Extrait de la publication… · MAUCLAIR et J. F. BOUCHOR. SOUS le ciel de Florence. 5o fr. 54. A. ... NOM .v. Signature ... tions de W. SHAKESPEARE Mesure pour Mesure

Extrait de la publication


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I7ON. R. F. Extrait de la publication

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PAUL CLAUDEL. MORCEAUX CHOISIS 12 fr.

STÉPHANE MALLARMÉ. IGITUR ou LA FOLIE D'ELBEHNON 10 fr.

LES DIEUX ANTIQUES. Nouvelle Mythologie d'aprèsG. W. Cox 9 fr.

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WALDO FRANK. CITY BLOCK. Traduit de l'anglais par'ANDRÉ Cdisenter etPierre Sa yn.. 9 fr.

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LA VIE DE FRANZ LISZT, par GUY DE POURTALÈS.. 9 fr.

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JEAN FAYARD. JOURNAL D'UN COLONEL. Edition originale, avec un portraitde l'auteur, grave sur cuivre par SEM, tiré à 1118 exemplaires 10 fr.20 exemplaires sur japon 60 fr.

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PAUL VALERY. UNE CONQUÊTE MÉTHODIQUE. Edition originale, avec unportrait de l'auteur par PAUL VALÉRY gravé sur bois par GEORGES AuBERT, tiré à1618 exemplaires 10 fr.36 surjapon 60fr.

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10 exemplaires sur japon 350 fr. (épuisé)7 exemplaires sur Chine 500fr.(e/'MUf')

JACQUES DE LACRETELLE. SILBERMANN. Illustré de 16 gravures auburin par J.'E. LABOUREUR, imprimé en 12 Gaston elzévir, par Couloumaà Argenteuil.420 exemplaires sur vélin d'Arches 180 fr. (é/uitM)H exemplaires sur Japon Impérial 450 fr. (èptiisè)

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LA VIE DE

FRANZ LISZTPAR

GUY DE POURTALÊS[UN VOL IN-l6 DOUBLE-COURONNE. 9 fr.,

Il a été tiré de cet ouvrage

289 exemplaires sur pur fil (dont 14 hors-commerce) 35 fr. (souscrits)21exemplaires sur japon impérial (donthors-commerce) 00 fr. (souscrits)

Nous ouvrons notre collection de Vies des Hommes illustres par le récit d'une desexistences les plus mouvementées, les plus romanesques qui fut jamais celle dugrand virtuose et du compositeur si mal connu FRANZ LISZT. Un homme d'amour,tel est le sous-titre que GUY DE POURTALES donne à son livre. Par ce mot, ilne faut pas entendre seulement l'aventurier du cœur qui remplit l'Europe du bruitde ses passions, mais davantage encore son pouvoir d'enthousiasme, sa générositéintellectuelle et sa foi en des idéals dont l'expression multiple a en grande partiemodelé le romantisme musical du xix" siècle. « Génie oblige )) fut la devise de Liszt.Il y reste fidèle pendant toute une longue vie, continuellement déchirée entre lessollicitations du plaisir et les appels de Dieu. Glorieusement inaugurée par un baiserde Beethoven, elle se poursuit dans le faste ou les difficultés, dans la société deChopin, de Schumann, de Berlioz, de Wagner, dans l'amour de quelques grandscœurs de femmes jusqu'à l'apothéose de ce Bayreuth dont il fut le prophète infati-tigable. Elle s'achève enfin dans le renoncement, et presque dans le mysticisme parl'entrée de Liszt dans les ordres .mineurs.

Cette vie significative n'avait été traitée jusqu'ici que par les musicographes. Pour-talès l'a saisie de l'intérieur. Il nous fait assister à ses développements moraux, aulong débat, qui l'ont travaillée en dedans et la rendent, à bien des titres, exemplaire.Pour ce portrait où rien n'a été inventé, la correspondance de Liszt et de nombreuxdocuments inédits ont seuls servis. Nous pensons qu'il intéressera tous ceux pour qui,comme le dit l'auteur dans sa Dédicace, « un certain romantisme du cœur s'imposetoujours comme l'ordre intellectuel le plus raffiné. »

NOTICE BIBi.iOGttAPHMQVE

La Parabole des Talents (Librairie Gallimard, 1923). Deux contes de féespour les grandes personnes (G. C?M et C", 1917). Marins d'eau douce(G. Crès et C'e, 19:9). De Hamlet à Swann (G. Crès et C'e, 1924). Traduc-tions de W. SHAKESPEARE Mesure pour Mesure (avec cinq bois gravés par J.-L.GAMPERT, G. Crèset C'e. 1921).– La tragique histoire de Hamlet, prince deDanemark (avec cinq bois gravés par R. DROUART, G. Cr'es et C'e, 1923).

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COLLECTION D'ANAS

PROPOS, ANECDOTES ET VARIÉTÉS RECUEILLIS PAR

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DES DU ASUN VOLUME iN-24 5 fr.

Il a été tiré de cet ouvrage, le JO'' de la Collection d'Anas, 65 exemplairessur vélin de chiffon rosé des Papeteries Lafuma Navarre, dont 15 horscommerce, marqués de A à 0, et 5o exemplaires, numérotés de i à ;o. *?0 fr.

Ce 10e volume de la Collection des Anas est encore consacré à l'espritd'hier aux deux Dumas. On y retrouve les mots bon enfant du père, lesrépliques mordantes du fils, des anecdotes savoureuses et souvent peu connuessur tous les deux. Et il eut été bien facile de faire, avec L'ESPRIT DESDEUX DUMAS, de gros volumes. Mais on sait que la Collection des Anasne prétend point à être complète et laisse volontiers de côté les mots douteuxou médiocres on y fait un choix.

Les prochains Esprits de. nous raméneront-chez les contemporains AlfredCapus, Bernard Shaw.

POUR PARAITRE, un volume par mois, chacun 5 fr.

