Editorial - spe.dz

M. LEZHARI SabriPrésident Directeur Général de SPE

Consciente des enjeux et défis de l’heure, SPE, poursuit son développe-ment pluridisplinaire. En effet, en plus du développement de son parc de Production, la diversification de son portefeuille à travers l’introduction des prestations de services qui est deve-nue une priorité incontournable dans la stratégie de la Société afin de garan-tir sa pérennité.

Pour la réalisation de cet objectif et arriver à arracher des parts de marchés dans le segment de la prestation de service où la concurrence est de mise, la certification des processus internes de la Société devient un élément impor-tant voir une exigence indiscutable

pour une meilleure maitrise des coûts et des délais, facteurs jugés clés pour toute offre performante aux clients.

A cet effet, une feuille de route a été élaborée pour l’implémentation progressive d’un Système de Manage-ment de la Qualité (SMQ), permettant à la fin une certification ISO 9001 Version 2015 de l’ensemble des entités décen-tralisées et services centraux de la Société, il est à noter que la première Unité ayant passé avec succès ce processus long et studieux est l’Unité TG de Larbaa ayant obtenu sa certifica-tion au mois de septembre 2018, vien-dront en 2019 les trois (03) Unités TV de Ras Djinet, Jijel et Marsat El Hadjedj, s’ajouteront à ce palmarès les Unités multi site ainsi que les Unités Cycles Combinés en 2020.

Ce processus enclenché accompagne-ra la Société d’une manière permanen-te, sachant que la certification est une distinction délivrée pour une durée déterminée, à cet effet le management doit veiller régulièrement à l’améliora-tion de ses procédures et le maintien de ses performances du niveau requis.

Editorial

Lumière Niew N° 07/ Septembre 2018/ 1

Actualité

Projet

la Certification de l’Unité de Production de LARBAA ISO 9001 version 2015

Pourvoi des postes de responsabilitédans le cadre des appels à candidature

Amélioration des conditions de travail (réception de la nouvelle base de vie de Hassi R’mel)

Directeur de la publication

M. Sabri LEZHARIPrésident Directeur

Général

Responsable de la publication

Mlle Rokia ZELMAT

Assistante Communication

Comité de rédaction et de lecture

Yacine AITSAHED, Brahim ATOUI,

Kamel DEMOUNE, ToufikDIB, Smail LAHANI,

RAMDANI Mohcene, Khelil TILOUINE,

Said SAIL, Abdelkader ZANOUN,

Ont contribué à ce numéro

Karima BENFELLAH,Saida BOUGHRARA ,

Nassima AZRINE, Fella DAOUD,Khaled Djarfer

KHOUDJA ,Amine CHAHI, Nabila IZZIANE, Hamza GUENNICHE,

Hakima SIDISAID,Fatiha GUESSOUM, kahina TIBOURTINE,Yacine AITSAHED,

Rokia ZEAMAT.

SPE

Revue trimestrielle éditée par SPE/Spa Société

Algérienne de Production de l’Electricité

Filiale du Groupe Sonelgaz

Route Nationale N° 38

Immeuble des 700 Bureaux Gué de

Constantine

Kouba – AlgerTél. : + 213(0) 21 83 84 00Fax : + 213(0) 21 83 95 13

Site web : www.spe.dz

Ressources Humaines

Page 04

Page 15

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Page 08

Page 11

Page 09

Mise en œuvre du Système de gestion patrimoine foncier et immobilier de SPE

L’uniformisation duSystème GMAO

Gestion de la MaintenanceAssistée par Ordinateur « GMAO SYANA »

Vie d’Entreprise

2 Lumière Niew N° 07/ Septembre 2018

Actualité

Projet

la Certification de l’Unité de Production de LARBAA ISO 9001 version 2015

Pourvoi des postes de responsabilitédans le cadre des appels à candidature

Amélioration des conditions de travail (réception de la nouvelle base de vie de Hassi R’mel)

Directeur de la publication

M. Sabri LEZHARIPrésident Directeur

Général

Responsable de la publication

Mlle Rokia ZELMAT


Comité de rédaction et de lecture

Yacine AITSAHED, Brahim ATOUI,

Kamel DEMOUNE, ToufikDIB, Smail LAHANI,

RAMDANI Mohcene, Khelil TILOUINE,

Said SAIL, Abdelkader ZANOUN,

Ont contribué à ce numéro

Karima BENFELLAH,Saida BOUGHRARA ,

Nassima AZRINE, Fella DAOUD,Khaled Djarfer

KHOUDJA ,Amine CHAHI, Nabila IZZIANE, Hamza GUENNICHE,

Hakima SIDISAID,Fatiha GUESSOUM, kahina TIBOURTINE,Yacine AITSAHED,

Rokia ZEAMAT.

SPE

Revue trimestrielle éditée par SPE/Spa Société

Algérienne de Production de l’Electricité

Filiale du Groupe Sonelgaz

Route Nationale N° 38

Immeuble des 700 Bureaux Gué de

Constantine

Kouba – AlgerTél. : + 213(0) 21 83 84 00Fax : + 213(0) 21 83 95 13

Site web : www.spe.dz

Ressources Humaines

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Mise en œuvre du Système de gestion patrimoine foncier et immobilier de SPE

L’uniformisation duSystème GMAO

Gestion de la MaintenanceAssistée par Ordinateur « GMAO SYANA »

Vie d’Entreprise


Sommaire

Espace Travailleurs

Veille Technologique

Perspectives de la Société

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Page 26

Page 32

Inauguration de la Centrale de Boufarik II par Monsieur le Ministre de l’Energie

Visite de Monsieur le Ministre de l’Energie à la Centrale TG de Relizane

Cérémonie de remise des médailles de travail et de mérite

DEDÉVELOPPEMENT 2022-2030

Le vernis et ses répercussionssur les organes de commande

DOSSIER

EVENEMENTS

Etat d’avancement de l’operation de collecte, transport et elimination des dechets d’amiante de la Centrale de Jijel

Lumière Niew N° 07/ Septembre 2018 3

Ressources Humaines

La relève de la Ressource Humaine, demeure la préoccupation primordiale de la Société Algérienne de Production de l’Electricité, la préparation et le développement de cette ressource a pris de l’ampleur suite à l’accroissement important de son parc de production, nécessitant à cet effet, des compétences avérées pour le pourvoi des postes de responsabilité de rang supérieur.

SPE a inscrit dans ses objectifs pour l’exercice 2018, le pourvoi de 221 postes de rang cadres supérieurs et supérieurs seniors, via le dispositif en vigueur

d’appel à candidatures, dans le but d’atteindre un taux de mise en place de plus de 80 % sur les postes d’organigramme prévus.

Il est important de souligner qu’à travers ce mécanisme, SPE a comptabilisé 597 candidatures pour un nombre de 221 postes publiés, ce qui représente un ratio appréciable de trois (03) candidatures minimum par poste.

Ce ratio peut être considéré comme un indice révélateur du niveau d’adhésion et du degré de motivation des jeunes cadres de la Société au dispositif actuel, et par conséquent leur

volonté d’exercer la fonction de responsabilité.

Cette participation de nos cadres aux différents appels à candidatures lancés sur les deux exercices 2017 et 2018, créera une richesse dans le vécu professionnel des candidats et constituera pour la Société un vivier de compétences, leur permettant de puiser en cas de nécessité éminente pour le pourvoi des postes jugés sensibles.

Par Mme. AZRINE NassimaChef Département RH


Ressources Humaines

La relève de la Ressource Humaine, demeure la préoccupation primordiale de la Société Algérienne de Production de l’Electricité, la préparation et le développement de cette ressource a pris de l’ampleur suite à l’accroissement important de son parc de production, nécessitant à cet effet, des compétences avérées pour le pourvoi des postes de responsabilité de rang supérieur.

SPE a inscrit dans ses objectifs pour l’exercice 2018, le pourvoi de 221 postes de rang cadres supérieurs et supérieurs seniors, via le dispositif en vigueur

d’appel à candidatures, dans le but d’atteindre un taux de mise en place de plus de 80 % sur les postes d’organigramme prévus.

Il est important de souligner qu’à travers ce mécanisme, SPE a comptabilisé 597 candidatures pour un nombre de 221 postes publiés, ce qui représente un ratio appréciable de trois (03) candidatures minimum par poste.

Ce ratio peut être considéré comme un indice révélateur du niveau d’adhésion et du degré de motivation des jeunes cadres de la Société au dispositif actuel, et par conséquent leur

volonté d’exercer la fonction de responsabilité.

Cette participation de nos cadres aux différents appels à candidatures lancés sur les deux exercices 2017 et 2018, créera une richesse dans le vécu professionnel des candidats et constituera pour la Société un vivier de compétences, leur permettant de puiser en cas de nécessité éminente pour le pourvoi des postes jugés sensibles.

Par Mme. AZRINE NassimaChef Département RH


Au mois de Septembre 2018, l’unité de LAR-BAA a obtenu la certification ISO 9001 Ver-sion 2015

C’est après un travail de longue haleine, que fut concrétisée la certification de la première Unité de production de SPE, considérée également comme un évènement important à l’échelle ré-gionale.

En date du 15 septembre 2018, et suite à l’audit de certification sur le système de management de l’unité de LARBAA effectué par l’organisme de certification Bureau Veritas, l’Unité s’est vue octroyer le certificat attestant la conformité de son système de mangement avec les exigences de la norme ISO 9001 version 2015.

Les apports majeurs de la certification

Approche par processus: Avant la mise en place du système de management, chaque structure remplissait son rôle, mais de façon très cloison-née et un tel fonctionnement pouvait aboutir à

une accumulation de nonqualité.

Par l’adoption de l’approche par processus, la gestion de l’entreprise est passée d’un modèle par fonction à un modele en silos. La priorité n’est plus à la structure hiérarchique mais à l’effi-cacité par la transversalité et la synergie entre les métiers. On ne raisonne plus «division, service» mais processus. Les métiers et structures sont au service d’un processus et surtout au service de leur client commun au travers d’un processus. Ce que va apporter l’approche processus, c’est le décloisonnement de l’entreprise et l’améliora-tion de l’efficacité et des performances comme conséquence résultat.

Afin de structurer ses activités, la Centrale a identifié 11 processus, lui permettant de réaliser et de satisfaire au mieux les besoins, la satisfac-tion des exigences des clients et parties intéres-sés, comme illustré dans la cartographie des pro-cessus ci–dessous devient une priorité :

ACTUALITÉ

Par M.CHAHI AmineIngénieur Chargé de la Structure Management de Qualité

ISO 9001 version 2015

la Certification de l’Unité de Production de LARBAA


Plan de Communication structuré :

Les orientations, les résultats escomptés, les ob-jectifs et les actions sont formalisés et communi-qués à travers la politique qualité. Le personnel de l’Unité voit précisément à quoi contribuent ses activités et sera conscient de ses responsa-bilités, rôles et tâches à travers la politique de

l’unité, de la décliner au niveau de leur proces-

sus, jusqu’à l’atteinte de leurs objectifs.

Favoriser l’esprit d’équipe est mis en avant, une

responsabilisation de chacun qui n’est plus un

«pion» dans une équipe mais un contributeur

de processus. Chacun participe, du fait qu’il

comprend l’intérêt et le pourquoi du système

de management de la qualité.

Système de gestion documentaire :

L’information documentée est disponible, dis-

tribuée, accessible, utilisable, stockée et proté-

gée, en plus de la maîtrise des modifications, de

la conservation et de l’élimination de celles-ci.

Les principaux avantages d’un tel système,

sont comme suit :

• Formaliser par écrit les règles de fonction-

nement et les pratiques professionnelles ;

• Sauvegarder le savoirfaire ;

• Harmoniser les pratiques entre les différents

acteurs, réalisant entièrement ou partielle-

ment une même tâche ou activité ;

• Rendre l’information accessible et s’assurer

qu’elle est valide et d’actualité ;

• Former les nouveaux arrivants.

En laissant aux automatismes du système do-

cumentaire le soin de gérer le quotidien, le res-

ponsable se détachera au fur et à mesure des

activités opérationnelles, pour se consacrer au

management et à la créativité.

En outre, en diminuant les non qualités, on aug-

mentera la performance de l’entreprise.

ACTUALITÉ

Processus Management de l’unité

Processus Préparation et Maintenance des Installations

Processus Production

Processus Management du SMQ

Processus gestion desressourcesHumaines

ProcessusSystéme

d’informationSI

ProcessusMaintenance

Légère etlourde

ProcessusAchat et

Approvisionnement

ProcessusSureté

Interne SIE

ProcessusContrôle de

gestion

ProcessusHSE


Plan de Communication structuré :

Les orientations, les résultats escomptés, les ob-jectifs et les actions sont formalisés et communi-qués à travers la politique qualité. Le personnel de l’Unité voit précisément à quoi contribuent ses activités et sera conscient de ses responsa-bilités, rôles et tâches à travers la politique de

l’unité, de la décliner au niveau de leur proces-

sus, jusqu’à l’atteinte de leurs objectifs.

Favoriser l’esprit d’équipe est mis en avant, une

responsabilisation de chacun qui n’est plus un

«pion» dans une équipe mais un contributeur

de processus. Chacun participe, du fait qu’il

comprend l’intérêt et le pourquoi du système

de management de la qualité.

Système de gestion documentaire :

L’information documentée est disponible, dis-

tribuée, accessible, utilisable, stockée et proté-

gée, en plus de la maîtrise des modifications, de

la conservation et de l’élimination de celles-ci.

Les principaux avantages d’un tel système,

sont comme suit :

• Formaliser par écrit les règles de fonction-

nement et les pratiques professionnelles ;

• Sauvegarder le savoirfaire ;

• Harmoniser les pratiques entre les différents

acteurs, réalisant entièrement ou partielle-

ment une même tâche ou activité ;

• Rendre l’information accessible et s’assurer

qu’elle est valide et d’actualité ;

• Former les nouveaux arrivants.

En laissant aux automatismes du système do-

cumentaire le soin de gérer le quotidien, le res-

ponsable se détachera au fur et à mesure des

activités opérationnelles, pour se consacrer au

management et à la créativité.

En outre, en diminuant les non qualités, on aug-

mentera la performance de l’entreprise.

ACTUALITÉ

Processus Management de l’unité

Processus Préparation et Maintenance des Installations

Processus Production

Processus Management du SMQ

Processus gestion desressourcesHumaines

ProcessusSystéme

d’informationSI

ProcessusMaintenance

Légère etlourde

ProcessusAchat et

Approvisionnement

ProcessusSureté

Interne SIE

ProcessusContrôle de

gestion

ProcessusHSE


Le système documentaire

mis en place dans l’unité est

structuré en 6 niveaux, l’ob-

jectif étant de satisfaire les

exigences de la norme d’une

part, et d’autre part de dispo-

ser d’un système documen-

taire répondant aux spécifici-

tés de ses processus, comme

suit :

Pyramide Documentaire des unités de production

Liste des documents obliga-

toires rédigés dans le cadre du

système qualité, sont comme

suit :

• Etendue du système de

management de la qualité ;

• Politique qualité ;

• Objectifs qualité ;

• Critères d’évaluation de la

performance des presta-

taires et fournisseurs.

• Registres d’étalonnage

des équipements de sur-

veillance et de mesure ;

• Planning des audits in-

ternes;

• Résultats des audits in-

ternes;

• Résultats de la revue de di-

rection ;

• Résultats des actions cor-

rectives.

De nombreux documents non

obligatoires pour la mise en

œuvre du système SMQ, ont

été rédigés, vu leur impor-

tance et utilisation, il s’agit

des procédures suivantes :

Manuel de gouvernance ;

• Procédure de contrôle des

équipements de surveil-

lance et de mesure ;

• Procédure de contrôle des

documents et des enregis-

trements ;

• Procédure de gestion des

magasins ;

• Procédure de gestion des

nonconformités et des ac-

tions correctives ;

• Procédure d’audit interne ;

• Procédure de revue de di-

rection.

L’amélioration interne :

Un des gains du système de

management de la qualité

est l’appropriation d’outils

d’amélioration, à travers par-

ticulièrement l’audit interne et

l’analyse des risques et oppor-

tunités. Un vivier d’auditeurs a

été constitué à cet effet.

D’autres part, le déploiement

de la démarche de manage-

ment des risques dans chaque

processus de l’unité, a permis

de hiérarchiser ses risques cri-

tiques internes et externse et

également d’identifier des op-

portunités à exploiter.

Chaque processus, via sa

structure de pilotage, doit dé-

terminer les résultats attendus

des activités de ses ressources,

puis identifier les risques qui

peuvent nuire à l’atteinte des-

dits résultats.

Ces outils ont permis de détec-

ter les dysfonctionnements et

de proposer les pistes d’amé-

lioration nécessaires pour les

résoudre, en concertation avec

toutes les parties concernées.

ACTUALITÉ

Documents externe ( Norme, Réglementation, Préconisation , Fournisseur )

Enregistrements

Modes opératoirese etinstructions de travail

Procedures etsystèmes

Processus

Manuel


Mise en œuvre du système de gestion patrimoine foncier et immobilier de SPE

Le Système de Gestion du Patrimoine Fon-cier et Immobilier, est un système qui per-met au service Gestion du Patrimoine un meilleur suivi des biens de la société d’une manière simple.

Ce système prend en charge la Gestion des biens fonciers et immobiliers, tel que le transfert de propriété, les litiges et conten-tieux, la régularisation des actes, mais aussi la Gestion du parc logement, des contrats de location, ainsi que la Gestion des projets et concessions.

Le projet a été confié à la société ELIT (El Djazair Information Technology) Filiale du Groupe Sonelgaz, pour le développement, l’hébergement et l’administration informa-tique de la solution GPFI (Gestion du Pa-trimoine foncier et Industriel) au niveau du DATA CENTER d’ELIT. Il est en exploitation depuis le 30/05/2018.

Objectifs : Avoir une connaissance du patri-

moine de SPE ;

Avoir une base de données uni-formisée pour toutes les struc-tures de SPE ;

Avoir une meilleure visibilité des biens de l’entreprise ;

Améliorer le suivi des opérations de transfert de propriété, des lo-gements occupés et vacants ;

Améliorer le suivi des biens sans acte de propriété et sans déci-sion de subrogation :

Améliorer le suivi des opérations de location et des biens en li-tiges.

ACTUALITÉ

Par M. DJARFER KHOUDJA Khaled Ingénieur d’Etudes DSS


Mise en œuvre du système de gestion patrimoine foncier et immobilier de SPE

Le Système de Gestion du Patrimoine Fon-cier et Immobilier, est un système qui per-met au service Gestion du Patrimoine un meilleur suivi des biens de la société d’une manière simple.

Ce système prend en charge la Gestion des biens fonciers et immobiliers, tel que le transfert de propriété, les litiges et conten-tieux, la régularisation des actes, mais aussi la Gestion du parc logement, des contrats de location, ainsi que la Gestion des projets et concessions.

Le projet a été confié à la société ELIT (El Djazair Information Technology) Filiale du Groupe Sonelgaz, pour le développement, l’hébergement et l’administration informa-tique de la solution GPFI (Gestion du Pa-trimoine foncier et Industriel) au niveau du DATA CENTER d’ELIT. Il est en exploitation depuis le 30/05/2018.

