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SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Secteur de la construction GuidE dE ConCErTaTion déPariS

GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

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Page 1: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

Secteur de la construction

GuidE dE ConCErTaTion déPariS

Page 2: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

STRATEGIE SOBANE - GESTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

La stratégie SOBANE est une stratégie de prévention des risques à quatre niveaux (dépistage (Screening), OBservation, ANalyse, Expertise).

La série de publications «STRATEGIE SOBANE-Gestion des risques professionnels» a pour objectif de faire connaître cette stratégie de prévention et de montrer comment l’appliquer aux différentes situations de travail.

Ces outils cherchent à optimaliser le temps et les efforts de l’entreprise pour rendre la situation de travail acceptable quelle que soit la complexité du problème rencontré. Ils favorisent le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’entreprise.

L’ensemble de ces outils ainsi que la stratégie SOBANE ont été développés par l’Unité hygiène et physiologie du travail du professeur J. Malchaire de l’Université catholique de Louvain, dans le cadre du projet de recherche SOBANE cofinancé par le Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale et le Fonds social européen.

Le guide de concertation DEPARIS est un guide de dépistage participatif des risques qui permet de rencontrer les exigences du niveau «Dépistage» de la stratégie SOBANE. Il s’agit d’un outil simple, économe en temps et en moyens, qui favorise le développement d’un plan dynamique de gestion des risques et d’une culture de concertation dans l’en-treprise.

Cette publication a été réalisée par une équipe de recherche comprenant:• L’Unité hygiène et physiologie du travail de l’UCL (Prof. J. Malchaire, A. Piette);• Le Service de recherche et développement de IDEWE (Prof. G. Moens);• Le service externe en prévention et protection CESI (S. Boodts, A. Schietecatte);• Le service externe en prévention et protection IDEWE (Prof. V. Hermans);• Le service externe en prévention et protection PROVIKMO (Dr. G. De Cooman,

I.Timmerman);• Le service externe en prévention et protection MENSURA (Dr. P. Carlier);• Le Département nouvelles technologies et formation du CIFoP (J.F. Husson).• Le service de prévention SEFMEP (P. Lorent, F. Gysens)

Pour plus de détails sur la stratégie SOBANE: www.sobane.be

Cette brochure peut être obtenue gratuitement• par téléphone au 02 233 42 14• par commande directe sur le site du SPF:

http://www.emploi.belgique.be• par écrit auprès de la

Cellule Publications du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale rue E. Blerot 1 - 1070 BRUXELLES Fax: 02 233 42 36 E-mail: [email protected]

Cette brochure peut également être consultée sur le site Internet du SPF: http://www.emploi.belgique.be

Deze brochure is ook verkrijgbaar in het Nederlands.

La rédaction de cette brochure a été achevée le 15 février 2008

Production: Direction générale Humanisation du travail

Coordination: Direction de la communication

Supervision scientifique: Alain Piette

Mise en page et couverture: Sylvie Peeters

Dessin: Serge Dehaes

Impression: Boone-Roosens

Diffusion: Cellule Publications

Editeur responsable: SPF Emploi, Travail et Concertation sociale

H/FLes termes «conseillers», «travailleurs» et «employeurs» utilisés dans cette brochure désignent les personnes des deux sexes.

PROMOTEUR DU PROJET

SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail rue Ernest Blerot 1 – 1070 Bruxelles

Ce guide a pu être réalisé grâce à l’appui de l’Union européenne Fonds social européen

© SPF Emploi, Travail et Concertation sociale Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de la Direction de la communication du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, de reproduire totalement ou partiellement la présente publication, de la stocker dans une banque de données ou de la communiquer au public, sous quelque forme que ce soit. Toutefois, si la reproduction de textes de cette brochure se fait à des fins informatives ou pédagogiques et strictement non commer-ciales, elle est autorisée moyennant la citation de la source et, s’il échet, des auteurs de la brochure.

Page 3: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

Procédure d’utilisation1. Information par la direction sur les objectifs poursuivis et engagement de celle-ci de tenir

compte des résultats des réunions et des études.

2. Accord du Comité de prévention et de protection au travail.

3. Définition d’un petit groupe de postes formant un ensemble, une “situation” de travail.

4. Désignation d’un coordinateur par la direction avec l’accord des ouvriers.

5. Préparation du coordinateur: Il adapte éventuellement l’outil à la situation de travail en modifiant des termes, en éliminant certains aspects non concernés, en transformant d’autres ou encore en ajoutant des aspects supplémentaires.

6. Constitution d’un groupe de travail avec des ouvriers-clés de la situation de travail concer-née, désignés par leurs collègues et leurs représentants et de personnels d’encadrement technique choisis par la direction. Il comprend au moins un homme et une femme en cas de groupe mixte.

7. Le document “Invitation” est remis aux membres du groupe de travail de manière à les informer des objectifs de la réunion Déparis et à préciser leur rôle.