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L'ESPRIT DE GEORGES FEYDEAU,

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ÉDITIONS DE LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE3, RUE DE GRENELLE, TIT^F PARIS VI" FLEURUS "'a7

REGISTRE DU COMMERCE J DE t-t SEINE N* 35.8<>7

LES AMISDE

L'EDITION ORIGINALEEXERCICE i926

(Janvier 1926-Décembre 1926)

Réellement imprimés les premiers sur papier pur 81. numérotés, comportantune justification de leur tirage (très limité), ces exemplaires se diffé-rencient des volumes ordinaires par une couverture spéciale. On sait que lespremières éditions se reconnaissent habituellement par l'absence de mention

d'édition ou de chiffre sur la couverture il nous a paru plus logique de fairefigurer sur les nôtres la mention « Édition Originale ».

La publication à l'avance d'un programme de l'exercice proc/Min. austtcomplet gué possible, a été bien accueillie par tous nons nous exercerons de nousy conformer aussi exactement que nous le permettront les circonstances. Si d'autrepart, dans le courant de l'exercice, nous sommes amènes à envisager ta publicationd'ouvrages Mon mentionnés au présent programme, nous les annoncerons par unecirculaire etpar une insertion dans la Bibliographie de la France, à dater desquellesnous noterons les souscriptions dans tordre où elles nous parviendront.

Nous ne nous sommes jamais adressés aux bibliophiles comme à des spécula-

teurs, uniquement préoccupés de la plus-value possible d'une édition, mais nousnous plaisons à considérer les Amis de l'Édition Originale comme des collabora-teurs associés au succès de nos efforts pour révéler les auteurs nouveaux et

maintenir la réputation dont jouit notre firme auprès du public lettré.

Il arrive que l'édition originale de certains ouvrages, accueillis avec une faveur

marquée, acquiert de ce fait une valeur très supérieure au prix de souscriptionnous en sommes heureux pour nos souscripteurs et nous y voyons la consécration

matérielle du choix judicieux auquel nous nous appliquons constamment.Les personnes qui ont souscrit à la série A, témoignant ainsi qu'elles enten-

daient nous accorder ou nous continuer une confiance totale, n'ont pas eu lieu

de le regretter.

Quant aux séries K et C, elles ont été créées pour permettre à chacun decalculer son effort en raison de ses facultés ou de ses préférences. Mais il nous a été

souvent impossible de donner satisfaction aux souscripteurs de ces deux catégoriesqui désiraient se procurer l'édition originale d'un ouvrage qu'ils avaient aupara-vant écarté de leur sélection. En effet, le tirage de nos éditions originales est

N.R.F.

SOUSCRIPTION A|t'excmptaireaifr.Les souscripteurs à cette série reçoivent tous tes ouvrages pubties au cours d'un exercice.

SOUSCItlI'TlOili 16de 12 à 2Q ouvrages différents l'exemplaire aafr.Les souscripteurs à la série M sont priés de rayer les titres des ouvrages qu'i!s.ne désirent pas recevoir.

~'F~ «OMSB'AUTBunS ~S.'AUTEUHS~Q ET TITRES DES OUVRAGES CH~ 0~" ET TlTDES DES OUVUAGES

M. ACHARD.UnYOiumedeThea- J.KESSEL.LesCaptifs,tre,f.J.XESSEL.BouddahPortegiaive.ft.

M. ACHARD. Un roman de capeet. J.KESSEL, Les MaisonsduPassant,/<.d'ép~e,R.J. DE LACRETELLE. Contes, C.

ALAIN. Répertoire du sens eôm- LEAUTAUD. Le Théâtre de Mauricemun.L. Bcis<ard.L.

ALAIN. Les IdëesetksAges.t. i!.LECACHELaMais~.nfardëe,N.R.ALLARD. L'Amour dans le Me- A.LUKEL. Occasions. C.tro.H.P. MACORLAN. Le Quai des

S.ANDERSON. Wineshurg-Ohio, H. Brumes. /f.L.ARAGON. Le Paysan de Paris,/f. E. MARSAX. Les Chambres duA. BLIUCLER. Un roman, R. ciaisir./t.

R.BiXËT.AnnefnSabots. E.A)A)!SAN.Snuslesi';ned'()rion,J.-R.BLOCH.aMortd'0)':dipe(Se- R. MAnTtX DU GAR[). Les Tni-

cond)ivredeContps\C. bauitfV.J.R.BLOCH.JeandeAtoravie,B. R.A)ART)NDUGARD.LaGonne.7'.

P.BOST.Un roman,/t. A.MAUROfS Bernard Ouesnay ouA. CHEVALLEY. Le roman des mé- LaHausseetiaBaisse.Yf.

tiers au temps de Shakespeare H.AŒtVfLLE.UnEdencannihaeKR.Thomas Deloney, G.)E)tEDtTH. La Carrière de fieau~

L. CODET. Poèmes et Chansons. champ. Il.A. COHEN. La Vie des Juifs,/<G. MEREDiTH. Les Trasi ComédiensB.COAtBETTË.L'kotement,Jf. da)'Amour.7i.

.).CONRAD.Nos)romo.7! S.PASSEUH.Un vo).deThëâtre'fJ.CONRAD. Latigned'Omhre, P.PfA.LesBarri~res,~/1.B.CRE.MtEUX.XX'Siec~e'2'série), B.P~LMAK. L'Année nue 7!Il. DEBERLY. te Supplice de Phè L.PfRAKDËLLO.,7/t<'a~'<n. Henri

dre.K. IV.–Vëtirceuxnuisontnus.ï'.T.DELONEY. JackdeNewhury.– H. FOURRAT. Le mauvais Garçon:R.

Thnmasde Reading,~t. G DEPOURTALES. Monciar f)'T. DELONEY. Le Noble Métier,R. M.PROUST..4/a)'cf/tfrc/tf'~M'ffmn!