Objectifs : Avoir une connaissance du patri-

moine de SPE ;

Avoir une base de données uni-formisée pour toutes les struc-tures de SPE ;

Avoir une meilleure visibilité des biens de l’entreprise ;

Améliorer le suivi des opérations de transfert de propriété, des lo-gements occupés et vacants ;

Améliorer le suivi des biens sans acte de propriété et sans déci-sion de subrogation :

Améliorer le suivi des opérations de location et des biens en li-tiges.

ACTUALITÉ

Par M. DJARFER KHOUDJA Khaled Ingénieur d’Etudes DSS


L’uniformisation du système GMAO

1. Qu’estce qu’une GMAOLa GMAO est un outil d’aide à la maintenance, très utilisé dans le monde industriel. Il est utilisé pour planifier des tâches de maintenance, gérer les fichiers de suivi machine, les modes opératoires, les fiches d’intervention, indiquer aux opérateurs les actions à effectuer et suivre l’historique des opérations.

La GMAO est un outil permet-tant de tracer, archiver, analy-ser et prendre des décisions dans le cadre des missions du service maintenance.

2. Etat des lieux de la GMAO au sein de SPELa Société SPE exploite la GMAOCoswin pour ses sites

de production depuis l’an-née 2001, avec le lancement de la 1ère application GMAO au niveau de l’unité de Cap Djinet, désignée à l’époque comme une unité pilote. A ce jour, 39 licences ont été géné-rées dans différentes versions de 5 à 8i.

Le tableau cidessous repré-sente un état des lieux de toutes les GAMO existante-sau niveau des centrales de production de SPE :

Pôle Coswin 5.23

Coswin 7i

Coswin 8i

PPC 00 03 15

PPO 05 01 02

PPE 03 05 05

S P E (global) 08 09 22

3. Centralisation de la GMAO Dans une autre optique stra-tégique, SPE s’est lancée dans une gestion de la maintenance centralisée regroupant toutes les unités existantes, y com-pris, les unités en construction (nouveaux projets).

Pour ce faire, un projet de Mise à Niveau, Centralisation et Maintenance du système GMAO –COSWIN a été lan-cé, en mars 2016 .

4. Objectifs de la centralisa-tion de la GMAO

• Avoir une seule version de la GMAO pour toutes les centrales,

• Minimiser le coût de la maintenance du système,

La Société Algérienne de production de l’Électricité, considérée comme le plus important producteur d’énergie électrique en Algérie, disposant du plus grand parc de production de l’électricité avec une compétence avérée dans les prestations d’exploitation et de mainte-nance des équipements industriels, en utilisant le système de la Gestion Maintenance assis-tée par Ordinateur (GMAO)

PROJETS

Par Mme EZZIANE NabilaIngénieur d’Etude DSS


• Disposer d’un magasin virtuel des pièces de re-change, dans le système

• Développer les tableaux de bord d’aide au diagnostic et à la prise de décision.

• Disposer d’un COKPIT de pilotage notamment la maitrise des coûts de la maintenance.

• Harmoniser la codifica-tion utilisée dans l’exploi-tation de la GMAO pour

toutes les unités (Equipe-ment, zone, fonction,….etc.).

• Standardiser les procé-dures de travail.

• Disposer d’une seule mise à jour en cas de mi-gration vers une nouvelle version du logiciel

• Faire une seule correc-tion en cas d’anomalies

5. Fonctionnalités d’une G M A OAfin de garantir une bonne gestion des biens de pro-duction de l’électricité en matière de maintenance, la GMAO couvre les domaines fonctionnels suivants : main-tenance, stock et achat.

Les fonctionnalités les plus courantes dans une GMAO sont les suivantes :

GMAO SPE

Administration Stock MaintenanceAchat

Gestion des utilisateurs Equipement

Rapports

Editeur des paramètres

Pro�ls et droits d’accès

Unité organisationnelle (Entité)

Achat ou prestation

Gestion des frais d’approche

Gestion des demandesd’achat ou prestation

Inventaire

Indicateurs de gestion

Numéro de série Ressource

Travaux

Préventive

Gestion des contrats (commande) Mouvements stock

6. Avancement des projetsLe projet de centralisation de COSWIN, est en phase de signature d’un contrat en gré à gré avec le concepteur, développeur et intégrateur des solutions Coswin SIVECO Group.

PROJETS


• Disposer d’un magasin virtuel des pièces de re-change, dans le système

• Développer les tableaux de bord d’aide au diagnostic et à la prise de décision.

• Disposer d’un COKPIT de pilotage notamment la maitrise des coûts de la maintenance.

• Harmoniser la codifica-tion utilisée dans l’exploi-tation de la GMAO pour

toutes les unités (Equipe-ment, zone, fonction,….etc.).

• Standardiser les procé-dures de travail.

• Disposer d’une seule mise à jour en cas de mi-gration vers une nouvelle version du logiciel

• Faire une seule correc-tion en cas d’anomalies

5. Fonctionnalités d’une G M A OAfin de garantir une bonne gestion des biens de pro-duction de l’électricité en matière de maintenance, la GMAO couvre les domaines fonctionnels suivants : main-tenance, stock et achat.

Les fonctionnalités les plus courantes dans une GMAO sont les suivantes :

GMAO SPE

Administration Stock MaintenanceAchat

Gestion des utilisateurs Equipement

Rapports

Editeur des paramètres

Pro�ls et droits d’accès

Unité organisationnelle (Entité)

Achat ou prestation

Gestion des frais d’approche

Gestion des demandesd’achat ou prestation

Inventaire

Indicateurs de gestion

Numéro de série Ressource

Travaux

Préventive

Gestion des contrats (commande) Mouvements stock

6. Avancement des projetsLe projet de centralisation de COSWIN, est en phase de signature d’un contrat en gré à gré avec le concepteur, développeur et intégrateur des solutions Coswin SIVECO Group.

PROJETS


La Société ELIT (Filiale du Groupe Sonelgaz, a pour mission le développement, l’hébergement et l’admi-nistration informatique de la nouvelle solution GMAO baptisée SYANA au niveau de son DATA CENTE, SPE quant à elle, prendra en charge l’élaboration de la

base de donnée l’harmoni-sation de la codification .

• SYANA est une solution de GMAO (Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur) permet-tant d’optimiser la ges-tion et le pilotage de la maintenance ainsi que la performance des équi-

pements ;

• La solution aidera à une meilleure maitrise des coûts de maintenance des différentes installa-tions en permettant une optimisation du volume des stocks des pièces d’usure et consommable s avec une meilleure dis-

Après l’évolution conséquente des liaisons télécom (FO, XDSL, 3G) et l’acquisition d’envi-ron 39 licences COSWIN générées dans différentes versions (5, 7i et 8i), SPE s’est lancée dans une autre optique stratégique de développer par moyen propre un nouvel outil créé par compétence Algérienne qui viendra se substituer à la solution actuellement en exploi-tation, en tenant compte bien sûr, du retour d’expérience ,des avantages et inconvenients constatés sur ce dernier, ce nouveau projet a créer et à développer conjointement entre des équipes de SPE ( maitre de l’ouvrage) et ELIT (maitre d’œuvre), a fait l’objet d’une feuille de route et des jalons ont été mis en place et pilotés par la Direction Stratégie et Système d’Information , le site LARBAA du Pôle de Production TVTG Ouest a été choisi comme site pilote.

PROJETS

Par Mme SIDI SAID HakimaChef Département DSS


ponibilité des pièces de sécurité

• L’édition des états et diffé-rants reporting et tableaux de bord va améliorer d’une manière significa-tive le flux nécessaire d’in-formation pour une meil-leure prise de décision.

Comme objectifs :

• Obéir à la stratégie du Groupe SONELGAZ en matière de développe-ment de SI ;

• Assurer une meilleure sé-curité des données.

• Gérer une seule plate-forme informatique à tra-vers l’uniformisation de l’outil GMAO au niveau de SPE et la fusion des bases de données existantes et futures dans une même

base ;

• Assurer une meilleure maintenance et dis-ponibilité de la plate-forme informatique au moindre coût ;

• Fournir une réelle aide à la décision pour les niveaux de synthèses (Unités, Pôles et Siège) à travers un reporting consolidé ;

• Eliminer la dépendance envers les fournisseurs étrangers et réduire les

couts et dépenses liés aux licences d’exploita-tion.

Comme Bénéfices es-comptés :

• Réduction des coûts d’acquisition et de maintenance des solu-tions GMAO ;

• Optimisation du parc informatique en rédui-sant considérablement le nombre de serveurs GMAO présents au ni-veau des sites de pro-duction via des accès distants.

• Optimisation des com-pétences à mettre en place et à former sur chaque site pour l’ad-ministration des plates-formes, en mettant en

place une administra-tion centralisée, notam-ment, pour les mises à jour et les sauvegardes, ce qui garanti égale-ment la sécurité des données.

• Fusion et centralisation des données dans une seule BDD, ce qui facili-

PROJETS


ponibilité des pièces de sécurité

• L’édition des états et diffé-rants reporting et tableaux de bord va améliorer d’une manière significa-tive le flux nécessaire d’in-formation pour une meil-leure prise de décision.

Comme objectifs :

• Obéir à la stratégie du Groupe SONELGAZ en matière de développe-ment de SI ;

• Assurer une meilleure sé-curité des données.

• Gérer une seule plate-forme informatique à tra-vers l’uniformisation de l’outil GMAO au niveau de SPE et la fusion des bases de données existantes et futures dans une même

base ;

• Assurer une meilleure maintenance et dis-ponibilité de la plate-forme informatique au moindre coût ;

• Fournir une réelle aide à la décision pour les niveaux de synthèses (Unités, Pôles et Siège) à travers un reporting consolidé ;

• Eliminer la dépendance envers les fournisseurs étrangers et réduire les

couts et dépenses liés aux licences d’exploita-tion.

Comme Bénéfices es-comptés :

• Réduction des coûts d’acquisition et de maintenance des solu-tions GMAO ;

• Optimisation du parc informatique en rédui-sant considérablement le nombre de serveurs GMAO présents au ni-veau des sites de pro-duction via des accès distants.

• Optimisation des com-pétences à mettre en place et à former sur chaque site pour l’ad-ministration des plates-formes, en mettant en

place une administra-tion centralisée, notam-ment, pour les mises à jour et les sauvegardes, ce qui garanti égale-ment la sécurité des données.

• Fusion et centralisation des données dans une seule BDD, ce qui facili-

PROJETS


Domaine MaintenanceGestion des travaux

Gestion de la maintenance préventive

Gestion des équipements

Gestion des ressources

Rapport et analyse

Gestion des demandes

Données de base

Domaine Stock

Mouvement

Données de base

Inventaire


Rapport et analyse

Domaine Achat

Contrat

Achat légère

Demande prix/Comparatif prix

Facture d’achat/frais

Livraison

Calcule coût d’achat


tera la recherche et l’accès aux

• Informations liées aux équipements et aux stocks.

• Ouverture de nouvelles perspectives quant aux actes de gestion groupés, notamment, pour les approvisionnements, gestion du fichier centrale, amortissement, le transfert, ….

• Implication directe des niveaux de syn-thèses (Unités, Pôles et Siège) à la gestion de la maintenance et les actions y afférentes à travers des accès directs à l’application SYANA

Comme Fonctionnalités :

La GMAO SYANA couvre les domaines fonctionnels suivants : Maintenance, Stock et Achat.

PROJETS

GMAOSYANA

GDE NOVADemande / Contratd’achat / facture d’achat

Doc technique

Intervenants

Dépense

GED

HISSABDéponse

Le Système GMAO SYANA sera en inte-raction avec les systèmes (Hissab, Nova, GED et GDE).


PROJETS

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PROJETS

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A cet effet, SPE a consenti un investissement consis-tant avec la construction d’une nouvelle base de vie afin d’offrir au personnel travaillant au régime de ré-cupération, un cadre de vie agréable doté des com-modités nécessaires lui as-surant un bon séjour : des chambres bien équipées, un restaurant, salle de lec-ture, stade et salle de sport ainsi qu’une salle de prière.

La nouvelle base vie est im-plantée à proximité de la centrale de Tilghemt, sur un site comportant déjà la base de vie hébergeant le personnel de l’unité.

Le projet est conçu de telle manière à ce qu’il réponde aux deux besoins d’hé-

bergement et de forma-tion, d’une façon à ce qu’il s’adapte au terrain qui lui est réservé tout en préser-vant un accès indépendant de la base de vie par rapport à l’installation technique de la centrale.

La conception de ce projet est faite de sorte qu’elle s’intègre au mieux à l’aspect physique et architectural de la région.

Le projet a démarré en fin de l’année de 2013, ache-vé au 1er semestre 2018 et inauguré par Monsieur le Président Directeur Général de Sonelgaz lors de sa visite à la wilaya de Laghouat à la même année.

Fiche Technique

Amélioration des conditions de travail (réception de la base de vie de Hassi R’Mel)

VIE D’ENTREPRISE

L’unité de Hassi R’mel, étant devenue un Pôle énergétique important, elle a été dotée d’une nouvelle infrastructure d’accueil en adéquation avec le rôle de ce nouveau Pôle.

Par Mme BENFELLAH KarimaChef Service Patrimoine

Superficie du projet :22326 m2

Maitre d’ouvrage : SPE. SpaCapacité : 144 Studios et 4 Studios VIP

Commodités et aménage-ment nécessaires : Salle de sport, salle de lecture, Salle de prière, terrain de foot et VRD.

Coût total d’investissement :405 MDA


Ressources Humaines

Le Plan de développement

En effet, le plan de dévelop-pement des moyens de pro-duction 2022 – 2030 prévoit la réalisation d’une puissance développable qui passe de 22 657 MW en 2022 à 31 346 MW en 2030. Cette croissance confère au système électrique national une taille lui permet-tant de créer un marché de fabrication d’équipements, basée sur la valorisation des ressources locales, parmi eux :

1. Le complexe industriel, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des orienta-tions des pouvoirs publics (CPE) confié à Sonelgaz, a réalisé en partenariat avec l’américain General Electric (GE) (General Electric Alge-rian Turbines) pour la fabri-cation en Algérie (usine de turbines à gaz de Batna) d’équipements de puis-sance.

- %51% pour le groupe SO-NELGAZ

- 49% pour Général Electric Industrial

Objectif : L’accompagnement du plan

de développement de la production d’électricité.

La création d’une activité industrielle structurante per-mettant de développer un

SPE 2022

Les ambitions de SPE ne s’arrêtent pas à la production d’électricité seulement mais englobent également la recherche de partenariats utiles qui servent l’intérêt de l’entreprise et qui l’aident à se libérer de la dépendance des fournisseurs et des équipements étrangers.


Par Mme Boughrara SaidaIngénieur d’Etude Service Patrimoine

-2030


Ressources Humaines

Le Plan de développement

En effet, le plan de dévelop-pement des moyens de pro-duction 2022 – 2030 prévoit la réalisation d’une puissance développable qui passe de 22 657 MW en 2022 à 31 346 MW en 2030. Cette croissance confère au système électrique national une taille lui permet-tant de créer un marché de fabrication d’équipements, basée sur la valorisation des ressources locales, parmi eux :

1. Le complexe industriel, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des orienta-tions des pouvoirs publics (CPE) confié à Sonelgaz, a réalisé en partenariat avec l’américain General Electric (GE) (General Electric Alge-rian Turbines) pour la fabri-cation en Algérie (usine de turbines à gaz de Batna) d’équipements de puis-sance.

- %51% pour le groupe SO-NELGAZ

- 49% pour Général Electric Industrial

Objectif : L’accompagnement du plan

de développement de la production d’électricité.

La création d’une activité industrielle structurante per-mettant de développer un

SPE 2022

Les ambitions de SPE ne s’arrêtent pas à la production d’électricité seulement mais englobent également la recherche de partenariats utiles qui servent l’intérêt de l’entreprise et qui l’aident à se libérer de la dépendance des fournisseurs et des équipements étrangers.


Par Mme Boughrara SaidaIngénieur d’Etude Service Patrimoine

-2030


Ressources Humaines

tissu industriel national.

La réduction des facteurs de dépendance à travers la maitrise de la technologie et le transfert du savoirfaire.

La création d’emploi et la maitrise des coûts.

2. Création d’une société mixte entre Sonelgaz et les partenaires Sud coréens (Hyundai Daewoo) EPC.

- 51% pour le groupe SO-N E L G A Z

- 49% pour les partenaires Coréens

Objectif : - Assurer l’engineering de

détail.

- Procurement.

- La construction.

- Les essais.

- La mise en service de cen-trales de production d’élec-tricité.

Le fait de fabriquer locale-ment ces équipements, c’est aussi aller à la création de tis-sus industriels, d’aguerrir nos compétences, de créer des emplois et de la richesse et de maitriser la maintenance de nos outils de production.

Pour gérer à bien un tel pro-gramme, l’entreprise dispose

des compétences nécessaires et développe aussi une poli-tique performante de forma-tion des ressources humaines.

Il est important de rappe-ler que la planification de ce programme est établie selon une estimation de l’évolution de la demande d’électricité à long terme donné par la CREG.

Ce programme présente un intérêt important pour la cou-verture totale de la demande énergétique, de disponibilité d’une réserve de 20%.



On enregistre :1.Une amélioration considérable de la

consommation spécifique, résultat de l’apport projeté des nouveaux cycles combinés, qui passe de 2.30 Th/kWh en 2022 à 2.03 Th/kWh en 2030 comme indi-qué sur la Figure 1 et dans le tableau n°1, cidessous.

2.Avec l’introduction des cycles combinés, la capacité de production additionnelle sera constituée de 60 à 78% en cycle

combiné et 40 à 22% en turbines à gaz, comme indiqué sur la Figure 2 et dans le tableau n°2, cidessous.

3. En ce qui concerne la disponibilité, une amélioration progressive jusqu’à at-teindre 90%.

4.Protection de l’environnement en termes de réduction des émissions (NOx, CO2,…..) par le rajeunissement du parc.

Tableau N° 1 Calcul de la consommation spécifique sur la période 2030 – 2022

Figure N° 2Capacité de production en TG et CC

Figure N° 1Consommation Spécifique (Th/kWh

Tableau N° 2Part en pourcentage (%) des TG et CC sur la période 2030 – 2022


On enregistre :

1. Une amélioration considérable de la consommation spécifique, résultat de l’apport projeté des nouveaux cycles combinés, qui passe de 2.30 Th/kWh en 2022 à 2.03 Th/kWh en 2030 comme indiqué sur la Figure 1 et dans le tableau n°2, ci-dessous.

2. Avec l’introduction des cycles combi-nés, la capacité de production addition-nelle sera constituée de 60 à 78% en cycle combiné et 40 à 22% en turbines à gaz, comme indiqué sur la Figure 2 et dans le tableau n°3, ci-dessous.


4. Protection de l’environnement en termes de réduction des émissions (NOx, CO2,…..) par le rajeunissement du parc.

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Tableaun°2 : Calcul de la consommation spécifique sur la période 2022 – 2030

Tableaun°3 : Part en pourcentage (%) des TG et CC sur la période 2022 – 2030

Figure 2 : Capacité de production en TG et CC.

Figure 1 : Consommation spécifique

On enregistre :





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On enregistre :1.Une amélioration considérable de la

consommation spécifique, résultat de l’apport projeté des nouveaux cycles combinés, qui passe de 2.30 Th/kWh en 2022 à 2.03 Th/kWh en 2030 comme indi-qué sur la Figure 1 et dans le tableau n°1, cidessous.

