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1 Enfin Libérée Cette histoire, je l’ai réellement vécue, je vais vous la relater de la façon la plus véridique. Ma femme : Salima, objet de mes fantasmes, vingt-sept ans, très jolie, brune, les yeux bleus, un caractère plein de retenue (trop prude à mon avis !) et un corps de sportive, une poitrine raisonnable qui attire souvent mes mains. Moi : Farid, son mari qui aimerait (depuis longtemps) la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec d’autres que moi ; elle acceptait de temps en temps de dévoiler à des copains le haut de ses cuisses ou leur laisser deviner ses seins nus sous des tee-shirts transparents ou entrevoir avec des corsages bien ouverts, mais rien de plus. J’en voulais davantage. Alors j’ai concocté un plan qui a marché au-delà de mes fantasmes ! Cette journée du 14 juillet, il faisait au moins 30 degrés. Ma femme et moi avions invité pour l’apéritif (bien que musulmans, nous buvions occasionnellement) un voisin, François Pommier, que je n’apprécie pas plus que cela, mais que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux d’espérer la voir objet de cet « homme » !). Il était seul ce dimanche. C’est un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair de femme. Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel, étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire. Je fantasmais secrètement depuis longtemps de voir Salima ma femme s’exhiber un peu (et peut être plus ?) devant lui car je savais qu’il fantasmait sur elle, nous en avions déjà parlé ensemble. J’avais convaincu Salima de ne mettre que sa petite robe courte d’été, très légère avec un grand décolleté et d’une transparence qui laissait apercevoir ses dessous ! J’avais eu du mal car elle avait remarqué les coups d’œil appuyés de François sur son corps. Elle le trouvait vraiment très repoussant. Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contre cœur ! Depuis le matin je la trouvais un peu énervée. De cette invitation peut être ? François arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis qu’il l’embrassait tout près des lèvres. Cela m’excita un peu ! Les banalités d’usage furent échangées et tous les trois réunis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Je remarquai que François louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur la poitrine de Salima mais il n’y avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien-gorge très sage alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce quel m’avait refusé tout net ! Elle avait remarqué ses coups d’œil et semblait un peu troublée, je lui trouvais les yeux un peu brillants… Ma femme et moi allâmes dans la cuisine pour prendre les amuse-gueule. Je la trouvai légèrement fébrile (excitée ?). Alors j’en profitai pour lui dire : — Dis donc tu as vu comment il louche sur toi ? Ça ne t’excite pas ? — Bof, dit-elle, tu sais, il n’a pas grand-chose à voir ! Je sautai sur l’occasion, saisissant l’opportunité ! — Tiens alors fais-moi plaisir, retire ton soutien-gorge ! Montre-lui tes seins !

Enfin Libérée

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Une femme fidèle se libère sexuellement dans les bras d'un pervers sous les yeux de son mari.

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Enfin Libérée Cette histoire, je l’ai réellement vécue, je vais vous la relater de la façon la plus véridique. Ma femme : Salima, objet de mes fantasmes, vingt-sept ans, très jolie, brune, les yeux bleus, un caractère plein de retenue (trop prude à mon avis !) et un corps de sportive, une poitrine raisonnable qui attire souvent mes mains. Moi : Farid, son mari qui aimerait (depuis longtemps) la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec d’autres que moi ; elle acceptait de temps en temps de dévoiler à des copains le haut de ses cuisses ou leur laisser deviner ses seins nus sous des tee-shirts transparents ou entrevoir avec des corsages bien ouverts, mais rien de plus. J’en voulais davantage. Alors j’ai concocté un plan qui a marché au-delà de mes fantasmes ! Cette journée du 14 juillet, il faisait au moins 30 degrés. Ma femme et moi avions invité pour l’apéritif (bien que musulmans, nous buvions occasionnellement) un voisin, François Pommier, que je n’apprécie pas plus que cela, mais que j’avais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux d’espérer la voir objet de cet « homme » !). Il était seul ce dimanche. C’est un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, l’air particulièrement vicieux, les yeux toujours à l’affût d’un coin de chair de femme. Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel, étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire. Je fantasmais secrètement depuis longtemps de voir Salima ma femme s’exhiber un peu (et peut être plus ?) devant lui car je savais qu’il fantasmait sur elle, nous en avions déjà parlé ensemble. J’avais convaincu Salima de ne mettre que sa petite robe courte d’été, très légère avec un grand décolleté et d’une transparence qui laissait apercevoir ses dessous ! J’avais eu du mal car elle avait remarqué les coups d’œil appuyés de François sur son corps. Elle le trouvait vraiment très repoussant. Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contre cœur ! Depuis le matin je la trouvais un peu énervée. De cette invitation peut être ? François arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis qu’il l’embrassait tout près des lèvres. Cela m’excita un peu ! Les banalités d’usage furent échangées et tous les trois réunis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Je remarquai que François louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur la poitrine de Salima mais il n’y avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien-gorge très sage alors que je lui avais proposé d’en mettre un transparent, ce quel m’avait refusé tout net ! Elle avait remarqué ses coups d’œil et semblait un peu troublée, je lui trouvais les yeux un peu brillants… Ma femme et moi allâmes dans la cuisine pour prendre les amuse-gueule. Je la trouvai légèrement fébrile (excitée ?). Alors j’en profitai pour lui dire :

