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IMPACT, un projet d’envergure porté par le Théâtre de ... · Digital Media de l’Université de Hasselt, la MAD Faculty de la PXL Hoogheschool Hasselt, le Département UNU MERIT

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IMPACT, un projet d’envergure porté par le Théâtre de Liège avec l’ambition de favoriser la

coopération des secteurs artistique, académique et industriel.

Le projet IMPACT (International Meeting in Performing Arts and Creative Technologies)

bénéficie du soutien du programme de coopération INTERREG V-A Euregio Meuse-Rhin, de la

Wallonie et de la Deutschsprachige Gemeinschaft Belgiens.

L’objectif principal d’IMPACT est de mettre sur pieds le premier un pôle eurégional et transectoriel

de coopération, de recherche et développement, de production et de diffusion dans le champ des

nouvelles technologies et des arts de la scène.

Le Théâtre de Liège est entouré 9 partenaires : Le CultuurCentrum Hasselt, Jazz Maastricht, le

Kulturbetreib de Aachen, le Chudoscnik Sunergia Eupen, L’Interface ULg, L’Expertise Center on

Digital Media de l’Université de Hasselt, la MAD Faculty de la PXL Hoogheschool Hasselt, le

Département UNU MERIT de l’Université de Maastricht et REGINA e.V à Aachen.

Activités

IMPACT Lab

Le laboratoire de recherche et développement en Arts et Technologies IMPACT aura pour mission

de repérer et accompagner les porteurs de projets innovants dans les domaines des nouvelles

technologies et de la culture.

IMPACT Learn

Pôle eurégional transdisciplinaire de formation en Arts et Technologies aura pour objectif de

favoriser les collaborations et les connexions entre les différents secteurs concernés.

Workshops (pro, étudiants, enfants), masterclasses, conférences et résidences de recherche et

création (jeunes artistes & jeunes chercheurs).

IMPACT Forum

Le Forum International des Industries Innovantes rassemble des chercheurs, des artistes et des

entreprises issues du secteur des nouvelles technologies et des Industries Culturelles Créatives.

Présentation des projets développés dans IMPACT LAB, Présentation de spectacles

internationaux, démos & innovation shows de laboratoires et entreprises/Startup eurégionaux,

européens et internationaux.

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Bilan

Le projet IMPACT arrive à son terme, après 4 années d’un important soutien du programme

INTERREG Eurégio Meuse-Rhin, de la Wallonie et d’Ostbelgiens. Le bilan est à la hauteur des

ambitions initiales :

- Près de 50 spectacles et exposition internationaux accueillis (de France, d’Allemagne, d’Italie, de Grande Bretagne, de Roumanie, du Canada, du Japon, de Hong-Kong, du Québec, d’Italie, du Danemark, de Lettonie, de Suisse)

- 25 workshops Workshops, Masterclass & conférences : Intelligence artificielle, Immersion, Motion Capture, Interaction homme-Machine, scénographie interactive

- 18 prototypes issus d’IMPACT LAB (collaboration artistes / entreprises)

- Plus de 20.000 spectateurs en 2017 et 2018.

- 10.000 encore attendus cette année

La pérennité des activités est néanmoins assurée avec la volonté des partenaires de continuer leur

collaboration pour les saisons à venir. Nous pouvons déjà vous donner rendez-vous en 2020

pour une 4e édition du festival.

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Table des matières

Le Club des Entreprises Partenaires du Théâtre de Liège .................................................................... 6

Der Gletscher: Eine Oper...................................................................................................................... 7

Daidalos ................................................................................................................................................ 8

Phoenix ................................................................................................................................................. 9

STRAPTRACK ....................................................................................................................................... 14

Dear lollipop ....................................................................................................................................... 10

Future self .......................................................................................................................................... 11

Without the first, the second will not be there + All eyes ................................................................. 12

AntennA.............................................................................................................................................. 13

Focus + Molecular voyages ................................................................................................................ 15

discrete figures 2019 .......................................................................................................................... 17

Haptic + Median ................................................................................................................................. 18

Cerebrum, le faiseur de réalités ......................................................................................................... 19

Blue Bird ............................................................................................................................................. 20

GLITCH ................................................................................................................................................ 21

Dansathon .......................................................................................................................................... 22

DIGITAL UMBILICAL ........................................................................................................................ 23

CLOUD DANCING ............................................................................................................................ 24

VIBES............................................................................................................................................... 24

Wind Avatar........................................................................................................................................ 25

Contacts ............................................................................................................................................. 26

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Le Club des Entreprises Partenaires du Théâtre de Liège

Mis sur pied en 2018, le Club des Entreprises partenaires du Théâtre de Liège a pour but de dynamiser les relations de l’Institution avec le monde entrepreneurial et de susciter de réelles mises en réseau, au coeur de la création, entre acteurs économiques et culturels. Ensemble, favorisons l’échange d’expériences et fédérons nos énergies et nos équipes respectives autour des ambitions suivantes : le développement de l’Institution et le soutien aux artistes qui y sont associés, le partage de compétences et de savoir-faire, la responsabilité sociétale et le Vivre-Ensemble. Les membres du Club des Entreprises du Théâtre de Liège accompagneront des projets de création, de sensibilisation des publics, des spectacles en production et/ou en diffusion internationale durant plusieurs saisons. Dans sa composition au 1er octobre 2019, le Club des Entreprises partenaires du Théâtre de Liège rassemble dix-sept chefs d’entreprise et cadres dirigeants multisectoriels et est présidé par Madame Beatriz Cantillana de l’entreprise Vitra. Le Club des Entreprises partenaires du Théâtre de Liège soutient financièrement les spectacles discrete figures et Cloud Dancing présentés au Théâtre de Liège dans le cadre du Forum 2019.

