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Focus PME

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L'Hebdo

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Page 1: Focus PME

GRO

UPE

Orbe (siège) : 024 442 84 84 et ses succursales à Lausanne, Yverdon-les-Bains, Neuchâtel, Delémont et Genève

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FinancementComment financer son entreprise

Santé au travailQuand ergonomie rime avec stratégie

Gestion Confier la gestion de son parc automobile

FÉVRIER 2015

FOCUSPMEIT SOLUTIONSBien choisir ses programmes

FORMATIONSLe plus des entreprises

SEMINAIRESLes rendre plus intéressants

LES CLES DU SUCCES

La recette du succès de LUSH DORIS TRINKLER

Interview

Page 2: Focus PME

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

2 Editorial Yves Curchod

Le premier des 4 brasseurs en suisse Ro-mande, basé à Genève,

a ouvert ses portes voilà main-tenant 18 ans. Suivi de celui de Lausanne, puis Nyon et finalement Neuchâtel. Quelles recettes ont été mises en place pour ce faire? Itinéraire.

La motivation première pour la naissance de nos brasseurs a été la crise économique qui sévissait aussi dans le milieu de la restauration à Genève dans les années 1995. Pour se renouveler et réussir dans ce métier, nous étions convain-cus qu’il fallait se démarquer très fortement de la concur-rence. Ces premiers constats nous ont poussé à chercher du jamais vu. La micro-Bras-serie, Les Brasseurs.

Notre bassin de clientèle était issu d’un terroir viticole sur lequel le vin est roi. Le suisse consomme trois fois moins de bière qu’un irlandais ou qu’un allemand. Pourrions-nous remplir

notre établissement compte tenu de ces habitudes? Peu y croyait à cette époque. Nous oui! Nous voulions réaliser à Genève, un concept totale-ment inconnu en Suisse Ro-mande: Réunir les métiers de restaurateur et de brasseurs.

Nous devions consa-crer des investissements importants pour réunir ces deux métiers dans les mêmes locaux. Heureusement la BCGE a bien rempli son rôle de promoteur des PME locales en nous accordant finalement sa confiance dans la mesure où en tant que fondateurs nous amenions la moitié des fonds nécessaires.

Ces challenges inven-toriés, quelques obstacles se dressaient devant nous. Il n’y avait pas en Suisse de concepteur à même de réaliser l’agencement propre à nos établissements. La libre circulation des personnes n’était pas en cours, amenant une certaine difficulté à l’ob-tention des permis de travail.

Mais alors avec du recul, comment ces challenges ont-ils été relevés?

Y CROIRE – OSERSans études de marché disponibles, nous avons osé nous lancer dans l’aven-ture sur la base de notre conviction personnelle, après plusieurs voyages à l’étranger, pour des visites d’établisse-ments basés sur la bière.

COMPETENCESLes fondateurs que nous sommes ne se connaissaient pas tous au début. C’est par relation que nous nous sommes finalement trouvés: l’un amenant une grande expérience en matière de recherche de personnel, un autre issu d’une grande brasserie Suisse, d’une famille de professionnels du monde Brassicole en France ou encore un restaurateur expérimenté à la gestion de plusieurs établissements à Genève.

TRAVAILLERTous ensemble, nous avons beaucoup travaillé. Nous acharnant à régler chaque détail… techniques, recettes, planification, marketing, ges-tion… Nous n’étions jamais d’accord de suite mais seul le consensus de tous prévalait avant chaque décision.

Et finalement, à la fin de la journée, le plaisir de boire une bonne mousse artisa-nale, accompagnée d’une flammenküeche croustillante à l’heure de l’apéro! Sante!

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Khaled Yatouji, Managing Partner

FOKUS PMECheffe de projetMélodie [email protected]

Country ManagerJeroen Minnee

Rédacteur en chefJoram Vuille

Equipe éditorialeSMP

DesignSmart Media Publishing Schweiz GmbH

GraphismeAnja Cavelti

Canal de distributionL'Hebdo, 26. Février 2015

ImpressionSwissprinters

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Comment nous avons brassé nos etablissements

Yves Curchod, Co-fondateur des Brasseurs

04 Solutions Technologiques

05 Crédit

06 Gestion du parc automobile

08 Interview: Doris Trinkler CEO de Lush

10 Formation

11 Expert Panel

12 Ergonomie au travail

13 Séminaires

14 Article spécialisé

Bonne lecture!Mélodie Lim

Cheffe de projet

06 12

Contenu

Page 3: Focus PME

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Page 4: Focus PME

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

4 Choix Solutions Technologiques

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néraux, la gestion de la caisse de pension, le marketing et la communication, les dirigeants de PME doivent désormais faire face à des décisions stra-tégiques qui modifieront à long terme le visage de leur entreprise. Et si un choix ju-dicieux et réfléchi s’avérera bénéfique pour l’entreprise qui pourra ainsi presque ex-clusivement se concentrer sur ses activités de base en écono-misant des ressources tant hu-maines que de production ou financière, un mauvais choix pourra s’avérer catastrophique pour cette dernière. Dès lors, nous ne pouvons que conseil-ler les dirigeants à suivre quelques étapes qui devraient leur permettre d’affronter se-reinement le choix final. Tout d’abord, il est primordial de déterminer précisément les

besoins de l’entreprise en ana-lysant en détail tant la straté-gie que les différents proces-sus organisationnels. Lors de cette étape, qui comprend la définition des buts de l’entre-prise et l’analyse de sa renta-bilité, une grande implication du personnel permettre non seulement de faciliter l’iden-tification des rôles de cha-cun dans l’entreprise, mais permettra surtout à chaque employé de devenir une par-tie prenante du processus. En effet, la valeur qui peut se dégager de l’acquisition de nouvelles technologies ou leurs externalisations réside autant dans leurs capacités techniques que dans leur inté-gration au sein de l’entreprise et leur acceptation auprès des employés. Cette première étape prendra fin une fois qu’il

sera possible de répondre sans ambiguïté aux trois questions (que fait notre entreprise? Comment fonctionne notre entreprise? Qui fait quoi?) qui permettront aux dirigeants de connaître avec précision les besoins spécifiques de chaque service de leur entreprise et l’intérêt ou pas de modifier, respectivement d’améliorer les processus.

