 10 salariés

Éditeurs 10 à 39 salariés Éditeurs 40 salariés et +

Question : Comment évolue le nombre d'heures de formation dont vous bénéficiez chaque année

Réponse : en augmentation

aux salariés

18%

14%

22%

0% 5% 10% 15% 20% 25%

40 salariés et +

10 à 39 salariés

Editeurs de moins de 10salariés

Ce renforcement touche surtout les populations ayant une composante technologique forte

28%

24%

24%

7%

6%

14%

0% 10% 20% 30%

Avant-vente

Commercial

Architectes

Ingénieur développement

Consultant

Responsable de l'offre

Réponse : en augmentation

35© IDC - OPIIEC

27%

21%

14%

7%

6%

53%

0% 20% 40% 60%

Formation diplomante :passage d'un diplôme

délivré par une école ou uneuniversité

Certifications délivrées parun organisme externe

Certifications délivrées parun éditeur

Participation à desséminaires externes

Formation délivrée par leséquipes internes à votre

entreprise

Stages de formation délivréspar un organisme externe

Une priorité pour les éditeurs de logiciels

Question : Quelles formations avez-vous suivies au cours des 2 dernières années?Aux salariés

La nature des formations diffère selon la taille des éditeurs

Stages de formation par un prestataire externe : une priorité pour les éditeurs de logiciels

70% des salariés chez les éditeurs de plus de 40 salariés 48% chez ceux de moins de 40 salariés

Surtout chez les petits éditeurs de moins de 10 salariés(respectivement 22% et 12%)Formations réservées à quelques collaborateurs dans l’entreprise (architectes, chefs de projet)

• 40% chez les éditeurs de plus de 40 salariés• 25% chez les éditeurs de taille moyenne • 25% chez les plus petits

Les éditeurs de moins de 10 salariés au premier rang(10% des salariés interrogés), contre 5% chez les éditeurs de taille moyenne et 3% chez les grands éditeurs

36© IDC - OPIIEC

Les formations souhaitées par les salariés

5%

3%

18%

29%

46%

43%

0% 20% 40%

Autres formations

Formation aux outilsbureautiques

Formation aux produits del'entreprise

Formation linguistique

Formation technologique

Formation orientée Gestion(commerciale, projet,

encadrement, marché)

Question : Quelle est la nature des formations que votre entreprise pourrait mettre en œuvre pour répondre à vos besoins ?

Aux salariés

Consultant (43%)Besoins de formations à la gestion de projetsVolonté d’évoluer vers les métiers de la vente et de l’avant-vente : Gestion commerciale, technique de vente

Avant-Vente (58%)Besoin de renforcer les compétences des avant-vente sur les aspects économiques (ROI des solutions, justifications économiques des projets) (Méconnaissance des formations)Passerelle vers le métier d’ingénieur commercial : besoin de formations liées à la Gestion commerciale, aux techniques de vente

Vente (54%)Spécialisation des équipes de vente par domaine verticalDemande de formations sur les secteurs clients : évolutions du marché (croissance, rapprochements), enjeux métiers, réglementations en cours et à venir, impacts sur le système d’informationFormations actuellement rares ou peu connues des éditeurs

37© IDC - OPIIEC

Les formations technologiques

5%

3%

18%

29%

46%

43%

0% 20% 40% 60%

Autres formations

Formation aux outilsbureautiques

Formation aux produits del'entreprise

Formation linguistique


Formation orientée Gestion(commerciale, projet,

encadrement)

Évolution permanente des technologiesÉvolution des métiers : besoin croissant d’une compétence technologique sur les métiers de la vente

15%

25%

40%

52%

65%

61%

0% 40% 80%

IngénieurCommercial

IngénieurAvant-vente

Responsablede l'offre

Consultant

Architectes

Ingénieurdéveloppement

Question : Quelle est la nature des formations que votre entreprise pourrait mettre en œuvre pour répondre à vos besoins ?