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Der Gletscher: Eine Oper

Christian Klinkenberg {Eupen} 25 + 26/10/2019 / 20:00 Eupen / Alter Schlachthof / 105 min. / 17 € / 8,5 €

PERFORMANCES IMPACT LAB

EUPEN

Christian Klinkenberg (b. 1976) is a composer of new music and multimedia artist. Klinkenberg's artistic interests stem from contemporary composition concepts, jazz and improvisation. Klinkenberg's music has been performed by ensembles across the European Union. In 2001 he founded his own Jazzensemble "Christian Klinkenberg Orchestra". Benno Bartsch (Jazzpodium 06/2016) wrote … Christian Klinkenberg uses very sophisticated concepts, but his music doesn't sound abstract or intellectualized; Klinkenberg produces a warm, soft sound that is also very easy to listen to ... Klinkenberg is a member of the East-Belgian based ensemble “KL-EX” where he serves as one of the ensemble leaders, composer and creative collaborator. Artistic activities (own CDs):

• 2002 Christian Klinkenberg Orchestra: "Years"

• 2016 Christian Klinkenberg Orchestra: "Geo²" published by Neuklang

• 2019 KL-EX Ensemble "The Leaves That Hung But Never Grew" published by Neuklang Concerts and presentations (2017-18):

• Belgian Music Days - Lemmens Institute Leuven

• EUROMicrofest Freiburg (D)

• 'Microtones: Small is Beautiful 2017' - University Mozarteum Salzburg (AU)

• Prepositions in Artistic Research' Free University of Brussels (B)

• Congress International Music & Culture Audiovisual MUCA 2018 - University of Murcia (Spain)

• TENOR 2018 (Fourth International Conference on Technologies for Music Notation and Representation ) Conference Concordia University Montreal (Canada)

• Brussels Jazz Marathon (Place Sablon)

• Flagey Concert Hall (Brussels)

• Theater Tilburg (NL)

• Abbaye de Neumünster (Lu)

• ArtPul (Cologne)

• Ludwigforum (Aachen) Compositions (2016-18):

• Ballet "The Belltower"

• Opera "The Cross of the Engaged"

• String Quartet III

• 11 bells (see CD Geo²)

• The Leaves That Hung But Never Grew

• How Trees Talk?

• Three Mother Goose Rhymes

• Theatre - 4 productions for the Figurentheater "Fithe" Bachelor's degree

• June 1999 - PHPD Eupen - Dissertation: "Musiknotation in der Grundschule" Master's degree

• June 2007 @ Koninklijk Conservatorium Brussel - Composition (jazz department)

• June 2011 @ Koninklijk Conservatorium Brussel - Composition (classical department) Site https://www.alter-schlachthof.be/fr/veranstaltung/der-gletscher-eine-oper/

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Daidalos Franck Bovet {Waimes} 08/11/2019 - 20:00 Eupen / Alter Schlachthof / 90 min. / 8 € / 4 €

PERFORMANCES IMPACT LAB

EUPEN

Pour Franck Bovet, l’art ne se résume pas seulement à un simple divertissement, mais au-delà de cela, il s'agit d'une quête perpétuelle – sensée ou insensée – de la manipulation de la matière, en vue de s’en libérer. Cette attitude a pour conséquences évidentes les multiples facettes de sa personnalité et le renoncement à toutes sortes de barrières stylistiques ou disciplinaires. Ainsi, il observe des travaux à la fois en tant que chercheur, improvisateur (jazz et classique) et compositeur. Hautement diplômé dans ces domaines (à Toulon, Aix-en-Provence, Paris, Liège, Maastricht), Franck Bovet s’illustre également en tant que pédagogue puisqu’il a enseigné le jazz, l’improvisation clavier, le piano classique, l’histoire de la musique, l’écriture et la composition dans plusieurs écoles, académies et conservatoires. À son actif, il compte plusieurs dizaines de pièces pour diverses formations jouées en Europe (France, Belgique, Pays-Bas, Italie, Pologne…). Il assistera ou travaillera d’ailleurs avec de nombreux compositeurs tels que Pascal Dusapin, Jean-Claude Risset, Dan Lustgarten, François Rossé, Michel Fourgon, Bauduoin de Jaer, Gilles Gobert, Robert HP Platz ou Georges Bœuf. Désormais, musicien multi-diplômé et reconnu, Franck Bovet vit en Belgique où il poursuit son travail d'artiste et se produit à travers l'Europe.

Site https://www.alter-schlachthof.be/fr/veranstaltung/daidalos-labyrinthe-for-solo-cello/

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Phoenix Éric Minh Cuong Castaing/Shonen {Marseille} 9/11/2019 / 20:00 CCHA/cultuurcentrum Hasselt / 50 min. / 20 € / 19 € / 10 €

PERFORMANCES HASSELT

Éric Minh Cuong Castaing questionne les représentations et les perceptions du corps à l’heure des nouvelles technologies, interrogeant des notions duales telles que le réel et la fiction, l’artificiel et l’organique. Né en Seine-Saint-Denis, il est aujourd’hui artiste associé au Ballet National de Marseille. Éric Minh Cuong Castaing est issu du champ des arts visuels : diplômé de l’école de l’image des Gobelins à Paris, il a été pendant plusieurs années graphiste dans le cinéma d’animation. Intéressé par les écritures chorégraphiques en temps réel, il découvre d’abord le hip-hop en 1997, puis le butoh, sous la houlette des maîtres Carlotta Ikeda et Gyohei Zaitsu, et, enfin, la danse contemporaine avec le plasticien chorégraphe allemand VA Wölfl. Au sein de sa compagnie Shonen, il met en relation danse, nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...) et corps in situ in socius : depuis sa fondation en 2011, la compagnie a signé une douzaine de créations – spectacle, installations, performances, films. Son travail est diffusé en France et en Europe (CND Paris, Centquatre Paris, MAC Créteil, tanzhaus nrw Düsseldorf, Tanz-quartier Vienne...), soutenu par le ministère de la Culture et de la Communication (Drac Paca, CNC-Dicréam...), et a reçu différents prix (Audi talents 2017, bourse Brouillon d’un rêve arts numériques Scam, bourse Créateur numérique Lagardère, bourse chorégraphique SACDBeaumarchais, Premier prix de l’Audace artistique et culturelle fondation Culture & Diversité).