8. Réunion du groupe de réflexion dans un local calme près des postes de travail.

9. Explication claire par le coordinateur du but de la réunion et de la procédure.

10. Discussion sur chaque rubrique en se concentrant sur les aspects repris sous cette rubri-que et en s’attardant, non pas à porter un score, mais• À ce qui peut être fait pour améliorer la situation, par qui et quand• À ce pour quoi il faut demander l’assistance d’un préventeur• À déterminer rapidement le coût des mesures d’amélioration proposées et leur impact

éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€).

11. Après la réunion, synthèse par le coordinateur en mettant au net • La liste des points à étudier plus en détails avec les priorités• La liste de solutions envisagées avec indication de qui fait quoi et quand• Les rubriques utilisées, contenant les informations détaillées ressortant de la réunion

12. Présentation des résultats aux participants, révision, ajouts…

13. Finalisation de la synthèse.

14. Présentation à la direction et aux organes de concertation.

15. Poursuite de l’étude pour les problèmes non résolus, facteur par facteur, au moyen des méthodes de niveau 2, Observation, de la stratégie SOBANE.

Le texte suivant peut aider à préciser le but de la réunion. “Au cours de la réunion, nous allons passer en revue tous les aspects techniques, d’organisa-tion et de relation qui font que le travail est plus ou moins facile, efficace et agréable.

L’objectif n’est pas de savoir si c’est facile ou agréable à 20, 50 ou 100 %.

Il est de trouver ce qui peut être fait concrètement, tout de suite, dans 3 mois et plus tard pour que ce soit plus efficace et plus agréable.

Il peut s’agir de modifications techniques, de nouvelles techniques de travail, mais aussi de meilleures communications, de réorganisation des horaires, de formations plus spécifiques.

Pour certains points, nous devrions arriver à dire ce qu’il faut changer et comment concrète-ment le changer. Pour d’autres, des études complémentaires devront être réalisées.

La Direction s’engage à établir un plan d’actions dans le but de donner suite au mieux à ce qui sera discuté. “

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L K J

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2. L

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ls:

L K J

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3. L

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ls:

L K J

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imen

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hine

s es

cam

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ntac

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rect

ave

c de

s pa

rtie

s m

obile

s, en

gren

ages

, cré

-m

aillè

res,

cour

roie

s …

.•

Se fa

ire

écra

ser

: chu

te d

e m

atér

iaux

, effo

ndre

men

t, ci

rcul

atio

n d’

engi

ns d

e ch

antie

r, …

• Se

fair

e en

seve

lir :

ébou

lem

ent

des

foui

lles

lors

des

fond

atio

ns•

Se b

rûle

r : s

ourc

e de

cha

leur

dir

ecte

ou

indi

rect

e

Les

proc

édur

es e

n ca

s d’

acci

dent

• C

lair

es, c

onnu

es e

t ap

pliq

uées

Les

anal

yses

des

acc

iden

ts d

u tr

avai

l•

Syst

émat

ique

s, co

mpl

ètes

, util

es

Les

prem

iers

soi

ns•

Loca

ux e

t bo

îtes

de s

ecou

rs …

bien

loca

lisés

et

adéq

uats

• Se

cour

iste

s qu

alifi

és d

ispo

nibl

es e

n pe

rman

ence

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 9: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

6. L

es r

isq

ues

éLe

ctr

iqu

es e

t d

’in

cen

die

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

ris

ques

éle

ctri

ques

L’in

stal

latio

n él

ectr

ique

gén

éral

e •

Par

des

ouvr

iers

qua

lifiés

Mis

e à

la t

erre

sig

nalé

e, b

ien

isol

ée•

Equi

pée

de d

iffér

entie

ls, f

usib

les

• Pr

otég

ée c

ontr

e le

s im

pact

s et

l’hu

mid

ité

L’éq

uipe

men

t él

ectr

ique

: mac

hine

s, éq

uipe

men

t, gr

oupe

éle

ctro

gène

…•

Mis

à la

ter

re, b

ien

entr

eten

u, is

olé,

pro

tégé

des

impa

cts

• C

onne

xion

s, bo

uton

s d’

arrê

t d’

urge

nce

en b

on é

tat

• Ba

tter

ies

en b

on é

tat

et b

ien

géré

es…

Le m

atér

iel:

fils,

câbl

es, r

allo

nges

, pri

ses

de t

erre

…•

En b

on é

tat

et p

roté

gé c

ontr

e le

s im

pact

s et

l’hu

mid

ité•

Dis

posé

de

faço

n su

re s

ans

gêne

r le

s vo

ies

de c

ircu

latio

n de

per

sonn

es e

t m

atér

iaux

• Ev

acué

dès

qu’

ils n

e so

nt p

lus

utili

sés

La fo

rmat

ion

• Bo

nne

info

rmat

ion

sur

les

risq

ues

et le

s m

oyen

s de

pré

vent

ion

Le

risq

ue in

cend

ie e

t ex

plo

sio

nsLe

s m

atiè

res

infla

mm

able

s ou

exp

losi

ves

• Q

uant

ité, s

tock

age,

ven

tilat

ion,

tra

nspo

rt, s

igna

lisat

ion…

Les

sour

ces:

flam

me

nue,

sou

rces

de

chal

eur

(sol

eil)

ou d

’étin

celle

s (m

achi

nes)