• — Dis donc tu as vu comment il louche sur toi ? Ça ne t’excite pas ? • — Bof, dit-elle, tu sais, il n’a pas grand-chose à voir !

Je sautai sur l’occasion, saisissant l’opportunité !

• — Tiens alors fais-moi plaisir, retire ton soutien-gorge ! Montre-lui tes seins !

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Elle fit la grimace, prête à refuser; mais je lui dis :

• — Excite-le un peu, nous ne sommes que tous les trois, essaye ! Alors aussi surprenant que cela elle me dit en soupirant:

• — D’accord mais juste ça ! Tu sais, c’est pour toi. Ravi de cette aubaine, je lui dis :

• — Bon, tu te montres bien en te penchant vers lui, hein ? Je veux que tu l’excites pour de bon !

Elle partit dans la salle de bain et je revins sur la terrasse vers notre invité. Un instant plus tard, Salima nous rejoignit mine de rien. Je me demandai si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais à travers la robe légère j’aperçus, ainsi que François d’ailleurs les petites taches sombres des auréoles de ses seins quand elle se rassit près de nous. Je plaisantai avec notre invité en parlant de la chaleur qu’il faisait, que l’on avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que l’on pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes ! Salima sourit et dit :

• — Vous êtes vicelards vous les hommes ! • — Et alors, dit F, c’est sympa de découvrir des choses que vous cachez trop d’habitude

Mesdames ! • — C’est vrai, dis-je, je préfère te voir comme ça, presque nue plutôt qu’avec un col roulé ! • — Moi aussi ! dit-il en souriant d’un air gourmand et vicieux, fixant la poitrine libre sous le

léger tissu ! À ce moment, Salima gonfla ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui, comme pour le provoquer. Déjà excité en voyant cela, je dis à Salima (pour tester sa bonne volonté) :

• — Tiens montre un peu tes plantations à M. F, il te donnera sûrement des conseils ! • — Pourquoi pas, venez voir… lui dit-elle avec un sourire engageant. • — Bien sûr, avec plaisir !

Ils se levèrent et je constatai que Salima se penchait bien face à lui pour montrer ses fleurs et avec le décolleté ouvert, il devait avoir une superbe vue directe sur les seins nus de ma femme. J’étais heureux de la voir enfin me faire plaisir. Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin ! Je me levai enfin et m’approchant d’eux je jetai un coup d’œil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et… surprise, je vis qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte. La robe ample ouverte laissant apercevoir l’ombre noire de son bas ventre. C’était la première fois qu’elle faisait cela ! Elle était prête ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs cachés depuis tellement longtemps ! François était écarlate, en nage, les yeux fixés sur le corps dévoilé de Salima, un vague sourire aux lèvres et le souffle court. Cette présentation dura un petit moment, Salima s’étant laissée, pour la première fois, admirer par des yeux vicieux, et semblant y prendre plaisir.

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Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Je constatai que Salima avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservis un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour qu’elle réalise mon fantasme. Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant et nous voyions ses cuisses bronzées sous la table. J’en voulais encore plus et d’un regard appuyé vers elle (que François remarqua) je l’encourageai ; me comprenant, elle croisa les jambes en les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir les poils noirs de sa chatte à François assis face à elle. J’étais aux anges. La table en verre transparent lui permettait de deviner le haut des cuisses de ma femme. Il était vraiment troublé par ce spectacle offert. Enfin elle se leva pour chercher quelque chose dans la maison. J’en profitai pour dire à notre invité :

• — Elle est belle, ma femme, hein ? Vous avez de la chance car c’est rare que ma femme montre autant de choses. Peut-être un peu plus vous intéresserait ?

• — Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ? • — Non, au contraire, lui dis-je. J’avais tellement envie de la voir faire cela pour vous. Je vais

voir jusqu’où elle veut bien aller ! Je rejoignis Salima dans la cuisine et la pris dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissai une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis part de mon excitation, la voyant faire tout cela et je profitai de son trouble :

• — Dis donc, tu as vraiment l’air d’aimer te montrer au vieux François mais ce n’est pas assez, si tu lui faisais une petite gâterie ce serait mieux !

• — Oh non, il est répugnant, c’est pour toi que je fais cela mais… • — Allez, fais un effort, lui dis-je d’un ton ferme, tu es bien partie et il a peut-être une belle

bite que tu suceras jusqu’au bout. Allez, fais-moi plaisir, suce-le ! Accepte ! • — Bon, OK tu l’auras voulu ! • — N’oublie pas : jusqu’au bout et tu lui obéis, tu fais tout ce qu’il veut ! Je me mets dans le

grenier et je te laisse faire. Elle ne dit rien et partit rejoindre le vieux, me jetant un regard trouble en passant devant moi. Sous un prétexte quelconque je les quittai et me rendis dans le grenier. J’écoutai leur conversation. Salima avait dû recommencer ses exhibitions (il m’a dit après qu’elle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment qu’il avait une chance inespérée !). Il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements. Elle lui répondit :

• — C’est lui qui le veut !!! Mais ça vous plait au moins ? • — Bien sûr, une si jolie femme avec un corps superbe qui donne envie d’en faire plus ! • — J’ai envie de vous embrasser pour toutes les réductions que vous nous avez eues !

Et elle l’embrassa sur la bouche. Sans quitter sa bouche, elle se leva et le serra dans ses bras. Il lui saisit un sein qu’il sentit durcir entre ses doigts. Elle ne bougea pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc. Enfin, elle dit :

• — Viens là-haut, j’ai quelque chose pour toi. Ils montèrent dans la chambre à côté de moi. J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face. Aussitôt dans la chambre, il l’attira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme. Elle s’écarta légèrement de lui et dit :

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• — Je dois te sucer.

Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux apparut, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme. Elle n’osait la prendre (je sus plus tard qu’elle sentait très fort l’urine). Il saisit sa queue et la promena sur la figure de Salima.

• — Allez, prends-la ma petite, nettoie-la ! Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa la langue dessus. L’agitant un peu elle dit d’une petite voix :

• — Elle est molle ! Je ne t’ai pas excité ? • — Tu sais, à mon âge c’est plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu suces ! Et

d’abord lève-toi ! Je constatai un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti qu’elle se laissait dominer. Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe qu’il ôta, la mettant nue devant lui. Le corps mince de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes, elle n’avait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs. C’était la première fois qu’elle était nue face à un autre homme que moi. Je sentis François excité. Il dit (la voix forte) :

• — Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue !!! Enfin je te tiens ! Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons lui arrachant un cri de douleur. Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement. Je vis le visage de Salima s’illuminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il s’écarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu’à sa chatte ou il introduisit violemment un gros doigt après qu’elle eut largement écarté les cuisses. Cela me surprit de la voir répondre autant aux désirs de F.

• — Tu mouilles bien ! • — Oui, vas-y !

Sentant son envie il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment ; elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit quelques instants plus tard en se collant à lui.

• — C’est bon ! souffla-t-elle. Retirant brutalement ses doigts, il reprit la bouche de ma femme, qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et l’embrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir qu’il lui avait donné ! S’écartant en la repoussant il lui dit :

• — Reste la bouche ouverte. Ce qu’elle fit. Et alors il cracha dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte souillée de la salive du vieux. J’étais abasourdi de voir ce qu’il faisait à Salima, prêt à

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intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce qu’elle était capable d’accepter ! Je bandais de plus en plus.

• — Allez avale ! ordonna-t-il. Elle s’exécuta. Avec plaisir (me dit-elle plus tard) elle avala, soumise devant moi à l’autorité de son amant.

• — Ma queue, maintenant ! Il avait pris un peu de vigueur, alors Salima s’agenouilla et reprenant le sexe de F, le gland encore recouvert de sa peau. Elle le prit en bouche, aspirant cette petite queue ; je voyais les joues de Salima se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur le gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face réjouie du vieux. J’admirais ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui s’excitait de cette situation digne d’un film porno. Quelques secondes après, il dit :

• — Mets ton doigt dans mon cul ! Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.