Portrait, M le magazine du Monde, par Roxana Azimi : https://bit.ly/2NmzjSZ Extrait d’interview préparatoire « Les drones, en général, je ne les vois pas, mais je les entends en permanence dans le ciel de Gaza. Je les reconnais par le bruit qu’ils font. J’imagine leurs formes quand j’entends leurs sons (...) Comme quand tu écoutes ma voix, tu devines que je suis Mumen, même si tu ne m’as jamais vraiment vu. Même si je change un peu, tu vas toujours me reconnaître, à ma voix (...) On reconnaît le type de drone, comme ça : quand le son est faible et lointain, ce sont des drones qui volent haut, ceux qui sont dangereux et portent les missiles ; quand le bruit est fort et agaçant, c’est un petit drone qui nous surveille, parce qu’il vole bas (...) On reconnaît le type de drone qui a des cibles particulières et ceux qui ciblent une grande zone (...) Je peux reconnaître à ta voix quand tu te sens bien ou quand tu t’énerves. C’est la même chose. Ici, on connaît l’humeur des drones. »

Mumen Khalifa, danseur de Dabkeh et interprète de Phoenix, Khan Younès, Gaza. Extrait de presse « Une expérience contemporaine, technologique et organique, qui transcende les frontières. (...) Photographier la vie contemporaine de telle manière qu’elle se révèle dans son intranquillité, amener le spectateur à secouer la torpeur estivale pour s’interroger sur les lendemains qu’il participe à construire (...) La pièce se présente comme chorégraphiée pour drones et danseurs, une rareté (...) Les volets et les loopings des engins tracent en même temps un ballet aérien, tandis que les danseurs se penchent pour esquiver ou prendre leur élan comme on joue. Soudain (...) on est en communication par Skype avec un danseur palestinien résidant dans la bande de Gaza. (Phoenix) frappe autrement et fort. »

Le Figaro, juin 2018 Teaser https://vimeo.com/276766315 Site www.shonen.info

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Dear lollipop Lectoraat Technology Driven Art – Zuyd Hogeschool & Toneelacademie Maastricht Peter Missotten, Max Wind & Casper Wortmann 12 + 13/11/2019 / 20:00 - 15/11/2019 / 20:00 + 22:00

CCHA/cultuurcentrum Hasselt / 50 min. / 8 € PERFORMANCES

IMPACT LAB HASSELT

Peter Missotten (°Hasselt 1963) trained as a video artist (one of the students of Chris Dercon at St. Lukas Brussels). He worked all of his life in and around theatre spaces - starting as a light designer for ‘The Cement Garden’ in 1983. This started a long and passionate stage designer relationship with Guy Cassiers, which went on and off during some 25 years ('Wasp Factory', 'Sunken Red', 'Rage d’Amour',' Der Fliegende Holländer', 'Onegin'… to name just a few). In 1994 he founded de Filmfabriek with Anne Quirynen and Anne Heyman: A company dealing with the crossover between digital and performance arts. They worked intensively on projects with artists as William Forsythe, Wim Vandekeybus, Guy Cassiers and Georges Aperghis. Artists as Wies Hermans, Bram Smeyers, Kurt d’Haeseleer and Ief Spincemaille joined them over the years. From 2000 on, Peter Missotten evolved slowly from a designer of digital media art for the stage into a director for performance arts and opera productions. In 2009, he directed the world creation of 'KEPLER', an opera by Philip Glass for Linz09 at the Landestheater Linz. In 2010 he created 'MONTEZUMA - FALLENDER ADLER', an opera by Bernhard Lang, for the Nationaltheater Mannheim. He designed the stage and light concept for quite a few choreographies, by example 'The New Factory' by Guilherme Miotto and Michael Schumacher for Dansgroep Amsterdam. He developed a visual, performance based libretto for 'THE GOLEM', a new opera by Bernhard Lang, which he staged (direction, video, lights and stage design) for the Nationaltheater Mannheim in april 2016. He is a Master in Visual Arts (LUCA School of Arts Brussels) and has a masterclass degree in Cultural Managment (University of Antwerp) He teaches performance arts at the Toneelacademie Maastricht and is professor Technology Driven Art for the Arts department of Zuyd Hogeschool the Netherlands.

www.technologydrivenart.org

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Future self Company Wayne McGregor & Random International {London / Berlin} 12 + 13 + 15 + 16/11 - 18:00 > 19:30 every 30 minutes 14/11 - 18:00 > 20:30 every 30 minutes

17/11 - 15:30 > 17:30 every 30 minutes CCHA/cultuurcentrum Hasselt / 30 min. / 5 € All audiences - From 8 years

PERFORMANCES BELGIAN PREMIERE

HASSELT

Future Self is a performative light installation by Random International, with music by Max Richter. Future Self studies human movement; what it can reveal about identity and the relationship we have with our own image. The installation captures movement in light, creating a three-dimensional, 'living' sculpture from the composite gestures of those who surround it. Viewers are bound together – in the moment – as an ethereal, illuminated presence. Two dancers intensely communicate, with each other and with their own reflections, through light as well as through the body. Throughout the performance, music, artwork and the human form are unified into one immediate and emotional experience. The creative working process began in London, England, continued in Berlin and culminated in three performances at MADE, a creative platform for artists in the heart of Berlin. Commissioned and supported by MADE, Berlin. Images courtesy of Random International, short film by MADE, Berlin. Full version https://vimeo.com/44097892 Site www.waynemcgregor.com www.random-international.com

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Without the first, the second will not be there + All eyes HOMEWORK C33 & FRAME {Hasselt} 22/09 >> 24/11/2019 Accessible from Tuesday to Friday, from 10:00 to 17:00 Accessible Saturday and Sunday, from 13:00 to 17:00 CCHA/cultuurcentrum Hasselt / Free admission

EXHIBITIONS HASSELT

FRAME cherishes the value and necessity of the fragile connection between discipline and discourse: a largely uncharted territory. We explore unconventional forms of knowledge that create new conceptual frames for images from within the artistic practice. We regard this practice itself as a substantial part of the research because the act of making sets forth a way of thinking in and through images and spaces. This thinking needs a language that is ‘in tune’ with the praxis, but does not coincide with it.

