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BoxeNgumbu n'a pas toutperdu Page 14

14 juillet100 000 personnes ont assisté au spectacle

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Le Sicoval épingléF.R. Valette dénonce !

Supplément Eco

Jeudi 18 Juillet 2013 - 1 € - Numéro 572 (15e année) www.lejournaltoulousain.fr

Un autre accent pour l’info localeTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Pages 12 et 13

n°8

Juillet/Août 2013

www.accent-lemag.fr

“citoyen révolté”

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Laëtitia

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TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572

www.lejournaltoulousain.frLE JT VOUS APPARTIENT02

GROUPE DE PRESSE PREMIERE RÉPONSE

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IMPRESSION EN U.ETirage Journal Toulousain : 12 000ex./semaine ‐ Diffusion Médiapost ‐ Ti‐rage La liberté d’entreprendre : 5 000ex./semaine ‐ Diffusion MédiapostAudience mesurée par

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Fondateur : André GallegoTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le Sommaire

Oncopole«Toulouse aujourd’hui c’est l’aéronautique, demain ce peut être la santé»

Page 05

Toulouse, pionnière de la web‐réalité ?

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Le désordre continue à Alliance Centriste

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Pas si simple d’incarner la jeunesse

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La 4G d’Orange à ToulousePage 04

Ngumbu n'a pas tout perduPage 14

Actu

Rapport financierLe Sicoval épinglé par la Chambre régionale des comptes

Page II

Economie

Où partent‐ils en vacances ?Pages 12 et 13

14 juillet 100 000 personnes ont assisté au spectacle

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Dossier

Volkswagen Golf VIILa référence absolue

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Auto

Report’photos

Culture

Sports

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42€

Le Temple perduHistoire de la Franc-Maçonnerie Italienne�

et de l’antimaçonnerie� dès 1725

Luigi PRUNETI, essayiste, écrivain italien il collabore dans différents périodiques de son pays.Il est notamment,depuis décembre 2007, le directeur responsable du trimestriel “Officinae”.Grand Maître de la Grande Loge d'Italie “A.L.A.M”, il est aussi l’auteur de nombreux ouvragessur l'histoire moderne de la franc-maçonnerie, ses rituels, son symbolisme voire l'ésotérismequi accompagne sa démarche.

André GALLEGO, de formation Arts et Métiers Graphiques, spécialiste de la communication etde la stratégie marketing. Il conjuguera dans sa carrière professionnelle des rôles de conseiller,notamment auprès de Ministres français, avec des postes importants dans des groupes depresse français et étrangers. En 1997, il va créer à Toulouse le groupe de presse “Le JournalToulousain” du nom de son hebdomadaire...Passionné d’écriture et de peinture, humaniste engagé, initié à la Grande Loge de France, en1982, il n’aura de cesse de porter “La bonne Parole” en tous lieux en Europe comme sur leContinent Africain où il sera à l’initiative de bon nombre d’actions humanistes.

Bon de commande à retourner auxEditions Ixcéa - 2 rue d’Austerlitz - 31000 Toulouse

Je sous-signé, désire recevoir .... exemplaire de “Le temple Perdu”

Histoire de la Franc-Maçonnerie Italienne ...et de l'antimaçonnerie... dès 1725de Luigi PRUNETI, traduit de l’italien et enrichi par André GALLEGO

et je joins mon règlement à l’ordre des Editions Ixcéa soit : ...... exemplaire x 42 euros + 3 euros de frais de port = ................... euros

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Le fil’m d’ArianePacific Rim : “Fantastiquement cliché”

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03Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINTOULOUSAINLe Le

Tout l’été nos émissions sont disponibles | www.lejournaltoulousain.fr

Pierre Cohen répondaux questions de Radio Kol Aviv et du Journal Toulousain� Les transports� La sécurité� Les municipales Spécial Zumba | Le phénomène de l’année

EnoaLe groupe

Du pop‐rock plein les oreillesInterview et live

EditorialPar Marcial-Gérald LayaniDirecteur de la publication

Comment la France va vous plumer…

Allez une taxe de plus, ça vousdit ? Le 5 juin dernier, le sé‐nateur‐maire de Strasbourg,

Roland Ries, a proposé un amende‐ment qui vise à remplacer lesamendes de stationnement par desforfaits journaliers dont le montantserait à l’appréciation de la com‐mune concernée. Pour faire face à

la crise nous ne pouvons queconstater que nos gouvernants ontchoisi l’option de la taxation à toutcrin : réforme fiscale, augmenta‐tion des charges patronales… Lors

de son allocution traditionnelle du14 juillet, il a même rendu possibleune nouvelle augmentation desimpôts, ce qui a notamment provo‐qué une fronde chez les patrons :«J’ai compris qu'il risquait d'y avoirdes augmentations d'impôts, ce quinous fait extrêmement peur. Nousavons déjà des taxes et des charges

extrêmement élevées, ce quifait que nos entreprises n'ontplus les moyens d'investir,d'innover, d'embaucher» adéclaré Pierre Gattaz, le toutnouveau président duMedef. Car le sentiment dumoment est celui‐ci, celui

d’être taxé à la seconde.

On en vient même à se demandersi le gouvernement ne serait pascapable de taxer l’air que l’on res‐

pire… Cette création permanentede nouveaux impôts fait largementpenser à une sombre époque denotre Histoire, celle où les sei‐gneurs prélevaient la dîme. La féo‐dalisation par Hollande serait‐elleen cours ? La question se doitd’être posée, d’autant que le peu‐ple français gronde… La droites’agite et dénonce. Quant à lagauche de la gauche, elle se désoli‐darise de plus en plus des choixgouvernementaux. Mais dans lemême temps où les Français necessent de payer, d’autres profi‐tent de certains avantages… Ainsil’argent des Qataris est accueilli àbras ouverts avec des passe‐droitsqui interpellent. Pire, nous payonspour favoriser leur arrivée sur notreterritoire. Deux poids, deux me‐sures ! Jusqu’à quand ?

«La féodalisation par Hollandeserait-elle en cours ?»

Après Montpellier et Perpi‐gnan, Orange fait entrer la4G à Toulouse. «C’est une

course de vitesse que noussommes en train d’opérer» dé‐clare Pierre Clément, DirecteurOrange sud lors de ce lancementplace Wilson. Depuis fin juin, la4G d’Orange couvre 37 agglomé‐rations et une centaine de villes.«On a besoin de débit beaucoupplus important et de faire passer letrafic qui lui, croît de manièrepresque exponentielle tous lesans.» justifie Pierre Clément.Outre le H+ (jusqu’à 42 méga‐bits), déjà en vigueur sur «près de67% du territoire de Midi‐Pyré‐nées, la 4G permet d’avoir jusqu’à150 mégabits en débit, soit dix fois

plus qu’avec la 3G+. C’est colossal.On va pouvoir offrir une qualité deservice à nos clients encore meil‐leure» assure le Directeur OrangeSud. Concrètement, l’opérateurassure qu’il suffira désormais demoins de trois minutes pour té‐lécharger un film d’un giga octetpar exemple contre 27 minutesauparavant en 3G+. Ou dans lecadre d’une entreprise, qu’il serapossible de réaliser une visio‐conférence sur tablette en HD :«la 4G permet aussi aux entre‐prises de se développer» ajoutePierre Clément. Particularité tou‐lousaine : l’utilisation du spectrede fréquence, le 800 mégahertz«pour des contraintes techniquesliées à la proximité de l’aéroport. Il

offre la meilleure couverture in‐door et va très loin, ce qui nouspermet de couvrir très rapidementdes zones rurales» indique le Di‐recteur Orange Sud. Un investis‐sement qui aura coûté 10.1millions d’euros à l’opérateur.Pour bénéficier de la 4Gd’Orange, le ticket d’entrée estde 30.90 euros par mois (forfaitOrigami Play) pour un engage‐ment de douze mois. Pour rap‐pel, la 4G est aussi disponiblechez SFR et Bouygues Telecom.Mais encore faut‐il avoir un mo‐bile compatible pour pouvoirprofiter de cette technologie.

Claire Manaud



www.lejournaltoulousain.frTOULOUSE NEWS04

Les VertsIl va sans dire que MonsieurGérard Onesta est brillant et saprestation sur votre Web Tv estremarquable. D’autant plusque peu de questions gênanteslui ont été posées sur ce qui faitson image de marque : l’Eco-logie… En effet aucune ques-tion sur le fait que l’on n’aitpas vu les Verts sur le site deBorderouge où les promoteursont à plusieurs reprises percé lanappe phréatique ? Personnenon plus aux Pont-Jumeauxpour demander toujours auxmêmes promoteurs leurs re-cettes pour dépolluer les ter-rains avant de construire leursimmeubles ?

André

Après avoir brigué la Régionque lui avait promise MartinMalvy, apprenant que ce der-nier est bien décidé à se repré-senter… Monsieur Onesta faitvœu de conquérir la Mairie àToulouse. Sauf que nous avonsun Maire qui ne se donnecertes pas en spectacle maisqui travaille pour que notreville soit la plus performante etla plus reconnue en tous do-maines. Le tout sans le soutiende Pierre Izard et de MartinMalvy qui dès son élection auCapitole ont tout fait pour mi-nimiser le travail de PierreCohen, car il n’est pas aux or-dres… Alors, Gérard Onestapourrait être simplement lesous-marin qui garantirait, àces derniers, leur réélection àplus de 80 ans. Et élimineraitPierre Cohen de toute respon-sabilité politique…

Jean-Marc

Le problème des Verts, estqu’ils vont se figer sur degrands dossiers comme au-jourd’hui le Gaz de Schiste,mais sont incapables de nousapporter des réponses sur cequi pourrait améliorer le quoti-dien des Français. Ils vont blo-quer pendant dix ans laconstruction d’un barrage dansle Sud-Ouest pour ne pas quesoit délocalisée une catégoriede chenilles. Sauf que sans cebarrage, les inondations de cesdernières semaines auraient étédes plus meurtrières pour leshommes…

Ginette

TLTPhilippe Joachim est probable-ment un de ces fils à papa à quion a tout simplement aplani lechemin. En plus, avec l’assen-timent de Martin Malvy et l’ar-gent du contribuable, il allaitjouer sans aucun risque les“coucous” à TLT… Le dramede TLT c’est que malheureuse-ment peu de médias sont ren-tables, et dans ce domaine dela télévision en particulier. Icion protège simplement les in-térêts de la Dépêche du Midi…

Etienne

COURRIER des LECTEURS

[email protected] 4G d’Orange à ToulouseOrange a inauguré l’ouverture de la 4G à Toulouse et dans 26 villes alentours (voir encadré). Un investissement de plus de 10 millions d’euros pour l’opérateur.

Canoë-Kayak : après les crues, prudence !“Cool de source”, le label du Comité régional du Canoë‐Kayak, entame sa quatrième édition. Dans un contexte particulier, marqué par les récentes crues, les fleuves sont dangereux. Prudence à tous les amateurs.

Le label Cool de source, quiconcerne douze sites deCanoë‐Kayak en Midi‐Pyré‐

nées, garantit une pratique éco‐res‐ponsable et sécuritaire. Les cruespassées ont donné du fil à retordreau Comité régional de ce sport, quia dû intervenir sur plusieurs sites,dans le Comminges et à Lourdesnotamment, afin de dégager lestroncs d’arbre et autres déchets na‐turels. En Haute‐Garonne, «c’est ducôté de Fronsac que nous avons dûagir avec l’aide de la population»,souligne Arnaud Boschung, audi‐teur pour Cool de source. Au‐jourd’hui, Jean Bartaberry,président de l’instance régionale deCanoë‐Kayak, tient à assurer que«100% des sites Cool de source sontprêts pour la saison.» Toutefois, laprudence reste de mise. Les fleuvessont plus dangereux, ce qui néces‐site plus que jamais d’être accom‐pagné par des professionnels.

Protéger la nature, servir le tourismePratiquer le Canoë‐Kayak a un im‐pact sur l’environnement, que cesoit les détritus laissés par lespique‐niqueurs, chewing‐gums etmégots où la pollution entraînéepar les trajets. Cool de source apour objectif d’assurer la réductionde ces effets indésirables. Ce labelmarque une «volonté politique depréserver les sites de canoë», indiqueJean Bartaberry, afin de valoriser leterritoire. Un point important, cardescendre les rivières peut être unemanière de visiter la région. «EnMidi‐Pyrénées, 80% des eaux sontpraticables», souligne le présidentdu comité régional de Canoë‐Kayak. A vos pagaies !

Coralie Bombail

26 villes autour de Toulouse

Colomiers, Tournefeuille,Muret, Blagnac, Plaisance‐du‐Touch, Cugnaux, Balma,Ramonville‐Saint‐Agne,Saint‐Orens, Portet‐sur‐Ga‐ronne, Villeneuve‐Tolosane,Aucamville, Frouzins, Lau‐naguet, Quint‐Fonsegrives,Roques, Labège, Roquettes,Auzeville‐Tolosane, Fon‐beauzard, Pinsaguel, La‐croix‐Falgarde, Saubens,Vieille‐Toulouse, Pech‐busque, Villate.

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TOULOUSE NEWS 05Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


Œuvres d’art ligne EnvolDeux artistes, l’un Auxerrois,Philippe Ramette, l’autre Mont‐pelliérain, Raphaël Zarka, ontété choisis pour “décorer” leparcours de la ligne de tramwayEnvol. Le Comité Syndical duSMTC du 11 juillet dernier a ap‐prouvé ces deux candidatures.L’acquisition des œuvres qui se‐ront installées au niveau de lastation “Aéroport” pour la pre‐mière et de l’avenue Didier Dau‐rat pour la seconde, représenteun montant de 200 000 €. Unpeu de chauvinisme : des ar‐tistes toulousains n’auraient‐ilspas pu être sélectionnés ?

L’académie de Toulouse, bonne élèveBrevet des collèges, Bac, CAP… Le Rectorat de l’académie de Toulouse fait le point sur les résultats des sessions d’examens 2013 ainsi que sur les non affectations et le taux de redoublements.

Le taux de réussite des élèvesscolarisés dans l’académie deToulouse est globalement su‐

périeur à la moyenne nationale.C’est ce qui ressort des chiffres quevient de publier le Rectorat au len‐demain des résultats de la sessiond’examens 2013. A commencer parle brevet des collèges. 87.5% desélèves de l’académie de Toulouse(toutes séries confondues) ont ob‐tenu le précieux sésame pour pas‐ser en seconde. Le taux de réussiteau CAP est lui de 78.4%. Pour le Bac,là aussi toutes séries confondues, ilest de 90.2% (dans le détail, 93.8%pour le Bac général, 90.4% pour leBac technologique, 81.5% pour leBac professionnel). L’académiecompte ainsi cette année 22482 ba‐cheliers. «Neuf candidats sur dix ontobtenu le diplôme. Je m’en réjouis»,déclare Olivier Dugrip. Mais le rec‐teur est également revenu sur laquestion du redoublement. Avec untaux de 1.5% contre 2.3% en 2012,«il est en très forte diminution (…)nos élèves ont bien réussi leur cur‐sus», poursuit Olivier Dugrip qui

admet, «c’est la politique du recteurde faire baisser les taux de redouble‐ment. Il faut faire redoubler à bon es‐cient.» Illustration de cette volontégouvernementale : presque 85%des élèves passent de la 6e à la Pre‐mière sans redoubler (71.5% en2009). Autres chiffres : 72.8% destroisièmes vont entamer une se‐conde filière générale ou technolo‐gique (70% en 2012). Petite ombre

au tableau en revanche pour la voieprofessionnelle : 25.6% contre27.7% en 2012. Reste enfin le tradi‐tionnel problème des « non affec‐tés ». Au 10 juillet, ils étaient 2070sur l’ensemble de l’académie, dont«706 en attente de solutions». Unesituation qui devrait s’arranger cou‐rant septembre selon le Rectorat.

Claire Manaud

COUP DE PROJECTEUR SUR…

Apéro-débat du parti de gauche :une première à la Daurade

La section centre‐ville duParti de gauche 31 a lancéjeudi 11 juillet dernier une

nouvelle initiative : un apérodébat sur le quai de la Daurade.«On cherche à attirer les jeunesen créant ce temps d’échanges.C’est aussi pour montrer qu’il n’ya pas de pause politique pendantl’été», explique Romain Jammes,jeune militant du Parti degauche. Au programme, troissujets essentiels pour ce parti :combattre le Front national,contester la politique d’austéritéet débattre sur les améliorationsà porter au quartier de la Dau‐rade. Les militants avaient an‐noncé l’événement via réseauxsociaux et affichettes. Puis ilsont également tenté d’aborder

les gens venus farnienter sur lesberges, avec des tracts… Maisdifficile de parler d’austéritédans ce contexte détente etbronzette. «Pour les présiden‐tielles, on l’avait fait sur lesplages, ça avait bien fonctionné»,remarque Romain Jammes. Uneopération qui pourrait être re‐nouvelée dans d’autres endroitssur Toulouse et se poursuivre à larentrée. Une sensibilisation auxidées du Parti de gauche en vuedes municipales ? «On vise plutôtles européennes, c’est là que le FNsera fort, c’est aussi là qu’on a unechance de battre le PS dès le pre‐mier tour», indique le militantPDG.

CB

Tisséo écoute les seniorsSuite à un sondage des seniorstoulousains sur leurs habitudesde déplacements dans l’agglo‐mération, Tisséo a mis en placeplusieurs actions à destinationde ce public. Parmi elles, deshaltes repos implantées danscertaines stations comme àJean Jaurès et Jeanne d’Arc.Des fauteuils seront placés àmi‐chemin entre le quai et lasortie. De même, une nouvellesignalétique “beaucoup plus vi‐sible” va être déployée dans lesvéhicules (tram, bus, métro)afin de faciliter le repérage desplaces prioritaires. En 2012,69 000 cartes gratuites seniorsont été délivrées sur l’agglomé‐ration.

C’est un petit comité de ma‐nifestants qui faisait officed’accueil pour les ministres

en visite lundi sur le site de l’Onco‐pole. Sur les banderoles, les slogansdu “comité de défense de l’hôpitalpublic”, alerté par un partenariatpublic/privé qu’ils craignaientcomme la peste. «Le projet était enpanne», «nous avons soulevé desmontagnes», «le dossier était aupoint mort pendant des années» :voici les qualificatifs qui n’ont cesséde pointer le douloureux accouche‐ment de ce rapport qui visait à pro‐poser des mesures pour remettrel’Oncopole sur les rails. Objectif ?Dénouer les conflits naissant entrela dizaine d’acteurs et de structuresjuridiques concernées par le pro‐jet.

«La réponse est “oui !”»C’est un travail de dentelle ‐no‐tamment pour marier public etprivé‐ que se sont attachés à faireThierry Philipp (ancien présidentde la fédération des centres delutte contre le cancer) et André Sy‐rota (président directeur généralde l’Inserm), auxquels les minis‐tres ont confié le dossier. En pré‐sence de Marisol Touraine etGeneviève Fioraso, les rappor‐teurs sont clairs : à la question dela faisabilité du projet avec toutesles incertitudes induites, «la ré‐ponse est “oui !”» L’Institut universi‐

taire du Cancer de Toulouse (IUCT)est appelé à réunir la totalité de lacancérologie du CHU et de ClaudiusRegaud, sur trois sites : Purpan,Rangueil et Langlade (un aérotrampermettrait de relier ces trois sites).La gouvernance prend la forme dedeux fondations, celle de l’IUCT,présidée par “une personnalité ex‐térieure à Toulouse”, désignée d’iciun an par son conseil d’administra‐tion et qui s’appuiera pour la partieopérationnelle sur un directoireprésidé par l’actuel directeur géné‐ral du CHU, Jacques Léglise (le sitesera lui dirigé par un groupementde coopération sanitaire, présidépar l’actuel directeur de l’Institut

Claudius Regaud, Michel Attal). Etla fondation InNaBioSanté, quiaura pour vocation d’attirer à Tou‐louse chercheurs et médecins in‐ternationaux. La rencontresemble avoir redonné un coup defouet à ce projet «unique en Franceet au‐delà, qui vise à transformer latragédie en espoir», déclarait Mari‐sol Touraine, évoquant la catas‐trophe AZF. Et de conclure : «Nousattendons avec impatience del’inaugurer, c’est un projet majeur.»L’IUCT accueillera ses premierspatients dès le printemps 2014.

Aurélie Renne

ONCOPOLE

“Toulouse aujourd’hui c’est l’aéronautique, demain ce peut être la santé”Lundi, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la santé et Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche se sont rendues à l’Institut Universitaire du Cancer de Toulouse (IUCT) pour dévoiler les conclusions de la mission interministérielle convoquée en début d’année. Une visite officielle qui a été l’occasion d’éclaircir certains points ternissant un dossier encore en gestation. A l’ordre du jour : modalité de gouvernance et collaboration pu‐blic/privé.

INOUT

Marisol Touraine et Geneviève Fioraso ont dit «se réjouir de voir ce projet faire de Toulouse un pôle d’excellence dans la lutte contre le cancer.»

Olivier Dugrip se réjouit des bons résultats de l’Académie.



www.lejournaltoulousain.frTOULOUSE NEWS06

«La première héroïne de“web‐télé‐réalité” seraToulousaine !», lance un

représentant de H24 production.Cette société encore inconnue aubataillon réunit pourtant quelquestêtes pensantes ayant œuvré ausuccès d’émissions telles que Lanouvelle Star, Le loft ou encore laStar Academy. Et cela fait déjàquelques semaines que la belleéquipe de neuf personnes s’échineà trouver sa nouvelle vedette. «Lerecrutement s'est effectué par an‐nonce média, sur les réseaux so‐ciaux et distribution de tracts.» Unesoirée organisée au Studio Oneaura également permis à quelquesjeunes filles de faire leur premierpas devant l’objectif… Jusqu’au 7juillet, ce sont donc pas moins de550 jeunes Toulousaines qui ontcandidaté à un casting bien parti‐culier : «Pendant plusieurs se‐maines, une jeune Toulousainedévoilera sa vie, en direct, devantles internautes.» A ce jour, la sélec‐tion est en cours, une quarantainede jeunes filles ont déjà été sélec‐tionnées, pour un verdict final enseptembre.

La web-réalité sera diffusée 7j/7 et quasi 24h/24Le concept, qui n’existe nulle partailleurs, se rapproche de certainsprogrammes comme par exemplede cette émission diffusée à la té‐lévision à la rentrée et qui fait déjàbeaucoup parler d’elle : “Nabilla,Dynastie Reality” est un pro‐gramme similaire, mais à l’inversede notre projet, il ne sera pas enréel direct. Le concept même detélé‐réalité en France est en faitjusqu'à présent tout sauf de la“réalité”. Tout est mis en scène etmonté. H24 entend donner unenouvelle idée plus honnête ettransparente d’un concept télévi‐suel déjà en passe de s’essouffler.Mais pour la transparence, il restedu chemin à parcourir car la so‐ciété de production fait bien desmystères : «Tout doit pour l’instant

rester confidentiel, du quartier derésidence de notre héroïne aux dé‐tails du projet.» Une chose estsûre, H24 ne fait pas les choses àmoitié : la web‐réalité sera diffu‐sée en direct 7 jour sur 7 etpresque 24 heures sur 24 (selon laréglementation CSA). Quant à laville rose, elle sera aussi la star dece programme : «Il va durer troisou quatre mois et filmé très large‐ment à Toulouse. C’est l'une desvilles étudiantes les plus dyna‐miques de France et son décor estmagnifique. : Tous les paramètressont réunis pour faire un bon pro‐gramme.»

