Exemple 2 rapport du projet personnel

Matériel de soutien pédagogique pour les projets du PEI 1

Exemple 2 : rapport du projet personnel

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Investigation

Depuis mon plus jeune âge, je suis fascinée par les livres. J’ai toujours adoré lire et

écrire, et j’aime aussi beaucoup la musique francophone. Mes chansons préférées sont

souvent celles dont les paroles viennent me toucher, car j’aime beaucoup lorsqu’on image

des concepts. Lorsque j’ai découvert la poésie, j’en suis tombée amoureuse, car elle me

permettait de laisser aller ma créativité et de développer ma vision du monde. Aussi, la

préservation de la culture québécoise me tient beaucoup à cœur, car c’est une très grande

partie de mon identité. C’est pourquoi j’ai décidé d’exploiter ces deux éléments dans mon

projet.

J’ai choisi comme but de faire découvrir la poésie québécoise aux jeunes de 3e à 6e

années du primaire en animant des ateliers, puisque tout au long de mon secondaire, j’ai

observé un certain désintérêt de la part de mes coéquipiers lorsqu’on abordait la poésie.

Comme j’aimerais que ce problème se résolve, j’ai décidé de commencer à former les

jeunes élèves pour que ceux-ci soient mis en contact plus tôt avec la poésie.

Le contexte mondial qui s’applique le plus à mon projet est Expression personnelle

et culturelle. La poésie est une forme d’écriture, qui permet de s’exprimer et de laisser aller

sa créativité. Les élèves pourront aussi, à travers elle, forger leur opinion de la culture de

la province où ils vivent et en apprendre plus sur l’environnement qui les entoure. De plus,

mon projet a permis aux élèves de développer leur vocabulaire pour ainsi laisser libre cours

à leur créativité.

Je connaissais déjà plusieurs notions sur mon sujet. Nous avons abordé la poésie

dans le cours de français, donc je connaissais la structure d’un poème, ses principales

caractéristiques ainsi que les types et la disposition des rimes. Ceci m’a beaucoup aidé à

enseigner les notions théoriques de l’atelier. De plus, le module d’enrichissement de

troisième secondaire était concentré sur la littérature québécoise, donc je connaissais déjà

plusieurs poètes d’ici, que j’ai pu intégrer à mes ateliers. Également, grâce à un emploi au

camp de jour de ma ville, j’en savais un peu plus sur la façon de gérer un groupe de jeunes



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et sur l’adaptation d’activités. L’histoire m’a aussi servi à établir l’histoire de la poésie

québécoise. En effet, cette dernière a beaucoup changé avec le temps et les évènements

historiques importants. La population a évolué, et sa façon de s’exprimer aussi.

J’ai effectué ma recherche en deux étapes pour m’aider. La première partie porte

sur mon but et la deuxième sur les ateliers. J’ai, pour ce faire, écrit une liste de questions

pertinentes sur des sujets généraux appartenant aux deux catégories. Pour ma recherche,

j’ai simplement répondu aux questions. J’ai fouillé sur Internet, j’ai visité la bibliothèque

pour trouver des ouvrages intéressants et j’ai posé des questions à une enseignante au

primaire, qui m’a beaucoup aidé pour l’organisation. De plus, j’ai fouillé dans des manuels

scolaires pour trouver des idées d’activités.

Plusieurs sources m’ont beaucoup aidé pendant ma recherche. Voici mes quatre

sources les plus importantes.

Le site Allô Prof1 m’a donné plusieurs informations sur la poésie, comme ses

caractéristiques. Elles m’ont été utiles lorsque je préparais mes ateliers puisqu’elles ont

déterminé quelle serait la matière abordée (voir Annexe I). Ce site est aussi reconnu pour

être très pertinent les jeunes. L’organisme œuvre à travers tout le Québec et travaille avec

des enseignants qualifiés qui aident les élèves dans leurs devoirs. Il n’expose que des faits,

sans prendre position, et reste neutre, donc on peut déduire qu’il s’agit d’une source très

fiable.

