Amicale Alsacienne du Québec •Elsaesser Club363, St-François-Xavier, MONTRÉAL, Qc H2Y 3P9

+1 (450) 562-2362 • info@alsace-qc.org • http ://www.alsace-qc.org

Raymond Herr, président ; Gérard Lévy, vice-président ;Laurent Gall, secrétaire ; Marcel Cronenberger, trésorier ;

Christine Heitz, Ada Verconich, Isabelle Zenner, Didier Léonhart, Michel Ringue, directeurs.

Membre de l’Union Internationale des Alsaciens • http://www.alsacemonde.org

Cerfs de Virginie à Lachute, Photo : Remes

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Au calendrier de l’Amicale • http://alsace-qc.org/calendrier.htm D’Lachkür / Pr. Flascheputzer

STAMMTISCH au Restaurant Le Bourlingueur

363, St-François-Xavier (Coin St-Paul), Vieux-Montréal

mardi 8 février 2011

lundi 14 mars 2011

lundi 11 avril 2011

lundi 9 mai 2011

à partir de 17 h 30 • Pas de réservation 

Plats spéciaux style Winstub.

Rencontre et repas«...pour casser l’hiver»

au restaurantLe Bourlingueur

(voir annonce ci-dessous)

Dimanche 27 février à 12 h

Table d’hôte :

Crème de poireaux ou Salade du chef

Lapin à la moutarde, spaetzele (22,75 $)Boeuf carotte, pommes vapeur (19,15 $)

Turbot, petits légumes, riz (17,95 $)

Tarte aux mirabelles

Café, thé ou tisane

Le prix indiqué est pourle repas complet,

selon le choix du plat principal, et comprend les taxes et le service.

Boissons en sus.Il est impératif de réserver

avant le jeudi 24 février.(514) 845-3646

Journée printanière dans les Laurentides

à l’Auberge Lac-du-Pin-Rougeà St-Hippolyte

(voir annonce ci-dessous)

Dimanche 27 mars à 12 h

Potage Saint Germain aux croutons aillés

Terrine de lapin aux bleuets

Poulet de cornouailles, duo de chou etpommes au bouillon,

demi glace au poivre vert

Nougat glacé aux fruits confits et coulis exotique

Café, thé ou tisane

Prix : 20 $Boissons, taxes et service en sus

Il est impératif de réserver avant le jeudi 24 mars.

(450) 563-27901-800-427-0840

Possibilités de séjourner...

8, rue des Pins, La Malbaie, Qc G5A 2S3(418) 665-6952 • 1-888-665-6952 • www,aubergelessources.com

www.lebourlingueur.ca

S'Marie un d'r Jean verbringe ihre Hochzits-reis in New-York. Leider sin d'Lift-Boys inStreik, sodass d'Gäscht z'füess uffe in ihreZimmer mien geh. Unser Hochzitspàrle hate Zimmer im 16. Stock. Das steert d'r Jeannit gross, drumm meint'r:- Mach dir nichs drüss Schatzele, mirwàre oi uffekumme, un fir dass dir d'r Wàgnit si lang dunkt, so verzehl ich dir in jedemStock e anderer Witz.Das hat'r dr'no g'macht, un wu beide àndligun ganz üsgepumpt im 16. Stock lande, nosàit d'Marie:-Schatz, jetz verzehl ich dir e Witz...du hasch vergässe bim Portier unte d'r Zim-merschlissel z'verlange.

Nouveau site internet : alsace-qc.org

Après une qunizaine de jours de travail,alors que l’organisation du brunch auReine-Élizabeth pompait pas mald’énergie par ailleurs, le nouveau site apu être ouvert le 13 décembre dernier.

Jean ACHIM avait réalisé desprouesses en mettant sur pied, enmoins d’une semaine, le site précédentà l’adresse alsace-qc.tk. et en effec-tuant la maintenance pendant plus dedeux ans. Nous lui devons donc nos re-merciements chaleureux.

Des problèmes répétés d’accès l’ontamené à nous proposer un arrêt défini-tif. Comme c’est un homme dévoué,charmant et serviable, «il s’en était misbeaucoup sur le dos» en acceptant defaire le webmestre pour tous ceux quile lui demandaient. Tellement, qu’avecses problèmes personnels (de santé),cela devenait plus que trop!... J’ai doncdécidé à regret de m’occuper moi-même du site.Une fois l’hébergeur trouvé, il ne restaitplus qu’à faire effectivement le travail.Comme je disposais des documents, lamajeure partie du travail consistait à ap-prendre comment faire (c’est mon pre-mier site !...), à décider du contenu etde la mise en page et à régler des petitsproblèmes techniques. (il en reste ,mais ça ne se remarque pas trop !...)On peut donc considérer que la mise enplace est terminée et que vous pouvezvous en servir.

Tout le monde aura compris le conceptde la cigogne qui quitte l’Alsace pouraller vers l’ouest, au Québec, en traver-sant la ligne bleue des Vosges pour dé-couvrir d’autres horizons.

Le site n’est pas complet. J’ai voulu

donner les grandes lignes, desexemples de ce qui sera enrichi plustard : hommages aux membres qui ontle plus marqué notre Amicale (ilmanque beaucoup de noms...),. ar-chives, liste des comités (qui reste àcompléter jusqu’en 1979), etc... Peut-être pouvez-vous m’aider en res-sortant vos vieilles photos, me les scan-ner pour que je puisse en enrichir lesalbums photos et ainsi compléter les in-formations présentées.

Il n’est pas interdit de me faire des sug-gestions et des commentaires. Si je lesretiendrai est une autre histoire, car il ya aussi un problème de compétencetechnique. en plus de mon «Dickschä-del».