DRIEU LA ROCHELLE. Un roman,/f. P'<VHI. Le temps retrouve R.DRIEU LA ROCHELLE. Un essai,t. M. PROUST. Chroniques tL.DURTAIN. La Maison de Septem- P)!EVHBDY.LaPeaude')~tomn)eHbre.H. A.RfMHAUD. Ebauches f

P. ELUARD. L'Art d'être maiheu J. RIVIFRE. Correspondance de Jac-reux.f. quesRiviereetA<ai!)Fournior/

Ramon FERNANDEZ. Messages, /f.RtVtKRE. Nom-Httes Etudes t'F.FLEURET.LaMerveiit*use!nven. J.ROMAINS. Unvotumede'Thëa-

tiondeJimOick, tre.ï'.F.FLEURET.L'Histoiredeiabienheu J.ROMAIKS. Un roman.reuse Raton, fille de joie,/f. A. SALMON. Carreaux, t'

G. GABORY. La Panthère des Bâti- A. SALMON, Rue des Blancs-Man-~noties.~t. tfaux.Yf.

F.GrACHOT.LaVieendësordre.R. T. SANDRE. Paiiouille (L'Eetan-G.GIRARD.LaDictatureduProieta- tine)./<fi

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Irai),<P. VALERY. Un volume d'Essais AM. JACOB. Gribouille on les Gants J.VAHIOT. Résurrection du Feu, R.

blancs (Ange ou Femme). /f. J. VARIOT. Les Coursiers de Sainte-M. JACOB. Un reeuffi de Contes. C. Hélène, ff.

M.JOUHANDEAU.MonsieurGodeau J. VARIOT. Clair-Obscur, Jf.intime,H.R. VITRAC. Connaissance de la

A.JOSSIPOVtCl.L'AmiGaaouss.R. n~ort.f'.A. JOSSfPOVICL Un roman,R.t B. XfMMER. Un roman. /t.

tientCOI?IpleX. M. très important. Le nombre d'ouvrages indique j ^tUnt^pas compte dessouscriptions faites précédemment pour les exercices 1925 et antérieurs.

Rayer ia formule inutile.

BULLETIN DE

Notes très importantes (1) Exemplaires numérotés sur papier pur fil Lafuma Kavarre, brèches sotinférieurà 30, les souscripteurs de la SouscriptionA bénéficieront néanmoins du tarif prévu. Daront droit à autant d'exemplaires de chacun, au prix de 21 fr., qu'ils ont pris de .SotMcrtpttOK A.

inscrire ici le nombre de souscriptions distinctes. inscrire ici le nombre d'exemplaires.

Vf MttMtgTtë NOM ET PRENOMS(Met(t)'e sout'crtt'e 6, l'édition originale (1) des ouvrages désignés par moi Ct-des.'xs, et dans les condttto'

feuxcriptian A (2) (tous les ouvrages de l'exercice, à 21 fr. i'exempiahe)Souecrtption H (de 12 à 29 ouvrages dinérents, à 25 fr. l'exemplaire)exemplaires de la SeuacrtpUen «; (moins do,12 ouvrages dillérents, a 28 fr. t'exemptai


SO~S< KtPTX~W C* moins de ta ouvrages différents.. l'exemplaire 28 fr.

Les sousf'ripteurs à la série C sont priés de rayer les titres des ouvrages qu'ifs ne désirent pas recevoir.

NO~'dIJItE D'EX. -4?MBREI)'EX.D~?0~' ~.S D'AIRS ~~P'O~ ~.SD'AUTEOBSCHl~ ET TITRES DES OUVRAGES ETT.T.ESDESOU~AG.S

M.ACHARD. Un volume deïhéâ- J. KESSEL.LesCaptifs.Jf.tre,7'J.KESSEL.BouddahPortegIaive,R.

M. ACHARD. Un roman de cape et J.KESSEL. Les Maisonsdu Passant,R.d'épee,/f.J. DE LACHETELLE. Contes, C.

ALAIN. Répertoire du sens corn- LEAUTAUD. Le Théâtre de Mauricemun. L. Boissard.ALAIN. Les Idées et tes Ages.t, B. LECACHE. La Maison fardée, R.~[~nD. L'Amour dans le Me-A. LUNEL. Occasions, C.j~~ll~ P.MAC ORLAN. Le Quai des

S ANDERSON. Winesburg Ohio, R. Brumes, R.L.ARAGON. Le Paysan de Paris, R. E. MARSAN. Les Chambres duA.BEUGLER. Un roman, R. plaisir, R.

R BIZET. Anne en Sabots. R.E.MARSAN.SHusiesijined'Orif'n.L.J.-H.BLOCii.LaMortu'ŒdipeiSe- R.MAUTtN DU GAIID. LesThi-

cond livre de Contes), C. bau)ttV.R.J. R. BLOCH. Jean de Moravie,~f. H. MAUTtN DU GARD. La Confie, T.

–p.BOST. Un roman,R. A.MAUROIS. Bernard Quesnay ouCHEVALLEY. Le roman des me- La Hausse et la Baisse, R.

tiers au temps de Shakespeare: H.MELVtLLE.UnEdencanniba)e,R.Thomas Deioney, A.GMEREDiTH.LaCarrièredeBeau-

L.CODET.Pof'n~csetChansons,)'. champ. R.A. COHEN La Vie des Juifs. /{. G. MEREDITH. Les Tragi Comédiens

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T DELONEY. Le Noble Métier.R. M.P)!OUST./lt<tt'eche)'c/te~M<empsDRIEU LA ROCHELLE. Un roman R. ~t'cfM.VULLe temps retrouvé, R.DRIEU LA ROCHELLE. Un essai,t.M. PROUST. Chroniques, t.

L. DURTAiN. La Maison deSeptem- P.REVERDY La Peau de l'Homme, R.bre,;t. A.RIMBAUD. Ebauches.

P. ELUARD. L'Art d'être maiheu- J. RIVIERE. Correspondance de Jac-p~ qucsRivièreetAiainFonrnier.t.

Ramon FERNANDEZ. Messages,f. J. RIVIERE. Nouvelles Etudes, t..p FI.EURET.LaMervcineuseinvcn- J.ROMAINS. UnvoiumedeThea-

tiondeJimCtic){,«Il tre.'f.F.FLEURET. L'Histoire de la bien- J. ROMAINS.Un roman,R.

heureuse Raton.nDedejoie.7t. A. SALMON.Carreaux, f.G. GABORY. La Panthère des Bati A. SALMON. Rue des Blancs-Man-

gnoHes,7f. teanx.R.F. UACHOT. La Vie en désordre,R. T. SANDRE. Panouille (L'EgIan-

GIRARD. La Dictature du Proie- t'"e), R.ta.iat.R. T.SANDRE.LeCaméiia.R.

