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V oici ta mère ! tout à jésus par marie ! Voici ta Mère ! - Prix: 3€ - N°39 ISSN : 1959-271X - CPPAP N° 1113 G 91120 je te CherChe, toi mon peuple musulman ConVersions de musulmans en masse Vers le Christianisme

je te cherche, toi mon peuple musulman

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tout à jésus par marie !

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Prix

: 3€

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je te cherche, toi mon peuple

musulmanconversions de musulmans en masse vers le christianisme

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mettez l’amour dans votre vie !

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ce mois-ci...

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aimons nos frères musulmans !

Notre saint père, le pape François écrit :

“La relation avec les croyants de l’Islam ac-quiert à notre époque une grande impor-tance. Ils sont aujourd’hui particulièrementprésents en de nombreux pays de traditionchrétienne où ils peuvent célébrer librementleur culte et vivre intégrés dans la société. Ilne faut jamais oublier qu’ils “professent avoirla foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieuunique, miséricordieux, futur juge deshommes au dernier jour”. Les écrits sacrésde l’Islam gardent une partie des enseigne-ments chrétiens ; Jésus-Christ et Marie sontobjets de profonde vénération ; et il est admi-rable de voir que des jeunes et des anciens,des hommes et des femmes de l’Islam sontcapables de consacrer du temps chaque jourà la prière, et de participer fidèlement à leursrites religieux. En même temps, beaucoupd’entre eux ont la profonde conviction queleur vie, dans sa totalité, vient de Dieu et estpour lui. Ils reconnaissent aussi la nécessitéde répondre à Dieu par un engagementéthique et d’agir avec miséricorde envers lesplus pauvres.Pour soutenir le dialogue avec l’Islam, uneformation adéquate des interlocuteurs est in-

dispensable, non seulement pour qu’ils soientsolidement et joyeusement enracinés dansleur propre identité, mais aussi pour qu’ilssoient capables de reconnaître les valeursdes autres, de comprendre les préoccupa-tions sous jacentes à leurs plaintes, et demettre en lumière les convictions communes.Nous chrétiens, nous devrions accueillir avecaffection et respect les immigrés de l’Islamqui arrivent dans nos pays, de la mêmemanière que nous espérons et nous deman-dons d’être accueillis et respectés dans lespays de tradition islamique. Je prie et implore humblement ces pays pourqu’ils donnent la liberté aux chrétiens de cé-lébrer leur culte et de vivre leur foi, prenanten compte la liberté dont les croyants del’Islam jouissent dans les pays occidentaux !Face aux épisodes de fondamentalismeviolent qui nous inquiètent, l’affection enversles vrais croyants de l’Islam doit nous porterà éviter d’odieuses généralisations, parceque le véritable Islam et une adéquate inter-prétation du Coran s’opposent à toute vio-lence.”

Dans l’exhortation Evangelii Gaudium (La joie de l’Évangile)

Le Pape François embrasse les pieds de douze prisonniers, dont une femme musulmane.Il a dit : “Ce signe du lavement des pieds est une caresse de Jésus, qui est venu pour cela, pourservir et pour aider.” Le 23/03/2013 à la prison de Casal del Marmo, près de Rome (Italie).

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Les 3 religions qui augmentent le plusvite en raison des conversions* (nou-veaux adhérents par an, en millions) : 1. Christianisme : 2 501 396 2. Islam : 865 558 3. Bouddhisme 156 609

En Afrique, chaque heure, 667 Musulmansse convertissent au Christianisme.En 2006, sur la chaine TV Al Jazeera, leSheikh Ahmad Al Katani, président desCompagnons pour la Science de la loi isla-mique en Libye, une institution spécialiséedans la qualification es imams et prédica-teurs islamiques, lançait ce cri d’alarme : sil'Islam représente la religion principale del’Afrique, le nombre de musulmans ne cessede diminuer. Ils ne sont plus que 316 mil-lions, dont la moitié sont des Arabesd’Afrique du nord. Mais pour la partie nonarabe, il n’y a plus que 150 millions de mu-sulmans. Si l’on réalise que la populationd’Afrique est d’un milliard, nous voyons quele nombre de musulmans a énormémentdiminué depuis le siècle dernier. À l’inverse,le nombre de catholiques a explosé, passantde 1 million en 1902, à 330 millions en 2000.Il y a maintenant 1,5 million d’églises.Chaque heure, ajoute le Sheikh, 667Musulmans se convertissent au christia-nisme. Chaque jour, 16 000 musulmans seconvertissent au christianisme. Chaqueannée, 6 millions de musulmans se conver-tissent au christianisme. Ce sont des chiffrestrès importants.

En 2035, l'Indonésie ne sera plus musul-mane.Là-bas, la situation est tellement alarmante

que le gouvernement musulman vient delancer une grande campagne TV, “SaveMaryam” (Sauver Myriam), pour arrêter l'hé-morragie et lever des fonds pour développerl'Islamisation. Voici les chiffres donnés sur leclip officiel de l’état. L'Indonésie est le plusgrand pays musulman du monde avec plusde 200 millions de musulmans, mais c'est entrain de changer... Environ 2 millionsd'Indonésiens quittent l'Islam pour leChristianisme chaque année ! Les statis-tiques indiquent que si cette croissancecontinue à ce niveau, avant 2035, ce payscessera d'être à majorité musulmane.