J’ai mis énormément de liens vers dessites où vous pouvez trouver des com-pléments d’information. Je ne peux dé-cemment pas recopier tout ce qui setrouve déjà sur internet !... C’est pourcela que j’ai privilégié des photos per-sonnelles ou autorisées et mis beau-coup de logos que je vous invite àcliquer sans retenue. Et de là, vous dé-couvrirez que l’Alsace a vraiment beau-coup à offrir.

En particulier, si vous êtes à la re-cherche de recettes de cuisine, il y ena à peu près sur tous les sites relatifs àl’Alsace. Il faut croire que nous avonsvraiment une idée fixe sur la gourman-dise.Les bulletins trimestriels pourront êtreconsultés en direct pendant un an, puisversés aux archives en .pdf

Je vous souhaite d’agréables visites...À consommer sans modération.

Raymond HERR

Notre nouveau site internet est maintenant opérationnel.

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associationaccueil activités

Album souvenir Clics sur l’Alsace

Les absents ont eut tort.... tort de nepas se préoccuper de réserver tôt.

Très vite, les 120 places prévues àl’origine se sont envolées... et j’ai faitplusieurs mécontents de s’entendredire qu’ils avaient été mis en liste d’at-tente. Heureusement, les choses ontpu être réglées au point que 160convives ont pu passer une fameuseaprès-midi au Fairmont-Reine-Éliza-beth, à déguster à peu près tous lesgrands classiques de la gastronomiealsacienne.

Merci aux musiciens de la familleRINGUE.

Merci à Michel BUSCH, aux chefsSerge JOST et Alain PIGNARD ettoute leur équipe pour nous avoir sibien reçus.

Merci aux généreux commanditaireset à l’UIA dont la subvention a permisla réalisation de ce mémorable événe-ment.Merci aux bénévoles : Isabelle ZEN-NER, Marcel et Thérèse CRONEN-BERGER, Gérard LÉVY, NicoleBÉLANGER-HERR qui ont contribuéactivement à la décoration et à la tom-bola.

R. H.Autres détails sur le site de l’Amicale.

Brunch du 5 décembre

Né en 1939 à Sélestat, Jacques PaulKlein a quitté l'Alsace avec sa mère en1946 pour les États-Unis ou il a gravitous les échelons de la diplomatie amé-ricaine jusqu'à devenir ambassadeur,général de division (cadre de réserve)de I'armée de l'air américaine et repré-sentant spécial du secrétaire général deI'ONU en Bosnie-Herzégovine avec letitre de secrétaire général adjoint.Mais tout américain qu'il est devenu.Jacques-Paul Klein n'a pas oublié l'Al-sace.Selon son ancien professeur d'histoireà Chicago, le général a une biblio-thèque tellement riche en ouvrages surl'histoire et la littérature alsaciennequ'elle pourrait prétendre au.deuxièmerang derrière celle d'Harvard.

Une carrière placée sous le signedes honneursLauréat du prix de la tolérance MarcelRudloff" 2010, Jacques Paul Klein estrécompensé par I'association des amisde Marcel Rudlolf «au titre de ses diffé-rentes-.missions pour I'ONU, notam-ment en Bosnie-Herzégovine, où il a fait

preuve d'un esprit de tolérance, de res-pect des libertés religieuses, de dia-logue et de rëconciliation entre groupesethniques, unanimement reconnu».

Nommé par Kofi Ànnan, Jacques PaulKlein a mis son expérience de diplo-mate de haut-rang au service de la co-ordination des services de I'ONU.enBosnie de 1999 à 2003.

Ce poste est le point d’orgue d'une car-rière professionnelle placée sous lesigne des honneurs. et saluée par denombreuses distinctions.Entré dans la diplomatie américaine enl97l. après quatre ans dans l'arméedont une année au Vietnam, JacquesPaul Klein suit de près les affaires eu-ropéennes (il est notamment aflectétrois fois en Allemagne), avant d'êtresélectionné en 1979 pour étudier auCollège inter- armées de défense amé-ricain et d'occuper différents postesstratégiques au ministère de ia Défenseaméricain et à celui des Affairei étran-gères. En 1993, Il reprend le chemin deI'Europe en tant que conseiller politiqueauprès du commandant en chef desforces américaines stationnées en Eu-rope, à Stuttgart en Allemagne. Troisans plus tard, Boutros Boutros Gali,alors secrétaire général de I'ONU, lenomme administrateur transitoire pourla réintégration dans la Croatie de laSlavonie orientale, du Baranja et duSrem occidental au rang de Secrétairegénéral adjoint des Narions Unies. En1997, le gouvernement américain Ienomme adjoint principal du Haut-repré-sentant en Bosnie-Herzégovine, avantque Kofi Annan ne le désigne commechel de la mission de maintien de lapaix des Nations Unies.

Après son expérience en Bosnie, il aété nommé au Libéria de 2003 et 2005,puis il a donné des cours sur la gestionet la résolution de conflits à I'Universitéde Princeton en 2005-2006. Depuis2007. Jacques Paul Klein est consultanten affaires internationales et conféren-cier.

E.BPARIS.- BUREAU DNADimanche 7 mars 2010.

Jacgues Paul Klein : de I'Alsace aux Nations-Unies

Prix de la tolérance

Le « Prix de la tolérance Marcel Rudloff» est remis chaque année lors d’une cé-rémonie publique au cours du mois demars, le plus près possible de la dateanniversaire de la naissance de MarcelRudloff (15 mars). Le jury fut présidéjusqu’à sa mort par Pierre Pflimlin, puispar le Professeur Jean-Marc Bischoff .Il est aujourd’hui présidé par MaîtreLouis Oster ; c’est lui qui propose tousles ans en Conseil d’administration quidésigne en dernier recours, le lauréatau Prix.