2.Avec l’introduction des cycles combinés, la capacité de production additionnelle sera constituée de 60 à 78% en cycle

combiné et 40 à 22% en turbines à gaz, comme indiqué sur la Figure 2 et dans le tableau n°2, cidessous.


4.Protection de l’environnement en termes de réduction des émissions (NOx, CO2,…..) par le rajeunissement du parc.

Tableau N° 1 Calcul de la consommation spécifique sur la période 2030 – 2022

Figure N° 2Capacité de production en TG et CC

Figure N° 1Consommation Spécifique (Th/kWh

Tableau N° 2Part en pourcentage (%) des TG et CC sur la période 2030 – 2022


On enregistre :





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On enregistre :





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Il est incontestablement reconnu qu’une ex-position à l’amiante est susceptible d’induire des problèmes de santé vu la nocivité et la dangerosité de ce produit. SPE a décidé de retirer l’amiante des installations et équipe-ments de la Centrale de Jijel dans un premier temps et de l’éliminer dans un second temps, et ce en conformité avec le Décret exécutif N°9995 du 14/04/1999 relatif à la prévention des risques liés à l’amiante et aux exigences de la loi N°0119 du 12 décembre 2001 rela-tive à la gestion , au contrôle et à l’élimina-tion des déchets.

Etat des lieuxLes opérations de désamiantage et de subs-titution par la laine de roche ont débuté en 2003 sur la première tranche, en 2006 sur la deuxième tranche et en 2007 sur la troisième tranche, par l’Entreprise nationale SOMIK de SKIKDA.

Les déchets d’amiante issus de l’opération de désamiantage ont été stockés après confine-ment dans de grands sacs (big bag) étique-tés avec la mention « Danger Amiante » et stockés au niveau de deux hangars situés sur un terrain mitoyen de la centrale électrique.

Opération de collecte, transport et élimi-nation des déchets d’amianteEn vue d’éliminer la quantité de déchets d’amiante stockée au niveau du site, un Contrat a été concrétisé entre l’unité de Jijel et une en-treprise italienne, spécialisée dans le domaine du traitement des déchets d’amiante, portant sur quatre phases, à savoir :

• La collecte

• Le conditionnement

• Le transport

• L’élimination.

I. Phase de collecte et conditionnement des déchets d’amiante :Cette phase a trait à la collecte des déchets d’amiante entreposés dans les deux hangars et son conditionnement dans des Big Bag au sein d’une zone confinée statique.

Cette opération a été réalisée par un person-nel spécialisé dans le domaine du traitement des déchets d’amiante.

Au total, une importante quantité de dé-chets d’amiante a été collectée et condition-née dans des big bag (Grands sachets) avec un étiquetage réglementé et stockés dans des zones avec signalisation de présence d’amiante.

ETAT D’AVANCEMENT DE L’OPERATION DE COLLECTE, TRANSPORT ET ELIMINATION DES

DECHETS D’AMIANTE DE LA CENTRALE DE JIJEL

DOSSIER

La Centrale Electrique de Jijel, construite en 1992 par le constructeur Russe TechnoPromExport (TPE), comporte trois tranches de turbines à vapeur dont l’amiante a été utilisée sur les équipements et les installations de ces dernières, compte tenu de ses caractéristiques d’incombustibilité, de résistance aux très hautes températures et substances chimiques agressives, d’imputrescibilité, et d’isolation (électrique, mécanique et acoustique, etc …).

Par M. AITSAHED YacineAssistant HSE


L’opération de collecte et de conditionne-ment, représente un taux de réalisation de 60% de l’opération totale (collecte, de trans-port et d’élimination des déchets d’amiante), en vertu du Contrat liant l’unité de Jijel et son Prestataire.

II. Phase de décontamination du sol et des surfaces potentiellement en contact avec les déchets d’amiante L’opération de décontamination, consiste à éliminer toute trace d’amiante en profondeur

au niveau du sol suite à la présence de tresses, de serpentins et d’autres amiantés mélangés à de la terre.

Pour ce faire, un raclage du sol d’une profon-deur de 10 cm des zones infectées et conte-nant des matières amiantées a été effectué.

Ces mélanges (terre /matières) extraits fe-ront l’objet d’un traitement comme déchets amiantés et seront mises dans des bigbag.

III. Phase d’évaluation du taux de concentration des fib es d’amiante dans l’air :

Pour s’assurer que le site, après collecte et conditionnement des déchets d’amiante ne présente aucun danger pour les travailleurs, des échantillons d’air ont été relevés afin de déterminer le taux de concentration de fibres d’amiante dans un volume d’air.

Ces échantillons ont été envoyés dans un la-boratoire d’analyse en Italie. Les résultats de ces derniers ont révélé un taux dont résultats du bulletin d’analyse ci après.

Etiquette réglementée « Danger Amiante »

DOSSIER


L’opération de collecte et de conditionne-ment, représente un taux de réalisation de 60% de l’opération totale (collecte, de trans-port et d’élimination des déchets d’amiante), en vertu du Contrat liant l’unité de Jijel et son Prestataire.

II. Phase de décontamination du sol et des surfaces potentiellement en contact avec les déchets d’amiante L’opération de décontamination, consiste à éliminer toute trace d’amiante en profondeur

au niveau du sol suite à la présence de tresses, de serpentins et d’autres amiantés mélangés à de la terre.

Pour ce faire, un raclage du sol d’une profon-deur de 10 cm des zones infectées et conte-nant des matières amiantées a été effectué.

Ces mélanges (terre /matières) extraits fe-ront l’objet d’un traitement comme déchets amiantés et seront mises dans des bigbag.

III. Phase d’évaluation du taux de concentration des fib es d’amiante dans l’air :

Pour s’assurer que le site, après collecte et conditionnement des déchets d’amiante ne présente aucun danger pour les travailleurs, des échantillons d’air ont été relevés afin de déterminer le taux de concentration de fibres d’amiante dans un volume d’air.

Ces échantillons ont été envoyés dans un la-boratoire d’analyse en Italie. Les résultats de ces derniers ont révélé un taux dont résultats du bulletin d’analyse ci après.

Etiquette réglementée « Danger Amiante »

DOSSIER


Le bulletin d’analyse révèle un taux de concentration dans un volume d’air de 0,50 fibres par litre, valeur dans les normes confor-mément au seuil préconisé par l’Arrêté in-terministériel du 1er octobre 2003 relatif à la protection des travailleurs contre les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante, fixé à 0,1 fibre par centimètre cube sur une heure de travail (100 fibres/litre).

IV. Phase de transport et élimination de déchets d’amiante :Avant le transport des déchets amiantés, ces derniers doivent être classés avec un code « déchet spécial dangereux « conformément aux Décret exécutif n° 05315 du 10 sep-tembre 2005 fixant les modalités de déclara-tion des déchets spéciaux dangereux et au Décret exécutif n° 06104 du 28 février 2006

fixant la nomenclature des déchets spéciaux, y compris les déchets spéciaux dangereux.

En vertu des dispositions réglementaires édictées par le Décret exécutif n° 04409 du 14 décembre 2004 , fixant les modalités de transport des déchets spéciaux dangereux ainsique les Arrêtés Interministériels, fixant les modalités d’octroi de l’autorisation de transport de déchets spéciaux dangereux, le contenu du dossier de demande d’auto-risation et ses caractéristiques techniques, le prestataire de service SFA a procédé au dépôt du dossier d’autorisation d’exporta-tion et de transport des déchets d’amiante du site de production de Jijel au niveau du Ministère de l’environnement, en date du 28/10/2018

Dès que ce dernier obtient les autorisations nécessaires par les autorités algériennes (ministère de l’environnement après avis du ministère de transport), il sera procédé au transport et élimination des déchets amian-tés dans le centre de traitement final retenu et confirmé par le prestataire, selon le proto-cole suivant :

Transport routier effectué par camion conformément à la réglementation en vi-gueur, de la centrale thermique de JIJEL jusqu’au Port de DJENDJEN (JIJEL),

Transport maritime par bateau assuré du Port de DJENDJEN / (JIJEL) au centre d’en-fouissement à SOGARISA en Espagne.

DOSSIER


Inauguration de la Centrale de Boufarik II (3 x 235 MW)

par Monsieur le Ministre de l’Energie

Le Ministre de l’Energie, ac-compagné du Wali de la Wi-laya de Blida, a inauguré la Centrale Electrique de Bou-farik II, située à 4 km du che-flieu de la Daïra de Boufarik et s’étendant sur une super-ficie de 15 Ha, composée de trois (03) turbines à gaz tota-lisant une puissance globale de 704,129 MW, réalisée dans le cadre du programme de 2014.

A cette occasion, une pré-sentation de la Centrale a été faite, relatant les dates clefs du projet de réalisation, les coûts enregistrés ainsi que l’organisation et les données techniques.Lors de cette visite, Monsieur le Ministre a mis en exergue les avantages liés à cette ins-tallation énergétique, laquelle figurant parmi les grands in-vestissements consentis par

l’Etat, que ce soit pour l’amé-lioration du cadre de vie du citoyen en général et les sec-teurs industriel et agricole de la région, en particulier.Cette Centrale, contribue au renforcement du sys-tème électrique national, no-tamment dans la région du Centre,elle est également re-liée au Centre Monitoring de SPE, et emploie 141 Agents.

En date du 10 juin 2018, le Ministre de l’Energie M. Mustapha Guitouni, a effectué une visite de travail dans la Wilaya de Blida où il a procédé à l’inauguration de la nouvelle Centrale Turbine à Gaz de Boufarik II.

Evènements

Par Mlle. ZELMAT Rokia



Inauguration de la Centrale de Boufarik II (3 x 235 MW)

par Monsieur le Ministre de l’Energie

Le Ministre de l’Energie, ac-compagné du Wali de la Wi-laya de Blida, a inauguré la Centrale Electrique de Bou-farik II, située à 4 km du che-flieu de la Daïra de Boufarik et s’étendant sur une super-ficie de 15 Ha, composée de trois (03) turbines à gaz tota-lisant une puissance globale de 704,129 MW, réalisée dans le cadre du programme de 2014.

A cette occasion, une pré-sentation de la Centrale a été faite, relatant les dates clefs du projet de réalisation, les coûts enregistrés ainsi que l’organisation et les données techniques.Lors de cette visite, Monsieur le Ministre a mis en exergue les avantages liés à cette ins-tallation énergétique, laquelle figurant parmi les grands in-vestissements consentis par

l’Etat, que ce soit pour l’amé-lioration du cadre de vie du citoyen en général et les sec-teurs industriel et agricole de la région, en particulier.Cette Centrale, contribue au renforcement du sys-tème électrique national, no-tamment dans la région du Centre,elle est également re-liée au Centre Monitoring de SPE, et emploie 141 Agents.

En date du 10 juin 2018, le Ministre de l’Energie M. Mustapha Guitouni, a effectué une visite de travail dans la Wilaya de Blida où il a procédé à l’inauguration de la nouvelle Centrale Turbine à Gaz de Boufarik II.

Evènements




Visite de Monsieur le Ministrede l’Energie à la Centrale TG de Relizane

Accompagné de Madame la Wali, Nacéra BRAHMI et d’une importante délégation composée de responsables du secteur, M. Mustapha Gui-touni s’est rendu dans trois (03) communes de la Wilaya, afin de s’enquérir de l’état d’avan-cement des projets d’alimen-tation en électricité et en Gaz.La tournée de la Wilaya a été entamée par la visite de le Centrale Electrique Turbine à Gaz (TG) d’une puissance to-tale de 465 MW (3 x 155 MW), située dans la commune de Belahcel Bouzegza, à environ de 4 Kms au nord de la ville de Relizane, d’une superficie de 12 hectares.

Une fiche technique de la cen-trale a été présentée à l’en-semble du staff et des expli-cations sur le fonctionnement de cette dernière ont été four-nies, notamment la prédispo-sition de cette centrale pour l’augmentation de puissance d’énergie par le rajout d’une 4ème Turbine à Gaz qui per-met éventuellement d’avoir un cycle combiné.Le type de TG installé actuel-lement en cycle simple per-met la reconversion en cycle combiné par installation d’une TV raccordée avec deux TG, dans le but d’avoir un gain en puissance d’ordre de 30%. Ce gain est obtenu sans aucune

consommation supplémen-taire de gaz.Pour rappel, la Centrale de RELIZANE s’inscrit dans le cadre d’un plan d’urgence ini-tié par SONELGAZ en Juillet 2006 pour l’implantation de nouveaux moyens de produc-tion d’électricité d’une capaci-té totale de 2000 MW environ. La Centrale de RELIZANE est destinée à répondre aux im-pératifs suivants :• Faire face à la demande

grandissante et urgente en énergie électrique du pays,

• Assurer la fiabilité et la continuité de la qualité de service.

Mustapha Guitouni, Ministre de l’Energie a effectué en date du 02 Aout 2018 une visite d’inspection et de travail à Relizane afin de s’enquérir sur les projets issus de son secteur

Evènements





Comme le veut la tradition,

la cérémonie de remise des

médailles de travail dans

son édition 2018, s’est dé-

roulée à la salle de confé-

rence du Gué de Constan-

tine en date du 10 juillet

2018, en présence de Mon-

sieur Sabri LEZHARI Pré-

sident Directeur Général de

SPE, le Secrétaire Générale

du Syndicat de l’Entreprise

Monsieur Ahmed DJAKA-

NI, les Directeurs Généraux

des Pôles de Production, les

Directeurs Centraux de la

Société, ainsi que de nom-

breux invités.

Durant cet évènement, une

dizaines d’agents ont reçus

leurs médailles de travail

et de mérite en reconnais-

sance à leur engagement

professionnel.

La médaille de bronze pour

quinze (15) années de ser-

vice,

a été attribuée à cinq

(05) d’entre eux, trois (03)

agents ont reçu la médaille

d’argent pour vingt (20)

ans d’activité, un (01) agent

pour une médaille d’or pour

vingtcinq (25) ans de service

et enfin un diplôme d’hon-

neur attribué pour trente-

deux (32) ans de loyaux ser-

vices.

Lors de cette cérémonie, le

Président Directeur Géné-

ral a adressé à l’honorable

assistance un message de



Evènements



Comme le veut la tradition,

la cérémonie de remise des

médailles de travail dans

son édition 2018, s’est dé-

roulée à la salle de confé-

rence du Gué de Constan-

tine en date du 10 juillet

2018, en présence de Mon-



SPE, le Secrétaire Générale

du Syndicat de l’Entreprise

Monsieur Ahmed DJAKA-

NI, les Directeurs Généraux

des Pôles de Production, les

Directeurs Centraux de la

Société, ainsi que de nom-

breux invités.

Durant cet évènement, une

dizaines d’agents ont reçus

leurs médailles de travail

et de mérite en reconnais-

sance à leur engagement

professionnel.

La médaille de bronze pour

quinze (15) années de ser-

vice,

a été attribuée à cinq

(05) d’entre eux, trois (03)

agents ont reçu la médaille

d’argent pour vingt (20)

ans d’activité, un (01) agent

pour une médaille d’or pour

vingtcinq (25) ans de service

et enfin un diplôme d’hon-

neur attribué pour trente-

deux (32) ans de loyaux ser-

vices.

Lors de cette cérémonie, le

Président Directeur Géné-

ral a adressé à l’honorable

assistance un message de



Evènements


remerciement, tout en féli-

citant ceux qui ont mis leur

connaissance au service de la

société durant quinze, vingt,

voir même trente années et

plus de labeur, qui par leur

partage d’expérience et leur

fidélité à l’entreprise, ont

apporté de la valeur à cette

dernière.

Le Président Directeur Géné-

ral de SPE, a saisi l’occasion

pour rendre un hommage

commémoratif aux treize (13)

employés, qui ont perdu la

vie dans l’exercice de leurs

fonctions en discernant des

tableaux d’honneur à leurs

familles conviées à la céré-

monie.

« Nous avons tenu à rendre

hommage aux défunts tra-

vailleurs » a déclaré Mon-



SPE, afin de ne pas jeter aux

oubliettes ceux qui ne sont

plus de ce monde, une ac-

tion qui s’inspire des tradi-

tions de notre entreprise et

de sa culture ancestrale.


Espace Travailleurs


Espace Travailleurs


Les lubrifiants utilisés ou stockés subis-sent une dégradation avec le temps, cette dégradation est plus ou moins impor-tante selon la nature de l’huile, minérale ou synthétique.

Les huiles minérales exposées aux varia-tions importantes de température se dé-gradent d’une façon rapide provoquant ainsi l’apparition d’un dépôt que les in-dustriels nomment : vernis.

En 2012, le phénomène de vernis a fait son apparition sur les turbines à GAZ type frame 6 de la centrale d’Alger port, ce phénomène a causé de nombreuses indisponibilités ma-chines dû essentielle-ment au blocage des tiroirs des vannes de commande GAZ.

Qu’es ce que la dégradation de l’huile ?La dégradation de l’huile est liée à plu-sieurs facteurs, entraînant l’apparition de résidus, d’eau et aussi de vernis.

Dans notre cas, nous avons cerné les fac-teurs qui sont directement liés a l’apparition du vernis.

1. L’oxydation (oxygène) L’oxydation représente la rupture du film d’huile avec l’oxygène, ce procédé implique une série de réactions formant des compo-sés acides et polymérisés. L’oxydation donne naissance à des pro-duits insolubles (boue) pouvant précipi-ter sous forme d’un film mince et créer des dépôts de laques ou de vernis sur des surfaces métalliques chaudes ou froides.

2. L’hydrolyse (eau) Ceci représente la rupture du film d’huile

avec l’eau comme réactif. Comme pour l’oxydation, l’hydrolyse peut donner

Actions entreprises pour palier au problème

naissance à des composés acides et à du vernis.

3. La dégradation thermique (haute tem-pérature) Cela représente la dégradation du film d’huile par la chaleur, donnant naissance à des composés insolubles qui peuvent for-mer le vernis.

En résumé les éléments à l’origine du vernis sont :

Conséquences du vernis sur les or-ganes de commande• L’huile contaminée, dépose une couche

de vernis sur les parois des composants de l’organe de commande, plus particu-lièrement les tiroirs (fig.1).

Le vernis et ses répercussions sur les organes de commande

Procédé Oxydation HydrolyseDégradation thermique

Réactif Oxygène Eau Chaleur

Procédé catalysé par :

Température / Eau

Oxygène / Température

Eau / Oxygène

Métaux de transition (Particules d’usure, Cu, Fe, Al)

Contaminants (contamination en général, produits d’oxydation) Pression

Espace TravailleursEspace Travailleurs

Par M. ADNI Mahdi

Responsable du Centre Monitoring




• Au repos et notamment lorsque les Groupes sont à l’arrêt, les ti-roirs collent aux parois et deviennent difficile à faire bouger par les électrovannes.

• Ce blocage est assimilé à un dure méca-nique qui aura tendance à faire augmenter le courant dans les bobines de commande jusqu’à la détérioration de ces dernières.

Etant donné que le vernis affectait plus particulièrement les tiroirs des vannes de commande GAZ, et vu que le phénomène était méconnu par nos techniciens, nous avons eu recours a plusieurs méthodes afin d’éliminer le vernis des vannes de commandes.

Etape N°1 : 2012 à 2014• de 2012 à 2014, pensant que le phéno-

mène était ponctuel, nous avons adopté une maintenance curative sur les filtres des vannes de commande, ces filtres étaient retirés et nettoyés à l’acétone (fig.2 et 3).