, éle

ctri

cité

sta

tique

…, s

igna

lisat

ion

Les

moy

ens

de lu

tte

• Ex

tinct

eurs

, dév

idoi

rs, b

orne

s d’

ince

ndie

…, s

igna

lisat

ion

L’éq

uipe

d’in

terv

entio

n in

tern

e: fo

rmée

, dis

poni

ble

Les

cons

igne

s en

cas

d’in

cend

ie

• Pl

ans

d’év

acua

tion,

ale

rte,

ala

rme,

voi

es e

t is

sues

de

seco

urs,

poin

ts d

e re

ndez

-vou

s, te

sts

d’év

acua

tion…

La s

igna

lisat

ion

• Z

ones

de

stoc

kage

, moy

ens

de lu

tte,

issu

es e

t éc

lair

age

de s

ecou

rs, p

lans

par

éta

ge …

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 10: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

10

7. L

es c

om

ma

nd

es e

t si

gn

au

xA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

docu

men

ts d

écri

vant

le t

rava

il: bo

rder

eaux

, lis

tes…

clai

rs

Les

sign

aux

(écr

ans,

lam

pes…

) et

les

com

man

des

• Bo

uton

s, m

anet

tes,

péda

les…

en

bon

état

• La

loca

lisat

ion

• Pr

ès e

t en

face

de

l’ouv

rier

, ni t

rop

haut

, ni t

rop

bas

• Bi

en d

ispo

sés

sur

le t

able

au d

e co

mm

ande

(no

mbr

e et

cou

leur

s de

s bo

uton

s, la

mpe

s…)

• Le

s ca

ract

éris

tique

s •

Res

pect

des

sté

réot

ypes

: aig

uille

mob

ile d

e ga

uche

à d

roite

, ver

t =

mar

che…

rou

ge =

arr

êt, s

ens

de la

com

man

-de

…•

Niv

eau

sono

re o

u in

tens

ité lu

min

euse

adé

quat

e•

La t

aille

: for

me

et d

imen

sion

s (b

outo

ns, v

oyan

ts…

)

La fo

rce

• Pa

s de

forc

e ex

cess

ive

de p

ress

ion

du d

oigt

ou

du p

ied

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 11: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

11

8. L

e m

atér

ieL

de

trav

aiL

, Les

ou

tiLs

, Les

ma

chin

esA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Le m

atér

iel,

outil

s et

mac

hine

s•

Mar

teau

x, p

ince

s, pe

lles,

pioc

hes…

mac

hine

s fix

es, p

orta

tives

, de

leva

ge…

Cla

irem

ent

répe

rtor

iés

(inve

ntai

re)

• A

déqu

ats

pour

cha

que

opér

atio

n•

Auc

un o

util

défe

ctue

ux o

u br

icol

é

L’en

tret

ien

• En

bon

éta

t•

Entr

etie

n ré

gulie

r, vé

rific

atio

n ap

prof

ondi

e an

nuel

le p

ar u

n Se

rvic

e Ex

téri

eur

de C

ontr

ôle

Tech

niqu

e •

Mis

à l’

écar

t en

cas

de

prob

lèm

es (

cord

ons

abîm

és, fi

ssur

es, d

échi

rure

s, us

ure

géné

rale

…)

• N

etto

yés

et r

angé

s se

lon

les

beso

ins

en d

es e

ndro

its fa

cile

men

t ac

cess

ible

s au

tour

des

pos

tes

de t

rava

il

Le r

ange

men

t•

Selo

n le

s be

soin

s en

des

end

roits

faci

lem

ent

acce

ssib

les

auto

ur d

es e

mpl

acem

ents

de

trav

ail

• M

achi

nes

dang

ereu

ses

isol

ées

dans

une

zon

e de

séc

urité

Les

dim

ensi

ons

et fo

rmes

Faci

les

à sa

isir

en

sécu

rité

• Fa

cile

s à

utili

ser

sans

fatig

ue d

es m

ains

ou

des

bras

• M

anch

es d

roits

ou

cour

bés,

trop

long

s ou

tro

p co

urts

, tro

p gr

os o

u tr

op fi

ns, t

rop

rugu

eux

ou t

rop

lisse

s

Ada

ptés

à l’

ouvr

ier

et s

écur

isés

Pas

d’él

émen

ts q

ui p

euve

nt b

less

er•

Pas

trop

lour

ds ;

pas

de v

ibra

tions

• A

dapt

és a

ux g

auch

ers

La fo

rmat

ion

des

ouvr

iers

A l’

utili

satio

n la

plu

s sû

re e

t la

plu

s ef

ficac

e du

mat

érie

l et

des

mac

hine

s él

ectr

ique

s et

pne

umat

ique

s•

Le b

on m

atér

iel e

st u

tilis

é po

ur c

haqu

e tâ

che

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 12: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