La « vraie» vie des autresLes critères du casting étaientclairs : avoir entre 18 et 26 ans,être décontractée devant la ca‐méra et entière : «Nous souhaitonsmettre en avant une personne dy‐

namique et avec du cœur, unejeune femme pétillante, qui aimeêtre filmée et qui souhaite devenirl'héroïne de cette nouvelle “série‐réalité” toulousaine.» Une “made‐moiselle tout le monde” enquelque sorte, bien qu’avec unebonne dose de charisme : «Notreintérêt est de trouver la personnequi portera cette production audio‐visuelle par sa personnalité. » Lescaméras relateront «en toute sim‐plicité» la vie de tous les jours de lavedette de ce programme, ellesera libre de ses mouvement dansla ville tout en étant suivie par unecaméra y compris à l'extérieur.H24 est absolument clair sur lesujet : «Contrairement aux télé‐réalités existantes, il n’y aura pasde scénario prédéfini, pas de jeux nide jeunes fêtards enfermés dans unloft, pas de secrets à trouver. La ve‐dette du programme ne sera pas fil‐mée dans son intimité. L’expressionTV réalité est souvent mal vue, etpour cause. Nous, on souhaite reve‐

nir à la base : la vraie réalité. Notreémission va retransmettre desaventures du quotidien, sans mon‐tage vidéo. C’est comme un repor‐tage sur la vie de la personne quisera choisie, ce n’est pas du voyeu‐risme.» Pourtant l’exhibition, ellefait recette : l’heureuse élue béné‐ficiera de nombreux avantagesdurant le temps de l’émission, ellesera relogée dans un luxueux T3du centre‐ville, défrayée pour sanourriture, son forfait télépho‐nique et recevra une rémunéra‐tion pour sa participation autournage. Le budget attaché à ceprojet est encore en discussionavec plusieurs partenaires natio‐naux, il n'est pas encore arrêté,mais «ils sont nombreux à vouloirfaire partie de l'aventure...» Lespremières diffusions sont prévuespour le début d'année 2014.

Aurélie Renne

Toulouse, pionnière de la web-réalité ?Ce drôle de concept a déjà fait couler beaucoup d’encre. La ville rose est en passe de devenir le lieu de vie de la nouvelle star du web… C’est en tout cas de cette manière que la société de production H24 amène son projet. Focus sur une émission en passe de nous présenter la future “Nabilla locale”.

DR

F FOCUS

Circulation

La place du Capitoleest piétonneDepuis lundi 15 juillet, la placedu Capitole est piétonne. Desbornes escamotables ont étéplacées à l’entrée des rues ad‐jacentes afin de laisser passerles riverains. Pour les autres, laplace n’est accessible que par larue du poids de l’huile qui per‐met d’accéder au parking sou‐terrain. L’entrée et la sortie decelui‐ci ayant été inversées. Enoutre, le premier niveau de par‐king est réservé aux vélos etmotos. Des “ambassadeurs”sont présents sur la place afinde guider les automobilistes unpeu perdus par ces change‐ments (un point infos centreest situé au 17 rue Lafayette,ndlr). A noter que la vitessedans les aires piétonnes est li‐mitée à 6 km/h.

Paiement en ligne

L’exemple du CHUtoulousainDepuis le début de l’année, lecentre hospitalier universitairede Toulouse teste un systèmede paiement sur internet. Cetessai devrait être étendu àtoute la France. Baptisé TIPI(pour titre de paiement sur In‐ternet, ndlr) le système est sim‐ple d’utilisation et devraitpermettre de baisser le nombred’impayés. La note de frais estenvoyée par l’hôpital dans lesquatre jours suivants la sortiedu patient, qui a ensuite dixjours pour s’acquitter de son dûen ligne. Délai passé, le Trésorpublic entre en jeu pour récla‐mer le solde. A ce jour, le sys‐tème est un succès, puisqu‘unpatient sur cinq l’utilise. Onnote par ailleurs que 50% despaiements en ligne sont réali‐sés aux heures de fermeturesdes guichets du CHU, entre 18het 8h.

Toulouse Plages

7791 entrées le premier week-endSamedi 13 juillet, ToulousePlages a ouvert ses portes aupublic. 7791 entrées ont étécomptabilisées pour ce premierweek‐end, à la prairie des Fil‐tres. Mais il faut y ajouter lesautres animations comme le ci‐néma en plein air du jardin Ray‐mond VI, ou d’autres lieuxcomme le port de la Daurade etle site EDF Bazacle. Un démar‐rage qui annonce une éditionprometteuse : «C'est un signeencourageant au moment oùdébute une saison que nous es‐pérons ensoleillée et riche en ac‐tivités», a déclaré FrançoisBriançon, adjoint au mairechargé des sports et des loisirs.L’an dernier Toulouse Plages aaccueilli près de 300 000 per‐sonnes sur l’été.

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Homines enim eruditos et sobrios ut infaustos et inutiles vitant, eo quoque accedente quod et nomenclatores adsueti haec et talia venditare, mercede accepta lucris quosdam et prandiis inserunt subditicios ignobiles et obscuros.

Et quoniam apud eos ut in capite mundi morborum acerbitates celsius dominantur, ad quos vel sedandos omnis professio medendi torpescit, excogitatum est adminiculum sospitale nequi amicum perferentem similia videat, additumque est cautionibus paucis remedium aliud satis validum, ut famulos percontatum missos quem ad modum valeant noti hac aegritudine colligati, non ante recipiant domum quam lavacro purgaverint corpus. ita etiam alienis oculis visa metuitur labes.

Isauri, quibus est usitatum saepe pacari saepeque inopinis excursibus cuncta miscere, ex latrociniis occultis et raris, alente inpunitate adulescentem in peius audaciam ad bella gravia proruperunt, diu quidem perduelles spiritus inrequietis motibus erigentes, hac tamen indignitate perciti vehementer, ut iactitabant, quod eorum capiti quidam consortes apud Iconium Pisidiae oppidum in amphitheatrali spectaculo feris praedatricibus obiecti sunt praeter morem.

Haec dum oriens diu perferret, caeli reserato tepore Constantius consulatu suo septies et Caesaris ter egressus Arelate Valentiam petit, in Gundomadum et


Et quoniam apud eos ut in capite mundi morborum acerbitates celsius dominantur, ad quos vel sedandos


Et quoniam apud eos ut in capite mundi morborum acerbitates celsius dominantur, ad quos vel sedandos omnis professio medendi torpescit, excogitatum est adminiculum sospitale nequi amicum perferentem similia videat, additumque est cautionibus paucis remedium aliud satis validum, ut famulos percontatum missos quem ad modum valeant noti hac aegritudine colligati, non ante recipiant domum quam lavacro purgaverint corpus. ita etiam alienis oculis visa metuitur labes.

Nec sane haec sola pernicies orientem diversis cladibus


Et quoniam apud eos ut in capite mundi morborum acerbitates celsius dominantu r, ad quos vel sedandos omnis professio medendi torpescit, excogitatum est adminiculum sospitale nequi amicum perferentem similia videat, additumque est cautionibus paucis remedium aliud satis validum, ut famulos percontatum missos quem ad modum valeant noti hac aegritudine colligati, non ante recipiant domum quam lavacro purgaverint corpus. ita etiam alienis oculis visa metuitur labes.

quibus est usitatum saepe pacari saepeque inopinis excursibus cuncta miscere, ex latrociniis occultis et raris, alente inpunitate adulescentem in peius audaciam ad bella gravia proruperunt, diu quidem perduelles spiritus inrequietis motibus erigentes, hac tamen indignitate perciti vehementer, ut iactitabant, quod eorum capiti quidam consortes apud Iconium Pisidiae oppidum in amphitheatrali spectaculo feris praedatricibus obiecti sunt praeter morem.

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REPORT’ PHOTOS 07par Franck AlixJeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


Les Toulousains se sont déplacés en masse, dimanche 14 juillet, sur les allées Jean Jaurès.Plus de 100 000 personnes ont assisté auconcert qui accueillait des invités de marque :Maurane, Passi, Bernard Lavilliers, Calogero,et la maîtresse de cérémonie, Juliette. Le feud’artifice, tiré depuis la médiathèque, était ac‐compagné par l’Orchestre national du Capi‐tole, dirigé par Tugan Sokhiev. «Les artistes etles Toulousains ont une fois de plus porté hautles valeurs de partage et de fête de la ville rose»,s’est réjoui le maire Pierre Cohen.

14 juillet : 100 000 personnes ont assisté au spectacle

AMBIANCE DE FEU !



www.lejournaltoulousain.fr100% POLITIQUE08

LE BILLET DE STÉPHANE BAUMONTNotre politologue

Et si au‐delà de l'émotion et dela compassion suscitées par lacatastrophe ferroviaire de Bréti‐gny‐sur‐Orge à la veille du 14Juillet, rapidement occultées parla médiatisation du défilé mili‐taire – avec ses journalistes “em‐bedded”, embarqués dans lestanks – nous nous arrêtions à lalecture du dernier ouvrage et in‐terview de Christian Salmon (es‐sayiste), auteur de “Lacérémonie cannibale et la per‐formance politique” (éd.Fayard), on lirait les commen‐taires et constats suivants, cor‐roborés d'ailleurs par l'interviewdu 14 Juillet sur le gazon ély‐séen : «on assiste depuis la crisede 2008 à l'émergence d'un nou‐vel habitus : le comptable à lu‐nettes, modèle Hollande,Mariano Rajoy ou Mario Monti…Budget en équilibre, présidentéquilibré. Après des années de“Sarkocaïne”, François Hollandea administré aux Français un trai‐tement au lithium au cours de lacampagne du “Président nor‐mal”, dont le pays lui a su gréjusqu'à l'été 2012. Mais l'étépassé, les machines à raconter sesont remises en route… “Hollandeoù est ton récit ?” a été le leitmotivde la première année du quin‐quennat. Si vous ne racontez pasvotre histoire, ce sont les autresqui la racontent à votre place».Ainsi, au cœur de l'interventiondu Président toujours à l'aisedans sa classique rhétorique ar‐gumentative, très pédagogiqueet consensuelle, souhaitant ainsidémontrer qu'il est un «Présidentau‐dessus des partis, œuvrantpour la France, sans souci de sonpropre destin de futur candidat»,on a constaté qu'au‐delà desthèmes classiques abordés tousles trois mois surgissait celui dupessimisme des Français contrelequel il fallait d'autant plus lut‐ter que la France avait assez dequalités et de potentialités pourmettre fin à ce désenchante‐ment, à ce pessimisme, à ces dé‐ceptions – dépression que ni sonpassé ni son avenir ne justifient.En soulignant la justesse et l'ur‐gence de ce combat contre lepessimisme, François Hollandeveut éviter le développement dedépressions démocratiques oude dépolitisations systémiquesdont ont été victimes, à leur ma‐nière Aznar, Blair, Bush, Berlus‐coni et Sarkozy. Voilà pour le

moment le seul et insuffisantrécit de Hollande. Pierre Mosco‐vici souligne «qu'on a besoin durécit de la nation, de cet esprit col‐lectif français. Le rôle du Chef del’État c'est d'impulser, de donnerle sens de la vision.» Pour LaurentFabius, «quelle place pour laFrance ? Quel rôle pour l'Europe ?C'est ça historiquement, le man‐dat de François Hollande.» Mani‐festement, le PrésidentHollande a un rythme, une sé‐mantique, une ligne pérennesqui semblent le condamner à nepas changer et à ne pas pouvoir,pour le moment, résoudre “lesimpasses du hollandisme” : inca‐pacité à promouvoir sa politique,absence de prise de consciencede la crise que nous traversons,recours excessif à l'impôt, risquede casser la croissance. Commele souligne Jacques Attali dans“Urgences française”, «la Francene sait pas se réformer. Le pro‐gramme de François Hollandemanque d'ambition depuis le dé‐part.» Curieuse posture tran‐quille sur le gazon élyséen où lePrésident ne semble ébranlé nipar les doutes qui montent deson camp (certains rêvent au re‐tour de Martine Aubry) ni du re‐tour dans l'arène – surmédiatisé,habilement dramatisé, très “bo‐napartisé”‐ de Nicolas Sarkozycomme si le comportement dece dernier “soulignait en creux”ce que n'est pas François Hol‐lande : “audacieux, transgressif,prêt à tout” (Françoise Fressoz).Comme l'indique Emmanuel Ri‐vière de la Sofres : «François Hol‐lande est coincé entre une gauchequi se dit de plus en plus : “qu'at‐tend‐il pour être de gauche ?” etune droite qui voit dans l'absencede résultats, la confirmation de cequ'elle pense depuis le début : “ilest incompétent”. La situation duPrésident (impopularité crois‐sante, risque de délégitimation)confirmée par les sondages (27 %des Français lui font confiance)laisse à penser, comme le souligneFrédéric Dabi, «qu'à l'automne,l'effet tenailles risque d'être en‐core plus terrible»… surtout avecun discours qui ne change pas etun Palais de l’Élysée qui ressem‐ble de plus en plus – comme pourchacun des Présidents sous la Ve

République – à un “Château ‐ Tourd'ivoire”.»

Dépression Démocratique

© F

ran

ck Alix/JT

Le désordre continue à Alliance Centriste

Pas si simple d’incarner la jeunesse

Le 20 avril dernier aura étéune sombre date pour la fé‐dération départementale d’

“Alliance Centriste”, composantede l’UDI emmenée par le sénateurJean Arthuis sur le plan national.Elle aura été marquée par une ten‐tative d’OPA contre Jean‐MarieBelin qui préside aux destinées decette formation centriste depuismaintenant plusieurs années. Lepourfendeur est dénommé HervéBoco, professeur à l’ESC et anima‐teur du think tank “L’Estrade”, unproche de Christine de Veyrac. Cenouveau venu dans le paysage po‐litique toulousain a su habilementmanœuvrer en coulisses en “en‐cartant” notamment un nombreconséquent d’amis et de jeunesétudiants : «C’est un putsch» ar‐guait à l’époque Jean‐Marie Belin.Le blocage fut tel que les ins‐tances parisiennes dudit parti ontdécidé de mettre cette fédérationsous tutelle, dans un premiertemps sous la surveillance du dé‐légué départemental Jean‐ClaudePellegrino (bras droit de Jean‐Marie Belin), puis en envoyant unelettre de mission à l’avocat EricMouton (faisant partie de la garderapprochée de Christine de Vey‐rac). Ce dernier nous a d’ailleursdévoilé son contenu dans l’émis‐sion “Zoom sur l’actu” (disponiblesur la web tv du JT) : «On aconstaté un blocage, et dans cesconditions Jean Arthuis m’a de‐mandé de mener une mission de

médiation et d’apaisement… Ils’agit de créer les conditions d’undialogue et de création d’un nou‐veau bureau. On se parle et on esttrain de se restructurer.» Du côtédes assiégés, on conteste par lavoix de Jean‐Marie Belin : «Il nepeut être le médiateur puisqu’il estjuge et parti.» Une accusation di‐recte de trop grande proximité del’avocat toulousain avec Christinede Veyrac et Hervé Boco. Le bu‐reau toujours en place d’ “AllianceCentriste” conteste également letitre d’“administrateur provisoire”affublé à Eric Mouton, «il n'y a paset il n'y a jamais eu d’“administra‐teur provisoire d'AC31” ; le prési‐dent et le bureau élus sont bien sûrconfirmés dans leurs responsabili‐tés par Paris.» Les proches deJean‐Marie Belin n’hésitent pasnon plus à menacer via un com‐muniqué et autorisent leur «prési‐

dent à ester en justice en cas deplaintes d’adhérents sur la commu‐nication et l’usage du fichier d’AC31.» Le constat est donc clair,l’apaisement n’est pas encored’actualité… D’autant que derrièreces turbulences se cachent lesvrais enjeux liés à la campagnemunicipale. Le clan Belin est déjàprêt à l’union avec Jean‐Luc Mou‐denc et le revendique dans sondernier communiqué, «le bureaud’AC 31 demande, à l’unanimité quel’union prévale le plus rapidementpossible au Centre et à Droite, sansattendre de nouveaux délais inu‐tiles», tandis que du côté d’HervéBoco et Eric Mouton, le soutien àChristine de Veyrac reste indéfec‐tible… L’été va‐t‐il permettre defaire passer l’orage ? Rien n’estmoins sûr.

Thomas Simonian

La trajectoire d’Etienne Car‐deilhac‐Pugens aura été ra‐pide. En 2008, il devient

adjoint à la jeunesse à Léguevin,commune dynamique située auxportes du Gers et dirigée par leconseiller régional UMP StéphaneMirc. En 2012, il est le suppléantde Jocelyne Vidal sur la sixièmecirconscription lors des électionslégislatives et se forge une expé‐rience en s’opposant à MoniqueIborra… En parallèle de toutes cesactions, sa vie quotidienne se fai‐sant désormais dans la ville cen‐tre, il crée le MJT (Mouvement desJeunes pour Toulouse) qui se posi‐tionne dès le début dans le sillagede l’ancien maire de Toulouse :«Jean‐Luc Moudenc incarne les va‐leurs que je défends», déclarait l’in‐téressé dans nos colonnes en mars2012. Mais depuis les choses sesont tendues entre les deux partis,et ce pour plusieurs raisons. LeMJT a été vite perçu par les“Jeunes Pop’” de l’UMP comme unadversaire, ce qui a provoqué desconflits larvés entre l’équiped’Etienne Cardeilhac‐Pugens etles cadres des jeunes pousses del’UMP. D’autant qu’idéologique‐ment, la jeune garde de la rue Ga‐briel Péri est plutôt proche de la“Droite forte” de Guillaume Peltieret Geoffroy Didier, tandis que leMJT a toujours revendiqué un hé‐ritage centriste… Depuis EtienneCardeilhac‐Pugens ne cache plusson ambition d’être présent sur

une liste pour l’échéance 2014 et aposé des actes en conséquence. Ila démissionné de l’UMP il y a peu,et a également annoncé au pre‐mier magistrat de Léguevin sonintention de quitter ses fonc‐tions… Une posture qui ne semblepas avoir convaincu les proches deJean‐Luc Moudenc, lui reprochantnotamment d’avoir fait distribuerun tract de soutien à l’ancienmaire sans leur aval, et de vouloiresquiver le vote interne des mili‐tants UMP pour être sur la futureliste des municipales. Des com‐mentaires qui ne semblent pasavoir refroidi l’intéressé, qui ad’ailleurs remis récemment avecses troupes un projet jeunesse àJLM en vue des municipales. Du‐rant la soirée Arnaud Mounier, as‐

sistant parlementaire de l’ancienmaire, a d’ailleurs twitté : «Ce soir@MJT_2014 vient d'apporter publi‐quement son soutien à JL #Mou‐denc pour municipales #toulouse».Dans un communiqué assez sai‐gnant daté du 16 juillet, le MJT arépliqué : «Seules les informationsécrites noir sur blanc, communi‐quées par Kevin Ferand (vice‐prési‐dent de l’association, ndlr) ou lebureau du MJT, doivent être consi‐dérées comme exactes. Par consé‐quent nous réaffirmons qu’à ce jourle MJT n’a toujours pas officialiséses intentions pour les munici‐pales…» Suite à ces épisodes élec‐triques, le projet jeunesse du MJTsera‐t‐il remis également à Chris‐tine de Veyrac ?

Thomas Simonian

Etienne Cardeilhac‐Pugens et Jean‐Luc Moudenc sur la même longueur d’ondes?

Nouveau match chez les centristes entre Éric Mouton et Jean‐Marie Belin

09Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


Pour la première fois depuisson lancement en 1974,Volkswagen attribue offi‐

ciellement un numéro à sa nou‐velle Golf. Il s’agit du sept. Logiqueà l’occasion de sa septième géné‐ration. Petit retour en arrière de 38ans plus exactement en mars 1974où la remplaçante de la Coccinellesortait des chaînes de Wolfsburg.Magnifiquement dessinée parGiorgo Giugiaro, elle était tout lecontraire de la Cox. En premier parla position avant du moteur trans‐versal. Ainsi la Golf, c’est son nom,devenait une traction. Premièreaussi par la présence d’un hayonet d’une banquette arrière au dos‐

sier rabattable. Même dans le do‐maine de la production, Golfpulvérise les records avec plus de29 millions d’exemplaires com‐mercialisés en six générationsdont 1 920 000 en France. La sagadébute par la première générationdu nom de 1974 à 1983 (PremierGTD Turbo diesel et la sportiveGTI) puis dans l’ordre Golf 2 de1983 à 1991 (Pot catalytique etABS), Golf 3 de 1991 à 1997 (Appa‐

rition des Airbags), Golf 4 de 1997à 2003 (ESP et DSG), Golf 5 de2003 à 2008 avec airbags latérauxet motorisations TSI avant Golf 6de 2008 à 2012 qui recevait le Stopand Start et des soudures aux la‐sers. Aujourd’hui avec 4.25 m laGolf VII s’allonge de 56 mm. L’em‐pattement prend au passage 59mm. Toutes les cotes intérieuressont en progression y compris lecoffre qui gagne 30 litres avec autotal 380 litres. Bonne nouvelle : lepoids baisse d’environ 100 kggrâce à l’économie réalisée en par‐ticulier sur le châssis, la super‐structure mais aussi par exemplesur les sièges moins 7 kg. Cela à

motorisation équivalente Côté es‐thétique, pas de révolution maisune évolution par un design exté‐rieur adouci tout en lui donnantune puissante silhouette avec uneimpression de haut‐de‐gamme aulong capot avec un habitacle re‐jeté en arrière. Ceci par les rouesavant avancées. De face tout lemonde reconnaîtra une Golf. Lesphares redessinés signent leuridentité par des leds en forme de

U. L’arrière quant à lui s’offre desfeux plus allongés. Mais plus im‐portant : le seuil de chargementest abaissé à 665 mm. L’intérieurtoujours sans reproche s’éclaircitpar des tons plus colorés. Côtémotorisations essence, la puis‐sance varie de 85 à 140 chevauxsuivant le modèle. Quant au die‐sel, le choix offert s’établit entre le1.6 TDI de 105 chevaux et le 2.0 li‐tres de 150. Avec dans tous les cas,la possibilité d’intégrer une boîteDSG 6 rapports en diesel ou 7 enessence. Son comportement sur laroute est sans reproche parce queneutre. Dans cette nouvelle Golfqui se nomme aujourd’hui Golf VII,

tout est nouveau sauf son nom etson prix qui reste inchangé bienque le modèle de base reçoive ledétecteur de fatigue, le freinagemulti collisions, le régulateur et li‐miteur de vitesse et la radio tac‐tile. La nouvelle Golf VII met labarre très haute et il sera difficilede la surpasser.