• l’expérience a démontré que le curative n’était pas une solution, étant donné que le vernis se formait progressivement et que ce dernier avait le temps de passer à travers le filtre et bloquer les tiroirs de

commande,

• nous avons donc étudié le fonctionne-ment des vannes et leurs réponses,

• nous avons mis en place un entretient systématique qui consistait à vérifier la réponse de la vanne,

• dès qu’une dérive était repérée, nous procédions à l’entretient globale de la vanne et pas uniquement des filtres.

Etape N°3 : • la mise en place d’un éliminateur de ver-

nis, permettait un entretient de l’huile même avec le Groupe en service, cela avait pour objectif d’extraire le vernis en suspension dans l’huile.

• L’élimination du vernis en suspension avait pour effet de faire migrer le vernis en dépôts vers l’huile qui était à son tour éliminé par l’appareil

ConclusionLe vernis est un phénomène incontournable lié à la dégradation de l’huile, de ce fait un contrôle rigoureux des paramètres de l’huile sont nécessaires, ce contrôle ne doit pas se limiter à la présence d’eau

ou des particules en suspension, il doit s’élargir à d’autres méthodes moins clas-siques telles que :

• Analyse utilisant des membranes à milli-pore ce qui permet de vérifier la présence de vernis.

• Analyse à base de spectroscopie.

• De plus et étant donné que le vernis af-fecte plus particulièrement les systèmes hydrauliques, il serait intéressent que les constructeurs de turbine mettent en place un réservoir spécial pour l’huile hy-draulique et éviter l’utilisation du même réservoir pour les deux huiles (graissage et hydraulique). L’objectif de cette sépa-ration est de ne pas contraindre l’huile destinée au système hydraulique à être exposée aux variations de température en passant par le circuit de graissage.

Fig.2

Fig.3

Espace Travailleurs


Elab

oré

par :

M. G

UEN

NIC

HE

Ham

zaIn

géni

eur D

SS

Elab

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par :

M. G

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Siemens, la Chine explore une collaboration dans les turbines à gaz

ABB marque l’acquisition de GE Industrial Solutions à NYSE

Les investissements mondiaux dans l’électricité battent les investissementsdans le pétrole et le gaz pour la deuxième année consécutive

Les Renouvelables diminues

Les véhicules électriques bénéficient du sou ien du gouvernement

Plus de combustibles fossiles, moins de nucléaires

AIE : L’investissement dans la production d’électricité a chuté en 2017 Des temps difficiles pour les turbines à ga

Gains de pétrole et de gaz

Avantages des centrales à cycle combiné à arbre unique (Single-Shaft)

Simple-arbre contre Multi-Shaft 1 x 1

2 x arbre simple contre 2 x 1 arbre multiple

Avantages du monde réel

Évaluer les options

Lubrification : optimisation des perfo mances des turbines à gaz actuelles

Choisir le bon lubrifian

Garder un œil sur la performance de l’huile

Meilleur programme de sa catégorie en action

Comment le jumelage Numérique changent l’industrie de l’énergie

Les transformateurs numériques

Steve Martin, chef du service numérique de GE Power

Susan Petersen Sturm

Patrick Kennedy est chef de la direction et fondateur d’OSIsoft

Martin Dunlea est responsable des secteurs mondiaux pour les services

publics chez Oracle

Ganesh Bell

Juliet Shavit est la fondatrice et présidente de SmartMark Communications,

Phil Beecher est président de Wi-SUN Alliance

Calendrier d’événements

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S O M M A I R E

Siemens, la Chine explore une collaboration dans les Turbines à Gaz


Siemens devient le partenaire potentiel de SPIC pour le développement de sa propre génération de turbines à gaz lourdes.

La photo montre un rotor de la turbine à gaz Siemens SGT5-4000F.

Siemens a annoncé qu’il collaborera avec le chinois State Power Investment Corp. pour l’aider à développer des turbines à gaz à haut rendement en Chine.

Siemens et le chinois State Power Investment Corp. (SPIC) ont conclu un mémorandum d’accord (MoU : a Memorandum of Understanding) pour confi mer l’intention d’une collaboration technologique dans le domaine des turbines à gaz à haut rendement.Joe Kaeser, président et PDG de Siemens AG, et Qian Zhimin, président du SPIC, ont signé le MoU à Berlin en présence de la chancelière fédérale allemande Angela Merkel et du Premier ministre chinois Le Keqiang lors de sa visite officielle en Allemagne.

Le protocole d’accord définit la portée et les principes de coopération entre les deux sociétés. Dans le cadre du mémorandum d’accord, Siemens a l’intention de soutenir le SPIC dans la recherche et le développement de turbines à gaz à usage industriel et de fournir une formation et une consultation technique à SPIC. Cette coopération s’appuie sur le leadership technologique de Siemens en soutien à l’objectif de la Chine de développer et de construire de son propre chef une turbine à gaz pour service intensif. La

signature permettra d’accélérer la finalisation d’un accord de coopération technologique dans un avenir proche, a déclaré Siemens.

«La coopération technologique avec SPIC est une autre étape importante dans la relation à long terme de Siemens avec la Chine», a déclaré M. Kaeser. «Alors que Siemens fournit une technologie de pointe en Chine, SPIC apportera sa vaste expérience sur le marché chinois. En tant que partenaires, nous pouvons réaliser de grandes choses pour le plus grand bien des relations sino-allemandes et fournir une énergie efficace et durable à la Chine et au monde. «

Le président du SPIC, Qian Zhimin, a déclaré que le SPIC développe et met en œuvre activement le programme China Heavy Duty Gas Turbine.«La collaboration avec Siemens et d’autres sociétés multinationales de turbines à gaz va accélérer les progrès du programme», a déclaré Zhimin. «Siemens et SPIC ont tous deux des atouts complémentaires dans le secteur de l’énergie, et auront plus d’espace pour coopérer dans d’autres domaines d’activité dans le futur.»

La Chine est l’un des marchés les plus importants au monde pour les grandes turbines à gaz et devrait intensifier ses investissements dans la technologie des grandes turbines à gaz.

Siemens a également signé un protocole d’accord avec Alibaba Cloud, la division cloud computing d’Alibaba Group, pour promouvoir l’Internet des objets industriel (IoT) en Chine. Les deux sociétés ont déclaré qu’elles tireraient parti de la technologie et des ressources de l’industrie pour construire une solution IoT unique pour soutenir l’industrie 4.0, la mise à niveau et la transformation de la fabrication en Chine et d’autres initiatives Internet industrielles.

«Le partenariat historique d’aujourd’hui marque une étape passionnante vers l’objectif d’Alibaba Cloud d’activer la transformation numérique à travers le monde. Nous sommes ravis de nous associer à Siemens et ensemble, nous espérons accélérer l’adoption de produits et de services IoT qui permettront des percées et des progrès à l’échelle de l’industrie », a déclaré Simon Hu, vice-président du groupe Alibaba et président d’Alibaba Cloud.


Siemens, la Chine explore une collaboration dans les Turbines à Gaz


Siemens devient le partenaire potentiel de SPIC pour le développement de sa propre génération de turbines à gaz lourdes.

La photo montre un rotor de la turbine à gaz Siemens SGT5-4000F.

Siemens a annoncé qu’il collaborera avec le chinois State Power Investment Corp. pour l’aider à développer des turbines à gaz à haut rendement en Chine.

Siemens et le chinois State Power Investment Corp. (SPIC) ont conclu un mémorandum d’accord (MoU : a Memorandum of Understanding) pour confi mer l’intention d’une collaboration technologique dans le domaine des turbines à gaz à haut rendement.Joe Kaeser, président et PDG de Siemens AG, et Qian Zhimin, président du SPIC, ont signé le MoU à Berlin en présence de la chancelière fédérale allemande Angela Merkel et du Premier ministre chinois Le Keqiang lors de sa visite officielle en Allemagne.

Le protocole d’accord définit la portée et les principes de coopération entre les deux sociétés. Dans le cadre du mémorandum d’accord, Siemens a l’intention de soutenir le SPIC dans la recherche et le développement de turbines à gaz à usage industriel et de fournir une formation et une consultation technique à SPIC. Cette coopération s’appuie sur le leadership technologique de Siemens en soutien à l’objectif de la Chine de développer et de construire de son propre chef une turbine à gaz pour service intensif. La

signature permettra d’accélérer la finalisation d’un accord de coopération technologique dans un avenir proche, a déclaré Siemens.

«La coopération technologique avec SPIC est une autre étape importante dans la relation à long terme de Siemens avec la Chine», a déclaré M. Kaeser. «Alors que Siemens fournit une technologie de pointe en Chine, SPIC apportera sa vaste expérience sur le marché chinois. En tant que partenaires, nous pouvons réaliser de grandes choses pour le plus grand bien des relations sino-allemandes et fournir une énergie efficace et durable à la Chine et au monde. «

Le président du SPIC, Qian Zhimin, a déclaré que le SPIC développe et met en œuvre activement le programme China Heavy Duty Gas Turbine.«La collaboration avec Siemens et d’autres sociétés multinationales de turbines à gaz va accélérer les progrès du programme», a déclaré Zhimin. «Siemens et SPIC ont tous deux des atouts complémentaires dans le secteur de l’énergie, et auront plus d’espace pour coopérer dans d’autres domaines d’activité dans le futur.»

La Chine est l’un des marchés les plus importants au monde pour les grandes turbines à gaz et devrait intensifier ses investissements dans la technologie des grandes turbines à gaz.

Siemens a également signé un protocole d’accord avec Alibaba Cloud, la division cloud computing d’Alibaba Group, pour promouvoir l’Internet des objets industriel (IoT) en Chine. Les deux sociétés ont déclaré qu’elles tireraient parti de la technologie et des ressources de l’industrie pour construire une solution IoT unique pour soutenir l’industrie 4.0, la mise à niveau et la transformation de la fabrication en Chine et d’autres initiatives Internet industrielles.

«Le partenariat historique d’aujourd’hui marque une étape passionnante vers l’objectif d’Alibaba Cloud d’activer la transformation numérique à travers le monde. Nous sommes ravis de nous associer à Siemens et ensemble, nous espérons accélérer l’adoption de produits et de services IoT qui permettront des percées et des progrès à l’échelle de l’industrie », a déclaré Simon Hu, vice-président du groupe Alibaba et président d’Alibaba Cloud.


Dans le cadre des offres numériques complètes de Siemens, MindSphere est le système d’exploitation IoT ouvert basé sur le cloud de Siemens qui offre une large gamme d’options de connectivité d’appareil et d’entreprise, des applications robustes, des analyses avancées et des innovations en boucle fermée. La mise en œuvre de MindSphere sur Alibaba Cloud offrira des services convaincants aux entreprises de Chine continentale pour innover avec des solutions industrielles avancées.

ABB marque l’acquisition de GE Industrial Solutions à NYSE

Pour célébrer la clôture ce mois-ci de l’acquisition de GE Industrial Solutions, le patron d’ABB, Ulrich Spiesshofer, a sonné vendredi la cloche de clôture à la Bourse de New York.

Il a été rejoint pour la cérémonie à la Bourse de New York par Greg Scheu, président d’AmB Americas, Tarak Mehta, président de la division Produits d’électrification d’ABB, et Stephanie Mains, directrice générale d’Electrification Products Industrial Solutions.

ABB a déclaré que l’acquisition de 2,6 milliards de dollars «offre un potentiel de création de valeur substantiel au sein d’ABB, notamment des opportunités de croissance tirées du couplage de l’offre numérique d’ABB « ABB Ability » avec la vaste base installée de GEIS».«Nous sommes très heureux d’accueillir GE Industrial Solutions chez ABB», a déclaré M. Spiesshofer. «La combinaison renforce la position d’ABB en tant que leader mondial de l’électrification et accélère notre croissance et notre compétitivité sur les marchés clés, en particulier en Amérique du Nord. En tant que l’une des entreprises originales de Thomas Edison, GEIS est le berceau de l’électrification - un héritage que nous allons préserver et développer, maintenant que GEIS fait partie d’ABB. «

GEIS sera intégré dans la division Electrification Products d’ABB, dirigée par Mehta, sous la forme d’une nouvelle unité commerciale appelée Electrification Products Industrial Solutions, gérée par Mains, qui était auparavant le président de l’activité GE Industrial Solutions.

Dans le cadre de la transaction, ABB a établi une relation d’approvisionnement stratégique à long terme avec GE afin de lui fournir des produits et des solutions issus de l’ensemble du portefeuille d’ABB.

Inclus dans l’acquisition un droit à long terme d’utiliser la marque GE.

«Les portefeuilles de produits de GE Industrial Solutions et d’ABB sont très complémentaires. Ensemble, nous disposerons d’un portefeuille combiné complet, ainsi que d’une empreinte mondiale élargie, d’une force de vente et d’un réseau de distribution », a déclaré Mehta.

«Nous nous engageons à entretenir la base installée de GEIS et nous serons désormais en mesure de fournir une offre technologiquement avancée et connectée numériquement à nos clients dans le monde entier. Ensemble, nous renforcerons la position de numéro deux d’ABB en matière d’électrification à l’échelle mondiale et élargirons notre accès au marché nord-américain attrayant.

Par Kelvin Ross

Les investissements mondiaux dans l’électricité battent les investis-sements dans le pétrole et le gaz pour la deuxième année consécu-tive

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a publié ses chiffres définitifs pour 2017 en matière d’investissements énergétiques et, pour la deuxième année consécutive, plus d’argent a été investi dans l’électricité que dans le pétrole et le gaz. Les dépenses d’électrification ont été motivées par des investissements dans le réseau. Plus de 750 milliards de dollars américains ont été consacrés au secteur de l’électricité, tandis que 715 milliards de dollars ont été dépensés pour l’approvisionnement en pétrole et en gaz dans le monde.

L’AIE a déclaré que les investissements mondiaux dans l’énergie totalisaient 1,8 billion de dollars américains en 2017.


Les Renouvelables diminuesCependant, les dépenses énergétiques globales ont diminué de 2% par rapport à l’année précédente et les investissements dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ont diminué de 3% par rapport à 2016 et les investissements dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables pourraient diminuer cette année.

Par exemple, les investissements dans les énergies renouvelables, qui représentaient les deux tiers des dépenses de production d’électricité, ont chuté de 7% en 2017. Les récents changements de politique en Chine liés au soutien au déploiement de l’énergie solaire augmentent le risque de ralentissement dans l’investissement cette année. Alors que la Chine représente plus de 40% des investissements mondiaux dans l’énergie solaire photovoltaïque, ses changements de politique ont des implications mondiales, a déclaré l’AIE.

Comme Renewable Energy World l’a signalé à maintes reprises, l’industrie des énergies renouvelables est largement guidée par la politique.

«Une telle baisse des investissements mondiaux pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique est préoccupante», a déclaré le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l’AIE.

«Cela pourrait menacer l’expansion de l’énergie propre nécessaire pour atteindre les objectifs en matière de sécurité énergétique, de climat et de qualité de l’air.Tandis que nous aurions besoin que cet investissement augmente rapidement, il est décevant de constater qu’il pourrait tomber cette année.»

Les véhicules électriques bénéficient du soutien du gouvernementMême si elles représentent encore une petite partie du marché, les véhicules électriques

(VE) représentent maintenant la majeure partie de la croissance des ventes mondiales de véhicules automobiles, stimulée par les incitatifs gouvernementaux à l’achat. Pour les voitures électriques, près du quart de la valeur globale des ventes de véhicules électriques en 2017 provient des budgets des gouvernements, qui allouent plus de capital pour soutenir le secteur chaque année.

Plus de combustibles fossiles, moins de nucléairesLa part des combustibles fossiles dans les investissements dans l’approvisionnement énergétique a augmenté l’année dernière pour la première fois depuis 2014, alors que les dépenses dans le pétrole et le gaz ont légèrement augmenté, a constaté l’AIE. Pendant ce temps, les mises hors service des centrales nucléaires ont dépassé les mises en chantier, les investissements dans ce secteur ayant atteint leur plus bas niveau en cinq ans en 2017.

La part des compagnies pétrolières nationales dans les investissements totaux en amont du pétrole et du gaz est restée près des niveaux records, une tendance qui devrait se maintenir en 2018.

Les projets de construction de centrales au charbon dans les années à venir ont diminué pour une deuxième année consécutive, atteignant le tiers de leur niveau de 2010. Cependant, malgré la baisse des ajouts de capacité mondiale et le niveau élevé de départs à la retraite des centrales existantes, la flotte mondiale de charbon a continué de croître en 2017, principalement en raison des marchés en Asie.

Et tandis qu’il y avait un changement vers des usines plus efficaces, 60 pour cent de la capacité d’exploitation actuelle utilise une technologie sous-critique inefficace, a déclaré l’AIE.

Le rapport constate que les perspectives de l’industrie américaine du schiste s’améliorent. Entre 2010 et 2014, les entreprises ont dépensé jusqu’à 1,80 $ US pour chaque dollar de revenu. Cependant, l’industrie a presque réduit de moitié son seuil de rentabilité, offrant une base plus durable pour l’expansion future. Ceci sous-tend une augmentation record de la production américaine de pétrole léger étanche de 1,3 million de barils par jour en 2018.

«L’industrie américaine du schiste est à un tournant après une longue période de fonctionnement sur une base financière fragile», a déclaré Birol.

«L’industrie semble sur la bonne voie pour réaliser des flux de trésorerie disponibles positifs pour la première fois cette année, se transformant en


Les Renouvelables diminuesCependant, les dépenses énergétiques globales ont diminué de 2% par rapport à l’année précédente et les investissements dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ont diminué de 3% par rapport à 2016 et les investissements dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables pourraient diminuer cette année.

Par exemple, les investissements dans les énergies renouvelables, qui représentaient les deux tiers des dépenses de production d’électricité, ont chuté de 7% en 2017. Les récents changements de politique en Chine liés au soutien au déploiement de l’énergie solaire augmentent le risque de ralentissement dans l’investissement cette année. Alors que la Chine représente plus de 40% des investissements mondiaux dans l’énergie solaire photovoltaïque, ses changements de politique ont des implications mondiales, a déclaré l’AIE.

Comme Renewable Energy World l’a signalé à maintes reprises, l’industrie des énergies renouvelables est largement guidée par la politique.

«Une telle baisse des investissements mondiaux pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique est préoccupante», a déclaré le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l’AIE.

«Cela pourrait menacer l’expansion de l’énergie propre nécessaire pour atteindre les objectifs en matière de sécurité énergétique, de climat et de qualité de l’air.Tandis que nous aurions besoin que cet investissement augmente rapidement, il est décevant de constater qu’il pourrait tomber cette année.»

Les véhicules électriques bénéficient du soutien du gouvernementMême si elles représentent encore une petite partie du marché, les véhicules électriques

(VE) représentent maintenant la majeure partie de la croissance des ventes mondiales de véhicules automobiles, stimulée par les incitatifs gouvernementaux à l’achat. Pour les voitures électriques, près du quart de la valeur globale des ventes de véhicules électriques en 2017 provient des budgets des gouvernements, qui allouent plus de capital pour soutenir le secteur chaque année.

Plus de combustibles fossiles, moins de nucléairesLa part des combustibles fossiles dans les investissements dans l’approvisionnement énergétique a augmenté l’année dernière pour la première fois depuis 2014, alors que les dépenses dans le pétrole et le gaz ont légèrement augmenté, a constaté l’AIE. Pendant ce temps, les mises hors service des centrales nucléaires ont dépassé les mises en chantier, les investissements dans ce secteur ayant atteint leur plus bas niveau en cinq ans en 2017.

