France Espérance

France Espérance viré du Réseau

Social de Dominique de Villepin.

Nous avons souhaité conserver nos interventions sur le « Réseau

Solidaire » car nos commentaires se voulaient d’abord

rassembleur autour d’un vrai projet en rupture avec la politique

politicienne, que d’ailleurs revendique DDV… la rupture ?

Ainsi nos propos faisaient part de nos constats et tentaient de

souligner la pertinence de nos propositions puisque nous étions

témoins de leur émergence sur « Villepincom » ainsi que de

l’émulation autour de notre « Revenu d’indépendance » rebaptisé

chez eux « Revenu Citoyen », conditionné par un « Service

Citoyen »

Par contre, très peu de volonté à entamer la nécessaire réforme

de la fiscalité. Sans surprise, si la volonté n’est pas de

réellement réformer le Pays.

Voici donc, notre monologue, qui commence par le dernier article

posté sur leur blog (avec ses fautes d’orthographe et autres

inattentions).

18 avril 2011 Dominique de Villepin cherche l'inspiration chez de Gaulle

(Le Point, 18 avril 2011)

par France Espérance il y a un mois

Il ne faut pas oublier que les grandes réformes politiques, pour ne pas dire la refondation que

réclame DVD ne peut pas avoir de soutien politique quand c'est une réforme qui émane de la

volonté du peuple.

Les politiques, pour les grands partis, sont pour la plus part, aux ordres.

Comme le dit DVD si quelque chose doit être entrepris aujourd'hui pour réellement changer

les choses, cela doit émaner d'une énergie du peuple Français, soucieux, de Justice.


Le soutien de DVD, c'est un projet fort, porté par une puissante énergie populaire.

Pour cela comme nous le disons depuis quelques temps maintenant sur Vcom :

Il faut lever les Tabous et éclaircir les idées sur ceux qui même la danse.

A quoi le peuple s'oppose-t-il ? Quelle est cette démocratie dont on nous parle... jusqu'à

l'étranger.

Quelle est cette politique qui nous traîne depuis plus de trente ans derrière elle ? Qui l'articule

?

Justice sociale, fiscale, dignité... une utopie ? N'est-ce pas ce qui devrait tous nous animer...

nous, comme nos gouvernements.

Le projet est-il assez rassembleur ? Il ne suffit pas de le dire... il doit convaincre.

Nous disons aussi que le seul moyen de reprendre un certain contrôle de la souveraineté

populaire pour qu'il n'y en ai pas moins que de souveraineté nationale, ne peut se faire qu'en

réformant la fiscalité. L'argent achète tout, la dette achète tout.

Sachant que la souveraineté des Nations est remise en question par la puissance économique

et financière, il ne faudra pas s'étonner de la voir totalement disparaître. Car tout cela risque

d'arriver si la souveraineté populaire... n'est plus.

14 avril 2011 Présentation du Projet 2012 de République Solidaire par

Dominique de VILLEPIN


C'est très intéressant tout ça.

"C’est la base d‘un nouvel ordre social..."

De toute façon pour mettre en place un Nouvel Ordre Mondial, il faut bien que les sociétés

acceptent un nouvel ordre social, articulé par l'Europe.

Soyons curieux.

Soyons furieux.


Dans ce Pays riche qu'est la France.

Combien de SDF dès demain dans les rues si toutes les aides sociales étaient supprimées

aujourd'hui.

10, 20, 30 millions ?

ça fait froid dans le dos !!


La dignité devrait exister de fait. Nous ne devrions pas avoir, à nous poser la question de sa

légitimité. C'est ça qui rend la chose grave.

La démocratie en tant que contre pouvoir. A-t-elle suffisamment de force pour s'opposer à la

puissance de l'argent.

Pouvons nous imaginer une partie de la population, même pleine de bonne volonté, vider ses

poches, pour tenter de peser financièrement contre une forme de corruption lobbyiste. Et de

tenter ainsi de racheter notre dignité.

Quel chantier !

11 avril 2011 Dominique de Villepin est l’invité de C Politique sur France 5

(10/04/2011)

par France Espérance il y a 2 mois

Et nous irions même plus loin en disant :

Et que cette fois le peuple, dans une souveraineté réelle, fasse le choix d'un projet ambitieux.

Que le monde politique comprenne que ce projet est le seul que le peuple souhaite voir

débattu en profondeur car il lève plus que des inquiétudes quotidiennes, il soulève une

Aspiration légitime.

Que ce projet ne soit confronté à la politique politicienne, que pour mieux l'anéantir, et

restaure de facto la démocratie, la justice fiscale, sociale et la dignité.

Le seul candidat pour la France aujourd'hui est le peuple lui-même, le leader politique prêt à

porter cette démocratie, sera comme lui, jusqu'au boutiste.

Il faut constituer une puissante énergie capable de s'opposer aux forces qui sapent la

souveraineté des peuples et des Nations.

5 avril 2011 Dominique de Villepin pour une "révolution de la dignité"


« Il y a une absolue nécessité de refondation. Je ne vois pas les Français susceptibles de

s’enthousiasmer pour des programmes d’ajustement, qui consistent à répondre à des

catégories ou à des clientèles »

Malheureusement, nous constatons que faire de ce revenu citoyen la mesure phare reste du

clientélisme.

L'absolue nécessité de refondation risque encore de n'être qu'une caricature de transformation.

Il faut appuyer là où ça fait mal.

Il y a l'histoire que l'on donne à manger aux peuples et l'autre Histoire.

Qu'est ce que la Démocratie aujourd'hui, qu'est-ce que la souveraineté, comment résistent-t-

elles, quels sont leurs destins.

Qu'est ce que la République, qu'est ce que la Solidarité. Cette solidarité enthousiasmante n'a

de raison d'être que si de vraies bases solides sont posées. Désignant les erreurs du passés,

celles qui ont fait que la France est dans cette dépression aujourd'hui, désigner ce qu'elle

affronte dans le monde réel et pas celui que distille les médias. Une solidarité et une reconstruction ne peut s'effectuer que sur une ouverture d'esprit plus au

fait des réalités que de la politique politicienne. C'est résister à la poudre aux yeux qui en

période électorale nous est à tous destinée comme quand il se passe quelque chose d'important

dans le monde.

C'est exiger plus que la moyenne. C'est exiger d'un candidat qu'il se dépasse pour atteindre

des objectifs ambitieux. Mais ce n'est pas penser qu'un candidat fait l'affaire ou qu'il est le

moins pire. C'est l'aider à se réaliser.


"La solidarité française existe" et a certainement toujours plus ou moins existé.

Alors pourquoi en 30 ans nous en sommes arrivé là... ouvrons les yeux !

Parce que nous faisions confiance aux discours politiques pré-électoraux, puis confiance en

leurs réformes destinées à nous grandir, puis pour que l'on ne rapetisse pas trop et aujourd'hui

pour que la France que nous aimons de disparaisse pas, absorbée comme les autre Pays par

une Europe dont on connait les liens qu'elle entretien avec la Globalisation, cette

Globalisation dont on connait les vertus.

On nous a surtout répété, comme les paroles d'une mauvaise chanson, que l'Europe, que les

français méfiants on d'abord refusé, est un passage obligé, on nous rappel maintenant que le

Nouvel Ordre Mondial personne ne peut s'y opposer.

Vous pensez réellement que nous faisons encore le choix de la politique que nous voulons

appliquer dans notre Pays... ou que depuis 30 ans nous ne faisons que nous y adapter et que

cette politique se décide ailleurs ?

Ouvrons les yeux !

Nous, France Espérance, sommes conscient que la politique pèse plus lourd aujourd'hui à

l'extérieur, qu'à travers le choix des français, même solidaires.

C'est pour ça que nous insistons sur le fait qu'il s'agit bien plus aujourd'hui d'une bataille, une

résistance, qui doit nous imposer de ne plus prendre ces grandes élections à la légère.

Elles sont le seul moment où l'on peut faire la démonstration d'une solidarité à vouloir refuser

le fatalisme, qui repartirait encore pour cinq ans avec son lot de dépressions. Il faut lui

opposer, sans concession, un projet bouleversant. Bouleversant car il doit gêner nos candidats

aux entournures.

Bouleversant car nous n'attendons pas de nos candidats, une compétition entre candidats, à

qui mieux mieux.