Le site de Jacques Rancourt2 fut très utile, puisqu’il donne une liste de poètes

québécois avec leurs œuvres. J’ai ainsi pu en présenter quelques-uns aux élèves et intégrer

certaines œuvres dans mes activités. Jacques Rancourt est un enseignant qui a monté un

site où il regroupe des notions théoriques sur la poésie, des auteurs et des œuvres. Malgré

sa profession, rien n’assure que ses propos sont fiables. Par contre, comme je trouvais que

1 ALLÔ PROF, Le genre poétique, Internet, http://www.alloprof.qc.ca/BV/pages/f1074.aspx, 1er octobre 2017 2 RANCOURT, Jacques, Poètes du Québec, Internet, http://francite.net/education/page85.html, 26 octobre 2017



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le site était complet, j’ai vérifié les informations, qui se sont avérées véridiques, sur les

sites de la coopérative des Librairies Indépendantes du Québec3 et celui de l’Union des

écrivains du Québec4, qui sont deux organismes fiables. Le premier est une association qui

regroupe une centaine de librairies québécoises, ontariennes et des Maritimes, donc on peut

estimer que les gens qui y publient sont des libraires agréés. L’Union des écrivains du

Québec, quant à elle, exige plusieurs conditions concernant la carrière des membres pour

publier sur son site, donc on peut assurer que ces personnes ont les connaissances

nécessaires.

L’enseignante 5 m’a beaucoup aidé durant ma recherche. Elle m’a

expliqué tout le programme de poésie et ce qui s’y rattachait, ce qui m’a aidé à adapter mes

ateliers à mon public-cible. Aussi, elle m’a donné des trucs pour l’organisations, et des

conseils concernant le nombre et la durée de chaque activité. est une

enseignante de 3e-4e année du primaire, donc elle connaît le programme scolaire. De plus,

elle enseigne depuis 24 ans, dont 12 ans en maternelle, donc ses connaissances sur le sujet

sont étendues.

Le site de la revue Pour parler profession6 m’a été utile puisqu’il m’a donné des

techniques efficaces pour conserver l’attention des élèves et m’assurer qu’ils aient un

apprentissage optimal (voir Annexe II). Connaître des méthodes d’enseignement efficaces

m’aidera à conserver l’attention et la concentration du groupe. Pour parler profession est

la revue de l’Ordre des enseignants et enseignantes de l’Ontario, donc ce sont les

techniques qu’utilisent les enseignants là-bas, qui doivent fonctionner.

3 LES LIBRAIRES, 100 poètes québécois, Internet, https://www.leslibraires.ca/thematique/100-poetes-quebecois-1056/?tri=plus-populaires&p=4, 16 janvier 2018 4 UNEQ, Répertoire des œuvres du patrimoine, Internet, http://patrimoine.litteraire.phare.uneq.qc.ca/, 16 janvier 2018 5 , Entrevue avec , enseignante, Cowansville, 22 octobre 6 POUR PARLER PROFESSION, Attirer leur attention et la retenir, Internet, http://pourparlerprofession.oeeo.ca/mars_2008/non-verbal.asp#, 23 octobre 2017



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Planification

Afin de me permettre d’évaluer si les élèves de 3e à 6e année du primaire ont

découvert la poésie québécoise, j’ai choisi les critères de réussite suivants :

o Faire compléter un test aux élèves contenant les mêmes questions (portant sur les formes

de poésie, les types de rime, la structure poétique, les poètes québécois, la disposition des

rimes, etc.) avant et après l’atelier pour vérifier leur progression par rapport aux notions

enseignées

o Faire compléter un sondage aux élèves pour vérifier si les ateliers étaient stimulants et

intéressants.

o Demander à une enseignante de français qui aborde la poésie dans son programme

d’évaluer les activités faites par les élèves pour s’assurer qu’elles soient pertinentes à

l’apprentissage et à la découverte des notions de base de la poésie (activités variées qui

portent sur toutes les notions choisies, feuillet permettant d’atteindre le but, présentation

adéquate du feuillet, choix pertinent d’activités, etc.)

o Demander à l’enseignante du groupe d’élèves avec qui j’ai réalisé mon projet d’évaluer les

ateliers que j’ai faits pour vérifier si ces derniers ont été efficaces et si j’ai eu une belle

présence en classe (activités intéressantes, en lien avec la poésie, adaptées à leur niveau

scolaire et à leur âge, enseignement dynamique et impliquant les élèves, temps bien réparti,

contenu des ateliers complet, animation intéressante, etc.)

De plus, pour réussir à terminer mon projet, j’ai dû faire plusieurs étapes avant

d’effectuer ma réalisation.

Premièrement, j’ai fait un échéancier de tâches qui s’étendait de la fin septembre

jusqu’à la remise de projet, le 15 février. De la fin septembre à la mi-octobre, j’ai fait la

planification de ma recherche. Par la suite, jusqu’à la fin octobre, j’ai effectué ma

recherche. Pendant tout le mois de novembre, j’ai fait ma planification pour être prête pour

ma réalisation, le 27 novembre. Après, jusqu’en janvier, j’ai analysé mes critères de

réussite afin d’évaluer l’ensemble de mon projet.