9. L

es P

osi

tio

ns

de

trav

aiL

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

La r

épét

ition

des

mêm

es g

este

s: pa

s en

con

tinu

Les

posi

tions

de

trav

ail:

conf

orta

bles

Si p

ossi

ble

assi

s su

r un

siè

ge d

e qu

alité

, sta

ble

et c

onfo

rtab

le•

Le d

os d

roit:

pas

de

flexi

ons

ou t

orsi

ons

• La

têt

e dr

oite

: pas

de

flexi

ons,

exte

nsio

ns, r

otat

ions

• Le

s ép

aule

s re

lâch

ées:

pas

haus

sées

• Le

s br

as p

rès

du c

orps

: pas

éca

rtés

ou

levé

s•

Les

mai

ns e

n po

sitio

n no

rmal

e: n

on fl

échi

es•

Les

deux

pie

ds s

ur le

sol

ou

un r

epos

e-pi

ed

• Pa

s à

geno

ux o

u ac

crou

pi•

Pas

de p

ositi

ons

défa

vora

bles

rép

étée

s ou

pro

long

ées

Les

haut

eurs

de

trav

ail

• Ta

bles

, éta

gère

s, m

achi

nes-

outil

s, sc

ies…

Les

plan

s de

tra

vail

sont

sta

bles

• Ils

per

met

tent

une

pos

ition

de

trav

ail c

onfo

rtab

le e

t sû

re

Le t

rava

il en

pos

ition

deb

out

• Pa

s de

gèn

e da

ns le

s m

ouve

men

ts•

App

ui c

onfo

rtab

le p

ossi

ble

des

cuis

ses

et/o

u de

s br

as s

ur d

es s

urfa

ces

à bo

nne

haut

eur

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 13: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

10. L

es e

ffo

rts

et

Les

ma

nu

ten

tio

ns

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

gest

es e

t ef

fort

s•

Pas

brus

ques

, vio

lent

s ou

impo

rtan

ts•

Pas

de d

épla

cem

ents

rap

ides

ou

répé

tés

Les

effo

rts

des

mai

ns

• M

odér

és, p

as d

e t

orsi

on d

es p

oign

ets

et ja

mai

s de

cou

ps a

vec

le t

alon

de

la m

ain

Les

char

ges

(liqu

ides

, tai

lle d

es s

acs…

)•

Légè

res

et é

quili

brée

s, to

ujou

rs <

25kg

• C

onfo

rtab

les

à sa

isir

: bon

nes

poig

nées

, pas

de

bord

s co

upan

ts, p

as g

lissa

nts…

• M

anip

ulée

s se

ulem

ent

occa

sion

nelle

men

t•

A b

onne

hau

teur

: sai

sie

et d

épos

e à

haut

eur

de la

cei

ntur

e•

Pas

de t

orsi

on o

u in

clin

aiso

n du

tro

nc•

Port

ées

seul

emen

t su

r de

cou

rtes

dis

tanc

es

Les

aide

s m

écan

ique

s: ad

équa

tes

• Pa

lans

, cha

riot

s à

pous

ser

plut

ôt q

u’à

tirer

…po

ur le

s ch

arge

s lo

urde

s ou

inst

able

s•

Cou

rroi

es, t

apis

rou

lant

…po

ur le

s tr

ansp

orts

fréq

uent

s•

De

qual

ité, b

ien

situ

ées

et fa

cile

s et

rap

ides

à u

tilis

er

La fo

rmat

ion:

form

atio

n à

la m

anut

entio

n ad

apté

e au

pos

te

La fa

tigue

en

fin d

e jo

urné

e: a

ccep

tabl

e

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 14: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

11. e

cLa

ira

ge,

br

uit

, cLi

mat

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

L’éc

lair

age

• L’

écla

irag

e de

s lo

caux

et

du t

rava

il lu

i-mêm

e•

Ni t

rop,

ni t

rop

peu

• Su

ffisa

nt p

our

une

visi

on p

réci

se d

u tr

avai

l et

des

zone

s de

pas

sage

• Pa

s de

refl

et n

i ébl

ouis

sem

ent

• Su

r le

s ta

bles

, les

sur

face

s m

étal

lique

s ou

en

verr

e, le

s fe

uille

s de

pla

stiq

ue…

en

part

icul

ier

par

le s

olei

l•

Pas

de v

ue d

irec

te d

es s

ourc

es d

e lu

miè

re

• L’

unifo

rmité

de

l’écl

aira

ge

• D

es z

ones

de

trav

ail e

t de

pas

sage

(es

calie

rs…

)

• Le

s la

mpe

s, pr

ojec

teur

s, lu

min

aire

s •

Bien

loca

lisés

Prop

res,

nett

oyés

rég

uliè

rem

ent

• R

empl

acés

rap

idem

ent

quan

d dé

fect

ueux

• L’

écla

irag

e de

sec

ours

: bie

n lo

calis

é et

en

bon

état

Le

brui

t•

La fa

cilit

é po

ur s

e pa

rler

: à

une

dist

ance

de

1 m

ètre

• Le

s EP

I: (b

ouch

ons,

casq

ue,..