Ce qu'il faut pour 2012 c'est un projet qui s'articule dans un monde connu ou il y a

suffisamment d'inconnus pour ne pas se laisser distraire plus longtemps.

Il ne peut y avoir de candidat aujourd'hui apportant la confiance certaine, d'être celui de la

situation, si loin des élections. Ce sont les idées qui doivent convaincre, c'est le projet,

puissant, car nous avons subit tant d'année d’alternance et de manipulation qu'il y a du retard à

rattraper. La Dette en témoigne... c'est notre dette à tous et celles de nos enfants. C'est

inacceptable !

Tant de mensonges, de déni, de fausses histoires, de petits arrangements, d'oligarchie,

d'affairisme, arrivistes...

France Espérance souhaite pour 2012 que personne ne tombe dans le piège d'une nouvelle

comédie politique. Et pour cela il faut demander des garanties, provoquer, et une fois n'est pas

coutume, aller au fond des choses et lever les tabous.

C'est une bataille ! destinée à faire consensus sur un projet puissant, à la mesure du temps que

nous traversons et de ceux qui remontent l'horloge.

Ensuite le candidat, le prétendant, sera porté par ce projet et donc par une grande partie de la

population... et le projet se fera dans cette énergie de solidarité.

Aujourd’hui Monsieur D. de Villepin ne dit d'ailleurs pas autrement... il sait que les choses

vont bouger et se décanter dans les mois qui viennent.

Nous pouvons faire de 2012, une grande page de l'Histoire de France.

Soyons curieux.

Soyons furieux.


@Jose Gimenez

Effectivement, voilà déjà un point sur lequel on attend encore que s'expriment nos leaders

politiques. Et il y en a bien d'autres sur lesquels ils restent enfermés dans leur mutisme...


@poupoune13

Vos blog sont très intéressants. Ils participent à éclairer le débat et donc vous participez à cet

éclaircissement. Nous les jugeons très instructifs et adaptés pour aider à appréhender de

manière simple la complexité des choses.

Même action, même combat... http://francesperance.eklablog.com/


@mhn

Le revenu d'indépendance, dans le cadre d'un service citoyen, mesures qui font partie de notre

projet, c'est ici tendre vers une justice sociale.

Cependant nous expliquons que rien ne peut se mettre en place sans justice économique et

donc une réforme fiscale majeure.

Que celle-ci ne peut s'articuler sans un retour à une réelle démocratie, mise à mal, et une

souveraineté remise en question...

Si il y a un phare à allumer c'est celui-là.

Toutes nos interventions vont dans le même sens.


Nous dirions.

Et la réforme fiscale nécessaire aura lieu !!!

Sans cela, nous risquons d'abandonner complètement notre Souveraineté, et supprimer de fait,

toutes possibilités de justice sociale.

3 avril 2011 Dominique de Villepin : « Nous sommes confrontés à la crise

des grands partis ».


@poupoune13

Voilà le vrai sujet, qui devrait tous nous préoccuper.

En quelques lignes, le tabou, l'essentiel.

Nous aurions pu traiter votre intervention de conspirationniste, si nous même n'avions pas fait

ces mêmes constats.

Aujourd'hui, nous ne sommes plus dans des théories de complots, fort heureusement.

Les faits sont là, l'information de plus en plus accessible.

Mais tout le monde n'a pas encore pris la mesure des réalités et surtout dans quelles

circonstances nos élus gouvernent notre Pays. Et le peuple de suivre bon grès, mal grès, ces

décisions prisent lors de réunions antidémocratiques.

Maintenant de savoir de quel côté se rangent aujourd'hui les candidats souhaitant représenter

la France et les français.

Car si c'est pour nous servir un nouveau bal "masqué" politique, il y a un risque d'user de

notre patience.

Quels candidats auront le courage d'aborder les tabous ?

Ceux-là se démarqueront...

Soyons curieux.

Soyons furieux.

31 mars 2011 Dominique de Villepin se prépare pour 2012 (LCP,

30/03/2011)


@RG54

"...cela faisait longtemps que nous n'avons pas eu un candidat de cette qualité. Il ne faut plus

se poser de question, le pays s'en ai déjà posé de trop depuis plus de 30 ans..."

Nous pensons que ce n'est pas tout à fait vrai.

Ce qui fait la qualité d'un candidat, c'est d'une part son projet, au plus proche des attentes des

français, et ensuite sa capacité à l'articuler... dans le monde réel. Car il y a un monde réel et

celui -ci n'est pas décrit par les hommes politiques.

Se poser des questions pendant 30 ans n'est pas un mal, nous pourrions dire que ce n'était

peut-être pas les bonnes. La politique et les médias occupant comme il se doit nos esprit

fragiles par d'incohérentes réformes et réformettes, nous regardions tous simplement ailleurs

que dans la bonne direction.

Aujourd'hui les français, les électeurs, s'informent par eux même, de plus en plus, en lisant ici

ou là, en cherchant et partageant l'information. Ils renforcent ainsi leurs doutes sur l’honnêteté

de ceux qui souhaitent les représenter et ses doutes sont parfaitement justifiés, selon nous.

Ils ont donc besoin qu'on évoque avec eux les réalités de cette France qui se transforme, de

cette Europe qui l'absorbe, de ce Monde qui englouti tout.

Car c'est à cette hauteur que les candidats doit s'élever. Au fait des réalités auxquelles nous

sommes confrontés. Sinon tout va encore passer pour des mensonges ou des non dits qui

entament la confiance.

Et nous dirons bientôt que cela fait 35 ans que nous nous posons trop de questions... et

pourquoi pas 40 si c'est pas les bonnes.

Pouvoir d'achat, travail, sécurité... c'est du blabla.

Si on ne réforme pas courageusement la fiscalité, si l'on ne réforme pas le travail et

l'Entreprise, si l'on brade nos services publiques... quelle en est la raison ?????

Les gens ont besoin de vérités... de réalités. Ils constatent ce qui se passe dans les autres Pays,

ils ont les yeux ouverts sur le monde et maintenant, sur ceux qui s'en délectent.

Liberté, Égalité, Fraternité, Démocratie, justice fiscale, justice sociale, solidarité... ça veut dire

quoi de nos jours ? C'est censé suffire pour convaincre l'opinion ?

1% de la population mondiale possède 40% des richesses de notre planète.

50% de la population mondiale vit avec moins de 2 euros pas jours.

Et parmi ceux-là :

- 6 à 8 millions de français vivent avec moins de 750 euros par mois.

combien sont concernés des :

- 28 millions d'actifs environs, et de ceux-là combien de temps pleins, combien sont sûr avec

ce que nous traversons de conserver leur emploi dans les deux ans qui arrivent.

- 15 millions de retraités

- 3 à 8 millions de chômeurs, parce qu'il semble que le nombre soit impossible à connaître.

Combien ont des enfants à charge.

Combien sans les aides sociales aujourd'hui serait des SDF dès demain et envahiraient les rues

sans autre choix possible. Est-ce cela la France... moderne et civilisé, le Pays riche.

Le chantier qui nous attends est vaste, dangereux car il demande de lever des tabous,

audacieux car c'est un élan composé par une volonté des peuples, de retour à la dignité pour

certains et seulement d'y accéder pour d'autres... donc une dignité pour tous.

Soyons curieux.

Soyons furieux.

29 mars 2011 « L’UMP est morte », a lancé Daniel Garrigue, porte-parole

de République solidaire. (AFP, 29/03/2011)


Les médias restent dans un modèle d'élection, de show à l'américaine, où les partis et les

candidats sur médiatisés conservent le gros des projecteurs.

Au-delà de la représentation, des mises en situation, de la star pomponnée et du discours bien

léché... il n'y a rien... que du vide.

Il est temps que les idées reprennent leur place. Il est temps que la vérité reprenne la place aux

apparences.

Ce dont la France a le plus besoin aujourd'hui c'est d'une ligne claire.

D'un projet construit non pas sur du peut faire mieux mais sur de l'ambition.

Ce que nous regrettons aujourd'hui, entre autres choses, dans ce show politique, c'est le

manque d'ambition et le manque de courage.

Pour représenter les plus hautes fonctions de la France, il faut savoir commencer par faire un

bilan courageux, avant d'entamer un projet qui devra l'être bien plus encore.

Pourquoi du courage?

Parce que c'est déjà une qualité qui permettra de se différencier de l'alternance.

Un exemple.

Pourquoi tant d'amertume à l'égard des extrêmes ?

