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Quels Prémices à la CP5 Lycée ?. EPS _ Programme Collège. La CP5 c’est quoi au juste ?. C’est une compétence Propre du programme de l’EPS en Lycée …qui vise à faire acquérir aux élèves les compétences liées au savoir s’entraîner … - PowerPoint PPT Presentation
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EPS _ Programme Collège
Quels Prémices à la CP5 Lycée ?
La CP5 c’est quoi au juste ?
• C’est une compétence Propre du programme de l’EPS en Lycée …qui vise à faire acquérir aux élèves les compétences liées au savoir s’entraîner …
¨Au lycée, les élèves … gagnent en autonomie pour bâtir des projets d’action, de jeu, de transformation ou d’entraînement adaptés à leurs possibilités.
• Ils s’approprient les conditions d’entretien et de développement de leurs ressources en vue de poursuivre une pratique physique régulière hors de l’école et tout au long de leur vie¨.
• Situer ses capacités pour Se connaître• Se fixer un objectif et s’engager dans un processus
de transformation
Cadrage institutionnel de la CP5Pour produire et identifier
Sur l’organisme(Dimensions biologioques)
Sur soiIntroduction de l’intentionalité ?
Sur soi
Des effets immédiats
Des effets différés
Des effets différés
en fonction d’un mobile d’agirdans le respect de son intégrité physique
liés à un mobile personnel
liés à un mobile personnel
moduler l’intensité et la durée de sa course … et la nature de sa nagemobiliser des segments corporels
prévoir et réaliserune séquence de coursesdes séquences de musculation
concevoir et mettre en oeuvre un projet personnalisé d’entraînement de course / musculation/ nage.
en rapport avec une …référence personnaliséecharge personnalisée
S’EPROUVER POUR S’EVALUERDANS LES DIVERS REGISTRES DE RESSOURCES
en utilisant différents paramètres (durée, intensité, temps de récupération, répétition et matériel…)
STRUCTURER UNE CHARGE
En référence à [dans] un contexte de vie singulier(préparation à une compétition, entretien physique, bien-être psychologique…)PLANIFICATION MICRO-MESOCYCLE
Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3
Rossi David - Académie de Nice - 2010
Nature de l’activité adaptative
Pour produire et identifier
Des effets
Liés à un mobile
Sur l’organisme Sur soi
ImmédiatsDifférés
D’agirPersonnel
Prévoir et réaliser une séquence Musculation
en utilisant différents paramètres (durée, intensité, temps et nature
de récupération, répétition
Concevoir et mettre en oeuvre un projet personnalisé d’entraînement
En référence à [dans] un contexte de vie singulier
Dans le respect de son intégrité
physique, mobiliser ses segments
corporels
en rapport avec une …référence personnalisée
N3
N4
N5
Article « Apprendre à s’entraîner en milieu scolaire Vers quelles compétences en activités de course » revue enseigner l’eps n°250, 2010
Quelles activité technique en CP5 ?
Savoir S’entraîner quelques éléments de Compétence
Savoir S’entraîner quelques éléments de Compétence
S’échauffer
Structurer sa charge en fonction de l’objectif
Doser son effort
Contrôler son effet physiologique
Récupérer
Se (Re)-Préparer
Evaluer son état de fatigue
Réguler sa charge
Exprimer les RESSENTIS
Evaluer l’impact de la séance
Réguler ses paramètres d’entraînement
Au collège le savoir s’entraîner ne relève pas des CP mais plutôt des CM …
• L’EPS participe à l’acquisition de la plupart des compétences du socle commun, en offrant aux élèves un lieu d’expériences concrètes.
• Elle contribue notamment à l’acquisition d’une démarche d’investigation et la maîtrise de connaissances sur l’organisation, le fonctionnement et les possibilités du corps humain (compétence 3),
• l’ensemble des compétences méthodologiques et sociales révélent principalement l’appropriation d’outils, de méthodes, de savoirs et de savoir être nécessaires aux pratiques et aux apprentissages dans le respect des règles et des rapports humains.
• Au collège l’ancrage sur les pratiques d’entraînement ne peut donc pas se concevoir en dehors du processus d’apprentissage inhérent à une APSA : une CM au service des CP !