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Volkswagen Golf VII : la référence absolue

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LA SOCIÉTÉ EN QUESTION 11Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


«Mal nommer les choses c'est ajouter du malheur au monde.» Albert Camus

«Je pense donc je suis»,comme l’écrivait RenéDescartes (1596-1650)

avec son œuvre maîtresse «Lediscours de la méthode» qui vaapporta à la société française unautre mode de raisonnement re-posant essentiellement sur lebon sens. Un discours, un modede pensée qui, à son époque, vamettre en difficulté l’autorita-risme ambiant sur les thèmesimposés qu’étaient alors la mo-narchie absolue, la religion cul-tivant le fanatisme etc... Ainsi,avec un courage et une audacefolle, il va libérer l’esprit, re-joignant d’une certaine ma-nière un certain Bernard deChartres qui déjà au XIIèmesiècle, rappelait avec sagesseque nous étions : «… sembla-bles à des nains assis sur desépaules de géants». Et d’ajou-ter : «Nous voyons davantagede choses que les anciens, etde plus lointaines, mais cen’est point grâce à l’acuité denotre vue ou à la hauteur denotre taille. C’est parce qu’ilsnous portent et nous haussentde leur hauteur gigantesque». Un constat, une réalité qui desiècles en siècles, nous collentà la peau, de générations engénérations. Comme si nousn’avions jamais rien comprisà l’histoire de notre pays,comme à celle de l’Europe, où

nous prenons pourtant nosfondements… Comme si nousn’avions jamais entendu laleçon. Et pourtant nous devrions êtreinterpellés, avoir un instant delucidité et se poser la questionde notre propre rôle dans cettesociété, de notre responsabi-lité quant à son devenir... Sauf que nous sommes dansl’illusion du mieux vivre appa-rent apporté par des confortssupposés de technologies supé-rieures. Aujourd’hui il est facilede croire, qu’avec un iPhone,l’on tient le monde, le savoir,au bout de ses doigts. Mais, à yregarder d’un peu plus près,que reste-t-il de l’apport de

l’autre pour simplement grandirensemble ? Où est le partage,le bonheur conjugué avec nossemblables ? Aujourd’hui,sommes-nous conscients denous éloigner toujours plus denos valeurs, comme de nosprincipes voire même de nospréceptes de vie inscrits à l’ori-gine dans la relation humaineavec le contact physique,l’échange, le partage, la com-munion d’idées, d’actions ; le“Gagner”… Pour autant de va-leurs qui ne peuvent que conso-lider le respect de l’autre.

Toulouse l’exemple ?Il y a quelques années, la Mai-rie de Paris vantait “la Capi-tale aux 100 Villages” poursouligner la diversité, laconvivialité offerte dans sonespace, d’Auteuil à Ménil-montant en passant par laButte aux Cailles, disait la pu-blicité. Le slogan aurait valupour Toulouse, avec ses in-nombrables quartiers et fau-bourgs qu'il fallait hierapprivoiser pour bien enconnaître les singularités :Saint-Cyprien, Bonnefoy, lesCarmes, Arnaud Bernard, lesMinimes, les 3 Cocus, Belle-fontaine, le Mirail, Saint-Mi-chel, Lardenne, La patted’Oie, les Izards, Bagatelle, la

Reynerie, les Arènes, Purpan,Roguet, Borderouge.

Oui, autrefois, les Toulousainsétaient moins nombreux. Maisils étaient fiers de leur histoirecommune et gardaient dans lesouvenir de leur glorieuxpassé de Capitale Languedo-cienne le culte de l’urbanité.Le signe distinctif qui était lepoint commun avec l’am-biance des villes italiennes ouespagnoles. Le plaisir de sor-tir, d’arpenter les boulevards“paséo”, de s’installer auxnombreuses terrasses de cafés,d’aller fréquemment au ci-néma ou même à l’Opéra,s’arrêter devant les Améri-cains pour profiter du specta-

cle… Un programme qui étaittout fait et laissait le loisir deprendre le temps de se retrou-ver chez son boulanger, sonboucher, son charcutier…Comme chaque fin de se-maine au marché à la volailleet aux légumes, au bistrot ducoin pour refaire le monde,d’aller prier à l’église chaquedimanche matin, la pétanque,la partie de football ou derugby l’après-midi… Ce mode de vie conduisait àune grande mixité sociale, en-courageait à cette particularitétraditionnelle de notre ville oùla liberté d’agir, l’ouvertured’esprit restaient le maître motde la tolérance de l’autre pourentrevoir le partage. La moin-dre fête chez l’un était vécuepar tous… Certes, on ne peutagir de la même manière

quand la population est de240.000 habitants commedans les années 50, et au-jourd’hui en 2013 où Tou-louse et son agglomérationdépassent le million d’habi-tants. Mais quand même…

Aller au-devant de l’autre…Alors, aujourd’hui, où sont lesopportunités de se connaître,d’échanger, d’apprendre levivre ensemble ? Ici, tout lemonde vit reclus dans sa rue,dans son appartement, neprendra pas le risque de sortirde son territoire, même enplein jour. La qualité de vie, le mieuxvivre sont la résultante d’uneprise de conscience, d’uneprise en compte permanente,de l’espace dans le temps, deson mode d’utilisation commedu nombre des usagers qui lefont vivre… Force est deconstater qu’à Toulouse,comme sur tout le reste du ter-ritoire français, au fil des an-nées, elle s’est peu à peudégradée. Voire devenue unvéritable handicap à qui veuty vivre, y entreprendre… Et àun degré ou un autre, ne nous

dérobons plus, nous portonstous une part de responsabilitédans cet échec…Oui, même dans notre fameux“Grand Toulouse”, avec ses

villages Gascons ou Langue-dociens, qui naguère attiraientpour leur aspect riant, chaleu-reux où, bon gré mal gré, pe-tits commerces oblige, laconvivialité semblait encorede mise, qu’en est-il vraimentaujourd’hui ? Car l’on se doitde reconnaître que le stress duquotidien, l’insécurité écono-mique, l’urbanisation à ou-trance et sans discernement, lemanque de transports en com-mun, semblent aussi condam-ner à termes ces prétenduspetits havres de paix, à deve-nir des villes dortoirs, sansâmes. Pourtant, est-il trop tard pourarrêter la machine infernale duchacun pour soi, pour inversercette tendance qui nous dirigedroit dans le mur… Est-il troptard pour se doter d’outils etde moyens susceptibles d’en-gager les collectivités, de sen-sibiliser, de responsabiliser,d’inciter le plus grand nom-bre, parmi nous, à participerau mieux vivre partagé ?Convaincre les Toulousainsqu’ils ont matière et intérêts àdevenir acteurs dans leur ville,pour ancrer définitivement le“Mieux vivre à la Toulou-saine”. Quasi un label à faire

renaître et à défendre coûteque coûte si l’on veut retrou-ver l’harmonie du vivre en-semble, le respect de l’autre,la sécurité des personnes etdes biens, la liberté de penséeet d’agir ? Alors, probablement qu’en2014 le thème décisif pour lesMunicipales pourrait être celuidu «Mieux Vivre raisonné»…Et pourrait nous rappeler tousà plus de responsabilité etdonner encore plus de force àun certain Victor Hugolorsque dans un discoursfleuve à l’Assemblée Natio-nale, il marquera l’Histoire denotre pays en déclarant : «Na-guère la civilisation obéissaità la force, désormais elleobéira à un idéal. Plus d’autresouveraineté que la loi pour lePeuple et la conscience pourl’Individu. Désormais pourchacun de nous les deux as-pects du progrès se dégagentnettement et de fait nous enga-gent tous. Les voici : Premiè-rement exercer son droit,c’est-à-dire, être un Homme…Exercer son devoir, c’est-à-dire, être un Citoyen».Il n’est pas trop tard pourécrire ensemble la plus belledes histoires de France, celleoù, toutes générations ettoutes origines confondues,chacun aura toutes les oppor-tunités de s’épanouir dans un“Mieux Vivre partagé et res-ponsable”…

André GallegoDirecteur ligne éditorialePrésident de France Génération Pluriellewww.france-generation-plurielle.fr

«Cogito, ergo sum»

LIBRE&DEBOUT

«Exercer son droit, c’est-à-dire, être un Homme… Exercer son devoir,c’est-à-dire, être un Citoyen.»

Victor Hugo .

“Le Mieux Vivre raisonné” pourrait être l’engagement décisif, aux Municipales de 2014…



www.lejournaltoulousain.frDOSSIER12

JEAN-JACQUES MIRASSOU, SÉNATEUR PS

« Au bout du monde, je n’y vais pas ! »Le sénateur Jean‐Jacques Mirassou, se prépare à passer ses vacances entre la Costa Brava, le Volvestre et le Lauragais.Un petit périple habituel qui permet au parlementaire de se ressourcer avec sa famille et ses amis. «Il n’en faut pas beaucoup pour me rendre heureux. Ce n’est pas très exotique, mais j’assume parfaitement !», lance‐t‐il.

C’est à Palafrugell, au cœurde la Costa Brava, queJean‐Jacques Mirassou va

passer ses premiers jours de va‐cances. «J’y allais déjà quandj’avais 10 ans ! J’aime ce coin qui

n’est pas très fréquenté et qui gardeune certaine authenticité», ex‐plique‐t‐il. Le sénateur y retrouveses petites habitudes : les plages,«où j’ai pratiqué des sports nau‐tiques», ses amis, et de bonsrepas… «Des plaisirs simples»,

aime‐t‐il à préciser. Mais Jean‐Jacques Mirassou ne reste jamaislongtemps loin de la Haute‐Ga‐ronne. «Ne me demandez pas com‐ment c’est au bout du monde, je n’yvais pas ! Entre voyager et se repo‐ser, il faut faire un choix. Moi je pré‐fère me ressourcer, rester proche demon territoire et de son actualité»,confie le sénateur. Ainsi, il fera es‐cale quelque temps à Saint‐FélixLauragais, où il a des “attaches”.«Il y a également un très bon resto,Le poids public, ce qui me fait deuxbonnes raisons d’y aller», plaisanteJean‐Jacques Mirassou. Un villageà découvrir absolument selon lui :«Il se trouve au pied de la mon‐tagne noire, à l’interface entre unclimat océanique et méditerranéen.J’y retrouve une ruralité au sensnoble du terme.» Et pour couron‐ner le tout, «c’est le village natal ducélèbre Déodat de Séverac.» Dansle Volvestre, le sénateur changeraune fois de plus de paysage : «Unterritoire plus boisé, pas loin des co‐teaux de Gascogne. Magnifiqueégalement ! Parfait pour chassermais il faut attendre l’ouverture dela saison.» Des vacances qui se partagentdonc essentiellement entre les Py‐

rénées et la Méditerranée, terri‐toires chers aux yeux du parle‐mentaire. «C’est facile à réaliser !»,clame‐t‐il. Il profitera en outre deson temps libre pour aller à la ren‐contre «des élus locaux que je nevois pas souvent, j’irai par exemple

à la fête de l’ail à Cadours», révèle‐t‐il. Mais cela ne s’apparenterait‐ilpas à du travail ? «Disons que jejoins l’utile à l’agréable, au trèsagréable même», répond Jean‐Jacques Mirassou.

Coralie Bombail

JB, ANIMATEUR DE FUN RADIO

« Les Calanques… c’était superbe ! »Il est celui qui en direct de la rue Bayard à Paris sévit sur les ondes nationales de Fun Radio. JB a fait ses gammes sur l’antenne toulousainede la station “dancefloor” et reste un inconditionnel de la ville rose, à tel point qu’il est l’instigateur du site www.alleztfc.com. Il a d’ailleurs récemment fait parler de lui en mettant en ligne une pétition pour l’arrivée de David Trézéguet à Toulouse…

La destination estivale pré‐férée de JB reste l’Espagneet la Costa Brava, «j’y ai

passé une partie de mon enfance

durant les mois de juillet etaoût». Il lui en reste même lespremiers souvenirs de sorties enboîte… L’endroit idéal pourbronzer selon cet as du micro. JBaime clairement le soleil et lesplages et garde un souvenir spé‐cial de l’île Maurice, un endroitdu monde qu’il aime conseiller :«J'ai eu la chance d'y aller et lesMauriciens sont d'une gentillesseque je n'ai jamais revue nullepart. Incroyable ! Rien que ça, çamagnifie un séjour.» Mais il y aun endroit que l’animateur deFun Radio a découvert l’annéedernière, et qu’il n’est pas prêtd’oublier… Il songe même déjà ày revenir : «J'ai passé quelquesjours sur Marseille. Je n'aime pasla ville, mais l'animateur de FunRadio Marseille m'a fait visiter les

Calanques... C'était superbe !Nous étions trois amis, un trèsbon souvenir !» En revanche,c’est sans langue de bois que JBs’est permis de nous signaler larégion qu’il déconseille pour lesvacances : «La Bretagne ! Je n’yvais plus. Ma mère est originairede là‐bas et fait des pieds et desmains pour que j'y retourne... Jetiens pour le moment. Du crachinet des nuages gris en août, c'estdommage, non ? Je taquine évi‐demment ! (rires)» Car cette stardes ondes est ainsi… Le soleilavant tout ! Quoique… : «Et puisparfois, une semaine chez soi àne rien faire, ça fait du bien !»

Thomas Simonian

Où partent-ils eDe la politique à la radio, de la scène au rugby … Ceux qui sont sous les feux des projecteurs toute l’année vont enfin pouv

L’occasion également pour les lecteurs du JT d’avoiD

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La Butte des trois moulins à Saint‐Félix‐Lauragais

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JB n’aime pas la ville de Marseille mais est tombé amoureux des Calanques

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Sa blessure aux ligaments dugenou étant tombée àquelques journées des phases

finales, l’ailier international toulou‐sain a dû bouleverser ses plans es‐tivaux, bien malgré lui. Opéré finavril à Toulouse, il a opté pour uneconvalescence paisible, n’oubliantpas de muscler le haut de son corpsavec le staff médical du Stade. Dis‐ponible pour son club, il s’est prêtévolontiers au jeu des sponsors, quiont profité de sa situation dejoueur blessé, pour utiliser aumieux son image de marque.Après un petit tour à Roland Gar‐ros, il a attendu mi‐juin, que sonami et coéquipier Gregory Lambo‐ley soit en vacances, pour l’accom‐pagner sur l’archipel des Baléares,à Ibiza plus exactement, sur lesîles Pityuses. Soleil, plage et dé‐tente au menu, en famille et entreamis, des moments à savourerloin de toute pression sportive.

Une fois revenu de cet épisodeibère, Vincent a enchaîné avec unereprise, autre que celle effectuée

par ses partenaires. En compagniede Zéba Traoré, il a travaillécomme l’aurait fait, un sprinteurconvalescent. Venu en guest‐ starlors du jubilé du handballeurDaouda Karaboué, le 13 juillet der‐nier au Palais des Sports, il s’estenvolé pour la Côte d’Azur dans lafoulée. Pendant trois semaines,Clerc va patiemment rééduquerson genou à Saint Raphaël, lieud’un centre qu’il privilégie à l’habi‐tuel CERS de Capbreton : «Vu quej’ai déjà connu cette blessure par lepassé, je vais essayer de me prépa‐rer différemment, de changer leshabitudes pour revenir encore plusfort», avait‐il confié au JournalToulousain lors d’une récente in‐terview. Souhaitons‐lui en toutcas, de revenir le plus vite possiblesur le terrain, l’endroit où il est leplus heureux des hommes. C’estlui qui le dit.

Mehdi Djebbari

DOSSIER 13Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


JEAN-JACQUES CRIPIA DU DUO DES NON

«Une corrida, du vin, du foie gras, des copains et de la musique»Dès le 2 septembre, le Duo des Non sera de retour sur les ondes de Sud Radio (101.4 FM à Toulouse). Au programme de la seizième saison de Radio Bourcagneux, «de nouveaux personnages qui débarqueront de la lune et quelques surprises avec des personnalités», promet Jean‐Jacques Cripia, leader de la troupe aux côtés de Camille Bouilhou et de Michel Bauchar.

Mais pour l’heure, pas delongues vacances pourcet humoriste acharné de

travail, à la tête

d’une société de production etd’édition : «J’aime partir souvent

mais peu. Couper le téléphone, cen’est pas le genre de la maison. Etpuis les Assedic, les impôts, l’Urs‐saf, eux, ne sont pas en congés»,plaisante‐t‐il. Deux jours par‐ciau Festival Tempo Latino de VicFezensac ou de jazz à Marciac,deux jours par‐là aux ferias deBéziers ou de Bayonne… Pasde lieu de villégiature privilé‐gié non plus mais plutôt unétablissement “La Bodegachez Moustache” à Béziers etune ambiance : «C’est un lieuaérien, de haut‐vol où beau‐coup d’amis se regroupentautour des mêmes envies, etparfois même, des mêmescauses», explique Jean‐Jacques Cripia. Comme ilest inutile aussi selon luide «passer six heures dansles bouchons» pour sesentir en congés : «Unecorrida, des copains, dufoie gras, de la musique etdu vin, c’est déjà des va‐

cances», considère‐t‐il. Et mêmes’il avoue avoir «un mode de vieassez solitaire», aux antipodes dustyle «parasol et maillot de bain»,l’ancien instituteur se régale d’uneculture grandeur nature : «Je suis

pour ce qui est sensé rassembler lesgens : un match de rugby, une piècede théâtre, un concert… J’aime lesvoir regarder, écouter la mêmechose même s’ils ne l’entendent paspareil.» Aujourd’hui, justement, enmélomane averti et musicien horspair selon ses proches, il part voirsur scène Neil Young à Biarritz dontil a lu l’autobiographie. Toutcomme celles de Keith Richards, dePete Townsend et bientôt, celles deRod Stewart et de Tom Waits, «descréateurs pas loin d’être extraordi‐naires.» Car comme l’écriture, lalecture a toujours été pour Jean‐Jacques Cripia, un compagnon fi‐dèle. Et un plaisir qui le motive : àl’ombre d’un arbre sur un transat,avec dans les mains, “Fragmentsd’un discours amoureux” de RolandBarthes.

Claire Manaud

en vacances ?oir se reposer au soleil. Rencontre avec ces Toulousains célèbres qui s’apprêtent à mettre la crème de bronzage… Ou pas ! r des idées de dernière minute pour leurs vacances.

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Le soleil et les plages d’Ibiza pour la star du Stade Toulousain

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VINCENT CLERC, AILIER INTERNATIONAL DU STADE TOULOUSAIN

Direction Ibiza avec Grégory LamboleyConvalescent après une opération du genou il y a un mois et demi, le Stadiste Vincent Clerc a passé de courtes vacances sous le soleil des Baléares. Le voici désormais à St‐Raphaël, avec au menu trois semaines de reprise et de sensations.

Doudou Ngumbu n'est plusle détenteur de la ceinturedu champion du monde

WBO. Les juges du combat qu'ila disputé le 5 juillet dernier àThiais, l'ont décidé à l'unanimité.Blessé à l'épaule dès la sixièmereprise, le licencié du Boxing ClubToulousain a finalement tenujusqu'à la fin des douze rounds.Dans un contexte trop favorablesans doute, devant quelquesmembres de sa famille sans ou‐blier ses quelques sponsors, Dou‐dou a laissé filer son titre auprofit du Russe Igor Mikhalkin,malgré les vifs encouragementsqui provenaient du public. Peuappliqué, peu concerné, leCongolais va devoir attendre denouveau son tour, s'il veut recon‐quérir quoi que ce soit. Il y a desdéfaites à éviter, celle‐ci va irré‐médiablement le faire reculer auclassement mondial. De numéroquatre au sein de la catégorie

WBO, il devrait se retrouver au‐tour du quinzième rang. Par rap‐port à cela, il lui sera plus difficilede participer à un événementmajeur, avec un enjeu à mettreautour de la taille : «Je n'ai pasété bon, je n'ai rien fait de ce qu'ilfallait», confiait‐il à son entraî‐neur Jérôme Rey, avant d'évo‐quer via réseau social : «Jereviendrai plus fort», à ses plus fi‐dèles supporters.

Treize ans de déterminationParfois la motivation ne suffitpas en boxe, l'application d'unestratégie répétée jusqu'à l'épui‐sement à l'entraînement, peutaussi faire la différence. ContreMikhalkin, le champion en titren'a existé que lors de trois re‐prises (la 3e, la 4e et la 11e).Moins rigoureux tactiquementque lors de sa précédente appa‐

rition sur le ring, au moment oùil obtenait cette même ceinture,Ngumbu n'a jamais été en me‐sure de dicter l'affrontement.Pourtant en mars dernier, à Kieven Ukraine, avec des conditionscompliquées à la clé, Doudoun'avait éprouvé aucune diffi‐culté à déstabiliser son adver‐

saire du moment : VyacheslavUzelkov, qu'il avait battu auxpoints. Plus entreprenant, en to‐tale synergie avec les consignesde son mentor du coin du ring, leToulousain confirmait alors sonstatut de boxeur très talen‐tueux, parti de rien, footballeurjusqu'à ses 16 ans notamment.Jusqu'à présent, les choses ontplutôt bien fonctionné. En effet,depuis ses débuts en 2000 etson premier combat profession‐nel en 2007, Doudou a remportéplus de trente victoires, dontonze avant la limite. Parmi sescinq défaites, la dernière endate, risque cependant de mar‐quer la fin d'un certain cycle.Soit, il remontera sur un ringavec des perspectives ambi‐tieuses, soit il boxera pour ga‐gner sa vie et retrouvera unquotidien plus monotone, loinde tout ce dont il a rêvé plusjeune.

«On avance à l'aveugle»Actuellement en vacances qui ri‐ment avec convalescence,Ngumbu s'interroge désormaissur son avenir. Aurait‐il laissé filerson ultime chance ? A 31 ans,tout peut encore se passer : «Ilfaut que les choses évoluent envue de l'année prochaine. On nepeut pas se permettre de repro‐duire les mêmes erreurs. A moi detrouver les bons mots, à lui d'ap‐pliquer les consignes au bon mo‐ment. Je lui ai proposé unprogramme de récupération et depréparation pour l'été. Il y aurades opportunités de revenir sur ledevant de la scène. Mais personnene peut garantir cela. On avanceà l'aveugle, sans savoir quels se‐ront nos prochains objectifs. Onva se voir le 15 août, mettre tout àplat et repartir», précisait JérômeRey, dont la confiance en Dou‐dou demeure inébranlable. En attendant, Ngumbu travailleson endurance sur une pisted'athlétisme. Capable de courirdes heures durant, lui seul dé‐tient les cartes de son avenir enboxe anglaise. Un avenir pourl'instant parsemé de flou, qu'ilfaudra bien éclaircir tôt ou tard.Un bon comportement sur lering, à la prochaine occasion, etpour sûr, ce sera reparti de plusbelle. Il n'est jamais trop tardaprès tout.

Mehdi Djebbari



www.lejournaltoulousain.frSPORTS14

HandballTournoi internationalSo ToulouseLe FC Barcelone participera auChampionnat du Monde desclubs “Super Globe” à partir du 25août prochain en remplacementde l’Atletico Madrid. En consé‐quence, la programmation duTournoi International So Tou‐louse est légèrement modifiée.Le FC Barcelone et ses cham‐pions du monde espagnols se‐ront bien présents à Toulousemais ne disputeront qu’une seulerencontre. La nouvelle program‐mation est donc la suivante : ven‐dredi 23 août à 18h30 Pays d’AixUC/Naturhouse la Rioja et à20h30 Fenix Toulouse/FC Barce‐lone. Samedi 24 août à 16h FenixToulouse/Naturhouse la Rioja.

TFCL’Atletico piste CapoueLongtemps courtisé par l’AS Mo‐naco et le PSG, Etienne Capouene semble plus intéresser cesdeux écuries. Ce qui ferait l’affairede l’Atletico Madrid faisant du re‐crutement d’un milieu de terrainsa priorité. Celui‐ci pourrait biense nommer Capoue puisque cedernier ne cachant plus ses enviesd’ailleurs, se laisserait tenter parle club espagnol qui disputera laLigue des champions la saisonprochaine. Le TFC attend encoreune offre de l’Atletico.