Images should be understood here in the broadest sense of the word. We do not only attentively create and interpret images that can literally be ‘framed’, like paintings, drawings and pictures, but also sculptures, installations, interiors, buildings, landscapes, literary texts, and even metaphors and philosophical concepts.

FRAME is an interdisciplinary research group consisting of researchers from both the arts (MAD-PXL Research) and (interior) architecture (UHasselt – ArcK). Architecture and the arts generate a new form of knowledge that requires an adequate language – verbal, visual and spatial. This entails a certain rigor, it means slowing down and taking time to contemplate, to perceive carefully and attentively. We develop through writing, sketching, building, drawing, painting a discourse that allows us to express those experiences of inner and outer reality that could not be expressed by any other means.

www.frame-research.be

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AntennA Kevin Trappeniers {Antwerp} 9 >> 12/11/2019 Accessible from 10:00 to 18:00 City park in front of CCHA/cultuurcentrum Hasselt / Free admission

EXHIBITIONS HASSELT

Kevin Trappeniers develops a stilled, visual and physical theatrical language in detailed, sensate work at the intersection of performing arts and visual arts. He creates mainly performances where acting, lighting, sound, body and scenography are equally important. During 2019 Trappeniers starts a new research phase with residencies in Belgium and the Netherlands. In 2018, Trappeniers worked on AntennA and Ellipsis: a complementary diptych consisting of an installation in the public space and a theatre performance in the black box. Both works relate about the relationship between human and technology, and the mutual (mis)communication that arises from it, while having a different focus. How do technological possibilities influence the communication between people? And how do we as humans handle the rapid technological evolutions? Both the installation and the performance are on tour in 2019, both in Belgium and internationally. Asymptote is an earlier visual and physical theatre performance that stems from a research residency conducted and accompanied by arts works space L’L. The piece was supported and presented throughout Belgium. Another project that originated from the research residency at L'L was the dance performance Selfed. Trappeniers worked on it in TAKT Dommelhof (Belgium) and with Plesni Teater Ljubljana (Slovenia). The piece was presented as physical theatre during TAKT Festival #17. Parallel to this, Trappeniers worked on performances in a.o. the performances/installations of the "Saturn" series by Karl Van Welden (United Planets), "Cinérama" and the series "Monster!" by Abattoir Fermé, the exhibition dance performance "Who Makes Paintings Anyway?" with Lies Borgermans, Sara Tan and Thomas Vantuycom, "The Wind Egg Project" by Haseeb Ahmed, Egle Budvytytes‘ exhibition choreographic piece "Skateboard Prayer, or Head below the Heart". www.kevintrappeniers.be

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STRAPTRACK CREW, EDM-UHasselt, Androme & Platform 0090 {Brussels/Hasselt/Antwerp} 9 >> 11/11 - 14:00-19:30 every 30 minutes 12 + 13/11 - 18:00-21:30 every 30 minutes

CCHA/cultuurcentrum Hasselt / 30 min. / Free admission, registration needed PERFORMANCES

IMPACT LAB HASSELT

As an experimental company CREW aims to visualize how technology is changing us. The art form that is used for this purpose and that quite simply engages the body of the spectator, is immersion. There are multiple ways of sharing immersive environments with the public but the main critera is for the art form to be live: theatre, installations and performances. These real-time creations anchor the immersive experience in the here and now. In the here and now the sole contact point between humans and technology. In the here and now CREW confronts a wide and international audience personally and bodily with that which surrounds us, our place in it and the way we perceive ourselves. Scientific Fiction is the best description of Eric Joris’ way of working with an international network of artists and scientists. Where the well-known Science Fiction is a genre that typically paints a fantastic future, Scientific Fiction is CREW’s method of providing a glimpse of the future by questioning new digital possibilities and putting them to use in an alternative way. www.crewonline.org www.androme.tv www.0090.be

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Focus + Molecular voyages Jesse Passenier & Prof. Elia Formisano {Maastricht} Joris Hoefakkers & Prof. Dr. Ron Heeren 18/11/2019 /20:00 120’ Théâtre de Liège / Salle de l’Œil vert

FILMS MAASTRICHT@LIÈGE

Focus FR Le projet Focus étudie d’un point de vue scientifique et artistique le filtrage auditif humain lié aux réactions émotionnelles. Il contribue ainsi au développement d’aides auditives qui utilisent l’activité cérébrale pour mieux permettre à l’individu de se concentrer. Le projet étudie la stratification de la musique, ce qui se trouve au premier plan et ce qui se trouve à l’arrière-plan. Et quelles émotions la musique évoque-t-elle réellement ? La recherche du professeur Elia Formisano, de la faculté de psychologie et de neurosciences de l’université de Maastricht, s’associe aux œuvres pour basson et violoncelle spécialement créées pour ce projet par le compositeur Jesse Passenier. Envie d’en savoir plus ? Alors, immergez-vous dans ce spectacle interactif, qui brouille la frontière entre recherche et concert, où les