La part des compagnies pétrolières nationales dans les investissements totaux en amont du pétrole et du gaz est restée près des niveaux records, une tendance qui devrait se maintenir en 2018.

Les projets de construction de centrales au charbon dans les années à venir ont diminué pour une deuxième année consécutive, atteignant le tiers de leur niveau de 2010. Cependant, malgré la baisse des ajouts de capacité mondiale et le niveau élevé de départs à la retraite des centrales existantes, la flotte mondiale de charbon a continué de croître en 2017, principalement en raison des marchés en Asie.

Et tandis qu’il y avait un changement vers des usines plus efficaces, 60 pour cent de la capacité d’exploitation actuelle utilise une technologie sous-critique inefficace, a déclaré l’AIE.

Le rapport constate que les perspectives de l’industrie américaine du schiste s’améliorent. Entre 2010 et 2014, les entreprises ont dépensé jusqu’à 1,80 $ US pour chaque dollar de revenu. Cependant, l’industrie a presque réduit de moitié son seuil de rentabilité, offrant une base plus durable pour l’expansion future. Ceci sous-tend une augmentation record de la production américaine de pétrole léger étanche de 1,3 million de barils par jour en 2018.

«L’industrie américaine du schiste est à un tournant après une longue période de fonctionnement sur une base financière fragile», a déclaré Birol.

«L’industrie semble sur la bonne voie pour réaliser des flux de trésorerie disponibles positifs pour la première fois cette année, se transformant en


une industrie plus mature et financièrement solide alors que la production progresse à son rythme le plus rapide jamais atteint.»

L’amélioration des perspectives pour le secteur américain du schiste contraste avec le reste de l’industrie pétrolière et gazière en amont. Les investissements dans les projets pétroliers conventionnels, qui sont responsables de la majeure partie de l’approvisionnement mondial, restent modérés. Les investissements dans les nouvelles capacités conventionnelles devraient plonger en 2018 pour atteindre environ un tiers du total, un creux pluriannuel suscitant des inquiétudes quant à l’adéquation à long terme de l’offre.

AIE : L’investissement dans la pro-duction d’électricité a chuté en 2017

En 2017, les investissements mondiaux dans le secteur de l’énergie ont chuté de près de 750 milliards de dollars américains en 2017, principalement en raison d’une chute de 10% de la capacité de production de nouvelles dispositions de production, selon la troisième édition du World Energy Investment. ) Rapport.

La moitié de la baisse était due aux centrales électriques au charbon, tirées par la Chine et l’Inde. Selon le rapport, publié le 17 juillet, la capacité de production d’électricité au charbon - principalement des centrales sous-critiques inefficaces - a annulé près de la moitié des ajouts. Les investissements dans les centrales au gaz ont augmenté de près de 40%. Et le Moyen-Orient / Afrique du Nord. Il y a des indications d’investissements plus faibles dans ces deux sources de production dans les années à venir. Les décisions d’investissement finales pour les centrales à gaz ont chuté de 23% en 2017, tandis que celles pour le charbon ont chuté de 18% à un niveau inférieur d’un tiers à celui de 2010.

Selon un nouveau rapport de l’Agence internationale de l’énergie, les investissements dans le secteur de l’énergie ont chuté de 6% en 2017.

«La relation entre la demande d’électricité et l’investissement continue d’évoluer, le secteur de l’électricité devenant plus capitalistique», indique le rapport. «Au cours de la dernière décennie, le ratio des investissements dans le secteur énergétique mondial a plus que doublé avec des politiques visant à encourager les énergies renouvelables et les efforts de modernisation et d’extension des réseaux, mais aussi grâce à une meilleure efficacité énergétique. La part de l’investissement dans la production thermique à moindre intensité de capital continue de diminuer.

Les dépenses ont atteint un nouveau sommet et la part du secteur énergétique dans le secteur de l’électricité a atteint 40%, son niveau le plus élevé en dix ans. La Chine est restée le plus grand marché d’investissement en réseau, suivie par les États-Unis. L’investissement augmente dans les technologies conçues pour améliorer la flexibilité des systèmes électriques et soutenir l’intégration des énergies renouvelables variables et de nouvelles sources de demande. Les compagnies d’électricité modernisent les réseaux électriques en investissant davantage et en acquérant des entreprises liées à ce qu’on appelle la technologie des réseaux intelligents, notamment les compteurs intelligents, les équipements de distribution avancés et la recharge des VE, qui représentent plus de 10% des dépenses des réseaux. Bien que les investissements dans le stockage stationnaire de batteries aient diminué de plus de 10% à moins de 2 milliards de dollars, ils étaient six fois plus élevés qu’en 2012.

«Pour rappeler qu’une grande partie de la production d’énergie mondiale dépend des combustibles fossiles, il convient de noter que la part des énergies fossiles, y compris la production d’énergie thermique, dans l’investissement énergétique total a augmenté pour la première fois depuis 2014 à 59%» le rapport déclare. «La croissance a été marginale, à un point de pourcentage, mais la hausse des dépenses pétrolières et gazières a surmonté la baisse des investissements dans le charbon pour stopper les fortes baisses observées en 2015 et 2016. Au cours des trois dernières années, les économies matures et la Chine ont vu La part des carburants dans l’offre d’énergie à 55%, et connu une réduction plus rapide que les économies émergentes, où la part est de 65%, mais les trois régions ont connu une légère hausse en 2017. Elles ne représentent que 8% de l’investissement total Dans l’énergie au charbon et l’approvisionnement en charbon a subi une baisse de 22%, en baisse de 38 milliards de dollars depuis 2016. «À long terme, le scénario


de développement durable (SDD) de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit une forte transition de l’approvisionnement en combustibles fossiles et de la production d’énergie fossile à une alimentation électrique à faible teneur en carbone, indique le rapport. La prise de conscience de ce changement suggère que la part des énergies fossiles dans l’approvisionnement en énergie devra diminuer pour atteindre 40% d’ici 2030.

La capacité des centrales alimentées au gaz en FID est également en baisse, tombant de plus de 20% à près de 50 GW en 2017, bien qu’elle soit restée supérieure à celle du charbon. Les FID ont été particulièrement faibles aux États-Unis et dans la région MENA en dépit de l’abondance de leur gaz domestique bon marché et de leur bonne infrastructure de pipelines. Ces régions représentaient collectivement la moitié de la capacité globale sanctionnée au cours de la dernière décennie. Dans la région MENA, ce changement pourrait être dû à un important arriéré de plantes déjà en développement, mais aussi à une augmentation des achats de capacités renouvelables en Egypte, en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabes Unis. Les baisses dans ces régions ont plus que contrebalancé une augmentation en Chine, où une vaste expansion du gaz est prévue dans le 13e plan quinquennal, et en Europe, où la capacité sanctionnée a légèrement récupéré du niveau record atteint en 2016. Près de 80% des sanctions mondiales de la capacité de gaz en 2017 était pour les grandes usines de TGCC, bien que la capacité absolue de ces usines ait diminué d’un quart. La capacité des centrales OCGT (utilisées principalement pour les besoins de pointe) était relativement stable.

Le rapport indique que la confiance des investisseurs dans le secteur pétrolier et gazier en amont continue de se redresser en réaction à la hausse des prix du pétrole et à la croissance soutenue de la demande de pétrole. Après une baisse de plus de 40% entre 2014 et 2016, l’investissement en amont a légèrement rebondi en 2017 de 4% à 450 milliards de dollars (en termes nominaux) 40 et, selon les indications des entreprises, devrait augmenter de 5% en USD 472 milliards en 2018. La tendance générale masque de grandes différences en termes d’actifs et de géographie.

Les dépenses dans l’industrie du schiste aux États-Unis continuent de croître rapidement après la croissance rapide des investissements déjà observée en 2017; les investissements on-shore conventionnels, axés sur les friches industrielles, augmentent modestement, poussés par les dépenses des compagnies pétrolières nationales (CNP) dans des pays producteurs clés tels que

le Moyen-Orient et la Russie, ainsi qu’en Chine; les investissements offshore, avec des délais plus longs, devraient de nouveau diminuer en 2018, car peu de nouveaux projets ont été sanctionnés au cours des trois dernières années, bien qu’il y ait des signes évidents de regain d’intérêt pour le secteur en 2017 et début 2018.

Les Etats-Unis restent le moteur de la croissance de l’investissement en amont, avec des dépenses d’investissement globales, y compris des ressources schisteuses et conventionnelles, qui devraient augmenter d’environ 10% en 2018.

Des temps difficiles pour les tu -bines à gaz

Les ventes baissent en tant que marches

Relativement vers des sources d’énergie renouvelables

Mark Axford, d’Axford Consulting, présente chaque année à l’exposition Western Turbine Users Inc. (WTUI) dans l’ouest des États-Unis une communication du marché des turbines à gaz (GT). Il commence toujours par un examen léger de sa prédiction de l’émission de l’an dernier.

Habituellement, il a raison, mais Axford a déclaré : «Pour 2017, je n’ai jamais eu autant de tort. Je ne suis pas rassuré par le fait que GE et Siemens ont également manqué un grand coup dans les prévisions. «

En mars 2017, il a déclaré que les commandes GT américaines seraient en hausse de 10% et les commandes mondiales en baisse d’environ 10%. Cependant, les résultats réels ont été que les commandes de TG aux États-Unis en baisse de 36% et à l’échelle mondiale de 28%. «Nous assistons à l’effondrement continu du marché TG», a déclaré Axford.

Il a remis la scène à Tony Brough, président de Dora Partners. Brough a fourni des informations détaillées provenant de collaborateurs du marché et de données, de la recherche de Dora Partners et de McCoy Power Reports, qui fournissent


de développement durable (SDD) de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit une forte transition de l’approvisionnement en combustibles fossiles et de la production d’énergie fossile à une alimentation électrique à faible teneur en carbone, indique le rapport. La prise de conscience de ce changement suggère que la part des énergies fossiles dans l’approvisionnement en énergie devra diminuer pour atteindre 40% d’ici 2030.

La capacité des centrales alimentées au gaz en FID est également en baisse, tombant de plus de 20% à près de 50 GW en 2017, bien qu’elle soit restée supérieure à celle du charbon. Les FID ont été particulièrement faibles aux États-Unis et dans la région MENA en dépit de l’abondance de leur gaz domestique bon marché et de leur bonne infrastructure de pipelines. Ces régions représentaient collectivement la moitié de la capacité globale sanctionnée au cours de la dernière décennie. Dans la région MENA, ce changement pourrait être dû à un important arriéré de plantes déjà en développement, mais aussi à une augmentation des achats de capacités renouvelables en Egypte, en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabes Unis. Les baisses dans ces régions ont plus que contrebalancé une augmentation en Chine, où une vaste expansion du gaz est prévue dans le 13e plan quinquennal, et en Europe, où la capacité sanctionnée a légèrement récupéré du niveau record atteint en 2016. Près de 80% des sanctions mondiales de la capacité de gaz en 2017 était pour les grandes usines de TGCC, bien que la capacité absolue de ces usines ait diminué d’un quart. La capacité des centrales OCGT (utilisées principalement pour les besoins de pointe) était relativement stable.

Le rapport indique que la confiance des investisseurs dans le secteur pétrolier et gazier en amont continue de se redresser en réaction à la hausse des prix du pétrole et à la croissance soutenue de la demande de pétrole. Après une baisse de plus de 40% entre 2014 et 2016, l’investissement en amont a légèrement rebondi en 2017 de 4% à 450 milliards de dollars (en termes nominaux) 40 et, selon les indications des entreprises, devrait augmenter de 5% en USD 472 milliards en 2018. La tendance générale masque de grandes différences en termes d’actifs et de géographie.

Les dépenses dans l’industrie du schiste aux États-Unis continuent de croître rapidement après la croissance rapide des investissements déjà observée en 2017; les investissements on-shore conventionnels, axés sur les friches industrielles, augmentent modestement, poussés par les dépenses des compagnies pétrolières nationales (CNP) dans des pays producteurs clés tels que

le Moyen-Orient et la Russie, ainsi qu’en Chine; les investissements offshore, avec des délais plus longs, devraient de nouveau diminuer en 2018, car peu de nouveaux projets ont été sanctionnés au cours des trois dernières années, bien qu’il y ait des signes évidents de regain d’intérêt pour le secteur en 2017 et début 2018.

Les Etats-Unis restent le moteur de la croissance de l’investissement en amont, avec des dépenses d’investissement globales, y compris des ressources schisteuses et conventionnelles, qui devraient augmenter d’environ 10% en 2018.

Des temps difficiles pour les tu -bines à gaz

Les ventes baissent en tant que marches

Relativement vers des sources d’énergie renouvelables

Mark Axford, d’Axford Consulting, présente chaque année à l’exposition Western Turbine Users Inc. (WTUI) dans l’ouest des États-Unis une communication du marché des turbines à gaz (GT). Il commence toujours par un examen léger de sa prédiction de l’émission de l’an dernier.

Habituellement, il a raison, mais Axford a déclaré : «Pour 2017, je n’ai jamais eu autant de tort. Je ne suis pas rassuré par le fait que GE et Siemens ont également manqué un grand coup dans les prévisions. «

En mars 2017, il a déclaré que les commandes GT américaines seraient en hausse de 10% et les commandes mondiales en baisse d’environ 10%. Cependant, les résultats réels ont été que les commandes de TG aux États-Unis en baisse de 36% et à l’échelle mondiale de 28%. «Nous assistons à l’effondrement continu du marché TG», a déclaré Axford.

Il a remis la scène à Tony Brough, président de Dora Partners. Brough a fourni des informations détaillées provenant de collaborateurs du marché et de données, de la recherche de Dora Partners et de McCoy Power Reports, qui fournissent


une prévision détaillée de plus de 90 modèles de turbines à gaz. Brough a expliqué que les commandes mondiales en MW pour l’année étaient en baisse de 29% avec les commandes de l’unité en baisse de 17%.

Production nette mondiale d’électricité par combustible, 2018 à 2040 (milliards de kWh). Le pétrole en rouge, le nucléaire en violet, le gaz naturel en bleu, le charbon en noir et les énergies renouvelables en vert. Source : EIA

«Plus inquiétant est le fait que les commandes en MW depuis 2012 sont en baisse de 45% et les commandes unitaires sont en baisse de 60%», a déclaré Brough. «La baisse des commandes unitaires a un impact plus fort sur la croissance future du marché de l’après-vente.

Les prévisions concernant la production mondiale nette d’électricité par combustible indiquent que le gaz naturel restera un acteur à long terme dans le domaine de l’énergie électrique. Le gaz naturel devrait augmenter de 1,4% par année au cours des dix prochaines années, tandis que le charbon et le pétrole s’estomperont.

Les énergies renouvelables, cependant, devraient augmenter de 3,1% par an au cours de la même période. «Les zones de croissance du gaz naturel se trouvent en Afrique et dans certaines régions d’Asie», a déclaré M. Brough. «Si vous êtes un fournisseur de services, vous devez avoir des gens dans ces régions.»

Brough a également analysé le coût actualisé de l’électricité (LCOE) pour les différentes technologies. Il a mis en évidence les gains importants de LCOE pour les énergies renouvelables assistés par des subventions. Cela fait que les centrales TG à cycle combiné perdent dans certains cas leur avantage de prix par rapport à l’éolien et au solaire. «Les énergies renouvelables ne battent pas toujours les TG sur le LCOE, mais elles sont très situationnelles», a déclaré Brough.

Une répartition du marché des TG a mis en évidence à la fois les forces et les faiblesses. La gamme de 150 MW à 300 MW dispose d’une part de marché de 46% en termes de capacité. Mais le segment de 40 MW à 100 MW, et le segment de 20 MW à 30 MW, se portent également bien par rapport aux autres parties du graphique.

L’image OEM est plus simple. GE et Siemens représentent plus de 80% de la capacité et 49% de toutes les unités installées. Solar Turbines possède 41% d’unités installées. Le secteur des services d’électricité domine toutes les turbines à gaz déployées (85% de la capacité). Mais le pétrole et le gaz ont presque la moitié des unités. Les fournisseurs d’équipements et de services du secteur O & G bénéficient de prix plus élevés et d’un plus grand engagement envers des OEM et des technologies spécifiques.

Les turbines industrielles lourdes occupent 84% de la capacité MW installée et 37% des unités. En revanche, les aéro-dérivés ne représentent que 11% de la capacité et 19% des unités. Les régions Afrique et Asie-Pacifique présentent les taux de croissance les plus élevés prévus.

Mais Brough croit que les technologies aéro-dérivatives joueront un rôle majeur dans le secteur O & G et dans les secteurs clés de la production d’énergie, tels que le pic. Dans l’espace aéro-dérivatif, le LM2500 domine, suivi par le LM6000. En 2017, le LM2500 a dépassé le LM6000 de 15 à 1, aux États-Unis. Sur le plan mondial, le LM2500 a saisi près de 50% des commandes en 2017. Le LM2500 a une flotte de plus de 2 000 unités, suivi par le LM6000 1,100 Le LMS100 n’a pas encore franchi la barre des 100 points. Malgré son âge, Brough voit le LM2500 continuer à bien performer, notamment dans le pétrole et le gaz. Il y a également une demande croissante pour les unités montées sur remorque, ainsi que pour la révision et la réparation. Brough voit le marché de l’après-vente aérodérivative potentiellement de 2,28 milliards de dollars par an.


Axford a continué le récit. Il a déclaré que plus de 200 000 MW seraient ajoutés au réseau américain entre 2018 et 2021. Le gaz naturel gagnera 8 000 MW avec l’éolien derrière, puis le solaire. Selon Axford, une grande partie de ce marché sera constituée de centrales à cycle combiné à grande échelle.

«Une centrale à cycle combiné de 500 MW était considérée comme grande il y a quelques années, mais maintenant elle atteint 1 200 MW», a-t-il déclaré. Cette tendance à la hausse ne va que continuer. »La tendance est donc à l’écart de la stratification traditionnelle du marché des GT (segments de petite, moyenne, grande et grande taille).

Maintenant, dit Axford, il est destiné à se composer principalement de petites et extra-large. La concurrence s’intensifie sur tous les fronts. Le spécialiste des compresseurs à pistons Wartsila a reçu des commandes de 3 800 MW en 2017. Axford s’attend à ce que les années de vaches maigres pour les ventes de GT se poursuivent. Il a expliqué que la structure des subventions éoliennes a laissé un arriéré de 27 000 MW dans les projets éoliens qui doivent entrer sur le réseau. Ces projets ont déjà reçu des fonds fédéraux, de sorte qu’ils auront la priorité sur les autres types de production.

L’industrie des schistes américains offre d’énormes réserves de pétrole. Comme le prix du pétrole varie, la production peut facilement être augmentée ou diminuée

Gains de pétrole et de gazTout n’était pas sombre, cependant. Le prix du pétrole brut est passé de 40 à 50 $ le baril à plus de 60 $. La fourchette de négociation attendue pour le reste de 2018 est de 60 à 70 dollars le baril. Cela est de bon augure pour les ventes de compresseurs de pipeline, ainsi que de petits groupes électrogènes à turbine à gaz dans les installations de production de pétrole et de gaz.

