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Une soirée toute en légéreté - le 23 novembre 2013 - à 19h30. L a deuxième soirée de la programma- tion officielle du Centre culturel Frontenac va vous surprendre par sa légéreté et son porfessionalisme. En effet, Amylie et The Diaries (première par- tie) seront parmi nous pour nous enchanter avec leur répertoire. Amylie est une artiste « très guitare folk avec une douce voix qui fait voyager, mélangée à une musique à la Jack Johnson». Au fil des 60 et quelques dates de sa première tournée, Amy- lie a rempli ses bottines de rythmes et de souri- res, fignolé son soul et peaufiné son art. C'est avec l'assurance que confère l'expérience qu'el- le présente maintenant ce 2ème album empreint d'originalité et de lumière, réalisé par Antoine Gratton. L'interprète de Mes Oreilles nous offre un son, une voix, une âme, qui n'a pas son égal. Il n’y a pas si longtemps, elle enregistrait ses chansons penchée sur le répondeur de son petit appartement montréalais. Les moyens techni- ques étaient limités, mais l’amour des sons et des mots l’habitait, et la voix se frottait déjà aux couleurs soul et jazzy qui allaient faire sa signature. Les moyens sont venus, la confiance aussi, mais la fille au fond a peu changé: dans un deux et demi comme sur une scène des Fran- > Anne Gutknecht, Directrice générale coFolies, Amylie brûle d’aller au bout de ses intuitions musicales. 2008 marque un temps fort pour la jeune chanteuse, alors que paraît Jusqu’aux oreilles , un premier album qui en a sé- duit des milliers, d’oreilles. Réalisé par JF Lemieux, l’opus déroule un fasci- nant tissu rythmique, portant loin le grain de voix singulier et la poésie d’Amylie. L’extrait radio Mes oreil- les s’envole d’ailleurs rapidement sur les ondes, bientôt choisi Single of the Week par iTunes et faisant son entrée dans le Top 6 à 6 de CKOI. Amylie obtient dans la foulée une nomination au Gala de l’ADISQ 2009, catégorie Révélation de l’année. The Diaries est un groupe de musique anglophone composé d’Anna Robertson et Lia Daw- son, deux habitantes de King- ston. Elles ont joué ensemble dans plusieurs groupes dif- férents depuis plus de dix ans. Elles enregistrent actuellement leur premier album. Ce duo pop -folk va littéralement vous en- chanter. Le CCF est fier de pou- voir soutenir des artistes locaux. On vous attends nombreux et nombreuses, francophones ou non (la soirée à ce deuxième volet artis- tique de la programmation culturelle du Centre culturel Frontenac. Le 23 Novembre 2013 - à 19h30 - Au Théâtre l’Octave, 711 avenue Dalton, K7M 8N6. Service bar offert. Volume 36 Numéro 2 novembre-décembre 2013 L’Informel est numérique! [email protected] Tarifs: 15$ en prévente 20$ à la porte > Anne Gutknecht, Directrice générale N os deux héros jaillissent, comme expulsés d’un canon à surprises, entraînant l’audi- toire dans une folle randon- née où les airs et coutumes bien de chez nous sont à l’honneur. Brillamment orchestré par notre tandem aux mille chapeaux, ce noël en chan- sons, agrémenté de sketchs, de danses et d’adaptations loufoques, séduit tous les publics. Répliques hilarantes, mimiques bidonnantes, interaction constante; un feu roulant où l’ingéniosité scénique donne place à des changements de cos- tumes drôlement éclatés!!! Ce joyeux festin déballe en rafale des personnages tous aussi drôles, qu’extra- vagants : « Le barde à barnicles » et ses rimes givrés, « L’espionne en pyjama » et son rêve dévoilé, « Santa Cool » et sa guitare diabolique, « Coquette Je Veux » et son cadeau-surprise, « Les chaussons ferrés » avec un avant goût du réveil- lon… Et autres moments de pur plaisir dans ce Noël survolté, qui fait rire, réflé- chir et surtout…qui fait chanter! Un concours de dessin va être mis en place dès la semaine prochaine. Trois gagnants seront tirés au sort et gagneront un place gratuite pour le spectacle. Le 7 décembre 2013 - à 14h Au Théâtre l’Octave 711 avenue Dalton - Kingston K7M 8N6 - Goûter surprise. Tarifs: 12 $ adultes 8 $ enfants 40 $ famille (2 adultes - 2 enfants minimum)

Informel novembre-décembre 2013

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Page 1: Informel novembre-décembre 2013

Une soirée toute en légéreté - le 23 novembre 2013 - à 19h30.