Une fois les activités principales et les proces-sus de travail de l’entreprise clairement identifiés et défi-nis, il sera possible d’éditer une liste des critères déter-minants qui permettra une comparaison des différentes offres disponibles. Cette comparaison permettra d’établir une liste restreinte des partenaires présélection-nés sur laquelle figurera le

plus adapté ou adaptable à l’entreprise.Le choix effectué, il faudra ensuite mettre en place un système efficace de suivi et de contrôle qui devra se faire en parfait partenariat avec l’en-treprise choisie. En effet, il est primordial pour réussir l’inté-gration que toutes les parties s’engagent dans cette optique, car pour que le processus de changement soit réussi il doit avant tout passer par une im-plication et une collaboration entre deux entreprises qui, et c’est un point à ne pas né-gliger, devront partager des cultures d’entreprises simi-laires afin de ne pas s’inscrire comme un simple échange de prestations contre rémunéra-tion, mais bien comme une collaboration à long terme basée sur la confiance.

En quelques années, les évo-lutions technologiques ont permis de rendre accessible aux PME des solutions jusqu’alors réservées aux grandes entreprises, leur permettant ainsi d’entrer à moindres coûts dans l’ère du numérique. Mais atten-tion à ne pas se précipiter, des choix faits à la hâte pourraient se révéler très rapidement problématique.TEXTE JORAM VUILLE

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

Crédit Finance 5

L’économie suisse repose à 98% sur ses PME et leur dynamisme. Efficace et flexible, l’entrepre-neuriat est devenu le modèle en vogue. Rien qu’en 2014, le pays a vu naître près de 41'000 startups. Un record qui prouve que les projets novateurs fusent sur le territoire. Mais l’obstacle majeur pour les jeunes patrons reste la quête de ressources fi-nancières. Il existe pourtant un certain nombre d’organismes qui sont prêts à investir.

Pour les as des nouvelles technologies, les plateformes comme CTI Invest ou Venture Kick sont une excellente option. Ces spécialistes dans le finan-cement des start-ups high-tech récoltent des millions de francs chaque année pour promouvoir leurs protégés via leur réseau. Par contre, il faut être en me-sure de prouver que le concept un véritable potentiel en matière d’innovation. Quant aux entreprises qui touchent d’autres domaines

comme les commerces ou l’ar-tisanat, il existe des fondations particulières qui offrent leur soutien financier. A l’image de Microcrédit Solidaire Suisse basée à Lausanne, qui s’engage à prêter jusqu’à 30'000 francs même si la compagnie ne cor-respond pas aux exigences clas-siques d’un client en recherche de crédit. «En 2014, 101 bu-siness plans ont été analysé en détails et 39 ont reçu un finan-cement de notre part. Les autres dossiers étaient souvent peu porteurs», détaille Andréa Leh-mann-Beytrison, directrice de la fondation. Un ratio qui prouve qu’un projet original, qui tient

la route, a de grandes chances de trouver des fonds de départ au pays des PME.

ET POUR SE DÉVELOPPERPour les compagnies déjà bien installées qui souhaitent s’agrandir, elles trouveront une oreille attentive auprès des banques cantonales lorsque le crédit espéré est inférieur à 50'000 francs. Dès que les fonds dépassent les 100'000 francs, le nombre d’interlocuteurs se multiplie car les banques na-tionales entrent aussi en jeu. «Pour qu’une banque accepte d’accorder un crédit consé-quent, l’entreprise doit avoir à

son actif trois ans d’activité au moins, présenter une bonne structure de bilan ainsi que des budgets prévisionnels. Il est ce-pendant possible de contourner ses règles en dévoilant un bu-siness plan ultra solide», précise Renato Sottile, spécialiste cré-dit et fondateur d’Infogestion Consulting à Lausanne.

L’expert conseille égale-ment aux entrepreneurs de s’associer avec des organismes de cautionnement cantonaux qui se portent garants auprès des institutions bancaires. «Aujourd’hui, certaines PME sont sur le fil du rasoir mais si le modèle d’affaire est ef-fectif, et que l’entrepreneur fait preuve de transparence, il maximise la probabilité d’ac-céder à un crédit», assure le spécialiste.

Enfin, si aucun de ces ca-naux ne fonctionne, les bu-sinessmen en herbe peuvent tenter d’amasser des dons sur l’un des nombreux sites de financement participatif qui foisonnent sur la Toile. Le seul prérequis est de convaincre les internautes de l’utilité du produit ou du service proposé. L’avantage principal de cette méthode, nommée en anglais crowd-funding, est que la notion de remboursement et de taux d’intérêts, aussi avantageux soient-ils, disparaît. Il y a différents moyens pour financer son entreprise.