Les IPP : CP5 des collèges ?
• Au collège la CP5 pourrait trouver ses prémices dans les IPP : intervention pédagogiques particulières
LES INTERVENTIONS PEDAGOGIQUES PARTICULIERES
Pour répondre à des attentes ou des besoins repérés, des interventions pédagogiques particulières peuvent être envisagées
dans le cadre du projet pédagogique d’EPS. Elles peuvent prendre les formes :
- d'actions de soutien pour les élèves présentant, à leur arrivée au collège, des insuffisances ou des lacunes, particulièrement dans le cas d’élèves ne sachant pas nager et dans le cas d’élèves déficients ou handicapés que l’on ne peut accueillir dans le cadre classique de la classe.
- d’exercices de sollicitation des fonctions sensorielles, de renforcement musculaire ou cardio-respiratoire, de relaxation, d’assouplissement, d’adresse et d’équilibre.
-d’exercices visant le développement et l’entretien physique qui s’appuient sur des pratiques telles que la musculation et le stretching qui peuvent faire l’objet d’un cycle d’enseignement particulièrement au niveau de la classe de troisième. Dans ce cas l’identification précise des contenus et des compétences attendues doit apparaître dans le projet pédagogique.
Les interventions pédagogiques particulières participent à la construction d’attitudes et d’habitudes corporelles et aident à l’atteinte des objectifs du collège, concernant notamment l’éducation à la santé et la gestion de la vie physique et sociale.
Elles doivent être naturellement intégrées dans chacune des leçons quelle que soit l’APSA utilisée.
L’échauffement mérite à ce titre une attention particulière et nécessite un apprentissage spécifique permettant à l’élève de se préparer aux efforts à venir et de réactualiser des apprentissages antérieurs.
Ce temps de la leçon concourt particulièrement à l’acquisition de la compétence méthodologique et social
Mise en évidence des effets de l’échauffement sur la capacité de Mise en évidence des effets de l’échauffement sur la capacité de PerformancePerformance
Mise en évidence des effets de l’échauffement sur la capacité de Mise en évidence des effets de l’échauffement sur la capacité de PerformancePerformance
Cas des efforts maximaux dans le registre de la Vitesse : Cas des efforts maximaux dans le registre de la Vitesse : 100m100m
Cas des efforts maximaux dans le registre de la Vitesse : Cas des efforts maximaux dans le registre de la Vitesse : 100m100m
Perf Record
Il faut En moyenne 20 à 25’ d’échauffement, chez des athlètes pour être dans des conditions optimales pour réaliser une Performance Record …
Il faut En moyenne 20 à 25’ d’échauffement, chez des athlètes pour être dans des conditions optimales pour réaliser une Performance Record …
Quelle faisabilité en EPS si l’activité Sprint est programmée sur 1 heure ?
Quelle faisabilité en EPS si l’activité Sprint est programmée sur 1 heure ?
Mise en Mise en éévidence des effets de lvidence des effets de l’é’échauffement sur la capacitchauffement sur la capacitéé de de PerformancePerformance
Mise en Mise en éévidence des effets de lvidence des effets de l’é’échauffement sur la capacitchauffement sur la capacitéé de de PerformancePerformance
Cas des efforts maximaux dans le registre de la Puissance Lactique Cas des efforts maximaux dans le registre de la Puissance Lactique (30")(30")Cas des efforts maximaux dans le registre de la Puissance Lactique Cas des efforts maximaux dans le registre de la Puissance Lactique (30")(30")
Médecine du Sport chez l’enfant, Oded Bar-Or,p.35
Masson, 1987
Médecine du Sport chez l’enfant, Oded Bar-Or,p.35
Masson, 1987
Les efforts lactiques n’échappent pas à la
règle !Maman !!! Il est Ouf ce prof ! Il nous a dit qu’il fallait :Courir avant pour s’échauffer Courir pendant pour performer… et Courir après pour récupérer
Y doit avoir des actions chez un distributeur de Baskets !