L a deuxième soirée de la programma-

tion officielle du Centre culturel

Frontenac va vous surprendre par sa

légéreté et son porfessionalisme.

En effet, Amylie et The Diaries (première par-

tie) seront parmi nous pour nous enchanter avec

leur répertoire.

Amylie est une artiste « très guitare folk avec

une douce voix qui fait voyager, mélangée à

une musique à la Jack Johnson». Au fil des 60

et quelques dates de sa première tournée, Amy-

lie a rempli ses bottines de rythmes et de souri-

res, fignolé son soul et peaufiné son art. C'est

avec l'assurance que confère l'expérience qu'el-

le présente maintenant ce 2ème album empreint

d'originalité et de lumière, réalisé par Antoine

Gratton. L'interprète de Mes Oreilles nous offre

un son, une voix, une âme, qui n'a pas son égal.

Il n’y a pas si longtemps, elle enregistrait ses

chansons penchée sur le répondeur de son petit

appartement montréalais. Les moyens techni-

ques étaient limités, mais l’amour des sons et

des mots l’habitait, et la voix se frottait déjà

aux couleurs soul et jazzy qui allaient faire sa

signature. Les moyens sont venus, la confiance

aussi, mais la fille au fond a peu changé: dans

un deux et demi comme sur une scène des Fran-

> Anne Gutknecht, Directrice générale

coFolies, Amylie brûle d’aller au bout de ses

intuitions musicales.

2008 marque un temps fort pour la jeune

chanteuse, alors que paraît Jusqu’aux

oreilles, un premier album qui en a sé-

duit des milliers, d’oreilles. Réalisé par

JF Lemieux, l’opus déroule un fasci-

nant tissu rythmique, portant loin le

grain de voix singulier et la poésie

d’Amylie. L’extrait radio Mes oreil-

les s’envole d’ailleurs rapidement

sur les ondes, bientôt choisi Single

of the Week par iTunes et faisant

son entrée dans le Top 6 à 6 de

CKOI. Amylie obtient dans la

foulée une nomination au Gala

de l’ADISQ 2009, catégorie

Révélation de l’année.

The Diaries est un groupe de

musique anglophone composé

d’Anna Robertson et Lia Daw-

son, deux habitantes de King-

ston. Elles ont joué ensemble

dans plusieurs groupes dif-

férents depuis plus de dix ans.

Elles enregistrent actuellement

leur premier album. Ce duo pop

-folk va littéralement vous en-

chanter. Le CCF est fier de pou-

voir soutenir des artistes locaux.

On vous attends nombreux et

nombreuses, francophones ou non

(la soirée à ce deuxième volet artis-

tique de la programmation culturelle

du Centre culturel Frontenac.

Le 23 Novembre 2013 - à 19h30 - Au

Théâtre l’Octave, 711 avenue Dalton,

K7M 8N6. Service bar offert.

Volume 36 • Numéro 2 novembre-décembre 2013 L’Informel est numérique! [email protected]

Tarifs:

15$ en prévente

20$ à la porte

> Anne Gutknecht, Directrice générale

N os deux héros jaillissent,

comme expulsés d’un canon

à surprises, entraînant l’audi-

toire dans une folle randon-

née où les airs et coutumes bien de chez

nous sont à l’honneur.