Cautionnement romand : L’accès facilité au crédit bancaire.Cautionnement romand facilite l’accès au finance-ment en se portant cau-tion envers une banque pour des crédits jusqu’à CHF 500'000.- ouverts au nom d’une entre-prise ou entrepreneur. Tout type de projet peut être financé, de la création au développe-ment de la société en passant par l’acquisition d’un parc informa-tique ou de logiciels.Outre la viabilité de l’entreprise et sa capa-cité à rembourser, les qualités professionnelles appropriées à l’activité exercée sont des condi-tions indispensables. Grâce au cautionnement, la PME a une solution pour obtenir un crédit que la banque aurait de la peine à lui octroyer, et ce avec des conditions favorables puisque cette dernière n’a pas à assu-mer le risque débiteur.N’hésitez donc pas à jouer cette carte lors de vous pourparlers avec votre banquier! cautionnementromand.ch

Que ce soit pour lancer un projet novateur ou pour développer sa société, les chefs d’entreprise sont régu-lièrement en quête de crédit. Les possibilités afin d’obtenir un financement divergent notamment en fonction du cycle de vie de la compagnie. TEXTE JADE ALBASINI

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Page 6: Focus PME

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

6 Gestion Fleet Management

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Quelle que soit l’importance de sa flotte de véhicule, il est très difficile pour les PME de maî-triser parfaitement à l’interne la gestion de son parc automobile. En effet, celle-ci nécessite des compétences allant de la main-tenance, l’assistance, la gestion

des conducteurs aux assurances ou encore l’achat et la vente très spécifique qui poussent de plus en plus de dirigeants de PME vers l’externalisation. Une ten-dance confirmée par Monsieur Roberto Delvecchio de la com-pagnie Hertz «On remarque que de plus en plus de clients ont recourt à nos services, par-ticulièrement depuis la chute de l’Euro. Les dirigeants d’en-treprises ont besoin de pouvoir planifier leurs dépenses avec le plus de précision possible, opter pour la location et notre offre Full-Service-Leasing leur permet de maîtriser tous les postes puisque nos contrats incluent non seulement la loca-tion, mais également l’entretien et les assurances. Les coûts sont

donc fixes et maîtrisés, hormis l’essence.»

Historiquement, il existe deux tendances dans le do-maine de l’externalisation de la gestion de la flotte automobile, la location longue durée ou le fleet management. La loca-tion longue durée consistant à confier à une société spéciali-sée le financement et la gestion des véhicules en souscrivant à divers services moyennant un loyer. À l’inverse, le fleet management, généralement choisi par les grandes entre-prises, consiste à externaliser la gestion de sa flotte à un prestataire tout en restant propriétaire de ses véhicules. À cela est venu récemment s’ajouter le partage de la flotte

ou car-sharing qui comme son nom l’indique permet à diffé-rentes entreprises de partager leurs véhicules et ainsi d’en ré-duire le nombre comme nous le confirme Monsieur Roberto Delvecchio «Le car-sharing est une solution nouvelle qui prend de l’importance, elle permet aux petites entreprises de réduire leur flotte de, par exemple, 5 à 3 véhicules grâce à l’apport de notre service de gestion utilisant les nouvelles technologies.».

Dans un marché tendu, les différents prestataires cherchent à se démarquer de leurs concurrents en adap-tant au mieux leurs offres aux demandes du client, per-mettant à chacun d’y trouver

la solution la plus adaptée à ses besoins sans engendrer de surcoûts par rapport à un modèle plus traditionnel. Faisant ainsi de la complexité toujours croissante de la ges-tion de sa flotte de véhicules une occasion intéressante de bénéficier de l’intervention de spécialistes tout en réduisant les coûts. Cerise sur le gâteau, outre le fait que la location assure d’avoir à disposition un parc à jour composé des véhicules récents, elle rend possible, également aux pe-tites entreprises de rouler avec des véhicules hybrides ou électriques de dernière génération en souscrivant à des offres exclusives telles que proposées par Hertz.

La gestion d’une flotte de véhicules est un poste important du budget pour de nombreuses PME. Afin de rationaliser leurs dépenses, de plus en plus d’entreprises l’externalisent, réalisant ainsi des économies sur l’acqui-sition du parc de véhicules tout en réduisant les risques financiers liés à l’entretien.

TEXTE JORAM VUILLE

Externalisation de sa flotte autoTrouver un fournisseur pour le parc automobile d'une entreprise, est la nouvelle tendance car elle est moins coûteuse.

Page 7: Focus PME

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Page 8: Focus PME

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

8 Interview Doris Trinkler

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Doris Trinkler, pourquoi est-ce que bien souvent, on reconnaît vos boutiques de loin à l’odeur?(rires) C’est dû aux huiles es-sentielles contenues dans nos produits cosmétiques. Lush se démarque notamment par son utilisation d’ingrédients naturels dans la fabrication de divers ar-ticles. Le parfum frais et intense témoigne de cette philosophie et est le fruit d’une production na-turelle soucieuse du développe-ment durable. Par ailleurs, beau-coup de nos produits ne sont pas emballés.

En avril prochain, Lush fêtera son 20e anniversaire en Angleterre. Comment avez-vous vous-même découvert l’entreprise?Mon premier contact avec Lush a eu lieu en Australie en 1997. Je me trouvais à Melbourne et je suis entrée quasiment par hasard

dans la boutique. J’ai été abso-lument fascinée. Le parfum, la texture des produits, le design, la présentation, l’accueil extrême-ment aimable – tout m’a plu. J’ai d’abord pensé que tous ces pro-duits étaient mélangés à l’aide de diverses poudres, comme c’est habituellement le cas. Par ailleurs, je croyais que Lush était une marque australienne.