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Avoir un échéancier m’a beaucoup aidé, puisque j’avais juste à le suivre chaque

semaine pour connaître les tâches à faire. J’ai toutefois dû le reformuler assez rapidement,

afin qu’il soit plus précis, donc je l’ai fait à la semaine, avec des tâches distinctes. Je l’ai

aussi modifié à plusieurs reprises, car je l’avais établi au début du projet, donc j’avais mal

jugé le temps et dans quel ordre s’effectueraient les étapes (voir Annexe III). Par exemple,

j’ai dû repousser mon travail, car j’ai eu plusieurs

obligations familiales.

Dans les deux premières semaines d’octobre, j’ai mis au point une liste de questions

à répondre dans ma recherche, pour m’organiser et ne pas me répéter. Durant les semaines

du 16 octobre et du 23 octobre, j’ai fait ma recherche en remplissant des fiches

bibliographiques et citation pour obtenir des informations que j’ai pu utiliser dans ma

planification.

Dans la semaine du 9 octobre, j’ai contacté les enseignantes avec qui je voulais

travailler pour savoir si elles étaient intéressées à ce que je vienne effectuer mes ateliers

dans leurs groupes. Je suis allée dans deux classes de la même école, mais de niveaux

différents.

Par la suite, j’ai commencé ma planification en choisissant mes activités, car c’était

une étape importante à effectuer pour pouvoir poursuivre l’organisation. Je l’ai fait le 5

novembre, et cela ne m’a pris qu’une seule journée, car j’ai fonctionné avec une grille

d’évaluation comprenant plusieurs idées d’activités et les critères auxquels je voulais

qu’elles correspondent, donc je n’ai eu qu’à sélectionner celles qui répondaient au plus de

critères.

Ensuite, pendant le reste du mois de novembre, j’ai mis sur pied cinq documents

nécessaires à ma réalisation : le feuillet d’activités que les élèves ont reçu, ainsi que mes

quatre critères de réussite. J’ai dû modifier un peu mon échéancier, car j’avais prévu écrire

les feuillets d’activités dans la semaine du 30 octobre, mais j’ai préféré me concentrer sur



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l’écriture de mon critère Investigation, donc j’ai repoussé cette étape à la semaine suivante,

le 6 novembre . De plus, j’ai pu annuler la rencontre que j’avais prévue avec les

enseignantes, car je leur avais expliqué le fonctionnement au téléphone.

Une semaine avant les ateliers, soit pendant la semaine du 20 novembre, j’ai analysé

une fois par moi-même le poème que j’ai placé dans le feuillet d’activités, pour m’assurer

de ne pas faire d’erreur en classe et pour cibler des passages du poème à mettre en évidence.

Le 25 novembre, l’ultime étape que j’ai fait avant ma réalisation a été de m’écrire

une feuille aide-mémoire avec l’ordre dans laquelle je voulais que mes ateliers se déroulent

et le temps alloué pour chaque section, ce qui m’a aidé à ne pas me perdre pendant que

j’enseignais.

Le 27 novembre, je suis allée faire mes ateliers .

J’ai tout d’abord visité une classe de 3e-4e années, puis une de 5e-6e années. J’ai décidé que

les élèves effectueraient des activités individuelles, en équipes et en grand groupe, car je

voulais observer les différences entre chaque stratégie. J’ai choisi de commencer par les

activités individuelles et de terminer par les activités en groupe, car je voulais conserver

l’intérêt et l’attention des enfants même si l’on avançait dans l’atelier, donc une activité

participative était bénéfique (voir Annexe IV).

Par la suite, jusqu’en janvier, j’ai évalué mon projet avec mes critères de réussite.

J’ai corrigé les petits tests, analysé les sondages et lu les commentaires.

Pendant mon projet, j’ai fait face à un problème, puisque mon échéancier s’est

effacé le 5 novembre . Lorsque je l’ai réalisé, j’ai vécu un stress énorme, mais je me

suis exhortée au calme en me disant que je trouverais une solution (voir Annexe V). Je n’ai

pas paniqué et je me suis tournée vers les ressources auxquelles j’avais accès. Finalement,

j’ai pu numériser les pages manquantes et les convertir en document Word.



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Action

Afin d’atteindre mon but, j’ai dû faire plusieurs choix qui ont mené à mon produit

final.

Premièrement, j’ai fait une liste de propositions de produits avec leurs avantages et

inconvénients (voir Annexe VI). En les comparant, j’ai choisi d’animer des ateliers,

puisque cela impliquait la participation des élèves, un développement approfondi de la

poésie et une réalisation à plus petit terme, puisque les ateliers se feraient dans l’espace

d’un après-midi.

J’ai arrêté mon choix sur les élèves de 3e à 6e années, car je crois qu’ils sont assez

vieux pour comprendre et être intéressés par la poésie, tout en ayant encore une certaine

naïveté. De plus, comme leur culture constitue une grande part de leur identité, travailler

avec celle-ci était plus intéressant et concret pour eux.