En Géorgie, un retournement completDans un reportage publié par le site d'ac-tualités sur l'islam Oumma.com, on apprendque la population de la République d'Adjarie,voisine de la Turquie mais appartenant à laGéorgie, majoritairement musulmane, s'estmassivement convertie au christianisme or-thodoxe en seulement une vingtaine d'an-nées. En 1991, 75% des Adjares étaient mu-sulmans. Aujourd’hui, ils sont devenus à75% orthodoxes. “Ces conversions mas-sives restent un sujet tabou”, relève le jour-naliste Ian Hamel, auteur du reportage. Pour tenter de les comprendre, il cite le mé-tropolite de Batoumi, la capitale, pour quices conversions ne sont en fait qu'un retouraux sources. “Le métropolite de Batoumiaffirme que les Adjariens, convertis de forceà l’Islam par les Ottomans, étaient, en fait,restés chrétiens de cœur. Selon ses décla-rations, ils continuaient à porter secrètementune croix, ils peignaient des œufs dePâques, ils conservaient des icônes dansleurs habitations”.

de l’islam au christ, desconversions en masse !

par thierry Fourchaud

OURS : Editeur : La Bonne Nouvelle - 8 rue Roger Lévy - 47180 Sainte Bazeille (France). Tel: 05.53.20.99.83 - Relation Abonnés : Annick et Cathy-Imprimeur: Graficas Print - 90, allée des Tuileries - 33380 Biganos Directeur de publication : Thierry Fourchaud - [email protected] - ISSN: 1959 -271 X - CPPAP N° 1113 G 91120 - Dépôt légal à parution à la Bibliothèque nationale de France - Site: www.labonnenouvelle.frQui sommes-nous ? La Bonne Nouvelle est un groupement de laïcs qui oeuvrent pour le Christ et son Eglise. Dans la fidélité à l'enseignement de l'EgliseCatholique, l'association La Bonne Nouvelle espère ainsi contribuer à la nouvelle évangélisation à laquelle le Pape François, après ses prédécesseurs Jean-Paul II et Benoît XVI nous appellent. Afin de vous assurer un enseignement catholique de qualité, toutes nos revues sont relues et corrigées par un prêtrethéologien nommé par notre évêque (diocèse de Laval).

Sommaire

Couverture page 1Espace visibiltépages 2 Le pape Françoispages 3 Edito pages 4 et 5Foudroyé !Pages 6 et 7Je te cherche toimon peupleMusulmanPages 8 à 19Témoignages deconversionsPages 20 et 25Retraite dans leGolfePages 26 et 27Témoignagepages 28 Prièrepages 29 Agenda page 30Abonnementspage 31Suivre Jésus !page 32

Encart avec cetterevue :

La Carte Prière

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* Source: Jean-Patrick Grumberg sur www.Dreuz.info

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En FranceEn France, les conversions de musulmans auChristianisme sont plus rares à cause de lapeur des représailles. On compte environ10 000 conversions officielles ces dernièresannées (source : journal de 13h00 surFrance 2 du 22 décembre 2005).Les raisons de ces conversions : 3 axes :- la découverte du message de Miséricordedu Christ qui au lieu d'appeler à la guerresainte appelle à aimer les ennemis,- la découverte de la Bible par une augmen-tation du nombre de gens lettrés qui décou-vrent l'incroyable beauté du message de laBonne Nouvelle,- la déception des actes commis par lesIslamistes fondamentaux qui encouragent lesmusulmans modérés à découvrir une spiri-tualité plus humaine.

Les fruits du martyre ?Des pays arabes traditionnellement musul-mans comme l'Algérie ou l'Iran sont touchésde plein fouet par ce phénomène. Pourtant,jamais dans l'histoire les chrétiens n'ont étéaussi persécutés à cause du nom de Jésus-Christ. Beaucoup, encore aujourd'hui, sont

tués pour leur appartenance à l'Église chré-tienne. Du coup, le sang des martyrs ense-mence l'Église d'une multitude de conver-sions.

Un plan divin qui passe par la femmeDe Fatima au Portugal en passant par le cha-pelet de Notre Dame, il semble que Dieu aitun plan étonnant dans les derniers temps oùnous sommes : passer par Marie et par lafemme pour écraser la tête du serpent àtravers le Triomphe du Cœur Immaculé. C'est une large majorité de femmes qui seconvertissent au Christianisme. Dans cetterevue, à travers le très beau message : “Je techerche, toi mon peuple musulman”, nousvoyons Dieu appeler les musulmans et parti-culièrement les femmes à la conversion poursoutenir et relever l'Église du Christ dans lemonde entier. Quel renversement !Décidément, notre Dieu nous surprendra tou-jours, mais il a besoin de nous. Alors, à noschapelets et prions de tout notre cœur pour lavictoire finale du Sacré-Cœur de Jésus surtoute la terre !

Que Notre Dame nous bénisse !

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EnfanceTout petit, j’ai appris les préceptes de l’Islam.C’est une très belle religion qui comprendbeaucoup de codes d’éthique et de morale.J’aimais ma religion. Je priais cinq fois par jour,je faisais mes ablutions, j’observais leramadan… Petit à petit, des questions essen-tielles sont nées à l’intérieur de moi. Je voulaispar exemple savoir ce qui allait m’arriver le jourde ma mort. J’ai posé la question à mesparents qui ont répondu : “Dieu seul le sait !”