Le lauréat aura manifesté par son ac-tion, son comportement, ses déclara-tions et prises de position ou tout autreagissement, des qualités exception-nelles d’ouvertue d’esprit, de sens desresponsabilités, de refus de tout secta-risme, de respect des autres, de dia-logue, de bienveillance et de tolérance.

Pour 2010, le choix du jury s'est portésur Jacques Paul Klein, une personna-lité aussi originale qu'exceptionnelle: néAlsacien à Sélestat en 1939 et devenucitoyen américain, par les circons-tances de la guerre, il a accédé auxplus hautes fonctions militaires et diplo-matiques dans son pays d'accueil, lesEtats-Unis Après le message d'amitié de VincentCarver, consul général des Etats-Unis,heureux et fier du choix du jury, dans le-quel il a vu une nouvelle manifestationdes liens particuliers entre l'Alsace etson pays, Louis Oster, président du jury,fit une présentation très imagée etpleine d'émotion du lauréat.«Votre esprit de tolérance est d'autantplus remarquable que vos origines etles épreuves et les souffrances subiespar votre famille alsacienne auraient pufaire de vous un apôtre de l'intolérance»dit-il notamment après avoir justifié ladécision du jury en montrant commentà travers ses différentes fonctions,aussi bien militaires que civiles, le gé-néral-ambassadeur, secfétaire généraladjoint des Nations Unies est devenu«celui qui protège l'homme et proclame,quel que soit cet homme, son ineffabledignité.»

C'est pour honorer la mémoire

de Marcel Rudloff et prendre

fait et cause pour tous les

hommes de tolérance qu'est

née l'Association des Amis de

Marcel Rudloff, en février

1997.

Strasbourg / inauguration de la Place du Québec

■ Cette coopération entre l'Alsace et laprovince canadienne avait été initiée enjuin 2000 par Adrien Zeller. Hier, RolandRies, le maire de Strasbourg, et AndréReichardt n'ont pas manqué de le sou-ligner. «L'attachement très affectifd'Adrien Zeller pour le Québec a portéle projet», a rappelé le vice-président duconseil régional, à l'époque directeur dela commission de pilotage. «Je suis per-suadé que le dévoilement de cetteplaque n'est que l'arbre amené à cacherune forêt de plus en plus dense», s'estréjoui André Reichardt au regard deséchanges économiques, culturels etuniversitaires qui lient les deux régions.

Un marché de Noël 2011 à Québec?

Située à l'intersection du boulevard Cle-menceau, de l'avenue de la Paix et dela rue Oberlin, la place du Québec faitface au bâtiment qui abritait le conseilrégional d'Alsace, voici encore six ans.Elle correspond au square implanté lelong de la ligne de tramway remontantla rue de la Paix. Un îlot de verdure prèsdu carrefour de la place de Bordeaux.Cette place du Québec constitue legeste symbolique d'une vraie amitiéentre Strasbourg et la ville canadienne,invitée d'honneur en 2007 de la Foireeuropéenne et du marché de Noël.«Si loin par la distance, Strasbourg etQuébec sont culturellement si proches.Nous partageons les mêmes valeurs,notamment en matière de démocratielocale ou de développement durable»,a souligné Roland Ries. Le maire deStrasbourg a d'ailleurs indiqué qu'ilavait bon espoir que le Christkindels-mârik strasbourgeois s'exporte dès l'an-née prochaine à Québec, comme celase fait déjà avec Tokyo.Ministre des relations internationales etde la phonie du Québec, Monique Ga-gnon-Tremblay n'a pas caché son coupde coeur pour Strasbourg. «Écrin histo-rique, vocation internationale, carrefouréconomique, c'est une ville magnifique

qui reflète l'idée qu'on se fait de l'avenir.Je suis très fière qu'elle ait désormaisun petit air québécois. »

P.S. DNA du 25 novembre 2010

■ L'Alsace et le Québec ont scellémercredi soir dix ans de coopérationéconomique, universitaire et cultu-relle par la signature d'un nouvel ac-cord, jusqu'en 2012.

Pour Pierre-Etienne Bind-Schedler,PDG de Soprema, qui détient 65 % dumarché canadien des toitures, le «Qué-bec est un juste milieu entre la cultureeuropéenne et le dynamisme améri-cain». Philippe Ruhlmann, fondateur dela PME de plafonds tendus Extenzo, ainvesti il y a deux ans 1,3 million de dol-lars canadiens dans l'implantation d'unsite de production au Québec. Cela faitdeux ans également que Michaël Be-chler, PDG d'Actinium, une très petiteentreprise qui propose aux artisans decommuniquer sur internet, développeson modèle en Gaspésie où il a recrutétrois salariés. «On y fait très peu dechiffre d'affaires, mais on se développe,avec déjà plus de huit mille portailscréés», dit-il.Yannis Metzinger, directeur de Cerigofilms, espère bien conclure avec un par-tenaire québécois pour la production decinq films documentaires d'une demi-heure sur l'exploration de châteaux, mivisite réelle, mi animation 2D ou 3D,dans l'esprit du Seigneur des Anneaux,pour un budget de 950000€.