électroencéphalogrammes (EEG) partagent la scène avec de la musique jouée en direct ! NL Project Focus bestudeert het menselijk auditief filteren in samenhang met emotionele reacties vanuit wetenschappelijk en artistiek perspectief. Hiermee dragen ze bij aan de ontwikkeling van gehoorapparaten die de analyse van je hersenactiviteit gebruikt om je beter te kunnen focussen. Het project bestudeert de gelaagdheid van muziek, wat ligt op de voorgrond en wat op de achtergrond? En welke emoties worden daadwerkelijk door de muziek opgeroepen? Het werk van Hoogleraar Elia Formisano van de Faculteit voor Psychologie en Neurowetenschap van Maastricht University komt samen met de speciaal voor dit project gecreëerde werken van componist Jesse Passenier voor fagot en cello. Benieuwd geworden? Dompel je dan onder in deze interactieve performance, die de scheidingslijn vertroebelt tussen onderzoek en concert, waar mobiele EEG apparaten het podium delen met live muziek! DE Im Projekt Focus wird das auditive Filtern des Menschen im Zusammenhang mit emotionalen Reaktionen aus wissenschaftlicher und künstlerischer Perspektive erforscht. Damit leistet es einen Beitrag zur Entwicklung von Hörgeräten, die sich die Analyse Ihrer Gehirnaktivität zu Nutze machen, um besser fokussieren zu können. Im Projekt wird die Schichtung von Musik eruiert: Was liegt im Vordergrund und was im Hintergrund? Und welche Emotionen werden tatsächlich von der Musik hervorgerufen? Die Arbeit des Universitätsdozenten Elia Formisano von der Fakultät für Psychologie und Neurowissenschaft der Maastricht University verbindet sich mit den eigens für dieses Projekt geschaffenen Werken des Komponisten Jesse Passenier für Fagott und Cello. Neugierig geworden? Dann tauchen Sie ein in diese interaktive Performance, welche die Trennlinie zwischen Forschung und Konzert verwischt, an der sich mobile EEG-Apparate die Bühne mit Livemusik teilen!

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Molecular voyages

FR Comment l'imagerie moléculaire peut-elle changer le monde? Molecular voyages est un court métrage de science-fiction où l'imagination artistique et la recherche médicale se rencontrent. Dans leur précédent court métrage Rose (2017), le réalisateur Joris Hoefakkers (Submedia) et le scientifique Ron M.A. Heeren (directeur de l'université M4I de Maastricht) se concentrent sur la perspective et la vie émotionnelle du patient. Dans ce nouveau film Molecular voyages, le monde est envisagé d'un point de vue scientifique à travers les yeux d'un enfant aux possibilités illimitées. Que réserve l'avenir? Découvrez en avant-première une vision de notre avenir qui pourrait devenir réalité plus tôt que prévu. NL Hoe kan moleculair imaging de wereld veranderen; van individuele patiënt tot een wereldwijde ziekte. Molecular voyages is een sci-art korte film waar artistieke verbeeldingskracht en vooruitstrevend medisch onderzoek elkaar ontmoeten. In de korte film Rose (2017) legden regisseur Joris Hoefakkers (Submedia) en wetenschapper Prof.Dr. Ron M.A. Heeren (Director M4I Maastricht University) de focus op het perspectief en het emotionele leven van de patiënt. In deze nieuwe film Molecular voyages wordt vanuit wetenschappelijk perspectief door de ogen van een kind met onbegrensde mogelijkheden naar de wereld gekeken. Wat brengt de toekomst? Neem een preview en ervaar een visie op onze toekomst die wellicht sneller dan gedacht realiteit wordt. DE Wie kann die molekulare Bildgebung die Welt verändern? Molecular voyages ist ein Science-Fiction-Kurzfilm, in dem künstlerische Vorstellungskraft und medizinische Forschung aufeinander treffen. In ihrem früheren Kurzfilm Rose (2017) konzentrieren sich der Regisseur Joris Hoefakkers (Submedia) und der Wissenschafter Ron M.A. Heeren (Direktor der Universität M4I von Maastricht) auf die Perspektive und das emotionale Erleben des Patienten. Im neuen Film Molecular voyages wird die Welt von einem wissenschaftlichen Standpunkt aus durch die Augen eines Kindes mit unbegrenzten Möglichen betrachtet. Was wird die Zukunft bringen? Entdecken Sie in der Vorpremiere eine Vision unserer Zukunft, die schneller als gedacht zur Realität werden könnte.

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discrete figures 2019 {Tokyo}

Daito Manabe, Rhizomatiks Research, ELEVENPLAY, Kyle McDonald Théâtre de Liège / Salle de la Grande Main Mercredi 20 + jeudi 21/11 - 21:00 70 min. - 13 € / 21 € / 26 €

PERFORMANCES LIÈGE

BELGIAN PREMIERE

‘discrete figures’ explores the interrelationships between the performing arts and mathematics, giving rise to mathematical entities that engage with the bodies of human dancers onstage. Alan Turing applied mathematics to disembody the brain from its corporeal host. He sought to expand his body, transplanting his being into an external vessel. In a sense, he sought to replicate himself in mechanical form. Turing saw his computers as none other than bodies (albeit mechanical), irrevocably connected to his own flesh and blood. Although onlookers would see a sharp delineation between man and machine, in his eyes, this progeny did not constitute a distant Other. Rather, he was the father of a “living machine,” a veritable extension of his own body, and a mirror onto the act of performing living, breathing mathematics.

Daito Manabe Towards New Modes of Dance via A.I. and Machine Learning Rhizomatiks Research and ELEVENPLAY have garnered an international following for their many groundbreaking collaborations to date. Melding a commitment to conceptual innovation with a high level of technical refinement, they have unlocked unexplored possibilities in dance as a performing art, approached from the tandem perspective of installation and media art. ‘discrete figures’ represents the fruits of their latest collaboration in the form of a dance performance conceived jointly with U.S.-based media artist and researcher Kyle McDonald. ‘discrete figures’ unites the performing arts and mathematics in a dramatic exploration of the relationship between the human body and computer generated movement (simulated bodies) born from mathematical analysis. As an additional layer of complexity, the performance piece utilizes drones, A.I., and machine learning in the quest for a new palette of movement to foster undiscovered modes of expressive dance that transcend the limits of conventional human subjectivity and emotional expression. Site https://research.rhizomatiks.com/s/works/discrete_figures/en/ Teaser https://youtu.be/hauXQQhwbgM

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Haptic + Median Hiroaki Umeda {Tokyo} Théâtre de Liège / Salle de la Grande Main 23/11 - 21:00 / 75 min. 11 € / 18 € / 20 € Bus Hasselt >> Liège 20:00