«Les États-Unis sont devenus une usine de pointe pour les arrêts de production de pétrole lorsque le prix est à la baisse et recommence à remonter», a déclaré M. Axford. «Au cours de cette année, les États-Unis pourraient dépasser la Russie et l’Arabie saoudite pour devenir le plus grand producteur de pétrole au monde.»

La production américaine de GNL va également augmenter. Les premières exportations de GNL de l’usine de Cheniere aux États-Unis ont eu lieu en 2017. Il existe maintenant deux installations d’exportation de GNL aux États-Unis et trois autres dans la construction. Cela entraîne des commandes de turbines et de compresseurs fournissant du gaz à ces installations. Cheniere LNG, par exemple, dispose déjà de 29 LM6000. La flotte de Cheniere pourrait atteindre jusqu’à 60 unités au cours des prochaines années.

« La production américaine de GNL ajoute beaucoup d’énergie et d’achats mécaniques », a déclaré M. Axford. La majeure partie du GNL américain est expédiée en Asie, principalement en Chine, au Japon, en Corée et en Inde. Certains GNL sont également allés au Brésil et au Royaume-Uni. Actuellement, les États-Unis représentent 2% du marché mondial du GNL. Le Qatar possède 30% et l’Australie 17%. La croissance du GNL américain pourrait bénéficier des travaux de développement du projet de GNL en Alaskan, qui offre un itinéraire court vers l’Asie. Mais il faudra un pipeline de 800 milles et la construction d’un terminal en Alaska. Il reste à voir comment les choses vont se passer dans la région, un foyer environnemental.

Axford a noté les prix négatifs de la Californie en raison d’un surplus d’énergie solaire au milieu de l’après-midi. «Comme la Californie fait plus d’énergie solaire que ce qui peut être consommé, elle a payé l’Oregon et l’Arizona pour en prendre, surtout au printemps», a déclaré Axford. «De même, le Texas voit souvent le prix de gros du pouvoir devenir négatif la nuit en raison d’un surplus de production d’énergie éolienne.»

Cela soulève la question du stockage de l’énergie. La Californie a ordonné aux entreprises de services publics d’acheter du matériel de stockage et d’augmenter les subventions à cet égard. Il a ajouté 500 MW de stockage au mandat courant


Axford a continué le récit. Il a déclaré que plus de 200 000 MW seraient ajoutés au réseau américain entre 2018 et 2021. Le gaz naturel gagnera 8 000 MW avec l’éolien derrière, puis le solaire. Selon Axford, une grande partie de ce marché sera constituée de centrales à cycle combiné à grande échelle.

«Une centrale à cycle combiné de 500 MW était considérée comme grande il y a quelques années, mais maintenant elle atteint 1 200 MW», a-t-il déclaré. Cette tendance à la hausse ne va que continuer. »La tendance est donc à l’écart de la stratification traditionnelle du marché des GT (segments de petite, moyenne, grande et grande taille).

Maintenant, dit Axford, il est destiné à se composer principalement de petites et extra-large. La concurrence s’intensifie sur tous les fronts. Le spécialiste des compresseurs à pistons Wartsila a reçu des commandes de 3 800 MW en 2017. Axford s’attend à ce que les années de vaches maigres pour les ventes de GT se poursuivent. Il a expliqué que la structure des subventions éoliennes a laissé un arriéré de 27 000 MW dans les projets éoliens qui doivent entrer sur le réseau. Ces projets ont déjà reçu des fonds fédéraux, de sorte qu’ils auront la priorité sur les autres types de production.

L’industrie des schistes américains offre d’énormes réserves de pétrole. Comme le prix du pétrole varie, la production peut facilement être augmentée ou diminuée

Gains de pétrole et de gazTout n’était pas sombre, cependant. Le prix du pétrole brut est passé de 40 à 50 $ le baril à plus de 60 $. La fourchette de négociation attendue pour le reste de 2018 est de 60 à 70 dollars le baril. Cela est de bon augure pour les ventes de compresseurs de pipeline, ainsi que de petits groupes électrogènes à turbine à gaz dans les installations de production de pétrole et de gaz.

«Les États-Unis sont devenus une usine de pointe pour les arrêts de production de pétrole lorsque le prix est à la baisse et recommence à remonter», a déclaré M. Axford. «Au cours de cette année, les États-Unis pourraient dépasser la Russie et l’Arabie saoudite pour devenir le plus grand producteur de pétrole au monde.»

La production américaine de GNL va également augmenter. Les premières exportations de GNL de l’usine de Cheniere aux États-Unis ont eu lieu en 2017. Il existe maintenant deux installations d’exportation de GNL aux États-Unis et trois autres dans la construction. Cela entraîne des commandes de turbines et de compresseurs fournissant du gaz à ces installations. Cheniere LNG, par exemple, dispose déjà de 29 LM6000. La flotte de Cheniere pourrait atteindre jusqu’à 60 unités au cours des prochaines années.

« La production américaine de GNL ajoute beaucoup d’énergie et d’achats mécaniques », a déclaré M. Axford. La majeure partie du GNL américain est expédiée en Asie, principalement en Chine, au Japon, en Corée et en Inde. Certains GNL sont également allés au Brésil et au Royaume-Uni. Actuellement, les États-Unis représentent 2% du marché mondial du GNL. Le Qatar possède 30% et l’Australie 17%. La croissance du GNL américain pourrait bénéficier des travaux de développement du projet de GNL en Alaskan, qui offre un itinéraire court vers l’Asie. Mais il faudra un pipeline de 800 milles et la construction d’un terminal en Alaska. Il reste à voir comment les choses vont se passer dans la région, un foyer environnemental.

Axford a noté les prix négatifs de la Californie en raison d’un surplus d’énergie solaire au milieu de l’après-midi. «Comme la Californie fait plus d’énergie solaire que ce qui peut être consommé, elle a payé l’Oregon et l’Arizona pour en prendre, surtout au printemps», a déclaré Axford. «De même, le Texas voit souvent le prix de gros du pouvoir devenir négatif la nuit en raison d’un surplus de production d’énergie éolienne.»

Cela soulève la question du stockage de l’énergie. La Californie a ordonné aux entreprises de services publics d’acheter du matériel de stockage et d’augmenter les subventions à cet égard. Il a ajouté 500 MW de stockage au mandat courant


2017, soit presque toutes les batteries lithium-ion. Axford s’est concentré sur la courbe de baisse des prix pour la technologie des batteries. À l’heure actuelle, le coût des batteries est de 209 $ par kWh et diminue d’environ 20% par année. «L’objectif est de le ramener à 100 $ par kWh», a déclaré Axford. «Si cela arrive, ce sera la fin des usines de turbines à gaz de pointe.»Il a terminé avec sa prévision habituelle des turbines à gaz pour l’année à venir : les commandes de TG aux États-Unis et dans le monde seront en baisse d’au moins 10%.

Par Drew Robb

Avantages des centrales à cycle combiné à arbre unique (Single-Shaft)

Au cours des dernières années, l’utilisation des centrales cycle combiné à arbre unique a augmenté régulièrement aux États-Unis. Bien que les configurations à plusieurs arbres soient avantageuses dans certains scénarios, par exemple lorsque la flexibilité de disposition ou l’installation par phases sont nécessaires et peut être une option très efficace et économique pour les propriétaires et les exploitants de centrales qui cherchent à maximiser la valeur de leur actif.

Simple-arbre contre Multi-Shaft 1 x 1 Dans une configuration à arbre unique, les deux turbines primaires (les turbines à gaz et à vapeur) sont sur une ligne d’arbre reliée par un embrayage synchrone à auto-décalage (SSS), et ils entraînent un seul générateur commun (Figure 1). Au-delà d’un générateur commun, les systèmes d’équilibrage des installations (BOP) dans une configuration à arbre unique sont également harmonisés, ce qui réduit le nombre de composants individuels. Cela contraste avec les configurations à plusieurs arbres, où les turbines à vapeur et à gaz sont sur des lignes d’arbres différentes, soutenues par des systèmes BOP séparés, et conduisent leurs propres générateurs indépendants.

1. La distance la plus courte entre deux points est une ligne droite. Une configuration à arbre unique signifie que la turbine à gaz et la turbine à vapeur sont toutes deux disposées sur un arbre et entraînent le même générateur. Source : Siemens

Avoir un seul générateur connecté au réseau et moins d’équipement BOP offre des avantages financiers, opérationnels et d’empreinte pour l’arrangement à arbre unique. Par exemple, un générateur signifie un ensemble de jeu de barres, et un disjoncteur de générateur, un transformateur élévateur de générateur, et un poste de distribution. Dans de nombreux cas, le choix d’un arrangement à un seul arbre plutôt que d’une conception à plusieurs arbres peut entraîner des économies de capital de l’ordre de 3% à 5% pour la centrale.

Un petit gain dans l’efficacité de l’installation peut également être obtenu, car un grand générateur a généralement un rendement légèrement supérieur à deux plus petits. Les configurations à arbre unique nécessitent également moins de connexions mécaniques, ce qui se traduit par des pertes plus faibles. De même, la simplification des systèmes BOP, tels que les systèmes d’huile de graissage, peut entraîner une maintenance réduite, une disponibilité accrue et une demande d’énergie auxiliaire inférieure. Les configurations à arbre unique ont une conception plus compacte que celle à arbres multiples, ce qui réduit l’encombrement de l’installation. Ceci est particulièrement avantageux sur les sites où l’équipement doit être enfermé à l’intérieur d’un bâtiment, en raison de contraintes de bruit ou de conditions météorologiques, par exemple.

Les configurations à plusieurs arbres sont préférables pour répondre aux exigences d’agencement spécifiques ou lorsque la turbine à gaz est construite et exploitée des mois ou des années avant le développement du cycle combiné.

2 x arbre simple contre 2 x 1 arbre multipleDeux centrales à un arbre peuvent également être utilisées comme une alternative aux configurations 2 x 1 traditionnelles. Avec une turbine à vapeur pour chaque turbine à gaz, les arbres simples peuvent présenter une plus grande efficacité dans les scénarios à faible charge (c’est-à-dire lorsqu’une une seule turbine à gaz est en fonctionnement).


C’est également le cas lors du passage d’un fonctionnement à une à deux turbines à gaz. Dans de tels cas, chaque générateur de vapeur à récupération de chaleur (HRSG) produit de la vapeur pour sa propre turbine à vapeur. Par conséquent, il n’est pas nécessaire d’amener le deuxième HRSG en mode de dérivation pour correspondre à la température et à la pression de la vapeur avant de le mélanger avec la vapeur allant à la turbine du premier HRSG.

Un avantage supplémentaire de la conception à 2 arbres à un seul arbre est qu’elle permet la construction en cycle combiné des tranches pendant la phase d’installation de la centrale. Le fait d’avoir deux blocs de cycles combinés, chacun avec un groupe motopropulseur à arbre unique, présente également des avantages en termes de disponibilité et de maintenance, car il permet l’entretien d’une tranche pendant que l’autre est en service. Dans certains cas, cela permettra aux opérateurs de centrales de répondre plus efficacement aux besoins du marché. À l’inverse, le service sur tout composant autre qu’une turbine à gaz dans une configuration 2 x 1 nécessite la mise hors service de l’ensemble de l’installation.

Les mêmes avantages mentionnés pour une installation multi-arbres 1 x 1 s’appliquent pour une flexibilité d’implantation de 2 x 1 et une construction par étapes de turbines à gaz à cycle simple.

Avantages du monde réelLes avantages de l’utilisation d’une conception à arbre unique pour le cycle combiné ont été exposés dans divers sites à travers le monde, notamment le récent site Panda Liberty (figure 2) dans le comté de Bradford en Pennsylvanie et le site Panda Patriot dans le comté de Lycoming en Pennsylvanie. Les deux ont été mis en service en 2016 et conçus pour utiliser le gaz de schiste de Marcellus pour alimenter leurs communautés de la manière la plus efficace possible. Les centrales disposent chacune de deux blocs de puissance mono-arbre avec des turbines à gaz Siemens H-class.

2. Liberté pour tous. Les blocs d’alimentation à arbre unique du projet Panda Liberty Power de 829 MW comprennent deux turbines à gaz SGT6-8000H, deux turbines à vapeur SST6-5000, deux générateurs SGen6-2000H refroidis à l’hydrogène et deux générateurs de vapeur à récupération de chaleur, ainsi que le système de contrôle SPPA-T3000. Source : Siemens

Le fait d’avoir deux blocs de cycle combiné, chacun avec un groupe motopropulseur mono-arbre, confère aux usines Panda une grande flexibilité opérationnelle, puisqu’elles peuvent fonctionner à 50% de la charge de l’usine tout en conservant la même efficacité que la charge de 100%. Un clutch SSS permet à la turbine à gaz de démarrer et de produire de l’électricité rapidement, indépendamment de la turbine à vapeur. Lorsque la turbine à vapeur atteint la vitesse de synchronisation, le clutch SSS est engagé et transfère le couple de la turbine à vapeur au générateur afin que l’installation puisse atteindre sa pleine charge.

Siemens continue d’étendre les limites de rendement et d’efficacité avec la dernière conception de cycle combiné mono-arbre SCC-9000HL. S’appuyant sur une technologie H-class éprouvée, la classe 9000HL offre une efficacité allant jusqu’à 63% en fonctionnement en cycle combiné et une puissance de sortie supérieure de 25%. Le SCC-9000HL utilise des concepts de conception éprouvés et validés permettant un fonctionnement à cycle combiné dans des configurations à un ou plusieurs arbres.

Évaluer les optionsAvec une vaste expérience dans la conception et la construction de centrales à cycle combiné à travers le monde, Siemens peut offrir plusieurs cas objectifs pour des configurations mono-arbre et multi-arbre, ainsi que des approches innovantes pour maximiser les avantages des deux. Bien que les conceptions à arbre unique offrent des avantages en termes d’encombrement, de disponibilité et d’efficacité, la décision n’est pas simple, car les configurations à plusieurs arbres offrent également des avantages distincts, en particulier sur les projets où la disposition flexibilité et construction par étapes sont requises. Enfin de compte, la configuration qui offre le plus de valeur sur la durée de vie de la centrale sera dictée par les exigences de l’opérateur et de la charge, ainsi que par les variables spécifiques au site-Jennifer Jackson est responsable du marketing de

portefeuille de solutions chez Siemens

Lubrification : optimisation desperformances des turbines à gaz actuelles

Les turbines à gaz modernes sont conçues pour fournir plus de puissance et une plus grande efficacité. Plusieurs fabricants, dont GE, Siemens et d’autres, ont établi de nouvelles marques


C’est également le cas lors du passage d’un fonctionnement à une à deux turbines à gaz. Dans de tels cas, chaque générateur de vapeur à récupération de chaleur (HRSG) produit de la vapeur pour sa propre turbine à vapeur. Par conséquent, il n’est pas nécessaire d’amener le deuxième HRSG en mode de dérivation pour correspondre à la température et à la pression de la vapeur avant de le mélanger avec la vapeur allant à la turbine du premier HRSG.

Un avantage supplémentaire de la conception à 2 arbres à un seul arbre est qu’elle permet la construction en cycle combiné des tranches pendant la phase d’installation de la centrale. Le fait d’avoir deux blocs de cycles combinés, chacun avec un groupe motopropulseur à arbre unique, présente également des avantages en termes de disponibilité et de maintenance, car il permet l’entretien d’une tranche pendant que l’autre est en service. Dans certains cas, cela permettra aux opérateurs de centrales de répondre plus efficacement aux besoins du marché. À l’inverse, le service sur tout composant autre qu’une turbine à gaz dans une configuration 2 x 1 nécessite la mise hors service de l’ensemble de l’installation.

Les mêmes avantages mentionnés pour une installation multi-arbres 1 x 1 s’appliquent pour une flexibilité d’implantation de 2 x 1 et une construction par étapes de turbines à gaz à cycle simple.

Avantages du monde réelLes avantages de l’utilisation d’une conception à arbre unique pour le cycle combiné ont été exposés dans divers sites à travers le monde, notamment le récent site Panda Liberty (figure 2) dans le comté de Bradford en Pennsylvanie et le site Panda Patriot dans le comté de Lycoming en Pennsylvanie. Les deux ont été mis en service en 2016 et conçus pour utiliser le gaz de schiste de Marcellus pour alimenter leurs communautés de la manière la plus efficace possible. Les centrales disposent chacune de deux blocs de puissance mono-arbre avec des turbines à gaz Siemens H-class.

2. Liberté pour tous. Les blocs d’alimentation à arbre unique du projet Panda Liberty Power de 829 MW comprennent deux turbines à gaz SGT6-8000H, deux turbines à vapeur SST6-5000, deux générateurs SGen6-2000H refroidis à l’hydrogène et deux générateurs de vapeur à récupération de chaleur, ainsi que le système de contrôle SPPA-T3000. Source : Siemens

Le fait d’avoir deux blocs de cycle combiné, chacun avec un groupe motopropulseur mono-arbre, confère aux usines Panda une grande flexibilité opérationnelle, puisqu’elles peuvent fonctionner à 50% de la charge de l’usine tout en conservant la même efficacité que la charge de 100%. Un clutch SSS permet à la turbine à gaz de démarrer et de produire de l’électricité rapidement, indépendamment de la turbine à vapeur. Lorsque la turbine à vapeur atteint la vitesse de synchronisation, le clutch SSS est engagé et transfère le couple de la turbine à vapeur au générateur afin que l’installation puisse atteindre sa pleine charge.

Siemens continue d’étendre les limites de rendement et d’efficacité avec la dernière conception de cycle combiné mono-arbre SCC-9000HL. S’appuyant sur une technologie H-class éprouvée, la classe 9000HL offre une efficacité allant jusqu’à 63% en fonctionnement en cycle combiné et une puissance de sortie supérieure de 25%. Le SCC-9000HL utilise des concepts de conception éprouvés et validés permettant un fonctionnement à cycle combiné dans des configurations à un ou plusieurs arbres.

Évaluer les optionsAvec une vaste expérience dans la conception et la construction de centrales à cycle combiné à travers le monde, Siemens peut offrir plusieurs cas objectifs pour des configurations mono-arbre et multi-arbre, ainsi que des approches innovantes pour maximiser les avantages des deux. Bien que les conceptions à arbre unique offrent des avantages en termes d’encombrement, de disponibilité et d’efficacité, la décision n’est pas simple, car les configurations à plusieurs arbres offrent également des avantages distincts, en particulier sur les projets où la disposition flexibilité et construction par étapes sont requises. Enfin de compte, la configuration qui offre le plus de valeur sur la durée de vie de la centrale sera dictée par les exigences de l’opérateur et de la charge, ainsi que par les variables spécifiques au site-Jennifer Jackson est responsable du marketing de

portefeuille de solutions chez Siemens

Lubrification : optimisation desperformances des turbines à gaz actuelles

Les turbines à gaz modernes sont conçues pour fournir plus de puissance et une plus grande efficacité. Plusieurs fabricants, dont GE, Siemens et d’autres, ont établi de nouvelles marques


d’efficacité au cours de la dernière année, atteignant plus de 65%.