Portes d'entrée de leurs continentsrespectifsComme l'ont confirmé ces grands et pe-tits patrons alsa¬ciens mercredi auClub des dirigeants d'entreprisesfranco-québécoises décentralisé àStrasbourg à l'initiative d'Alsace Inter-national, la coopération économiquemarche plutôt bien entre l'Alsace et leQuébec. Deux "provinces" dont l'uneest «la porte d'entrée vers le marchéeuropéen et l'autre vers ceux d'Améri-que du Nord», comme l'a fait remarquerMonique Gagnon-Tremblay, ministredes Relations internationales du Qué-bec. Elle remplaçait le Premier ministrequébécois Jean Charest dont la venueavait été annoncée mais qui a dû faireface mercredi à une motion de censuredéposée par le Parti québécois à l'As-semblée nationale (elle a été rejetée).Pendant deux jours, mercredi et jeudi,l'Alsace et le Québec ont fêté dix ansd'une coopération engagée par l'ancienprésident Adrien Zeller, avec le 2e sym-posium franco-québécois des pôles decompétitivité sur la thématique "santé/ biotechnologies" et la signature parPhilippe Richert et Michel Robitaille, dé-légué général du Québec en France, duplan d'action 2010-2012 qui concerneplusieurs secteurs d'intervention: le dé-veloppement économique et durable, lalutte contre les changements clima-tiques, l'enseignement supérieur, la for-mation et la mobilité des jeunes, larecherche et l'innovation, la culture .«Une démarche exemplaire et en l'oc-currence, le terme n'est pas galvaudé»,a dit Philippe Richert

Le prix Zeller au dessinateur Frédéric Back

Le premier "prix Adrien-Zeller" a été dé-cerné à cette occasion à Frédéric Back,grand dessinateur québécois d'originealsacienne. Il a été remis par HuguetteZeller à son fils, Francis Back, porteurd'un message de son père: «Adrien Zel-ler était un homme d'action et de paroledonnée. Depuis notre rencontre en2008, il n'a cessé de m'envoyer deslivres, des articles, des mots souventgriffonnés à la hâte, signe d'un hommebesogneux. Son décès fut pour moi ungrand choc».

Claude Keiflin

Au nom de l’amitiéLe Québec a désormais sa place à Strasbourg. La plaque a été

dévoilée hier et symbolise le trait d'union entre deux régions,

deux villes et des valeurs communes.

Un pape alsacien : Bruno d’Éguisheim-Dagsbourg (1002-1054)

Bruno d'Eguisheim-Dagsbourg est névers 1002 à Eguisheim, près de Col-mar. Il est issu d'une famille noble quidonna plusieurs saints à l'Eglise ainsique plusieurs seigneurs dans l'empireGermanique. Son père, Hugues était uncousin direct de l'empereur Konrad(1).

Dès sa plus tendre enfance, il donna lessignes d'un esprit brillant. A peine âgéde 5 ans, il fut confié à Berthold, évêquede Toul(2) qui dirigeait une école pourles enfants de la noblesse.Un jour, alors qu'il était encore enfant etqu'il séjournait dans sa famille, il fut at-taqué par un animal sauvage qui leblessa gravement et le laissa long-temps entre la vie et la mort. Il racontapar la suite qu'il eut une vision de SaintBenoit et que celui-ci le guérit en tou-chant ses blessures avec une croix.Cette anecdote est rapportée par lemoine Wibert, qui fut son biographelorsqu'il occupa le siège épiscopal deToul.

En 1017, il devint chanoine de la cathé-drale Saint-Etienne de Toul et bien qu'ilfut encore très jeune, il exerça une in-fluence apaisante sur le caractère colé-rique et emporté de l'évêqueHermann(3), successeur de Berthold.En 1024, lorsque Konrad succèda àl'empereur Henri Ier, ses parents l'en-voyèrent à la cour du roi pour servirdans sa chapelle. Rapidement sa vertule fit remarquer et ses compagnons luiattribuèrent le surnom de de "Bruno leBon". En 1026, Konrad entama une cam-pagne militaire en Italie et c'est Bruno,qui était alors diacre, qui commanda lecontingent venant de Toul à la placed'Hermann, trop vieux pour participer àcette campagne. Alors qu'il était engagédans cette campagne, il fut élu au siègeépiscopal pour succéder à Hermann quivenait de mourir. Mais Konrad, qui avaitpour lui des ambitions plus importanteshésita longtemps avant d'accepter cettenomination. Consacré en 1027, Brunodirigea le diocèse de Toul pendant unevingtaine d'années, à une période trèstroublée. Il dut lutter non seulementcontre la famine, mais également faireface à la guerre qui menaçait continuel-

lement Toul, ville frontière de l'Empire. Envoyé par Konrad auprès de Robert lePieux, il parvint à établir la paix defaçon tellement forte entre le jeuneroyaume de France et l'Empire Germa-nique que celle-ci n'en fut pas troubléependant plusieurs dizaines d'années.

En 1048, à la mort du pape DamaseII(4), les romains demandèrent à l'em-pereur Henri III de leur donner commepape Halinard, Archevêque de Lyon ouBruno de Toul. Les romains avaientpour ces deux pesonnages une hauteestime due à leurs actions et leur com-portement lorsqu'ils s'étaient rendus enPélerinage à Rome.Henri se décida pour Bruno qui faisaittout ce qu'il pouvait pour éviter l'hon-neur que son souverain voulait lui impo-ser. Mais à la longue, il s'inclina devantl'insistance de l'empereur et des Ro-mains. Lorsqu'il arriva à Rome, accom-pagné d'Hildebrand il fut acclamé à

l'unisson par le peuple. Prenant le nomde Léon, il fut solennelement introniséle 12 février 1049. Avant de pouvoirfaire quoi que ce soit pour la réforme del'Eglise, il dut d'abord se défendrecontre Benoit IX(5) qui tentait de remon-ter sur le trône pontifical et ensuite il dutremettre en ordre les finances du Vati-can qui furent mises à mal par ce mêmeBenoit IX. Il confia cette dernière tâcheà Hildebrand.

