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Esclave de l’islam Texte : G. Gianni Illustrations : De Haro Traduction : Henic Les forces arabes ont finalement pris la ville chrétienne de San Esteban, mais seulement après des mois de siège, avec près de cinq milles hommes. La bataille marqua la fin de la coexistence précaire qui durait depuis plusieurs décennies le long de la frontière. Les corps et les têtes tranchés des chefs vaincus furent exposés sur les murs de la ville. Les oiseaux de proie survolaient la ville… Dans la forteresse de Gormaz toute proche, le vainqueur, Al-Rashid, attend son prix : Isabelle, la fille aînée du chef ennemi. D’une manière détournée, Isabelle est responsable de la guerre. Si elle avait accepté de se fiancer à lui, le mariage aurait scellé une paix durable entre les royaumes.

Esclave de l’islam - Reves de femme

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Page 1: Esclave de l’islam - Reves de femme

Esclave de l’islam Texte : G. Gianni

Illustrations : De Haro Traduction : Henic

Les forces arabes ont finalement pris la ville chrétienne de San Esteban, mais seulement après des mois de siège, avec près de cinq milles hommes. La bataille marqua la fin de la coexistence précaire qui durait depuis plusieurs décennies le long de la frontière.

Les corps et les têtes tranchés des chefs vaincus furent exposés sur les murs de la ville. Les oiseaux de proie survolaient la ville…

Dans la forteresse de Gormaz toute proche, le vainqueur, Al-Rashid, attend son prix : Isabelle, la fille aînée du chef ennemi. D’une manière détournée, Isabelle est responsable de la guerre. Si elle avait accepté de se fiancer à lui, le mariage aurait scellé une paix durable entre les royaumes.

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Pieds nus et complètement nue mais la tête droite, Isabel est poussée en présence de l’infidèle victorieux, l’homme qui lui avait offert une place parmi ses épouses.

Il la regarde de haute ne bas et se trouve très satisfait de sa nudité. Lui-même ne porte qu’une robe légère. Il aime les chrétiennes. Elles on tune peau délicieusement Claire, des cheveux couleur de lumière, sont hautaines et rebelles, difficiles à mater.

Mais il sait comment les traiter et cette superbe fille en fait déjà l’expérience depuis deux jours. Deux jours enfermée dans le donjon de la forteresse, soumise à la torture et abusée par Sabo, le chef eunuque du harem. Il lui dit :

« Viens là. »

Isabelle s’avance lentement. Elle a une corde autour du cou et ses mains sont attachées dans son dos. Elle a bien conscience qu’il fixe ses gros seins sans protection. Toute sa vie, les hommes ont fait cela et elle a appris à faire avec. Elle a l’air fier et distant. Elle s’arrête devant Al-Rashid. Ses seins dresses, ses hanches en amphore, elle est comme il l’espérait, et même plus… Il a toujours rêvé d’une femme comme celle-là.

Elle est mince mais ses seins sont si gros et si ronds qu’ils paraissent appartenir à quelqu’un d’autre. Ils emplissent tellement les yeux et l’esprit d’Al-Rashid qu’il voit à peine la courbe délicate de la taille, la fine toison pubienne, la douce courbe du mont de Vénus, les jolis mollets ronds et les chevilles finement tournées, la chevelure châtain lustrée, les yeux bleu acier…

« Tourne-toi »

Elle hésite. Elle se mord nerveusement la lèvre. Ses yeux se portent sur une fille à moitié morte suspendue par une cheville dans un coin de la pièce.

Elle se retourne et l’esprit d’Al-Rashid s’embrume à nouveau lorsque ses seins disparaissent à sa vue mais sont remplacés par ses fesses fières er majestueuses. Son regard parcourt les longues jambes de haut en bas puis de bas en haut jusqu’au dos fragile et tentant. Parfait. Il faudra qu’il félicite Sabo. Aucune marque de fouet n’est visible.

Il agite une clochette et deux gardes apparaissent. Il leur dit :

« Les coudes. »

Isabelle fait la grimace. Il aime ça. Il y a des prisonnières qui réagissent à la douleur en couinant comme des porcs qu’on égorge, mais cette chrétienne se contente de faire la grimace. Elle souffre en silence, de manière érotique estime-t-il, tandis que ses bras sont attachés au niveau des coudes, ce qui projette sa poitrine en avant.