Didot restera VioletSi les rumeurs l’annonçaient ducôté de Marseille, Rennes ou en‐core Bordeaux, c’est finalement àToulouse qu’Etienne Didot évo‐luera cette saison. Il le confirmesur le site Goal : «En vrai, je n’aipas eu de proposition d’un club. Iln’y a rien eu de concret, juste despetites approches. Je suis bien auTFC, pourquoi bouger si ce n’estpas pour mieux. Pour moi, je suisToulousain cette saison.»

Luzenac a tenu têteau TFCRien de tel qu’un match amicalpour se remettre en selle ! C’estce qu’a fait le TFC le week‐enddernier sur le terrain de Balma,face à Luzenac. Si les Violetsavaient tenu Arles‐Avignon àdistance la semaine précédenteen infligeant un 3‐0, ce fut plusdifficile face aux Ariégeois. Sur lescore final de 3‐3, la rencontre aété disputée et les Toulousainsont été malmenés par des Luze‐naciens motivés.

Zébina toujours capitaineSi les blessures à répétition, etdonc les absences, de JonathanZébina avaient pu présager d’unchangement de capitanat, AlainCasanova a pourtant renouvelésa confiance au joueur. Cepen‐dant Didot, Sirieix et Capoue se‐ront nommés vice‐capitaines…au cas où. «J’ai pour habituded’avoir 3 ou 4 joueurs qui peuventêtre capitaines. C’est une habitudedans les clubs espagnols», ex‐plique l’entraîneur toulousain àAllezTFC.com.

EN BREF… Ngumbu n'a pas tout perduPortrait du boxeur Doudou Ngumbu, formé au Boxing Club Toulousain depuis plus d'une dizaine d'années.Champion du Monde WBO des mi‐lourds pendant quelques mois (de mars à juillet), le natif de Kinshasa s'est fait récemment subtiliser son titre par le Russe Igor Mikhalkin. Battu mais pas résigné, Doudou traverse une période de doute, où la tournure des événements prochains va décider de la suite de sa carrière professionnelle.

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CULTURE 15Jeudi 18 juillet 2013 - N° 572


LE FIL’ M D’ARIANE par Ariane Riou

Fantastiquement cliché

Immondes, baveux et destruc‐teurs, les “Kaijus” sont à l'origined'une guerre sans merci contreles Hommes, armés, eux, de“Jaegers”, des robots surdimen‐sionnés, contrôlés par deux pi‐lotes qui travaillent par télé‐pathie. Bref, une nouvelle guerrecontre la fin du monde. Et pour lecoup, Guillermo del Toro, fan defantastique, s'est fait plaisir. Touty est. D'abord, le beau gossemusclé qui, dans le fond, a uncœur sensible. Del Toro a choisiCharlie Hunnam, un blondinetbritish en passe de devenir lanouvelle coqueluche des filles.Celui‐ci ne jure que par son men‐tor, un grand fort, au charisme età la voix impeccables qui, pourdonner un peu de piment, cachetant bien que mal son état de

santé critique. Pour la touched'humour, on prend un scienti‐fique déluré ‐avec des lunettesbien sûr‐ à la voix stridente quisaute allègrement de délires endélires. Puis, on mure tous lespersonnages dans des décorsdont la surenchère des effetsspéciaux n'est même pas subtile.Elle donne presque mal à la tête.Enfin, on choisit une jolie né‐nette. Cette fois‐ci, pas uneblonde plantureuse ou une brunefemme fatale, mais une petiteAsiatique – l'action se passe àHong‐Kong. Et bien sûr, on faiten sorte que ce soit les Améri‐cains qui sauvent le monde. Bref,les fans du genre adoreront, lesautres passeront.

Sorties cinéChez nous c'est trois !

Réalisé par Claude DutyAvec : N. Lvovsky, M. Kremer...Film français, comédie, 1h28

Jeanne Millet, réalisatrice dansune mauvaise passe, part en pro‐vince pour y présenter l’un de sespremiers films. Son itinéraire va luifaire franchir plusieurs frontièresentre amour et amitié, espoir etdéception, cinéma et quotidienroutinier. Autant de territoires oùseuls bises et baisers servent depasseport.Chez nous c'est trois ! est le troi‐sième long métrage de ClaudeDuty. Le metteur en scène, qui estaussi scénariste, revient après uneabsence de plus de 10 ans (depuisBienvenue au gîte en 2002). Noémie Lvovsky incarne dansChez nous c'est trois ! une réalisa‐trice. Dans la réalité, elle est éga‐lement metteur en scène : on luidoit en effet, entre autres, le trèsbien reçu Camille Redouble.

Paris à tout prixRéalisé par Reem Kherici Avec : R. Kherici, C. Cassel...Film français, comédie, 1h35

Maya, d’origine marocaine, vit àParis depuis 20 ans. C'est une itgirl de la mode. En pleine ascension, elle s’apprêteà décrocher son premier CDI destyliste dans la maison de hautecouture pour laquelle elle tra‐vaille. Mais un simple contrôle depolice, où l’on découvre que sonpermis de séjour est périmé, larenvoie en moins de 24 heures di‐rectement au Maroc. Retour auprès de ce pays et cettefamille qu’elle voulait oublier.Choc des cultures, choc des préju‐gés, Maya va tout faire pour ren‐trer. Vraiment tout. Quandl'avenir d'une parisienne trendydevient la galère d’une immigréesans papier.Paris à tout prix connaît un succèsinternational avant même sa sor‐

tie en France, puisqu'il sera distri‐bué dans 50 pays dans le monde.

Une Journée à RomeRéalisé par Francesca Comencini Avec : F. Scicchitano, G. Valentini...Film italien, drame, 1h30

Une nouvelle journée commenceà Rome, la ville éternelle. Gina etMarco ont 19 et 20 ans et sont por‐tés par l’exubérance de la jeu‐nesse. Gina rêve d’entrer dans le mondedu spectacle et doit rencontrer unhomme politique influent quipourrait lui ouvrir des portes.Marco l’accompagne au volant desa berline noire, c’est son premierjour de travail. De la banlieue vers le centre histo‐rique de la ville, ils vont apprendreà se connaître, tomber amoureux,et vont ainsi basculer, peut‐être unpeu trop tôt et sans en avoirconscience, dans le monde desadultes.

EnoaLe groupe

ZumbaSpécial

Du pop‐rockplein les oreilles

Interview et live

Un maximum d’émissions sur notre Web TV

www.lejournaltoulousain.fr/category/web‐tv

Les chroniqueurs du JTface à Serge Laroze (FN)

Zoom l’actusur

Le phénomènede l’année

Sculptrice

Art‐Thérapeutes

répondPierre Cohen

aux questions deRadio Kol Aviv et duJournal Toulousain� Les transports� La sécurité� Les municipales

répondC. de Veyrac

aux questions deRadio Kol Aviv et duJournal Toulousain� Les transports� La sécurité� Les municipales

Le Journal Toulousain c'est aussi, tous les jours...

FollèreArtiste Toulousaine

Sandrine

Peintre

mais pas que…

Professeurd’Arts plastiques

Pacific Rim, de Guillermo del Toro

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Concerts Le film de la semaineDes places à gagner*au Journal Toulousain au 05 34 40 60 32

*Dans la limite des stocks disponibles

Monstres AcademyRéalisé par Dan ScanlonAvec : Billy Crystal, JohnGoodman, Steve Buscemi

Long‐métrage : américain Genre : Animation Distributeur :The Walt Dis‐ney Company France

Même quand il n’étaitqu’un tout petit monstre,Bob Razowski rêvait déjàde devenir une Terreur.Aujourd’hui, il est enfin enpremière année à la pres‐tigieuse université Mons‐tres Academy, où sontformées les meilleuresTerreurs. Son plan de car‐rière bien préparé estpourtant menacé par sa ren‐contre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturelpour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ilssont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’univer‐sité. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les chosesaient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler en‐semble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…Co‐réalisateur de Monstres & Cie aux côtés de David Silverman et LeeUnkrich, Pete Docter n'est cette fois‐ci pas aux commandes de Mons‐tres Academy, se "contentant" d'être scénariste sur le film. Les rênesont ainsi été confiées à Dan Scanlon, à qui l'on doit le court‐métrage“Martin et la lumière fantôme” en 2006, basé sur l'univers de Cars.

By the Gospel RiverCet été, l’extraordinaire Emma‐nuel Djob nous invite à un voyageunique au coeur du Gospel. Les fans du demi‐finaliste de “TheVoice” seront ravis de retrouverleur candidat favori ainsi que songroupe “By The Gospel River”,dans un spectacle inédit. Emmanuel Djob et son quartet en‐traîneront leur auditoire dans l’his‐toire de ce peuple déraciné grâceà des compositions et des arran‐gements originaux des standardsdu Negro Spiritual et du Gospel.“Go down Moses”, “Sometimes Ifeel like a motherless child” et biend’autres encore, pour une soirée àl’ambiance chaleureuse et jazzy.L’émotion sera au rendez vousgrâce aux 4 voix magiques, en‐ivrantes et puissantes qui font dece groupe l’un des meilleurs quar‐tet Gospel de l’Hexagone. Le pu‐blic a adoré Emmanuel Djob dansThe Voice et il l’aimera plus encoresur la scène du Casino, où entouré

de ses amis chanteurs et musi‐ciens de grande expérience, il li‐vrera sa plus belle prestation.Cette musique Gospel qui ré‐chauffe les corps et les coeurs,personne ne pourra y résister !

Samedi 31 août à 20h30Casino Théâtre Barrière

Mon disquaire et Moi

Tous les mercredis, les disquairesde la ville de Toulouse sont à l’hon‐neur et présentent le temps d’unesoirée leur selection musicale. En

DefianceSaison 1 en coffret 5 DVDet 4 Blu ‐Ray Editeur : Universal Pic‐tures VideoSortie le 18 juillet

Le monde a changé, les règles aussi...

Après 30 années d'inva‐sions extraterrestres etde guerres intergalac‐tiques dévastatrices, lemonde n'est plus ce qu'ilétait. Mais la civilisationcommence à renaitre deses cendres… L'énigma‐tique Nolan (Grant Bow‐ler) s'établit dans la villede Saint Louis, rebaptisée“Defiance”, où humainset extraterrestres appren‐nent à cohabiter. Sondestin va se retrouver lié à celui du maire de la ville Amanda Rosewater(Julie Benz). Ensemble, ils vont devoir se battre pour imposer l'ordre etla paix, et protéger les habitants des nombreux dangers qui les mena‐cent…

Defiance, c'est LA série événement de ce début d'année ! Diffusée surSyFy en VF et VO moins de 24h après le lancement US, elle sera dispo‐nible en DVD et BLU‐RAY en exclusivité mondiale en France le 18 juillet.Une occasion en or pour voir ou revoir cette série de science‐fiction aubudget colossal, avec dans les rôles titres Julie Benz (Dexter, DesperateHousewives…) et Grant Bowler (True Blood, Lost).

Par les producteurs de Desperate Housewives & Battlestar Gallactica !

Contenu du DVD & BR : l'intégrale de la saison 1 (12 épisodes)+ Bonus (scènes coupées et bêtisier)

Sortie DVD

Mercredi 20 Novembre -20h00

Zénith de Toulouse

passant par de l’electro, punk,pop, new wave, soul, rythm’soul,hip hop, funk ... la malette des dis‐quaires dégouline de vinyls rienque pour vous !

Connexion Live ‐ 8 rue GabrielPéri ‐ 31000 Toulouse

Camping de luxe

Né d’une alchimie entre deuxgroupes qui se côtoient depuis lafin des années 1990 :Les Fils de Teuhpu et les Hurle‐ments de Léo, “Camping de Luxe”est une création exceptionnelle !14 musiciens sur scène capablesde s’aventurer dans des terresinexplorées quand ils touchent àVian ou à Gainsbourg (avec, no‐tamment, une excellente reprisedu “Requiem pour un con”)comme de vous transporter dansleurs univers avec leurs composi‐tions aussi surprenantes que dan‐santes.

2 aout à 20h30Connexion Live Toulouse ‐ 8 rueGabriel Péri ‐ 5 €

The Dillinger Escape

PlanThe Dillinger Escape Plan (DEP)est un groupe américain posthardcore formé en 1997. Leurstyle, moderne et intégrant deséléments jazz et de metal post‐progressif, est parfois qualifiémathcore. Le nom du groupe (lit‐téralement « Le plan d'évasion deDillinger ») fait référence augangster américain John Dillinger.Ils sont réputés tant pour leur mu‐sique, caractérisée par des struc‐tures rythmiques souventcomplexes, une violence exacer‐bée et des tempos très rapides,que pour l'intensité de leurs pres‐tations scéniques.Leur dernier album “One Of Us IsThe Killer” est sorti le 14 mai 2013.

Jeudi 26 Septembre – 20h30La Dynamo


Jeudi 18 juillet 2013 - N° 572

www.lejournaltoulousain.frCULTURE16

ANNONCES LÉGALES [email protected] 18 juillet 2013 - n°572

www.journaltoulousain.frTOULOUSAINLe

AVIS DE CONSTITUTION

Dénomination : CB Grenade Forme :SARL Capital : 120 euros Siège social :2A, rue Du Port Haut 31330 Grenade surGaronne Objet : suivre les personnes enplan diététique par une diététicienne etcommercialiser des compléments alimen-taires. Durée : 90 ans Gérance : ConsueloBlancquart Saint Avit 82110 Saint Amansde Pellagal. Immatriculation : RCS Tou-louse.


Forme : SCI Dénomination : SCI C.M.SSiège social : 15, rue du Moulin – 31700BLAGNAC Objet : l'acquisition, l'aména-gement, la mise en valeur, l'administration,l'exploitation, la location ou autrement detous immeubles et biens immobiliers. Ca-pital : 1 200€ Durée : 99 ans Gérance :Mme CANUT Chantal, demeurant 15, ruedu MOULIN – 31700 BLAGNAC. Immatri-culation au RCS de Toulouse.


Avis est donné de la constitution d’unesociété présentant les caractéristiques sui-vantes : Dénomination : LA FERME DESPYRENEES Forme : SARL Capital : 1000euros Siège social : 49 rue du Barry 31210Montrejeau Objet : Boucherie, charcuterie,traiteur, alimentation et épicerie. Durée :99 ans Gérance : Mr ALMOUSA Faysaldemeurant 6 cheminement Francis Pou-lenc 31100 Toulouse. Immatriculation auRCS de Toulouse.


Dénomination : MANON ROUX SARL au capital de 2 000 euros Siège

social : 77 rue Pradal – 31400 ToulouseObjet : Technicien dentaire équin. Durée :99 ans Gérant : Madame Manon ROUX,23 rue Jean Timbal – 31500 Toulouse,nommée pour une durée indéterminée.Immatriculation : RCS Toulouse.


Dénomination : OUDEHBI Forme :SARL Capital : 1000 € Siège social : 22rue Mendès France 31140 Launaguet.Objet : Sciage et rabotage de bois, travauxforestiers, bucheronnage, élagage, Traite-ment d’espaces verts, vente de bois dechauffage. Gérants : M Mohand OU-DEHBI demeurant 22 rue Mendès FranceAppt 31 Bat D 31140 Launaguet et MHamid OUDEHBI demeurant 23 Quai deGrabieux 30100 Ales. Durée : 99 ans. Im-matriculation : RCS Toulouse.


SARL Prom Action Immobilier au capitalde 500 €. Sigle : PAI Siège social 44 RueBayard 31000 Toulouse. Objet : Transac-tions sur biens immobiliers propres telsqu’appartements, immeubles résidentielsou non, terrains constructibles ou non.Transaction sur biens propres tels quefonds de commerce, droit au bail et pas deporte. Gérants : MOUFEKKIR Karim, né le21/06/1987 à TARBES, de nationalité fran-çaise, 24 quai Lucien Lombard 31000 Tou-louse. Durée : 99 ans. La société seraimmatriculée RCS de Toulouse.


Aux termes d’un acte SSP en date du08/07/2013, il a été constitué une SARL aucapital de 5000€ présentant les caracté-ristiques suivantes : Dénomination : Solu-tion.Etanchéité.Toiture Sigle : S.E.TObjet : La réalisation en tous matériaux detravaux sur toitures, terrasses et balconsd'étanchéité, d’isolation, de diagnostic, demaintenance, d'entretien, de réfection, decréation et toutes activités s'y rattachant.Siège social : 16 route de Bessières,31140 Pechbonnieu Durée : 99 ans Gé-rance : Mathieu Sébastien demeurant, 16route de Bessières 31140 Pechbonnieu,Puech Jérome 27 avenue des mazades31200 Toulouse Immatriculation : RCSToulouse.

SOFTPOWERSARL au capital de 7.000 euros

3, Rue Alexandre Fourtanier31000 TOULOUSE


Aux termes d'un acte sous seing privéen date du 5 juillet 2013 à Toulouse, enre-gistré au SIE de TOULOUSE NORD le 8juillet 2013 sous le bordereaun°2013/1211 Case n°3 , il a été constituéune société présentant les caractéris-tiques suivantes : Dénomination : SOFT-POWER - Forme : Eurl Capital social :7.000 € - Siège social : 3 rue AlexandreFourtanier 31000 TOULOUSE

Objet : Le conseil en relation publique etcommunication publique et privée, leconseil en stratégie de communication ettoutes prestations de services attachées

Durée : 99 ans - Gérance : MonsieurLéo BLANDINO demeurant 3 rue Alexan-dre Fourtanier 31000 Toulouse a éténommé gérant pour une durée indéter-miné par décision de l’associé unique du 5juillet 2013.

Mention sera faite au RCS de Toulouse

Pour avis, Le gérant


Suivant acte sous seing privé en date du11 juillet 2013 à TOULOUSE, il a étéconstitué une société présentant les ca-ractéristiques suivantes :

Dénomination : LOANN COSMETIQUEForme : entreprise unipersonnelle à res-

ponsabilité limitéeSiège social : 89 Route de Toulouse

31190 AuteriveObjet : Vente de produits de beautéPrestations de soins esthétiquesDurée de la société : 99 années à comp-

ter de son immatriculation au RCS.Capital social fixe : 8 000 eurosGérance : Gautier Anne Laure, rue de

PAILHERES Résidence Le Mail Vert C0331880 La Salvetat Saint Gilles.

La société sera immatriculée au registredu commerce et des sociétés de TOU-LOUSE.

Pour avis

SCP BOYER – GLADINAVOCATS A LA COUR

16, Rue Boulbonne – (31000) Toulouse

Avis est donné de la constitution paracte sous seings privés en date du 12 juil-let 2013, d’une société par actions simpli-fiée au capital de 1500€, dénommée « JPVENTILATION », dont le siège social est àCastanet Tolosan (31320) 28, avenue desLascardos, l’objet social, la vente degaines de ventilation et accessoires y re-latifs ; sa durée de 99 ans à compter deson immatriculation au RCS de Toulouse,et son président M. Johny PAYET, de-meurant à Castanet Tolosan (31320) 28,avenue des Lascardos ; la cession des ac-tions est libre ; lors des assemblées géné-rales chaque associé dispose d’autant devoix qu’il possède ou représente d’actions.


Suivant acte sous seing privé du01.07.13, il a été constitué la SCI sui-vante : Dénomination : DYL RAMEYSiège: 5, impasse de Gramont, 31200TOULOUSE Objet : l’acquisition, l’admi-nistration et la gestion par location ou au-trement de tous immeubles et droitsimmobiliers Durée : 99 ans Capital : 2.000€ en numéraire Gérance : Mme NicoleGRIBAUDO épouse LABORIE demeurant5, impasse de Gramont, 31200 TOU-LOUSE. Immatriculation au RCS de Tou-louse.

La Gérance

TENDANCESSARL au capital de 7622.45 Euros

Siège social : 40 rue de la colombette 31000 Toulouse

R.C.S.: 340 866 706 TOULOUSE

Aux termes d'une décision de l'associéeunique du 17/06/2013, il résulte que : lecapital a été augmenté de 67 377.55euros, par incorporation de réserves. L'ar-ticle N° VII des statuts a été modifié enconséquence. Ancienne mention : Capi-tal : 7 622.45 euros. Nouvelle mention :Capital : 75 000 euros. Mention sera faiteau RCS : Toulouse.