Une fois ces choses réglées, il entamases travaux de réforme de l'Eglise quimarqueront les siècles à venir. En avril1049, il convoqua un synode aucoursduquel il condamna solennelement lesdeux grands maux du moment : la si-monie et le nicolaïsme.Il entama alors une série de voyages autravers de l'Europe pour promouvoircette réforme qui se mettait en marche.Il quitta Rome au mois de mai et tint sonpremier concile à Pavie. Il se rendit en-suite en terre germanique et s'installa àCologne où il rejoignit l'empereur HenryIII. Malgré la réticence du roi de FranceHenri 1er de le voir arriver dans son do-maine, Léon IX se rendit à Reims où iltint à nouveau un synode important au-quel furent même conviés les évêqueset abbés d'Angleterre. Sur la route deretour vers Rome, il tint un dernier sy-node à Mainz (Mayence) et rencontraAdalbert, archevêque de Brême pourdiscuter du rassemblement des églisesdes pays scandinaves en un patriarcatunique dont le siège se trouverait àBrême.

En janvier 1050, Léon retourna à Romepour repartir presque immédiatementvers l'Italie du sud où les souffrances deson peuple, oppressé par les Nor-mands, l'appellaient. Après avoir subiles remontrances sévères du Pape, lesNormands promirent de se retirer.Après un dernier concile tenu à Spo-leto, le pape rentra à Rome, mais lesNormands en profitèrent pour recom-mencer leurs exactions comme aupara-vant. De retour à Rome après unnouveau voyage transalpin qui le menaà Toul et en Allemagne, Léon IX pritpossession des terres de Benevent,que ses habitants, fatigués des inces-santes incurions ennemies, remirent

Un pape alsacien : Bruno d’Éguisheim-Dagsbourg (1002-1054)

entre ses mains. Alors qu'il se trouvaitdans cette ville, en avril 1051, Léon dutà nouveau prodiguer d'énormes effortspour contenir les excès des Normandsdont un grand nombre fut massacré parles Lombards. Réalisant alors que plusrien ne pouvait calmer la fureur desNormands survivants, Léon rentra seréfugier à Rome.

La question normande fut désormaisconstament présente dans l'esprit dupape. Sans cesse persécutés et op-pressés par les Normands, les habi-tants du sud de la péninsule necessèerent pas d'implorer l'aide dupape. Les Grecs, menacés d'être expul-sés de la péninsule par ces mêmesNormands demandèrent à Léon IX decoopérer avec eux contre ce fléau com-mun. Bien qu'il ait demandé en vain del'aide de tous les côtés, il essaya en-core une fois en 1052 de servir de mé-diateur pour que la paix revienne auplus vite, mais là encore sans succès.Il commença à penser que la seule so-lution serait la voie des armes. A ce mo-ment, une ambassade hongroise arrivaà Rome pour demander au pape deservir d'intermédiaire pour que la paixsoit signée entre eux et l'empereur.Mais celui-ci, certain de sa victoire,n'accepta aucune des propositions dupape. Et bien qu'il ait promit au pape delui donner un contingent pour sa luttecontre les Normands, Henry III retiracette promesse et laissa le pape rentreren Italie avec les quelques soldats quesa famille lui avait envoyé. En mars1053, Léon IX est de retour à Rome.Voyant que la situation des états duSud est pire que jamais, il décida delever un maximum de troupes auprèsdes princes italiens, et, déclarant laguerre aux Normands, il tenta de fairela jonction avec l'armée byzantine. Lesnormands réussirent à défaire d'abordles grecs avant leur jonction avec lepape et ensuite ce dernier à Civitella enjuin de la même année. Après sa dé-faite, Léon se livra à ses ennemis, maisceux-ci le traitèrent avec respect etconsidération et se déclarèrent eux-mêmes les soldats du pape.

Bien qu'il ait gagné plus dans la défaiteque dans une éventuele victoire, Léon

IX se retira à Bénévent, le coeur brisé.Les morts de Civitella hantèrent pourtoujours son esprit. Il fut aussi profon-dément troublé par l'attitude de Michael1er Cerularius(6). Cet ambitieux prélatétait déterminé à n'avoir aucun supé-rieur hiérarchique, ni dans l'Eglise niparmi les Etats. Dès 1042, il fit biffer lenom du pape des diptyques sacrés etcommença bientôt à attaquer l'EgliseCatholique à cause de l'utilisation depain azyme pour le sacrifice de lamesse. Par la suite, il fit fermer de lamanière la plus barbare possible leséglises romaines de Constantinople.Au début de l'année 1054, Léon IX en-voya à Constantinople deux importantsprélats, Humbert de Moyenmoûtier etFrederik de Lorraine, porteurs de lettrespour le patriarche et aussi pour l'empe-reur byzantin. Sa mort survenue auprintemps 1054 l'empêcha de connaîtreles résultats de cette embassade quiconduisit les deux prélats à excommu-nier Michael Cerularius et acheva deconsommer la fracture entre les deuxéglises.

Après la bataille de Civitella, Léon IX neretrouva jamais entièrement ses es-prits. Son état empira jusqu'à provoquerune maladie mortelle. En mars 1054, ilfut ramené à Rome où il rendit l'âme etfut enseveli dans l'Eglise Saint-Pierre.

Notes :(1) Conrad II le Salique, né vers 990 etmort le 4 juin 1039 à Utrecht. Roi desRomains en 1024, il est couronné em-pereur romain germanique le 26 mars1027

(2) Evêque de Toul de 995/996 à 1019.(3) Evêque de Toul de 1016 à 1027.(4) Poppon de Brixen, pape sous lenom de Damase II ne règna que pen-dant 23 jours, du 17 juillet au 9 août1048.(5) Théophylacte de Tusculum, papesous le nom de Benoit IX, montera surle siège pontifical à trois reprises : du21 octobre 1032 à septembre 1044 ; du10 mars 1045 au 1er mai 1045 et du 8novembre 1047 au 16 juillet 1048.(6) Michel Ier Cérulaire, né à Constan-tinople vers 1000, mort le 21 janvier1059), fut patriarche de Constantinopledu 25 mars 1043 au 2 novembre 1058.Il est un des acteurs de la rupture entreles Églises de Constantinople et deRome en 1054 (Grand Schismed'Orient).

tiré de : http://www.templiers.org/pape-leonIX.php

Léon IX sera canonisé peu après samort en 1087 par le Pape Victor III.