Les efforts lactiques n’échappent pas à la
règle !Maman !!! Il est Ouf ce prof ! Il nous a dit qu’il fallait :Courir avant pour s’échauffer Courir pendant pour performer… et Courir après pour récupérer
Y doit avoir des actions chez un distributeur de Baskets !
Mise en Mise en éévidence des effets de lvidence des effets de l’é’échauffement sur la capacitchauffement sur la capacitéé de de PerformancePerformance
Mise en Mise en éévidence des effets de lvidence des effets de l’é’échauffement sur la capacitchauffement sur la capacitéé de de PerformancePerformance
Cas des efforts maximaux dans le registre de la puissance aCas des efforts maximaux dans le registre de la puissance aéérobie robie (4(4’’00)00)Cas des efforts maximaux dans le registre de la puissance aCas des efforts maximaux dans le registre de la puissance aéérobie robie (4(4’’00)00)
Il va falloir leur faire comprendre qu’il est
nécessaire de courir pour se préparer à courir…!!!
Il va falloir leur faire comprendre qu’il est
nécessaire de courir pour se préparer à courir…!!!
Médecine du Sport chez l’enfant, Oded Bar-Or,p.35 Masson,
1987
Médecine du Sport chez l’enfant, Oded Bar-Or,p.35 Masson,
1987
le rôle des performances, résultat de l’action, ne se limite pas au collège à un moyen de classement. Les performances permettent de personnaliser les effets des actions, les progrès réalisés et les ressources sollicitées. Mises en relation, mémorisées, ces données chiffrées peuvent contribuer à la construction de l’identité des élèves et participer ainsi au développement du goût de l’effort athlétique.
Un enjeu : Articuler Expériences athlétiques et axes du projet de formation
Des compétences en interactions
La série athlétique, pourquoi au moins 3 séries ?
La répétition de séries sollicitant des efforts athlétiques (donc maximaux) Contextualise les effets de Rémanence :
* d'un Effort Préliminaire sur le suivant = échauffement et stratégie de gestion des temps de pause
* d’un effort préalable sur la Capacité de Performance et la Perception de l'Effort : problématique de la fatigue
Ainsi seule la forme de pratique de l’athlétisme en série permet de poser la problématique de la préparation à l’effort et de la gestion des Ressources dans un registre à 2 dimensions :
- Que faire pour disposer de ma capacité maximale de performance dès la première série ?
- Y a-t-il des stratégies qui me permettent de récupérer rapidement ma capacité maximale de performance afin de pouvoir réaliser la meilleure performance sur l’ensemble des séries ? Il est évident que ce protocole n’a de sens que si l’élève a vécu et construit ces « mises en relations » au cours du cycle par l’enregistrement et l’analyse de ses performances, et que l’enseignant aie bien sûr enseigné les contenus relatifs à l’échauffement et à la récupération
La répétition de séries sollicitant des efforts athlétiques (donc maximaux) Contextualise les effets de Rémanence :
* d'un Effort Préliminaire sur le suivant = échauffement et stratégie de gestion des temps de pause
* d’un effort préalable sur la Capacité de Performance et la Perception de l'Effort : problématique de la fatigue
Ainsi seule la forme de pratique de l’athlétisme en série permet de poser la problématique de la préparation à l’effort et de la gestion des Ressources dans un registre à 2 dimensions :
- Que faire pour disposer de ma capacité maximale de performance dès la première série ?
- Y a-t-il des stratégies qui me permettent de récupérer rapidement ma capacité maximale de performance afin de pouvoir réaliser la meilleure performance sur l’ensemble des séries ? Il est évident que ce protocole n’a de sens que si l’élève a vécu et construit ces « mises en relations » au cours du cycle par l’enregistrement et l’analyse de ses performances, et que l’enseignant aie bien sûr enseigné les contenus relatifs à l’échauffement et à la récupération
Le Collégien et ses capacités de développement
• Certains axes de sollicitations seraient-ils à privilégier au collège à travers l’utilisation récurrente des IPP ?