Pour Avis

REDRESSEMENT JUDICIAIRE :

SARL JAM for L Kids – TOULOUSE SARL PARIS AFFAIRES TOULOUSE – TOULOUSE SARL LE PADRE SUD OUEST – GARIDECH SARL LE SAINT EX – TOULOUSE SAS VALOSC – TOULOUSE SARL DP CONSTRUCTION – FROUZINS SAS SWEET SMILE – TOULOUSE SARL LA MIE DOREE – LABARTHE RIVIERESARLU ENTREPRISE DE CONSTRUCTION 31 –TOULOUSESARLU PASSION – TOULOUSESARL STARTPOSE – BLAGNAC

LIQUIDATION JUDICIAIRE :

SARL CARROSSERIE MILITO – CORNEBARIEUSARL LIBRE LOCATION – TOULOUSE SARL EL PASEO – LABEGE SARL ACPI – AGENCE CYNOPHILE PROTECTIONINTERVENTION – SAINT JEAN SARL GNP PLOMBERIE – EMPEAUX SARL CREDICITY TOULOUSE – TOULOUSE SARLU MPA FORD BLAGNAC – BLAGNAC SARL VERCRUYSSE – AURIN SARL LE THEMA – LAGARDELLE SUR LEZE SARLu MACAPA PEINTURE –PLAISANCE DUTOUCHSAS DOGBOX – SAINT JEANSARL BLANC BASRI – TOULOUSESARL CENTRALE DES SERVICES- SAINT JEANM. FRANCK GARCIA – LAFITTE VIGORDANEM. OLLINO Michaël – GRAGNAGUESARLu A C L – TOULOUSESAS CASINO GCBL – BAGNERES DE LUCHON

PLANS :

SARL HOTEL DES DEUX NATIONS – BAGNERESDE LUCHONM. CASSISA JEAN-MARC – COLOMIERSSARL SHEMS – TOULOUSESA STE DE SERIGRAPHIE ET DE BRODERIETOULOUSAINE – MONTRABESARL ACFV CHALANDRE – TOULOUSESARL PLEXI CITE – TOULOUSESA ADAM MARQUAGES PUBLICITAIRES - TOULOUSE

SANCTIONS :

M. EDER Thierry – PECHBONNIEU Mme SAGE Martine – CAZEAUX DE LARBOUST M. NAVE PINHEIRO Luis – FONSORBES M. FERREIRA DOS SANTOS Paulo – PEY M. LITWAK Jacques - GENAPPE

CLOTURES :

SARL M.A. CONSTRUCTIONS – TOULOUSE M. ZIGLER René – CUGNAUX SARL TOULOUSE CONSTRUCTION – CASTELMAUROU SARL IMS (INTELLIGENCE MARKETING SYS-TEME) – TOULOUSE SARL BENAMAR LARBI – TOULOUSE M. FRUET JACQUES – LAUNAGUET SARL LOISIRS EXPO – ROQUES SARK APM ALUMINIUM – FRONTON M. RUMEAU RICHARD – MIREPOIX SUR TARN M. RENE DONGUE DOCFIO – TOULOUSE SARL SEB BTP – TOULOUSE SARL MINIPRIPHOT – TOULOUSE SARL SOUSA TP – TOULOUSE SARL ENTREPRISE GARCIA HENRI – BRUGUIERES SARL JULES RICARD ET CIE – TOULOUSE SNC POM-KANEL – MURET SARL ADIREP – AUCAMVILLE SARL PIECES ET PRODUITS ACIERS JANOT M. PHILIPPE GAUTHIER – TOULOUSEM. MAXIME MONTE – ONDESMME RAMOS Marie Teresa – TOULOUSEM. JOEL BRUNI – FONTENILLESM. BOUSSOUF Abdallah – CAZERESSARL ALBATROS SECURITE – TOULOUSESARL CAP – SEILHSARL STE TRANSPORTS CARPIS ET FILS – CASTANET TOLOSANSARL GBF – TOULOUSESAS THERMO MAGNESIUM FranceSARL JTC MATERIEL TP – LESPINASSESARL SOCATRANS – ST ORENS DE GAMEVILLESARL CLIMATZONE – VIEILLE TOULOUSESARL SAYAH PARQUET – TOULOUSESARL GTLT – CINTEGABELLESARL CARROSSERIE DELHOM – MAURANSARL SOCIETE CARY – TOULOUSE

SARL IBER SUD MACONNERIE – ROQUESSARL BOUCHERIE D’ANTAN – MANESARL PLATRE OCCITAN – TOULOUSESCOOP STE NOUVELLE NUANCES DU SUDCOMMUNICATION – TOULOUSESALRu CAPENS AUTOMOBILES – CAPENSSARL BAKARA FOOD – TOULOUSESARLu L’ESCAPADE – SALLES SUR GARONNESARL INSTANT NATUREL – TOULOUSESARL TMCI – BESSIERESSARL AGAEKIAN – TOULOUSEMME FOULONNEAU MARIE – TOULOUSEM. MICHEL BOYER – TOURNEFEUILLE

Le GreffierListe du 9 juillet 2013

REDRESSEMENT JUDICIAIRE :

M. Philippe PISANI – TOULOUSEM. GOUZE Gérard – LAGRAULET SAINT NICO-LASSA CRP – BALMASAS SOCAFOR INTERNATIONAL – ESTANCAR-BON

SAUVEGARDE :

SAS DETRACOM – TOULOUSE

LIQUIDATION JUDICIAIRE :

M.Serge GRANOUILLAC – TOULOUSEM. DERBAU Karim – TOULOUSESARLu HOLISUD BATIMENT &PERFORMANCE –TOULOUSESARLu HOLISUD INGENIERIE ENERGETIQUE –TOULOUSESAS HOLISUD GROUPE – TOULOUSEM. MHAMDI Noureddine – TOULOUSESARLu EXO BIO LABORATOIRE – LAVELANETSARL L’ASSIETTE D’IRENE – VILLEFRANCHEDE LAURAGAISSARLu A2+ RENOV – TOULOUSESARL GRAND SUD CHARCUTERIE – AVIGNO-NET LAURAGAISSARLu LES MAISONS PIERRE BARRIE – PORTET SUR GARONNE

PLANS :

SARL VOYAGES DUCLOS – L’ISLE JOURDAIN

SANCTIONS :

MLLE YAKORO Luce – TOULOUSEM. YAKORO Cyrille – TOULOUSE

CLOTURES :

M. AHMED ERHANE – PLAISANCE DU TOUCHM. YAO Stéphane – MURETM. DIRAT JEAN PIERRE – PORTET SUR GARONNEMLLE HASSAN OMAR Fathia – TOULOUSEM. KONNENG Ofori – TOULOUSESAS BROCHAGE OCCITAN – MONTGISCARDSARL TTU – PORTET SUR GARONNESARL ALD – TOULOUSESARLu SAVEURS D’HORIZONS – BALMASARL K&W CONSEIL – TOULOUSEEURL S2PI – MONTBERONSARLu CADIEU MENUISERIE – VILLEFRANCHESUR MERSARL INFO NET SERVICES – TOULOUSESARL WEILLCH – COLOMIERSSARL DIANA – SEYSSESSARL EUGENIE FRUITS ASSOCIES – TOULOUSESARL PLAISIRS GLACES – TOULOUSESARL JEFLORO – TOULOUSESARL CONSORTIUM GENERAL DU BATIMENT –TOULOUSESARL GBI – TOULOUSESAS VEGA int – TOULOUSESARL IMELHAINE - LASSERRESARL L’AMI DU GAZ – AUCAMVILLESARL FLEUR D’ORANGER – BALMASARL BASE TP – ROQUESMME ALLAGUI NELLY – TOULOUSEMME LAVARINI MIDA – TOULOUSEM. MARTINEZ Jean-Claude – TOULOUSESARLu DEBROAS ARTISAN – L’UNION

Le GreffierListe du 12 juillet 2013

Greffe du Tribunal de Commerce de ToulousePlace de la Bourse - BP 7016 - 31068 TOULOUSE cedex 7.

Tél. 05 61 11 02 00 / Télécopie 05 62 27 21 23 / E-mail : [email protected]

IMPORTANT

Il est précisé que d'autres publicités en matière de procédures collectives paraissent dans "L'OPINION INDEPENDANTE DUSUD OUEST", "O TOULOUSE - LA GAZETTE DES TRIBUNAUX DU MIDI” ainsi que dans "LA VOIX DU MIDI" et le « JOUR-NAL TOULOUSAIN » de cette semaine correspondante, dont le sommaire est le suivant :

Constitutions

DIVERS

TOULOUSAINLe

Jeudi 18 juillet 2013 - n°572

www.lejournaltoulousain.frANNONCES LÉGALES18 [email protected]

CHEQUE IMMO.COMSOCIÉTÉ PAR ACTIONS SIMPLIFIÉE

AU CAPITAL DE 215 000 EUROSPORTÉ À 309 700 EUROS

SIÈGE SOCIAL : 5 RUE BRINDEJONCDES MOULINAIS BP 65096 31504 TOULOUSE CEDEX 5

753.498.542 RCS TOULOUSE

Du procès-verbal de l'Assemblée Géné-rale Extraordinaire en date du 04 juin2013,

Du certificat de dépôt des fonds établi le12 juin 2013 par la Caisse Régionale deCrédit Agricole Mutuel Toulouse 31,

Du procès-verbal des décisions du Pré-sident du 12 juin 2013 constatant la réali-sation de l'augmentation de capital,

Il résulte que le capital social a été aug-menté d'un montant de 94 700 euros parémission de 947 actions nouvelles de nu-méraire, et porté de 215 000 euros à 309700 euros.

En conséquence, l'article 8 des statutsa été modifié.

Ancienne mention :Le capital social est fixé à deux cent

quinze mille euros (215 000 euros).Nouvelle mention :Le capital social est fixé à trois cent neuf

mille sept cents euros (309 700 euros).

POUR AVISLe Président

Céline Sayagh-FarréAVOCAT A LA COUR

Docteur en Droit Privé22, Rue de la Dalbade

31000 TOULOUSE

PREMIERE REPONSE, SARL au capi-tal de 762,25€, 2 rue d’Austerlitz 31000TOULOUSE. RCS TOULOUSE : 414 832089

Par assemblée générale extraordinaireen date du 31 décembre 2012, il a été dé-cidé à l’unanimité d’augmenter le capitalde 519 000,78€ pour être porté à 519763,03€ par création de 68 088 nouvellesparts de 7,6225€ nominal chacune inté-gralement souscrites et libérées en numé-raire par compensation avec les comptescourants d’associés.

Apports : Les apports en numérairesont portés de 762,25€ à 519 763,03€

Capital social : Le capital social estporté de 762,25€ à 519 763,03€ et le nom-bre de parts porté de 100 à 68 188 partsde 7,6225€ chacune entièrement sous-crites et libérées.

Pour avisLe gérant

LEGI-CONSEILS SUD-OUESTSELAFA – Société d’Avocats

2, rue des Feuillants – BP 312731026 TOULOUSE CEDEX 3

ETABLISSEMENTS BERGÈS& CIE

Société anonyme au capital de200.000,00 Euros

Siège social : 39 chemin du Pratlong31200 Toulouse

RCS TOULOUSE 570 804 567

Aux termes d’une délibération en datedu 26.06.2013, les associés ont décidé :

De nommer en qualité de Commissaireaux comptes titulaire :

- Monsieur Philippe CAMPCommissaire aux comptes inscrit près la

Cour d’Appel de ToulouseDomicilié 30 Rue Prosper Estieu –

81200 MAZAMETEn remplacement de la société AUDIT

81 dont le mandat était arrivé à terme

De nommer en qualité de Commissaireaux comptes suppléant :

- Monsieur Jean VIGNOLLESCommissaire aux comptes inscrit près la

Cour d’Appel de ToulouseDomicilié 5 Impasse des Châtaigniers –

81 370 SAINT SULPICE SUR TARNEn remplacement de Monsieur Jean-

Charles BESSE dont le mandat était arrivéà terme.

Pour avisLe représentant légal

ADAGOSS.A.S. au capital de 10.000€

Siège social : 10, avenue de l’Europe Parc Technologique du Canal31520 Ramonville Saint AgneRCS 537 679 524 TOULOUSE

Aux termes d’une délibération en datedu 26.06.2013, les associés ont décidé denommer :

En qualité de commissaire aux comptestitulaire :

- Monsieur Serge MIROUSEDomicilié 109 Avenue de Lespinet – Bâ-

timent A – 31400 TOULOUSEInscrit près la Compagnie régionale des

commissaires aux comptes de ToulouseImmatriculé au RCS de Toulouse sous

le numéro 388 795 544

En qualité de commissaire aux comptessuppléant :

- Monsieur Thierry BERGES- Domicilié 8 Rue Jules de Lahondès –

31300 TOULOUSEInscrit près la Compagnie régionale des

commissaires aux comptes de TOU-LOUSE

Immatriculé au RCS de Toulouse sousle numéro 388 956 989




TEISSEIRE FINANCESociété Anonyme à Directoire

et Conseil de SurveillanceAu capital de 1.530.000 Euros

Siège social : 65, Chemin de Tournefeuille – 31770 COLOMIERS

384 798 674 RCS TOULOUSE

- Par délibération de l’assemblée géné-rale du 25.06.2012, il a été décidé :

de ne pas renouveler le mandat de com-missaire aux comptes titulaire du CabinetJean BONNET et du commissaire auxcomptes suppléant Monsieur Jean BON-NET et de ne pas pourvoir à leur rempla-cement.

- Par délibération du Conseil de surveil-lance du 28.06.2013, Monsieur AlainBOVO demeurant à L’UNION – 31240 – 7Rue du Pic du Mercoire a été nommémembre du Directoire en remplacementde Monsieur Frédéric TEISSEIRE dont lemandat arrivait à échéance.




FINANCIERE TEISSAS.A.S au capital de 317.830 Euros

Siège social : 65, Chemin de Tournefeuille 31770 COLOMIERS

R.C.S. TOULOUSE : 334 980 893

Aux termes d’une délibération en datedu 25.06.2013, les associés ont décidé denommer :

En qualité de commissaire aux comptestitulaire :

- La SARL MOREREAU RégisAu capital de 20 000 EurosInscrite près la Compagnie régionale

des commissaires aux comptes de Tou-louse

Dont le siège social est fixé 10 RueReyer – 31200 TOULOUSE

Immatriculée au RCS de Toulouse sousle numéro 452 064 579

En remplacement de la SAS RENAU-DEAU-RENOU & ASSOCIES dont lemandat était arrivé à terme

En qualité de commissaire aux comptessuppléant :

- La SARL Thierry CECOTTI et Asso-ciés

Au capital de 40 000 EurosInscrite près la Compagnie régionale

des commissaires aux comptes d’AgenDont le siège social est fixé « Aux Arra-

mous » - 32600 LIASImmatriculée au RCS d’Auch sous le nu-

méro 393 355 649En remplacement de Monsieur BRE-

THOMEAU Hervé dont le mandat était ar-rivé à terme.


PARSOSociété à Responsabilité Limitée

au capital de 7 500 eurosSiège Social : 5 Rue Saint Pantaléon

31000 TOULOUSE451.053.540 RCS TOULOUSE

Aux termes d'une décision en date du 28juin 2013, l’assemblée générale des asso-ciés a pris acte de la démission de Mon-sieur Daniel PERRUCHET de sesfonctions de gérant, à compter du 30 juin2013 et a nommé en remplacement, enqualité de nouveau gérant, à compter du30 juin 2013 et pour une durée illimitée,Monsieur Philippe RIU demeurant 9 ruedu Fossat 31180 LAPEYROUSE FOSSAT.

POUR AVIS, le gérant

L'assemblée générale mixte du 25 avril2013 de la SAS PADWAYS, au capital de18.498 euros, dont le siège social est situé10 Avenue de l'Europe - 31520 RAMON-VILLE SAINT AGNE, inscrite au RCS deToulouse sous le n° 533 578 266, a décidéde réduire le capital social à zéro et del'augmenter pour le porter à 6.500 euros.

3 D PROMOTION - RESIDENCE BEL AIR

Société en Commandite SimpleAu capital de 5 000 €

Siège social : 38 avenue de l'Hers - CS45884 - 31506 TOULOUSE CEDEX 5


L'Assemblée Générale réunie le 4 juillet2013 a décidé de transférer le siège socialdu 12 chemin du Prat Long - 31200 TOU-LOUSE au 38 avenue de l'Hers - CS45884 - 31506 TOULOUSE CEDEX 5 àcompter du 17 juin 2013, et de modifier enconséquence l'article 4 des statuts.

Pour avisLa Gérance

SARL BATI THERMIQAu capital de : 67 500 euros

Siège social : 51 av du Président KENNEDY 31330 GRENADE

N° RCS Toulouse : 438054249

Suite à l’AGO du 1/07/13, l’associéunique a décidé de transférer le siège so-cial au 42 rue Eugène EVESQUE 31840SEILH à compter du 01/07/13. L’article 4des statuts est modifié en conséquence.RCS Toulouse.

IMMO-FINANCESSociété à Responsabilité Limitée

Au capital de 8 000 €Siège social : 38 avenue de l'Hers - CS

45884 - 31506 TOULOUSE CEDEX 5RCS TOULOUSE 488 715 624

Aux termes d'une délibération en datedu 4 juillet 2013, l'Assemblée GénéraleExtraordinaire des associés de la Sociétéà Responsabilité Limitée IMMO-FI-NANCES a décidé de transférer le siègesocial du 12 chemin du Prat Long - 31200TOULOUSE au 38 avenue de l'Hers - CS45884 - 31506 TOULOUSE CEDEX 5 àcompter du 17 juin 2013, et de modifier enconséquence l'article 4 des statuts.


LA RESIDENCE DU HERRESociété en Commandite Simple





LA RESIDENCE Société Civile de Construction-Vente

Au capital de 900 €Siège social : 38 avenue de l'Hers - CS


AVIS DE PUBLICITE

Aux termes d'une délibération en datedu 4 juillet 2013, l'Assemblée GénéraleExtraordinaire a décidé de transférer lesiège social du 12 chemin du Prat Long -31200 TOULOUSE au 38 avenue del'Hers - CS 45884 - 31506 TOULOUSECEDEX 5 à compter du 17 juin 2013, et demodifier en conséquence l'article 4 desstatuts.

Modification sera faite au Greffe du Tri-bunal de Commerce de TOULOUSE.


LE CARRE DES MARAICHERS

Société Civile de Construction VenteAu capital de 1 000 €



AVIS DE PUBLICITÉ




LE CLOS DES MOULINSSociété Civile de Construction Vente



AVIS DE PUBLICITÉ




LE CLOS DES VIGNESSociété en Commandite Simple





LES JARDINS DE SEGOUFIELLE

Société en Commandite SimpleAu capital de 5 000€





LOTISSEMENT LES JARDINSDE GABARDIE

Société en Commandite SimpleAu capital de 5 000 €





POLKASociété Civile Immobilière



AVIS DE PUBLICITÉ




RESIDENCE LA CHENERAIESociété Civile de Construction Vente



AVIS DE PUBLICITÉ




Le Journal Toulousain

TEL 05 34 40 60 32

Demandes de DEVIS, par fax au

05 34 40 69 31

MAIL : [email protected]

ANNONCES LEGALES [email protected] 18 juillet 2013 - n°572

www.journaltoulousain.frTOULOUSAINLe

RESIDENCE LE HAMEAU DE LA SOURCE

Société Civile de Construction-VenteAu capital de 1 000 €


RCS TOUOUSE 498 311 380

AVIS DE PUBLICITÉ




RESIDENCE LES VILLAS DELA ROSERAIE

Société en Commandite Simple en li-quidation Au capital de 5 000 €




Pour avisLe Liquidateur

BARDOS SENIORESIDENCESociété civile de Construction Vente



AVIS DE PUBLICITÉ




RION DES LANDESSociété en Commandite Simple

Au capital de 5 000€Siège social : 38 avenue de l'Hers - CS




SCI SAINT-GEORGES TDSociété Civile Immobilière



AVIS DE PUBLICITÉ




" COGEMUS SAS" Société par actions simplifiée

au capital de 37000 € Siège social : 20 Avenue Didier Daurat

31400 TOULOUSERCS TOULOUSE 447 600 826

Par une délibération en date du 1er juil-let 2013, l'Assemblée générale extraordi-naire a procédé au transfert du siègesocial à Lagarde, Saint Caprais (31330)Grenade Sur Garonne, à compter du 1erjuillet 2013. Les statuts sont modifiés enconséquence. Cette décision fera l'objetd'une inscription modificative au RCS deToulouse.

Pour avis, le Président

SARL PARTICIPES PRESENTSAu capital de 1.000 €

Siège social : 4, rue des Iris,31400 TOULOUSE

RCS Toulouse : 498 709 237

AVIS DE DISSOLUTION

Aux termes du P.V. d’A.G.E. du30.06.13, les associés ont décidé la dis-solution anticipée de la Société à compterdu 30.06.13 et sa mise en liquidation.

L’A.G. a nommé comme Liquidateur M.Bastien MOURLON demeurant 27, rueCaraman, 31000 TOULOUSE, avec lespouvoirs les plus étendus pour réaliser lesopérations de liquidation et parvenir à laclôture de celle-ci.

Le siège de la liquidation est fixé 27, rueCaraman, 31000 TOULOUSE, adresse àlaquelle toute correspondance devra êtreenvoyée, et, actes et documents relatifs àla liquidation devront être notifiés.

Le dépôt des actes et pièces relatifs à laliquidation sera effectué au greffe du tri-bunal de commerce de Toulouse.

Mention sera faite au RCS de Toulouse.

Pour avis

WMCSociété à Responsabilité Limitée en li-

quidation au capital de 1.000 eurosSiège : 41 Rue Bernard Amiel

31140 ST ALBAN493271928 RCS TOULOUSE

Aux termes d'une décision en date du 16juillet 2013, l'associé unique a décidé ladissolution anticipée de la Société à comp-ter du 16 juillet 2013 et sa mise en liqui-dation amiable sous le régimeconventionnel.

Monsieur Laurent MINGAUD, demeu-rant 29 Avenue Charles De Gaulle 11300LIMOUX, associé unique, exercera lesfonctions de liquidateur pour réaliser lesopérations de liquidation et parvenir à laclôture de celle-ci.

Le siège de la liquidation est fixé 29 Ave-nue Charles De Gaulle à LIMOUX(11300).

C'est à cette adresse que la correspon-dance devra être envoyée et que les acteset documents concernant la liquidation de-vront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquida-tion seront déposés au Greffe du Tribunalde commerce de Toulouse, en annexe auRegistre du commerce et des sociétés.

Pour avis, Le Liquidateur

EURL COPAIN CABANA SARL au capi-tal de 2000 Euros Siège : 96 bis rte deNarbonne 31400 Toulouse RCS Toulouse538 227 398

L’AGE du 5 juin 2013 a décidé la disso-lution anticipée de la Société à compter decette date et sa mise en liquidation amia-ble. Liquidateur : Madame Audrey Er-schler, demeurant 6 mail du pastel 31320Auzeville Tolosane. Le siège de la liquida-tion est fixé 6 mail du pastel 31320 Auze-ville Tolosane. Mention sera faite au RCSToulouse. Pour avis et mention : Mme Au-drey Erschler.

SCI PENENTSociété civile immobilière en liquida-

tion au capital de 45 734,71 eurosSiège social : 22, Rue Bacqué -

31200TOULOUSE399 752 484 RCS TOULOUSE

AVIS DE CLOTURE

DE LIQUIDATION

L'Assemblée Générale réunie le 9 juillet2013 a approuvé le compte définitif de li-quidation, déchargé Monsieur Elie PICOUde son mandat de liquidateur, donné à cedernier quitus de sa gestion et constaté laclôture de la liquidation à compter du 31mai 2013.

Les comptes de liquidation seront dépo-sés au greffe du Tribunal de commerce deTOULOUSE, en annexe au Registre ducommerce et des sociétés.

Pour avisLe Liquidateur

Rectificatif à l’annonce n°571 parue le11 Juillet 2013 concernant la sociétéC.I.A.G. Il fallait lire, concernant la dated’effet de la nomination du nouveau Pré-sident, le 30 juin 2013 et non le 28 juin2013.

Pour avis

Rectificatif (Journal Toulousain N° 534du 18/10/2012) La cession du fonds decommerce par la SARL Zitouna est à laSARL ETATS UNIS BURGER (siège so-cial : 106-108 avenue des états unis31200 Toulouse. RCS Toulouse 752 554626) et non à son gérant M. Matti Man-sour. Lieu des oppositions : fixé au siègesocial 106-108 avenue des états unis31200 Toulouse.

PREFECTURE DE LA HAUTE-GARONNE

AVIS AU PUBLIC

Par arrêté interpréfectoral du 2 juillet2013 des préfets de la Haute-Garonneet des Hautes-Pyrénées, l’autorisationde construire et d’exploiter l’autorouteA64 section Pinas-Martres-Tolosaneest prorogée jusqu’au 31 décembre2027.

L’arrêté du 2 juillet 2013 réactualiseles rubriques de la loi sur l’eau appli-cables à cet ouvrage et modifie et com-plète l’annexe initiale des prescriptionsparticulières.

Un extrait de l’arrêté interpréfectoraldu 2 juillet 2013 sera affiché dans lescommunes de Cuguron, Labarthe-Inard, Beauchalot, Saint-Médard, LesToureilles, Montréjeau, Ausson, Ponlat-Taillebourg, Clarac, Bordes de Rivière,Villeneuve-de-Rivière, Saint-Gaudens,Landorthe, Estancarbon, Savarthès,Castillon-de-Saint-Martory, Lestelle-de-Saint-Martory, Saint-Martory, Montsau-nès, Roquefort-sur-Garonne,Mazères-sur-Salat, Martres-Tolosane,Cantaous, Saint-Laurent-de-Neste,Saint-Paul et Mazères-de-Neste pen-dant une durée minimale d'un mois.Passé ce délai, il sera tenu à la dispo-sition du public. Il sera également mis àla disposition du public sur le site In-ternet des préfectures de la Haute-Ga-ronne et des Hautes-Pyrénées pendantun an au moins.

COMMUNE DE CAMBIAC

AVIS D’ENQUETE PUBLIQUE DU PROJET DE ZONAGE

D’ASSAINISSEMENT COLLECTIF

Par arrêté du 19 juin 2013, le Maire deCambiac a ordonné l’ouverture de l’en-quête publique sur le projet de zonaged’assainissement collectif de la communede CAMBIAC. Le projet porte sur la modi-fication du zonage d’assainissement auto-nome qui sera remplacé sur le village etses abords immédiats par un zonage d’as-sainissement collectif.