Souvent c'est parce que c'est la télé qui l'a dit.

Alors que nous entendons tous les jours la critique virulente des français sur les gros partis qui

se partagent le pouvoir, les médias ne relais que l'incapacité des uns, mais ça c'est pas un

argument recevable avec ce qui se passe depuis des décennies. Ou de relayer le racisme des

autres et là, il faut encore tempérer car beaucoup d'entre nous savent que le racisme est

ailleurs sous nos yeux et déjà largement pratiqué par ceux qui le montrent du doigt. Et eux

sont au pouvoir.

C'est critiques émanent souvent de ces gros partis, relayées et amplifiées par les médias.

Hors, si on ne peut ne pas être d'accord avec le projet, ou la capacité de ses extrêmes ou des

petits partis à mener la France. Ils sont souvent le miroir d'une population excédée, et relaient

malgré tout cette indignation en posant bien souvent les constats et les questions justes que

tous les autres veulent éviter.

De ne pas s'étonner qu'ensuite à l'approche des élections quand on a fait la sourde oreilles

pendant 5 ans, on vienne un peu puiser chez ceux qu'on montrait du doigt, qu'on disqualifiait,

qu'on tentait d'assassiner politiquement.

Nous devrions oser les tabous, poser les questions qui font mal. Nous interroger sur les

enjeux, les pressions économiques que subit la France le modèle global sur laquelle on veut

l'entraîner, en se foutant pas mal d'entraîner tout un peuple avec elle.

Que nous soyons exposés à des modèles dangereux.. qu'ils soient exposés clairement par le

candidat afin de justifier son action.

A moins qu'il n'y ai aucun danger.

2012 sonnera alors comme une redite, et dans les cinq ans qui suivrons, des voix s'élèveront à

nouveau pour dire qu'on nous a trompé.

Confiance ne doit pas être aveuglement.

Les énergies qui ont été employées à nous cacher ce qui se mettait en place depuis les années

70 sont toujours à l’œuvre. Lorsque France Espérance souligne qu'il faut reprendre la main,

sur le Pouvoir, sur la Démocratie, et que la France à besoin de se "re-formater"... c'est pour

résister à un "formatage" en cours.

Que la voix du candidat s'élève et qu'elle dise au Français qu'aujourd'hui il y a des choses

qu'on ne peut plus cacher, sinon c'est leur mentir.

Les français sont de plus en plus informés par leur propres recherches et il serait

dommageable pour la classe politique toute entière, de feindre trop longtemps et de ne pas le

reconnaître en continuant de produire des discours pour demeurés. Nous rendre demeurés, ils

ont tenté, ça a marché un temps, maintenant ça ne tient plus et c'est cet échec que vit et

traverse le monde politique.

Mais ce n'est pas suffisant pour bouleverser de mauvaises habitudes.

A nous de pousser ce monde politique dans ces retranchement, pour élever enfin un candidat,

qui sera cette fois à la hauteur de nos espérance, de notre volonté de progrès économique et

social, légitime.

Soyons curieux.

Soyons furieux.


Le clash de l'UMP c'est avant tout l'action de jeunes loups aux dents longues qui complpotent

dans leur propre camp.

Conscients de ne pourvoir se présenter en 2012 et ne pouvant que se préparer pour 2017, ils

sont prêts à fusiller leur propre famille politique.

Si la droite faisait un quinquennat de plus, elle serait sûre d'être éjectée en 2017. Donc pour ne

pas prendre se risque , ils encouragent l'alternance.

C'est une quête de Pouvoir qui n'a rien à voir avec une ambition politique soucieuse des

français. Mais quels stratèges !!

28 mars 2011 Dominique de Villepin: Cantonales 2011: "un avertissement"

à l'UMP


"Avec Dominique De Villepin : tout peut changer !"...

... ou pas!

Nous se qui nous inquiète, c'est la négation de la souveraineté des Pays, leur anéantissement

programmé.

Tout le reste n'est qu'effet secondaire qui devrait nous alerter si nous étions alerte.

La privatisation du système public est un projet global, c'est comme ça qu'on digère une

Nation.

Les aides sociales et minimas sociaux, pour que les plus démunis puissent rester la tête hors

de l'eau, servent à soutenir essentiellement la consommation sans volonté de réformer, ni la

fiscalité pour les financer, ni le travail qui doit être au cœur d'une explication sur ces

mutations. Car ne pas expliquer ce qu'est le "travail" aujourd'hui, c'est nier la place qu'il

tiendra demain. Il n'est plus le moteur économique, celui-ci est mort avec le siècle dernier.

Ces dénis de réalité qu'on ne doit plus confondre avec des omissions, ne sont-ils pas, en fait,

des mensonges ?

Nous soutenons donc les abstentionnistes, n'en déplaise c'est un choix politique.

Les gens montrent qu'ils ont encore "Une certaine idée de la France" et ne veulent plus de

cette France sans idée.


Merci poupoune13, pour cet écho plein de lucidité.

28 mars 2011 Cantonales 2011: l'abstention grande vainqueur


"Une abstention record"

Cette abstention attend d'un projet, qu'il dépasse tout les clivages politiques.

Il s'agit d'une refonte totale de la Nation. Et sur le chemin qui nous même à 2012, le débat

devra être éclairé, sans tabou et à la portée de tous. Il devra prendre en considération le fait

que la population se sent mis à l'écart des réalités, abandonnée. Il faut tenir un discourt en

rupture du système actuel pour combattre le système actuel. Ce qui rassemblera les gens, ce

sont les forces de la réalité.

26 mars 2011 Dominique de Villepin, "Hors du cadre de l'OTAN, l'action

de la France en Libye serait mieux perçue".


Comme anti-Khadafi, nous avons Sarkozy... au nom de la France.

Comme pro-khadafi, le même, au nom du nucléaire ou de ceux qui en font profession... et au

nom de la France, j'ai failli l'oublier.

2007 "Sarkozy, Khadafi, l’uranium et le Niger"

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/sarkozy-kadhafi-l-uranium-et-le-27610

et de lire aussi dans cet article un peu de notre Histoire stratégique.

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"Tout remonte au 24 avril 1961, un an après les indépendances de nombreux pays

francophones d’Afrique subsaharienne. A Paris, quatre hommes signent un accord de défense.

Il s’agit de Michel Debré (qui représente la République française), de Félix Houphouët-

Boigny (président de la Côte-d’Ivoire), de Hubert Maga (président du Bénin, alors appelé

Dahomey) et de Hamani Diori (président de la République du Niger). En annexe de cet

accord, quelques phrases d’une importance capitale.

« Afin de garantir leurs intérêts mutuels en matière de Défense, les parties contractantes

décident de coopérer dans le domaine des matériaux de Défense dans les conditions définies

ci-après :

Article 1 : Les matières premières et produits classés stratégiques comprennent :

- Première catégorie : les hydrocarbures liquides ou gazeux ;

- Deuxième catégorie : l’uranium, le thorium, le lithium, le béryllium, leurs minerais et

composés.

Cette liste pourra être modifiée d’un commun accord, compte tenu des circonstances.

Article 2 : La République française informe régulièrement la République de Côte-d’Ivoire, la

République du Dahomey et la République du Niger de la politique qu’elle est appelée à suivre

en ce qui concerne les matières premières et produits stratégiques, compte tenu des besoins

généraux de la Défense, de l’évolution des ressources et la situation du marché mondial.

Article 3 : La République de Côte-d’Ivoire, la République du Dahomey et la République du

Niger informent la République française de la politique qu’elles sont appelées à suivre en ce

qui concerne les matières premières et produits stratégiques et des mesures qu’elles se

proposent de prendre pour l’exécution de cette politique.

Article 4 : La République française est tenue informée des programmes et projets concernant

l’exportation hors du territoire de la République de Côte-d’Ivoire, de la République du

Dahomey et de la République du Niger des matières premières et des produits stratégiques de

deuxième catégorie énumérés à l’article premier.

En ce qui concerne ces mêmes matières et produits, la République de Côte-d’Ivoire, la

République du Dahomey et de la République du Niger, pour les besoins de la Défense,

réservent par priorité leur vente à la République française après satisfaction des besoins de

leur consommation intérieure, et s’approvisionnent par priorité auprès d’elle. »

Selon ce texte, avant de décider de quoi que ce soit dès qu’il s’agit d’exploitation du pétrole,

du gaz, de l’uranium et d’autres matières premières stratégiques, ces trois pays africains

doivent informer l’ancien colonisateur, à qui ils réservent par priorité les ressources de leur

sous-sol."