G. GIRARD La Celle Occasion,Il. J. SPITZ. La Croisière indécise. R.R.HONNËRT.Anna.fi. J. SUPERVIELLE. Voleur d'En-

R.HONNERT Monte-Carlo, fants.R.R. HONNERT. Corps et Ame ~Dies R. TAGORE. Le Naufrage, R.lriB), P. VALERY.Un volume d'Essais,f..

M.JACOB. Gribouille ou les Gants J.VARIOT. Résurrection du Feu. R.)j~Q:.s(Angeou Femme), J.VARIOT.LesCoursiersdeSainte-

M. JACOB. Un recueil de Contes, C Hé)ëne, R.j~~jj~~Q~~ J. VARIOT. Clair-Obscur, R.

intime,B.R.VITHAC. Connaissance de laA.JOSSIPOVICI.I,'AmiGadouss,R. mort,

A. JOSSIPOVICI Un roman,R. B. ZIMMER. Un roman, R.

t L'a" (' tient compteX. M. très important. Le nombre d'ouvrages indiqué » nf'lientfas compte dessouscriptions faites précédemment pour les exercices 1925 et antérieurs.

Rayer ta formule inutile.

OUSCRIPTION

avertures spéciales. (2) Dans le cas ou le nombre des ouvrages publiés au cours dun exercice seraitcas où le nombre des ouvrages pubtits au cours d'un exercice serait sx;e)'teM)' à 30, les souscripteurs

ADRESSE

mantes

désignés par moi dans le tableau correspondant).;e.IS2. Siqnatdre

strictement déterminé par le chiffre des souscriptions reçues à l'avance, et cechiffre lui-même est limité. Cest-à-dire çu <tM<*MM<? de tto~ e<<<<t<t<t)t of~<-nales, quelle gué soit la notoriété de faneur ou le succès escompté du livre, «e seratirée à plus (le Ë'iOO exemplaires.

Nous engageons nos souscripteurs à consulter attentivement le programmede l'exercice igaë. ainsi que les conditions de souscription. Mais nous attirons unefois de plus leur attention sur l'avantage qu'ils trouveront à faire tous leursachats et souscriptions par l'intermédiaire de leur libraire habituel. Us s'épargnerontainsi les frais et les soucis d'une correspondance.

CONDITIONS DE LA SOUSCRIPTIONTout souscripteur est libre de enoMtr les ouvrages qui lui conviennent dans laliste cf-apres. Le prix varie selon le nombre des ouvrages différents souscrits.

A. Souscr!nt!on à tons tes outrages Prix du volume. 31 frtt Soui«ription de 12 a SO ouvrages Prix du volume. Sa fr.C Souscrtpi!ou à moins de i'ï ouvrages. Prix du votmne SS fr.Cea prix sont valables pour toua les to))«Mcs qui seront imprimes en IO3U

l\ole. Il est bien entendu que toutes les souscriptions qui ont été confirméespour les ouvrages des exercices antérieurs non encore parus, restent promisesaux souscripteurs intéressés qui ont accepté ces prix conformément à notre circu-laire du 4 Décembre 1925.

= Lorsqu'un ouvrage complet forme plusieurs volumes, chacun de ces volumescompte pour un ouvrage diftérent.

= Les ouvrages a/MOftces au programme de l'exercice précédent et dont les circons-tances ont retardé la publication peuvent entrer en ligne de compte dans les souscrip-tions au présent exercice pour <<< MttMet' ~M<n< quelle catégorie CM~tfOMt les ouvrage» du présent eeet ctce.

Les souscripteurs de toutes catégories, qui ne nous retourneraient pas remplile présent bulletin, recevront aux prix indiqués ci-dessus et au fur et à mesurede leur parution, les ouvrages auxquels ils avaient souscrit, et dont la publications'est trouvée retardée.

ORDRE DE PRIORITE

H et raison du tirage limité de MM édition» originales, le»souscriptions prendront t <tt<~ ~<tM~ <*er~ ~MtfO[M< «tM~ertp-tion A souscription It «tMNCt t~ttOM C et <Mtt~<tM< <<t <<<t<ed'envoi des bulletins.

IVous tte j~<M <tM<tM«tM Mtt Mt~Mte MMMtet 0 ~M*0[M.iC «)M<tCt t/~CMf~à la série A.

Voir au verso le

PROGRAMME DE L'EXERCICE 1926(1" Janvier MS6-.M Décembre 1926)

Nous avons fait suivre les titres des ouvrages d'initiales qui indiquent lacatégorieà laquelleils appartiennent ft, Romans C, Contes et Nouvelles L, Littérature, Critique

J», Poésie T, Théâtre

(Cette liste n'est pas limitative, un certain nombre d'ouvrages dont tes titres ne sont pas arrêtésétant en préparation. D'autre part nous ne pouvons garantir gué tes ootumes paraftront soustes titres annonces, tes auteurs ;;u;'Hant te droit de changer ces titres juqu'au dernier montent.)jEnJtn nous signalons aux Amis de f'EattMn Originale que d'autres ouvrages paraissent en éditionoriginale dans tes collections UNE CEUFRE. UN PORTRAIT LES DOCUMENTSBLEUS", VIES DES //OAM/ES ILLUSTRES et TABLEAUX CONTEMPORAINS"

(notices spéoiales sur demande).

M.K.F.


/?/ NOUVEAUTÉS

PIERRE JEAN JOUVE

PAULINA 1880ROMAN

UN VOLUME IN-16 DOUBLE-COURONNE 9 fr.

EXTttAtTS DE fMESSE

Nous avons intimement souhaité le prix Goncourt pour ce livre, d'une mélancolie si fière,d'une noblesse si tendre, si personnelle et si neuve et dont le drame intérieur mis a nu nousrévèle les tristes secrets du mysticisme sensuel. Poète solitaire et silencieux, PIERRE JEANJOUVE débute dans le roman par un coup de maître. LES MÉRIDIENS, Paris-Midi, 21-12-25.

il y a un art profond et sûr qui nous attire et fait que ce récit nous poursuit malgré nous.J.-J. VAN Dooren, Midi, 13-12-25.