Aux salariés


38© IDC - OPIIEC

17%

37%

48%

36%

12%

20%

24%

28%

0% 30% 60%

Autres technologies

Environnements Websphere

Environnements Oracle

Architectures SOA

Environnements Open Source

C++

Développement Java / J2EE

DotNet

Quelles sont les technologies que devraient aborder les formations pour répondre plus précisément aux besoins de votre métier ?

Aucune en particulier

21%

Besoins précis79% Quelles sont les technologies que devraient

aborder les formations pour répondre plus précisément aux besoins de votre métier ?

Dot Net, J2EE et Open Source en tête des besoins

Architectes (45%)• Besoin de dépasser le concept• Besoin de formations très pragmatiques sur la

mise en œuvre d’architectures SOA (formations inexistantes aujourd’hui)

• Plus de 40% des équipes de développements • Besoins qui touchent également les éditeurs non

spécialisés dans l’Open Source (intégration des solutions en environnements Open Source)

Autres• Web 2.0• Ajax

Niveau réputé faible des développeurs juniors en Java/J2EE

Question aux salariés

Question aux salariés

• 60% des profils « Vente » veulent développer un « vernis technologique » supplémentaire

• 51% veulent améliorer leur compréhension de Dot Net• 30% pour l’Open Source

39© IDC - OPIIEC






SommaireSommaire

40© IDC - OPIIEC

Échantillon

Des établissements à forte notoriété et image :2 écoles de commerce

EM GRENOBLEEM LYON

2 écoles d’ingénieurs :INSA (Lyon) – école généralisteESIAL (Nancy)

2 universitésParis 12 - Créteil : ISIAG – IUP (MIAGE )Paris 5 - IUT de Paris (dont un département d’informatique et un département Techniques de Commercialisation)

Plus d’une quinzaine de personnes rencontrées sur les 6 établissements (une dizaine d’entretiens menés)

Dans la plupart des cas, discussion sur les problématiques de formation initiale et de formation continue

41© IDC - OPIIEC

Constat : une désaffection des filières scientifiques

Constat assez unanime d’une désaffection des filières de formation scientifique, dont l’informatique pâtit :

Dans un contexte de population 15-24 ans qui stagne, des effectifs plus serrés dans l’enseignement supérieur, et une concurrence renforcée entre les établissements de formation supérieure

Qui ne peut s’expliquer que par une « crise » des vocations scientifiquesQui touche tous les niveaux : de l’IUT à l’école d’ingénieur

« 5 000 candidatures par an dans les années 90, aujourd’hui à peine 1 500 » dixit le directeur du département informatique de l’IUT de Paris

C’est un problème encore plus marqué chez les jeunes filles Le département informatique de l’IUT de Paris avait 50% de filles en 1980 ; aujourd’hui = 0 ; les écoles d’ingénieurs sont très peu féminisées « Les filles ont une image répulsive des éditeurs de logiciels » dixit le directeur de l’EMSI de Grenoble

Les écoles de commerce, ou encore le département technique de commercialisation de l’IUT de Paris ne connaissent pas les mêmes tendances

Légère augmentation pour les effectifs de l’EM Lyon Concurrence des CPGE pour l’IUT

42© IDC - OPIIEC

Cursus longs et place croissante de l’apprentissage

La poursuite d’études est très marquée au niveau bac + 2 (IUT de Paris) En IUT, ce sont 85 à 90% des effectifs qui poursuivent leurs études

Soit vers une Licence Professionnelle (impact LMD)Soit vers les écoles d’ingénieurs ou les écoles de commerce via l’admission en parallèle

Seuls 10 à 15% des effectifs d’une promotion va vers l’emploi

L’apprentissage est en plein développementConvergence entre la demande sociale et les financements qui s’orientent plus vers les niveaux supérieursChangement radical de l’image de l’apprentissage en quelques années : « il y a encore 2 à 3 ans , les parents ne voulaient pas en entendre parler »3 établissements sur les 6 l’ont mis en place depuis plusieurs années, Pour les 3 autres, cela constitue un axe fort de développement

En développement à l’EM Lyon mais sur la dernière année uniquement « L’apprentissage est un bon moyen pour connaître le besoin des entreprises, et pour adapter le contenu des formations »(dixit le directeur de l’ISIAG)