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Ce que l'on sait sur ce dossier, qui se joue de la vie des populations... c'est que l'on ne sait

rien. Sauf que nous sommes à l'Aube de l'Odyssée. Ce qui ne veut rien dire et... tout à la fois.

Méfiance.


Le dessous des Cartes : ou deux faces d'une même médaille.

http://www.villepincom.net/videos/view/zeitgeist---assassin-conomique_17037.html


@AGNES

A vous lire, vous m'avez l'air réellement blasée.

"La Hauteur est de rigueur. Il y a suffisemment à critiquer politiquement (retraites, éducation,

sécurité sécuritaire,absence de vision...)"

Je pense que nous devrions tous faire l'effort de l'impolitiquement correct.

Où en est notre démocratie, quelle nébuleuse tire les ficelles de nos marionnettes politiques,

pouvons nous espérer réellement quelque chose de 2012 ou est-ce que ça va être encore un

écran de fumée pour cacher des décisions prises ailleurs. Quel est pour le coup la légitimité

réelle des candidats à nous représenter. J'en passe et des meilleures.


@Jose Jimenez

"En tous les cas que NS baisse a nouveau son froc au détriment de nos intérêts".

Et de se demander si quelqu'un peut encore... ne pas le baisser.

Obama le baisse aussi quand ces patrons le lui demande.

Il ne peut en être autrement et c'est à ça qu'il faut réfléchir. Résister ou pas.


France Espérance aurait pu s’appeler Espagne Espérance, Allemagne Espérance.

Notre action traverse tout les clivages politiques car elle est animée par une prise de

conscience issue d'une longue réflexion. Nous constatons qu'une résistance à ce monde

globalisé est en marche. Elle se diffuse... et c'est pour cela que nous signons "Soyons curieux.

Soyons Furieux"

Ce qui est en route à nos dépend est issu d'une longue construction. Mais nous croyons que le

sursaut va venir. Nous l'espérons.

23 mars 2011 Dominique de Villepin : "l'UMP est déboussolée, (...) une

digue a sauté" - RMC/BFM ce 23 mars.


posté le 17 mars

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Nous étions déjà d'accord avec le projet de "Revenu Citoyen" qui ressemble à notre

proposition de "Revenu d'Indépendance".

Nous sommes évidemment d'accord en partie avec le projet de "Service Citoyen" qui dans

notre proposition encadre l'accès de ce "Revenu".

Encore un effort M. de Villepin engagez-vous sur la révolution fiscale nécessaire à la

réalisation de ce progrès social et économique.

Et nous aurons l'impression que vous lisez dans nos pensées.

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Et donc d'évoquer maintenant la réforme fiscale.

http://www.villepincom.net/members/profile/12336

De parler des associations.

On y vient mais ce n'est pas encore très clair.

@RG - France Espérance de gauche ?

France Espérance se détache des clivages politiques... gauche, droite, on est plus à l'armée.

Lorsque l'on accroche un tableau au mur, on voit qu'il est en équilibre lorsqu'il ne penche plus

ni à gauche, ni à droite.

Nous sommes pour une justice fiscale au service d'une justice sociale.

Modérée ?

Radicale.

Ce qui nous a plus chez RS se sont les idées. Pas leur articulation encore très floue mais les

idées, généreuses, en rupture, voir transgressives par rapport aux politiques menées et

soutenues depuis des dizaines d'années.

Il était temps d'agir.

Il est temps de consolider cette action.

http://www.villepincom.net/videos/view/lide-force_17010.html


Il faut sortir de notre fiscalité archaïque.

Le 1% est l'exemple d'une taxe qui s'inspire de la taxe TOBIN, déclinée en TAMF, puis

déclinée encore en "débit taxe" ou "cyber taxe". Des propositions d'économistes ayant

commis des ouvrages en rupture avec les systèmes alors en places, pour les simplifier, les

rendre plus juste.

Il ne s'agit pas de créer une taxe ou un impôt supplémentaire.

Le chantier consiste bel et bien, à simplifier grâce aux outils qui existent, le contrôle et le

prélèvement de l'impôt mais aussi celui de toutes les autres taxes.

Dans le modèle actuel, on déshabille Paul pour habiller Jacques. Hors souvent, le montant

contracté par les taxes n'arrivent même pas jusqu'à sa destination initialement prévue.

Aujourd'hui il comble les intérêt de la dette. Pas la dette. Les intérêts.

Quand nous disions qu'une réforme fiscale majeure est nécessaire.

C'est parce qu'il y a des moyens de simplifier le système de prélèvement tout en le rendant

plus juste, pour l'entreprise et les salariés comme pour toute la population qui doit participer à

l'effort fiscal.

Que si cela n'a pas était fait jusqu'ici... c'est par des choix politiques sur lesquels ont très peu

pesé les désirs des Français.

Mais il faudra que ça change... à un moment ça va changer.

22 mars 2011 Dominique de Villepin appelle au "vote républicain" contre le

FN (RTL, 22/03/2011)


Face à cette politique politicienne, France Espérance n’est certainement qu’un moucheron

dans toutes ces idées qui s’agitent.

Mais c’est notre bzzzzzzzz. Une légitimité de constats, de colère.

Les politiques successives n’ont eu de cesse que de désarticuler le pays. En organisant une

pression sociale et économique.

Mais n’était-ce pas un objectif ?

Lorsque la population n’est préoccupée que par son quotidien et donc enfermée dans celui-ci,

il n’y a plus d’émulation à se projeter dans l’avenir, ni a projeter son Pays dans l’avenir. Nous

vérifions ça tous les jours autour de nous.

D’entendre dire que les gens vont voter par devoir en n’attendant plus rien de nos élites, c’est

un coup de massue. Certains ne se déplacent même plus jusqu’aux urnes par défaitisme. On

nous répète souvent qu’il faut voter car il n’y a que comme ça que les choses peuvent

changer. Et lorsque que l’on entend que c’est pour faire barrage aux extrêmes, n’est-ce pas

plutôt pour que rien ne change.

« Créer c’est résister, résister c’est créer.»

Soyons curieux, soyons furieux.

C’est nous rappeler que notre principal devoir aujourd’hui et de retrouver une conscience

politique qui est la seule opposition possible au dévoiement des élites. Que pour cela il ne faut

pas craindre de discuter ouvertement des enjeux d’une Globalisation qui ne peut se mettre en

place que par l‘anéantissement des nations, leur réforme, leur uniformisation. Car ses intérêts

puissants ont pris le pas sur nos politiques internes.

Que cette Globalisation c’est une course de la Technologie pour l’Economie et inversement,

une alchimie mise en place au détriment des peuples que l’on consume pour la nourrir.

Qu’au sortir de la guerre, après tant de malheurs et de manques. Tout le monde était content

de voir les choses s’accélérer, de combler leurs besoins, de permettre à chacun de moderniser

son existence. Que le bénéfice risque de cette évolution technologique et donc économique

même mal mesuré semblait acceptable.

C’est l’emballement sans éthique, aussi appelé consumérisme, qui pose problème aujourd’hui.

Qui l’articule ? Avec quelle complicité… après la nôtre ?

Nous sommes dans un engrenage qui nous pousse à accepter notre condition et

paradoxalement à tenter d’y trouver une échappatoire.

Ce qui inquiète les gens, c’est de constater que c’est cette dépendance qui nourrit les décisions

politiques. Que nous avons abandonné tous sens autocritique, comme des drogués, et sommes

incapables de porter des jugements constructifs sur nos choix de société. Nous sommes entrés

dans un jeu qui tente d’imposer des règles uniques retirant tout libre arbitre aux Nations.

Nous sommes préoccupés, encore une fois, par des choix qui nous garantissent que le

quotidien ne sera pas trop bouleverser. Et nous déléguons pour cela toute notre capacité

d’analyse et d’action à ceux que nous mettons au pouvoir. Hors cette analyse et cette action ne

nous sert pas, elle nous rend tous les jours un peu plus invisible, accessoire.