.) •

Dis

poni

bles

et

utili

sés

quan

d le

bru

it es

t él

evé

• Le

s ac

tivité

s br

uyan

tes

(com

pres

seur

s…)

• Le

plu

s à

l’éca

rt p

ossi

ble

des

autr

es p

oste

s de

tra

vail

• Le

s m

achi

nes

ou in

stal

latio

ns b

ruya

ntes

Mot

eurs

, sou

fflet

tes,

disq

ueus

es, a

spir

atio

ns lo

cale

s, ex

trac

tion…

• Bi

en e

ntre

tenu

es, c

apot

ées

• Le

s m

oyen

s de

com

mun

icat

ion

• T

ienn

ent

com

pte

du b

ruit

ambi

ant

Le

clim

at•

L’or

gani

satio

n du

tra

vail

• Pe

rmet

de

ne p

as t

rava

iller

sou

s la

plu

ie o

u le

sol

eil i

mpo

rtan

t

• En

cas

de

fort

es o

u fa

ible

s te

mpé

ratu

res

ou d

e pl

uie:

des

dis

posi

tions

spé

cifiq

ues

sont

pri

ses

• Pa

s de

cou

rant

s d’

air:

par

les

fenê

tres

et

port

es

• Le

s vê

tem

ents

de

trav

ail

• C

onfo

rtab

les:

bleu

de

trav

ail …

• Le

s vê

tem

ents

de

prot

ectio

n•

Si n

éces

sair

es

• D

e qu

alité

, ada

ptés

et

conf

orta

bles

(is

olan

ts, i

mpe

rméa

bles

, con

tre

le s

olei

l…)

• Le

s bo

isso

ns:

• Ea

u fr

aîch

e ou

boi

sson

s ch

aude

s di

spon

ible

s s’

il fa

it tr

op c

haud

ou

trop

froi

d

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 15: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

12. L

es v

ibr

atio

ns

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

engi

ns d

e tr

ansp

ort

• C

hari

ots

élév

ateu

rs, g

rues

, mon

te c

harg

e…•

Adé

quat

s po

ur le

tra

vail

à ré

alis

er

• Le

sol

, les

voi

es d

e ci

rcul

atio

n, le

s pn

eus,

les

susp

ensi

ons,

les

sièg

es s

ont

en b

on é

tat

Les

mac

hine

s vi

bran

tes

(dis

queu

ses,

ponc

euse

s, fo

reus

es…

)•

Adé

quat

s po

ur le

tra

vail

à ré

alis

er

• Pa

s tr

op lo

urde

s•

En b

on é

tat

et r

égul

ière

men

t en

tret

enue

s

Les

outil

s, m

èche

s, di

sque

s… a

déqu

ats

et e

n bo

n ét

at

La fo

rmat

ion

• En

gins

, véh

icul

es, m

achi

nes

et o

utils

vib

rant

s bi

en u

tilis

és•

Bonn

es p

ositi

ons

de t

rava

il, fo

rces

, tra

vail

à 1

ou 2

mai

ns…

.

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 16: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

13. L

’hyg

ièn

e at

mo

sPh

ériq

ue

ris

qu

es c

him

iqu

es (

soLi

des

, Liq

uid

es o

u g

az)

A

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

risq

ues

chim

ique

s •

L’in

vent

aire

est

dis

poni

ble

et à

jour

• La

doc

umen

tatio

n su

r le

s ri

sque

s es

t di

spon

ible

La fo

rmat

ion:

sur

les

proc

édur

es e

t le

s ri

sque

s

Les

proc

édur

es

• D

’util

isat

ion:

cla

ires

et

resp

ecté

es (

mél

ange

s, do

sage

s)•

En c

as d

’inci

dent

(re

nver

sem

ent,

écla

bous

sure

…)

res

pect

ées

• En

cas

de

mat

éria

ux d

ange

reux

: am

iant

e, p

lom

b…

L’ét

ique

tage

: réc

ipie

nts

adéq

uats

et

bien

étiq

ueté

s

Les

stoc

ks

• Le

s pr

odui

ts t

oxiq

ues,

corr

osifs

, infl

amm

able

s… s

ont

stoc

kés

dans

des

esp

aces

app

ropr

iés,

isol

és e

t si

gnal

isés

Les

pous

sièr

es, c

opea

ux, h

uile

s, va

peur

s…

• Ev

acué

s (v

entil

atio

n, a

spir

atio

n…)

sans

mis

es e

n su

spen

sion

ou

disp

ersi

on•

Org

anis

atio

n de

cha

ntie

r ou

mat

érie

l pou

r év

iter

les

pous

sièr

es ;

aspi

rate

ur in

tégr

é, g

oulo

tte

d’év

acua

tion,

arr

osag

e de

s po

ussi

ères

,…•

Pas

d’us

age

de m

achi

nes

à m

oteu

r th

erm

ique

dan

s un

mili

eu c

onfin

é.