Comment avez-vous re-marqué votre erreur?C’est mon mari que j’ai rencon-tré en Australie qui me l’a dit. Il est britannique et un jour, il m’a écrit qu’il avait découvert une boutique Lush en Angle-terre. Nous avons alors com-mencé à faire des recherches. J’ai alors compris que Lush s’était engagée dans la fabri-cation à base de composants naturels en tenant compte du

développement durable et connaissait un franc succès en Angleterre depuis le milieu des années 90. Nous avons ensuite écrit à l’entreprise. Pour nous, c’était une évidence: nous vou-lions importer ce concept en Suisse.

Comment vous y êtes-vous pris?En 2001, nous avons établi un business plan pour Lush Suisse. Cela ne s’est pas fait tout seul. Le financement s’est avéré particulièrement difficile. Mais lorsque nous y sommes parve-nus, j’ai convaincu un ancien collègue de travail de se lancer dans l’aventure avec nous et en décembre 2001, nous avions un contrat pour l’exploitation de la licence dans toute la Suisse. La première boutique a ouvert ses portes fin mai 2002, dans la Marktgasse à Berne.

Bien plus qu’un simple «maga-sin de savon»Ils sont colorés, parfumés et portent des noms originaux tels que «Honey I washed the kids» ou encore «Rub, rub, rub». Il est question des produits cosmétiques de la marque «Lush». En Suisse, c’est Doris Trinkler, CEO de Lush Switzerland AG, qui les a introduits sur le marché. Cette cheffe d’entreprise s’est entretenue avec nous pour notre supplément «PME, les clés du succès» et nous a parlé de son amour du produit, des soucis d’argent rencontrés et de la manière dont on peut puiser de l’énergie dans les railleries.

INTERVIEW MATTHIAS MEHL PHOTO LUSH

Doris Trinkler, CEO de Lush Switzerland a mis en place un produit innovant sous plusieurs aspects.

Page 9: Focus PME

U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

Doris Trinkler Interview 9

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Est-ce que tout s’est passé sans difficulté?Peu de choses se déroulent complètement sans difficul-té, et il en fut de même pour nous. Lorsque par exemple nous avons décidé d’ouvrir une boutique à Genève, dans un centre commercial, nous avons rapidement constaté que la boutique était beaucoup trop grande et trop coûteuse. Nous avons donc déménagé. Si l’on considère Lush Suisse dans son ensemble, nous pou-vons néanmoins parler d’un franc succès: aujourd’hui, nous avons 18 boutiques en Suisse alors que notre bu-siness plan d’origine en pré-voyait tout juste une dizaine sur la même période.

Quel a été votre parcours et où avez-vous travail-lé avant de vous lancer dans l’aventure Lush?J’ai une formation en écono-mie que j’ai suivie à la Haute école d’économie de Lucerne et j’ai travaillé dans une grande entreprise où j’étais responsable du service de la comptabilité et du controlling.

Vous connaissez donc bien les chiffres.Oui, tout à fait. Mais le suc-cès de Lush Suisse n’est pas mon seul mérite, il est aussi à mettre sur le compte de mes deux partenaires commer-ciaux. L’un d’eux conçoit les boutiques et l’autre est ex-pert financier. Comme vous

le voyez, nous disposons d’un excellent savoir-faire et nous complétons de manière idéale.

Que représente Lush au-jourd’hui pour vous?Mes partenaires et moi-même sommes toujours tout feu tout flamme pour la société, Lush Suisse est un peu notre bébé. Je suis très attachée à l’entreprise. Et pour moi, Lush est toujours un symbole de créativité, d’in-novation et de durabilité. Cela se traduit par exemple par l’embal-lage des produits. Il est beau et original, tout en restant sobre et pratique. Chez nous, il n’y a pas de petits pots dorés fermés par un large couvercle en plastique qui se visse, le tout placé dans deux autres emballages carton différents. Lush est pour moi aussi le symbole de la qualité et de la responsabilité sociale car la société est très engagée dans le domaine caritatif. Une autre chose très particulière à mes yeux concernant Lush: nous ne faisons pas de publicité au sens classique du terme, pas de cam-pagnes sophistiquées où l’on dé-pense des fortunes pour des top models. Nous ne faisons pas non plus de promesses du type «avec nos produits, vous retrouverez vos 20 ans» mais nous souli-gnons le facteur bien-être: c’est aussi pour cela que Lush incarne la sincérité.

Vous avez dit que Lush était votre bébé. Vous êtes aussi mariée et mère de deux

enfants – comment parve-nez-vous à concilier tout cela?C’est un défi, c’est certain. Mais finalement, c’est surtout une question d’organisation et de personnalité. J’ai la chance de disposer d’une bonne struc-ture familiale. Par ailleurs, nous mettons à profit les offres de crèche ou de cantine au jar-din d’enfants pour notre fille aînée.

Quels sont les plus grands défis pour vous au quoti-dien dans l’entreprise?La formation initiale et continue de nos collabora-teurs constitue pour nous un challenge majeur. Lush Suisse emploie aujourd’hui 113 per-sonnes. Tout notre succès re-pose sur leur engagement et il est essentiel, mais cela me semble aussi un juste retour des choses que de leur donner la possibilité de se développer. Par le passé, nous avons sou-vent confié des responsabilités à des personnes qui n’avaient pas été bien préparées à cela. Nous voulons changer cela. C’est pourquoi nous faisons actuellement d’importants efforts pour améliorer la for-mation de l’équipe de mana-gement intermédiaire. Nous devons et souhaitons leur don-ner les moyens de bien faire leur travail et de connaître le succès.