D’entendre : « Je sais ce que veulent les Français, c’est du pouvoir d’achat, du travail, de la

sécurité. » C’est surtout entendre avec quelle suffisance nous sommes représentés. Ce que

veulent les français va en réalité bien au-delà. C’est récupérer leur capacité d’apprécier la

situation en étant éclairé par leurs dirigeants et les médias. D’être les acteurs privilégiés d’une

Nation qui si elle doit se remettre en question, se transformer, ne doit pas l’être que par le

pouvoir des affaires.

Résister c’est s’opposer à… toutes les dictatures.

Et créer doit être le moyen de se doter d’outils permettant de réformer et d’articuler notre

politique afin d’en reprendre le contrôle.

Il faut nous réunir sur des objectifs qui dépassent les clivages politiques affairistes de ces 30

dernières années, car ces clivages ont désintégrés la France, pour l’Europe, pour la

Mondialisation. Que ces objectifs soient une exigence d’une majorité réelle du peuple français

et pas 20% de 40%. Que cette exigence, cette réforme majeure, soit portée jusqu’au sommet

de l’état par un candidat qui ne nous cache pas que ce sommet subit des pressions, des

inflexions, décidées sur le toit du monde. Que c’est une bataille, qu’il en est conscient, qu’il

est conscient que nous en sommes conscients.

Ce qui nous entrave au-delà des mensonges politiques. C’est principalement l’économie qui

affecte le fonctionnement des nations, des entreprises et obligatoirement du social. La

première grande réforme doit donc être le retour à une démocratie réelle pour imposer une

révolution fiscale qui doit assainir la situation de la France et des français. Dans le même

temps, de se doter d’un projet ambitieux concernant la réforme du travail et de l’entreprise, du

monde associatif et du social.

Soyons curieux.

Soyons furieux.

20 mars 2011 Cantonales 2011: abstention record et poussée du Front

national


@né-gauliste,

"...nouvelle ère de résistance..."

Attention ! les mots et les idées peuvent être puissants. Mais nous concernant, ils sont bien

choisis.

Nous sommes animés depuis longtemps par cette esprit de résistance, celle-ci éclaire nos

constats, nourrit notre réflexion, nous oblige à imaginer des propositions de contre pouvoir, de

droits, de devoirs et de justice.

"Résister c'est créer, créer c'est résister."

Soyons curieux.

Soyons furieux.

18 mars 2011 Libye résolution 1973 : communiqué de Dominique de

Villepin


@faura,

voilà le genre de commentaire que nous prenons plaisir à lire.

Tout le monde ne dort pas donc. Ouf !!!

Merci faura.

Rien à ajouter.


Donc on a un cessé le feu pour la centrale nucléaire au Japon, un tsunami qui va être jugé par

la Cour Pénale Internationale pour crime contre l'humanité et la France qui envoie une aide en

Libye suite au tremblement de terre qui a secoué violemment le Pays.

Vous trouvez que tout ceci n'a aucun sens.

Pourtant il y en a autant que ce que l'on veut bien nous laisser comprendre des évènements.

C'est un débat sans fond.

http://www.villepincom.net/members/profile/12336

Vous pensez bien que nous ne sommes pas conviés aux tenants et aux aboutissants réels de

tels évènements.

Nous émettons des hypothèses, est-ce que oui, est-ce que non, et si c'était plutôt ça...

Ce qui se passe n'a rien à voir avec la volonté de libérer des peuples ou de les soutenir après

une grave catastrophe.

Il s'agit de profiter de la faiblesse d'un Pays fragiliser pour l'assimiler et de casser les derniers

pays (désignés comme des dictatures) réfractaires à la Mondialisation (aux Maîtres de la

Finance désignés comme démocratiques). Vous verrez la suite, tout va s'accélérer.

A moins que ce ne soit des dictatures réfractaires à une autre dictature...

A moins que...

A ...

Soyons curieux.

Soyons furieux.


@Mohamed_B

Très bonne intervention.

A qui profite le crime ?

Aux faiseurs de Démocratie. Ceux qui viennent en sauveur pour finir d'assimiler ce qu'il reste

du Monde, les poches de résistances.

Oui, peut-être des dictatures, mais qui voient bien arriver celle, l'autre, la dominante, qui veut

les bouffer. Quand on sera tous dans cette démocratie, qu'il y aura une monnaie commune et

qu'on priera tous leur nouvelle et unique religion, il pourront se révéler au grand jour. Pour

l'instant on regarde les Gouvernements s'agiter, c'est beau, ça fait de l'effet.

Soutenir la démocratie et la paix... pff !

Désolé, j'ai jamais connu un tel régime.

Soyons curieux.

Soyons furieux.


Une réflexion détaillée de la situation ne doit pas écartée une réflexion globale.

Les deux sont étroitement liées. Si l'on parle de dictatures, il faut parler de toutes les

dictatures sans se cacher derrière son petit doigt. Si l'on parle d'actions à mener pour les unes,

il faut parler de toutes les actions à mener concernant les autres.

Dominique de Villepin propose un projet pour la France. Tout le monde souhaite un vrai

projet pour la France, ambitieux et incisif, pour créer ou restaurer ce que de droit.

Mais dans quelle mesure ce projet a-t-il une chance de dépasser le stade de projet.

Nos politiques, ont-ils encore seulement la possibilité et donc le souhait de mettre en place de

grandes réformes. J'en doute.

Ils ne peuvent rien si les idées ne sont pas portées par un peuple déterminé à les faire

appliquer.

Je le répète, les forces qui agissent, se placent au dessus de la souveraineté des peuples.

Comment? Pourquoi?

C'est le rôle premier de nos hommes politiques et des médias qui devraient faire devoir de

nous en informer.

Pourquoi n'est-ce pas le cas?

Parce qu'un autre projet ambitieux de globalisation économique est en marche, que celui-ci

passe par l'uniformisation des peuples et que rien ne doit entamer sa progression. Réformer un

Pays par la base à travers ses représentants politiques ne fonctionne plus dans la pratique

depuis des décennies.

Si nous estimons que les idées de Dominique de Villepin méritent notre attention, c'est

qu'elles répondent à des angoissent, des prises de conscience sur l'évolution de la société et du

Monde.

Mais un candidat, tel qu'il soit, ne pèsera rien une fois de plus dans la balance contre les

forces actuelles. Il faut qu'il soit porté lui-même par une force, une énergie considérable,

venant du peuple conscient de ce à quoi il s'oppose.

Ou pas...

Soyons curieux.

Soyons furieux.


@Jose Jimenez,

"Il faudrait un peu prendre nos responsabilités." qui? où? quand? comment?

"Laisser et regarder des peuples se faire massacrer, on l'avait déjà fait...." les intérêts restent

supérieurs à la tactique employée. Si regarder c'est mieux... on regarde... au non de la France.

Si faire la guerre c'est mieux... allons-y, au nom de la France.

Les français devrait avoir plus que le droit de se demander ou de constater ce que l'on fait au

nom de la France. Nous débattons... mais les décisions sont prises. Non?


@mhn

"Quand les chefs d'état de toutes les nations du monde (le plus grand nombre possible) se

réunissent pour se concerter (c'est très difficile, il est vrai) pensez-vous que c'est encore la

globalisation qui est à l’œuvre ?"

Quand une administration décide d'une action, elle réunit ses fonctionnaires.

17 mars 2011 Dominique de Villepin: "On sous-estime la souffrance des

Français" (Nice Matin, 17/03/2011)


"On sous-estime la souffrance des français."

Il ne suffit pas d’énoncer, il faut dénoncer... qui les fait souffrir ?


Nous étions déjà d'accord avec le projet de "Revenu Citoyen" qui ressemble à notre

proposition de "Revenu d'Indépendance".

Nous sommes évidemment d'accord en partie avec le projet de "Service Citoyen" qui dans

notre proposition encadre l'accès de ce "Revenu".

Encore un effort M. de Villepin engagez-vous sur la révolution fiscale nécessaire à la

réalisation de ce progrès social et économique.

Et nous aurons l'impression que vous lisez dans nos pensées.


Ce qui est incroyable... c'est d'avoir cette impression que quand il se passe quelque chose dans

le monde. C'est comme ci ça se passait dans notre jardin. Pour ce qui en ont un bien sûr, pour

les autres y a la télévision.

Ce qui se passe chez nous, après les cantonales, c'est les présidentielles. Nous nous laissons

disperser, comme d'habitude, avec une incroyable insolence.