Brillamment orchestré par notre tandem

aux mille chapeaux, ce noël en chan-

sons, agrémenté de sketchs, de danses et

d’adaptations loufoques, séduit tous les

publics. Répliques hilarantes, mimiques

bidonnantes, interaction constante; un

feu roulant où l’ingéniosité scénique

donne place à des changements de cos-

tumes drôlement éclatés!!!

Ce joyeux festin déballe en rafale des

personnages tous aussi drôles, qu’extra-

vagants : « Le barde à barnicles » et ses

rimes givrés, « L’espionne en pyjama »

et son rêve dévoilé, « Santa Cool » et sa

guitare diabolique, « Coquette Je Veux »

et son cadeau-surprise, « Les chaussons

ferrés » avec un avant goût du réveil-

lon… Et autres moments de pur plaisir

dans ce Noël survolté, qui fait rire, réflé-

chir et surtout…qui fait chanter!

Un concours de dessin va être mis en

place dès la semaine prochaine. Trois

gagnants seront tirés au sort et gagneront

un place gratuite pour le spectacle.

Le 7 décembre 2013 - à 14h

Au Théâtre l’Octave

711 avenue Dalton - Kingston

K7M 8N6 - Goûter surprise.

Tarifs:

12$ adultes

8$ enfants

40$ famille (2 adultes - 2 enfants minimum)

Page 2: Informel novembre-décembre 2013

Date de tombée du prochain numéro: le 15 décembre 2013 - parution Janvier Février 2014 (sortie le 06 janvier 2014)

La 17e campagne de sécurité routière à Kingston

> Louise La Rue, coordonnatrice du projet

L a saison des fêtes, c’est aussi

le programme de raccompa-

gnement des automobilistes

dans leur véhicule. C’est le

volet le plus visible de la campagne an-

nuelle d’information, d’éducation et de

prévention Opération Nez rouge.

La 17e campagne de sécurité routière de

Kingston veut rappeler aux conducteurs

qu’il suffit d’un numéro de téléphone

pour assurer sa sécurité et celle de ses

passagers après une soirée bien arrosée.

La mascotte que l’on voit cette année sur

les affiches, a un cellulaire pour indi-

quer que les alternatives à une conduite

dangereuse sont simples: appeler un

taxi, un ami, ou Opération Nez rouge

pour retourner à la maison sans incident,

quand on n’a pas de chauffeur désigné.

Le but est d’éviter les accidents causés

par des automobilistes ayant des facultés

affaiblies durant le temps des fêtes, pé-

riode où les partys de bureau multiplient

les occasions de sortir et de prendre un

verre en bonne compagnie.

Plusieurs organismes qui offrent des

programmes éducatifs aux jeunes et aux

adultes de Kingston, bénéficient des

dons offerts par les clients. En 2012, 5

organismes ont reçu la totalité des dons

offerts par les utilisateurs du service de

raccompagnement : l’association cana-

dienne du diabète, la troupe de théâtre

de jeunes Quiproquo, l’école Helen

Tufts Nursery School, le club optimiste

Frontenac BFC et La Route du Savoir.

Il y a près de 300 bénévoles qui chaque

année depuis 1997, donnent de 1 à 9

soirées pour contribuer à valoriser la

conduite responsable en ville. Toute

personne désirant participer à cet effort

collectif par du travail de bureau, la for-

mation d’une équipe de 3 personnes sur

la route, la coordination d’une soirée

équipe incluant un groupe de bénévoles

d’une même compagnie, l’accueil des

bénévoles, la recherche de commandites

ou l’acheminement des appels les soirs

d’opération (29 et 30 novembre, 6, 7,

13, 14, 20, 21 et 31 décembre 2013),

sera bienvenue, quel que soit le temps

offert à la centrale ou sur la route.

Les bénévoles aiment l’atmosphère cor-

diale qui règne les soirs d’opération.

Chacun est invité à rendre service à la

population en s’amusant. Un seul numé-

ro à signaler pour devenir bénévole,

commanditaire ou utilisateur du service :

613. 544.7447.

Bonne année à tous !