AngoisseMes frères qui étudiaient le Coran m’expli-quaient que mes bonnes et mes mauvaisesactions seraient pesées sur une balance.Cette réponse ne me satisfaisait pas : j’avaisbesoin de certitude. J’observais les lois,mais j’étais torturé à l’idée que peut-êtreDieu ne me pardonnerait pas. Je m’obser-vais sans cesse et me suis dit que Dieu nepouvait pas me mettre dans un tel état in-térieur. Je me suis mis à chercher,rechercher Dieu de plus en plus ardemment.Ma vie spirituelle était sèche. Je voulaisentrer en relation avec Dieu.

Exclusion et racismeMa religion est aussi devenue une défensecontre ce monde occidental agressif et en-vahissant. Pour moi être blanc équivalait àêtre chrétien. J’étais frisé, arabe, et rejetépar ces Français qui voulaient que l’on tra-vaille chez eux. Tout petit, j’ai vécu cette vi-olence, j’ai vécu l’exclusion et le racisme.J’ai commencé à sortir de plus en plus mesgriffes et j’ai détesté la France en devenantde plus en plus violent, mais je continuaisd’avoir soif…

BagarreÀ 12 ans, je me suis bagarré avec un voisintunisien. La bagarre a dégénéré en émeute :sa famille contre ma famille. Maman esttombée par terre et on a dû l’emmener àl’hôpital : elle avait un traumatisme crânien.Je n’ai jamais eu peur dans ma vie mais,quand j’ai vu ça, je suis rentré dans machambre, j’ai fermé la porte et j’avais honte.Je ne comprenais pas comment je pouvaisêtre religieux et violent à la fois. J’avaishonte de voir ma violence.

Rencontre inattendueUne dame est venue sonner à la maison,proposant son aide pour nous garder. C’étaitbien la première fois qu’une Françaisevenait frapper à notre porte, en plus pournous proposer son aide ! Cette dame venaitde s’installer au-dessus de chez nous avecsa famille. On s’est lié d’amitié. Le couscousmontait chez eux et le gâteau au chocolatdescendait chez nous. Ils étaient chrétiens.Ils nous ont donné une Bible.

Ma sœurMa sœur allait souvent chez eux. Un jour, ellea participé à une réunion. Elle riait et chantait.Elle a voulu découvrir la Bible et puis, un anplus tard, elle s’est convertie. Elle a eu lecourage de nous le dire. Nous le vivionscomme une trahison. Ma première réaction futune réaction de grande tristesse et de décep-tion. Elle se coupait de la famille en quelquesorte pour devenir française. En devenantchrétienne, elle nous faisait la pire des in-sultes. Mes frères l’ont violentée, battue, ilsont déchiré sa Bible et elle restait paisible. Onl’a séquestrée pendant trois semaines et elleme racontait des histoires de la Bible.

Foudroyé !témoignage de saïd oujibou

Je m'appelle Saïd. Ancien musulman, aujourd’hui j’évangélise dans les banlieues.J’ai créé un spectacle : “Liberté, égalité, couscous !”, j’ai aussi écris un livre, “Fierd’être Arabe et Chrétien”.

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Mission d’espionnageJe devais espionner ma sœur et moi jesentais l’Amour de Dieu qui transpirait d’elle.Son amour et sa foi m’ont déstabilisé. J’étaisimpressionné aussi de la voir accrochée à sanouvelle religion et me demandais commentelle pouvait tenir en s’attachant à “ça”. Alorselle m’en parlait, me disant que tout étaitgratuit. J’ai réalisé que le salut venait d’en-haut. Je voulais faire mes recherches. Il exis-tait des avantages et des inconvénients dechaque côté… C’était une vraie ratatouilledans ma tête. J’ai dit à Dieu : “Si tu existes, sic’est toi qui as tout créé, montre-moi qui tu esvraiment.” C’est sorti de mon cœur et en moi,je sentais : “Saïd, un jour, tu vas connaître lavérité.”

Comme foudroyé !Je me suis mis à lire la Bible. Le péché, jesavais ce que c’était, mais je n’avais aucunesolution pour m’en défaire. Mon endurcisse-ment, ma révolte et ma haine m’avaientpoussé à trafiquer dans le quartier. Ma vie serésumait à la musique, les boîtes, lehaschich, j’avais été renvoyé du lycée et menoyais dans la house music. Pour unmusulman, il n’y a rien de plus difficile qued’accepter d’être pécheur. C’est l’Esprit Saintqui m’en a convaincu. Un soir, en lisant laBible, j’étais comme foudroyé et pénétré àl’intérieur. J’ai réalisé que mon péché, cen’était pas seulement mentir ou tricher maisme détourner de Dieu. Je priais des lèvresmais mon cœur était loin de Dieu. J’ai pleurépendant deux heures. En quelques sec-ondes, j’ai réalisé que j’étais pécheur. Cela aété le plus beau moment de ma vie. Dieum’aimait d’un amour inconditionnel. Là, j’ai accepté Jésus comme mon Sauveur :“Maintenant, tu vas être le Seigneur de mavie, à toi de diriger les choses.” Mes copainsdisaient : Saïd, il est devenu fou, il va êtrecuré ! "