Les

déch

ets

• A

mia

nte,

pei

ntur

e à

base

de

plom

b, m

ouss

es p

olyu

réth

ane,

fong

icid

es, m

érul

e…•

Les

débl

ais

• Ev

acué

s da

ns d

es r

écip

ient

s (c

onta

iner

s, pa

cks,

poub

elle

s) a

déqu

ats

Les

infe

ctio

ns: in

sect

es, v

acci

n té

tano

s…

La s

igna

lisat

ion

• A

déqu

ate

et r

espe

ctée

: int

erdi

ctio

n de

fum

er, l

ocau

x à

risq

ue…

Les

EPI:

gant

s, m

asqu

es, l

unet

tes,

vête

men

ts…

• A

déqu

ats,

disp

onib

les

et u

tilis

és

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 17: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

14. L

’au

ton

om

ie e

t Le

s r

esP

on

sab

iLit

és in

div

idu

eLLe

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

ordr

es e

t at

tent

es: c

lair

es, c

ompr

ises

et

sans

con

trad

ictio

ns

Le d

egré

d’in

itiat

ive

Cha

cun

peut

ada

pter

son

mod

e de

tra

vail

sans

per

turb

er le

tra

vail

de l’

équi

pe

L’au

tono

mie

• C

hacu

n pe

ut q

uitt

er s

on p

oste

et

pren

dre

une

cour

te p

ause

(to

ilett

es, b

oiss

ons)

san

s pe

rtur

ber

le t

rava

il

La li

bert

é de

con

tact

• C

hacu

n pr

end

lui-m

ême

les

cont

acts

qu’

il ju

ge n

éces

sair

es a

vec

les

serv

ices

pér

iphé

riqu

es (

entr

etie

n, a

chat

s, qu

a-lit

é…)

ou e

xtér

ieur

s

Le n

ivea

u d’

atte

ntio

n: m

oyen

en

fonc

tion:

• D

e la

gra

vité

des

act

ions

à p

rend

re•

Du

cara

ctèr

e im

prév

isib

le d

es é

véne

men

ts

Les

déci

sion

s•

Le n

ombr

e de

cho

ix e

st li

mité

• Le

s in

form

atio

ns s

ont

disp

onib

les

• El

les

ne s

ont

pas

trop

diffi

cile

s à

pren

dre

• La

vite

sse

de r

éact

ion

néce

ssai

re e

st n

orm

ale

Les

resp

onsa

bilit

és•

Cha

cun

conn

aît

les

sien

nes

et le

s ap

préc

ie•

Ni t

rop

lour

des,

ni t

rop

légè

res

Les

erre

urs

• C

hacu

n co

rrig

e lu

i-mêm

e se

s er

reur

s év

entu

elle

s

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 18: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

15. L

e co

nte

nu

du

tr

ava

iL

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

L’in

térê

t du

tra

vail:

inté

ress

ant

et d

iver

sifié

Tâc

hes

prép

arat

oire

s, co

ntrô

le q

ualit

é, r

etou

che,

ent

retie

n…

Les

com

péte

nces

• Le

tra

vail

de c

hacu

n co

rres

pond

à s

a fo

nctio

n et

à s

es c

ompé

tenc

es p

rofe

ssio

nnel

les

• Le

per

sonn

el d

’ent

retie

n de

s m

achi

nes

et l

es c

ondu

cteu

rs d

’eng

ins

save

nt l

ire

des

plan

s, do

cum

ents

et

man

uels

d’

inst

ruct

ion

• Il

perm

et d

’util

iser

et

de d

ével

oppe

r ce

s co

mpé

tenc

es

Info

rmat

ions

et

form

atio

n pr

ofes

sion

nelle

• D

e to

us: j

eune

s, in

téri

mai

res,

plus

anc

iens

Spéc

ifiqu

es a

u tr

avai

l de

chac

un•

Sur

les

proc

édur

es d

e tr

avai

l•

A l’

emba

uche

et

de fa

çon

péri

odiq

ue

• Lo

rs d

e to

ut c

hang

emen

t ou

tou

te v

aria

tion

d’ac

tivité

ou

de fo

nctio

n

Info

rmat

ions

et

form

atio

n su

r le

s ri

sque

s•

Mes

ures

de

prév

entio

n•

A c

haqu

e st

ade

de la

con

stru

ctio

n

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 19: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