Page 2 • Volume 36 • Numéro 2 • novembre-décembre 2013 • [email protected] L’INFORMEL

Page 3: Informel novembre-décembre 2013

L’INFORMEL [email protected] • novembre - décembre 13 • Volume 36 • Numéro 2• Page 3

Pandaléon et Carlos Del Junco Trio > Agathe Boisset, Coordonnatrice artistique

S amedi 26 octobre, 18h30. L’é-

quipe du Centre Culturel Fronte-

nac et l’équipe de Live Wire sont

prêts à accueillir le public. Les

portes s’ouvrent. Le hall est décoré, il y a

un bar d’un côté, les café et cookies de

l’autre. Ils s’avancent. A nous de jouer !

19h30. Après une boisson chaude ou une

bière fraiche, les spectateurs s’avancent,

billets en main, devant les portes du Théâ-

tre l’Octave.

19h33. Al Rankin de Live Wire et Anne

Gutknecht du Centre Culturel Frontenac

présentent à leur tour le déroulement de la

soirée. Soirée bilingue ce soir, chacun est

enchanté de présenter cet événement

conjointement. Un groupe anglophone

débutera et laissera la place à un groupe

francophone. Une mixité que le public

découvrira.

19h40. La soirée peut commencer.

19h41. Carlos Del Junco Trio entre en

scène. Composé de 3 musiciens, ce grou-

pe nous offre une performance de prêt

d’une heure et 10 minutes. L’harmonica

retentie. Ainsi, les vibrations avec la gui-

tare et la contrebasse s’assemblent pour

fournir une présentation unique en son

genre. Carlos a reçu deux médailles d’or

dans son domaine et ce n’est pas pour

rien. Un esprit de blues/jazz émane de la

scène. Les spectateurs sont émerveillés de

la virtuosité du groupe. Les musiques

s’enchainent et surprennent par le rythme

changeant et les mélodies entrainantes.

Une ovation leur est réservée annonçant la

fin de la première partie.

20h50. Les spectateurs peuvent reprendre

leur souffle. Une pause est accordée pour

se détendre, prendre le temps d’immerger

de ce temps musical intense et se préparer

pour la suite. Pour cela, le hall est bien

équipé avec des tables et encore ces bières

fraiches ou café chaud qui les attendent.

21H07. La clochette retentie. Les specta-

teurs sont invités à retrouver leur place

dans le théâtre l’Octave afin de découvrir

le groupe francophone de la soirée.

21h10. Pandaléon arrive sur scène. Trois

musiciens approchent de leur instrument

et débutent. D’un coup, la guitare électri-

que résonne dans le théâtre l’Octave.

L’esprit rock prend le dessus. Deux guita-

res électriques et une batterie se marient

pour jouer ensemble un genre de rock

alternatif influencé par des groupes tel

que Radiohead ou encore Massive Attack.

Le son est intense mais c’est pour que le

spectateur soit enrobé complètement de la

tonalité. De leur côté, l’expérience se vie

de cette manière et c’est ainsi qu’ils sou-

haitent la partager. Plus doux en écoute

sur You tube, cette soirée nous a montré

la facette en live. Une autre façon de voir

le groupe et de découvrir sa musique. Ce

jeune groupe franco-ontarien nous a pré-

senté leurs nouvelles créations qui para-

îtront dans l’album présentement en pré-

paration pour 2014.

Merci au 150 spectateurs qui ont parta-

gé l’expérience de cette soirée bilingue

imaginée en cette année 2013 par le

Centre Culturel Frontenac invitant en

première partie une présence anglopho-

ne choisi par le groupe Live Wire.

Page 4: Informel novembre-décembre 2013

Page 4• Volume 36 • Numéro 2 • novembre-décembre 2013 • [email protected] L’INFORMEL

L’Écho d’un peuple aux Mille-Isles... > Agathe Boisset, coordonnatrice artistque

D ans votre agenda

de novembre,

n’oubliez pas

d’y inscrire un

événement important pour la

communauté franco -

ontarienne : les représenta-

tions le vendredi 15 novem-

bre à 19h et le samedi 16

novembre à 14h de l’Echo

d’un Peuple.