« Face à moi. »

Les seins d’Isabelle oscillent légèrement lorsqu’elle se retourne.

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C’est le moment de l’humilier. Elle le mérite, en tant qu’ennemie, infidèle et surtout, femme.

« Marche jusqu’à la porte et reviens… »

Elle avance rapidement.

« Lentement ! »

Isabelle obéit, du moins pour le moment.

« Sur la pointe des pieds ! »

Délicieux !

« Un pied juste devant l’autre ! »

Son érection est insupportable. Il regarde sa taille, ses cuisses, ses jambes tendues, et ne peux finalement détacher son regard de ses seins qui se balancent légèrement à chaque pas qu’elle fait. Sa main se porte inconsciemment à son membre. Il dit :

« Regarde-moi dans les yeux. »

Il voit de l’amertume et du désespoir.

« Que ressent une chrétienne lorsqu’elle ne porte aucun vêtement et se montre nue à un infidèle ? »

Silence.

Six fois, il la fait aller jusqu’à la porte et revenir. Finalement, désignant le sol entre ses jambes, il ordonne :

« A genoux ! »

Il fait courir l’extrémité de sa longue badine le long de sa figure et soulève ses cheveux au-dessus de ses épaules. Il lui soulève le menton.

« Sors ta langue. »

Les lèvres sensuelles s’écartent légèrement, dévoilant deux dents blanches et une langue délicate, rose comme ses tétons… Il tend le large sceau de son anneau près de sa bouche et dit :

« Lèche. C’est le signe du prophète. »

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Isabelle hésite mais se souvient de la fille au coin de la pièce et des cadavres pendant aux murs de San Esteban, et elle obéit. Al-Rashid lui met deux doigts dans la bouche et ordonne :

« Suce ! »

Isabelle a l’air perplexe.

« Plus fort… »

Parfait. Un frisson de plaisir parcourt le corps de l’Arabe en train de s’imaginer les longues nuits d’excès physiques que cette bouche va lui procurer. Il aime se réveiller le matin et être sucée par une esclave chrétienne. Il soulève à nouveau son menton et lui demande :

« Pourquoi as-tu refusé d’être ma femme ? »

Isabelle baisse le regard mais ne répond pas.

Al-Rashid la projette brutalement au sol d’un coup aussi violent que soudain et crie :

« Réponds quand je te parle ! »

Elle répond en léchant sa lèvre qui saigne :

« Une chrétienne ne partage pas son mari.

- Et pour une esclave chrétienne ? Est-ce qu’une esclave partage son Maître ? Réponds !

- Je suppose que oui.

- Tu ne voulais pas être ma femme et maintenant, tu es mon esclave ! Tu comprends ? »

Les yeux d’Isabelle s’emplissent de larmes.

« Tu as entendu dire, je pense, la manière dont nos esclaves chrétiennes nous servent ? »

Isabelle opine lentement.

« Tu en as entendu parler ?

- Oui, répond la prisonnière de manière à peine audible.

- Et de quelle manière est-ce ? Réponds ! »

Isabelle prend une grande inspiration. Est-ce un problème de mentir, maintenant ?

Elle paraît magnifique aux yeux d’Al-Rashid, avec une rougeur aux joues, les cheveux décoiffés et les yeux pleins de larmes.

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« Elles servent leurs maîtres.

- Oui, je suis ton Maître. Tu m’appelles Maître désormais. Et de quelle manière dois-tu me servir ?

- Maître, ne m’obligez pas à le dire !

- Réponds ! Comment une esclave sert-elle son Maître ?

- Avec tout ce qu’elle a, Maître !

- Excellente réponse ! Elle lui donne tout ce qu’elle possède. »

Al-Rashid lève sa main jusqu’aux lèvres de la jeune fille. Elles sont épaisses, sensuelles, gonflées… C’est un plaisir, se dit-il, de frapper une femme.

« Une des choses que possède une esclave, ce sont ses lèvres, est-ce exact ?