RéparationSuivre le Christ impliquait la réparation. Aulycée, j’avais volé de l’argent à ma prof. Alors,je suis allé la trouver pour le lui dire et luirendre l’argent. Cela me soulageait. Pourréparer, j’ai pris deux mois avec sursis. Jevoulais livrer toute ma vie, tout mon cœur.J’avais 21 ans. À la maison, ma conversionn’a pas été bien acceptée : moi aussi, jetrahissais… Maman a vite vu que cela n’était

pas un feu depaille car je nevivais plus de lamême façon.Elle disait à mescopains qui mepointaient dudoigt : “Je pré-fère le voir ainsi.”Mon frère, lui, nevoulait plus mevoir et ne mepermettait plusde toucher à sesenfants. Il a faitappel à la sorcel-lerie au Marocpour que j’aban-donne ma foi…

Même converti,je continuais de mépriser mon père. Je lui envoulais. Il ne pensait qu’au travail, au retour aupays – qui me semblait de plus en plus illu-soire – il n’avait jamais porté un regard surnous et ne m’avait jamais serré dans ses bras.J’avais vu tellement de choses mauvaises à lamaison, tellement de violence et je lui envoulais. Un jour, je lui ai dit : “Papa ! De la mêmemanière dont Jésus m’a aimé, je veux t’aimer.Jésus m’a pardonné. Tu peux accepter Jésusdans ta vie.” Et mon père a accepté Jésusdans sa vie ! On s’est pris par la main et on aprié en arabe. Jamais auparavant, je ne luiavais dit : “Papa, je t’aime.” Par la puissancede l’Évangile, nous nous parlions ; par la puis-sance de la Croix, nous avions reçu la forcede la réconciliation.

Aujourd’huiAujourd’hui, ce qui me fait vivre, c’est leChrist. Je peux me passer de manger, maispas de prier. Être dans son intimité, fairesilence, laisser la voix de Dieu me parler,c’est mon poumon. La plus grande deschoses, c’est de lui appartenir. Je lui appar-tiens en tant que Nord-Africain.

Je continue à manger le couscous avec troisdoigts. Mon mariage s’est fait à l’Église, maisc’était aussi un mariage traditionnel avec unrepas oriental. Je n’ai renié ni ma culture, nima tradition et je serais bien égoïste degarder tout cela pour moi !

Livre de Saïd disponible à la page 30

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Début février 2006Le Père Céleste : Parle pour lesMusulmans, mes frères, mes amis, parleparce que je veux qu’ils me connaissent.N’aie pas peur, je suis avec toi. Je t’y invite,je t’y presse, mon aimée. N’aie pas peur,c’est moi qui parle, c’est moi qui dis, c’estmoi qui guide ta main, ta pauvre main, tonpauvre cœur, ta pauvre âme.Ils ne savent pas que je les aime. Ils nesavent pas que je suis leur ami, leur douxfrère, leur douceur, ils ont tant besoin dedouceur, ils ont tant besoin de moi.

Le 7 février 2006Écris, écris pour eux. Je veux incliner monvisage vers les leurs, je veux leur murmurerles mots d’Amour qu’ils n’ont jamais en-tendus, je veux leur révéler qui je suis enVérité.Je sais que tu n’es rien, mon aimée, que tues faible et petite et ignorante, mais je te ledemande : écris pour eux, écris pour mesenfants musulmans, pour qu’ils me connais-sent enfin dans mon essence, dans maréalité, dans toute ma miséricorde, danstoute ma substance.

Le 8 février 2006Écris : Beaucoup d’entre vous m’aimentvraiment et respectent mes saintes Lois, quisont des lois de pureté et d’appartenance àma Royauté. Vous menez des vies honora-bles, vous apprenez le respect de la vie, dela famille, vous exercez les vertus néces-saires à la sainteté, vous m’honorez en me

priant 5 fois par jour en vous inclinant res-pectueusement vers ma face sublime etvous m’appelez du fond de vos cœurs, sanscesse.

J’entends vos prières, vos cris vers moi, jevois vos bonnes volontés, vos sacrifices,vos vies tournées toutes entières vers moi,votre soif de moi.Mais je vois aussi que vous ne meconnaissez pas vraiment, car écoutez, mesenfants ! Écoutez et ouvrez vos cœurs !Jésus-Christ que vous pensez être un pro-phète est mon Fils, mon Fils Unique, leVerbe de Dieu incarné, ma substancemême.

Écoutez-moi, Ô mon peuple que j’aime ! Ilest temps que vous connaissiez la Vérité quiréjouira vos âmes. Oh, comme elle réjouiravos âmes, cette Vérité qui est la seule et quivous est enfin donnée !Écoutez ! Oh ! Écoutez les paroles de monFils bien-aimé :

“C’est la volonté de mon Père qui m’aenvoyé, que quiconque voit le fils et croit enlui, ait la vie éternelle.”“En Vérité, en Vérité, celui qui m’aimera,mon père l’aimera. Nous viendrons en lui etnous ferons en lui notre demeure.”

Oui, celui qui aime et reconnaît mon FilsJésus comme le Messie, le Sauveur de l’hu-manité, celui-là m’aime, m’honore, et meconnaît.

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je te cherche, toi monpeuple musulman

Voici des extraits d’un texte d’une révélation privée proposé avec l’autorisation du frère J.de Richemont, m.b de l’abbaye de Trior (26), France.