Félix Saint Denis, le direc-

teur artistique, entouré de

son équipe de 50 comédiens

professionnels amarre à

Kingston. Ils travailleront

avec prêt de 200 personnes

de la communauté des plus

jeunes aux plus vieux prove-

nant des villes de Merrick-

ville, Trenton, Brockville et

Kingston mais aussi de Cas-

selman, Ottawa et Hawkes-

bury.

En prélude, une lecture de

texte de la troupe commu-

nautaire les Trétaux vous

fera découvrir des textes

d’auteurs reconnus franco -

ontariens. Le témoignage du

Voyageur et Métis Christian

Pilon suivra… Originaire

d’Azilda, Christian est un

Voyageur authentique de la

télésérie Destination Nor-

’Ouest et un grand ambassa-

deur de la culture métisse

franco-ontarienne. Il porte

en lui la joie de ses ancêtres

canadiens-français, l’amour

de la nature et des canots

d’écorces de ses ancêtres

algonquins-anishnabés, le

plaisir de partager en groupe

de ses ancêtres hurons -

ouendats et la force de ses ancêtres Iro-

quois-haudrochaunés.

L’écho d’un peuple présentera l’Histoire

des franco-ontariens qui débute depuis les

voyages de Samuel de Champlain et d’É-

tienne Brûlé voilà quatre siècles. La pièce

sera aussi ponctuée d’anecdotes de

la grande région du haut St -Laurent et de

la partie orientale du lac Ontario.

En intégrant des chants, de la danse, de la

vidéo et du théâtre, Félix Saint Denis nous

offre un spectacle d’une envergure excep-

tionnelle. La captation

réalisée lors de la re-

présentation en plein

air à la Ferme Drouin

sera projetée sur

grand écran. Ainsi les

comédiens suivront,

sur scène, le déroule-

ment de l’Histoire et

s’ajustera en fonction

de celle des environs

de Kingston.

Plusieurs chapitres

spécialement écrits

pour notre commu-

nauté seront présentés

comme « Les franco-

phones donnent à

Kingston une impor-

tance capitale », « la

légendaire légende sur

le lac Ontar io

(légende fictive sur

fond de vérité) » ou

encore « on manifeste

notre fierté de Gana-

noque jusqu’à Tren-

ton ».

Il s'agit d'une sortie

éducative et culturelle

exceptionnelle pour

notre communauté.

Ce spectacle est une

initiative du Centre

culturel Frontenac, du

Conseil des écoles

catholiques du Centre-

Est, du Conseil des

écoles publiques de

l’Est de l’Ontario et

de la troupe de L’écho

d’un peuple.

Billets : 20$ adul-

te / 5$ enfants et étu-

diants du primaire et

secondaire.

Pour plus d’information ou pour acheter

des billets, veuillez-vous référer au site du

Centre Culturel Frontenac :

www.centreculturelfrontenac.com

Programmation du Centre culturel Frontenac. Brochure créée par Amélia Fritz-Millett.

Page 5: Informel novembre-décembre 2013

L’INFORMEL [email protected] • novembre - décembre 13 • Volume 36 • Numéro 2• Page 5

Ken Villeneuve outille gratuitement la communauté

francophone à la collecte de fonds > Agathe Boisset, coordonnatrice

L a collecte de fonds est une tâche

importante dans un organisme à

but non lucratif. C’est en s’en-

tourant de bons partenaires qui

nous offrent une aide financière que les

structures peuvent ensuite fournirent des

services indispensables aux citoyens et

continuer ainsi à créer des projets inscrits

dans leur mandat.

Pendant 2 mois, ce conférencier fera la

tour de la communauté francophone au

Canada pour nous donner les astuces et

les outils pour performer dans la collecte

de fonds. Cette conférence est gratuite

pour tous. La diffusion de cette informa-

tion à outrance est donc recommandée.

Nul besoin d’être employé dans un orga-

nisme à but non lucratif pour participer à

cette conférence, du professionnel au

curieux chacun est le bienvenu.