La seconde partie est bien étrange. Cette frénésie, cette espèce de masochisme mystique,M. JOUVE en fait une description vigoureuse, mais pénible.

PAUL SOUDAY, Le Temps, 17-12-25.

PAULINA 1880 forme un très beau cantique passionné. Récit haletant, coupé de gémisse-ments, de sanglots, de prières, d'extases. Sur la tragédie âprement décrite par PIERRE JEANJOUVE nous sentons passer comme un tremblement dantesque, charnel et religieux.

RENÉ LALOU, Le Journal Littéraire, 19-12-25.

PAULINA 1880 est un très beau livre neuf, profond, hardi, qu'il faut lire et qui aurait dûavoir le prix Goncourt, qu'il a d'ailleurs failli obtenir.

Il me faut ajouter que ce roman, si beau soit-il, est un livre de raffiné et qu'il n'éveille pas cetintérêt immédiat de l'histoire qui ne vaut que par la manière adroite de présenter un fait divers.Je le répète, c'est un roman de psychologie aiguë et profonde, et non pas un roman d aventures.Aussi je le recommande de préféférence a tous les esprits réfléchis, qui sont préoccupés par lavie de l'esprit.

EDMOND JALOUX.

PAULINA 1880 est, en dehors du Prix Goncourt, avec ou sans lui, un des livres les plusremarquables de cette saison, de ceux qui peuvent nous procurer des heures de plaisir et d'exal-tation telles que la production romanesque d'aujourd'hui nous en accorde de plus en plus rare-ment. Ce livre vaut surtout par une sorte de fougue et de fièvre qui se communique au lecteurcomme elle s'est communiquée de l'auteur à son héroïne et de l'héroïne à l'auteur. De lapremière a la dernière page on se sent conduit, soutenu par la nécessité tout intérieure du sujet.

MAURICE BETZ, Le Journal de l'Est, 6-1-26.

Voilà un livre certainement simplement écrit par un homme qui connaît ce dont il parle, etnous donne au cours d'un beau récit tragique des clartés sur l'âme italienne et une idée del'amour singulièrement élevée. Un livre neuf dont les personnages sont nouveaux pour nouset vivants, dont la psychologie est très fouillée, dont la composition est à peu près au point,dont le style est clair, précis, imagé cependant. Un très bon livte. Et qui nous permet de saluerun excellent écrivain. PIERRE DoMiNio.UE, Le Soir, 8-1-26.

Une certaine étrangeté de style. L'atmosphère italienne. Une psychologie attentive, mais unpeu mystérieuse. Enfin, pour motif central l'antique !utte pathétique de l'amour et de la reli-gion. Ce sont les éléments d'un succès assuré. PAULINA 1880 est un roman attirant, troublant,remarquablement intelligent.[cet ouvrage] original, inquiétant, plein ;de flamme, il fait grandhonneur a M. P. J. JOUVE. On ne le connaissait jusqu'à présent que comme un poète, délicatil est vrai et souvent puissant, mais dont l'oeuvre n'atteignait qu'un petit nombre de lecteurs. Sonnom va grandir. ROBERT KEMP, ie Liberté, 24-12-25.

Roman d'une remarquable qualité littéraire.HENRI DE RÉGNIER de l'Académie française4 Le Figaro, 12-1-26.

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N.R.F.


nrf NOUVEAUTÉS

DRIEU' LA ROCHELLE

L'HOMME

COUVERT DE FEMMES

ROMAN

UN VOL. IN-l6 DOUBLE-COURONNE 9 fr.

EXTRAITS DE PRESSE

Un livre assez curieux, qui a du piquant, de l'audace.PIERRE LOEWEL, L'Eclair, 17-12-25.

M. PIERRE DRIEU LA ROCHELLE a du talent. Il voit les choses sous un

angle non commun. Ainsi son tableau de l'amour pendant la guerre, tant de foisbrossé, offre une heureuse ingénuité. J'emploie à dessein ce mot « ingénuité ».Quant il ne s'efforce pas, l'auteur de Mesure de la France intéresse son lecteur. Dansle dialogue, beaucoup de naturel, de vivacité et de flexibilité.

J -J. BROUSSON, EMfMo; 18-12-25.

Deux caractères sont largement traités de bout en bout et évoluent et réagissentaux chocs des événements, comme de belles constructions humaines.

.Les autres caractères, à peine touchés, silhouettes, mais très vivantes, sonttrès nets et très beaux.

Le style, incontestablement très personnel. Tel quel L'HOMME COUVERTDE FEMMES demeure un très curieux livre. A lire et à méditer.

PIERRE DOMINIQUE, Le Soir, 25-12-25.

Quad M. DRIEU LA ROCHELLE, touche à l'essentiel de ce qu'ilveut dire, sapuissance lyrique joue de nouveau avec une particulière maîtrise. Il y a quatre oucinq endroits de son livre qui sont tout-à-fait beaux dans leur éloquence déses-pérée, et peu d'hommes ont su parler de l'amour physique avec cet emportementet cette précision sans tomber dans l'obscénité et la mièvrerie.

EDMOND JALOUX, Les Nouvelles littéraires, 2-1-26.

« Sur la route, il eut horreur de la solitude il la sentait comme une paresse ». Ceremords de bonne augure conclut un examen de conscience en action dont l'auteura su faire un récit impartial, vigoureux et profondément vrai.

LOUIS LALOY, Z.EttfO/'e Nouvelle, 1 3-1-26.

M. DRIEU LA ROCHELLE est un analyste sensuel et ultra-moderne aussihabile à décrire les jeux savants de la chair que les variations subtiles de l'esprit, etqui se pique en outre, de placer un gros mot avec adresse. Ce mclange de finesse etde brutalité nous irrite comme certaines pages j^gghjL^LES MÉRIDIENS, Paris-Midi, I-J-26.

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/?7/" NOUVEAUTÉSEMILE ZAVIE

LA MAISON CES TROIS FIANCÉESUN VOL. IN-l6 DOUBLE-COURONNE 9 fr.