Concernant les révélations privées : “Au fil des siècles, il y a eu des révélations dites“privées” dont certaines ont été reconnues par l'autorité de l'Église. Elles n'appartiennentcependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle n'est pas d'améliorer ou de compléter laRévélation définitive du Christ, mais d'aider à en vivre plus pleinement à une certaineépoque de l'histoire. Guidé par le Magistère de l'Église, le sens des fidèles sait discerneret accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel authentique du Christ ou deses saints à l'Église.” (Catéchisme de l’Eglise Catholique N°67)

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Mais celui qui ne reconnaît pas Jésus, FilsUnique de Dieu, Verbe incarné de Dieu, neme connaît pas vraiment, si bien que moi lePère, je ne peux pas me dévoiler, ni medonner totalement à VOUS QUI ME CHER-CHEZ ET M’HONOREZ.

Le Père et le Fils sont Un. C’est cela quevous ne savez pas, c’est cela que je suisvenu vous dire, par pure grâce, en ces joursoù vous me priez.

Je veux vous dévoiler ma véritable nature,car le temps que vous sachiez la Vérité estvenu, le temps de ma grâce totale pour tousceux d’entre vous qui me cherchent et prient.

Me voici, mes chers enfants, entièrement.

JE SUIS va se donner à vous entièrement pourque vous ne pleuriez plus, pour que vous puis-siez recueillir les fruits infinis, les baumes, lesparfums innombrables de ma Vérité touteentière. Car ma Vérité est celle-ci :

Dieu, l’Unique qui est AMOUR, est en TROISPERSONNES. Car l’Amour ne peut-être seul,l’Amour nécessairement demande un mou-vement, et cet AMOUR ENTRE LE PÈRE ETLE FILS s’appelle le SAINT-ESPRIT.

Écoutez, mes doux amis, écoutez mes fer-vents, écoutez ce que valent vos prières etvotre sincérité, les cris de vos peuples depuisAgar, les prières de vos peuples depuis Agar !

Je ne suis pas le seul, l’isolé, au milieu descieux. Je ne suis pas le juge inexorable. Jesuis l’Amour qui ne cesse d’aimer, qui necesse de bénir, qui ne cesse de rechercherses enfants. Et je viens aujourd’hui par mesmains blessées que je donne à mon aiméequi a enfin accepté d’écrire pour ma gloire etla vôtre ! Oui, je suis venu vous dire par elle, parce queses mains sont blessées comme lesmiennes ! Je suis venu vous dire combien jevous aime, et ne veux plus vous tenir éloi-gnés de mon Amour.

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La Sainte Trinité de Roublev

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Écoutez ce grand mystère qu’aujourd’huibeaucoup d’entre vous peuvent entendre etcomprendre : mon cœur de Miséricorden’est qu’Amour et pour que cet Amour soitmanifesté nous sommes trois en un seulDieu. Nous sommes : le Père, le Fils Jésus-Christ, Verbe de Dieu, le Saint-Esprit, mou-vement d’Amour entre nous.

Or, l’amour, vous le connaissez ! Vous lesfemmes, les mamans musulmanes prêtes àtous les sacrifices pour vos enfants, vouspeuple d’amour et de partage, vous, peuplede solidarité, de générosité, de mains ou-vertes. L’amour, vous le connaissez mieuxque beaucoup et le vivez ! Vous savez quel’amour ne peut se vivre qu’à plusieurs, vosmaisons ouvertes en sont la preuve, vosmains ouvertes, vos cœurs ouverts. Vosvies communautaires en sont un vivantexemple. Vous voyez bien, vous ne pouvezéviter de voir que l’amour se donne, separtage, l’amour ne peut se vivre seul.

Votre Dieu n’est pas seul. Votre Dieu qui estl’Origine de l’Amour que vous vivez ne peutêtre seul ! C’est le grand mystère de laSainte Trinité qui vous est révélé au-jourd’hui ! Car le temps est venu, les cœurssont ouverts, les prières sont arrivées à moncœur blessé, vos âmes se sont purifiées parla prière.

Vous pouvez entendre et reconnaître laVérité : Je suis Dieu en trois personnes, lePère, le Fils, le Saint-Esprit, vivant Amour,éternel Amour, Amour sans limite, mouve-ment indicible et inouï, entre nos trois per-sonnes qui se donnent sans cesse l’une àl’autre, vivante image de l’Amour qui est envous-mêmes et qui se donne aux autres.

L’Amour ne peut-être solitaire. Vous lesavez, vous le sentez, vous en avez uneconscience aiguë.

Ô mes chers enfants, croyez, croyez quemon Fils Unique Jésus-Christ est le Verbede Dieu, celui que je chéris, il n’est pas unsimple prophète, non ! Il est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complai-sances et qui est mort sur la Croix pourchacun d’entre vous !Chacun d’entre vous a été nommé sur laCroix et est inscrit dans les blessures de

mon enfant, pour que vous reveniez à laVérité.

Mes enfants le moment est grave, lemoment est unique, le moment est votremoment, car c’est celui où l’Amour vientvous parler personnellement de la Vérité caril est la Vérité.Ne refusez pas la Vérité. Écoutez-moi !

Vos prières, je les ai écoutées jusqu’à cejour parce que vous ne saviez pas.