C’est lors de son expérience en tant que

directeur général à la Fondation franco -

ontarienne que Ken Villneuve appliquera

ses compétences en collecte de fonds.

Après deux grandes campagnes de finan-

cement, il réussit à enrichir de près de 3

millions de dollars la Fondation, soit se-

lon son site internet de 1,5 fois plus d’ar-

gent en 3 ans qu’au cours des 23 années

précédentes.

Les outils et les conseils sont présentés

d’une manière originale. Les nouvelles

technologies sont parties prenantes de la

présentation telles que les réseaux so-

ciaux, la vidéo HD et l’utilisation des

outils informatiques. Les personnes pré-

sentes pourront interagir avec la scène et

leurs reflexions et leurs questions guide-

ront la présentation et les explications. La

conférence avance donc au rythme de

l’audience et s’affiche comme réponse

aux problématiques spécifiques liées au

territoire. Le cas par cas est donc de ri-

gueur. Ken Villeneuve sait s’adapter aux

situations particulières et pourra vous

aiguiller sur des pistes auparavant testées

au cours de ses propres expériences pro-

fessionnelles.

Voici quelques thèmes qui seront abordés

avec lui ce 30 novembre au Théâtre l’Oc-

tave : la planification et l’organisation

d’une collecte de fonds, le plan de visibi-

lité, les stratégies de communication et

marketing, les activités de financement

ainsi que l’utilisation des nouvelles tech-

nologies et la recherche de collecte de

fonds en ligne.

Suite à la conférence, chaque participant

peut télécharger gratuitement un guide

électronique à son image dont le contenu

est adapté à sa propre collecte de fonds.

Voici quelques mots de ce conférencier

attendu au Théâtre l’Octave :

« Ne pas prendre pour acquis que parce

que notre cause est réellement importante,

qu’automatiquement nous faisons pitié et

que tout nous est dû. En théorie, toutes

les causes sont importantes. Selon moi, il

faut donc gérer sa collecte de fonds au

même titre qu’en affaires, en offrant à nos

donateurs et partenaires la chance de ren-

tabiliser leur appui, et non, en leur deman-

dant la charité. » – Ken Villeneuve

Conférence gratuite dirigée

par Ken Villeneuve, au

Théâtre l’Octave le 29 no-

vembre 2013 à 19h30.

Page 6: Informel novembre-décembre 2013

Page 6 • Volume 36 • Numéro 2 • novembre-décembre 2013 • [email protected] L’INFORMEL

Les jeux de société modernes > Éduardo Poleo, français 4ème langue...

T out le monde a joué à des jeux

de société à un moment donné .

Cependant, les jeux d’aujourd-

’hui sont très diffèrent de ceux

de nos grands-parents. Leur diversité et

leur complexité ont augmenté considéra-

blement. Les jeux modernes semblent

avoir une meilleur équilibre entre la stra-

tégie et l’aléatoire par rapport les jeux

traditionnels. Il n’est pas nécessaire d’être

un fervent adepte du jeu d’échecs ou du

moins d’apprendre de longues règles pour

gagner un jeu.

Des jeux comment Catan ou Carcassonne

proposent un niveau d’aléatoire réduisant

la pression sur les joueurs mais offrent

également de vrais scénarios où les

joueurs doivent prendre les décisions

ayant une incidence direct sur le résultat

final du jeu.

C’est ce mélange entre chance et stratégie

qui a considérablement augmenté la popu-

larité des jeux de plateau.

Aujourd'hui, il existe plusieurs façons de

classer les jeux (Par exemple : en fonction

du type d'interaction entre les joueurs).

Cependant, la grande majorité des jeux

actuels les plus populaires se classent en

deux catégories: jeux Ameritrash ou euro-

péens. Comprendre et reconnaître les élé-

ments de chacune de ces catégories peut

beaucoup nous aider pour savoir vers quel

type de jeu nous diriger.