- Oui Maître. »

Les doigts entrent dans la bouche et trouvent sa langue.

« Et une esclave sert-elle avec sa langue ?

- Oui Maître. »

En répondant, Isabelle se met à trembler.

« Et comment une esclave peut-elle servir avec sa bouche ? »

Il se délecte de cette conversation lente et humiliante. Il n’y a pas d’urgence… Elle parvient à murmurer :

« En embrassant…

- Et… ?

- En… léchant… et suçant…

- Très bien! Tu as beaucoup d’imagination pour une jeune et chaste chrétienne. Maintenant, dis-moi : quelle partie de ton Maître vas-tu servir avec ta bouche à présent ? »

Sanglots, honte infinie…

Al-Rashid cesse de caresser ses lèvres et baisse sa main. Pour la première fois, il touche ses seins… Il lui pince brutalement un téton en criant :

« Réponds, esclave ! »

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Isabelle crie de douleur. Elle frémit à ce premier contact intime. Quelle partie de l’anatomie de ce porc pourrait-elle embrasser sans avoir la nausée ? Il faut qu’elle réponde, et vite !

« La main ! Crie-t-elle alors qu’il serre son téton droit.

- Quoi d’autre ? »

Sa tête tourne. La bouche? Non. Les tétons ? Les oreilles ? Les pieds ?

« Les pieds, Maître !

- C’est acceptable. Tu peux commencer maintenant. »

Al-Rashid la regarde qui s’accroupit. Ce n’est pas facile pour elle, avec les bras attachés derrière le dos. Il fixe son derrière dressé, avec la profonde ligne au milieu. C’est irrésistible. Il s’allonge en arrière, écarte les jambes et apprécie le premier contact timide de ses lèvres et de sa langue.

« Mouille tes lèvres et lèche-moi bien ! Fais-ça comme si ta vie en dépendait, parce que c’est le cas. Lèche partout : entre les orteils, la plante, les chevilles. Lèche comme la chienne chrétienne que tu es… »

Pour Isabelle, c’est une expérience dégradante. Elle est nue, attachée et à genoux devant un ennemi de son peuple, en train de lécher ses pieds dégoûtants.

"Dieu ! Pourquoi m’avez-vous abandonnée ?"

« Arrête ! »

Isabelle lève les yeux et attend l’ordre suivant.

« Prends la robe de ton Maître entre tes dents et soulève-là jusqu’à ce que tu dévoiles les couilles de ton Maître. »

C’est une instruction simple mais qui s’avère difficile à réaliser.

Les deux jours précédents avec Sabo lui reviennent en mémoire. Menaces, panique, cris provenant de la cellule voisine, odeur de chair brûlée, le terrible craquement du fouet, les échardes sous les ongles, le bâillon de métal …

Elle ferme les yeux et tire la robe. Elle se redresse instinctivement lorsqu’elle sent un de ses seins frotter contre sa cuisse. Il lui ordonne d’ouvrir les yeux et elle voit un pénis érigé pour la première fois de sa vie : long, jaunâtre… Al-Rashid ouvre la robe.

« Embrasse les couilles de ton Maître, esclave ! »

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Isabelle regarde. Elles sont grosses et foncées, bien plus foncées que le pénis. Elles remuent. Deux gifles la ramènent à sa tâche. Al-Rashid tire sur la corde qui passé autour de son cou.

« Obéis, espèce de salope ! Embrasse les couilles de ton Maître. »

Il se rallonge et se laisse submerger par une délicieuse vague de satisfaction lorsque les lèvres de la prisonnière parviennent lentement sur ses couilles. L’adorable Isabelle, Isabelle aux seins énormes et fiers, est à lui, pour en faire ce qu’il veut…

Tenant toujours la corde, il lève une jambe et fait apparaître son anus. L’estomac d’Isabelle est révulsé par une forte odeur putride de sperme et de vieux ébats qui agresse ses narines. Et là, devant ses yeux, devant ses lèvres, devant sa langue, se trouve le cul de l’Arabe…

« Tes lèvres et ta langue sont faits pour ça aussi… »