43© IDC - OPIIEC

Formation initiale vs formation continue

Les établissements rencontrés sont plutôt orientés sur une offre de formation longue

Ils proposent l’accès à leur titre ou diplôme via la formation continueAvec possibilité de mixité des populations : par ex, Contrats d’apprentissage/contrat de professionnalisation (quand accepté par la Région, financeur)

Les financements CIF sont de moins en moins ouverts à des cursus de niveaux supérieurs (réduction globale des enveloppes)

La concurrence du DIF pousse les entreprises à favoriser les formations courtes de leurs salariés et le contexte économique fait que les entreprises acceptent moins de voir partir leurs salariés pendant un an

La VAE, encore un timide développement supposant une modularisation des cursus de formation qui n’est pas complètement achevée

Les établissements rencontrés n’ont donc pas de liens avec les entreprises par ce biais

44© IDC - OPIIEC

Les actions de promotion des métiers menées par les établissements

Plusieurs approches de la promotion des métiers

Via le travail sur le projet professionnel de l’étudiant Il s’agit souvent d’un module intégré au cursus :

• Dispositif « Career intensity » à l’EM lyon• Projet Professionnel Personnalisé à l’IUT

Dans le cadre de ces modules, des sociétés viennent présenter leurs activités, et les métiers pour lesquels ils recrutent

• Dispositif « Opportunités carrières » (entreprises venant présenter leurs activités à l’EM Lyon)

Via les activités organisées par l’établissement« Journées carrières » (lieu de rencontres annuelles entre étudiants, jeunes diplômés et entreprises) à l’EM Lyon« Tables Rondes métiers » (espace d’orientation pour les étudiants qui

échangent avec des professionnels sur leur métier : sa réalité, les premiers postes, et les possibilités d’évolution) à l’EM Lyon« Conférences » à l’ISIAG

Implication assez systématique des réseaux d’anciens

45© IDC - OPIIEC

Un point sur l’emploi des éditeurs de logiciels : métrique et dynamique 2006


Quelles tensions sur le marché de l’emploi au sein de l’édition de logiciels ?Les métiers du développement



Des tensions fortes sur les métiers de la vente

Les besoins en matière de formation continue

Organismes de formation : constats et leviers d’actionPopulations, cycles de formation, apprentissage, VAE : quelques constats

Quels leviers d’action auprès des organismes de formation ?

SommaireSommaire

46© IDC - OPIIEC

Des étudiants peu sensibles au secteur de l’édition logiciels

Les étudiants sont globalement peu attirés par le secteur de l’informatique qui pâtit d’une mauvaise image

Moins de 15% des étudiants de l'INSA se spécialisent dans la filière informatique de l'écoleEn outre, dans le mastère spécialisé en informatique, la part des débouchés vers les éditeurs est faible (5%) ; on observe ce même taux (5%) pour les diplômés de l'ISIAG et de l'ESIAL

« Seuls les étudiants qui ont la fibre ou sont des fans de programmation s’orientent vers les éditeurs » (ISIAG)« Dans les classes préparatoires, l’informatique a la réputation de ne plus être porteur »(ESIAL)

Les étudiants d’école de commerce pensent que ce sont surtout des profils d’ingénieurs qui vont chez les éditeurs de logiciels

Le secteur IT n’apparaît pas dans les statistiques de l’EM LyonL’information sur les métiers organisée à l’EM Grenoble sur les carrières informatiques a attiré 18 étudiants sur les 583Constat des responsables d’établissements : « l’informatique ne fait plus rêver »

47© IDC - OPIIEC

Les éditeurs de logiciels : un débouché pour les établissements ?