L’obtention de performances optimales à partir de ces machines nécessite une approche de maintenance de premier ordre. Ce nouvel équipement fonctionne à des températures de fonctionnement plus élevées qu’auparavant, ce qui peut à son tour exercer une pression plus importante sur les composants critiques de la turbine. Si les opérateurs ne prennent pas les précautions appropriées, ces conditions peuvent entraîner des problèmes de performance tels que :

Durée de vie réduite du lubrifiantRéduction de la durée de vie des paliers de turbine.Intervalles d’arrêt plus fréquents.Augmentation des flux d’huile usée

En fin de compte, tous ces facteurs peuvent entraîner une perte de productivité et une réduction du bénéfice par kilowattheure. Alors, comment les opérateurs devraient-ils élaborer la meilleure stratégie de maintenance ? Il commence par la lubrification, qui est la première ligne de défense pour protéger les équipements contre les conditions de fonctionnement difficiles. Les opérateurs doivent développer un programme de lubrification adapté aux exigences de performance des équipements de production d’énergie modernes.

Tous les programmes de lubrificationdoivent être construits autour de deux éléments fondamentaux : choisir le bon lubrifiant, puis surveiller les performances en temps réel de cet équipement grâce à un service tel que l’analyse des huiles usagées (UOA).Choisir le bon lubrifianDe nombreux fournisseurs de lubrifiants proposent des produits spécifiquement conçus pour fonctionner dans des applications de turbines à gaz (Figure 1). Ces produits sont formulés pour fournir une protection contre l’usure supérieure à une plus large gamme de températures de fonctionnement par rapport aux huiles pour turbines conventionnelles, réduisant ainsi la formation de boues et de couches, gardant les pièces propres et fonctionnant sans secousses. Ces caractéristiques peuvent aider à maintenir ou améliorer la fiabilité de l’équipement et réduire les coûts d’élimination de l’huile usée grâce à une durée de vie accrue de l’huile.

1. Maintenir la turbine. L’entretien des turbines à gaz est essentiel à leur performance. Comme tout moteur, garder la turbine bien lubrifiée est essentiel pour réduire la contamination et la formation de boues et de couches, et pour que les pièces fonctionnent bien. Il est important de garder l’huile de la turbine propre pour optimiser l’équipement et prolonger la durée de vie du lubrifiant.Source : Exxon Mobil

Une fois que vous avez sélectionné la bonne huile, il y a au moins six étapes à suivre pour assurer que l’huile fonctionne comme prévu.

Gardez l’huile propre. Le maintien de la propreté de l’huile de turbine est important pour optimiser l’équipement et la durée de vie du lubrifiant. La contamination particulaire, l’élément le plus destructeur de l’huile de graissage, réduit considérablement la durée de vie des paliers et des engrenages tout en affectant le fonctionnement des servovalves et en provoquant la formation de mousse. Les systèmes de turbine sont sujets à une contamination provenant de plusieurs sources et les dépôts s’accumuleront même si l’huile est propre. Les opérateurs doivent inspecter fréquemment le système et maintenir le système de filtration à son maximum d’efficacité. En général, les huiles pour paliers de turbine doivent être maintenues à un niveau de propreté ISO (ou nombre de particules ISO) de 18/16/13 ou moins et les systèmes hydrauliques doivent être maintenus à un code PC ISO du 16/14/11. Cependant, les opérateurs devraient consulter leur fabricant d’équipement d’origine pour identifier le niveau de propreté recommandé pour chaque application.

Gardez l’huile sèche. L’eau est le deuxième contaminant le plus destructeur dans l’huile de lubrification. L’exposition à un excès d’eau peut réduire la durée de vie du roulement de la turbine et sa longévité. La contamination de l’eau déplace non seulement le film d’huile - en cas de contamination extrême - mais provoque également des microfissures sous la surface dues aux «radicaux libres» d’hydrogène qui se détachent


des molécules d’eau entre les rouleaux et les pistes. Cette microfissuration, également appelée «fragilisation par l’hydrogène», progresse au fil du temps en piqûres et en écaillage. La méthode la plus courante d’élimination continue de l’eau est la purification centrifuge pour de grandes quantités d’eau. Alternativement, des filtres de déshydratation sous vide (polissage) ou de coalescence peuvent être utilisés pour des concentrations inférieures à 400 ppm. En général, les systèmes d’huile de lubrification des turbines doivent être maintenus en dessous de 200 ppm d’eau.

Ventiler. Comme mentionné précédemment, l’huile et l’eau ne se mélangent pas. Une ventilation adéquate de votre système de lubrification de turbine aidera à éliminer l’eau et à minimiser ses effets nocifs. Lors de l’utilisation d’une ventilation par dépression, la pression négative sur l’huile dans le système doit être contrôlée avec précision. Dans les systèmes à pression atmosphérique, assurez-vous que l’évent est suffisamment dimensionné et qu’il y a un bon reniflard d’humidité / d’air en place.

Prévenir les fuites. Les fuites d’huile ne sont pas seulement gaspilleuses et nuisent à la productivité, elles constituent un danger pour la sécurité et les fuites doivent être identifiées à leur source et éliminées. Les fuites sont souvent causées par la contamination des joints de palier, des conduites d’alimentation en huile, des joints de tubes plus froids et des raccords de soupapes. Une pression d’alimentation en huile excessive peut également entraîner des fuites. Enfin, vous pouvez éliminer les fuites d’eau dans les systèmes d’huile provenant des joints de turbine, des refroidisseurs d’huile et d’autres sources grâce à une purification et une ventilation continues. Vous voudrez maintenir ces pratiques de prévention aussi longtemps que nécessaire.

Maintenir les enregistrements de température. Conservez un journal de température de :

L’huile et l’eau de et vers les refroidisseurs.

Huile dans les réservoirs.

Retour d’huile des paliers principaux.

Entrée d’huile vers l’équipement de purification.

Cela aidera les opérateurs à remarquer les changements soudains, de sorte que les problèmes de performance peuvent être identifiés et étudiés plus tôt. Des changements graduels dans les refroidisseurs d’huile peuvent indiquer la formation de dépôts sur les surfaces de refroidissement. Le maintien de températures suffisamment élevées dans les réservoirs et les équipements de purification aidera à éliminer l’eau et les contaminants insolubles.

Conserver les enregistrements d’exploitation. Garder des dossiers méticuleux est essentiel à la gestion d’un bon programme de lubrification et de maintenance. Les équipes de maintenance doivent conserver les enregistrements de :

Turbine et heures de fonctionnement de purification.

L’état de l’huile, les résultats de laboratoire et les heures de service.

Temps et quantité de composition et si de l’huile neuve ou purifiée a été utilisée.

Heure du changement du filtre et des heures de service.

Réparations, remplacements et révisions.

Garder un œil sur la performance de l’huileBien que les étapes décrites ici vous aident à maintenir la performance de votre huile, il est essentiel de procéder régulièrement à une analyse du rendement de l’huile pour s’assurer que l’huile fonctionne à plein régime. L’analyse de l’huile fournit aux opérateurs des informations essentielles qui peuvent les aider à détecter l’apparition de la détérioration, de la contamination et d’autres problèmes. Cela permet une action corrective pour éviter les temps d’arrêt imprévus et coûteux.Plus précisément, l’UOA peut aider à fournir aux opérateurs des informations importantes concernant trois domaines clés : l’état de l’équipement, l’état du lubrifiant et la contamination.

Condition de l’équipement. L’analyse de l’huile peut fournir des informations détaillées sur l’usure des métaux et aider les opérateurs à comprendre la métallurgie des composants testés. La prévention de l’usure excessive du métal peut aider à éviter la défaillance de l’équipement ou des problèmes opérationnels.

2. couches et boues. L’accumulation de boues et de couches sur les paliers de la turbine est une indication de la dégradation du lubrifiant, qui peut entraîner une contamination. La contamination particulaire est l’élément le plus destructeur de l’huile de lubrification et réduira considérablement la durée de vie des roulements et des engrenages. Source : Exxon Mobil


des molécules d’eau entre les rouleaux et les pistes. Cette microfissuration, également appelée «fragilisation par l’hydrogène», progresse au fil du temps en piqûres et en écaillage. La méthode la plus courante d’élimination continue de l’eau est la purification centrifuge pour de grandes quantités d’eau. Alternativement, des filtres de déshydratation sous vide (polissage) ou de coalescence peuvent être utilisés pour des concentrations inférieures à 400 ppm. En général, les systèmes d’huile de lubrification des turbines doivent être maintenus en dessous de 200 ppm d’eau.

Ventiler. Comme mentionné précédemment, l’huile et l’eau ne se mélangent pas. Une ventilation adéquate de votre système de lubrification de turbine aidera à éliminer l’eau et à minimiser ses effets nocifs. Lors de l’utilisation d’une ventilation par dépression, la pression négative sur l’huile dans le système doit être contrôlée avec précision. Dans les systèmes à pression atmosphérique, assurez-vous que l’évent est suffisamment dimensionné et qu’il y a un bon reniflard d’humidité / d’air en place.

Prévenir les fuites. Les fuites d’huile ne sont pas seulement gaspilleuses et nuisent à la productivité, elles constituent un danger pour la sécurité et les fuites doivent être identifiées à leur source et éliminées. Les fuites sont souvent causées par la contamination des joints de palier, des conduites d’alimentation en huile, des joints de tubes plus froids et des raccords de soupapes. Une pression d’alimentation en huile excessive peut également entraîner des fuites. Enfin, vous pouvez éliminer les fuites d’eau dans les systèmes d’huile provenant des joints de turbine, des refroidisseurs d’huile et d’autres sources grâce à une purification et une ventilation continues. Vous voudrez maintenir ces pratiques de prévention aussi longtemps que nécessaire.

Maintenir les enregistrements de température. Conservez un journal de température de :

L’huile et l’eau de et vers les refroidisseurs.

Huile dans les réservoirs.

Retour d’huile des paliers principaux.

Entrée d’huile vers l’équipement de purification.

Cela aidera les opérateurs à remarquer les changements soudains, de sorte que les problèmes de performance peuvent être identifiés et étudiés plus tôt. Des changements graduels dans les refroidisseurs d’huile peuvent indiquer la formation de dépôts sur les surfaces de refroidissement. Le maintien de températures suffisamment élevées dans les réservoirs et les équipements de purification aidera à éliminer l’eau et les contaminants insolubles.

Conserver les enregistrements d’exploitation. Garder des dossiers méticuleux est essentiel à la gestion d’un bon programme de lubrification et de maintenance. Les équipes de maintenance doivent conserver les enregistrements de :

Turbine et heures de fonctionnement de purification.

L’état de l’huile, les résultats de laboratoire et les heures de service.

Temps et quantité de composition et si de l’huile neuve ou purifiée a été utilisée.

Heure du changement du filtre et des heures de service.

Réparations, remplacements et révisions.

Garder un œil sur la performance de l’huileBien que les étapes décrites ici vous aident à maintenir la performance de votre huile, il est essentiel de procéder régulièrement à une analyse du rendement de l’huile pour s’assurer que l’huile fonctionne à plein régime. L’analyse de l’huile fournit aux opérateurs des informations essentielles qui peuvent les aider à détecter l’apparition de la détérioration, de la contamination et d’autres problèmes. Cela permet une action corrective pour éviter les temps d’arrêt imprévus et coûteux.Plus précisément, l’UOA peut aider à fournir aux opérateurs des informations importantes concernant trois domaines clés : l’état de l’équipement, l’état du lubrifiant et la contamination.

Condition de l’équipement. L’analyse de l’huile peut fournir des informations détaillées sur l’usure des métaux et aider les opérateurs à comprendre la métallurgie des composants testés. La prévention de l’usure excessive du métal peut aider à éviter la défaillance de l’équipement ou des problèmes opérationnels.

2. couches et boues. L’accumulation de boues et de couches sur les paliers de la turbine est une indication de la dégradation du lubrifiant, qui peut entraîner une contamination. La contamination particulaire est l’élément le plus destructeur de l’huile de lubrification et réduira considérablement la durée de vie des roulements et des engrenages. Source : Exxon Mobil


Condition du lubrifiant. Le maintien des propriétés physiques du lubrifiant est important pour augmenter la fiabilité de l’équipement et la durée de vie du lubrifiant. Les résultats d’UOA aident à indiquer l’état d’un lubrifiant en fournissant un aperçu de l’oxydation et de la viscosité, entre autres caractéristiques. Les produits de la dégradation des lubrifiants, y compris les boues et les couches (figure 2), sont habituellement instables dans l’huile et formeront des dépôts ou seront séparés de l’huile en vrac.

Contamination. La contamination est la principale cause de l’usure ou de la défaillance des composants, et l’UOA est l’un des outils les plus précieux pour identifier la contamination. Un certain nombre de sources peuvent contribuer à la contamination, y compris la contamination intégrée provenant du processus de fabrication ou d’installation des composants ; contamination auto-générée par des composants du système usés ou endommagés par d’autres particules ; et l’admission externe. En identifiant l’existence de contaminants via l’UOA, les opérateurs peuvent ensuite identifier la cause et prendre des mesures avant que cela ne se traduise par un arrêt imprévu de l’équipement.

Meilleur programme de sa catégorie en actionLorsque les opérateurs élaborent un programme de lubrification intégrant ces meilleures pratiques, les résultats peuvent avoir un impact.

Considérez l’expérience de Monmouth Energy, un producteur d’énergie basé au New Jersey. La société exploite deux turbines à gaz Solar Turbines Taurus 60 qui convertissent le gaz d’enfouissement en électricité sur un site de Tinton Falls. En raison des conditions d’exploitation difficiles associées au gaz d’enfouissement, l’entreprise recherchait une solution de lubrification capable d’optimiser les performances des turbines.

Exxon Mobil a recommandé à l’entreprise d’utiliser une huile de turbine synthétique haute performance formulée pour offrir une protection durable des composants pour les applications de turbines à gaz industrielles extrêmes, notamment la résistance à la dégradation à haute température et la protection contre la rouille et la corrosion. Il a également été recommandé que l’entreprise mette en œuvre une routine UOA pour surveiller les conditions d’huile.

Après avoir mis l’huile en service, les turbines ont dépassé 90 000 heures de fonctionnement sur un seul remplissage d’huile. Plus important encore, les résultats d’UOA ont confirmé que l’huile a livré cette longue durée de vie sans sacrifier aucune capacité de performance. En prolongeant la durée de vie de l’huile et les intervalles de vidange

d’huile, l’entreprise a pu améliorer la productivité et le potentiel de production d’énergie.

La lubrification n’est généralement pas considérée comme un moteur d’activité clé, mais c’est une opportunité à portée de main pour optimiser les performances d’équipements plus récents et plus avancés. Une stratégie de lubrification robuste - avec des lubrifiants de haute qualité et l’utilisation des bons services - peut aider les opérateurs à protéger les équipements contre les conditions de fonctionnement exigeantes d’une production électrique moderne, améliorant ainsi la productivité et améliorant les résultats.

-Gary Brown est un ingénieur de terrain et Jim Hannon est un conseiller technique de produit chez Exxon Mobil

Comment le jumelage Numérique changent l’industrie de l’énergie

Des opérations améliorées, une réduction des interruptions imprévues et des variations mieux gérées des conditions du marché - c’est le but idyllique des leaders de l’énergie à travers le monde, mais comment le concept de jumeau numérique fait-il de cet objectif une réalité ?

Le jumelage numérique décrit la cartographie des actifs physiques sur une plateforme numérique.

Pour l’industrie de l’énergie, il pourrait s’agir d’un parc éolien, d’une installation nucléaire ou d’une centrale à charbon traditionnelle. La réplique numérique utilise des données provenant d’actifs physiques, par exemple les données acquises du moteur d’une éolienne, pour analyser son efficacité, son état et son statut en temps réel.

Cela semble impressionnant, mais comment peut-il améliorer les applications énergétiques ?

Considérez les parcs éoliens comme un exemple. L’énergie éolienne a contribué à 15% de la production totale d’électricité en Grande-Bretagne en 2017.

C’est une forme de production d’énergie de plus en plus populaire, mais comme les éoliennes


doivent fonctionner pendant plusieurs décennies, dans certains des environnements les plus difficiles, les pannes imprévues peuvent être coûteuses. Par conséquent, il est très utile de prévoir une panne d’équipement à venir, bien avant qu’elle ne se produise.

En utilisant un jumelage numérique de la turbine, la réplique peut informer un opérateur lorsqu’un actif commence à montrer des signes de performances non optimales, sans qu’un ingénieur ait besoin d’accéder à la turbine physique. Cela pourrait donner une indication du moment où l’actif pourrait échouer, minimisant ainsi le risque d’indisponibilité inattendue.

En acquérant cette connaissance des problèmes à venir, les ingénieurs de maintenance peuvent également prendre leurs décisions de réparation à partir de données réelles, par opposition à des calendriers de maintenance prédéfinis ou à des devinettes. Les actifs peuvent ensuite être conservés à leur niveau optimal pour des profits maximaux, plutôt que d’effectuer une maintenance réactive aléatoire lorsqu’une partie tombe en panne.

Cela dit, une maintenance améliorée n’est pas le seul avantage de cette technologie. Contrairement au nucléaire, au gaz ou au charbon, où la production d’énergie peut être prédite, l’énergie éolienne est beaucoup plus volatile. En utilisant un jumelage numérique d’un parc éolien, les opérateurs peuvent prévoir quand ils peuvent augmenter ou diminuer la vitesse du vent en se basant sur des simulations.

Cela leur permet de réagir rapidement aux marchés et de mieux faire face aux marchés fortement intégrés verticalement, comme l’Amérique du Nord et l’Europe, où il existe de multiples sources d’énergie pour répondre à la demande d’énergie.

En analysant les turbines numériques, les opérateurs peuvent utiliser ces données pour optimiser la production et les profits. Que se passe-t-il si le vent tombe en dessous d’un certain niveau ? Devriez-vous vendre votre énergie aujourd’hui en fonction des tendances de taux ? Serait-il préférable de cesser la génération aujourd’hui, parce que le coût de la production dépasse le profit potentiel ? Toutes ces questions pourraient être éclairées et répondues à l’aide de ces données.

Cependant, la collecte de données n’a aucune valeur sans le bon logiciel. Un progiciel intelligent est essentiel pour analyser et visualiser ces données sur une interface homme-machine (IHM). Le logiciel de surveillance de COPA-DATA zenon, par exemple, inclut un mode de simulation qui permet aux opérateurs d’apporter

des modifications à un actif numérique et de voir les effets - sans le risque de falsification d’un actif physique réel.

Le jumelage numérique peut être appliqué à presque tous les sites de production d’énergie. Dans les installations nucléaires, cette technologie pourrait être utilisée pour prédire la défaillance d’un compresseur, 30 à 60 jours avant la panne réelle. Cela peut coûter des millions de dollars pour remettre une centrale nucléaire en ligne, alors les économies de coûts pour ce secteur sont indéniables.

Les exploitants de centrales au charbon peuvent également tirer parti de la double vision numérique, pour économiser du carburant et améliorer l’efficacité globale. Cela pourrait réduire la quantité de charbon nécessaire pour faire fonctionner une centrale, ce qui reflète l’énorme potentiel d’avantages économiques et environnementaux.

Des opérations améliorées, des pannes réduites et des variations mieux gérées dans les conditions du marché peuvent sembler idylliques, mais le jumelage numérique le rend possible. Cela explique certainement pourquoi cette technologie est si bien reçue dans le secteur de l’énergie, et pourquoi nous prévoyons de plus en plus utiliser des jumelages numériques à l’avenir.

Par Martyn Williams, Directeur Général, COPA-DATA UK.

Les transformateurs numériques Que faut-il pour une société d’électricité ou de services publics pour réussir une transformation numérique ? Pour cela, il est judicieux de se renseigné auprès de certains des principaux leaders de l’industrie de l’énergie.