PERFORMANCES LIÈGE

Chorégraphe à la lisière entre danse, science et installation audiovisuelle, Hiroaki Umeda (Cie S20) cultive les ponts. La soirée offre ainsi l’occasion d’une plongée dans une danse qui conjugue abstraction et poésie moléculaire. Où dans un volume scénique immersif, Hiroaki Umeda livre deux soli d’abord énigmatiques. Intriquant toutes les dimensions de ses pièces (lumière, son, danse), Hiroaki Umeda crée à partir de données biologiques digitalisées. L’observation de cellules vivantes est ce qui lui sert de matériau pour sa recherche d’un système du mouvement. Ses compositions vidéos, étincelles en mouvement bombardant l’obscurité, sont notamment créées à partir de données biologiques. Idem pour la texture sonore, crépitante. Car les données cellulaires servent ici à programmer sons et images. Pour une scénographie immatérielle et dépouillée, composée de lumière, d’ondes sonores et d’équations. Mais dans ce paysage éthéré, Hiroaki Umeda insère son corps dansant. Danse frénétique, Hiroaki Umeda magnétise l’attention. Et plus le regard s’accroche aux gestes du danseur, plus se creuse l’écart entre le moment de l’action et le moment de la saisie. Toujours en avance pour l’un, dans son temps réel ; toujours en retard pour l’autre, dans son attente sensible. Et la même dynamique de mouvement se retrouve à l’œuvre dans Median (création 2018). Logique du chaos, Median déplie, déploie, contracte et éclate les structures. Quadrillages orthogonaux, diagrammes de voronoï, stries… À une vitesse vertigineuse, les trames s’enchaînent et s’enchevêtrent. D’abord immergé dans un espace audiovisuel, le danseur devient progressivement ce moment pulsatile qui focalise l’attention. Particule ni consciente, ni inconsciente : particule en mouvement, Hiroaki Umeda résonne de l’agitation du monde. Dans une forme de transe physico-chimique sans autre narration que celle du mouvement. À prescrire sans réserve aux personnes les plus réfractaires à l’abstraction scientifique.

Parisart, novembre 2018

Site : http://hiroakiumeda.com/project.html Teaser Median : https://youtu.be/cP9q7SBmjGA Teaser Haptic : https://vimeo.com/64870753

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Cerebrum, le faiseur de réalités Yvain Juillard {Brussels} 19/11 - 20:00 Liège / La Cité Miroir Durée: 1h15 / 9€ / 15€

PERFORMANCES LIÈGE

Notre cerveau réinvente sans cesse notre réalité. Sous des allures de conférence, ce spectacle, alliant théâtre et sciences, nous invite à expérimenter les phénomènes créés par notre cerveau qui définissent pourtant notre réalité et notre identité. Yvain Juillard, ancien biophysicien spécialisé dans la plasticité cérébrale, aujourd’hui acteur, porte sur scène ce qui l’habite et met nos cerveaux despectateurs en ébullition. Yvain Juillard est diplômé de l’INSAS section interprétation dramatique, biophysicien spécialisé dans la plasticité cérébrale, doctorant en Art et Sciences de l’Art. Il est Louis XVI dans Ça ira (1) fin de Louis de Joël Pommerat, incarne Nox au côté de Nathalie Baye dans la série éponyme de canal+ de Mabrouk El Mechri et participe au long métrage d’Hélier Cisterne aux côtés de Vicky Krieps. Artiste résident au Théâtre de L’L, il est lauréat 2013 et 2016 de la bourse d’écriture du C.E.C de la Chartreuse de Villeneuve les Avignon. Yvain est chargé de cours à l’INSAS (section cinéma) depuis 2018. Extrait de presse À travers diverses expériences simples mais troublantes, Yvain Juillard interrogeait notre perception, notre mémoire, notre libre arbitre et notre conscience… car sur les milliards d’opérations qui se déroulent à chaque seconde en nous, de quelle ridicule fraction sommes-nous conscient.e.s ? Et d’où vient que nous puissions nous poser la question ? Tenter d’y répondre nous concerne tou.te.s. C’était bien l’enjeu de Cerebrum, qui alliait au partage de gai savoir scientifique l’évocation du cheminement personnel de l’acteur dans cette quête neuronale. Son talent théâtral s’y ajoutait pour rendre sa conférence « spectaculaire », captivante et en jouante interaction avec le public.

Isabelle Dumont, à propos de la première version du spectacle en 2015. http://blog.alternativestheatrales.be

Le spectacle sera suivi d’une rencontre avec Yvain Juillard et Leandro Sanz, médecin et doctorant

en sciences médicales au Coma Science Group, basé au GIGA Consciousness, ULiège, boursier

FNRS et spécialiste des états de conscience modifiés.

Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=2ZjUHaZBCLs

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Blue Bird Isabelle Jonniaux {Brussels} 20 >> 22/11/2019 / 19:00 Théâtre de Liège / Salle de l’Œil vert 60 min. / 9 € / 15 €