Pour choisir les activités, j’ai sélectionné plusieurs suggestions d’exercices tirées

de ma recherche. J’ai ensuite établi une liste de critères auxquelles elles devaient

idéalement correspondre (par exemple : temps; degré de difficulté adapté; participation des

élèves; matériel nécessaire, etc.) et j’ai placé les activités dans un tableau où il me suffisait

de cocher lorsque celles-ci répondaient à l’exigence (voir Annexe VII). Pour faire mon

choix final, je n’ai eu qu’à choisir les activités qui répondaient au plus de critères.

Finalement, les élèves ont fait des rebus, qui travaillait les images poétiques, comme

l’indique le site de La classe de Stefany7, un acrostiche sophistiqué, qui, selon Allô Prof,

« est l’un des premiers textes […] avec lequel les jeunes doivent se familiariser »8, les

élèves ont écrit une strophe sur ce qu’une image signifiait pour eux, pour développer leur

pensée, activité que j’ai entièrement mise sur pied (voir Annexe VIII), et ont écrit des

définitions surréalistes, pour observer un phénomène d’un point de vue plus artistique.

7 LA CLASSE DE STEFANY, Activités autour de la poésie, Internet, http://www.laclassedestef.fr/activites-autour-de-la-poesie-a49683100, 29 octobre 2017. 8 ALLÔ PROF, L’acrostiche, Internet, http://www.alloprof.qc.ca/BV/pages/f1084.aspx, 29 octobre 2017.



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C’est d’ailleurs ce que le contexte mondial Expression personnelle et culturelle a comme

objectif. J’ai déniché cette dernière activité en m’inspirant d’un recueil de poésie effectué

par un élève de 3e secondaire. Je l’ai ensuite adaptée à l’âge des élèves. Les quatre activités

ont été évaluées par une enseignante de français, ce qui constituait mon critère de réussite.

J’ai déterminé que les élèves effectueraient quatre activités d’environ dix minutes,

comme me l’avait suggéré l’enseignante 9, puisque je devais aussi enseigner la

matière.

J’ai choisi d’animer mes deux ateliers dans une école qui pratique la pédagogie

Freinet. Selon la Commission scolaire , cette dernière « se base principalement

sur deux fondements pédagogiques : le tâtonnement expérimental et l’éducation du

travail. »10 Je voulais aller visiter ces élèves puisqu’ils sont déjà habitués d’expérimenter

ce qu’ils apprennent et de travailler en utilisant différentes stratégies, comme mon contexte

mondial le suggère, d’où l’importance d’avoir des activités individuelles, en équipes et en

groupe.

Pour les ateliers, j’ai choisi de monter un feuillet qui contiendrait toutes les activités

et les notions que j’abordais. Je trouvais qu’avoir un cahier par élève permettrait de mieux

suivre, puisqu’il pourrait lire ce que je disais et garder un petit souvenir des apprentissages,

ce que mon but implique. J’ai d’ailleurs évalué la progression des élèves après les ateliers

à l’aide d’un petit test sur les notions abordées.

J’avais le choix entre faire imprimer mon feuillet en couleurs ou en noir et blanc.

Comme j’aurais aimé que les élèves apprécient la poésie, je me suis dit qu’avoir un cahier

avec de belles images colorées et attirantes m’aiderait à atteindre mon objectif.

9 , Entrevue avec , enseignante au primaire, Cowansville, 29 octobre 10 CSVDC, Approche pédagogique Freinet, Internet, http://curea-petit.csvdc.qc.ca/wp-content/uploads/sites/28/2014/05/Approche_pedagogique_Freinet1.pdf, 29 janvier 2018.



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Pendant les ateliers, j’ai analysé un poème avec les élèves qui s’intitulait Le poète,

de Gilles Vigneault. Je l’ai choisi, car selon le site de Jacques Rancourt11, c’est un poème

très connu d’un des plus grands poètes d’ici. De plus, il était un exemple précis des notions

que j’enseignais, donc il était facile à travailler.

Aussi, j’ai choisi de présenter des livres aux élèves pendant les ateliers, pour qu’ils

puissent éventuellement s’inspirer d’œuvres déjà écrites. Comme le dit Sylvie Thierry-

Askevis, « […] faire lire des poèmes à un enfant, c’est l’éveiller à ce que la langue à de

plus riche et de plus libre. »12 Cela ajoutait une touche de curiosité à mes ateliers et

j’espérais semer en eux l’envie de poursuivre leur découverte de la poésie. J’ai aussi évalué

leur appréciation des ateliers avec un sondage.