Elle plonge son visage entre fesses puantes et se met à lécher et embrasser pendant ce qui lui paraît une éternité. Sa salive mélangée avec la saleté qu’elle trouve là, les poils collés ensemble, la sueur fétide qui sourd de chaque pore…

Il lui ordonne de nettoyer aussi l’intérieur de son anus avec sa langue. Les menaces qu’il profère sont terribles. Il va déchirer sa langue avec des pinces, ou lui couper les seins et les donner aux chiens…

Lorsqu’ Al-Rashid estime qu’elle en a fait assez, Isabelle est brisée. Elle n’est plus qu’un jouet entre ses mains. Il n’y a plus de trace de l’esprit hautain et méfiant qu’elle arborait une heure plus tôt lorsqu’elle avait été amenée dans la pièce complètement nue. Elle est malade dans son cœur et son estomac lorsqu’elle entend l’ordre suivant mais elle ne proteste pas.

Pendant les heures qui suivent, elle embrasse, suce et lèche le pénis de son Maître, en l’agrippant fermement à chaque fois qu’il s’approche de l’orgasme et en le branlant pour qu’il parvienne à la béatitude. Les orgasmes se suivent mais il ne semble pas vraiment y trouver de soulagement car ses yeux se tournent encore et toujours vers ses seins qui se balancent…

Entre les orgasmes, elle doit lui montrer la rondeur et la plénitude de ses seins dans toutes les positions et postures qu’il désire. Des vagues de plaisir emplissent l’esprit et le corps d’Al-Rashid tandis qu’elle suit ses instructions, se mettant debout, s’asseyant, se tournant légèrement à droite ou à gauche en de rapides mouvements, marchant vers lui, se penchant et exposant son anus, son vagin et ses seins tout en même temps, mettant ses tétons dans sa bouche chacun à son tour pour qu’il les suce…

Les seins d’Isabelle avec leur perfection tant dans la grosseur que dans les balancements, le troublent et lui occasionnent érection après érection. Il n’en a jamais vu de tels auparavant mais il en a souvent imaginés des comme ça. Tous les fantasmes de sa vie s’y trouvent et il se perd lorsque ses lèvres se referment autour de ses tétons.

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Enfin, Al-Rashid se retrouve haletant après un dernier orgasme du matin. Il agite sa clochette et des soldats entrent.

« Mettez-lui une ceinture sur la chatte. Puis attachez la corde par terre ! Appelez les généraux ! »

Cinq généraux entrent dans la pièce. Ils sont ivres. Ils voient Isabelle, la tête attachée par une très courte corde à une chaîne fixée au sol. Son effet est de présenter ses fesses levées et de la montrer dans toutes ses rondeurs : les fesses, l’anus, les seins qui pendent et s’agitent lorsqu’elle tourne la tête, la bouche ouverte sous l’effet de la panique…

Al-Rashid se rallonge et sourit.

Les hommes se déshabillent. L’un la pénètre par derrière, pendant qu’un autre s’allonge sur le sol, prend sa tête entre ses mains et guide sa bouche ouverte sur son pénis. Deux autres lui travaillent les seins. Chacun en prend un, le mâche et le mord durement. Le cinquième homme se tient derrière elle et referme sa main sur son pénis.

En quelques minutes, Isabelle est couverte de sperme. Un homme jouit dans sa bouche mais se retire à temps pour lui couvrir le visage de sa semence. Un autre jouit sur son dos. Les hommes qui lui ont mordu les seins s’interrompent pour se masturber sur eux. Elle sent la chaude semence qui les recouvre et s’écoule lentement. Enfin, l’homme dans son anus pousse un grognement sourd et s’effondre sur elle.

« AAAARRRHHHHHHHHHH ! »

Isabelle se sent mouillée, au-dedans comme au dehors. Elle a une image mentale confuse d’elle-même, celle d’une vache en train d’être traite lorsqu’elle sent le sperme qui coule de ses seins…

« Détachez-la. Emmenez-la et lavez-la. Parfumez-la. Je vais me reposer, maintenant. Donnez-lui de quoi manger et boire. Puis enlevez la ceinture et attachez-la à mon lit. Mettez des pâtisseries sucrées entre ses lèvres. Sa virginité sera mon dessert… »

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