• Synthèse des caractéristiques développementales du collégien
Musculation Puissance
Aérobie
Endurance Souplesse
Les enjeux de Vo2 Max
L’entraînabilité de l’enfant
L’entraînabilité de l’enfant
Chez l’enfant, la plus haute capacité d’entraînement se situe particulièrement durant les périodes d’accélération de la croissance (Dobrzynski, 1976; Koinzer, 1978, cités par J. Weineck, Biologie du Sport, Vigot, 1992, p. 337)
Il existe des périodes d’entrainabilité optimales (on parlera d’âge d’or), variables d’un individu à l’autre (différence entre filles et garçons) et d’une forme de sollicitation à l’autre. JJ Renier, Les jeunes et la course sur route, AEEFA n°150, 1998, pp. 15-16.
Étant donné que l’organisme de l’enfant subit les plus grandes transformations durant la puberté, la capacité d’adaptation et, par conséquent, d’entrainabilité sont maximales. C’est le cas notamment pour l’endurance et la force (J. Weineck, Biologie du Sport, Vigot, 1992, p. 338)
L’entrainabilité de l’endurance chez l’enfant d’âge scolaire
L’entrainabilité de l’endurance chez l’enfant d’âge scolaire
Le VO2Max ou capacité maximale d’absorption d’oxygène présentera un âge d’or du développement qui se situera vers la puberté, entre 10 et 15 ans (Astrand P.O et Rodahl K., manuel de physiologie de l’exercice Musculaire, Masson, 1973)
Le développement de l’endurance est optimal durant la première phase de la puberté : la taille et le poids du cœur, ainsi que les poumons atteignent leur taux de croissance maximal à cet âge , alors que le volume relatif du cœur atteint sa valeur la plus élevée, le système cardio-pulmonaire est dans une phase de développement optimal et par conséquent il peut supporter des charges de travail très élevés (Demeter, 1981 cité par J. Weineck, biologie du sport, 1992, p. 338).
Spécificité de l’entraînement chez l’enfant
Spécificité de l’entraînement chez l’enfant
La loi de "Mark Jansen « établit que la sensibilité des tissus est proportionnelle à la vitesse de croissance. L’enfant est donc plus particulièrement exposé aux dangers de blessures dues aux charges d’entraînement excessives et antiphysiologiques.
La loi de "Mark Jansen « établit que la sensibilité des tissus est proportionnelle à la vitesse de croissance. L’enfant est donc plus particulièrement exposé aux dangers de blessures dues aux charges d’entraînement excessives et antiphysiologiques.
Le développement complet de la capacité d’endurance ne peut être atteint si, au cours de la puberté, le potentiel d’adaptation de l’organisme n’est qu’insuffisamment sollicité. C’est donc à cet âge que seront construites les bases de la capacité de performance ultérieure (Kinderman, 1974; Dietrich, 1974; Sperling, 1975 cités par J. Weineck, Biologie du Sport, Vigot, 1992 p. 338).
Le développement complet de la capacité d’endurance ne peut être atteint si, au cours de la puberté, le potentiel d’adaptation de l’organisme n’est qu’insuffisamment sollicité. C’est donc à cet âge que seront construites les bases de la capacité de performance ultérieure (Kinderman, 1974; Dietrich, 1974; Sperling, 1975 cités par J. Weineck, Biologie du Sport, Vigot, 1992 p. 338).
Trop souvent, en demi-fond en général et en course sur route en particulier, on néglige tout l’aspect économie gestuelle qui nous permet d’obtenir la plus grande efficacité. Les bondissements seront utilisés pour développer la force spécifique de l’appui (JJ Renier AEFA 150, 1998 citant G. Gacon, CRDP Dijon, 1993).
Trop souvent, en demi-fond en général et en course sur route en particulier, on néglige tout l’aspect économie gestuelle qui nous permet d’obtenir la plus grande efficacité. Les bondissements seront utilisés pour développer la force spécifique de l’appui (JJ Renier AEFA 150, 1998 citant G. Gacon, CRDP Dijon, 1993).
Les principales méthodes d’entraînement qui peuvent être utilisées durant l’enfance et l’adolescence sont la méthode continue et la méthode par intervalles de courte durée (alactacides) et les efforts de type fractionné. En revanche la méthode par répétitions ne convient pas, particulièrement les distances qui sollicitent la glycolyse anaérobie, de même que la méthode de compétition, en particulier dans le domaine du demi-fond (J. Weineck, biologie du sport, 1992, p. 338).