Finalement, pendant les ateliers, j’ai utilisé des techniques de discipline. Les élèves

étaient parfois bruyants, donc j’ai emprunté la méthode de l’Ordre des enseignants et

enseignantes de l’Ontario13, qui consiste à élever la voix pour demander le silence, puis

attendre celui-ci et poursuivre en murmurant. Cette technique semble avoir fait ses preuves

puisqu’elle est utilisée par des professionnels, et elle a été, en effet, très utile. L’enseignante

d’un des groupes a également évalué l’animation pendant les ateliers.

Durant mon projet, j’ai discuté avec une personne ressource, enseignante

au primaire. Elle m’a donné les réponses aux questions que je ne trouvais pas dans un

ouvrage écrit (voir Annexe IX). Cela m’a été utile, puisque j’ai pu connaître ses expériences

et savoir de quelle façon elle réagirait dans certaines situations. J’ai donc dû collaborer

avec elle et lui faire passer une entrevue. De plus, j’ai fait affaire avec les enseignantes des

groupes que j’ai visités. J’ai dû d’abord les contacter pour leur présenter mon projet, puis

nous avons communiqué pour trouver une date qui convienne à tous (voir Annexe X).

11 RANCOURT, Jacques, Poètes du Québec, Internet, http://francite.net/education/page85.html, 26 octobre 2017 12 THIERRY-ASKEVIS, Sylvie, Pourquoi la poésie facilite-t-elle l’apprentissage et le goût de la lecture?, Internet, http://www.vosquestionsdeparents.fr/dossier/55/lecture-et-la-poesie, 14 janvier 2018 13 POUR PARLER PROFESSION, Attirer leur attention et la retenir, Internet, http://pourparlerprofession.oeeo.ca/mars_2008/non-verbal.asp#, 23 octobre 2017



10

Finalement, j’ai dû enseigner à des enfants, donc je devais porter attention à mon

vocabulaire, afin qu’il soit adapté.



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Réflexion

Suite à ma réalisation, je peux déclarer que j’ai atteint mon but, qui était de faire

découvrir aux jeunes de 3e à 6e années du primaire la poésie québécoise en animant des

ateliers. Mon produit était de haute qualité, puisque si je me fie aux commentaires que j’ai

reçus, les enfants ont appris de nouvelles notions et ont apprécié l’expérience. De plus, les

enseignantes ont aussi aimé l’expérience. Celle qui m’a évalué a même comparé mes

ateliers à un travail universitaire.

Tout d’abord, les élèves ont fait un test sur les notions abordées. Ils l’ont fait deux

fois, avant et après l’atelier, pour vérifier leur progression. En comparant les moyennes, je

suis arrivée à des résultats positifs. Dans la classe de 3e-4e années, on a observé une

augmentation de 77% des notes. Quant aux 5e-6e années, leur amélioration a été de 100%.

Ensuite, j’ai fait passer un sondage aux enfants pour connaître leur appréciation des

ateliers. 73% des élèves de 3e-4e années ont apprécié l’activité. Plusieurs commentaires

mentionnaient qu’ils avaient appris de nouvelles notions et que les activités étaient

amusantes. Quant aux 5e-6e années, 68% des jeunes ont adoré. Ils ont dit que j’expliquais

bien, que les activités étaient pertinentes, et que le sujet était méconnu, donc intéressant à

travailler. Certains commentaires de chaque groupe disaient que la poésie ne les intéressait

pas, ou qu’ils ne comprenaient pas tout, mais qu’ils aimaient connaître de nouveaux textes.

Aussi, une enseignante de français a évalué le feuillet d’activités. Elle devait

vérifier si celles-ci étaient reliées à la poésie. Les commentaires qu’elle a laissés affirmaient

que le cahier permettait d’atteindre l’objectif, qu’il donnait envie d’écrire de la poésie et

qu’il y avait un équilibre entre notions et exercices. Ainsi, mon feuillet remplissait les

exigences.



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Finalement, pendant les ateliers, l’enseignante des élèves m’a évalué, pour observer

le contenu et l’animation. Elle m’a donné une note de 34/35, ce qui est excellent. Le seul

point négatif était la surutilisation de l’expression « Tu comprends? » Malgré tout, on peut

estimer que l’animation était réussie.

En travaillant avec les enfants, j’ai pu apprendre à mieux réagir dans certaines

situations. Par exemple, je suis capable de voir quand un élève n’est plus concentré et a

besoin de bouger. De plus, grâce aux compositions, j’ai observé le niveau d’écriture et

d’analyse poétique des enfants. Mes ateliers ont même renforcé mon envie d’être

enseignante plus tard. Aussi, j’ai appris pendant ma recherche plusieurs informations sur

les rimes ainsi que sur les poètes québécois et leurs œuvres. Je me suis également améliorée

dans la planification d’un atelier. Effectivement, j’ai réalisé que l’organisation demande

une grande préparation, mais aussi beaucoup de temps. Finalement, j’ai perfectionné mes

connaissances en matière de mise en page.