L’ENQUETE PUBLIQUE SEDEROULERA DU MERCREDI17 JUILLET 2013 AU SAMEDI

17 AOUT 2013 INCLUS

Il sera procédé à une enquête publiquesur les dispositions du zonage de l’assai-nissement collectif de la commune deCAMBIAC délimitant les secteurs où estassurée la collecte des eaux usées do-mestiques et le stockage, l’épuration et lerejet ou la réutilisation de l’ensemble deseaux collectées.

Monsieur Jean-Jacques VIDAL désignépar ordonnance de Monsieur le présidentdu tribunal administratif du 14 juin 2013assumera les fonctions de commissaireenquêteur.

Monsieur Roger FERNANDEZ est dési-gné par ordonnance de Monsieur le Prési-dent du Tribunal Administratif assumerales fonctions de commissaire enquêteursuppléant.

Les pièces du dossier ainsi qu’un regis-tre d’enquête à feuillets non mobiles cotéset paraphés par le commissaire enquêteurseront déposés à la mairie de CAMBIACdu 17 juillet 2013 au 17 août 2013 inclusafin que chacun puisse en prendreconnaissance aux heures et jours habi-tuels d’ouverture de la mairie de CAM-BIAC le mercredi de 9h à 11h30 et de 14hà 18h.

Le commissaire enquêteur recevra à lamairie de CAMBIAC les jours et heuressuivants : le mercredi 17 juillet 2013 de9h30 à 12h30

Le mercredi 7 août 2013 de 14h à 18h00 Le samedi 17 août 2013 de 9h30 à

12h00 afin de répondre aux demandesd’information présentées par le public.

Les observations éventuelles pourrontêtre consignées sur le registre d’enquêteouvert à cet effet ou être adressées parécrit à Monsieur le commissaire enquêteurà la mairie de CAMBIAC place du 19 mars1962 31460 CAMBIAC, par courriel àl’adresse suivante : [email protected], par télécopie au : 05 6183 12 62 lequel les annexera au registred’enquête.

Toute personne peut, à sa demande et àses frais, obtenir communication du dos-sier d’enquête publique dès publication decet arrêté.

A l’expiration du délai d’enquête, le re-gistre sera clos et signé par Monsieur lecommissaire enquêteur qui transmettral’ensemble, accompagné de ses conclu-sions, à Monsieur le Maire de CAMBIACdans les 30 jours à compter de la clôturede l’enquête. Une copie du rapport seratransmise à Monsieur le préfet.

Le rapport du commissaire enquêteurénonçant ses conclusions motivées seratenu à la disposition du public en mairie deCAMBIAC.

Date d’envoi à la publication :26/06/13

Date de parution : Jeudi 27 juin 2013et jeudi 18 juillet 2013

Et pour vos envois d’annonces légales et judiciairessur le département du Tarn-et-Garonne

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Toulouselabel «mieux vivre»

Une tenue pour l’été

La marque barcelonaise Nice Thingsvient de s’installer en centre‐ville, surla place de la Trinité, dans une jolie

adresse de 45 m2, lumineuse et aérée. Dés‐ormais toutes les femmes (ici, on trouve lescollections déclinées de la taille 34 à la taille46) peuvent s’offrir les vêtements ultra fé‐minins proposés dans des matières natu‐relles (soie, lin, coton) selon quatre thèmesmis en avant à chaque saison. Depuis sonouverture le 24 mai dernier, on y trouve desbasics comme ces chinos en coton avec un

peu d’élasthanne pour un confort maxi‐mum, des tee‐shirts dans toutes les cou‐leurs, mais aussi des pulls, des jupes, desrobes, des tops. On s’en remet à Nelly, laresponsable de la boutique, pour se faire unlook complet avec toute une gamme d’ac‐cessoires qui va des chaussures aux sacs,des ceintures aux chapeaux ou aux maillotsde bain, des bijoux à la petite maroquinerie.

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Ouvert depuis cinq ans, le Nouveau Théest un restaurant salon de thé nichédans la rue Tolosane, en retrait de l’agi‐

tation du centre‐ville. On y vient pour dégusterune restauration de qualité entièrement faitemaison par Patrick, le maître des lieux et sonchef Axel. Si la salle de l’étage est à privilégieren hiver, les deux pièces du bas sont accueil‐lantes avec une déco aux murs clairs et desparquets foncés. À l’heure du déjeuner, onchoisit des salades gourmandes ou desviandes et poissons cuits au four qui collent àla saison. Que pensez‐vous d’un mélange de

roquette, batavia, tomates, carottes, aspergespanées, melon et radis ou d’un cabillaud encroûte de pistache (10,50€) ? Si vous optezpour une halte pendant l’après‐midi, choisissezun cheesecake à la vanille, au caramel, au cho‐colat ou à la framboise ou craquez pour le fa‐meux gâteau “entre deux chocolats” mifondant, mi moelleux. Vous préférez uneglace ? Ici on se rafraîchit avec Ô Sorbetd’Amour, avec un large choix de parfums.

Le Nouveau Thé, 7 rue Tolosane, Toulouse - 05 62 17 53 01

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Baragnon depuis 2009. C’est icique les hommes se chaussent

avec des modèles de type italien provenantde jolies marques européennes comme Date,Blackstone, Paul and Joe, JB Rautureau, Dou‐cal’s, Magnanni ou Pertini. L’offre est trèssportswear, décontractée, chic à l’image del’adresse dont les murs sont ornés de ta‐bleaux et l’atmosphère volontairement trèsépurée pour mettre les produits en valeur.Dans l’été, les lieux vont s’agrandir avec l’ou‐verture d’une boutique femme juste à côté.Les fashionistas pourront désormais s’offrirles modèles Blackstone, Joe Sister, Date ouencore Volpato, des marques difficilementtrouvables en Midi‐Pyrénées. Alain Sanz lepropriétaire des lieux est un passionné quiaprès une carrière dans la banque s’est tournévers les souliers, un univers qu’il connaît par‐faitement pour l’avoir côtoyé de très prèspendant toute sa vie professionnelle.

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Redécorée dans des teintes chaudesde marron et de noir, la boutiqueSanta Rosa a conservé le même es‐

prit avec son parquet de chêne, ses meu‐bles de présentation anciens, ses lustresà pampilles et ses murs couverts de fla‐cons précieux. Aujourd’hui, l’adresse estdevenue dépositaire des parfums AnnickGoutal. On pourra s’y offrir toute lagamme des eaux de toilette et eaux deparfums féminins et masculins de la Mai‐son à laquelle préside Camille, la filled’Annick Goutal. Mais, ce n’est pas tout.Dans l’été, l’offre de Santa Rosa s’étendrajusqu’aux Boules Papillon, ces flacons an‐nées 30 emblématiques de la Maisonavec leur capuchon représentant deuxpapillons dorés manuellement à l’or fin etau pinceau. On pourra également s’offrirles cosmétiques associés aux parfums(gel douche, crème corps et savon) et desproduits de la ligne maison avec des bou‐gies et des vaporisateurs d’ambiance.Santa Rosa va continuer à proposer lesautres parfums d’exception qui ont fait sarenommée comme ceux de FrédéricMalle, cet éditeur de parfum qui faitappel à des Nez français, Aqua di Parma,

Santa Maria de Novella, une officine ita‐lienne de Florence, Byerdo, Serge Lu‐tens...

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De jolis souliers



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Aya dde YYopougonDe : Marguerite Abouet, Clé‐ment Oubrerie Avec : Avec la voix d' AïssaMaïga

Fin des années 1970, en Côted’Ivoire à Yopougon, quartierpopulaire d’Abidjan. C’est làque vit Aya, 19 ans, une jeunefille sérieuse qui préfère res‐ter étudier à la maison plutôtque de sortir avec ses co‐pines. Aya partage ses jour‐nées entre l’école, la famille etses deux meilleures amies :Adjoua et Bintou, qui ne pen‐sent qu’à aller gazer en douceà la nuit tombée dans les ma‐quis. Les choses se gâtentlorsque qu’Adjoua se retrouveenceinte par mégarde. Quefaire ?Jeudi 18 Juillet 15h10 ‐16h50 ‐ 18h25 ‐ 20h00 ‐15h10 Vendredi 19 Juillet 16h50 ‐18h25 ‐ à 20h00 Samedi 20 Juillet à 15h10 ‐16h50 ‐ 18h25 ‐ 20h00 ‐Dimanche 21 Juillet à 15h10‐ 16h50 ‐ 18h25 ‐ 20h00 ‐Lundi 22 Juillet à 13h15 ‐à 14h50 ‐ 17h50 ‐ 19h25 Mardi 23 Juillet à 13h15 ‐14h50 ‐ 18h50 ‐ 20h00

JeunesseDe : Justine MalleAvec : Esther Garrel, DidierBezace

"J’avais vingt ans en 1995,l’année de la mort de monpère, le cinéaste Louis Malle.J’étais en khâgne. Au mo‐ment même où je commen‐çais à tomber amoureused’un garçon de ma classe età rejeter l’influence de monpère, sont apparus chez lui lespremiers symptômes d’unemaladie. J’étais terrassée, au‐tant par le choc de la nouvelleque par la certitude d’en êtreà l’origine avec mes velléitésd’indépendance. Le senti‐ment de culpabilité quej’éprouvais m’a fait agir defaçon inappropriée. Ma vio‐lente honnêteté d’alors in‐carne pour moi une certaineidée de la jeunesse..."Lundi 22 Juillet à 16h25 ‐Mardi 23 Juillet à 14h30

JulietteDe : Pierre GodeauAvec : A. Berges‐Frisbey, F.Atkine, Y. Landrein, E. Bouhez

Juliette a 25 ans, l’âge despossibles, l’âge des amants...Issue d’une génération quipour ne pas pleurer choisit derire – Juliette va pourtant de‐voir grandir...Jeudi 18 Juillet 15h00 ‐20h15 ‐ Vendredi 19 Juillet 15h00 ‐ 22h10 ‐ Samedi 20Juillet à 17h10 ‐ Samedi 20Juillet à 20h15 ‐ Dimanche21 Juillet à 15h00 ‐ 22h10 ‐Lundi 22 Juillet à 13h05 ‐ à15h00 ‐ 20h15 ‐ Mardi 23 Juil‐let 17h30 ‐ 20h45

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SORTIR À TOULOUSE 21Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572

www.lejournaltoulousain.frTOULOUSAINLe

Le FFric cc’est cchic,le ppognon cc’estsuper bbon !!

Un style énergique et ac‐tuel qui se moque des

conventions pour rire del’hypocrisie, des injustices

et des puissants…

Sim et Flo, complices surscène depuis 2002, signentplusieurs spectacle avant derencontrer un vif succès en2007 avec “J’achète”, specta‐cle sur la société de consom‐mation. Ce spectacle atourné dans toute le France.Dans le même registre, ils si‐gnent ensuite “Délire D’Ini‐tié”, ou ils attaquent, cettefois, le pognon et ses vices !!!

A partir 1 octobre à 21hCafé Théâtre des Minimes

Toc TTocLe Docteur Stern est le plusgrand spécialiste mondialdans le traitement des TOC,les troubles obsessionnelscompulsifs. Ce neuropsy‐chiatre à la renommée inter‐nationale ne consulte enFrance qu'une fois tous les 2ou 3 ans et il ne voit jamais lemême patient deux fois. Co‐prolalie, Arithmomanie, No‐sophobie, TOC devérification, Palilalie, Incapa‐cité à marcher sur les lignes...les TOC s'entassent, se bous‐culent et se mélangent dansle cabinet du grand DocteurStern. Le résultat, untriomphe pour cette comé‐die humaine émouvante ethilarante !

En juillet: les 24 et 25 à 21hThéâtre les 3T

RECETTE

Salez et poivrez les pavés defilet de chevreuil et réservez.Faites cuire les pommes de

terre entières à l’eau puis pelez‐les.

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PÉRIODE DE L’HISTOIREd

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cÉLOIGNER

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CONJOINT

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VACANCES !

ROUMISd

FILS D’ANCHISE ET D’APH-

RODITE

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Mots fl échés Mots croisésHORIZONTALEMENT – A – C’est ainsi que l’on traite un homme faible. – B – Petit if à l’odeur de résine. Tout prend forme sous ses doigts. – C – En lisière des Garrigues, dans le département du Gard. Jeune équidé. – D – Son emploi évite les répétitions. Bien distinct. – E – Film à épisodes. Kobo, pour un écrivain japonais auteur de poèmes et de pièces de théâtre. – F – Adjectif ordinal. – G – Ou semblera. Indice de sensibilité. – H – Cours facile à sauter. Ville de Serbie. – I – Il protégea le seigneur. Oiseau migrateur. – J – Allégèrent.

VERTICALEMENT – 1 – Cap situé au nord-est de la péninsule ibérique. – 2– Retirer le centre. – 3 – Elles sont souvent qualifiées de grosses. Terminaison verbale. – 4 – Titre d’honneur. – 5 – Pour le sport. Cour intérieure d’une maison romaine. – 6 – Saint de Normandie. Autrement dit. – 7– Il presse de ses mâchoires. Sentier de grande randonnée. – 8 – Grand bruit discordant. – 9 – Sortes de luths à deux manches. Il est toujours en tête de liste. – 10 – Ville de la Mayenne. Un présent pour Diane de Poitiers.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10ABCDEFGHIJ M

athi

eu R

huys

Mathieu Rhuys FORCE 1

CHAÎNONS MANQUANTSTestez votre mémoire.

Observez bien le premier alignement de formes, cachez-le et reconstituez-le.

Une minute de réflexion doit vous suffire.

2 34 8 3 7

6 1 97 4 1 5

8 73

2 37 6 89 6 4

1 6 4 2 5 3 7 8 9

2 9 8 1 7 6 3 5 4

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5 4 1 7 6 2 8 9 3

6 7 9 5 3 8 2 4 1

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SUDOKU :1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

A E C O L O G I S T EB B A V E A N I O NC U S A I L S R AD L E I T M O T I VE L I R E P A N E LF I N E S P E R E EG T E S T E R D I TH I S P O I N TI O L E I M I T E RJ N A R I N E E S E

MOTS CROISÉS :

T P W S V E

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S O L U B I L I S E E

U T I L E S E L E N E

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U S E E C R E P E S

T S A I E I N N E

R E A M A N D A T E R

R E G E N T E S U R

L O R I T I R E V E

N E T S E M U L E E

M E R E A R E S S S

MOTS FLÉCHÉS :

Les jeux de l’écrit et du web

SUDOKU Les chiffres vont de 1 à 9

et n’apparaissent qu’une seule fois par ligne, colonne et carré.

Pour 4 personnes

Préparation : 25 minCuisson : 30 min

Ingrédients : 4 pavés de filetde chevreuil, 600 g de pommesde terre ratte, 300 g de crèmeliquide, 20 cl d’eau, 10 cl de vinrouge, 1 truffe, sel, poivre,huile d’olive, purée de pommesde terre maison.

Mixez‐les avec 20 cl d’eau et lacrème liquide. Salez, poivrez et fil‐trez la préparation, introduisez‐ladans un siphon à chantilly avec 2cartouches de gaz. Faites colorerles filets de chevreuil et laissez‐lesreposer. Disposez les filets de che‐vreuil au centre des assiettes, en‐tourez‐les d’un fin cercle de puréede pommes de terre et déposez lachantilly aux pommes de terre surla purée.Râpez la truffe par‐dessus. Ajoutezune pincée de sel, une pincée depoivre, un trait d’huile d’olive et dé‐gustez.

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DETENTE 23Jeudi 18 Juillet 2013 - N° 572


BÉLIERAmour : Vous pouvez dormir entoute tranquillité. Votre parte‐naire ne pense qu'à vous et la fi‐délité est sa qualité première.Travail‐Argent : Vous pourrezvous épanouir dans tous les do‐maines concernant la communi‐cation, l'écriture, le commerce, lanégociation. Santé : Un peu detension nerveuse.

TAUREAUAmour : Vos amours pourraientsubir quelques désagréments. Ilvous faudra contrôler vos impul‐sions. Travail‐Argent : Vous sau‐rez mettre sur pied de nouvellesdispositions concernant vos acti‐vités professionnelles. Santé : Lemoral est en baisse.

GÉMEAUXAmour : Toutes les initiativesviendront de vous. Vous en serezheureux, et votre partenaire n'ensera pas mécontent non plus.Travail‐Argent : Ne vous atten‐dez pas à gagner le gros lot auLoto, mais vous pouvez tout demême avoir une bonne surprise.Santé : Vous serez au mieux devotre forme. Faites attention àvotre alimentation.

CANCERAmour : Une rencontre impor‐tante pourrait avoir lieu. Surtout,ne jouez pas les timides ; ce seraitdommage de rater une aussi belleoccasion ! Travail‐Argent : Voustirerez superbement votre épin‐gle du jeu dans votre métier. Ex‐cellente période pour com‐mencer ou reprendre des étudesde langue ou d'informatique.Santé : Grande nervosité.

LION

Amour :Vous communiquez avecles êtres chers et vous vous épa‐nouissez en leur compagnie. Pourles solitaires, ce pourrait êtrel'heure de belles rencontres. Tra‐vail‐Argent : Gardez bien lespieds sur terre et ne vous lancezpas dans des projets utopiques.Dans le domaine matériel, vousferez un effort pour limiter les dé‐penses superflues. Santé : Atten‐tion au sucre.

VIERGEAmour : Vous ne saurez que fairepour être agréable avec votrepartenaire. Vous vous montrerezparticulièrement empressé etamoureux. Travail‐Argent : Voustrouvez de grandes satisfactionsdans une activité créatrice, oùvous pouvez donner votre me‐sure. Si des lenteurs existent, ellesaffectent plutôt les projets à longterme. Santé : Dynamisme.

BALANCEAmour : Des aventures, vécuespar les célibataires comme provi‐soires et superficielles, pourraientprendre une ampleur qu'ilsn'avaient pas prévue ! Travail‐Ar‐gent : La période sera très favo‐rable à la concrétisation d'un devos chers projets professionnels.Santé : On dirait que vous avezmangé du tigre !

SCORPIONAmour :Vous tenez enfin comptedes intérêts du conjoint ou d'unmembre de votre famille. Il étaittemps. Travail‐Argent : Il arriveun moment où il faut savoir met‐tre le point final. Toute révision devotre travail serait superflue. Nevous inquiétez pas, votre profes‐sionnalisme ne sera pas mis endoute. Santé : Le calme et la so‐litude vous aideront à y voir plusclair.

SAGITTAIREAmour : Période très favorableaux intéressantes rencontres sen‐timentales. Les célibataires pour‐raient dénicher l'âme sœur cettefois. Travail‐Argent : Le momentsemble bien choisi pour penser àdiversifier vos activités, surtout sivous exercez une profession libé‐rale ou commerciale. Santé :Vous pourriez soulever des mon‐tagnes.

CAPRICORNEAmour : L'ambiance sera à la séré‐nité. Sachez profiter de ces mo‐ments privilégiés. Travail‐Argent :Ne comptez pas trop sur la chancepour arranger les choses. Santé :Faiblesse hépatique.

VERSEAUAmour : Ce pourrait être une pé‐riode sentimentale explosive. Unerencontre décisive peut avoir lieu,mais êtes‐vous prêt ? Travail‐Ar‐gent : Le secteur du travail seprête à toutes les espérances desuccès, de reconnaissance. Il fautcependant veiller à ne pas négligercertaines de vos responsabilités.Santé : Troubles digestifs.

POISSONSAmour : Votre charme en haussesera d'une rare efficacité. Une ren‐contre importante pourrait avoirlieu. Travail‐Argent : Tout ira biensi vous gérez sagement votre bud‐get et ne prenez aucune initiativehasardeuse. Excellente périodepour commencer ou reprendre desétudes. Santé : Vitalité excep‐tionnelle.

HOROSCOPETendancesA l’heure de la technologie GPS…

Le livre Tendance des vacancesLes Dinky Toys Série 24…

Le salon de Bâle 2013 a étél’occasion de présenter lesnouveaux modèles de la

ligne Astron, et notamment uneédition spéciale commémorant les100 ans de la première montre‐bracelet Seiko. Cette pièce excep‐tionnelle est dédiée à sonfondateur Kintaro Hattori, qui as‐pirait à ce que Seiko conserve«toujours un temps d’avance».Avec cette nouvelle Astron, Seikoperpétue cet héritage et lui rendhommage le plus fidèlement pos‐sible. En 1969, l’Astron révolution‐nait l’industrie horlogère enintroduisant les mouvements àquartz, garants d’une fiabilité etd’une précision inédite. La nou‐velle Astron va encore plus loin.Grâce à elle, vous êtes assuré detoujours avoir l’heure exacte,quelle que soit votre position géo‐graphique, dès lors que le ciel estvisible et que vous êtes en récep‐tion du signal GPS. Et pour par‐faire le tout, elle ne nécessiteaucun changement de pile. Enplus de cette édition limitée, lacollection Astron 2013 s’enrichit desix nouveaux modèles (trois entre‐ront dans la collection France). Siles fonctionnalités restent iden‐tiques, la lisibilité est quant à elleaméliorée grâce aux 26 noms devilles gravés sur la lunette. Troismodèles sont réalisés en acier et

Habillage• Boîtier diamètre : 47,0 mm,épaisseur : 17,4 mmtitane haute intensité avec revê‐tement titane carbonéet lunette céramique noire• Étanchéité jusqu’à 10 bar, résis‐tance magnétique jusqu’à 4 800A/m• Bracelet : un en crocodile noir etun second en titane haute inten‐sitéavec revêtement titane carboné,boucle déployante avec bouton‐poussoir• Verre saphir traité antireflet“Super‐clear”t, breveté par SeikoEdition limitée à 5000 exem‐plaires au monde

Habillage• Boîtier diamètre : 47,0 mm,épaisseur : 16,5 mmacier inoxydable avec revête‐ment en titane carboné et lu‐nette en céramique noire• Étanchéité jusqu’à 10 bar, résis‐tance magnétique jusqu’à 4 800A/m• Bracelet silicium ultra résistant,boucle déployante avec bouton‐poussoir• Verre saphir traité antireflet“Super‐clear”, breveté par Seiko

Habillage• Boîtier diamètre : 47,0 mm,épaisseur : 16,5 mmtitane haute intensité avec re‐vêtement titane carboné et lu‐nette céramique noire• Étanchéité jusqu’à 10 bar, ré‐sistance magnétique jusqu’à4 800 A/m• Bracelet titane haute inten‐sité avec insert céramiquenoire, boucle déployante avecbouton‐poussoir• Verre saphir traité antireflet“Super‐clear”, breveté par Seiko

Habillage• Boîtier diamètre : 47,0 mm,épaisseur : 16,5 mmacier inoxydable avec lunettecéramique noire• Étanchéité jusqu’à 10 bar, ré‐sistance magnétique jusqu’à 4800 A/m• Bracelet acier inoxydable, bou‐cle déployante avec bouton‐poussoir• Verre saphir traité antireflet“Super‐clear”, breveté par Seiko

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Dans l’histoire des Dinky Toys,les miniatures de la série 24ont toujours voulu être le plus

près reflet de la production automo‐bile du moment.Ces petites autos possèdent uneplace à part dans le cœur des ama‐teurs et des collectionneurs. Ce sontelles qui vont permettre à Meccanod’asseoir sa notoriété dans le do‐maine des modèles réduits et deconnaître un succès sans précédentqui se traduira par des chiffres deproduction hors du commun. Cer‐taines références mythiques commela traction avant Citroën, la 203 Peu‐geot ou la Ford vedette seront, àelles trois, fabriquées à plusieurs mil‐lions d’exemplaires. Dès lors, et pen‐dant toutes les années 50, la sortiede chaque nouveauté est accueillie

et attendue comme un grand évé‐nement, relayée par de nombreusespublicités judicieusement publiéesdans la presse destinée à la jeunesse.Ces miniatures, dont il se dégage uncharme désuet propre à l’époque quiles a vues naître, méritaient large‐ment qu’un ouvrage leur soit entiè‐rement consacré. Collectionneurpassionné de miniatures et de figu‐rines historiques, à tel point qu’il acréé sa propre marque pour satis‐faire son envie de voir certains per‐sonnages sortir de l’oubli, HervéBernard s’intéresse très tôt aux au‐tomobiles françaises et étrangèresdes années 1950‐1960. Ses pre‐mières Dinky Toys, achetéesquelques francs au marché auxpuces de la Porte de Vanves qu’il fré‐quente depuis sa jeunesse, ont

d’abord enrichi son parc de petitesautos. Petit à petit, l’aspect ludiquea cédé sa place à un intérêt prononcépour l’histoire du plus célèbre des fa‐bricants de miniatures, Meccano, quia fortement et durablement marquél’imaginaire collectif. L’auteur denombreux articles sur les Dinky Toysdans de nombreuses revues, signeici, grâce à la documentation accu‐mulée au fil des ans, son premier ou‐vrage chez E‐T‐A‐I.