EXTRAITS DE PRESSE

Roman d'action, roman de mœurs, étude de caractères et bien d'autres choses encore et pardessus tout cela, livre bien écrit, et avant tout livre captivant. Cette MAISON DES TROISFIANCÉES, vous l'ouvrirez à la première page, vous vous trouverez avec des voyageurs à laportière d'un wagon dans une petite ville de Russie, et dès que vous aurez fait la connaissance

de ces voyageurs, vous ne pourrez plus les quitter.M. EMILE ZAVIE, ayant beaucoup et bien vu, a beaucoup retenu il sait aussi faire voir etfaire vivre. Ses personnages vivent même avec une telle liberté qu'ils ne semblent pas dépendrede la volonté de l'auteur on les croirait soumis uniquement à leur logique, à la logique russe.

LES TREIZE, Intransigeant, 16-12-25.

11 y a bien du mouvement, dans l'amusant, fantastique récit de M. EMILE ZAVIE intituléLA MAISON DES TROIS FIANCÉES. C'est charmant, on lit ce livre, comme le récit d'un rêve.

Un dépaysement complet l'impression qu'on vit dans un monde aux apparences 'sans cessechangeantes et décevantes. C'est un peu grisant. C'est fort agréable.

ROBERT KEMp, La Liberté, 24-12-2;.

M. EMILE ZAVIE conte avec verve, observe avec sagacité et sait mettre de l'esprit, un humourtrès personnel, dans ses récits. Son roman riche en épisodes, est extrêmement attachant et selit sans arrêt. GEORGES RENCY, L'Indépendance Belge, 27-12-2;

Un trésor de notations minutieuses, une merveille d'habileté et de mise en œuvre, en même

temps qu'un document psychologique de premier ordre. Un beau livre que ce roman et quiclasse définitivement, M. Emile ZAVIE parmi les meilleurs écrivains de sa génétation.

Parh-Times.

EMILE ZAVIE n'a jamais rien écrit d'aussi net, d'aussi synthétique, d'aussi nerveux, d'uneaccentuation plus aiguë que LA MAISON DES TROIS FIANCÉES.Ce romau compact d'appa-rence se lit d'une traite. Il évoque des péripéties et des êtres que l'auteur nous avait déjà faitcôtoyer, et qui donnent la sensation attirante de mêler en eux la nouveauté et l'éloignement.Le livre est ainsi, d'un bout a l'autre, entrainant, énigmatique, avec un insaisissable accentd'humour impassible et de désinvolture stendhalienne.

Pierre Lœwel, Eclair-Avenir, 30-12-25.EMILE ZAVIE a le secret de nous présenter une étude de psychologie, certes, mais après

nous avoir conquis, par la vivacité et l'aisance du récit. Son roman est ainsi tout plein dechoses, d'observations aiguëes, et cependant le lecteur moyen le lit avec un intérêt grandissant.

LE SAGITTAIRE, Le J'Ctf, 5-1-26.

Tout ce livre d'inconnu et d'imprévu semble naturel dans un monde chaotique et vrai quedépeint M. ËMtLE ZAVIE, avec son talent d'observateur eu voyage et d'écrivain précis. Ledrame ne manque pas son plan dans ce roman original.

LuciEN WAHL, L'Information, 3-1-96.

M. ZAVIE nous montre ses personnages allant, venant, agissant. A nous de découvrir leurâme secrète. Cette méthode donne un prix singulier à ses romans, qu'elle baigne de mystère.Rien ne choque même aux pages qui étonnent le plus. On le lit avec passion.

Son étonnante discrétion quant aux mobiles, quant aux ressorts profonds des pensées et dessentiments, son absence totale d'explications psychologiques permettent, semble-t-il de pénétrerdavantage ces âmes énigmatiques. Le TvMMtMM Siècle, 27-12-2;.

De cette intrigue peu compliquée, EMILE ZAVIE a tiré le maximum d'intérêt et de mystèreparce qu'il a animé son sujet d'une vie intérieure intense. La curiosité ne cesse pas d'êtresoutenue par la nouveauté d'une mise en œuvre, grâce a quoi l'action se développe avec lesmêmes à-coups de surprise pour les personnages que pour le lecteur. On ne saurait a aucunmoment pressentir la suite Il y a dans cet art une part de sortilège. Si les moyens d'expressiondu théâtre pouvaient être comparés au procédé d'exécution du roman, je dirais qu'Emile Zavieest de la famille de Pirandello. Lton DEFFOux, Vient de Paraître, Décembre 1925.

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nrf nouveautés

HENRI DEBERLY

PANCLOCHEROMAN

UN VOLUME IN-l6 DOUBLE-COURONNE 9 fr.

EXTTKAtTS DE i'KESSE

M. HENRI DEBERLY conte finement avec des déductions générales. Il créedes hommes, entre autre l'oncle de PANCLOCHE. C'est un bon roman.

LUCIEN WAHL, L'Information, 2-12-2;.

Vous trouverez là toute la méchanceté, comme toute la sottise des gens etM. HENRI DEBERLY a traduit avec une sobriété robuste les nouvelles misères

de PAhlCLOCHE. Ces comparses de l'action étudiée, conduite par M. HenriDeberly, non sans Vigueur et sans relief, son: d'originales figures.

jEANMiREMONDE, La Volonté, 12- 11 -2 5.

PANCLOCHE est un ouvrage d'une haute probité artistique. On n'y trouveaucune vilaine concession au public. Ce livre est celui d'un profond analyste quisait aussi créer la vie par synthèse. Ainsi parfois, Maupassant atteignit ses plusbeaux effets. Nous voulons croire que l'aéropage des lettres contemporaines jugeraet couronnera l'oeuvre de M. HENRI DEBERLY.

PlERREDiONKE, La Lanterne, 10-12-2;.

C'est par une solidité, par l'emploi d'une étoffe bien maillée, par un juste équi-libre des scènes, par une netteté sincère du récit que M. DEBERLY affirme sanouvelle maîtrise. Ce sont des qualités foncières que cela. M. Henri Deberly ale don de la vie, dans un ton sans emphase et son roman est lié de la façon laplus pertinente. C'est plein d'un talent très juste.