PERFORMANCES IMPACT LAB

LIÈGE

BLUE BIRD est un spectacle sonore et immersif destiné au jeune public ; les spectateurs prennent place au cœur d’une installation scénographique qui donnera « vie » à l’épopée fantastique tirée de L’Oiseau Bleu de Maeterlinck. Ce conte, d’une grande richesse littéraire et philosophique, a émerveillé des générations entières à travers le monde ; Moscou, Hollywood ou Tokyo s’en emparèrent dans des productions les plus diverses, donnant à la pièce de théâtre ses lettres de noblesse et une diffusion massive. Pourtant, chez nous, il y a une méconnaissance de cette œuvre qui reste d’une actualité brûlante malgré son siècle d’existence. Adapté ici pour la forme sonore, il est un matériau de réflexion précieux qui invite les enfants à questionner le monde qui les entoure et la notion même de bonheur dont l’Oiseau Bleu est le symbole. Il est un véritable manifeste poétique au service de la force de l’imaginaire. Le projet BLUE BIRD est l’occasion de réhabiliter, dans une forme pleinement contemporaine, ce bijou littéraire du patrimoine belge (Maeterlinck étant le seul prix Nobel de littérature belge). L’enjeu est de redonner vie à ce conte merveilleux en proposant une expérience ludique, singulière et stimulante pour les plus jeunes, tout en les amenant à réfléchir sur des questions essentielles. Cette forme sonore et immersive est le fruit d’une collaboration entre une metteure en scène, un créateur sonore et un studio scénographique. Elle est destinée aux familles et enfants à partir de 7 ans. Isabelle Jonniaux se forme dans différentes écoles de théâtre dont le Studio-théâtre Alain de Bock (Paris) ainsi qu’à travers de nombreux workshops (Galin Stoev, Jean-François Peyret, Bénédicte Liénard, Roberto Alvim…). Depuis 2003, elle joue en France et en Belgique, développe des collaborations avec plusieurs compagnies. Elle travaille entre autre sur l’écriture collective au sein de la Playground Cie (Limoges), explore le théâtre-documentaire avec la Cie Arcinolether dirigée Christophe Cotteret (Bruxelles), expérimente le théâtre intime et immersif avec la Cie du Veilleur dirigée par Matthieu Roy (Poitiers). À partir de 2008, elle donne forme à ses envies d’écriture et de mise en scène. Elle fonde sa propre compagnie, porte à la scène L’Oiseau Bleu de Maeterlinck, La Virevolte de Nancy Huston et collabore récemment avec Annick Lefebvre dans l’écriture de J’accuse qu’elle met en scène et interprète. Depuis 2016, elle est artiste-résidente à L’L (structure d’accompagnement et de recherche) où elle mène une écriture dramatique et plastique autour de la déambulation urbaine. Parallèlement à ses projets artistiques, elle cofonde en 2005 l’Atelier 210 (Bruxelles), un espace de création tourné vers l’émergence, où théâtre et musique se partagent la scène. Elle y est directrice artistique.

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GLITCH Florencia Demestri et Samuel Lefeuvre {Brussels} Liège / La Cité Miroir Samedi 23/11 - 19:00 50 min. / 9 € / 15 €

PERFORMANCES LIÈGE

Avec GLITCH, Demestri et Lefeuvre se lancent dans le décryptage d’une esthétique de l’erreur. Pour cette création, ils sont partis d’un constat simple : la technologie devient tellement présente dans notre vie que nous vivons dans une hyper-réalité. Le cinéma, les effets spéciaux, les jeux vidéos ont nourri notre imaginaire de références technologiques, futuristes, qui semblent se rapprocher de plus en plus et viennent pirater notre perception de la réalité. Ils ont choisi de prendre ces références et ces sensations à bras-le-corps pour se les réapproprier sur scène. En s’inspirant des «glitch artists» qui cherchent à créer de nouvelles images en provoquant des accidents dans les flux de traitements de données informatiques, ils détournent leur manière de créer du mouvement pour révéler de potentielles erreurs créatrices, et bouger au-delà d’une possible résolution, vers l’inhabituel, l’inattendu. Il ne s’agit donc pas pour eux de porter un regard seulement critique sur ces phénomènes, ou sur la “technologisation” à outrance de notre société, mais bel et bien de s’en inspirer pour faire surgir des anomalies créatives, des accidents esthétiques, et paradoxalement des fulgurances d’humanité, d’organicité… Depuis 2012, Florencia Demestri et Samuel Lefeuvre développent ensemble des spectacles hybrides, où la question de l‘étrangeté est toujours centrale, privilégiant une dramaturgie des sens et non du sens. Grâce à des procédés de narration non linéaire et une physicalité intense et décalée, ils invitent le spectateur à lâcher prise et à s’aventurer dans une lecture multiple et intuitive. www.demestrilefeuvre.com

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Dansathon Winners of the 2019 edition Théâtre de Liège / Salle des Nouvelles Têtes 19 > 23/11

PERFORMANCES LIÈGE

Trois jours, trois villes et plus de 100 participants. Le Dansathon 2018 – premier Hackathon international de danse – avait pour vocation d’inventer la danse de demain. Portrait-robot d’un certain futur chorégraphique.

Si on imagine les geeks mal à l’aise dans leurs corps et les danseurs ne jurant que par l’organique et la chair, il suffit de passer quelques heures au Dansathon pour faire voler en éclat ces préjugés. On aura ainsi vu des codeurs – déjà proches des milieux du spectacle vivant pour nombre d’entre eux – participer aux échauffements dansés ; et des artistes aux profils atypiques, croisant depuis longtemps approches par le corps et réflexions techniques, désireux de creuser encore plus loin cette voie.

C’est le cas d’Amy Cartwright, à Londres, qui cumule les casquettes de chorégraphe et codeuse et regrette que la technologie ne soit pas davantage présente dans les écoles de danse, contrairement à celles d’art plastique ou de musique. Ou encore du chorégraphe Éric Minh Cuong Castaing, à Lyon, qui ne cesse d’interroger, à travers ses pièces et ses films, la façon dont les nouvelles technologies ont modifié notre perception du monde. Moins ignorant l’un de l’autre que ce que l’on pourrait penser, ces deux mondes peinent à se rencontrer dans les institutions culturelles, malgré la multiplication récente des initiatives permettant ces convergences.

Au vu du nombre de candidatures (400 !), le Dansathon, imaginé et porté par la Fondation BNP Paribas, en intelligence avec la Maison de la danse de Lyon, le Théâtre de Liège et le Sadler’s Well à Londres, arrivait donc à point nommé pour offrir un espace de dialogue – sous la forme épique d’un marathon – à deux communautés désireuses de travailler plus proches les unes des autres.

Pendant trois jours, on aura vu des personnalités venues d’horizons différents orientant leurs énergies pour créer un langage commun à la croisée de leurs pratiques : qu’il faille un moment abandonner les mots pour se connecter par le corps, mettre les idées en mouvement en partant se promener, ou encore trouver une forme de traduction qui permettent aux concepts scientifiques et aux sensations ineffables de communiquer. De ces rencontres fructueuses, Jonathan Thonon, programmateur du festival Impact au Théâtre de Liège, appelle à ne pas en rester là.