Vous ne savez pas que Jésus-Christ estmon fils bien-aimé le Verbe de Dieu, Dieumême, et que je suis mort avec lui sur laCroix, crucifié pour chacun d’entre vous,pour chacun ! Que toutes les plaies de monFils sont les miennes, que le Cœur trans-percé de Jésus sur la Croix est le mien, quela couronne d’épines qui a transpercé toutesa tête jusqu’à ses yeux saints, ô combiensaints, est la mienne !

J’ai écouté vos prières parce que vous nesaviez pas et que vos âmes n’étaient pasencore prêtes à comprendre ce grandmystère. Car il s’agit d’une révélation, d’unegrâce de révélation que je vous accorde au-jourd’hui, car les temps sont extrêmes, lestemps sont à la fin pour le choix de la Vie.

Ne refusez plus le Verbe de Dieu car alorsvous me refuseriez.Ne le considérez plus comme un simple pro-phète car alors il aurait été un menteur.

En effet, pendant trois années de son en-seignement, Jésus n’a pas cessé de fairecomprendre et d’affirmer qu’il était le Fils deDieu.

Ainsi, quand les scribes et les pharisiensl’interrogent sur lui-même, il leur dit : “Je suisla Lumière du monde. Celui qui me suit nemarchera pas dans les ténèbres.”Et comme ils le harcèlent de questions, illeur dit encore :“Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez,car c’est de Dieu que je suis sorti et que jeviens.”

Puis il finit par leur dire : “En vérité, en vérité,je vous le dis, avant qu’Abraham fût, JESUIS.”

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Alors, ils veulent le faire mourir.

Quand Jésus demande à ses disciples, “pourvous, qui suis-je ?” Et que Saint Pierre, sonpremier disciple, s’exclame : “Tu es le Christ,le Fils du Dieu Vivant ! Le Messie !”

Jésus lui répond : “Heureux es-tu fils deJonas, parce que ce n’est pas la chair et lesang qui t’ont révélé cela, mais mon Père quiest dans les Cieux !”

Quand les anciens du peuple, les princes desprêtres et les scribes se réunissent pour lecondamner, ils lui demandent : “Tu es donc leFils de Dieu ?”

Il leur répond : “Vous le dites, je le suis.”Alors ils le font crucifier.

Ainsi, non seulement Jésus a osé dire etrépéter qu’il était le Fils de Dieu incarné, maisil a fait ce qu’aucun prophète n’a jamais faitdans aucune religion, nulle part dans lemonde. Il a fait ce qui n’appartient qu’à Dieu :il a PARDONNÉ LES PÉCHÉS !Oui, souvent, quand Jésus faisait un miraclesur une personne, il lui disait : “tes péchés tesont remis !” Cela voulait dire pour les juifs : “je suis Dieu.”

Et c’est pour cela, et c’est cela qu’aujourd’huivous allez pouvoir comprendre, ô mesenfants !

C’est pour cela, parce que Jésus a constam-ment affirmé qu’il était le Verbe de Dieuincarné, qu’il l’a montré par ses miracles ex-traordinaires, par sa Parole, par sa Personnemême, par sa Sainteté inégalée, inimitée, ini-mitable, c’est pour cela que les prêtres juifs,jaloux, et ne pouvant accéder à ce grandmystère, l’ont crucifié. Et c’est pour cela,aussi, que vous ne pouvez plus croire au-jourd’hui qu’il est un prophète, car alors ilaurait été un prophète menteur !

Or, un prophète peut-il mentir ? Non, c’est im-possible ! Un prophète ne peut pas mentir.C’est impossible !Il ne reste donc aucun autre choix que d’ac-cepter cette grande Joie, ce mystère inouï,cet amour incommensurable, ce bonheur in-dicible, cette grâce inimaginable, ce don au-delà de tous les dons, ô mes enfants !Il ne reste donc aucun autre choix, que celuide mon Amour fou pour vous, qui a étéjusqu’à envoyer mon Fils Unique chéri,seconde personne de la Trinité, sur la terre,pour vous sauver !

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Il ne reste que ce choix d’Amour. Il ne reste,mes chers enfants, qu’à vous jeter dans sonCœur transpercé qui est aussi le mien, et àrecevoir tous les dons du Saint-Esprit quinous unit.

Mes chers enfants, il n’y a plus qu’à vouslaissez aimer à la folie, car l’heure est venueoù vous pourrez comprendre mes trésors,où vous pouvez les recueillir, goûter à leursdouceurs, à leurs parfums, à leurs mielsodorants, à leur délectation. L’heure est venue enfin, mes enfants, oùvotre cœur aimant peut recevoir mon Cœuren mon Fils si chéri. L’heure est venue enfin, mes enfants que jecherche depuis si longtemps, où vouspouvez comprendre que l’Amour est àl’image de votre amour : il est Trois, parceque ne pouvant vivre sans se donner sanscesse, comme vous le faites.

Continue, mon aimée, ma plus que pauvre,ma toute petite, continue. Parle-leur de lapureté de mon Fils Unique, parle-leur de saSainteté inégalée.

Jésus n’était comme aucun des hommes quiont vécu sur la terre depuis le début dumonde. JÉSUS N’A JAMAIS PÉCHÉ ! Terends-tu compte, ô mon peuple, te rends-tucompte, toi qui me cherches, de ce que tuviens de lire : JÉSUS N’A JAMAIS PÉCHÉ !