Le moment est propiceLes écoles doivent diversifier leurs débouchés traditionnels, qui ont tendance à se tarir

Les établissements sont très ouverts à des partenariats

A la condition que les entreprises s’investissentSans elles, ils n’arriveront pas à faire évoluer l’image des éditeursPlus la finalité professionnelle s’affirme, plus le poids des professionnels dans l’enseignement est important

Mais les éditeurs sont peu connus des établissements

Plus présents en tant que fournisseurs de logiciels qu’en tant qu’employeurCe constat est un peu moins marqué pour les écoles plus spécialisées (ESIAL, école généraliste en informatique)

Les SSII occupent bien plus le terrain que les éditeurs de logiciels

Les SSII commencent à utiliser l’apprentissage

Un « vrai déficit » des connaissances des métiers des éditeurs

Parfois (souvent) une confusion avec les SSII

Le département « Techniques de Commercialisation » de l’IUT de Paris avait d’importantes habitudes de travail avec la Grande Distribution, qui sont en train de s’essouffler : « avant on avait qu’à se baisser pour ramasser les stages, et on a donc négligé le secteur informatique »

Les éditeurs sont absentsPeu d’offre de stage, peu d’offres d’emploi diffusées, peu d’actions de promotion des métiers, peu d’apprentis, peu de professionnels qui enseignentA quelques exceptions près : bourses SAS dans le cadre de l’EMSI de Grenoble par exemple

48© IDC - OPIIEC

Les attentes des établissements de formation

Disposer d’une meilleure vision des éditeurs de logiciels pour les différencier des SSII Indispensable pour promouvoir le secteur de l’édition logiciels : action à mener directement auprès des équipes de formation

« Vendre » les métiers de l’édition de logicielsPrésenter les possibilités d’emplois et les perspectives de carrière (actions à mener auprès des étudiants et des équipes de formation) Diffusion systématique d’offres de stages et d’offres d’emploiProposition de projets d’entreprises à conduire par les étudiants Construction d’Études de cas portant sur un éditeur de logiciel (commercial, marketing, services …) Parrainage de promotions par des éditeurs Participation aux actions de promotion des métiers

Via le réseau des anciens Participation au Conseil de perfectionnement des écoles (lieu d’orientation du contenu des programmes)Enseignement vacation (statut PAST), en particulier en LP, en MastèreParticipation à des jurys de VAE

Un moyen de renforcer l’adéquation entre les programmes des établissements et les besoins des éditeurs

49© IDC - OPIIEC

Continuer le travail effectué dans les lycées d’enseignement général et technologique en matière de promotion des métiers, participation à des forums

L’informatique a une image négative dès l’entrée dans 1 cursus post-bac : Il faut donc agir plus tôt L’image auprès des jeunes filles est encore plus négative : Il faut travailler sur la diversification des choix

Le poursuivre dans l’enseignement supérieur (écoles d’ingénieurs, IUT, écoles de commerce, MIAGE… ) : le stage est déterminant

Identifier chez les éditeurs un « campus manager » chargé de faire la promotion des métiers auprès des établissements et d’être le point d’entrée de l’établissement

Proposer des contrats de recherche aux écoles d’ingénieurs (cf. les pôles de compétitivité)

La promotion du secteur … et des métiers

50© IDC - OPIIEC

L’apprentissage et l’alternance

Sensibiliser les entreprises à l’apprentissage qui dispose de nombreuses vertus au regard de leurs problématiques

Pré-recrutement, soutien financier, resserrement du lien avec l’établissementImage de plus en plus positive en direction des familles et de la demande sociale

Et plus globalement les sensibiliser à l’alternance (contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation)

66%

34%

36%

59%

0% 20% 40% 60% 80%

Adapter le contenu des f ilièresde formation initiale

Promouvoir plus directement lesmétiers des éditeurs auprès des

étudiants

Renforcer les liens entre laformation initiale et les éditeurs

de logiciels

Développer les cycles deformation reposant sur

l'apprentissage

Question (éditeurs) : Quels pourraient être les axes d'amélioration qui permettraient de faciliter le recrutement ?

Direction Commerciale

47%

44%

28%

61%

0% 20% 40% 60% 80%

45%

28%

52%

41%

0% 20% 40% 60% 80%

Direction R&D Direction Services

Documents

Dynamique de l’emploi et évolution des métiers · Réponse : « Augmentation des effectifs » 54% 20% 59% 0% 25% 50% 75% 100% Editeurs de moins de 10 salariés Editeurs de 10