1�

16. L

es c

on

tra

inte

s d

e te

mP

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

hora

ires

et

le p

rogr

amm

e de

tra

vail

• C

onnu

s su

ffisa

mm

ent

à l’a

vanc

e

Le r

ythm

e de

tra

vail:

pas

exce

ssif

• Le

tra

vail

en r

etar

d pe

ut ê

tre

réso

rbé

rapi

dem

ent

L’au

tono

mie

du

grou

pe:

il s’

orga

nise

lui-m

ême

conc

erna

nt

• Le

s ho

rair

es e

t le

s co

ngés

• La

rép

artit

ion

du t

rava

il, le

s pa

uses

, les

rot

atio

ns•

La r

écup

érat

ion

des

reta

rds

de p

rodu

ctio

n•

Les

heur

es s

uppl

émen

tair

es•

Le t

rava

il su

pplé

men

tair

e ou

en

dern

ière

min

ute

Les

inte

rrup

tions

dan

s le

tra

vail

• Pe

u d’

impr

évus

Les

paus

es•

Fréq

uent

es e

t co

urte

s•

Org

anis

ées

en f

onct

ion

de la

lour

deur

du

trav

ail,

de la

pén

ibili

té d

es p

ostu

res,

du c

arac

tère

rép

étiti

f, de

la f

atig

ue

men

tale

.

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 20: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

�0

17. L

es r

eLat

ion

s d

e tr

ava

iL a

u s

ein

du

Per

son

neL

et

avec

La

hié

ra

rch

ieA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

Les

inte

ract

ions

et

com

mun

icat

ions

• A

u co

urs

du t

rava

il en

tre

ouvr

iers

des

diff

éren

ts p

oste

s•

Touj

ours

pos

sibl

es, f

acile

s et

libr

es, t

ant

sur

le t

rava

il qu

e su

r d’

autr

es s

ujet

s•

L’or

gani

satio

n du

tra

vail

et d

es e

spac

es p

erm

et d

e se

voi

r

La r

épar

titio

n du

tra

vail:

équi

tabl

e au

sei

n du

gro

upe

• C

hacu

n co

nnaî

t ex

acte

men

t so

n tr

avai

l et

son

rôle

L’en

trai

de e

ntre

ouv

rier

s po

ur d

es p

robl

èmes

de

trav

ail

La c

once

rtat

ion

pour

le t

rava

il: ré

guliè

re•

Entr

e le

per

sonn

el, l

es s

ervi

ces

et la

hié

rarc

hie

• Po

ur d

éfini

r, pl

anifi

er e

t se

rép

artir

le t

rava

il•

Pour

sol

utio

nner

les

prob

lèm

es

Les

rela

tions

ave

c le

s in

terv

enan

ts e

xtér

ieur

s•

Bonn

e en

tent

e, c

limat

de

conc

erta

tion

La h

iéra

rchi

e: c

onnu

e, a

ppré

ciée

et

resp

ecté

e

Les

rela

tions

ave

c la

hié

rarc

hie

• Bo

nne

ente

nte,

con

fianc

e, c

olla

bora

tion

et b

on c

limat

soc

ial

• Pa

s de

rel

atio

ns t

endu

es o

u co

nflits

d’in

térê

t…

• Su

ppor

t en

cas

de

diffi

culté

s de

tra

vail

ou p

erso

nnel

les

• D

élég

atio

ns…

Les

sugg

estio

ns e

t cr

itiqu

es d

es o

uvri

ers

• En

tend

ues

et s

uffis

amm

ent

pris

es e

n co

mpt

e•

Les

prob

lèm

es s

ont

sign

alés

.

Les

éval

uatio

ns•

Cha

cun

sait

com

men

t so

n tr

avai

l est

éva

lué

• Q

uand

et

com

men

t il

est

cont

rôlé

Il en

con

naît

les

critè

res

et le

s co

nséq

uenc

es•

Cha

cun

est

info

rmé

des

résu

ltats

de

son

éval

uatio

n

• Le

tra

vail

de c

hacu

n es

t su

ffisa

mm

ent

appr

écié

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 21: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

�1

18. L

’en

vir

on

nem

ent

Psy

cho

soci

aL

A d

iscu

ter

Qui

peu

t fa

ire

quo

i de

conc

ret

et q

uand

?

Les

prom

otio

ns:

poss

ible

s•

Selo

n de

s cr

itère

s ob

ject

ifs e

t cl

airs

• C

onnu

s et

app

rouv

és p

ar t

ous

• En

fonc

tion

des

perf

orm

ance

s et

sur

bas

e de

s év

alua

tions

Les

disc

rim

inat

ions

: au

cune

• N

i en

fonc

tion

de l’