Les Dinky Toys Serie 24 Editions E-T-A-I - 35 €

trois autres en titane haute inten‐sité avec un insert en céramiquedont la couleur est reprise sur la lu‐nette.

Spécifications du Calibre 7X52• Ajustement de l’heure et du fu‐seau horaire par GPS• 3 aiguilles : heure, minute, se‐conde• 2e fuseau horaire• Affichage de la date• Calendrier perpétuel ajustéjusqu’en février 2100• Indication de la réception du si‐gnal GPS• Fonction heure mondiale (39 fu‐seaux horaires)• Fonction de passage à l’heured’été/d’hiver (DST)• Fonction économie d’énergie :Mise en veille automatique à partirde 72 heures sans source de lu‐mière• Précision : +/‐ 15 secondes parmois (sans réception d’un signalhoraireGPS et à des températures com‐prises entre 5 et 35 degrés Celsius)+/‐ 1 sec. / 100 000 ans avec récep‐tion GPS

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Le + mensuel du Journal Toulousain

3 Titres du Groupe Première Réponse dirigé par Monsieur Marcial‐Gérald Layani

TOULOUSAINTOULOUSAINLeLe

Un autre accent pour l’info locale

L’Actualité

«Notre leitmotiv, le partage»La finale du tremplin “Les Feux de la Rampe” a été remportée le 4 juillet dernier par le groupe Ifriqians dans la salle my‐thique du Bikini. Ces six musiciens, Martial, Frédéric, Sandra, Olivier, Cyril et Khalid ont su séduire le public en les faisantvoyager et bouger grâce à un style musical “Afro‐Maghreb” qui leur est propre. Par le biais de ce tremplin organisé parle Studio Rimshot et le label Sozinho Prod, Ifriqians a reçu un lot d’une valeur de 10 000€. En attendant d’écouter leurpremier opus, retour sur le parcours et les ambitions du groupe avec deux de ses membres, Sandra et Olivier.

DR

IFRIQIANS, VAINQUEURS DES “FEUX DE LA RAMPE”

Olivier, Sandra, vous venez deremporter le tremplin musical“Les Feux de la Rampe”…Sandra : Oui, nous sommes trèscontents, très heureux d’avoirréussi ce tremplin !

Ce n’est pas la première fois quevous vous présentez aux audi‐tions de ce tremplin, mais cetteannée la donne a été différente…Olivier : Effectivement, nous avonsenvoyé un dossier l’année dernièrequi ne contenait pas tous les outils

nécessaires. Pour cette année,c’était différent. Nous avons puprésenter une maquette en studio,un plan de scène… et faire en sorteque le dossier soit le plus carré pos‐sible… Et ça a payé !

Qu’est‐ce que ce tremplin vous aapporté ?Olivier : (Réflexion) De la confiance.Nous avons davantage la niaque à

présent. Il nous a donné envie d’al‐ler encore plus loin et nous aconfortés dans notre choix de per‐sévérer dans ce domaine. Sandra : Au‐delà de la victoire, ilnous a apporté un nouveau publicqui ne nous était pas au préalabledestiné. Cela nous a permis de luifaire découvrir notre musique,notre style qu'il a pu découvrir etapprécier. C’est une satisfactionsupplémentaire. Pour le coup, lepari est totalement gagné.

Une finale au BikiniComment s’est déroulée la finale ?Olivier : C’était stressant ! La taillede la salle est impressionnante.Nous avons un peu perdu nos re‐pères au début. Le volume de lascène étant totalement différentde celles dont nous avons l'habi‐tude. Chassé le stress, c’était unesuper expérience, nous nous

sommes bien amusés. C’est unesacrée opportunité d’avoir joué auBikini.Sandra : Pour ma part, je n’étaispas stressée, la scène, c’est ma vie.Le Bikini est une salle mythique, leson, le jeu de lumières, tout étaitparfait.

Quel regard portez‐vous sur l’aven‐ture “Les Feux de la Rampe” ?Olivier : Dès le début du tremplin,nous nous sommes beaucoup in‐vestis. Il y a eu des changements

au niveau de la cohésion dugroupe. A présent, quand nousjouons, nous ne formons plusqu’un. Musicalement parlant,nous avons progressé. Entrechaque date, nous nous exerçonsen permanence, comme le restede l’année, mais là, c’était diffé‐rent. Tout le long du tremplin nousavons également retravaillé lesmorceaux pour que ce soit parfait.

Sandra : C’est une très bonne ex‐périence. Nous en gardons un trèsbon souvenir. Nous n’oublieronspas l’investissement de nosproches, qui étaient présents toutle long de l’aventure.

Vous avez gagné cinq jours destudio pour enregistrer unalbum…Olivier : Oui c’est exact. Sur cetemps imparti, nous souhaitonsfaire un album de six titres. Nousavons quelques morceaux déjàbien ficelés mais son titre n’est pasencore arrêté. Concernant le stylemusical, nous allons rester dansnotre lignée en proposant un style“Afro‐Maghreb” en y rajoutantnotre patte aux influences de mu‐siques urbaines. Sandra : Nous espérons pouvoirinclure dans cet album une chan‐

son que nous interprétons en live(il reste au groupe à déterminer la‐quelle, ndlr) car notre musique estfestive et scénique.

A l’heure actuelle, où en êtes‐vous ? Olivier : Nous souhaitons l’enregis‐trer à la Toussaint car les program‐mations des concerts, festivals, sefont à cette période. Nous voulonsfaire au plus vite pour pouvoir com‐mencer à démarcher.

A présent, quelles sont vos ambi‐tions?Olivier : Notre ambition premièreest de faire de la scène toute l’an‐née. Sandra : Oui, nous aimons être surscène, notre leitmotiv c’est le par‐tage, c'est en nous produisant quenous pouvons y remédier. Puis,nous souhaitons nous produire àl’étranger. Olivier : C’est vrai, nous aimonsfaire danser les gens, les faire rireet leur donner du plaisir.

Propos recueillis par Elsa Nardari

«Nous n’oublierons pas l’investissement de nos proches, qui étaient présents tout le long de l’aventure.»

FR. Valette se justifieet dénonce

Le Sicoval épinglépar la Chambre régionaledes comptes

Capital InvestissementLes financeurs ne prennent plus de risques Page V

Economie sociale et solidaireMP Actives et la Nefen renforcent la crédibilité Page V

Doc’Bikersur les chapeaux de roues Page III


Page II

Jeudi 18 Juillet 2013 - 1 € - Numéro 572 (15e année) www.lejournaltoulousain.fr

RetraitesLa CFE‐CGC se veut “responsable”

Page IV

EconomieSavoir s’enrichir pour mieux partager

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TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le ECONOMIEII

Jeudi 18 Juillet 2013

RAPPORT FINANCIER

Le Sicoval épinglé par la Chambre régionale des comptesMis en cause par un rapport de la Chambre régionale des comptes, le Sicoval reconnaît certains manquementsmais se défend de toute manipulation. Son président François‐Régis Valette s’explique sur différents dossiers tels que la régie de l’eau, les nouvelles compétences acquises et leur gestion ou encore le financement du prolongement du métro.François‐Régis Valette, le rapportde la Chambre régionale descomptes reconnaît la situation fi‐nancière du Sicoval comme tout àfait satisfaisante, tout en signa‐lant une forte augmentation desagents, soit 500 supplémentairesentre 2012 et 2013 ? Comment ex‐pliquez‐vous une telle hausse ?Nous sommes passés de 350agents, en décembre 2011, à 1 100en janvier 2013. Nous avons doncaugmenté de 750 nos effectifs enquatorze mois, pour être précis.Cela s’explique par le transfert descompétences dans le domaine del’accueil de la petite enfance et deloisirs sans hébergement ainsi quela politique en direction des ado‐lescents, mais aussi tout ce quiconcerne les personnes âgées. Lepersonnel n’a pas été recruté maissimplement transféré des com‐munes ou des syndicats qui ontété dissous, vers notre Commu‐nauté d’agglomération. Il n’y a paseu de création de postes.

La gestion de l’eau est une autrecompétence nouvellement ac‐quise par le Sicoval… Cette compétence a ef‐fectivement ététransférée decinq syndi‐cats inter‐

communaux au Sicoval car nousétions très mécontents de la poli‐tique menée par certains d’entreeux, dont le seul objectif étaitd’avoir l’eau la moins chère possi‐ble au dépens de la maintenancedes équipements de distribution.Nous venons d’ailleurs de voter leschéma directeur concernant lesinvestissements sur le réseaud’eau potable : 26 millions d’eurosseront investis sur dix ans.

Si vous avez récupéré la gestionde l’eau, celle du prix vouséchappe…Sur la période observée, il est vraique le Syndicat intercommunaldes eaux de la montagne noire quidistribuait l’eau potable sur unepartie de notre territoire, nous ademandé de ne pas intervenir surle prix lorsque nous avons récu‐péré cette compétence, car c’étaitles condamner à disparaître. Laconvention que nous avons pas‐sée avec eux leur est effective‐ment très favorable, mais noussommes en train de renégocier lescontrats sur lesquels nous serons

intraitables.

Régulariser la situation

La Chambre des comptes s’estégalement penchée sur les zonesd’aménagement du Sicoval dontelle dénonce la gestion. Elle si‐gnale notamment qu’il est impos‐sible d’avoir une vision précise ducoût des stocks ou des encours deproduction…La Chambre des comptes a tout àfait raison ! Autant nous avons uneconnaissance précise des actes decréations récentes (15 ans), autantnous avons un gros problème avecles actes de l’Innopole de Labège(ZAC de la Grande Borde, de l’Herset de la Bourgade). Créées dansles années 1975, ces ZAC n’ont pasbénéficié des dispositifs de comp‐tabilité publique que nous possé‐dons aujourd’hui. Nous nesommes donc pas en mesure defournir des informations telles leprix de revient des terrains, maisnous pouvons transmettre cellesconcernant les stocks. Nous noussommes engagés à communiquertous les actes sur lesquels iln’existe aucun problème et à ten‐ter de régulariser la situation surl’Innopole.

Vous êtes un peu moins conciliantavec le rapport de la Chambre desComptes concernant le finance‐ment du prolongement de la ligneB du métro, jugé trop incertain…Il n’entre pas dans les missions dela Chambre de porter une appré‐ciation sur des choix politiques àvenir. Elle se mêle ici de ce qui nela regarde pas ! Ils pourront inter‐venir pour vérifier le financementdu métro en lui‐même mais leurscontrôles doivent être réalisés aposteriori et non a priori. Leslignes du rapport concernant leprolongement de la ligne B res‐tent d’une extrême légèreté, et re‐vêtent même un caractèreaffligeant. De plus, l’accord poli‐tique comportait plusieurs dispo‐sitions notamment celui selonlequel le Sicoval participe aux fi‐nancements à hauteur de 140 mil‐lions d’euros. Pour couvrir cettesomme, la Chambre a préconisé lavente des 35 hectares des terrainsqui seront commercialisés auprix de 400€/m². C’est aberrantet totalement faux car nousn’avons jamais affirmé quenous financerions la part duSicoval sur la seule vente

des terrains de l’Innopole.

« Légèreté du rapport »

Justement, la Chambre remetvotre projet en doute car elleconsidère que les différentes pro‐positions visant à financer ces140 millions d’euros restent tropobscures ?Forcément puisqu’ils ont examinéle financement début 2012. Leprotocole n’ayant été conclu qu’ennovembre 2011, il existait encorequelques incertitudes. D’ailleurs,Pierre Cohen et moi‐même, noussommes donnés jusqu’à mi‐2014pour les lever. De plus, leur ana‐lyse est fausse ! Par exemple, ilsaffirment que nous ne pouvonsprétendre à un financement del’Etat sur les transports publics, orle gouvernement a lancé en maidernier le 3e appel à projet pour lefinancement des transports ur‐bains. D’ores et déjà, noussommes assurés d’un apport del’Etat sur le prolongement de laligne B du métro. La Chambre afait de la spéculation, mais ils sesont trompés sur encore bonnombre d’affirmations qui se révè‐lent fausses ! Leurs appréciationsne sont pas dignes de juristes !Parmi les autres dispositions, fi‐gure un “versement transport” ap‐porté par les entreprises… Il n’ajamais été dit qu’il y aurait une af‐fectation de l’excédent de ce ver‐sement au financement de la ligneB, comme l’affirme la Chambre.Effectivement, si c’était le cas, ceserait illégal puisqu’une recette nedoit pas être affectée à une dé‐pense. Simplement, la contribu‐tion du Sicoval au financement dumétro serait diminuée proportion‐nellement à l’excédent du “verse‐ment transport” de 2011. Il estdésolant de voir des erreurs aussimonumentales !

Pour vous, le projet n’est doncpas remis en cause ?Absolument pas ! Moins que ja‐mais ! Nous disposons d’un accordfort avec Tisséo‐SMTC pour la réa‐lisation du prolongement de laligne B. Je n’ai aucune inquiétudeà ce sujet !

Propos recueillis par Séverine Sarrat

ENTREPRISE SPANGHERO

Cinq recrutements

Afin de permettre la relance dela chaîne industrielle, LaurentSpanghero et ses associés,Jacques Blanc et InvesteamParticipation 1, sont contraintsd’envisager le recrutement sup‐plémentaire d’au moins cinqpersonnes. Ces recrutementssont nécessaires pour incorpo‐rer les compétences tech‐niques minimales requises parla relance de la chaîne indus‐trielle. Les repreneurs travail‐lent activement à la mise enplace du plan de reprise enconcertation avec les autoritéset autres acteurs concernés.

AXÉO FM

Le groupementgagne la confianced’AirbusAXEO FM, groupement d’inté‐rêt économique national com‐posé de cinq sociétés régionales,dont une basée à Toulouse,confirme la confiance accordéepar les sites toulousains d’Air‐bus en signant un contrat plusimportant, comprenant unélargissement de leur domainede compétences et de leursprestations. Ainsi, AXEO FMpoursuit la collaboration initiéeen septembre 2011 et apportede nouvelles expertises au pre‐mier contrat qui concernait ini‐tialement la gestion des planset études d’aménagement deshuit sites Airbus Toulouse, soitplus de 300 bâtiments et 1,7millions de m². Ces huit sitesemploient actuellement prèsde 40 000 personnes et la forteactivité génère annuellement700 projets de transfert. C’estau total près de 15 000 per‐sonnes par an qui déménagent.

AIRBUS

EasyJet commande135 appareilsSuite à l’approbation de ses ac‐tionnaires, easyJet a confirmél’acquisition de 135 appareils dela famille A320 d’Airbus (dont 100A320neo et 35 A320ceo). L’ac‐cord initial a été annoncé pen‐dant le Salon Aéronautique duBourget. Cet accord a été concluà l’issue d’une étude technique etéconomique approfondie. easy‐Jet a porté son choix sur l’A320 enraison d’une rentabilité optimale,des coûts d’exploitation les plusfaibles, des temps d’escale lesplus courts et d’une consomma‐tion de carburant bien inférieureà celle des monocouloirs de la ca‐tégorie des 180 sièges. Cettecommande d’easyJet assure prèsde 2 500 emplois et quelque 7500 au sein de la chaîne d’appro‐visionnement étendue auRoyaume‐Uni.

EN BREF

François‐Régis Valette, 70 ans, est président du Si‐coval, Communauté d’ag‐glomération du Sud‐Esttoulousain, depuis 1998,mais également maire d’Au‐zeville‐Tolosane. L’arrivéedu métro à Labège en 2019reste son principal cheval debataille.

REPERES

« Bon nombre d’affirmationsse révèlent fausses ! »

ECONOMIE IIIJeudi 18 Juillet 2013 TOULOUSAINTOULOUSAIN

Le Le

ENTREPRISE / DOC’BIKER

Doc’Biker sur les chapeaux de roues à ToulouseFondée en 1997 par trois passionnés de moto, l’enseigne Doc’Biker développée en franchises et spécialisée dans l’entre‐tien et la réparation rapide du deux‐roues motorisé, a ouvert une boutique à Toulouse en octobre 2012. Rencontre avecle franchisé pour un contrôle technique de l’entreprise.

C’est Avenue des Etats‐Unis,que Doc Biker a choisi d’ou‐vrir son 11e centre en

France. Avec seulement trois en‐seignes en province, l’entrepriseparisienne tend à prendre sesmarques hors Ile‐de‐France. AprèsNice, Doc’Biker poursuit donc sondéveloppement dans le sud où lenombre d’utilisateur de deuxroues ne cesse de croître. «Pourl’instant cela marche moins bienqu’à Paris, mais il faut dire qu’ici onest encore inconnus : je me suis faitle porte‐parole de la franchise enquelque sorte…» raconte RaphaëlHerencia, jeune entrepreneur. A30 ans, il en est pourtant à sa cin‐quième affaire : «J’ai eu plusieurssociétés dans la communicationpuis j’ai pris un virage vers l’auto‐mobile et ma passion pour la motom’a rattrapé.» Il rencontre l’en‐seigne Doc’Biker en mars 2012 auSalon Franchise Expo Paris. Septmois plus tard, la vitrine aux cou‐leurs jaune et bleu est dans lesstarting‐blocks. Le créneauchoisi ? «On est un peu le Midas dudeux‐roues», plaisante RaphaelHerencia, «on propose des forfaits

clefs en main, tout compris selonles entretiens préconisés par lesconstructeurs.» Un concept initia‐lement prévu pour du “sans ren‐dez‐vous”, qui adapte son offre àla zone d’implantation : «Si à Parisles clients sont habitués, ici on serend bien compte qu’ils aimentavoir des rendez‐vous, alors on faitles deux !»

“La franchise comportedes avantages indéniables !”

La spécificité de l’enseigne résideen la rapidité d’action : «Contraire‐ment à nos concurrents on fait del’atelier à 99% et 1% de vente d’ac‐cessoires. En se concentrant surl’atelier, on propose un service ra‐pide pas seulement pour le pneu‐matique ou le changement debatterie, la grosse mécanique ren‐tre aussi dans le cadre comme lechangement de moteur ou de fais‐ceau électrique.» Une propositionrendue possible par le stockageimportant de matériel permettant

d’intervenir rapidement, commeautant d’alternatives à «un rendez‐vous en concession ou chez lesagents de marque qui proposent lamême chose sur de plus longs dé‐lais.» Autre volonté : marquer ladifférence par un gage d’honnê‐teté et de transparence : «L’accueilest ouvert sur l’atelier ce qui favo‐rise les échanges avec le client quivoit ce qui est fait sur son véhicule,on veut aller contre l’amalgamemécano = escroc !» Raphaël Heren‐cia a déjà engagé un premier mé‐canicien et dispose d’un centred’une surface totale de 100m2.«La franchise comporte des avan‐tages indéniables : prix et forfaitsdéjà établis, facilités d’action avecles fournisseurs et centralesd’achat, c’est un modèle à repren‐dre en somme ! Quant à l’avantaged’un site internet déjà très bien ré‐férencé, c’est indéniable !» L’entre‐preneur explique ne pas ressentirde contrainte réelle : «L’enseigneest jeune dans la franchise, il y apeu d’entraves, on reste indépen‐dant.» Bien sûr chaque mois, lesredevances sont à verser : «5% deroyalties additionnés de 3% “pour

la com”. » A ce jour, Doc’Biker Tou‐louse est en progression constan‐te, malgré des chiffres en deçà desprévisionnels de Raphaël Heren‐cia, de 40% : «Dans le milieu, l’annéea été difficile pour tout le monde.»Cequi ne devrait pas freiner le déve‐

loppement de la boutique, qui doitprendre un apprenti dès septem‐bre.

www.docbiker.com

Aurélie Renne

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TOULOUSAINTOULOUSAINLe Le ECONOMIEIV


Pour la période des grandes vacances, le Pal‐ladia invite les Toulousains à mettre de lafantaisie dans leur quotidien. Pour ce faire,

l’établissement, un des derniers indépendantsprésent à Toulouse depuis 20 ans, s’appuie surses atouts : une cuisine raffinée, une piscine ex‐térieure chauffée, une terrasse entièrement ré‐aménagée, sans oublier son spa. De la pause déjeuner fraicheur incluant un libreaccès à la piscine, aux soirées musiques dumonde, sans oublier des après‐midi de loisirs ré‐créatifs, le Palladia met à disposition un envi‐ronnement chic et calme à 10 minutes du centreville pour des fins de semaine détente et détoxen duo, entre amis ou en famille.Le jeudi, il est désormais possible de prolongerson diner en terrasse par une soirée BossaNova dans une ambiance musicale franco bré‐silienne. Le vendredi soir, au programme, c’estdanse avec des démonstrations et des leçonsde danse Kizomba. Et pour passer des samedisaprès midi relaxants en famille et permettreaux mamans de réellement se décontracter,les enfants sont pris en charge, après le déjeu‐ner, par un animateur pour des ateliers des‐sins, cirque…

Publi‐reportage

Retraites, la CFE-CGC se veut “responsable”

L’énième réforme des re‐traites est en marche… Lesnégociations ont même été

ouvertes par le gouvernement dèsle début de ce mois de juillet. LaCFE‐CGC s’est distinguée de sescamarades syndicaux en se posi‐tionnant dans une démarche dedialogue « responsable », et enayant un discours apaisant dès lespremiers échanges avec le minis‐tre du travail Michel Sapin, et celuides Affaires sociales et de la santé,Marisol Touraine : «Pour nous, il estimportant que les classes moyennessoient entendues, c'est ce qui feraque nous n'irons pas dans la rue à larentrée», tout en ajoutant que si«aucune des propositions de la CFE‐CGC n'est reprise, là nous auronsdes débats en interne», déclare Ca‐

role Couverc, la secrétaire géné‐rale modérée dudit syndicat. PourAlain Pujol, en charge du dossier“retraites” pour la section toulou‐saine de la CFE‐CGC, l’originalitédes propositions faites par sonsyndicat tient «dans la prise encompte des années d’études, c’estmême pour nous un préalable à lanégociation. A ma connaissancenous sommes le seul syndicat à de‐mander ça, même s’il n’y a pas en‐core eu de réunion intersyndicalesur le sujet à Toulouse. Nous souhai‐tons également une cotisation so‐ciale…» La cotisation socialeévoquée par Alain Pujol consiste àaugmenter les cotisations patro‐nales sur la maladie afin de rendreplus performante la compétitivitéde nos entreprises. Pour juste‐

ment permettre que le gouverne‐ment de Jean‐Marc Ayrault puisseécouter et travailler sur ces reven‐dications, la CFE‐CGC a décidé àl’issue de son comité directeur quis’est tenu le 8 juillet dernier, de nepas se joindre à la grande manifes‐tation sur les retraites qui est pré‐vue pour le 10 septembre prochain(FO, CGT, Sud et FSU ont déjàconfirmé leur présence). Une pos‐ture qui se veut résolument “res‐ponsable” dans cette période decrise où les déficits publics ont dumal à être maîtrisés, mais qui n’ex‐clut pas pour autant le bras‐de‐fer : «Nous attendons que legouvernement passe des discoursaux actes» a lancé Carole Couvert.