Ici d'affirmer ce que nous attendons de cet enjeu présidentiel et plus précisément au-delà, de

l'avenir de la France. Nous avons nos propres tremblement de terre, nos propres tsunamis, nos

propres révoltes et celles-ci passent pratiquement inaperçues.

Que la France se mêle des révoltes arabes et du tremblement de terre du Japon tombe sous le

sens. La France doit fournir une aide physique est morale lorsque cela est nécessaire.

Mais il est grand temps de se recentrer sur ce que nous voulons que soit la France.

Y en a marre que des organisations mondiales parlent au nom des peuples.

D'entendre dire trop souvent "Ici je parle au nom de la France". Non!

On parle au nom du souhait des français, sinon c'est trop facile.

Comment ne sommes nous pas consultés avant de prendre des décisions qui engagent

effectivement la France, pour proposer une aide ou s'engager dans un conflit.

Et il est temps de s’immiscer un peu plus dans les Affaires qui rongent notre Pays. De

reprendre le chemin d'une démocratie qui doit s'opposer au totalitarisme de la finance.

De choisir les grandes réformes prioritaires qui doivent animer le débat.

"Nous savons ce que veulent les français"

"Les français sont préoccupés par le pouvoir d'achat et le travail"

Non messieurs. Ces préoccupations sont inscrites depuis trente ans dans l'esprit des français.

et rien ne change.

Aujourd'hui la préoccupation des français, c'est la vérité contre le déni des réalités, c'est de

savoir comment articuler le changement... l'imposer.

C'est poser les bases d'un projet ambitieux et de le mener à son terme, contre vents et marées,

tremblements de terre et tsunamis, dictature financière et complicité des gouvernements qui

trompent leur population.

Soyons curieux.

Soyons furieux.

17 mars 2011 Selon le député Jean-Pierre Grand, « il y a une lépenisation

au sommet de l'Etat »


Nous restons les victimes de forces qui nous dépassent.

Il y a des outils mis en place dans le seul objectif et de désintégrer la cohésion des

populations. Ces outils sont exercés dans beaucoup de démocraties.

L'un d'entre eux est la mixité, une mixité de façade que l'on défend par le potentiel qu'on les

peuples de s'enrichir mutuellement. On pourrait croire, et c'est fait pour, qu'effectivement le

vivre ensemble permet d'échanger des valeurs, des opinions, des sentiments positifs et

d'étoffer notre culture.

Que c'est un choix, encore fois, de la population toute entière.

Mais la mixité c'est d'abord une immigration réclamée et imposée à nos gouvernements

successifs, par le grand patronat, pour obtenir une main d’œuvre bon marché.

Elle permettait de mettre en concurrence le travailleur français et l'immigré afin de geler les

salaires. Derrière cette première mesure, cette première attaque contre le peuple qui consiste à

le faire plier et c'est déjà inacceptable, s'en cache une autre, c'est la volonté zéro d'intégrer

cette immigration.

Au contraire, l'exploitation de cette population, passe par une non reconnaissance de leur

attribuer un statut, un salaire convenable, de les loger dans des taudis ou on leur extorque un

loyer prohibitif, où on les met en concurrence entre eux en nourrissant le travail illégal, où on

les traite comme des chiens.

Le vrai racisme, c'est ça.

Mais c'est une attaque en règle contre toute la population et pas seulement celle issue de

l'immigration.

Il y a une intention de créer des inégalités sociales fortes pour désintégrer le social. L'individu

se retranche alors derrière ce qui le rassure, sa communauté, son terroir, son pays d'origine, sa

religion, ses valeurs propres. Ces moyens de défenses qui nourrissent les distensions...

deviennent plus agressif et se transforment en moyens d'attaques. Émergent des actes isolés de

violence, ces actes renforcent le communautarisme et l'effet de bande se généralisent

instaurant un climat d'insécurité... voulu.

Ce qu'il faut comprendre c'est qu'effectivement, comme le dit très bien Mohamed_B, le raciste

est un homme qui se trompe de colère. Stigmatiser l'autre est le produit de cette manipulation

qui empêche de révéler les vrais coupables.

Que se soit au États-Unis, en Angleterre comme en France, ces outils aiguisés ont largement

prouvé leur efficience.

C'est briser une cohésion nationale, pour la soumettre à une entité extérieure globalisante,

uniformisante, d'une incroyable perversité. Et nous pesons nos mots... nos maux.

Soyons curieux

Soyons furieux.

17 mars 2011 Baromètre Paris-Match : Dominique de Villepin progresse de

3 points


Une progression de 3 points... houa !

Sérieusement... faut pas s'emballer. C'est la progression des idées qui compte.

Savoir dans quelle mesure elles sont applicable ou se qu'il faut faire pour qu'elles le soient,

sinon l'espoir va tourner à la douche froide.

16 mars 2011 Revenu universel garanti – Le retour d’une vieille idée pour

tous ceux qui ne retrouveront jamais d’emploi- Le Nouvel Economiste


Tout est dans le titre.

Mais si on reprend le thème du revenu citoyen, il faut aller jusqu'au bout, du bout, du bout.

Dire pourquoi il est nécessaire.

Comment il sera financé.

Comment il sera encadrer.

Pourquoi sans une refonte totale de la fiscalité tout cela n'a aucune chance de voir le jour.

Ces propositions animent France Espérance depuis plusieurs années.

Mais ce n'est pas les propositions qui comptent... c'est leur articulation.

Sommes nous dans une société qui laisse une place véritable à la démocratie ?

Non.

Quand de talentueux économistes ont prouvés par A+B les défaillances de nos systèmes

fiscaux, toutes démocraties confondues, ils ont été marginalisés.

Quand ils ont proposé de nouveaux systèmes de prélèvements, plus simples, plus efficaces,

plus justes, l'information faisait l'objet d'un camouflage organisé.

Quand ils on tenté de nous interpeler sur des fatalités comme la disparition programmée du

travail... on nous annonce investir des millions d'euros pour créer de l'emploi, qui n'existera

pas.

Combien de gens en France POSSEDE un travail à temps plein avec l'assurance de le

conserver dans les cinq années qui viennent.

Combien de gens touchent des aides sociales pour survivre.

Si elle leur étaient retirées, de combien viendrait-il gonfler le nombre de SDF le mois

prochain. Et il s'agit de la France, ce Pays émergé.

Qui se gave, et qui se saigne, et comment peut-on supporter la mise en évidence des dernières

dictatures, sans être capable d'analyser froidement notre impuissance à l'auto-critique.

Conditionnés ? Certainement. Les gens autour de mois ne se plaignent plus de leur condition.

Ils apprennent fatalement à l'accepter.

France espérance aurait pu se résoudre également à une forme de fatalité mais reste persuadée

qu'un éveil, un élan va nous sortir bientôt de notre torpeur. La créativité.

Et donc, on attend.

Soyons curieux.

Soyons furieux.


Non... le totalitarisme, c'est que nous vivons depuis des dizaines d'années sous couvert de

démocratie.

Mais de dire que l'on tend vers ça c'est déjà reconnaître que ce genre de contrôle n'a rien

d'Utopique, que c'est un possible.

Il n'y plus qu'à se convaincre qu'on baigne dedans depuis trop longtemps et qu'il faut que ça

cesse.

Merci Yannick.

16 mars 2011 Nucléaire : Dominique de Villepin au Club de l’Europe

(Bruxelles)


Un premier bilan énergétique pour la France à développer :

La France a fait le choix du nucléaire. Encore une fois... Non!

C'est un choix lobbyiste d'investisseur financier. La complexité du nucléaire permet de

s'approprier une dépendance énergétique, quand d'autres techniques auraient pu se

démocratiser pleinement. Et d'y mettre un compteur.

Lorsqu’il a était décidé de construire les premières centrales dont on connaissait la durée de

vie limitée, le projet accepté sois-disant par nous tous... ne contenait aucun procédé de

démantèlement et de traitement des déchets. Le pari était fais sur l'avenir que l'on trouverait

des solutions... propres. En même temps les publicités vantaient la modernité, l'électronique,

le tout électrique. Il n'y a plus qu'à construire des barres d’immeubles où le chauffage sera

électrique en veillant bien à ne pas faire de murs trop isolés. Puis quoi encore.

Ici rien d'écolo... juste du bon sens. L'argent n'a pas besoin de morale.

58 sites de productions et 1100 sites de stockages.

L’électricité d’origine nucléaire représente 78 % de la consommation électrique des français.