âge,

du

sexe

ou

des

orig

ines

• N

i à l’

enga

gem

ent,

ni p

our

les

prom

otio

ns

L’em

ploi

• St

able

• C

onfia

nce

en l’

inté

grité

et

l’ave

nir

de l’

entr

epri

se•

Les

prob

lèm

es d

e re

mpl

acem

ent

des

abse

nts,

inté

rim

aire

s so

nt b

ien

trai

tés

Les

sala

ires

Cor

resp

onde

nt a

ux c

ompé

tenc

es e

t au

tra

vail

réal

isé

Le c

onse

il d’

entr

epri

se e

t le

CPP

T: sa

tisfa

isan

ts

La d

irec

tion

de c

hant

ier

• Bo

nnes

rel

atio

ns e

t co

hési

on e

ntre

le m

aîtr

e de

l’ou

vrag

e, l’

arch

itect

e et

l’en

trep

rene

ur•

Dis

cuss

ion

des

reta

rds

et s

urco

ût

Les

prob

lèm

es p

sych

osoc

iaux

• In

satis

fact

ion,

str

ess,

harc

èlem

ent,

prob

lèm

es p

erso

nnel

s…•

Les

stru

ctur

es e

t pr

océd

ures

d’a

ccue

il ex

iste

nt e

t so

nt u

tilis

ées

• D

es in

form

atio

ns s

ont

donn

ées

• D

es a

ctio

ns p

réve

ntiv

es s

ont

men

ées

Les

cond

ition

s de

vie

en

entr

epri

se•

Perm

ette

nt u

n dé

velo

ppem

ent

pers

onne

l et

prof

essi

onne

l•

Sont

com

patib

les

avec

une

vie

pri

vée

satis

fais

ante

(fa

mill

e…)

• To

us le

s ou

vrie

rs s

ont

glob

alem

ent

satis

faits

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 22: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

��

biLan finaLReportez ici les appréciations générales des rubriques en coloriant la case en vert J, en jaune K ou en rouge L.

Situation de travail:

1. Les locaux et zones de travail J K L2. L’organisation du travail J K L3. Les risques de chute J K L4. Le levage et le transport des matériaux et des personnes J K L5. Les accidents de travail J K L6. Les risques électriques et d’incendie J K L7. Les commandes et signaux J K L8. Le matériel de travail, les outils, les machines J K L9. Les positions de travail J K L10. Les efforts et les manutentions J K L11. Eclairage, bruit, climat J K L12. Les vibrations J K L13. L’hygiène atmosphérique J K L14. L’autonomie et les responsabilités individuelles J K L15. Le contenu du travail J K L16. Les contraintes de temps J K L17. Les relations de travail au sein du personnel et avec la hiérarchie J K L18. L’environnement psychosocial J K L

Page 23: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

��

inventaire des ProPositions d’améLioration et des études comPLémentaires à réaLiserReportez ici les actions concrètes susceptibles d’être prises directement, Indiquées dans le cadran droit des 18 rubriques Ainsi que les aspects à approfondir par une Observation détaillée, Indiqués dans le cadre inférieur des 18 rubriques.

N° Qui? Fait quoi et comment? Coût 0, e

ee

eee

Quand?

Date projeté Date réalisé

Page 24: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

��

Les

fou

iLLe

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

• M

ode

opér

atoi

re é

tabl

i par

le b

urea

u d’

étud

e en

sta

bilit

é po

ur r

édui

re le

s ri

sque

s d’

ense

-ve

lisse

men

t.•

Am

énag

emen

t d’

une

ram

pe d

’acc

ès a

u fo

nd d

e la

foui

lle.

• Po

se d

’éta

nçon

et

ou d

e bl

inda

ge s

elon

les

dire

ctiv

es d

u bu

reau

d’é

tude

pou

r év

iter

les

effo

ndre

men

ts d

e m

urs

mito

yens

ou

les

glis

sem

ents

de

terr

ain.

• Pl

acem

ent

d’un

e éc

helle

dan

s le

fon

d de

fou

ille

des

sem

elle

s po

ur u

ne é

vacu

atio

n d’

ur-

genc

e.

• D

égag

emen

t des

terr

es e

t des

mat

éria

ux à

pro

xim

ité d

es fo

uille

s po

ur p

erm

ettr

e un

trav

ail

man

uel p

lus

aisé

. •

Pas

de d

épos

e de

mat

éria

ux à

pro

xim

ité im

méd

iate

des

foui

lles.

• Pa

s d’

ouvr

iers

dan

s la

foui

lle lo

rs d

e la

pré

senc

e de

la p

elle

méc

aniq

ue.

• U

n se

ul o

uvri

er p

ar c

ôté

de l

a fo

uille

lor

s du

pla

cem

ent

des

tuya

ux, d

u co

ulag

e du

bé -

ton…

Asp

ects

à é

tudi

er p

lus

en d

étai

ls:

L K J

Page 25: GuidE dE ConCErTaTion déPariS Secteur de la construction · éventuel sur la qualité du produit et sur la productivité: pas (0), peu (€), moyen (€€) ou élevé (€€€)

��

Les

ch

ar

Pen

tier

sA

dis

cute

rQ

ui p

eut

fair

e qu

oi d

e co

ncre

t et

qua

nd?

• V

érifi

catio

n de

s éc

helle

s de

meu

nier

.•

Pose

d’u

ne t

oitu

re s

ur le

tro

ttoi

r ou

dév

iatio

n pi

éton

ne.

• M

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