Quels sont vos objec-tifs pour l’entreprise à moyen et long terme?

Je pense toujours que Lush a un fort potentiel de crois-sance en Suisse. En Suisse orientale par exemple, nous sommes encore peu repré-sentés. Je pense notamment à St-Gall et nous aimerions également ouvrir une bou-tique au Glattzentrum de Zu-rich. Comme vous le voyez, il y a encore beaucoup à faire. En tout cas, nous ne sommes pas prêts de nous ennuyer. Et à côté de l’expansion, il s’agit bien sûr de trouver des sites mieux adaptés pour quelques-unes des boutiques existantes.

Quel conseil donneriez-vous aux futurs créateurs d’en-treprise sur la base de votre expérience personnelle?Je leur donnerais un conseil très pratique: veiller impé-rativement à avoir un capital de départ suffisant. Souvent, le succès tarde un peu à venir et il faut avoir des réserves. Car il est essentiel de ne pas perdre l’ambition de départ de vouloir faire quelque chose de mieux que les autres. Un autre point capital: il faut avoir confiance en soi et ré-pondre de ses actes. Si j’avais dû renoncer à chaque fois que quelqu’un m’a dit «Quoi? Tu veux ouvrir un magasin de savon?», je ne serais pas là où je suis aujourd’hui. Ceux qui doutent de vous doivent ren-forcer votre détermination à leur montrer qu’ils ont tort et non pas vous démotiver.

Doris Trinkler, CEO de Lush Switzerland a mis en place un produit innovant sous plusieurs aspects.

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

10 Développement Formation

Executive ProgramsEMBA - MAS - DAS - CAS

19 March & 23 April 2015Open Forum 18.15 - 20.30

Info Sessions 18.30 - 19.00 ¦ Room MR070

hec-executive.chUniversity of Geneva - Uni Mail - 40 Bd du Pont d’Arve -1205 Geneva - Switzerland

Selon les derniers chiffres publiés par l’Office fédérale de la Statis-tique qui datent de 2011, près de 4 entreprises sur 5 ont soutenu des cours de formation profes-sionnelle continue sur l’année écoulée. «Les entrepreneurs ont évolué et investissent de plus en plus dans leur capital humain. D’ailleurs, de nombreux cadres montrent l’exemple et suivent

un cursus à côté de leur activité professionnelle», analyse Lionel Stoudmann, Strategic Develop-ments & Marketing Manager pour la plate-forme Executive Education à HEC Lausanne. Un constat positif qu’il faut cepen-dant nuancer en fonction de la taille de l’entreprise. «Les chefs de plus petites structures ont souvent d’autres priorités et ne prennent pas toujours conscience de l’utilité des formations conti-nues pour leurs employés», ren-chérit Caroline Meier, directrice du secrétariat romand de Fédé-ration suisse pour la formation continue (FSEA).

Pourtant, les avantages des ces enseignements parallèles vont bien au-delà du bien-être des col-laborateurs. Les bienfaits pour la compagnie et son rendement sont concrètement tangibles. «La formation continue est l’une des

meilleures solutions pour pallier à la pénurie de personnel quali-fié», affirme Pierre-Alain Cardi-naux, Partner et responsable de la région Suisse romande chez Ernst & Young. Une affirmation qui prend tout son sens après les votations du 9 février dernier sur l’immigration de masse et l’im-pact de cette décision populaire sur les ressources humaines des PME.

À l’ère de l’innovation, tous les corps de métiers se doivent de parfaire leurs connaissances afin de rester compétitif sur un mar-ché en constante évolution. La France l’a d’ailleurs bien compris, développant un cadre légal et une culture de l’entreprise axée sur la formation continue. Suivant l’exemple de son voisin, la Suisse a mis en place depuis juin 2014 une loi qui suggère vivement aux entrepreneurs de favoriser ce

type d’enseignements à l’interne, notamment afin de préserver sa position de leader.

Et pour conserver ce statut, l’offre globale au sein des institu-tions publiques ou privées n’a ces-sé de s’étendre ces dernières an-nées, proposant des programmes longs sur 18 mois du type MBA ou des séminaires de 2 à 5 jours sur des thématiques précises. «Ce n’est plus l’école traditionnelle; les participants ne viennent pas uniquement obtenir un diplôme mais se déplacent pour acqué-rir de nouvelles connaissances, développer leurs compétences et échanger sur des expériences concrètes», explique Lionel Stoudmann. À rappeler que la formation dite non-formelle est pluri-forme, allant d’un cours de perfectionnement en langue allemande à une conférence sur l’intelligence économique.

Bénéfique au développe-ment personnel de l’em-ployé, la formation continue est également perçue comme une plus-value pour la rentabilité des PME. De plus en plus d’entrepre-neurs prennent conscience de son enjeu économique. En Suisse, les mentalités évoluent… pas à pas.TEXTE JADE ALBASINI

Formation continue, un must-haveDe plus en plus d'entreprises poussent leurs employés à suivre des formations continues, ce qui est une valeur ajoutée.

Les régions éco-nomiques vau-doisesAu sein de codev.ch, les régions économiques couvrent l’ensemble du territoire et offrent des services de proximité aux créateurs d’entreprises et aux pme vaudoises : • Relais des prestations et

aides de la promotion économique vaudoise

• Conseils à la création, au développement, recherches de finance-ment et partenaires

• Promotion et recherche de terrains et de locaux

• Stratégies de dé-veloppement des zones d’activités

• Stratégie de dévelop-pement régional

• Animation, promo-tion régionale et des conditions cadres

Les régions vaudoises sont proches du terrain et des entrepreneurs, facilitant les démarches auprès des autorités can-tonales et communales. Conventionnées avec le Dpt de l’Economie, elles assurent votre accès au réseau de la promotion économique vaudoise.