Mon projet m’a permis de comprendre mieux mon contexte mondial, Expression

personnelle et culturelle. Les jeunes ont exprimé leurs opinions, dans leurs rédactions, donc

j’ai pu comprendre la façon dont ils voient le monde. Aussi, j’ai pu observer leur style

d’écriture et les aider à enrichir leur vocabulaire. J’ai compris qu’on développe sa façon

d’écrire au fil des évènements que l’on vit et des personnes qu’on rencontre. La poésie est

reliée au contexte parce qu’elle permet d’exprimer ses idées de manière juste et directe et

de renouveler sa créativité.



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Pendant mon projet, j’ai développé presque toutes les qualités du profil de

l’apprenant, mais plus particulièrement deux d’entre elles.

Tout d’abord, j’ai été très communicative. J’ai dû travailler mes habiletés à

enseigner aux enfants, et à utiliser un vocabulaire adapté à leur apprentissage. De plus, j’ai

aidé ceux qui avaient plus de difficulté, en réexpliquant plusieurs fois et en changeant de

mots pour favoriser leur compréhension. J’ai également dû communiquer à quelques

reprises avec les enseignantes, par téléphone, par courriel ou en personne, pour choisir la

date et leur expliquer le fonctionnement.

Finalement, j’ai dû être très sensée, pour pouvoir créer mon feuillet d’activités. J’ai

pris des décisions qui ont influencé le reste de mon atelier. Par exemple, j’ai établi dès le

début les notions que je voulais aborder, car mes activités allaient découler de cela. Aussi,

j’ai dû adapter mes activités à l’âge des élèves. Finalement, j’ai dû être créative et

ingénieuse pendant l’écriture de mon feuillet d’activité, pour qu’il soit à la fois attirant et

pratique.



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ANNEXE I

Recherche – Compétences en matière de culture des médias

21. Site Internet ALLÔ PROF, La disposition des rimes, Internet, http://www.alloprof.qc.ca/BV/Pages/f1430.aspx, 1er octobre 2017 Résumé : La poésie est l’utilisation de la langue pour former des images, des sons qui vont bien ensemble et pour faire surgir des émotions chez le lecteur. On cherche à travailler la sensibilité du public. Il existe deux formes de poésie : la poésie fixe et la poésie libre. On reconnaît la poésie fixe puisqu’elle comporte une multitude de conditions, comme la façon dont les rimes sont placées, la présence du narrateur, la longueur des vers et des strophes. Elle est apparue dans l’Antiquité grecque. La poésie libre, quant à elle, ne comporte aucune condition, l’auteur écrit comme bon lui semble. Utilité : Ces informations me seront très utiles lors de la présentation aux élèves. C’est la base de la poésie, et comme ce sont des notions assez faciles, c’est avec ces informations générales que je commencerai mon atelier avant de spécifier chaque notion. Fiabilité des sources : Le site d’Allô Prof est reconnu pour être un organisme très utile et pertinent pour les jeunes. Il œuvre à travers tout le Québec et travaille en compagnie d’enseignants qualifiés qui aident les élèves avec les notions avec lesquelles ils ont le plus de difficulté. Il n’expose que des faits, sans prendre position, et reste neutre, donc on peut déduire qu’il s’agit d’une source très fiable.



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ANNEXE II Recherche – Compétences en matière de culture de l’information

16.1 Site Internet POUR PARLER PROFESSION, Attirer leur attention et la retenir, Internet, http://pourparlerprofession.oeeo.ca/mars_2008/non-verbal.asp#, 23 octobre 2017 Citation : « Le niveau de bruit dans la classe varie toutes les cinq à sept secondes. N’essayez pas de parler plus fort qu’eux quand ils sont trop bruyants. Attendez quelques secondes que le ton diminue et ensuite parlez. Assurez-vous que votre volume soit de deux crans supérieurs à celui des élèves pour les interrompre. Une fois que vous avez obtenu leur attention, faites une pause de quelques secondes, puis donnez votre message en le murmurant. De cette façon, vous diminuez le métabolisme du groupe, ce qui permet de garder l’attention des élèves qui vont alors entendre le message. »



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ANNEXE III Autogestion – Compétences d’organisation

Semaine Tâches à effectuer Ajustement Raisons de l’ajustement

20 novembre

o Réalisation o Prise de notes pendant la réalisation

o Impression des feuillets d’activités et des critères de réussite

o Repousser la réalisation à la semaine suivante

o Annulation de la prise de notes pendant la réalisation

Les enseignantes m’ont écrit pour me demander si je pouvais venir visiter leurs classes le 27 novembre, plutôt que pendant la semaine du 20 novembre, donc j’ai accepté. J’ai donc quelques jours de plus pour faire approuver tous les documents par ma superviseure, les imprimer et préparer l’atelier en général.