Bien que les noms, Ameritrash et jeux

européens, illustrent une référence géo-

graphique évidente, cette classification se

concentre davantage sur les aspects fon-

damentaux de la conception de jeu. La

première différence majeure entre les jeux

Ameritrash et européens est comment

chacun aborde le thème et la mécanique

de jeu.

Les jeux Ameritrash sont très théma-

tiques et cherchent plonger les joueurs

dans un monde surréaliste avec un niveau

de détails élevés. Cela a généralement

tendance à augmenter la complexité des

jeux en raison de la grande variété des

scénarios possibles qui peuvent survenir à

un moment donné du jeu. D'autre part, les Jeux européens se

concentrent davantage sur la création de

mécaniques simples et élégantes. Chaque

joueur peut progressivement surmonter

l'autre en prenant les bonnes décisions

pendant du match. En outre, les Jeux Eu-

ropéens ont généralement des thèmes gé-

nériques qui peuvent être facilement rem-

placés grâce à des extensions.

Une autre différence notable entre ces

deux classifications est la façon dont cha-

que type de jeu gère l'objet du hasard. Les

jeux Ameritrash introduisent souvent une

plus grande chance afin d'augmenter le

coté dramatique du jeu. Quelques -uns des

moyens utilisés pour cela sont l'utilisation

de dés qui cherchent à garder les joueurs

dans un état de tension continue.

Les jeux européens, par contre, ont sensi-

blement réduit les niveaux de chance en

raison principalement de la rigidité (et le

temps) de sa mécanique. Leur but est de

garder les joueurs conscients des consé-

quences possibles de chacune de leurs

décisions et celles de leurs adversaires.

Enfin les jeux Ameritrash et européens

diffèrent aussi considérablement en ter-

mes d'interaction entre les joueurs.

Dans les jeux Ameritrash les joueurs

interfèrent directement soit en attaquer

l’adversaire, soit en négociant des res-

sources et des territoires, soit en établis-

sant des lignes directrices diplomatiques. Dans les jeux européens, les décisions

prises par un joueur influent directement

sur la stratégie des autres joueurs mais

l'interaction directe entre les joueurs est

très faible, voire nulle.

Peu importe la catégorie à laquelle appar-

tient le plus important est le plaisir du jeu.

Deux magasins sont disponibles à King-

ston : Minotaur et Nexus.

Page 7: Informel novembre-décembre 2013

L’INFORMEL [email protected] • novembre - décembre 13 • Volume 36 • Numéro 2• Page 7

Santé mentale et dépendances:

consultation auprès des francophones > Jeannine Proulx, Agente de planification

L orsque l’on parle des services et

des soins de santé, cela n’englo-

be pas que la santé physique, ils

incluent également une dimen-

sion touchant la santé mentale qui est tout

aussi importante pour le bien-être des

individus. Ce sujet revêt un intérêt parti-

culier en ce moment, car deux initiatives

majeures sont en cours dans le système de

santé dans la région du Sud-Est.

La première initiative vise à élaborer un

protocole devant favoriser un chemine-

ment plus clair pour les usagers et leurs

familles lors du passage entre les services

offerts en santé mentale et traitement des

dépendances aux enfants et aux jeunes et

ceux offerts aux adultes. Le tout afin d’é-

viter que des individus se retrouvent sans

accès aux services dont ils ont besoin.

Celle-ci est menée par le Kingston, Fron-

tenac, Lennox & Addington Service Col-

laborative, qui réunit des représentants de

24 organismes de la région.

La deuxième initiative touche un exercice

de restructuration des services en santé

mentale et dépendances dans la région du

Sud-Est. Le but visé est une plus grande

efficacité des services existants et corriger

les lacunes du système afin de mieux ré-

pondre aux besoins de la population dans

la région. Des recommandations sur les

options d’améliorations des services pour

la région seront présentées en début 2014

au Réseau local d’intégration des services

de santé du Sud -Est qui prendra position

sur les améliorations à apporter.