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PME La Clé du Succès Expert Panel 11

Des experts s'expriment

L’Euro met la pres-sion aux entreprises en ce moment. Comment abordez vous cette situation difficile?

Si nier les difficultés est contre productif, la panique ou le fatalisme sont tout aussi néfastes. Les contraintes sont certes très différentes d’un secteur à l’autre, mais je préfère envisager cette période comme une nouvelle opportunité d’innover.

Nous ne serons en difficulté que si les entreprises réduisent drastiquement leur budget de formation. Les signaux dans la région ne vont heureusement pour l’instant pas dans ce sens, nous restons optimistes.

Notre offre étant atypique, exceptionnelle, exploitant au maximum les synergies entre notre centre sportif et l’Hôtel Cristal atte-nant, nous pouvons offrir des prestations extraordinaires, dans un cadre naturel. Ainsi, nous pouvons proposer un rapport qualité prix particulièrement attractif, même pour la clientèle étrangère ; c’est un avantage déterminant dans le contexte actuel.

Quels sont les be-soins/ demandes des clients?

En période plus incertaine, le marketing et le conseil prennent un nouveau sens. La réflexion en amont (objectifs, innovation, ciblage, etc.) et l’analyse des opérations sont essentielles ; la stratégie prend le pas sur l’aspect visuel et le qualitatif sur le quantitatif.

Les formations les plus demandées sont soit technique (mécanique, décolletage, horlogerie) soit celles qui proposent des outils pratiques aux cadres en gestion d’équipe, en management, en coaching.

Les clients souhaitent de nombreuses salles de séminaires bien équipées et modernes, une restauration soignée, des chambres d’hôtel confortables et un service de qualité. Ce sont les principales exigences de nos clients.

En quoi vos offres/produits ré-pondent-ils à ces besoins?

De Visu est la rencontre entre un cabinet conseil en stratégie et une agence de communication. Cette présence sur l’en-semble de la chaîne de valeur marketing – communication est un atout indéniable pour nos partenaires d’ajuster leurs objec-tifs et leurs moyens au marché actuel.

La région est fortement tournée vers l’in-dustrie et les employeurs apprécient – et financent en grande partie - les formations qui permettent un retour sur investisse-ment rapidement sur le lieu de travail.

En plus des prestations déjà citées, le wellness, les deux piscines (intérieure à 28 degrés et extérieure à 34 degrés) et les équipements sportifs, nous permettent de proposer des offres uniques au cœur des Franches-Montagnes, le pays du cheval.

Quels sont vos futurs projets, vos nouveaux challenges?

Faciliter la compréhension de la différence entre marketing et communication. Pour beaucoup de PME, la communication est trop souvent restreinte aux aspects graphiques. Le challenge est aujourd’hui de montrer la pertinence et la chance d’un accompagnement global.

Le vote du 9 février 2014 implique notam-ment de mettre en valeur les compé-tences locales. La formation qualifiante des adultes va s’en trouver stimulée ainsi que les cours permettant aux adultes une mise à niveau des compétences de base.

Nous voulons poursuivre l’amélioration de notre offre et la compléter. Cette année, en complément des 3 salles à manger existantes, une nouvelle salle pour le restaurant sera construite. En plus, notre SPA sera agrandi par une deuxième piscine extérieure à 36 degrés.

Laurent WeberMANAGING DIRECTOR, DE VISU SWITZERLAND

Didier JuilleratDIRECTEUR, CENTRE INTERRÉGIONAL DE PERFECTIONNEMENT

André WilleminDIRECTEUR, CENTRE DE LOISIRS DES FRANCHES-MONTAGNES SA

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12 Santé Ergonomie au travail

ERGONOMIE FONCTIONNALITE FLEXIBILITE DURABILITE INDIVIDUALITE IDENTITETRAVAIL D‘EQUIPE ESTHETIQUE INTERACTION ERGONOMIE DURABILITE FLEXIBILITEINDIVIDUALITE ERGONOMIE FONCTIONNALITE TRAVAIL D‘EQUIPE INTERACTION

www.zkd.ch

L'ergonomie au travail est très importante puisque nous y passons la majorité de notre temps.

Les entreprises internationales les plus connues l’ont déjà bien compris, l’ergonomie, soit l’étude et l’optimisation de tout ce qui attrait l’Homme et à son travail est une manœuvre «gagnant-gagnant», à la fois pour les employés mais aus-

si pour la direction. Google, entre autre, attire les meilleurs talents en proposant un cadre décontracté et créatif alors que Nestlé redore son image en jouant la carte «responsabilité sociale» et bien-être de ses em-ployés. «En fait, les intérêts des uns profitent aux intérêts des autres», estime Olivier Girard, ergonome à l’Institut universi-taire romande de Santé au Tra-vail (IST).

Un constat encore peu assi-milé dans la plupart des PME qui ne perçoivent pas les avan-tages concrets de l’ergonomie. «De manière général, la santé au travail est encore mal ap-pliquée. Il y a un manque de reconnaissance. Les patrons ne voient en principe que les coûts mais pas ce que cela

rapporte» ajoute-t-il. Pourtant les chefs d’entreprise peuvent facilement mesurer le retour sur investissement de la mise en place d’un environnement adéquat grâce à des indicateurs comme le taux d’absentéisme, le nombre de congés mala-dies ou la productivité. «Les entrepreneurs sont souvent centrés sur une vision à court terme mais dès qu’ils prennent

conscience des bienfaits stra-tégiques de l’ergonomie, ils deviennent très réceptifs à nos conseils» constate le respon-sable du pôle services à l’IST.