27 novembre (jour)

o Réalisation C’est cette journée-ci que se dérouleront mes ateliers.

27 novembre

o Écriture du critère Planification et du critère Réalisation

o Analyse des critères de réussite

o Écriture de la feuille du critère de réussite pour mon expert

o Repoussement du début de l’écriture du critère Planification

Je dois repousser l’écriture de mon critère Planification, puisque ma superviseure et moi avons déterminé que j’attendrais après ma réalisation pour vérifier si mon feuillet d’activités était adéquat. J’attends donc également avant d’entreprendre l’analyse de mes critères de réussite.



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ANNEXE IV Autogestion – Compétences de réflexion

Planification des ateliers sur la poésie québécoise :

1. Intro : Présentation Explication du projet personnel

2. Test critère de réussite avant

3. Distribution des feuillets, noms, etc.

4. Définition de la poésie

C’est quoi la poésie pour les élèves? Explication de la définition et des images poétiques

5. Activité des rebus (individuelle)

6. Enseignements des notions théoriques de la poésie

Se baser sur l’ordre dans le feuillet d’activités

7. Exemple d’analyse de poèmes sur Le poète, de Gilles Vigneault

8. Activité de l’acrostiche (en équipes)

9. Enseignement des poètes québécois et leurs œuvres

10. Activité de l’image significative (groupe)

11. Présentation de quelques auteurs et leurs recueils de poésie

12. Test critère de réussite après

13. Sondage d’appréciation des élèves

14. Activité des définitions surréalistes (si on a le temps) (en équipes)



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ANNEXE V Autogestion – Compétences affectives Le 5 novembre Cette semaine, la première partie de mon journal de bord (tout ce que j’avais fait jusqu’à aujourd’hui) a disparu, dû à un problème avec mon ordinateur. Il s’est effacé de ma clé USB et de mon compte office 365. J’ai donc vécu un grand stress par rapport au fait de tout réécrire et repenser à ce que j’avais fait, mais je suis restée calme en me disant qu’il y aurait bien une solution. Aussi, ma superviseure m’a rassurée. Puisque j’ai une copie papier de ces pages et que la copie informatisée n’est pas obligatoire, je n’aurai pas besoin de tout refaire. De plus, je pourrai scanner les feuilles et les rendre lisibles dans Word grâce à un logiciel que certains enseignants de l’école ont sur leur ordinateur. Le problème est donc réglé.



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ANNEXE VI Pensée – Compétences de pensée critique



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ANNEXE VII Pensée – Compétences de transfert

Je dois maintenant choisir les activités que je ferai faire aux jeunes pendants mes ateliers, donc j’en comparerai quelques-unes que j’ai trouvées dans ma recherche et sélectionnerai les meilleures, à mon avis. Je procéderai en établissant à l’avance une liste de critères auxquels les activités devront correspondre, puis celles qui possèderont le plus de caractéristiques que je recherche seront celles que les élèves feront. Liste de critères

o Temps : les activités doivent durer environ 10 minutes. o Degré de difficulté : les activités ne doivent pas avoir un degré de difficulté trop élevé

pour des élèves du primaire et ne doivent pas être trop faciles pour eux non plus o Niveau : les activités doivent correspondre à la fois à des élèves de 3e-4e année et à des

élèves de 5e-6e année o Participation : les élèves doivent être impliqués dans les activités pour pouvoir garder

leur attention tout au long des ateliers o Type d’activité : individuelle, en équipes ou en groupe; on essaie de varier le plus

possible pour garder les élèves concentrés et intéressés o Réalisable : les activités doivent pouvoir s’effectuer en classe et ne pas nécessiter trop

de matériel o Poésie : les activités doivent être en lien direct avec la poésie pour qu’elles aident les

élèves à atteindre mon but

Activité Temps Degré de difficulté

Niveau Participation Type d’activité Réalisable Poésie seul équipe groupe

Exprimer la définition d’un ou plusieurs mots en images et demander aux élèves de trouver le/les mot(s) (rebus).

Créer un court acrostiche qui rime à partir d’un mot donné Écrire une strophe de quatre vers sur ce que représente une image pour les élèves

Écrire un petit poème sur un sujet principal qui comporte un vers sur chaque branche du sujet (ex : les 4 saisons, les 5 sens, etc.)