Les juifs ont été obligés de le reconnaître.En effet, un jour dans la synagogue, où tousétaient réunis, c’est Lui, mon cher enfant quia été désigné pour lire la Parole. Or c’était,ce jour là, la parole du prophète Isaïe, quiannonçait la venue du Sauveur, le Christ.

Après cette lecture, il se fit un grand silencecar tous savaient que Jésus, lorsqu’il prenaitla parole, ne parlait pas pour rien. Aussi at-tendaient-ils ce qu’il allait dire. Et voici qu’ilprononça ces mots incroyables : “ce que jeviens de lire, s’accomplit aujourd’hui en moi-même !” Ce qui veut dire : le Messieattendu, c’est moi !

Il y eut alors des mouvements de réproba-tion dans la synagogue, de vifs mouve-ments, car quelle parole insupportable !Qu’un homme qui leur ressemble, quisemble extérieurement semblable à eux, né

dans un simple village, soit Dieu, c’étaitblasphématoire ! Alors Jésus leur demanda,calmement, paisiblement : “qui d’entre vousme convaincra de péché ?”

Il y eut alors encore un très long silence… ily avait des centaines de personnes ras-semblées pour la prière, des personnes quile connaissaient depuis des années. Or, pasun n’a pu dire à ce moment-là : “je t’ai vu, àtel moment, faire telle faute !”

Jésus avait 32 ans, et personne, mêmeparmi ceux qui le connaissaient depuis tou-jours, n’a pu dire : tu as péché à telmoment !

Le silence se poursuivit. On eut beau se re-tourner, attendre que quelqu’un, enfin,trouve le plus petit péché dans sa mémoire,la plus petite imperfection. Personne, per-sonne ne put répondre ! Le silence encorese prolongea. Alors Jésus quitta le lieu de laParole. Personne, personne n’avait jamaisvu Jésus faire la moindre petite faute ! Jésusdonc était sans péché, ce qui voulait direaussi qu’il ne pouvait donc pas mentir, etqu’en disant : “cette parole se réalise au-jourd’hui, en moi-même !”, il disait la vérité.

Beaucoup se convertirent ce jour-là. Jésusn’eut pas besoin de dire autre chose.

Voyez-vous, mon Fils Unique est si beau, sipur, que vous ne pouvez plus le considérercomme un simple prophète, vous ne pouvezplus. (...) !

Qui choisirez-vous comme guide de votrevie éternelle, mes enfants ?

Le Sans Tache, l’Agneau d’Amour Immolé,la Pureté extrême, le Parfait ? Celui qui n’ajamais commis aucun péché ? Celui quepersonne, jamais pendant les 33 ans de savie terrestre, n’a pu soupçonner d’aucunefaute ! Le Saint des Saints, l’Innocentsuprême, et à jamais Unique sur la terre desvivants !

Oh, choisissez-le ! Aimez-le ! Chérissez-le !Reconnaissez-le !

Car J’AI BESOIN DE VOUS.

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Moi votre Dieu, j’ai besoin que vous veniez àmoi entièrement. J’ai besoin que vous l’ai-miez ! Je ne peux plus supporter de le voiropprimé et inconnu et méconnu lui, lesublime, mon Cœur même.

Oh, je vous en prie, mes enfants, consolezmon Cœur ! Je consolerai le vôtre, car je nesuis que consolation, et vous ne le savezpas ! Je dilaterai votre foi, pour en faire desbraises d’Amour. Je viens vous sauverencore et encore ! Je viens vous enseigner.N’ayez plus peur, car j’ai besoin de vous.

Le Père Céleste.

Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoin d’elles !

Le 10 février 2006Parle aux femmes musulmanes, j’ai besoind’elles !

Regardez, regardez la Vierge Marie, Porte duCiel que j’ai voulu, pour vous, dans ce cahier.

Cette icône de ma très Sainte Vierge fera denombreux miracles d’Amour pour vous. Elleest la Porte du Ciel.

Contemplez-la et reconnaissez-vous en Elle.

Ne porte-t-elle pas le vêtement que vousportez ? N’est-elle pas habillée comme vous :les cheveux recouverts d’un beau tissugalonné d’or, la robe longue, pudique, quipréserve le corps de tout regard impur ? Oui,la très Sainte Mère s’est toujours habilléecomme vous.

Oui, vous avez raison, mes aimées, de pré-server vos corps, et d’en faire les temples deDieu. Car votre corps, oui, est le temps demon Esprit et il m’est réservé. Il est fait à monImage et à ma Ressemblance et il est donnépour un seul homme qui sera votre époux. Iln’est pas donné aux autres. Il est un cadeauextrême d’amour qui est réservé à cet époux,et cet époux doit le garder et l’aimer avec in-finiment de tendresse, de douceur et derespect. C’est un corps saint, fait pour sedonner à un homme saint, pour que naissel’enfant saint qui m’honorera dans sa joie !

Oui, votre corps ne doit pas être dévoilé etjeté aux opprobres comme vous le voyezpartout autour de vous. Ma très Sainte Mèrevous en remercie. Ma très Sainte Mère quevous aimez, vous a suggéré cet habillementpour rappeler à chacun la Pureté.

Regardez-la bien, longuement, en silence ;laissez-vous pénétrer de son Amour pourchacune d’entre vous. Elle est votre Mamanet combien vous savez ce que cela veut dire !Car la maternité, vous la connaissez, le dontotal pour eux, vous le connaissez !