Rédigé par Mouvement pour le Dansathon

www.dansathon.org

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DIGITAL UMBILICAL {London} 19/11 18:00

Lauréat Dansathon Londres 2018

Dans le cadre d’une performance en face à face, un spectateur et un danseur sont connectés l’un à l’autre grâce à des capteurs – l’un enregistre le pouls du premier, l’autre la respiration du second. Ces capteurs créent un environnement sonore. L’empathie entre le danseur et le spectateur grandit à mesure qu’ils se connectent à l’expérience physiologique de l’autre.

Digital Umbilical est un moment inédit pour les protagonistes: une conversation partagée et intensifiée par l’intervention de la technologie et l’exacerbation des sens. Permettre à un individu de partager l’état physique et émotionnel de l’autre est une manière de placer l’humain plus que tout au cœur de cette expérience technologique.

« Le thème de l’intimité nous a inspiré - ce qui la déclenche et ce que la technologie peut apporter à une potentielle connexion humaine. L’intimité est une expérience que l’on partage, un choix de s’engager envers l’autre. Nous avions à coeur la notion d’expérience sensorielle et à la subtilité des connexions que nos sens peuvent créer avec autrui.

Nous nous sommes inspirés de l’environnement du ventre maternel : universel, à la fois insulaire et extrêmement intime, un lieu de création et de développement. L’environnement créé lors de la performance utilisera des algorithmes d’apprentissage automatique pour analyser les données et déceler des modèles afin d’améliorer l’expérience des protagonistes. »

Teaser https://youtu.be/qldCjOsEx8U

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CLOUD DANCING {Brussels} 22/11 17:00 + 20:00 23/11 13:00 + 17:00 + 20:00

Lauréat Dansathon Liège 2018

Cloud Dancing est un spectacle de danse immersif et interactif qui croise danse et réalité virtuelle. Les specta(c)teurs peuvent vivre la chorégraphie interprétée par des danseurs et par des images 3D de danseurs, depuis un théâtre mais aussi depuis un lieu public comme un café, entre amis, ou depuis leur canapé à la maison.

Les spectateurs peuvent interagir avec les danseurs en « live » ou via leur smartphone et un casque de réalité virtuelle et influencer ainsi en temps réel la chorégraphie. Cloud Dancing peut s'étendre au-delà des frontières, être accessible à tout moment et faire ainsi le pont entre le théâtre et les espaces quotidiens. Les possibilités sont infinies car elles juxtaposent les réalités physiques et numériques.

« La danse et la musique servent à raconter des histoires, à exprimer des émotions, à transmettre des expériences. Elles sont universelles et font partie intrinsèque de nos modes de communication. Dans ce cas, pourquoi ne pas se servir de la danse dans notre quotidien ? Nous vivons parfois à un rythme trépidant et acharné dont il est difficile de se défaire. Ce besoin d’évasion du rythme quotidien nous inspire et, selon nous, la danse et la créativité sont la solution. Nous avons pour objectif de développer des espaces dédiés à la danse pour en donner l’accès au public et le détacher de sa routine. Nous invitons les gens à expérimenter la danse dans un environnement confortable et nous les laissons tirer ce qu’ils veulent de cette expérience ; l’idée est de satisfaire leurs besoins en les immergeant dans un environnement qui stimule les sens. »

Teaser https://youtu.be/YIIFvPBiaIo

VIBES {Lyon} 22/11 18:00

Lauréat Dansathon Lyon 2018

Vibes est une application de rencontre chorégraphique et sonore. Elle permet à des utilisateurs de se rassembler pour partager un instant dansé - un peu sur le modèle du flash mob, dans un lieu donné – un parc par exemple - ou dans différentes villes ou pays, au même moment. Equipés d’une enceinte Bluetooth ou écouteurs aux oreilles, les danseurs improvisent ensemble leur danse grâce à l’audio-guidance d’un chorégraphe. L’application leur permet aussi de co-créer la musique en fonction de leurs mouvements et de leurs déplacements dans l’espace.

L’objectif est de rendre la danse accessible à tous et de rassembler les gens. Permettre à des personnes physiquement éloignées ou seules de se relier pour vivre un moment de danse partagée et de musique co-créée, en abolissant les frontières grâce aux technologies. Pouvoir vivre ensemble un moment éphémère d’harmonie des corps, où que vous soyez. Et susciter un sentiment d'appartenance malgré les distances.

Teaser https://youtu.be/tZYIcKz0a3Q

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Wind Avatar Haseeb Ahmed {Brussels} 9/11/2019 >> 4/01/2020 Vernissage 8/11 / 18:00 Accessible from Tuesday to Saturday, from 12:00 to 18:00 Théâtre de Liège / Salle des Pieds Légers / Free admission

EXPOSITIONS LIÈGE

Haseeb Ahmed (b. 1985, US) is a research-based artist living and working in Brussels and Zurich. His work is often collaborative and draws on tools and techniques from the hard sciences to produce artworks. Ahmed received his Masters in Visual Studies at the Massachusetts Institute of Technology (MIT) and completed a Bachelor of Fine Arts at the School of the Art Institute of Chicago in sculpture and architecture. As a researcher at the Jan van Eyck Academy in Maastricht, the Netherlands (2011-2012), Ahmed won the “Designers and Artists 4 Genomics Award” with his work « The Fishbone Chapel » and initiated the project “Has the World Already Been Made?”, which has been exhibited internationally and featured in both the GIBCA (Goteborg International Biennial for Contemporary Art) and 6 Tunnels Public Art Commission (Brussels) in 2017. This year Ahmed was also selected by the Battaglia Artistic Foundry to develop a « Casting Wind » sculpture and awarded a Vertigo Residency by the European Commission’s Science, Technology and Arts Program (STARTS, under Horizon 2020). The trilogy of exhibitions surrounding his work « The Wind Egg » concluded with a solo exhibition at The Museum of Contemporary Art (M HKA), Antwerp curated by Nav Haq.

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