Mais seulement 17 % de la consommation finale d’énergie française (pétrole, gaz, etc).

Et cela fait de nous le pays le plus nucléarisé au monde.

Si nous avions développé l'éolien et le photovoltaïque par exemple, dès les années 50, avec

une recherche pertinente dans l'amélioration de la transformation énergétique.

Que nous avions œuvré pour limiter l'impact de production et surtout optimisé les capacités de

stockage de l'électricité.

Le tout accompagné de la nécessité de construire ou rénover en prenant en compte l'isolation

de l'habitat assorti d'une politique de consommation raisonnée des appareils électriques.

Nous serions encore en train d'encenser notre gouvernement au volant de notre vieille voiture

électrique qui fonctionne encore.

Mais nous français nous n'avons pas fait ce choix stupide. On a fait le choix du nucléaire.

Et rien d'écologiste ou pas à tout ça.

C'est juste qu'en France on préfère tout payer trop cher.


Dans un monde globalisé, on ne cultive pas l'indépendance mais l'interdépendance.

Il nous appartient de faire des choix qui vont au-delà des considérations économiques,

souvent très inégalitaires et exploitant la misère créative, la négation des potentiels et de

l’expérience.


Merci poupoune13 pour ces précieuses informations.

15 mars 2011 Dominique de Villepin dénonce un déni du gouvernement sur

le nucléaire (France 2, 15/03/2011)


...nous ne pouvons pas ignorer ce qui vient de se passer au Japon...

Non on ne peut pas. Et le gouvernement l'a bien compris. Comment médiatiquement occuper

le terrain pour entretenir le déni des réalités qui concernent la France. En se moment se joue la

réforme fiscale et ce qui s'annonce ne va pas nous plaire. Les incompétences sont au service

d'une politique de sabotage de l'économie et du social avant toute chose.


Nous avons fait le choix du nucléaire...

Pas du tout !

Le choix a été fait pour nous.

Il était clair que proposer une énergie centralisée sur laquelle il était possible de placer un

compteur, il n'en fallait pas moins pour trouver des investisseurs.

Avec la politique du tout électrique avant celle de l'isolation... le rêve devenu réalité.

Où en serions nous si nous avions fait le choix dans les années 50 de tout miser sur les

énergies alternatives.

Un investissement public massif dans la recherche aurait pu démocratiser une transformation

d'énergie comme celle issue du photovoltaïque. Elle aurait pu participer à créer une autonomie

électrique citoyenne, au moins la journée, par la coopération à travers le réseau du surplus de

puissance obtenu sur chacun des sites. Il aurait été louable de développer parallèlement des

solutions de productions nocturnes et de stockage.

Si les véhicules électriques semblent avoir le vent en poupe, c'est que le pari est fait qu'ils

fonctionneront sur l'énergie issue du nucléaire. Le compteur... les taxes.


C'est bien ce que je dis... c'est un choix.

Si nous avions parié sur la recherche photovoltaïque dans les années 50, les panneaux solaires

que la NASA utilise pour ses satellites seraient dans le commerce. La transformation d'énergie

des panneaux actuels est de l'ordre de 20 à 30% pour ceux de qualité, contre 70 à 80% pour

ceux issus de la haute technologie... non démocratisés.

Quand même... il faut ouvrir les yeux. Pensez-vous que les énergies alternatives

s’appelleraient comme ça si elle ne cherchaient pas à s'opposer à un dictat. Elle sont souvent

conçues par des passionnés, qualifiés, compétents et humanistes, que l'on a vite fait de réduire

au silence en rachetant les brevets pour les oublier au fond d'un tiroir.

Reprenez la grande histoire des inventions.

Reprenez l'histoire du moteur par exemple. Un moteur thermique c'est 80% d'énergie

dispersée en chaleur pour 20% de puissance. Le moteur électrique c'est quasiment l'inverse

pour une puissance immédiate et non graduelle.

Le choix des ampoules à filaments à lui aussi été, en son temps, inspiré par sa consommation

gourmande en électricité et sa fréquence de renouvellement. Et là c'est plus de 90% d'énergie

transformée en chaleur pour moins de 10% en lumière.

Il faut arrêter de dormir. On nous bourre de somnifères.


Encore fois vous allez dans mon sens quand vous parlez de conditionnement.

Et je maintien que nous sommes conditionnés pour accepter la décision du tout nucléaire.

Le photovoltaïque est issu d'une invention datant de 1839, perfectionné dans les années 1920,

suivit d'une tentative de mise sur le marché dans les années 50.

Mais nos jeunes esprit de l'époque n'ont pas vu la portée d'un tel procédé plus propre que

l'atome et le pétrole.

Nous nous sommes fait manipuler par des objectifs de rentabilité qui ont imposés un choix

énergétique.

L'éolien existe depuis qu'il a paru évident qu'il était possible de connecter un générateur

électrique au moulin du meunier comme à la roue à eau.

Je sens bien que pour vous comme pour d'autres, il y a une volonté et une fierté de conserver

ce que la France à su créer de plus puissant sur son territoire mal-grès tout.

Reconnaissez quand même que sur le plan des déchets on fait un sacré cadeau aux futures

générations. Même si des études permettent aujourd'hui d'entrevoir la conception de bactéries

capable de nourrir de ces déchets radioactifs.

10 mars 2011 L Etat régalien en péril


entièrement d'accord avec vous poupoune13,

ce qui compte aujourd'hui c'est de prendre conscience de certaines choses.

La globalisation c'est la désintégration des Nations. Ce que l'on appel encore Démocratie

aujourd'hui et en fait l'acceptation de l’abandon de la souveraineté des peuples et

Gouvernements au profit d'une puissance extérieure financière.

Elle contrôle le monde économique par la mise en place de la dérégulation et de la

libéralisation des marchés. Paradoxe, tout cela n'a pour but que d'obliger cette économie à

accepter une autorité unique.

"La main qui prête l'argent (dette) et toujours au dessus de celle qui reçoit. C'est donc elle qui

dirige." www.youtube.com/francesperance1

Il faut rentrer en résistance.


"Je ne veux causer de la peine à personne et vivre en plaisant à chacun, pour n'être privé de

rien. Qu'ils fassent bien ou mal, je garderais toujours bien ma langue, pour ne pas mettre en

danger mon existence."

Voilà en quelques mots, à quoi ressemblent notre engagement politique et l’état de notre

actuelle démocratie.

Le média de masse, la télévision, c’est très bien. Car il permet de regarder beaucoup plus tard,

ce que l’on a loupé sur Internet.

Car les choses sont ainsi, il y a ce que l’on nous donne à comprendre et ce que nous pouvons

chercher à comprendre, par nous même.

Bidouiller sur des mesures démagogiques et populaires ; nous ne savons plus rien faire

d'autre. Mais c’est aussi tout ce que l’on nous propose. Il nous faut donc cesser de discuter

d'un fond que nous ne voyons qu’à travers un angle de vue réduit et déformé. Et nous

concentrer prioritairement sur la forme... démocratique.

Nous demander, quelle est l’origine de cette usure démocratique qui a permit d'en arriver là.

Enfin, restaurer notre démocratie pour attaquer des réformes de fond prioritaires.

Rien ne changera et rien ne peut se faire dans notre pays, si nous ne commençons pas par

réaffirmer notre participation, à la politique de notre nation. Rétablir une démocratie réelle et

moderne ; engagée et participative. Mettre à l’épreuve nos politiques, pour leur montrer que

nous ne dormons pas… ou ne dormons plus.

C’est cet engagement qui doit être partagé par ceux qui en notre nom, sont ensuite portés aux

plus hautes fonctions de l'état. Ceux qui en notre nom à tous, décident de gouverner pour nous

tous. Car il ne peut y avoir nous. Et eux. Pourtant, il faut lever le tabou, de se pouvoir qui ne

parle que de conflits d’intérêts.

Le Gouvernement n'exerce plus pour nous tous, mais pour lui-même et une minorité, qui a

plus de moyens que nous pour exercer une autre forme de démocratie. L’oligarchie financière.

Face à ses réalités, on peut baisser les bras tout de suite et continuer de débattre de petites

réformes qui sont légions dans tous les partis politiques. Celles-ci nous donnent effectivement

un petit air engagé mais nous rendent surtout complices de toutes les dérives.