A Eguisheim, depuis 1894, une cha-pelle lui est dédiée. Elle a étéconstruite à l'emplacement d'un an-cien donjon, en style néo-roman. A l'in-térieur, sur la voûte, ont été peints parMARTIN des médaillons dans le styledu 11ème siècle. Ils représentent septscènes de la vie de Saint-Léon, alorsque les vitraux de celle-ci datant de1895, symbolisent les Saints d'Alsacedont un grand nombre sont issus de lafamille des Comtes d'Eguisheim.

À votre prochain séjour en Alsace,ne manquez pas Éguisheim, haut-lieu du tourisme alsacien

Strasbourg / La fréquentation des musées / 2010 en baisse

« Nous n'avons pas échappé au contre-coup de la baisse du tourisme à Stras-bourg », observe Joëlle Pijaudier-Cabot. La directrice des musées deStrasbourg relativise cependant la na-ture de cette diminution du nombre devisiteurs, de l'ordre de 2 %, 491 195 en2010 contre 502 306 en 2009. « En cestemps de grisaille économique, où lesgens voyagent et dépensent moins, ilest difficile de lutter contre l'érosion denotre fréquentation. On remarqued'ailleurs que les formules impliquant lagratuité d'accès, comme l'entrée libre lepremier dimanche du mois, les vernis-sages ou les soirées étudiantes, mar-chent très fort. »

Le MAMCS toujours en têteCe ralentissement de la fréquentationfait cependant suite à celui déjà enre-gistré en 2009 par rapport à 2008,année faste il est vrai, avec plus de 526000 entrées sur l'ensemble des muséesstrasbourgeois. La baisse était alors engrande partie imputable au sommet del'OTAN qui avait généré la fermeturedurant quatre semaines des Musées duPalais Rohan. En tête des établissements strasbour-geois, caracole toujours le MAMCSavec 131 694 entrées, suivi des inamo-vibles Musées alsacien - 58 585 -, desbeaux-arts - 45 630 - et des arts déco-ratifs - 45 311. Belle tenue du Musée

Ungerer qui enregistre même une lé-gère progression - 39 408 contre 38920 en 2009 -, suivi du Musée histo-rique - 38 643 -, du Musée archéolo-gique - 38 018 -, du Musée zoologique- 37 727 - et enfin du Musée de l'OeuvreNotre-Dame - 35 970.Avec 12 356 visiteurs, la galerie Heitzpeine à trouver son public pour des ex-positions pourtant souvent remar-quables - Hans Haug, Jean Barbault,l'Imagerie Populaire de Wissembourg.« Sa visibilité est faible, et elle est per-çue localement comme sous-dimen-sionnée », réagit Joëlle Pijaudier-Cabot. De fait, depuis la fermeture de l'An-cienne Douane, il manque toujours àStrasbourg, et de façon criante, unevraie salle d'exposition mise à disposi-tion des Musées - hors MAMCS. Enfin,en dépit d'une ouverture à géométrievariable, l'Aubette 1928, avec ses 7 853entrées, se défend plutôt bien.On le sait, dans une dynamique de re-lance de la fréquentation, les exposi-tions temporaires constituent l'élémentdécisif. Succès probable, à l'automneprochain, de l'hommage qui sera renduà Tomi Ungerer, à l'occasion de ses 80ans, dans son musée éponyme. Sonoeuvre y sera mise en relation avec lesgrands maîtres qui l'ont influencé.De même, le MAMCS accueillera, éga-lement à l'automne, une ambitieuse

Tassement de la fréquentation aux musées de Strasbourg qui avec une di-minution de 2,2% passent en 2010 sous la barre des 500 000 entrées. Tomi,qui fête à l'automne ses 80 ans, et une grande exposition consacrée à l'Eu-rope des esprits, inverseront-ils la tendance ?

évocation de l'irrationnel dans les artset les sciences, de la fin du XVIII esiècle à l'immédiat après-guerre. UneEurope des esprits allant « de Goetheaux Surréalistes », résume Joëlle Pijau-dier-Cabot, qui en dirige le commissa-riat et promet, à travers plus 360oeuvres venues de l'Europe entière,une analyse « de ces forces obscuresqui ont travaillé les artistes et les intel-lectuels ».

Le Musée d'art moderne et contempo-rain de Strasbourg (M.A.M.C.S.) a étéinauguré par Catherine Trautmann,alors ministre de la Culture et ancienmaire de Strasbourg, en décembre1998. Il est construit, par l'architecte pa-risien Adrien Fainsilber, sur la rivegauche de l'Ill, face au siège du Conseilgénéral du Bas-Rhin et à proximité dubarrage Vauban et du quartier pitto-resque de la Petite France. La place Jean Arp, sur laquelle s'ouvrele musée, accueille également sur sapartie nord l'École Nationale d'Adminis-tration, installée dans un ancien cou-vent devenu la prison des femmes deStrasbourg Sainte-Marguerite.Sa conception repose sur la lisibilité etl'ouverture, offrant un accès privilégiéaux différents départements du musée:espaces d'exposition, collections per-manentes, cabinets d' Arts graphiqueset de photographie, service éducatif, bi-bliothèque, auditorium, ainsi qu'à unrestaurant et une librairie-boutique.

Visite virtuelle du musée:http://www.musees.strasbourg.eu/index.php?page=mamcs-visite-virtuelle

Traineau à chiens et Alsace , y a-t-il un lien?