LES DERNIÈRES TENDANCESTélétravail, open space, ca-fétéria centrale avec lounge, les possibilités sont multiples afin d’améliorer les condi-tions de travail des collabo-rateurs. Pour répondre à ces nouveaux besoins, l’entreprise helvétique ZKD Büromöbel s’est par exemple spécialisée dans l’aménagement intérieur des bureaux. «Qui dit mobi-lier bien adapté à son activité dit meilleure rentabilité», ex-plique Jean-Louis Schlaefli, responsable Suisse romande de l’entreprise. La PME adapte

sur mesure le matériel, pro-posant des pupitres réglables en position debout ou assis. A son échelle, ceci est une petite révolution notamment pour le secteur tertiaire. Les employés changent de posi-tion tout en continuant d’ef-fectuer leurs tâches. «Nous avons constaté qu’ils ré-duisaient ainsi leur vas-et-viens et que cela augmentait leur concentration. Je suis convaincu que ces change-ments restent bénéfiques pour tous les collaborateurs au sein des entreprises» pré-cise l’expert. Enfin, les start-ups, devraient elles-aussi prendre en compte ces pa-ramètres ergonomiques afin de se développer de manière durable.

En Suisse, proposer des conditions de travail favo-rables aux collaborateurs, que ce soit par le biais d’un aménagement intérieur confortable ou d’un espace social stimulant, entre peu à peu dans les mœurs entrepreneuriales. Ce choix tactique est bénéfique pour les employés mais égale-ment pour les patrons.TEXTE JADE ALBASINI

Qui dit mobilier bien adapté à son activité dit meilleure rentabilité.

Quand ergonomie rime avec stratégie

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Séminaire Tendance 13

Selon le dernier rapport de l’American Express Meetings & Events, l’utilisation massive des technologies de l’informa-tion révolutionne le concept des séminaires d’entreprise. Vidéo HD, diffusion de conte-nu en streaming ou présen-tations en 3D, les outils afin d’animer les conférences et discours ne cessent d’évoluer. Par conséquent, les centres de congrès se sont équipés pour répondre à cette demande 2.0. «En Suisse, les infrastructures intègrent bien évidemment ces paradigmes et vont même au-delà, à l’image du Swiss-Tech Convention Centre, bijou technologique respec-tueux de l’environnement construit l’année passée sur le site de l’EPFL», explique Bar-bra Steuri-Albrecht, directrice du Suisse Convention Bureau. Une autre référence du sa-voir-faire helvétique est la salle

zurichoise Aura qui propose un écran à 360 degrés pour une immersion totale dans l’image.

La technologie est deve-nue si vitale lors des sémi-naires en 2015, qu’elle appa-raît même dans les espaces verts et reculés, comme lors des colloques à la montagne. L’inter-connectivité prime, non seulement afin d’optimi-ser la communication mais surtout pour permettre de par-tager des informations et don-nées, avant, pendant et après ladite réunion, via les médias sociaux. Cependant, malgré la forte progression du digital

dans les évènements profes-sionnels, rien ne remplace une rencontre en personne. Selon cette même étude américaine, ¾ des participants privilé-gient les échanges réels et ne prônent en aucun cas l’usage unique de la vidéoconférence. «Les nouvelles technologies sont de parfait compléments pour enrichir le contenu. Mais un séminaire 100% numérique n’est pas une solution efficace», ajoute la cheffe du Suisse Convention Bureau.

Car le succès d’une confé-rence repose principalement sur l’atmosphère du lieu sélec-tionné. «Les entrepreneurs ont

des demandes de plus en plus originales. Ils mandatent doré-navant des agences afin qu’elles leur proposent un événement agréable et divertissant, hors du cadre traditionnel des ré-unions mais tout en collant à l’image de leur société», pré-cise Mathieu Nadal, CEO de Web Media Communication à Genève. Les conférences en plein air comme sur des voi-liers ou dans des fermes à la campagne ont d’ailleurs le vent en poupe ces dernières années. Ces coins de nature ont l’avan-tage de créer une ambiance familiale, propice au bien-être des participants.

Pour être plus intéressants, les organisateurs utilisent les nouvelles technologies.

Au revoir PowerPoint statiques et après-midis ennuyeuses dans la salle de conférence. Depuis quelques années, les séminaires d’entreprise ont changé de visage. Educatifs, ils misent dorénavant sur l’insolite et la technologie. TEXTE JADE ALBASINI

Séminaires derniers cris

Devenir entre-preneur n’est pas facileAvoir une idée novatrice est un premier pas, à quoi s’ajoute plusieurs étapes lors de la création de son entreprise. Une fois que l’on a une idée claire de ce que l’on souhaite, il faudra établir un business plan précis. Il permettra d’avoir une projection fidèle de ce que l’on souhaite réaliser, des compétences qu’il faudra rassembler et des revenus qu’il sera possible de générer. Ensuite, outre le choix de la formule juridique adéquate qui dépend de nombreux facteurs, l’inscription au registre du commerce, l’établissement de statuts, la souscription à la TVA ou le calcul du capital nécessaire, une multitude de questions s’ajouteront. Il est donc vraiment pré-férable de s’entourer de conseillers professionnels qui pourront aiguiller surtout administrative-ment le jeune créateur d’entreprise. La société startups.ch offre des conseils professionnels et soutien les jeunes entreprises.