• — Vas-y, branle-moi le cul ! Elle s’exécuta, lui rentrant profondément un doigt dans l’anus, la bouche toujours occupée par la tige du vieux. Il l’encourageait :

• — Plus vite, enfonce-le bien et suce, ma salope, suce le vieux connard que je suis pour toi ! Elle redoubla d’efforts buccaux et enfin la bite atteint une taille normale. Elle allait et venait sur le gland, ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux et lui dit :

• — Retire ton doigt et suce-le ! Elle obéit encore et sortit son doigt maculé. Il lui prit la main et la força à l’introduire dans sa bouche. Elle eut une grimace de dégoût et un haut-le-cœur. Elle parvint à déglutir quand même ! François rigola :

• — C’est bon ? Prenant sa queue entre ses doigts il commença à se branler devant la bouche de ma femme qui se rouvrit. Elle tendit la langue agaçant le méat où une goutte de sperme perla qu’elle recueillit avec plaisir pour supprimer le goût acre des souillures avalées. Il se branlait de plus en plus vite, le gland à moitié dans la bouche ouverte, sur la langue tendue de Salima.

• — Regarde-moi, salope ! Elle leva les yeux vers les siens, le regardant franchement, complètement soumise au plaisir du vieux. Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle :

• — Oui… Prends tout !

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Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, elle en eut aussi sur le nez et la joue. Elle en avait plein la bouche. Un peu de sperme atterrit aussi sur son sein droit. Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose !), elle gardait toujours la bouche ouverte, apparemment ne sachant que faire, le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce qu’il lui imposerait.

• — Garde mon jus, régale-toi salope ! Allez, avale tout ! Et je vis aux mouvements de sa gorge qu’elle avalait le foutre de F.

• — Montre-moi si tu m’as bien avalé, cochonne ! Rouvrant la bouche devant l’autre elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait. Il récupéra le sperme sur le nez de Salima avec ses doigts et les lui fit les sucer. Il en profita pour les enfoncer dans sa bouche, ce qu’elle laissa faire. J’étais aux anges, elle n’avait avalé mon sperme qu’une seule fois depuis que nous étions mariés ! À ma grande surprise elle reprit la queue du vieux, toute molle, avec sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence. Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux,

• — Ça suffit, y en a plus pour aujourd’hui, t’as l’air de l’aimer ma bite ! C’est bien, tu es la première qui accepte de faire ce que j’ai envie. Tu aimes le foutre ! j’espère que tu suceras d’autres bites aussi bien la prochaine fois ?

Elle quitta comme à regret la petite queue du vieux. Elle ramassa le sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha ! Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue à genoux devant lui. Je compris que ma petite femme si prude jusqu’à aujourd’hui avait glissé dans le plaisir par la soumission à François (qu’elle m’avait souvent dit détester). J’étais étonné de voir jusqu’où elle avait pu s’avilir, mais en même temps heureux de la voir sortir de l’attitude si prude qu’elle avait habituellement à la maison. Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, n’ayant pu profiter moi aussi de sa bouche. Il la fit relever en la tirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleines mains en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal. Elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après. Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton, il lui dit :

• — T’es ma salope maintenant, je reviendrai et je t’amènerai des copains à soulager si tu es gentille et si ton mari est d’accord.

Elle lui dit d’une petite voix :

• — Il faut lui demander ! Je sortis de ma cachette faisant sursauter le vieux. Il la lâcha. J’avais un grand sourire. Je me tournai vers Salima, toute nue entre nous.

• — Moi je veux bien, et toi, es-tu prête ? Elle ne répondit pas, baissant la tête.

• — D’accord, elle fera ce que vous voulez. • — Super, dit-il. J’ai des copains qui aimeront ta bouche ! Tu avales bien ! Penche-toi ! lui dit-il.

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Elle se pencha en avant, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduisit un doigt dans son anus et lui frotta le clitoris de l’autre main, devant moi ! J’étais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Salima !

• — Vous avez une femme splendide et bien élevée ! Elle poussa un gémissement et je vis son visage s’illuminer d’un grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient !

• — Elle mouille encore ! Elle aime ça, dis donc ! J’espère qu’elle sera comme ça avec les copains !

Et sans attendre il nous quitta. Je pris Salima toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort (pour la « désinfecter » du sperme de François) avant de l’embrasser. Pour la première fois, elle resta nue une grande partie de l’après-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien, et c’est bien plus tard qu’elle m’a livré ses sentiments à ce moment-là, et j’en appris plus après qu’il l’ait effectivement livrée à des copains, et même à un autre voisin détesté, pour le même exercice dès le lendemain !

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