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Bonjour Yann, vous êtes le fondateur de la société BePure. Bonjour D’où vient votre passion pour ce que l’on appelle les textiles intelligents ? Tout découle du fait que je refuse d’appliquer des produits chimiques directement sur ma peau. Je cherche donc toujours des solutions alternatives aux solutions habituellement proposées pour gérer les problèmes de peau. Estce cette conviction qui vous a amené à créer BePure ? Cela s’est imposé naturellement lorsque j’ai découvert ce que les nanotechnologies avaient à nous offrir. Après avoir saisi l’étendue des possibilités, j’ai immédiatement cherché à appliquer leurs bienfaits sur une fibre pour en faire un textile unique. Comment avezvous découvert cette technologie ? Il y a environ cinq ans, un de mes meilleurs amis travaillait dans le milieu des nanotechnologies et il m’a parlé de ce procédé qui permet notamment de créer un environnement stérile et sec. Pourquoi avoir commencé par les chaussettes ? Pour être honnête j’ai eu pendant près de huit ans de gros problèmes d’odeurs de pieds et malgré tous mes efforts je n’avais jamais réussi à y mettre fin. A l’époque j’étais vraiment désespéré : crèmes, sprays et même poudres, tout cela n’a jamais marché sur moi. C’est suite à cette expérience que je me suis résolu à ne plus utiliser de produits chimiques car tous ces traitements ont rendu ma peau extrêmement sensible et je ne supportais plus les rougeurs et les démangeaisons. Avec quels moyens avezvous lancé BePure ? C’est simple, j’ai tout investi dans ce projet allant jusqu’à vendre des objets auxquels j’étais très attaché. Les débuts furent difficiles mais quand j’ai un objectif je m’y tiens, quoi qu’il arrive et quel que soit le prix. C’est grâce à cela que j’ai tenu et la suite m’a donné raison car aujourd’hui ma situation commence à s’améliorer. Devant cette nouvelle technologie, comment réagissent les personnes que vous rencontrez ? Au début, les réactions étaient mitigées car les gens gardent leurs habitudes. Si un produit est inefficace, ils pensent simplement qu’ils, ne peuvent rien y faire et que ça ne marche pas sur eux. J’ai donc dû me battre face aux idées reçues, mais surtout face aux doutes concernant l’efficacité d’un produit qui leur était inconnu. Depuis le lancement de BePure, quel a été votre souvenir le plus marquant ? Je me souviendrai toujours de ce client qui après avoir acheté une paire sur notre site internet, nous en a recommandé dix autres la semaine suivante. C’est à ce moment précis que je me suis dit que tous mes efforts n’étaient pas vains et que j’avais vraiment fait le bon choix.

Interview

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Page 1: Interview

Bonjour  Yann,  vous  êtes  le  fondateur  de  la  société  BePure.  

Bonjour  

D’où  vient  votre  passion  pour  ce  que  l’on  appelle  les  textiles  intelligents  ?  

Tout  découle  du  fait  que  je  refuse  d’appliquer  des  produits  chimiques  directement  sur  ma  peau.  Je  cherche  donc  toujours  des  solutions  alternatives  aux  solutions  habituellement  proposées  pour  gérer  les  problèmes  de  peau.    

Est-­‐ce  cette  conviction  qui  vous  a  amené  à  créer  BePure  ?  

Cela  s’est  imposé  naturellement  lorsque  j’ai  découvert  ce  que  les  nanotechnologies  avaient  à  nous  offrir.  Après  avoir  saisi  l’étendue  des  possibilités,  j’ai  immédiatement  cherché  à  appliquer  leurs  bienfaits  sur  une  fibre  pour  en  faire  un  textile  unique.  

Comment  avez-­‐vous  découvert  cette  technologie  ?  

Il  y  a  environ  cinq  ans,  un  de  mes  meilleurs  amis  travaillait  dans  le  milieu  des  nanotechnologies  et  il  m’a  parlé  de  ce  procédé  qui  permet  notamment  de  créer  un  environnement  stérile  et  sec.  

Pourquoi  avoir  commencé  par  les    chaussettes  ?  

Pour  être  honnête  j’ai  eu  pendant  près  de  huit  ans  de  gros  problèmes  d’odeurs  de  pieds  et  malgré  tous  mes  efforts  je  n’avais  jamais  réussi  à  y  mettre  fin.  A  l’époque  j’étais  vraiment  désespéré  :  crèmes,  sprays  et  même  poudres,  tout  cela  n’a  jamais  marché  sur  moi.  C’est  suite  à  cette  expérience  que  je  me  suis  résolu  à  ne  plus  utiliser  de  produits  chimiques  car  tous  ces  traitements  ont  rendu  ma  peau  extrêmement  sensible  et  je  ne  supportais  plus  les  rougeurs  et  les  démangeaisons.  

Avec  quels  moyens  avez-­‐vous  lancé  BePure  ?  

C’est  simple,  j’ai  tout  investi  dans  ce  projet  allant  jusqu’à  vendre  des  objets  auxquels  j’étais  très  attaché.  Les  débuts  furent  difficiles  mais  quand  j’ai  un  objectif  je  m’y  tiens,  quoi  qu’il  arrive  et  quel  que  soit  le  prix.  C’est  grâce  à  cela  que  j’ai  tenu  et  la  suite  m’a  donné  raison  car  aujourd’hui  ma  situation  commence  à  s’améliorer.  

Devant  cette  nouvelle  technologie,    comment  réagissent  les  personnes  que  vous  rencontrez  ?  

Au  début,  les  réactions  étaient  mitigées  car  les  gens  gardent  leurs  habitudes.  Si  un  produit  est  inefficace,  ils  pensent  simplement  qu’ils,  ne  peuvent  rien  y  faire  et  que  ça  ne  marche  pas  sur  eux.  J’ai  donc  dû  me  battre  face  aux  idées  reçues,  mais  surtout  face  aux  doutes  concernant  l’efficacité  d’un  produit  qui  leur  était  inconnu.  

Depuis  le  lancement  de  BePure,  quel  a  été  votre  souvenir  le  plus  marquant  ?  

Je  me  souviendrai  toujours  de  ce  client  qui  après  avoir  acheté  une  paire  sur  notre  site  internet,  nous  en  a  recommandé  dix  autres    la  semaine  suivante.  C’est    à  ce  moment  précis  que  je  me  suis  dit  que  tous  mes  efforts  n’étaient  pas  vains  et  que  j’avais  vraiment  fait  le  bon  choix.