Le traineau à chiens devient une acti-vité hivernale qui ne se pratique passeulement dans les pays nordiques. EnAlsace, cette activité est maintenantdisponible :À Eschbach-au Val, l'association"LIBRE" a pour but de développer lesactivités de plein air et l'accès à la mon-tagne pour tous (personne valide, han-dicapée moteur, mentale, sensorielle,de tout âge). Au Bonhomme, Branches& Montagnes,offre des sorties enca-drées par des guides professionnelspour découvrir la montagne. À Orbey,Chemins du Nord est une société crééeen 2008, spécialisée dans l’organisa-tion et l’encadrement d’activités de loisiravec des chiens de traîneaux, ainsiqu’avec des rennes de Scandinavie.http://www.libre.asso.fr/h t t p : / / w w w . b r a n c h e s - e t -montagnes.comhttp://www.cheminsdunord.com/

François BEIGER,auteur, conférencier,photographe né àStrasbourg en 1945,petit cousin du Dr. Al-bert SCHWEITZER,connaît bien leschiens de traineau,lui qui a créé en 1977son propre élevagede chiens polaires,est reconnu commeLE spécialiste deschiens polaires etdes peuples inuit etAmérindiens de l’Arctique En 1989,avec ses chiens, il part au Québec etvivra pendant 3 ans en plein bois, parmiles trappeurs, avec les Attikamekws.Son épopée fait l’objet du livre : Onze chiens, un homme une passion,(épuisé).En 1995, il crée le premier Centre d’in-terprétation du Chien de traîneau et dela Nature au Québec et élève plus de60 chiens polaires.En 1997, il commence les préparatifspour réaliser un rêve : le tour du Nuna-vik en solitaire avec 16 de ses compa-gnons à quatre à pattes.Le 7 avril 1999, après 2800 kilomètresde parcourus, 9 tempêtes de blizzard,l'explorateur arrive à Kuujjuaq, dans la

plus grande discrétion. Il vient de s'en-richir d'une extraordinaire expériencehumaine qu'il relate dans son livre "Nu-navik 99" et dans son film de 52 mi-nutes du même titre. Film qui a étésélectionné au Festival du Film d'Explo-ration Jules Verne à Paris en 1999998En 1998, François Beiger, crée «LaFondation pour la Trisomie» cause quilui tient à cœur, puisque son fils , né en1973 est atteint par ce handicap.En 2001, il fonde l’association «Handi-cap, Rêves et Défis Jeunesse» qui apour but d’offrir aux handicapés men-taux la possibilité de faire des voyageset des activités hors du commun, et dé-veloppe un Centre de zoothérapie,Dans la même veine, Il fonde en2003l'Institut Français de Zoothérapie.En 2005, il ouvre le Centre de Forma-tion et de Recherche sur les pratiquesde la zoothérapie et le Centre de Zoo-thérapie «Les Maisons d’Éveil Spécia-

lisées» en Isère. Il accueille des enfantsen difficulté de la région Rhône Alpes.Ce centre propose des activités théra-peutiques et éducatives par un travailde médiation avec des animaux fami-liers. Ce lieu sera également un centrede recherches, d’études et d’évalua-tions sur la zoothérapie pour les diffé-rentes populations en besoin. Cesrecherches seront menées en coopéra-tion avec des professionnels de lasanté, de la justice, du social. Ainsiqu'avec des étudiants en psychologie,en psychiatrie, en éthologie, en biolo-gie, en santé, en social.

Pour en savoir plus :

http://www.frbeiger.com/

Quelques adresses au Québec, pourles amateurs de traineau à chien :Bien sûr, ce n’est pas en pleine ville !

Sur la route des Pionniers1930 rang Saint PaulLa Doré (Qc) G8J 1C21-418-256-1162 / 1-800-868-1162

Chenil du sportif65, rang Sainte-MarieLes Éboulements (Qc), G0A 2M01-418-635-2592

Gîte de Pousse-Pioche17, rang St-ThomasNotre-Dame-des-Monts (Qc)G0T 1L01-418-439-2110

Aventures Liguoriennes179 5e rang St-Liguori,Quebec J0K 1C0, Canada1-888-759-9421

L’Internationale de chiens de traî-neaux LanaudièreÀ l'Épiphanie, depuis maintenant septans, les courses de chiens de traîneauxattirent des foules de plus en plusgrandes grâce à l’International dechiens de traîneaux Lanaudière! Main-tenant programmée pour le troisièmeweekend de janvier de chaque hiver,l'Internationale de chiens de traîneauxLanaudière regroupe dans 3 catégoriesplus de 100 attelages provenant essen-tiellement du Québec, des États nord-américains et des Maritimes. Il s'agit dela plus prestigieuse compétition dugenre à proximité de Montréal! Les dé-parts et arrivées des courses se dérou-lant au cœur de la ville face au centrecommunautaire Guy-Melançon et auparc de l'Agora, des dizaines d'autresactivités extérieures et intérieures vien-nent compléter la programmation afinde permettre à toute la famille de pas-ser une journée des plus divertissantesur le site de l'événement.