Les principales méthodes d’entraînement qui peuvent être utilisées durant l’enfance et l’adolescence sont la méthode continue et la méthode par intervalles de courte durée (alactacides) et les efforts de type fractionné. En revanche la méthode par répétitions ne convient pas, particulièrement les distances qui sollicitent la glycolyse anaérobie, de même que la méthode de compétition, en particulier dans le domaine du demi-fond (J. Weineck, biologie du sport, 1992, p. 338).
Quid du savoir s’entraîner au collège ?• Les finalités du collège rappellent que :
• Le développement et la mobilisation des ressources individuelles favorisant l’enrichissement de la motricité
¨Le développement des ressources doit faire l’objet d’une attention particulière au moment où l’élève, fille ou garçon, subit des transformations morphologiques, physiologiques et psychologiques importantes. Toutes les activités physiques du programme permettent le développement et la mobilisation des aptitudes et ressources de chaque élève, éléments déterminants de sa réussite, de son aisance et de l’estime qu’il a de lui-même.¨
• L’éducation à la santé et à la gestion de la vie physique et sociale
¨La prise en compte de la santé doit s’envisager dans plusieurs dimensions : physique, psychique, sociale. Progressivement, le collégien doit apprendre à connaître son potentiel, à acquérir le goût de l’effort et des habitudes de vie liées à l’entretien de son
corps, à organiser ses pratiques, à prendre en charge sa sécurité et celle des autres.
La Musculation au Collège … Enjeux et limites
• L'intégration de pratiques de musculation au collège nous semble avoir sa place à différents niveaux : – Echauffement (cf échauffement Russe Cometti)– Apprentissage : alimenter le référentiel
sensoriel pour optimiser le « comparateur »– Développement des ressources « neuro-
musculaires (pliométrie) »
Formalisation d’un apprentissage moteur chez un débutant
Reformulation de l’intention
Projet d’actionProgramme Moteur
Le plus procheRésultat réel
de l’action
Résultat attendude l’action
Comparateur
Signal d’erreur
1 2
3
4
5
Modèle d’exécution en boucle fermée chez le débutant. La prise en compte du signal d’erreur est utilisée à postériori pour reformuler l’intention puis le projet d’action.
Psycho-péda des APS, l’apprentissage du mouvement, H. Rippoll, ch 19 pp.291-312, 1985.
Formalisation d’un apprentissage moteur chez un expert
Reformulation de l’intention
Projet d’actionProgramme Moteur
Le plus procheRésultat réel
de l’action
Résultat attendude l’action
Comparateur
Signal d’erreur
1 2
4
5
Conséquences sensorielles
Attendues de l’action
26
Modèle d’exécution en boucle fermée chez l’expert. La prise en compte du signal d’erreur s’effectue en continu pendant l’exécution du mouvement en vue d’un ajustement en précision (5) et / ou à postériori en vue d’une reformulation de l’intention puis du projet d’action (6).
Psycho-péda des APS, l’apprentissage du mouvement, H. Rippoll, ch 19 pp.291-312, 1985.
La pliométrie légèreL’utilisation du cycle étirement détente … ça s’apprend !L’utilisation du cycle étirement détente … ça s’apprend !
Modalités d'intégration envisageable
• A chaque séance, une série d'exercices spécifiques à l'activité seront utilisés systématiquement pour échauffer et éveiller la proprioception liée aux apprentissages
• lors de séances d'une heure, afin d'accompagner le développement des ressources sollicitées par l'APSA support au développement des compétences lors des séances de 2H ...