MAXIME REVON, Les Nouvelles Littéraires, 12-12-25.

Ce livre est écrit avec une belle simplicité. Nul artifice, aucune recherched'effet et cependant les personnages sont vivants, les caractères nettement dessinés,et les épisodes naturels. Le talent de l'écrivain est réel.

LES TREIZE, L'Intransigeant, 12-12-2;.

M. HENRI DEBERLY a campé avec autant de fantaisie que de vérité les per-sonnages amusants et variés de cet excellent roman. Son livre alerte et plein deverve, où l'ironie et la pitié se mêlent et s'opposent, se lit d'un bout à l'autreavec aisance et intiment de plaisir. JACQUES PATIN, Le Figaro, 12-12-2;.

Roman franchement humain. C'est vraiment un plaisir que de noter lesgrands progrès d'un écrivain sincère. Ce plaisir en lisant PANCLOCHE, on vientde l'avoir aujourd'hui. LE SAGITTAIRE, Z.e5'ot;,i;-i2-2;.

L'histoire ironique et charmante, que M. HENRI DEBERLY, avec une vervebrillante et une tendresse contenue, a entrepris de nous conter. vaut surtout parla finesse avec laquelle il a su camper deux de ses personnages le candide, le

y jovial, le naïf, le brave Pancloche, et le doux, le chaste, le dévot et visionnaireLabrelue. Avec ses personnages savoureux et ce sujet original M. Deberly a com-posé un bien joli livre. MAURICE BKTZ, Le Journal de l'Est, 16-12-25.

Goûtez la finesse acérée d'un roman ferme, concis et qui témoigne d'un vigou-reux talent. PIERRE LoEWEL, Eclair-Avenir, 24-12-2;.

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^jT NOUVEAUTÉSl»©s WQems&mmt® Bleus

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FRËDËRtC LEFËVRË

Une heure tlVGC. Troisième série.MM. Fernand Ossendowski. Henri Brémond, A. Meillet, Pierre Benoit,

René Benjamin, Etienne Gilson, Thomas Hardy, Lucien Romier, SylvainLévi, Marcel Prévost, G. K. Chesterton, Paul Claudel, Henri Barbusse, JosephDelteil, Victor Bérard, Jacques de Lacretelle, Henri Pourrat, Paul Hazard.

Un volume in- 16 double-couronne 1 9 fr.

60 exemplaires sur pur fil 9» fr. (souscrits)

EXTRAITS DE PRESSE

Trois volâmes où soixante auteurs de nos jours apparaissent a nos yeux, exposent leurs butset leur méthode de travail, disent leur sentiment sur la littérature et leurs confrères, c'est une

manière d'encyclopédie critique.Il faut avoir une sérieuse connaissance des oeuvres et beaucoup de clarté dans l'esprit pour

ramasser en quelques pages les traits essentiels susceptibles de nous faire connaître un auteur.J'estime que de tels ouvrages rendent de grands services aux lettres. Ils sont la forme dernièrede la critique mise au service du public. JEAN ns PtExREFBU, Le Quotidien, 4 janvier 1926.

Quelle belle activité que celle de M. FRÉDÉRIC LEFËVRE et quelle tâche utile que lasienne! Il a décidé de nous donner de la littérature de notre temps un tableau complet, exact,vivant, en illustrant l'étude des œuvres par le portrait de leur créateur, en faisant, pour ainsi ¡dire, un tout du livre et de l'homme. Grande et rude entreprise qu'il poursuit avec persévérancedepuis des années et qui demande, pour être menée à bien, des qualités non seulement multiples,mais, semble-t-il, parfois contradictoires. Une solide érudition, une curiosité toujours en éveilet le goût de l'idée pure d'une part; de l'autre, la faculté de voir, l'aptitude a saisir un geste,un jeu de physionomie et sous ses apparences fugitives, a saisir une âme

Toutes ces qualités, que M. FRÉDÉRIC LEFËVRE possède, il les a mises au service de savaste enquête qui, sous le titre de UNE HEURE AVEC. constituera car elle n'est heureu-sement pas terminée un fidèle miroir des manières de penser et de sentir de notre temps.JACQ.CES PATtN, Le Figaro, 9 janvier 1926.

Ces confessions intellectuelles, que l'auteur dérobe sans effort à ses contemporains, contiennent,outre de bien divertissantes fanfaronnades, des révélations précieuses à qui, refusant de s'entenir aux apparences et à la surface de la matière écrite, désire se rendre compte de l'organisationinterne des œuvres littéraires. ANDRÉ BtLLY, l'Œuvre, 29 décembre 192;.

Dans UNE HEURE AVEC. on se sent en présence de témoignages littéraires sur lesquelsse fonderont plus tard les jugements. Voici une galerie de portraits qui aidera à représenterfidèlement notre époque un ensemble qui résumera sur le plan littéraire les apports multiplesde ce temps. M. FREDERIC LEFÉVRE a l'art de provoquer les déclarations importantes etde lesmettre en pleine lumière. Son œuvre, d'une information si large, est malgré tout declassement. Il y a des degrés fortement marqués dans ses jugements. On retrouvera à toutes lespages cette qualité maîtresse du critique le sens des valeurs.

JEAN BALDE, La Renaissance, 9 janvier 1926.

Il y aura un jour de bien curieuses conclusions d'ensemble à tirer de l'enquête de M. FRÉDÉRICLEVËVRE. Elle fournit d'excellents « matériaux Critiques x bien préparés, comme on dit enlangage d'historien. En les classant et assemblant, on y trouvera les grandes tendances de lalittérature contemporaine. JACQUES BouLENGER, Opinion, ig décembre iq2;.

Il y a là un document de premier ordre. Il intéresse tous ceux qu'intéressa la littératurecontemporaine. OMON, Action Française, 7 janvier 1926.

Cette fameuse série de fameux entretiens littéraires de M. FRÉDÉRIC LEFËVRE, vivantscomme ceux qui le précédent, nous fait pénétrer des âmes et des œuvres.