La santé mentale est un secteur où la qua-

lité de la communication est de la plus

grande importance, car la langue est le

premier instrument du diagnostic et du

rétablissement. Plusieurs études démon-

trent qu’une meilleure communication est

obtenue lorsque le soignant et le client

parle la même langue, qu’il y a un risque

d’erreur de diagnostic plus élevé lorsque

l’entretien se déroule dans la langue se-

conde du client en raison de l’effort fait

pour parler l’autre langue.

Alors que la réflexion se poursuit, des

consultations auprès de divers interve-

nants, pourvoyeurs de même qu’auprès de

la population sont attendues en novembre

dont également pour les francophones.

Désirant se préparer à celles -ci, le Comité

de citoyens sur la santé en français a dis-

cuté avec le Dr. Claude Gingras, gestion-

naire des services cliniques au CRFMK,

des enjeux locaux de l’accès à des servi-

ces en santé mentale afin de mieux com-

prendre la réalité, les défis et les besoins

de la population francophone.

Le Réseau sera au rendez -vous lors de ces

consultations mais nous aurons besoin

d’autres membres de la communauté pour

faire connaître les besoins des francopho-

nes et l’importance de l’accès à des servi-

ces en français. Si vous avez un intérêt

particulier pour ce sujet et que vous aime-

riez être informés de l’une ou l’autre de

ces séances de consultation, nous vous

invitons à communiquer avec le Réseau

pour obtenir plus d’information.

Réseau des services de santé en français

de l’Ontario.

[email protected] et pour me joindre

sans frais à Kingston, composez le 1 -

877-528-7565.

Page 8: Informel novembre-décembre 2013

Page 8 • Volume 36 • Numéro 2 • novembre-décembre 2013 • [email protected] L’INFORMEL

V oilà une recette surprenante et toute

facile. A tartiner, à utiliser comme

une trempette avec des fruits frais

ou à déguster comme une onctueuse

crème dessert. A vous de choisir !

100 g de pruneaux nature dénoyautés

(biologiques si possible)

1 c. à s. bombée de purée d’amandes

1 à 2 c. à s. de cacao en poudre

1 c. à s. de sirop d’agave (de miel ou de

sirop d’érable)

Note... j’utilise aussi du tahin (purée de sésame)

à la place de la purée d’amandes.

Dans un petit bol, recouvrir les pruneaux d’eau

pour qu’ils trempent quelques heures.

Egoutter les avant de les placer dans un blen-

der.

Rajouter tous les autres ingrédients et laisser

votre machine faire le reste.

Ajuster à votre gout en rajoutant plus de cacao

ou de sucre si nécessaire.

Je mets cette pâte dans un bocal pour la conser-

ver au moins 1 semaine au réfrigérateur.

S pécialité méridionale qui se prépare

comme la polenta. Son ingrédient prin-

cipal… la farine de pois chiche ! Cette

recette est sans gluten et représente

une bonne source de protéine végétale dans une

assiette végétarienne.

Pour un cake... 250 g de farine de pois chiches

1 litre d'eau

1 c. à s. d'huile d'olive

1 c. à c. d’herbes séchées (basilic, cibou-

lette, origan ou des herbes de Provence)

1 bouillon cube végétal

1/2 c. à c. de sel

un peu de poivre

Porter l’eau à ébullition avec tous les ingré-

dients sauf la farine.

Sur feu doux, incorporer la farine petit à petit

en remuant avec un fouet et sans arrêt pendant

quelques minutes.

Lorsque le mélange a bien épaissi et est devenu

lisse, mettre la préparation dans un moule à

cake préalablement huilé.

Laisser reposer au frais pendant au moins 2

heures avant de démouler.

Couper des tranches, cubes, frites… et faire

dorer au four ou dans une poêle avec un peu

d’huile.

Délicieux avec une bonne ratatouille !

Panisse

Découvrez la rubrique cuisine “santé / plaisir” de Cécile Si vous avez des questions, n’hésitez surtout pas à écrire à: [email protected]. Tous ses services en cuisine santé so nt disponibles en français et sur mesure!

Pâte à Tartiner Chocolatée

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Dr. Elena Macleod Optométriste