L’échauffement RUSSE L’échauffement RUSSE … …
L’échauffement RUSSE L’échauffement RUSSE … …
Cette méthodologie présentée par l’auteur est issue des travaux d’un Russe Mastérovoï,qui l’élabora en 1966, en réaction à des accidents constatés chez des sprinteurs au
niveaudes ischio-jambiers. Constatant alors que, lors d’un échauffement classique (footing +étirements passifs), la température des ischios ne s’élevait que de 0,2° Mastérovoï mis enœuvre la démarche de préparation à l’effort maximal suivante : 1ère phase : il s’agit d’effectuer en alternance des exercices de force puis d’étirementssur les muscles moteurs de l’activité (travail concentrique voir excentrique + étirementspassifs).2ème phase : appelée préparation aux efforts spécifiques, elle reproduit spécifiquement lescontraintes auxquelles sont soumis les ischios en Sprint, Mastérovoï propose l’utilisationde mouvements balistiques intentionnellement freinés à savoir au regard d’un cycle decourse bloquer l’engagement du genou par un travail de freinage excentrique des ischios.3ème phase :il s’agit d’une course expérimentale
Cette méthodologie présentée par l’auteur est issue des travaux d’un Russe Mastérovoï,qui l’élabora en 1966, en réaction à des accidents constatés chez des sprinteurs au
niveaudes ischio-jambiers. Constatant alors que, lors d’un échauffement classique (footing +étirements passifs), la température des ischios ne s’élevait que de 0,2° Mastérovoï mis enœuvre la démarche de préparation à l’effort maximal suivante : 1ère phase : il s’agit d’effectuer en alternance des exercices de force puis d’étirementssur les muscles moteurs de l’activité (travail concentrique voir excentrique + étirementspassifs).2ème phase : appelée préparation aux efforts spécifiques, elle reproduit spécifiquement lescontraintes auxquelles sont soumis les ischios en Sprint, Mastérovoï propose l’utilisationde mouvements balistiques intentionnellement freinés à savoir au regard d’un cycle decourse bloquer l’engagement du genou par un travail de freinage excentrique des ischios.3ème phase :il s’agit d’une course expérimentale
Cometti G. 2002 L’échauffement Russe, l’entraînement de la vitesse, Université de Bourgogne, pp.75-80.
Cometti G. 2002 L’échauffement Russe, l’entraînement de la vitesse, Université de Bourgogne, pp.75-80.
Quel Intérêts en EPS ?
Quel Intérêts en EPS ?
Il constate ainsi que le protocole permet une augmentation de la température des ischio de 1,6° à 3,4° !Il constate ainsi que le protocole permet une augmentation de la température des ischio de 1,6° à 3,4° !
D’autre part Mastérovoï constata également que des efforts destinés à compléter l’échauffement n’avaient pas le même effet s’ils étaient effectués après un échauffement traditionnel ou un échauffement "russe" , il s’est en effet avéré que :
Si la vascularisation est mal réalisée pendant l’échauffement, les mouvements (la plupart du temps balistiques) qui suivent, ne permettent pas de récupérer ce manque et même parfois ils l’amplifient. L’athlète conserve cet état de non échauffement jusqu’à la fin de l’entraînement.
Si la vascularisation est mal réalisée pendant l’échauffement, les mouvements (la plupart du temps balistiques) qui suivent, ne permettent pas de récupérer ce manque et même parfois ils l’amplifient. L’athlète conserve cet état de non échauffement jusqu’à la fin de l’entraînement.
Mise en évidenceMise en évidence
ClassiqueRusse
Echauffement
0,3°
0,7°
0,2°
1,6°
2°2,2°
3°
0,2°
Etirements AutresActivités
Sprint
Il est bon dans l’échauffement de bien cibler le travail sur une élévation efficace de la température des muscles. Celle-ci s’obtient principalement par un travail dynamique (concentrique + excentrique) de contractions musculaires alternées avec des étirements passifs. Il convient de noter que les mouvements balistiques qui caractérisent la plupart des disciplines sportives ne sont pas propices à une bonne vascularisation synonyme d’augmentation de la température.
Il est bon dans l’échauffement de bien cibler le travail sur une élévation efficace de la température des muscles. Celle-ci s’obtient principalement par un travail dynamique (concentrique + excentrique) de contractions musculaires alternées avec des étirements passifs. Il convient de noter que les mouvements balistiques qui caractérisent la plupart des disciplines sportives ne sont pas propices à une bonne vascularisation synonyme d’augmentation de la température.
Quelques pistes dans les APSA
Bad Gym Athlé Escalade Volley BB
Lests
Elastic
Step
Fittball
La Souplesse Bord… !
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