22 et 23 janvier 201168, rue AmireaultL'Épiphanie (Qc), CanadaJ5X 1A11 450 588-6828

Alsatiques ... Beaux livres d’Art Beignets de carnaval

1400, l'Alsace dans l'Europe gothiqueInventaire du patrimoine-Région Alsace

Au tournant du XV° siècle, d’un bout àl’autre de l’Occident, la création artistiqueest marquée par un langage commun, raf-finé, linéaire et fluide, appelé en allemand«weicher Stil» ou «style moelleux». Ce «go-thique international» reflète les nombreuxéchanges entre les grands centres artis-tiques que sont alors les principaux lieux depouvoir en Europe. Dans ce contexte l’Al-sace -et notamment Strasbourg- fait preuveen cette fin de Moyen-Age d’une grande vi-talité artistique dont témoigne cet ouvrage,comme l’exposition qu’il complète (Stras-bourg 1400, un foyer d’art dans l’Europe go-thique, du 14 mars au 15 juin 2008, muséede l’œuvre Notre-Dame, Strasbourg).Construit autour de quatre thèmes qui sontautant de promenades artistiques parmi lesédifices les plus remarquables d’Alsace, deBâle et du Bade-Würtemberg, «Alsace1400» emmène le lecteur à la découverted’œuvres et de monuments représentatifsdu mode de vie et de la production de Stras-bourg et des autres foyers artistiques duRhin Supérieur. Une «marque» régionalequi transparaît dans les grands chantiers del’époque, tels les cathèdrales de Strasbourget de Fribourg-en-Brisgau, l’abbatiale deNiederhaslach ou la collégiale de Thann,des réalisations qui combinent architecture,sculpture et art du vitrail. Les quatre cha-pitres correspondent à quatre circuits, misen valeur sur les sites par une signalétiqueparticulière : Strasbourg, images d’une villeen 1400. Parcours en ville / Seigneurs,bourgeois et clercs, les formes du pouvoiren Alsace autour de 1400. Parcours en Al-sace du Nord / Construire et habiter (mai-sons à pan de bois). Parcours en CentreAlsace / Les grands chantiers et leurs in-fluences en 1400. Parcours de part etd’autre du Rhin.Fruit de la recherche de nombreux spécia-listes en histoire médiévale et histoire del’art, l’ouvrage bénéficie également d’uneiconographie exceptionnelle, qui offre unevision souvent inédite et émouvante de ceschefs d’œuvre de l’art gothique.

Éditions Lieux Ditscontact@lieuxdits.frMars 2008, 192 pagesFormat 24 x 30 cm, 230 illustrationsPrix de vente 42 euros TTCISBN version française 978-2-914528-49-8ISBN version allemande 978-2-914528-50-4

Jardins en Alsace : quatre siècles d'his-toireInventaire du Patrimoine – Région Alsace

Que sait-on de l'histoire des jardins en Al-sace ? Ils sont à la fois l'expression et lestémoins d'une multitude de savoir-faire tech-niques, artistiques ou scientifiques, demodes de vie et de sensibilités. S'intéresseraux jardins, c'est interroger la géographie etle climat, les plantes et leur histoire maisaussi l'histoire de l'art et de l'architecture.Celle du goût et des idées y est perceptible,tout comme les jalons de l'histoire des pay-sages urbains ou ruraux. En évoquantquatre siècles de création, ce livre replacel'Alsace dans l'histoire européenne de l'artdes jardins et met en avant la richesse dece patrimoine longtemps négligé.

Ce panorama des parcs et jardins d'Alsacetémoigne d'une diversité inattendue jardinsréguliers "à la française" des XVII°, XVIII° ouXX° siècles, parcs paysagers, parcs ur-bains, jardins liés à l'industrie, jardins ou-vriers et cités-jardins, ou encore jardins duthermalisme et collections botaniques...

Éditions Lieux Dits, contact@lieuxdits.frNovembre 2010, 224 pagesFormat 30 x 24,3 cm à l'italienne310 illustrationsPrix de vente 40 euros TTCISBN 978-2-36219-006-3

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Mélanger la farine et la levure, Ajouter le sucre, le sucre vanillé, les oeufs,le jaune, le kirsch et le lait préalablementtiédi, Mélanger jusqu'à ce que la pâte se dé-tache des flancs du récipient, Couvrir avec un linge,Placer la terrine dans un endroit tiède etlaisser lever la pâte pendant environ 1heure, Une fois la pâte bien levée, la pétrir à nou-veau. L'étaler en une abaisse d' 1/2 cmd'épaisseu. Couper l'abaisse en 2 partieségales, Dans une moitié de l'abaisse, découper àl'aide d'un verre en guise d'emporte-piècesdes cercles de 6 cm de diamètre,Garnir chaque cercle de pâte en soncentre d'une cuillerée à dessert de confi-ture de votre choix,Dans l'autre moitié de l'abaisse, à l'aide dumême verre, découper un nombre égal decercles,Les placer ensuite sur les cercles garnisde confiture,L'emplacement de la confiture est mar-quée par une élévation dans l'épaisseur dela pâte,Pour coller les 2 disques l'un à l'autre, enhumecter légèrement les bords, Souderles bords par une légère pression desdoigts, Les placer ensuite sur un torchon dans unplat et laisser reposer 45 minutes dans unendroit tiède,Plonger dans l'huile de friture chauffée àune température de 180°, des 2 côtés. Egoutter et saupoudrer du sucre mélangéà la canelle en poudre,Laisser refroidir.

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Le Tram-train à Mulhouse, c’est parti.

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LE PREMIER

Pour la petite histoire, le projet deliaison Aulnay-Bondy, en Seine-Saint-Denis, revendique aussi lapremière place d’une liaisontram-train : la SNCF fait rouler lematériel Siemens entre les deuxcommunes sur une ancienneligne SNCF. Mais les rames res-tent dans un périmètre dédiéentre Aulnay et Bondy, et n’em-pruntent pas le réseau ferré na-tional. Donc c’est bien àMulhouse que fonctionnera lepremier tram-train capable derouler sur un réseau urbain et surdes voies de Réseau ferré deFrance (ou interconnectées). En-terré à La Réunion, reporté à2013 entreNantes et Château-briant, crise oblige, les autresprojets de trams-trains sont ac-tuellement… à l’arrêt !

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