On peut aussi demander la vérité. Le parlé vrai, celui qui doit faire tomber les tabous du

pouvoir, celui qui va nous expliquer pourquoi aujourd'hui, il est si compliqué d'entreprendre

de grandes réformes. La dernière réforme fiscale n'est-elle pas la copie conforme de celle

engagée par Bush fils en son temps, soufflée à ses oreilles par les seuls 1% de privilégiés aux

États-Unis et soutenue par les lobbys financier. Elle consiste à essorer un peu plus la classe

moyenne pour la pousser aux crédits facile, encore et encore, et créer un assistanat durable au

travers d’aides sociales diverses pour ces mêmes raisons.

C'est réducteur ?

Non ! C'est surtout aussi simple que ça.

Ce n’est plus le travail la valeur motrice de l’économie, c’est la consommation.

Et ce virage économique passe par la surconsommation et donc par l’augmentation « virtuelle

» du pouvoir d’achat.

L’opposition à ce système passe par la nécessité de réunir « Économie et Social » et de les

renvoyer à des objectifs sains qui passent par une réforme fiscale majeure. C’est cette réforme

qui doit permettre de financer d’autres propositions… pas la dette.


bien joué,

et donc on continu les réformettes ?

Ou on diffuse et on s'attaque au gros morceau.


Je crois effectivement, qu'il n'y pas d'autres alternatives.

Aurions nous pu, un jour, imaginer en arriver à ce genre de constat et d'action.

Il me semble pourtant que vous touchez juste poupoune13.

4 mars 2011 Dominique de Villepin répond à propos des thèmes de la

prochaine campagne présidentielle. (A vous de juger, France 2)


La première réforme avant toute chose.

C'est la remise à plat de notre fiscalité. Nous sommes au 21ème siècle.

Il nous faut une Révolution fiscale majeure pour nous soulager de toutes ces taxes qui

entravent le travail, en finir avec cet impôt archaïque et tous ces prélèvement inquisiteurs.

Une taxe unique, simple, égalitaire, comme beaucoup d'illustres économistes ont tenté d'en

mettre en avant et qui par décisions politiques se sont fait refouler voir marginaliser.

C'est plus facile de virer un économiste, qu'un banquier.

Restaurer le budget de l'état, notre nation, en imposant ce virage radical obligatoire qui

signera une rupture avec "l'argent dette". Cet emprunt perpétuel que l'on nous présente comme

seule alternative. Et de travailler plus, pour gagner plus, pour rembourser plus.

Et si on peut rembourser plus, on pourra emprunter plus... ça y est... j'ai mal à la tête.

Notre fiscalité assainie, s’ouvriront de nouveaux champs du possible, comme ce "revenu".

Soyons curieux.

Soyons furieux.


Non pas autre chose. L'anarchie c'est de nous faire croire que, dans un système d'élection à

l'américaine, deux candidats qui seront sur médiatisés et un trublion, notre vote va définir

l'orientation politique. L'anarchie c'est ceux qui rigolent quand de leurs sphères supérieures ils

nous voient nous démener dans notre mascarade démocratique. Ce pouvoir financier globalisé

choisi la couleur (politique) du vélo... nous... on pédale.

"les deux PS et UMP ne sont rien d'autre que des détaillants qui s'approvisionnent chez le

même grossiste, ce grossiste, c'est la pensée unique mondialisée."

"l'Euro, les banquiers et la mondialisation : l'arnaque du siècle."

Pourquoi une révolution fiscale?

Parce qu’elle est nécessaire. Mais on peut attendre aussi la prochaine crise financière,

l'inflation, la récession... attendre que ceux qui n'ont déjà pas grand chose perdent tout.

Attendre que ceux qui pensent être à l’abri se voient dépouiller aussi.

Attendre que se soit nos enfants ou nos petits enfants, qui fatigués à leur tour par ce système

de pensée unique... réagissent... plus violemment.

La politique c'est nous, les candidats eux, doivent en dégager des responsabilités.

"Il ne faut pas prendre l'argent où il est mais par où il passe."

Soyons curieux.

Soyons furieux.


La simplification est certainement la clé du système.

Il faut moderniser notre fiscalité parce qu'elle utilise encore des processus de prélèvement

archaïques. Nous disposons d'un outil puissant, l'informatique et ses automatisations.

Ici, de dégager déjà, des économies de gestions.

Effectuer un prélèvement automatique à la source. Mais nécessité pour cela de supprimer le

quotient familial et autres entraves. Il faut substituer l'objectif d'efficacité à la "déclaration"

compliquée.

Dépersonnaliser l'impôt, les taxes... me semble être une bonne orientation.

Les banques contre lesquelles on rage ont cette expertise de prélèvements obligatoires

complètements automatisés.

C'est une piste.

Faire comme elles. Privilégier la taxation de l'argent dans son mouvement, sa circulation,

plutôt que dans son état inerte de dépôt.

Une action, une réaction. Un prélèvement automatique comme la "débit taxe", ou "cyber

taxe", version moderne de la T.A.M.F.

Simple, égalitaire... on ne touche pas à l'argent créditeur, le bénéfice, le fruit du travail,

lorsqu'il est déposé. On taxe automatiquement (pourcentage à calculer) l'action débitrice.

Une taxe qui doit permettre de supprimer la majorité de toutes les autres et l'impôt bien

entendu.

Il faudrait connaître le total des mouvements de fonds débiteurs annuels exercés par notre

consommation, le fait de payer des salaires, de régler ses fournisseurs etc...

Nous ne pouvons pas rester victimes de nos arrières pensées. Nous savons que les choses ne

vont pas bien dans ce pays que le système fiscal est malade. Que c'est le genre de maladie

(loin d'être orpheline) qui ne demande qu'à empirer.

Pourtant je crois qu'un virage s'amorce, que les consciences s'éveillent et avec elles notre

volonté de participer et de nous inscrire dans cette étape de modernisation.

2 mars 2011 Ce qu'il faut savoir sur le revenu citoyen de Dominique de

Villepin


Rester évasif sur le coût, c'est de l'évasion fiscale.

Plus sérieusement, avant de jouer sur la fibre sociale en parlant de revenu citoyen. La réforme

majeure à exercer dans notre Pays est celle de la Justice Fiscale.

Ce qui est nécessaire, c'est bien de réunir le couple "Économie et Social". D'où vient l'argent ?

où va l'argent ? à quoi doit-il servir ?

L'effort de vouloir que les pauvres soient moins pauvres en retrouvant une indépendance, une

dignité et en sortant de l'assistanat mais que tous profitent également d'un complément de

revenu, ne peut se faire sans considérer que les riches doivent pouvoir aussi articuler leur

enrichissement sur une fiscalité juste.

On peut toujours dire aux gens qu'on va leur donner un revenu, il faut d'abord assainir,

réformer notre fiscalité, sinon on ne peut pas faire de projections raisonnables.

Mais pas une petite réformette

Une grande réforme fiscale qui prélève l'argent où il est, c'est à dire partout, pour le

redistribuer comme il le faut, et là oui, à tout le monde. Une rupture avec le modèle actuel de

la dette perpétuelle, des taxes injustes et de l'impôt archaïque... de l'assistanat .

Si on est incapable d'adapter, voir de créer, ce nouveau modèle fiscal, on continuera de subir

les assauts de l'économie globalisée, de la finance, et de prendre des mesurettes qui coûtent

plus qu'elles ne rapportent.

1 mars 2011 Dominique de Villepin : "Pour la dignité, je propose la

création d’un revenu citoyen" (Tribune dans Libération 01/03/2011)


Nous constatons que certaines de ses propositions, font écho aux nôtres portées à sa

connaissance en 2009 (youtube/francesperance1). Mais Monsieur D. De Villepin aura-t-il

l'audace de conduire la grande révolution fiscale, seule garante d'une grande réforme

Économique et Sociale. Il semble que les politiques s'éveillent enfin aux attentes de la

population française indignée par la grande mascarade démocratique. Il n'y a pas d'alternative

possible autre que celle d'une révolution fiscale majeure pour contrer le pouvoir de la finance.

Celui ou celle qui renouera par des liens voulus inaltérables le couple "Économie et Social" en

conjurant cette dette artificielle mise en place pour l'ébranler et le pousser au perpétuel

affrontement, celui-là, celle-là, soutenu par la population, redonnera à la France toute sa

grandeur, son intégrité et son influence. Un exemple pour l'Europe.

Soyons curieux... soyons furieux. France Espérance

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