Thomas Simonian

DU NOUVEAU AU PALLADIA

Des déjeuners et des soirées événementsA l’occasion de la nouvelle décoration de son espace de restauration extérieur, au bordde la piscine, le Palladia a élaboré une palette d’offres spéciales été 2013. Objectif pourl’établissement 4* : ouvrir cette maison de renom à un large public avec des déjeuners et des diners thématiques amusants et très accessibles.

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La Poste : un service de + en + timbré !

LE CONTREPOINT LIBERAL DE PATRICK AUBIN

Avec des militants anticapita‐lismes en leur sein, il faut s’at‐tendre à tout venant desdirections des administrationsou entreprises publiques. Ainsila Poste vient de révéler que :«Le prix du timbre pourrait aug‐menter de 24% en 5 ans.» Laraison ? «La Poste viserait ainsià compenser la baisse du nom‐bre de lettres envoyées.» Grâceà la dématérialisation d’Inter‐net et aux emails, les échangesde courrier ou de documentssont plus rares. Alors quecomme tout acteur écono‐mique, la Poste devrait s’adap‐ter à son marché, elle tente deforcer ses usagers‐clients às’adapter à ses prix ! Tout chef d’entreprise aimeraitpouvoir raisonner ainsi : «tiens,j’ai une baisse de mes com‐mandes ; hop, il me suffit d’aug‐menter le prix de mes produitsou services.» Tout citoyen nor‐malement constitué sait que s’ilagit ainsi, notre chef d’entre‐prise verrait inéluctablementses clients se tourner vers desconcurrents plus compétitifs.Ah, cette vilaine concurrencequi donne aux clients égoïstesdes prix toujours plus bas. Ah,ce vilain marché qui oblige l’en‐treprise publique à rester com‐pétitive pour répondre aubesoin des citoyens‐payeursplutôt qu’à celui des fonction‐naires‐ponctionneurs !Quand on dispose d’un mono‐pole, a fortiori lorsque celui‐cis’abrite derrière la force pu‐blique, il est effectivement fa‐cile d’augmenter les prix sansse poser de questions. Maiscomment savoir le juste prix, lejuste niveau du service si au‐cune concurrence n’est là pourcorriger les errements des res‐ponsables ? Ne serait‐ce pasplutôt “grâce” au marché quenous pouvons éviter les piresdérives ? N’est‐ce pas “grâce”aux prix de plus en plus bas quetout consommateur peut s’of‐frir les produits et prestationsadaptés à son besoin en fonc‐tion de ses priorités d’achat ?N’est‐ce pas “grâce” à la multi‐plication de l’offre que le nom‐bre de producteurs s’accroît etdonc le potentiel d’emplois ? Ehoui, seul un marché libre est enmesure d’offrir de telles pers‐

pectives, jamais un monopole.D’ailleurs, partout où l’Etat in‐tervient, l’augmentation desprix est visible, car l’homme po‐litique n’en a jamais assez. Inca‐pable d’innover, comme laPoste, l’Etat, c’est la raréfactionde l’offre, et donc la réductiondes vrais emplois. C’est le cerclevicieux dans lequel est tombéela France en donnant un pou‐voir abusif à des bureaucratescroyant faire fi des lois écono‐miques. Issus du sérail adminis‐tratif, ils ignorent la prise derisques sur le marché, maisdonnent à longueur de journéedes leçons sans rapport avecune économie saine. Et ils aug‐mentent le timbre car ils ne sa‐vent pas faire d’économies.Ainsi, la quasi‐totalité de leursdécisions économiques condui‐sent à détruire les emplois. Agrands coups de réglementa‐tions liberticides, les décisionsministérielles enfoncent un peuplus le pays dans le déclin. Lesdépenses quotidiennes liées àdes emplois administratifs inu‐tiles dans la fonction publiquene peuvent plus être couvertespar les prélèvements fiscaux.C’est le règne de la dépenseforcée qui n’en finit plus. Il estamusant de constater que ceuxqui n’ont de cesse de dénoncerle marché comme une junglenous démontrent que l’excèsde réglementation conduit àl’arbitraire.L’Etat dit avoir besoin de plusd’argent pour ses dépenses, ethop, sa seule et unique solu‐tion, c’est de ponctionner sansvergogne un peu plus les ci‐toyens. Ça ne vous rappellerien ? Quand le roi dépensaitplus que de raison ? Et hop, ils’offrait soit une descente dansles villages pour spolier les pau‐vres serfs, soit une petiteguerre pour voler d’autres peu‐ples ! Belle civilisation quevoilà.Pour la Poste, il paraît que lesuccesseur du responsable ac‐tuel, qui a confirmé son départ,pourrait faire d'autres choixstratégiques. Au moins souhai‐tons‐lui d’être un peu plus réa‐liste sur l’activité de sonentreprise pour l’adapter aumarché avant que ce ne soit lemarché qui ne l’y oblige.

ECONOMIE VJeudi 18 Juillet 2013 TOULOUSAINTOULOUSAIN

Le Le

60% d’investissements demoins en un an, enMidi‐Pyrénées. C’est le

constat dressé par Jean Pendanx,co‐fondateur du Cabinet Dedia àl’origine d’une enquête évaluantles tendances du Capital Investis‐sement dans la région. «2012 a étémoins favorable que l’année précé‐dente dans son ensemble, même sile nombre d’opérations est resté re‐lativement stable», explique‐t‐il.Effectivement, une cinquantaine aété réalisée chaque année, 2012accusant un retrait de 4%, il s’agitdonc d’un recul des montants in‐vestis. Si cette baisse est égale‐ment enregistrée au niveaunational (‐37%), Midi‐Pyrénées sepositionne donc bien au‐delà (‐60%). «Tout type d’investissementsconfondus, 205 millions d’euros ontété engagés en 2011, quand seule‐ment 83 millions d’euros l’ont été en2012», précise Jean Pendanx.L’analyse de ces données conduitle co‐fondateur du Cabinet Dediaau constat suivant : «Avec 15 mil‐lions d’euros investis par opérationsen moyenne, le Capital transmis‐sion se trouve à l’origine de cet ef‐fondrement !» A l’inverse, leCapital développement lui, ob‐serve une augmentation d’activitéde 22%.

Amorçage et retournementen disgrâceEn Midi‐Pyrénées, la situation dumarché du Capital investissementreste tout de même dynamique,notamment grâce à la présencedes acteurs nationaux qui bénéfi‐cient d’une implantation régionaletels ACE Management, CM‐CICCapital Finance et autres Bpi‐france Investissement Régions,mais surtout grâce aux acteurs ré‐gionaux qui ont acquis une dimen‐sion nationale, comme IXO ouMidi Capital. Sans compter les in‐vestisseurs régionaux disposantd’un champ d’action local et lesacteurs spécialistes bénéficiantd’une implantation régionale.«Cette forte concurrence sur le ter‐ritoire de Midi‐Pyrénées engendreune offre plus large et plus diversi‐fiée, et ainsi de nombreuses possi‐bilités pour les entreprises», préciseJean Pendanx. Mais les investisse‐ments restent principalement ci‐blés sur le Capital développementet transmission au détriment del’amorçage et du retournement.«Peu d’acteurs nationaux prennentle risque aujourd’hui d’investir dansune entreprise pour financer son dé‐marrage ou sa sauvegarde»,constate le fondateur du Cabinet

Dedia, se félicitant de la naissancedu fonds IRDInov, exclusivementconsacré à l’amorçage. Le seullaissé pour compte étant donc leCapital retournement, sur lequel

aucun acteur n’est positionné enMidi‐Pyrénées. A méditer en cettepériode économique difficile…

Séverine Sarrat

Faciliter le financement descréateurs et des entreprisessolidaires en Midi‐Pyrénées,

telle est l’ambition de la Nef et MPActives suite à la signature d’uneconvention le 7 mars dernier. Encollaborant plus étroitement, laNef, coopérative de finances soli‐daires, et MP Actives, organismede financement, constituent ainsiun guichet unique pour les por‐teurs de projets. Mais ce rappro‐chement n’est, en réalité, pas unenouveauté : «La Nef et MPA tra‐vaillaient ensemble sur le terraindepuis plusieurs années, en tantqu’acteurs complémentaires ; la si‐gnature d’une convention n’estdonc que la formalisation de mé‐thodes de travail déjà éprouvées»,explique Cécile Verjus‐Lepers, res‐ponsable des délégations Nef. Eneffet, entre 2006 et 2012, vingt‐neuf projets ont été financésgrâce à l’action conjointe de la Nefet MPA. «Cette année, notre objec‐tif est multiplié par trois ou quatrepuisque nous pensons pouvoir en fi‐nancer une vingtaine», préciseJean‐Eric Florin, directeur de Midi‐Pyrénées Actives. Ainsi, les créa‐teurs d’entreprises solidaires

pourront prétendre à un crédit dela Nef de 30 000 euros (au plus),sous la décision conjointe de cettedernière et de MPA se portant ga‐rant pour la société. Et la formule,mise en place il y a seulement cinqmois, a déjà montré son efficacitépuisque trois installations biolo‐giques et deux entreprises soli‐daires ont déjà bénéficié d’uncrédit de la Nef.

Jusqu’à 30 000€ de financementPour les porteurs de projets, cerapprochement reste une avancéeconsidérable car le délai de traite‐ment des dossiers en est diminué,les démarches simplifiées et l’in‐terlocuteur unique, comme en té‐moigne Madame Daudé, créatriced’une exploitation maraichère biodans le Gers : «Alors que je perdaisconfiance quant à la réalisation demon projet après de nombreuxrefus pour un prêt bancaire, j’ai fi‐nalement été orientée vers MPA quim’a permis d’accéder à un prêt pro‐fessionnel rapidement auprès de laNef. Je n’ai eu à présenter mon dos‐sier qu’à MP Actives qui, après ana‐

lyse, m’a accordé un crédit Nef de13 915€.» Cette agricultrice a doncpu bénéficier de l’efficacité dunouveau partenariat non seule‐ment parce que son dossier a étéjugé viable mais aussi parce que laNef et MPA ont décidé de ciblerprécisément les secteurs de l’éco‐nomie sociale, de l’environnementet l’agriculture biologique. «La Nefayant une vocation historique dansle financement de projets agricolebio, il était logique que notre ré‐cente convention les privilégie,mais les créations d’entreprises

n’entrant pas dans ces critères desélection peuvent quand même dé‐poser leurs dossiers à MPA qui lestraitera hors partenariat», préciseHélène Seguier, responsable dupôle TPE et Agriculture au sein deMPA. Et de rajouter : «nous prou‐vons encore une fois, avec cetteconvention, que les institutions fi‐nancières partagent les valeursfondamentales que nous essayonsde promouvoir, celles d’une écono‐mie responsable et d’un système fi‐nancier au service de l’Homme.»

Séverine Sarrat

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ck Alix/JT

Jean‐Eric Florin et Hélène Seguier se félicitent de la convention signé avec la Nef

BIOCOOP

Un nouveau magasinBiocoop Portet sera le 10e

point de vente Biocoop surl’agglomération toulousaine.Sur près de 600 m² de surfacede vente, Biocoop Portet est laplus grande Biocoop de la ré‐gion. Philippe Wladon, le gé‐rant, a privilégié les produitsfrais avec un grand rayon fruitset légumes, une boucherie tra‐ditionnelle, un espace crème‐rie et un espace snacking.«Mais nous n’avons pas dé‐laissé les autres univers pourautant : le vrac avec plus de 210références, l’épicerie, les com‐pléments alimentaires, la cos‐métique, les produits pour lamaison et la librairie…» pré‐cise‐t‐il.

COLLECTIVITÉS LOCALES

Financement de projetsLes collectivités et établisse‐ments publics locaux connais‐sent des difficultés à souscriredes emprunts nécessaires à laréalisation de leurs projets.Pour y remédier, l’Etat met enplace un dispositif de veille surla dette des collectivités quipermettra également de lesaccompagner dans leurs dé‐marches de financement. Lesite internet de la Préfectureénonce ces mesures et in‐dique les modalités d’inter‐vention ainsi que lescoordonnées des partenairesfinanciers auxquels les collec‐tivités peuvent faire appelpour financer leurs projetsd’investissement.

AIRBUS

Livraison du premier A380 à British AirwaysBritish Airways (BA) a pris li‐vraison du premier de sesdouze appareils en com‐mande, devenant ainsi ledixième utilisateur de l’A380d’Airbus dans le monde et letout premier utilisateur del’A380 au Royaume‐Uni. Lacompagnie déploiera ce nou‐veau fleuron de sa flotte surdes lignes reliant LondresHeathrow à Los Angeles etHong Kong. Airbus a enregis‐tré à ce jour 262 commandesfermes portant sur l’A380,émanant de vingt clients. Cesdouze commandes fermes deBritish Airways sont assortiesd’une option portant sur septA380 supplémentaires. A cejour, 40 millions de passagersont déjà eu le privilège devivre l’expérience unique d’unvol à bord d’un A380. Toutesles cinq minutes, un A380 dé‐colle ou atterrit dans l’un destrente aéroports où l’appareilest exploité à ce jour, un ré‐seau qui ne cesse de se déve‐lopper.

EN BREFECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

Renforcer la crédibilité auprès des institutions financièresSpécialisés dans le financement des entreprises et associations à vocation sociale et solidaire, la Nef et Midi‐Pyrénées Actives ont signé une convention de partenariat afin de mutualiser leurs outils et leurs expertises. Les porteurs de projets verront ainsi leurs démarches simplifiées.

CAPITAL INVESTISSEMENT

Les financeurs ne prennent plus de risques Si les entreprises restent en constante recherche de fonds, les investisseurs, à l’inverse, deviennent de plus en plus frileux. C’est la tendance relevée par l’enquête sur le Capital Investissement en Midi‐Pyrénées menée par le CabinetDedia Audit & Conseil, concernant les opérations de 2011 à 2012.

Pour Jean Pendanx, 2013 ressemblera à 2012

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L'entreprise, en fournissantdes moyens de communica‐tion, se trouve placée au

centre d'un maillage de plus enplus dense d'obligations qui ten‐dent peu ou prou à lui faire jouerun rôle majeur dans la poursuite etla sanction des abus commis, et ce,au prix de sa propre responsabilité. On recense principalement deuxrisques majeurs :� un risque d’empiètement du tra‐vail sur la vie privée du salarié etinversement,� un usage abusif des NTIC mis àdisposition du salarié par l’entre‐prise, dans et hors temps de travail.Ces risques doivent être abordéssous plusieurs angles qui sont laloyauté, l’utilisation de ces outilset éventuellement le rembourse‐ment des notes excédant les for‐faits contractuellement prévus.

Loyauté et NTICLe salarié dont le contrat de travailest suspendu n’est pas dispenséde communiquer à l’employeurqui en fait la demande les infor‐mations détenues par lui et quisont nécessaires à la poursuite del’activité de l’entreprise et ceci envertu de l’article 1 134 du code civilqui rappel aux cocontractantsqu’ils sont tenus d’exécuter debonne foi le contrat qu’ils ont si‐gnés. La question était en effetposée depuis un arrêt de la Courde cassation du 6 février 2001(cass.soc. 98‐46.345) qui avaitconfirmé que le refus de collabo‐rer avec son entreprise pendant samaladie ne constituait pas de lapart du salarié un acte de dé‐loyauté (cas d’un VRP qui avait re‐fusé de restituer les fiches clientspendant sa maladie). La Cour avait déjà jugé en ce senspour une salariée malade dont lemari avait “mal” accueilli un de sescollègues venu chercher les clésinformatiques nécessaires à lapaie. Par un arrêt du 18 mars 2003,la Cour de cassation a considéréque le salarié restait toutefois tenuà une obligation de loyauté àl’égard de son employeur, lui im‐posant, par exemple, de restituer,si l’employeur le lui demande, leséléments matériels en sa posses‐sion nécessaires à l’activité de l’en‐treprise, et notamment le coded’accès à son ordinateur.

L’utilisation d’un outilprofessionnel hors temps et hors lieu de travailIl est difficile pour un employeurqui donne l’autorisation à son sa‐larié d’emporter son ordinateurprofessionnel ou son téléphoneportable chez lui, de lui interdirede l’utiliser à des fins personnellesen dehors du temps et du lieu detravail, ou d’effectuer un contrôlesur cette l’utilisation. Pour éviter

des abus, il est indispensable deprévoir des limites à cette utilisa‐tion, soit par note de service, soitpar l’établissement d’une charted’éthique, soit encore par contrat.

Utilisation abusive d’un outil professionnelà des fins personnellesUn employeur peut être conduit àdevoir licencier un salarié qui aabusé de sa ligne téléphoniqueprofessionnelle ou de l’Internet àdes fins personnelles. Mais encorefaut‐il qu’il puisse prouver cetécart de comportement. Or, cettepreuve ne peut pas être rapportéepar des moyens qui porteraient at‐teinte aux libertés des salariés. Ilest ainsi interdit d’utiliser des dis‐positifs de contrôle qui n’ont pasété portés à la connaissance dessalariés (caméras cachées, “mou‐chards”…). Pour rapporter lapreuve de la faute d’un salarié,l’employeur peut parfaitementutiliser la facture détaillée del’opérateur de téléphonie relativeau poste du salarié sanctionné. LaCour de Cassation a en effet pré‐cisé que cette facture constituebien un mode de preuve licite.

Du mauvaise usage de l’InternetL’utilisation d’Internet par les sala‐riés conduit, sur le plan du droit, àune profonde remise en cause desrègles régissant les relations detravail, dont l’ampleur et la naturen’ont pas encore été complète‐ment mesurés. Un contrôle de l’usage des réseauxinformatiques est nécessaireparce que l’utilisation de l’Internetest de nature à causer de multiplespréjudices à l’entreprise :

� Augmentation très sensible durisque de contamination du sys‐tème informatique par virus�Utilisation de la bande passantedu réseau de l’entreprise, ralentis‐sant notablement les connexions� Téléchargement de fichiers so‐nores au format MP3 � Téléchargement de fichiersvideo � Augmentation, plus générale‐ment, des risques d’atteinte à l’in‐tégrité, à la disponibilité dessystèmes et des données�Augmentation des risques d’at‐teinte à la confidentialité des in‐formations (par ex. messageélectronique comportant des in‐formations devant être tenues se‐crètes et transféré par une erreurde manipulation à un partenairecommercial)�Et dans certains cas, baisse de laproductivité du travail, en raisondu temps passé à échanger desmessages personnels et/ou surfersur le web.

L’outil informatique connecté auréseau est aussi un moyen tout àfait discret et efficace pour travail‐ler pour son propre compte oupour le compte d’une entreprisedirectement concurrente. C’est laraison pour laquelle les entreprisesdoivent redéfinir leur politique desécurité, et :� modifier la configuration maté‐rielle et logicielle des systèmes etdes réseaux, en y installant notam‐ment des systèmes de protectionplus efficaces, avec un contrôleplus strict des transmissions dedonnées entrant et sortant du ré‐seau intranet de l’entreprise,� insister, auprès des salariés surles précautions à prendre pour évi‐ter notamment la contaminationvirale ou le blocage de leur maté‐riel et/ou du système,� instaurer, dans certains cas, des

procédures destinées à renforcer lecontrôle sur l’utilisation du réseaupar les salariés, notamment par lamise en œuvre d’une charte infor‐matique ou d’une charte éthique.

Difficultés juridiquesliées au contrôle de l’utilisation des NTICLorsqu’ils envisagent de contrôlerles sites visités ou les messagesenvoyés ou reçus par les salariés,les employeurs sont rapidementconfrontés à de sérieuses difficul‐tés juridiques.

L’échange d’e‐mails personnels et/ou privésLes salariés qui disposent, sur leurposte de travail, d’un matériel in‐formatique équipé d’un logiciel denavigation, d’un logiciel de messa‐gerie et d’un modem ont très vitecompris l’intérêt que pouvait avoirl’accès à l’Internet, sur le plan pro‐fessionnel, mais aussi sur d’autresplans.Après avoir adressé des messagesà leurs collègues, collaborateurs ousupérieurs, après avoir effectué desrecherches documentaires sur lessites gouvernementaux et les sitesprofessionnels utiles dans le cadrede l’exercice de leurs fonctions, lessalariés émettent et reçoivent dese‐mails personnels, avec parfois

certains excès que les employeurs –et parfois les juridictions judiciaires– sont amenés à condamner.En mars 2001, La Commission Na‐tionale Informatique et Libertés(CNIL), tout en indiquant que lesmessages électroniques entrantou sortant de l’entreprise pou‐vaient présenter “une dangerositéréelle”, notamment pour celle‐ci,a rappelé les trois limites princi‐pales au pouvoir de direction del’entreprise en matière de contrôleet de surveillance des salariés : � la transparence, par la consulta‐tion des représentants des salariéset l’information des salariés inté‐ressés, � la proportionnalité des mesuresde surveillance par rapport au butpoursuivi,� la discussion entre l’employeuret les salariés ou leurs représen‐tants.

Le surf au bureauLes salariés consultent parfois dessites web dont l’utilité profession‐nelle ne parait pas évidente aupremier abord, surtout à leur em‐ployeur.Le surf au bureau, pratique répan‐due est certainement préjudicia‐ble à l’entreprise. Il ne peut plusêtre considéré comme une pra‐tique exceptionnelle ou margi‐nale – notamment lorsque leposte de travail occupé par le sa‐larié dispose d’une ligne indivi‐duelle et d’une connexion.Si l’on y ajoute les risques liés à laconsultation de certains sites aucontenu illicite et au télécharge‐ment de fichiers pédophiles ou au‐tres, les entreprises ont donc étéamenées à chercher des solutionsde filtrage d’accès à l’Internet.Généralement, les entreprisesn’envisagent pas d’interdire pure‐ment et simplement le surf per‐sonnel. Une telle interdictionpourrait, au demeurant, êtrecontre‐productive, notammentdans les entreprises où un usages’est créé depuis plusieurs annéesmais il est nécessaire de limiterl’accès à certains sites et de limiterla durée de connexion.La CNIL préconise que les consul‐tations à titre personnel ne dépas‐sent pas un “délai raisonnable” etque les consultations ponctuellesde sites Internet ne concernent,sur le lieu de travail, que des sitesdont “le contenu n’est pascontraire à l’ordre public et auxbonnes mœurs”. A suivre…

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CONSEILS D’EXPERTS

Les nouvelles technologies de l’informationet de la communication : user… sans abuserL’utilisation des NTIC mise à disposition par les entreprises à leurs salariés (téléphone portable, ordinateur portable…) peut engendrerdes abus encore inconnus il y a quelques années, mais qu’il convient aujourd’hui, d’éviter et de sanctionner.

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