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U N S U P P L É M E N T T H É M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

14 Economie Forum

Hôtel I Restaurant I Piscine couverte I Wellness & spa I Fitness I Patinoire I Salles polyvalentes I Salles de séminaires

Saignelégier I Juratél. 032 951 24 74 I [email protected]

www.hotelcristal.ch

Séminaire et détente aux Franches-Montagnes

Abaisser les coûts réglementaires

La suppression du taux plancher place l'éco-nomie suisse devant

des défis de taille. La Confé-dération peut contribuer à en atténuer les conséquences en poursuivant et en inten-sifiant ses travaux d’allège-ment administratif. Ces der-nières années, plus de 200 mesures de réduction des coûts de la réglementation ont été élaborées au niveau

fédéral. 140 d’entre elles ont déjà été mises à exécution ou sont en passe d’être réalisées.

Même si la situation est plutôt meilleure en Suisse que dans les pays voisins, les charges administratives ont tendance à croître par l'adoption toujours plus ra-pide de nouvelles réglemen-tations. La réduction de ces charges constitue pour le Conseil fédéral une tâche exigeante, car elle est un véritable travail de Sisyphe qui doit inlassablement être remis sur le métier.

FORUM PMELes travaux du Forum PME, dont j'assure la co-prési-dence avec M. le Conseiller

national Jean-François Rime, ont ces dernières années contribué de façon notable à réduire le fardeau admi-nistratif dans de nombreux domaines et à le contenir. Le Forum PME est une com-mission d’experts extraparle-mentaire dont la vocation est de défendre les intérêts des PME, par exemple lors de procédures de consultation relatives à des lois fédérales ou à des ordonnances. Si les réglementations prévues ajoutent une charge démesu-rée, la commission propose des simplifications.

Le taux de succès du Forum PME atteint, grâce à une collaboration étroite avec les offices fédéraux et

les milieux économiques, environ 70 % des recom-mandations émises. Di-verses études et estimations ont en outre mis en évi-dence que les allégements réalisés se sont montés, suivant les cas, à plusieurs dizaines ou même parfois plusieurs centaines de mil-lions de francs suisses. A titre d'exemple, le Forum PME a recommandé en 2010 un relèvement des seuils en matière de droit de la révision. Adopté en-tretemps par le Parlement, il permet désormais aux PME concernées une éco-nomie potentielle de plus de 750 millions de francs suisses par année.

Un nouveau paquet de mesures de réduction des coûts sera adopté cette an-née dans le cadre du rap-port périodique du Conseil fédéral sur l’allègement ad-ministratif des entreprises. Le Forum PME a formulé, lors des travaux prépara-toires, plusieurs proposi-tions d'allègements. Notre commission va toutefois ces prochains mois se concen-trer sur sa mission princi-pale, à savoir examiner les projets législatifs en cours. Il est en effet nettement plus simple et plus ration-nel de corriger d’emblée des projets de réglementation problématiques que de les réviser après coup. n

L’ambassadeur Eric Jakob est membre de la direction du SECO, chef de la direction de la promotion économique et co-président du Forum PME.

L'abandon du taux plan-cher met à rude épreuve l'économie suisse. La lutte contre les charges administratives doit être intensifiée. Le Forum PME joue à ce niveau un rôle clé.TEXTE ERIC JAKOB

Forum PME : la commission extraparlementaire joue un rôle clé en matière d’allègement administratif. Ici en présence du Conseiller fédéral Schneider-Ammann et de la secrétaire d’Etat Ineichen-Fleisch. (Foto: Forum PME)

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régions économiques vaudoises

Les régionsvaudoises...

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COREBBroye

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Pays-d’Enhaut Région

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Innover. Pour toujours rester loin devant la concurrence. C’est le mot d’ordre de la société Wonderware. Ses logiciels per-mettent de concevoir, déployer et maintenir des applications sécurisées et standards, pour les domaines industriels et tertiaires. Ainsi, dans une usine, les logiciels Wonderware permettent de contrôler la totalité de la fabri-cation, de la gestion des stocks à la distribution finale en passant par tout le processus de produc-tion (traçabilité, suivi, analyses des performances et de la qualité…). « A travers nos solutions uniques et innovantes, nous garantissons à nos clients la maitrise de leur production avec la pérennité de

leurs investissements, grâce à une architecture flexible et évolu-tive capable de s’adapter à leurs besoins et aux enjeux multiples du marché», explique François Nomblot, Directeur général de Wonderware Switzerland SA ba-sée à Morges.Un des enjeux des systèmes de gestion des opérations, est le stockage des données et surtout la restitution des informations. « C’est la partie pour laquelle les clients finaux sont les plus de-mandeurs et dans laquelle nous sommes très performants », ajoute François Nomblot. « Les solutions Wonderware garan-tissent ainsi une traçabilité totale de la production et mettent à disposition de chacun, les bonnes informations au bon moment (réactivité accrue) » conclu-t-il. La société assure l’avant-vente, le conseil, la formation et le support technique. La réalisation des projets pour les clients est confiée à un réseau de 45 partenaires intégrateurs

dans toute la Suisse. La société Wonderware basée aux Etats Unis et appartenant au Groupe Schneider Electric, est forte de plus de 450 ingénieurs de déve-loppement pour la conception et la pérennité de ses solutions logicielles, garantissant une ex-pertise pointue des besoins des entreprises. Un site de produc-tion sur trois dans le monde a déjà fait confiance aux solutions Wonderware.

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