Écrire la définition surréaliste d’un mot (ex : chute = occasion de se baisser pour attacher ses souliers)



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ANNEXE VIII Pensée – Compétences de pensée créative

Symbole

Tu dois écrire en une strophe de quatre vers ce que représente cette image pour toi. Essaie de faire rimer au moins deux vers sur quatre.

http://blogs.jpmsonline.com/2016/09/02/a‐closer‐look‐at‐disinhibited‐behavior‐in‐mental‐illness/

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ANNEXE IX Dimension sociale – Compétences de collaboration Question : À quel moment commence-t-on à enseigner la poésie aux jeunes? Réponse : On commence dès la maternelle, même dès le préscolaire, quand ils sont à la garderie. Chaque fois qu’on lit des histoires, comme par exemple les Simon, c’est de la poésie. Il y a un petit poème par page, de quatre vers. Après cela, à quel âge ils doivent en écrire? Ils en écrivent dès le début, ils écrivent des acrostiches dès la première année. Mais est-ce vraiment de la poésie? Oui, un peu, c’est l’initiation à [la poésie], le début de [du processus d’écriture]. Question : Si je fais plusieurs petites activités avec les élèves pour travailler leur compréhension de la matière, combien de temps devrais-je allouer à chaque exercice? Réponse : Environ 10 minutes, puisqu’il est certain que tu vas devoir travailler les rimes avant, pour que les jeunes soient capables de faire l’exercice, et faire un retour sur l’activité après. Question : Combien d’activités pensez-vous que je pourrais faire en deux périodes, par exemple? Réponse : Je pense que tu pourrais en faire quatre, parce que tu as des explications à donner. Selon moi, deux par période, c’est amplement suffisant.



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ANNEXE X

Communication – Compétences de communication Le 9 octobre Contact avec les enseignantes

Cette semaine, je devais faire le premier contact avec les enseignantes avec qui j’irai animer mes ateliers pour pouvoir me fixer une date approximative qui me servira à planifier mes activités. J’ai donc contacté deux enseignantes que je connais, qui travaillent à la même école primaire . La première est une enseignante de 3e-4e années. La deuxième enseigne en 5e-6e années. Elles m’ont toutes les deux dit que le meilleur moment pour la réalisation de mon projet serait après la mi-novembre, puisque ce serait après la remise des bulletins de la première étape. Ainsi, les élèves ne seront pas surchargés à cause de leurs examens. De plus, c’est parfait pour moi, car cette date suit un peu mon échéancier et me permettra de réaliser mon projet avant Noël, comme je le désirais. Elle me laisse également un délai suffisant pour terminer ma recherche et bien planifier toutes mes activités et ce que j’enseignerai aux jeunes.



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BIBLIOGRAPHIE Sources utilisées

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2. Entrevue , Entrevue avec , enseignante, , 22 octobre .



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Sources consultées

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2. Document officiel

QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION ET DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, Progression des apprentissages au primaire, Français, langue d’enseignement, Québec, 2009, 93 p. QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION ET DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, Progression des apprentissages au secondaire, Français, langue d’enseignement, Québec, 2011, 89 p.

3. Livres

CARÊME, Maurice, Emporte-moi, mon cerf-volant, Bruxelles, Gautier-Languereau, 1997, 44 p. GRAVEL, François, Poésie pour zinzins : Les robots en vacances, Québec, éditions FouLire, 2017, 121 p. LEE, Dennis, Ragoût de crocodile : délicieux poèmes de Dennis Lee, Trad. de Paul Savoie, Toronto, The Canadian Children’s Book Centre, 2005, 38 p.

VIGNEAULT, Gilles, Les gens de mon pays, Québec, éditions La Courte Échelle, 1980, 24 p.

4. Livre avec plusieurs auteurs DESJARDINS, Richard, et al. Les plus beaux poèmes des enfants du Québec, Montréal, l’hexagone et vlb éditeur, 2002, 177 p.

5. Article de périodiques

CLOUTIER, Mario, « Montréal complètement poésie », La Presse, sect. Arts – Livres (2014). PERREAULT-LESSARD, Catherine et Mélissa VERREAULT, « Le Québec symbolique : au-delà du casque de poil », La Presse, éd. Du 3 mai (2010). THÉRIAULT, Normand, « Culture québécoise – Définition du paysage », Le Devoir, éd. Du 2 novembre (2002).



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7. Entrevue OBIONE, Max, [Entrevue] D’où vient l’envie d’écrire?, enviedecrire.com, mars 2010

8. Documents audiovisuels

Histoire de la poésie : Moyen Âge et Renaissance, [Enregistrement vidéo], Les bons profs, Paris, France, 2014, 4 min. 31 s.