Les centrales électriques sont comme des robots sans cervelle, et l’IA peut résoudre ce problème en rendant les processus physiques plus prévisibles et, dans certains cas, automatisés. Steve Martin

Les coûts d’exploitation et de maintenance pour l’exploitation du réseau et des centrales électriques, y compris les parcs éoliens et les installations solaires à grande échelle, restent élevés. En 2018, l’IA automatisera rapidement la maintenance de base des processus industriels, de l’optimisation du carburant en temps réel (impact significatif sur les émissions de gaz à effet de serre) à la prévision de la puissance éolienne.


doivent fonctionner pendant plusieurs décennies, dans certains des environnements les plus difficiles, les pannes imprévues peuvent être coûteuses. Par conséquent, il est très utile de prévoir une panne d’équipement à venir, bien avant qu’elle ne se produise.

En utilisant un jumelage numérique de la turbine, la réplique peut informer un opérateur lorsqu’un actif commence à montrer des signes de performances non optimales, sans qu’un ingénieur ait besoin d’accéder à la turbine physique. Cela pourrait donner une indication du moment où l’actif pourrait échouer, minimisant ainsi le risque d’indisponibilité inattendue.

En acquérant cette connaissance des problèmes à venir, les ingénieurs de maintenance peuvent également prendre leurs décisions de réparation à partir de données réelles, par opposition à des calendriers de maintenance prédéfinis ou à des devinettes. Les actifs peuvent ensuite être conservés à leur niveau optimal pour des profits maximaux, plutôt que d’effectuer une maintenance réactive aléatoire lorsqu’une partie tombe en panne.

Cela dit, une maintenance améliorée n’est pas le seul avantage de cette technologie. Contrairement au nucléaire, au gaz ou au charbon, où la production d’énergie peut être prédite, l’énergie éolienne est beaucoup plus volatile. En utilisant un jumelage numérique d’un parc éolien, les opérateurs peuvent prévoir quand ils peuvent augmenter ou diminuer la vitesse du vent en se basant sur des simulations.

Cela leur permet de réagir rapidement aux marchés et de mieux faire face aux marchés fortement intégrés verticalement, comme l’Amérique du Nord et l’Europe, où il existe de multiples sources d’énergie pour répondre à la demande d’énergie.

En analysant les turbines numériques, les opérateurs peuvent utiliser ces données pour optimiser la production et les profits. Que se passe-t-il si le vent tombe en dessous d’un certain niveau ? Devriez-vous vendre votre énergie aujourd’hui en fonction des tendances de taux ? Serait-il préférable de cesser la génération aujourd’hui, parce que le coût de la production dépasse le profit potentiel ? Toutes ces questions pourraient être éclairées et répondues à l’aide de ces données.

Cependant, la collecte de données n’a aucune valeur sans le bon logiciel. Un progiciel intelligent est essentiel pour analyser et visualiser ces données sur une interface homme-machine (IHM). Le logiciel de surveillance de COPA-DATA zenon, par exemple, inclut un mode de simulation qui permet aux opérateurs d’apporter

des modifications à un actif numérique et de voir les effets - sans le risque de falsification d’un actif physique réel.

Le jumelage numérique peut être appliqué à presque tous les sites de production d’énergie. Dans les installations nucléaires, cette technologie pourrait être utilisée pour prédire la défaillance d’un compresseur, 30 à 60 jours avant la panne réelle. Cela peut coûter des millions de dollars pour remettre une centrale nucléaire en ligne, alors les économies de coûts pour ce secteur sont indéniables.

Les exploitants de centrales au charbon peuvent également tirer parti de la double vision numérique, pour économiser du carburant et améliorer l’efficacité globale. Cela pourrait réduire la quantité de charbon nécessaire pour faire fonctionner une centrale, ce qui reflète l’énorme potentiel d’avantages économiques et environnementaux.

Des opérations améliorées, des pannes réduites et des variations mieux gérées dans les conditions du marché peuvent sembler idylliques, mais le jumelage numérique le rend possible. Cela explique certainement pourquoi cette technologie est si bien reçue dans le secteur de l’énergie, et pourquoi nous prévoyons de plus en plus utiliser des jumelages numériques à l’avenir.

Par Martyn Williams, Directeur Général, COPA-DATA UK.

Les transformateurs numériques Que faut-il pour une société d’électricité ou de services publics pour réussir une transformation numérique ? Pour cela, il est judicieux de se renseigné auprès de certains des principaux leaders de l’industrie de l’énergie.


Les centrales électriques sont comme des robots sans cervelle, et l’IA peut résoudre ce problème en rendant les processus physiques plus prévisibles et, dans certains cas, automatisés. Steve Martin

Les coûts d’exploitation et de maintenance pour l’exploitation du réseau et des centrales électriques, y compris les parcs éoliens et les installations solaires à grande échelle, restent élevés. En 2018, l’IA automatisera rapidement la maintenance de base des processus industriels, de l’optimisation du carburant en temps réel (impact significatif sur les émissions de gaz à effet de serre) à la prévision de la puissance éolienne.


Dans le même temps, je prévois une approche mixte homme / IA pour numériser les opérations qui libère du capital humain pour se concentrer sur les questions hautement prioritaires. L’électricité a une main-d’œuvre mature avec 25% des travailleurs de l’industrie atteignant l’âge de la retraite dans cinq ans, donc les producteurs d’électricité et les services publics devront investir considérablement dans la création d’une culture où les opérateurs sont à l’aise dans des environnements AI.

Susan Petersen Sturm

Responsable numérique de la division Power Generation & Water de la division Industrial Automation d’ABB Il est crucial d’avoir une vision globale du numérique. Les entreprises en tête ont commencé avec de petits projets et des projets pilotes qui ont rapidement donné des résultats tangibles. Les résultats et le succès stimulent l’adoption culturelle de solutions numériques dans la centrale. Avec l’organisation à bord, un projet plus vaste et plus ambitieux est plus facile à exécuter. Susan Petersen Sturm«Tout est une question de personnes, de processus et de technologie. Dans la numérisation, nous parlons beaucoup de technologie mais pas de personnes et de processus.

«Sans changer leur processus d’affaires pour obtenir les résultats que les solutions numériques offrent, les entreprises auront une excellente technologie mais rien d’autre. La numérisation ne devrait pas faire que les gens se sentent aliénés ou exclus de l’avenir numérique de l’industrie. Les entreprises ont besoin de programmes, de projets et de projets pilotes numériques pour impliquer les bonnes parties prenantes, qui vont au-delà des opérations et impliquent souvent la technologie de l’information, la conformité et la finance. En d’autres termes, n’oubliez pas d’amener la bonne équipe dans le voyage numérique. «

Patrick Kennedy est chef de la direction et fondateur d’OSIsoft

Pour tirer pleinement parti de la transformation numérique, les grands consommateurs d’électricité et les services publics devront élaborer des stratégies qui leur permettront effectivement d’ajouter des passerelles IoT et de nouveaux capteurs sans avoir à ripper leurs anciens réseaux.

Franchement, obtenir l’ancien et le nouveau sera l’un des défis les plus faciles à relever, mais il y aura des ralentissements. De nombreux fournisseurs de services informatiques, par exemple, n’apprécient pas toujours pleinement les problèmes de sécurité et de sûreté rencontrés par les départements opérationnels. Les organismes de normalisation et les associations de l’industrie exigeront probablement des choses comme des normes de «chaîne de traçabilité» qui permettront aux utilisateurs finaux de retracer la généalogie complète de tout produit qu’ils achètent.

Martin Dunlea est responsable des secteurs mondiaux pour les services publics chez Oracle

Il ne fait aucun doute que les solutions Cloud joueront un rôle de plus en plus important pour aider les services publics à relever les défis auxquels ils sont confrontés.

Un nombre important de sociétés de services publics utilisent déjà ou prévoient d’implémenter le Cloud, ou utilisent des applications et des ressources informatiques livrées en tant que service via une connexion réseau au lieu des ressources internes traditionnelles.

Pour tirer le meilleur parti du Cloud, l’industrie des services publics doit se désintégrer et abandonner son approche averse au risque pour l’investissement technologique. La plupart des technologies utilisées aujourd’hui par les services publics tournent autour des réseaux intelligents et des technologies de nouvelle génération, telles que la gestion des données de compteurs, l’analyse de Big Data, l’automatisation de la distribution et la gestion de réseau.

Les entreprises de services publics prospères du futur seront celles qui ont remplacé les systèmes hérités par des applications souples et flexibles qui répondent à l’évolution des processus métier dans des domaines clés, optimisent les modèles commerciaux existants et garantissent que les technologies cloud s’intègrent bien dans l’organisation.

Ganesh Bell

Président de la société de logiciels de science des données industrielles et d’intelligence artificielle Uptake


Que faudra-t-il pour que la numérisation devienne une réalité dominante ? Ganesh Bell.

Je croyais depuis longtemps que chaque industrie serait réinventée avec des logiciels, et je prévois un réseau de valeur numérique numérisé de bout en bout. Ce sera un réseau dans lequel chaque nœud ne génère pas ou ne consomme pas d’électricité, il génère également un bit de données pour chaque électron.

Et les données générées alimenteront la capacité de notre industrie à accroître l’efficacité, à réduire les émissions et à apporter plus de flexibilité et de résilience à la production et au réseau. Cela va également transformer la façon dont nous opérons et maintenons nos actifs, et rationaliser les processus à forte intensité de main-d’œuvre.

La numérisation donnera à l’industrie les connaissances dont elle a besoin pour gérer intelligemment la demande (et l’offre) d’une prolifération de bâtiments et de véhicules électrifiés. Un réseau de valeur de l’électricité connecté permettra finalement la création d’un Internet de l’énergie, et avec elle de nouveaux modèles d’affaires pour les fournisseurs et plus de choix pour les consommateurs.

Le voyage vers le consommateur responsabilisé commence par la numérisation de la centrale de la génération et du réseau. Sans la génération numérique, aucun producteur d’électricité n’aura les connaissances nécessaires pour prévoir avec précision et commercer intelligemment sur un marché numérique. Sans grille numérique, nous ne pouvons pas intégrer de façon transparente des ressources énergétiques distribuées, ni mettre le pouvoir de choix entre les mains de nos clients.


Une firme de communications stratégiques qui conseille les services publics

«Il faut comprendre que le client joue un rôle dans toute transformation technologique. Ce fut l’erreur numéro un que les premiers utilitaires ont fait - et il a fini par devenir une énorme barrière. Juliet Shavit

Il y a aussi un malentendu sur le fait que la technologie intelligente peut à elle seule faire n’importe quoi. C’est l’interaction entre la technologie et les personnes qui créent la solution.

Vous pouvez avoir la technologie la plus

intelligente au monde, mais à moins que les clients s’engagent avec eux et réduisent leur consommation d’énergie et jouent un rôle proactif dans la transformation de l’énergie, alors vous n’avez vraiment pas de valeur durable. Et vous n’allez pas réaliser les investissements dans la technologie.

Une des erreurs que les services publics font est qu’ils supposent que les clients s’en foutent. Ils supposent que les clients ont peur de la technologie. Ils supposent que ces choses n’ont aucun impact sur les clients. Et ce sont toutes de grandes erreurs. Parce que si vous dépassez le déploiement du compteur et que vous parlez de la modernisation du réseau et de tous les produits de la maison intelligente, enseigner aux clients comment utiliser et optimiser ces types de technologies ne fera qu’améliorer les investissements déjà réalisés par les services publics.

Donc, je pense que l’un des compas de guidage pour les services publics est de se concentrer sur leur client. S’ils décident qu’ils peuvent améliorer leur relation client et la façon dont ils fournissent le service à leur client, je pense que cela les aidera à comprendre certaines de ces choses confuses.


La chose la plus importante à retenir est l’utilisateur final. Les fournisseurs d’électricité et les entreprises de services publics qui cherchent à utiliser les technologies IoT pour générer des avantages internes et externes n’obtiendront du succès que s’ils intègrent le consommateur. Phil Beecher

Cela rend les programmes de sensibilisation et d’éducation d’une importance vitale pour vendre à vos clients les avantages de tout nouveau projet IoT. Votre nouvelle solution accrocheuse pourrait transformer l’expérience client, réduire les coûts, améliorer l’efficacité et favoriser une plus grande agilité commerciale, mais si vos clients ne sont pas avec vous, toute cette planification et cet investissement pourraient être insignifiant.

Nous sommes déjà bel et bien entrés dans l’ère de l’IdO. Mais débloquer la valeur de ces technologies nécessite plus que des investissements aveugles dans la technologie. Les organisations qui ont le plus tendance à devancer leurs concurrents seront celles qui mettent l’accent sur la sécurité, la performance et les normes pour assurer le succès.

Par Kelvin Ross.


Que faudra-t-il pour que la numérisation devienne une réalité dominante ? Ganesh Bell.

Je croyais depuis longtemps que chaque industrie serait réinventée avec des logiciels, et je prévois un réseau de valeur numérique numérisé de bout en bout. Ce sera un réseau dans lequel chaque nœud ne génère pas ou ne consomme pas d’électricité, il génère également un bit de données pour chaque électron.

Et les données générées alimenteront la capacité de notre industrie à accroître l’efficacité, à réduire les émissions et à apporter plus de flexibilité et de résilience à la production et au réseau. Cela va également transformer la façon dont nous opérons et maintenons nos actifs, et rationaliser les processus à forte intensité de main-d’œuvre.

La numérisation donnera à l’industrie les connaissances dont elle a besoin pour gérer intelligemment la demande (et l’offre) d’une prolifération de bâtiments et de véhicules électrifiés. Un réseau de valeur de l’électricité connecté permettra finalement la création d’un Internet de l’énergie, et avec elle de nouveaux modèles d’affaires pour les fournisseurs et plus de choix pour les consommateurs.

Le voyage vers le consommateur responsabilisé commence par la numérisation de la centrale de la génération et du réseau. Sans la génération numérique, aucun producteur d’électricité n’aura les connaissances nécessaires pour prévoir avec précision et commercer intelligemment sur un marché numérique. Sans grille numérique, nous ne pouvons pas intégrer de façon transparente des ressources énergétiques distribuées, ni mettre le pouvoir de choix entre les mains de nos clients.


Une firme de communications stratégiques qui conseille les services publics

«Il faut comprendre que le client joue un rôle dans toute transformation technologique. Ce fut l’erreur numéro un que les premiers utilitaires ont fait - et il a fini par devenir une énorme barrière. Juliet Shavit

Il y a aussi un malentendu sur le fait que la technologie intelligente peut à elle seule faire n’importe quoi. C’est l’interaction entre la technologie et les personnes qui créent la solution.

Vous pouvez avoir la technologie la plus

intelligente au monde, mais à moins que les clients s’engagent avec eux et réduisent leur consommation d’énergie et jouent un rôle proactif dans la transformation de l’énergie, alors vous n’avez vraiment pas de valeur durable. Et vous n’allez pas réaliser les investissements dans la technologie.

Une des erreurs que les services publics font est qu’ils supposent que les clients s’en foutent. Ils supposent que les clients ont peur de la technologie. Ils supposent que ces choses n’ont aucun impact sur les clients. Et ce sont toutes de grandes erreurs. Parce que si vous dépassez le déploiement du compteur et que vous parlez de la modernisation du réseau et de tous les produits de la maison intelligente, enseigner aux clients comment utiliser et optimiser ces types de technologies ne fera qu’améliorer les investissements déjà réalisés par les services publics.

Donc, je pense que l’un des compas de guidage pour les services publics est de se concentrer sur leur client. S’ils décident qu’ils peuvent améliorer leur relation client et la façon dont ils fournissent le service à leur client, je pense que cela les aidera à comprendre certaines de ces choses confuses.


La chose la plus importante à retenir est l’utilisateur final. Les fournisseurs d’électricité et les entreprises de services publics qui cherchent à utiliser les technologies IoT pour générer des avantages internes et externes n’obtiendront du succès que s’ils intègrent le consommateur. Phil Beecher

Cela rend les programmes de sensibilisation et d’éducation d’une importance vitale pour vendre à vos clients les avantages de tout nouveau projet IoT. Votre nouvelle solution accrocheuse pourrait transformer l’expérience client, réduire les coûts, améliorer l’efficacité et favoriser une plus grande agilité commerciale, mais si vos clients ne sont pas avec vous, toute cette planification et cet investissement pourraient être insignifiant.

Nous sommes déjà bel et bien entrés dans l’ère de l’IdO. Mais débloquer la valeur de ces technologies nécessite plus que des investissements aveugles dans la technologie. Les organisations qui ont le plus tendance à devancer leurs concurrents seront celles qui mettent l’accent sur la sécurité, la performance et les normes pour assurer le succès.

Par Kelvin Ross.


Calendrier d'évènement Gastech

Date/heure de l’événement 17-20 Septembre 2018

DescriptionDepuis plus de 45 ans, l’exposition et la conférence Gastech sont à la pointe des industries internationales du gaz, du GNL et de l’énergie.

Emplacement Barcelone, Espagne

Plus d’informations

http://www.gastechevent.com

Appelez au +44 (0) 203 615 5914Contactez par e-mail [email protected]

Trouvez nous dmg: events global energy4e étage, Northcliffe House, 2 Derry Street,Londres, Royaume UniW8 5TT

ICWEAA’2018 : Conférence internationale sur l’énergie éolienne et ces applications

Date/heure de l’événement 6-7 Novembre 2018

Description

L’énergie éolienne est l’une des énergies renouvelables les plus compétitives. En conséquence, la capacité installée mondiale est en constante évolution et atteint près de 540 GW en 2017. En Algérie, à l’heure actuelle, il n’existe qu’un seul parc éolien d’une capacité installée de 10 MW. Cependant, dans le programme Énergies Renouvelables adopté par le gouvernement algérien, l’objectif global d’énergie éolienne est d’installer 5 GW d’ici 2030. L’objectif de cette conférence est de réunir chercheurs, ingénieurs et industriels pour établir l’état de l’art de la recherche dans le domaine de l’énergie éolienne ainsi que les défis et les opportunités pour la mise en œuvre de ce programme.

Emplacement Alger, Algérie


Address : Division Energie Eolienne - Centre de Développement des Energies Renouvelables, BP 62 Route de l’Observatoire. Bouzaréah. CP 16340. Alger.

Algeria.Tel : +213(0) 23 18 90 60, +213(0) 23 18 90 51, +213(0)

23 18 90 53Fax : +213(0) 23 18 90 56, +213 (0) 23 18 90 58Email : [email protected] ou [email protected]

Gastech

www.powermag.comwww.turbomachinerymag.com

www.power-eng.comhttps://dieselgasturbine.com/

www.powerengineeringint.com

La structure stratégie et veille assurent la veille stratégique (technologique, normative,

concurrentielle, réglementaire ...) au sein de la société algérienne de production d’électricité, pour plus de détails, veuillez contacter

[email protected]

Source

Date/heure de l’événement

4-6 Décembre 2018

Description

Présentant une grande variété de produits et de services, POWER-GEN International représente un regard horizontal sur l’industrie en mettant l’accent sur de nouvelles solutions et innovations de l’avenir.

EmplacementOrange County Convention

Center

Orlando, FL États-Unis


Site Web : www.power-gen.comOrganisateur : Pennwell Corp.Téléphone :+44 (0) 1992 656 615Email : [email protected] Web: www.pennwell.com


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