LUCIEN WAHL, .L'7M/brma<tOH, janvier 1026.

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LA N0 L~ELJLE

Re vue Fra nça iseREVUE MENSUELLE DE LITTERATURE ET DE CRITIQUE 12" AnnËB

DIRECTEUR JACQUES RIVIÈRE (1919-1925)Directeur GASTON GALLIMARD Rédacteur en chef JEAN PAULHAN

PARAIT LE i« DE CHAQUE MOIS

L.A XOVVEI.W.E MtEi'ljE FKAXÇAiSEpubliera dans ses prochains numéros

LETTRES, d'ANDRÉ GIDE

FRAGMENTS, par PAUL VALÉRYLE TEMPS RETROUVÉ, par MARCEL PROUST

ALLEN, par VALERY LARBAUDLETTRE SUR L'EXOTISME, par LÉON-PAUL FARGUE

ORIENT-OCCIDENT, par P. MASSON-OURSELFRAGMENTS, par ROSANOV. Trad. et Introd. par B. de Schlœzer

ESQUISSE DUKE CONCEPTION PSYCHOLOGIQUE DEL'HISTOIRE, par LÉON BOPP

GRIROUILLE ou LES GANTS RLANCS, par MAX JACOBLE MAUVAIS GARÇON, par HENRI POURRAT

POÈMES de GUILLAUME APOLLINAIRE, ODILON JEAN-PERIER,FRANÇOIS-PAUL ALIBERT

CONTES et NOUVELLES, par GEORGES DUHAMEL, JULIEN GREEN,PANAIT ISTRATI, FRANÇOIS MAURIAC

CONDITIONS DE L'ABONNEMENT

France, édition ordinaire UN AN 42 fr. SIX MOIS. 28 fr.de luxe UNAN 85 fr.

Pays ayant accepté les tarifs de l'Union postaleEdition ordinaire: UN AN 50fr. SIX MOIS 27fr.

de luxe UN AN 100 fr.

Pays n'ayant pas accepté les tarifs de l'Union postaleEdition ordinaire UN AN. 55 fr. SIX MOIS 80 fr.

de luxe UN AN105fr.

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France. 4 fr. 25 Autres Pays. 5 fr.

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HC);tatre du Cnmtmcree de la Seine 1 I*° 35. SOS

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DE LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE PARIS, 3, RUE DE GRENELLE (6*)

N. R. F.

ÉTUDES POUR LES IDÉES ET LES AGES

LA PERSONNALITÉ.

Une description mal ordonnée manque ici son objet,par la richesse et variété du contenu. Une colère que j'ai,c'est moi et l'opinion que j'ai de cette colère, c'est encoremoi, mais autrement ma profession ou ma fonction, quidiscipline toujours un peu l'humeur et dissimule souventle caractère, c'est encore moi il n'est pas indifférent queje sois paysan, ouvrier ou commerçant, cantonnier, geôlierou préfet. Finalement, dans un homme complet, tout cela,que je viens de dire sommairement, est non seulementconnu, mais jugé et surmonté, soit que, méprisant mafonction, je la subordonne à des maximes proprementhumaines, soit qu'au contraire je décide de faire céder toutdevant le devoir d'obéir soit que, considérant l'une etl'autre vie comme des costumes de politesse, je fasse amitiéplus profonde avec ce moi aimant, soutirant et inquiet queje suis seul à connaître, et que je ne veux point subordon-ner, soit qu'enfin, comme il arrive, je ne veuille me recon-naître qu'en des mouvements vifs et capricieux, ce qui estune manière de rester enfant, toujours est-il que ce juge-

ment supérieur par lequel je réforme, je redresse ou jediminue quelque élément de ma propre vie, est bien demoi aussi. Il faut même dire que ce refus de vivre naturel-lement et spontanément, et l'idée qu'il dépend de moi dem'accepter, de me refuser ou de me réformer, est juste-ment ce qui achève la personne, par la conscience que

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LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

j'en prends dans cette opposition, dans ce refus, dans ceJugement. Là se trouve le secret de toute investigation,

même descriptive, concernant la conscience de soi car

celui qui cède tout à fait à la peur ne sait plus qu'il a peuret l'on ne se connaît que dans le moment où l'on seredresse, ce que le sens vulgaire du mot Conscience exprimefortement. Mais afin d'aider l'attention descriptive devantce mouvement toujours ascensionnel, familier à l'homme

le plus simple, je crois utile de marquer ici des degrés, afinde tracer comme une esquisse ou un canon de l'hommemoyen, d'après quoi chacun pourra ensuite remarquer desdifférences et approcher un peu de l'individu. C'est la fauteordinaire des apprentis qu'ils commencent par décrire, sansavoir dressé un tableau convenable des mots que l'usageleur offre. Et le paradoxe de l'art de penser, qui est qu'ilfaut aller de l'idée au fait, se retrouve dans l'art d'écrire,puisqu'il faut exprimer l'individuel dans le langage com-mun. Mais ces maximes seront plus claires par l'applica-tion.

Je propose d'appeler Humeur ce qui est proprementbiologique, j'entends la forme, la vigueur, le tempéra-ment, l'âge, et en même temps les actions du milieu quimodifient tout cela, comme climat et régime. Ceux qui yportent quelque attention sont souvent .disposés à croireque l'humeur est tout l'homme mais je ne m'engage pasvolontiers en ces chemins de dialectique, car le langagecommun m'avertit qu'il y a autre chose à dire de l'hommeet quand je dis que la Volonté c'est l'Humeur, je trouveune notion au lieu de deux qui me sont proposées. Orc'est une bonne règle de Sagesse» de suivre ce préjugé quedes mots différents signalent toujours une variété réelle, et,en bref, qu'il n'y a point la moindre erreur dans le vocabu-laire commun. Je ne vois point d'autre règle assurée endes matières où tout est vraisemblable et tout contes-

table.

J'appellerais Caractère l'humeur reconnue et jugée comme



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Extrait de la publication… · MAUCLAIR et J. F. BOUCHOR. SOUS le ciel de Florence. 5o fr. 54. A. ... NOM .v. Signature ... tions de W. SHAKESPEARE Mesure pour Mesure