Elle va vous aider à comprendre les Secretsdu Royaume que vous ignorez encore.Regardez, regardez-la. Qui tient-elle entreses bras Immaculés ? Qui vous montre-t-elle ? Elle vous montre mon Fils bien-aimé,Jésus. Mais elle fait plus que vous lemontrer : elle vous l’offre, elle vous le donne,ce Fils chéri plus que sa vie !

Elle vous supplie de le recevoir. Car il est LESAINT DES SAINTS, celui qui a toutes lescomplaisances de Dieu, moi-même, celui quiest l’AGNEAU SANS TACHE qui sera sup-plicié ignominieusement pour chaquehomme, pour le sauver et transformer sespéchés en grâces.

Oui, sur la Croix, mon Fils, en Moi, transformetous les péchés en grâces ! Par notre Amour

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Icône Marie Porte du Ciel

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mère !V extrême, par son sacrifice, le Sacrifice de

l’Innocent suprême, il transforme le mal enbien. Il réduit à rien Satan et ses œuvres. Ilrenouvelle l’humanité toute entière. Il offre àchacun de devenir fils et filles de Dieu, ilprend en son Corps et son Cœur suppliciéstout le mal, tous les péchés : les plus petits,les plus graves, les plus laids, les plusrépétés, les plus ignorés, les plus cachés.Tous les péchés, il les élève avec lui sur laCroix ! Il les élève avec lui sur la Croix !

Chacune de ses souffrances ôte le péchédes hommes ! Oui, vos péchés, il lesconnaît, mais il les a soufferts pour que vousen soyez délivrés ! Il les a pris sur lui-mêmepour que vous soyez purifiés, pour que vouspuissiez rentrer purs et saints dans monRoyaume.

Oui, mon Fils a pris tous les péchés, tousvos péchés, tous, dans sa Passion qui estune passion d’Amour extrême, qui est unepassion de Miséricorde pour l’homme !

Et quelques minutes, avant de mourir, il criaces mots qui ont déchiré tous les espaces,tous les abîmes, toutes les planètes etl’enfer même ; des mots qui réjouiront leshommes et les femmes jusqu’à la fin destemps, ces mots qui réjouissent tous les ha-bitants du Royaume du Ciel : “TOUT ESTCONSOMMÉ.”

Oui, tout est consommé ! Ce qui veut dire :tous les péchés des hommes depuis ledébut du monde et jusqu’à la fin des temps,ont été consommés par mon Fils, dans saPassion.

Tous les péchés ! Pas un qui ait été oublié,pas un qui n’ait été réparé par mon FilsUnique, le Verbe de Dieu.Tous les péchés ! Mon Fils, en moi-même,les a tous rachetés ! C’est cela la merveil-leuse nouvelle qui vous est révélée en cestemps nouveaux, mes aimés !

La très Sainte Vierge Marie vous donne leSAINT DES SAINTS !

C’est un cadeau extrême, c’est un cadeauroyal, c’est un cadeau qu’aucun prophèted’aucun pays ne peut donner. C’est un cadeau offert aux princes, aux prin-

cesses, aux habitants du palais. C’est un cadeau que personne ne mérite,mais qui vous est donné par pure grâce,pour répondre à vos instantes prières, pourcouronner votre foi, pour vous délivrer del’oppression de la faute, pour vous donnerla vérité toute entière !

Regardez la très Sainte Vierge Marie, Portedu Ciel !

Elle vous donne ce qu’elle a de meilleur,celui pour qui elle souffrira tant ! Elle est lamère des douleurs. Au pied de la Croix, ellevous donne celui pour qui elle souffreencore tant, le voyant méconnu ou rejeté, levoyant si peu aimé, lui, l’Amour extrême !Elle vous le donne, lui, la Sagesse incarnée,la Douceur incarnée, lui, votre Roi !

Regardez le visage de votre Mère !

Sur sa joue droite il y a une marque ! C’estcelle laissée par un poignard !

Oui, cette icône a une histoire, une histoirevraie ! Elle n’est pas ici par hasard. Ce n’estpas une icône ordinaire. Elle est ici parmiracle et elle n’a pas cessé de faire des mi-racles. Voici cette histoire vraie :

C’était au XIVème siècle. Cette icône étaithonorée et priée dans une église russe ences temps malheureux où commença la per-sécution, inspirée par Satan, qui détruisit laplupart des merveilleuses icônes.

Or, une fidèle et son fils Gabriel cachal’icône que vous voyez, chez elle.

Mais un jour, on la dénonça et deux soldatspénétrèrent dans sa maison. Dans leur rage,l’un d’entre eux voulut éventrer l’icône etfrappa de son épée la joue gauche de laMère de Dieu. Aussitôt, il en coula du Sang.

Effrayés de ce geste, bouleversés, les deuxsoldats tombèrent à genoux en pleurant : levisage de la Très Sainte Vierge saignait ! Ilsse convertirent et décidèrent alors de sauverl’icône.

La persécution était si violente qu’ils eurentl’idée de faire un acte de Foi. Ils la déposè-rent sur les flots, suppliant la très Sainte

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Vierge Marie de se garder de toutdanger et de se sauver pour montrersa Gloire au Ciel.

Ensuite, un des soldats et Gabriel sefirent moine et allèrent en Grèce,dans un monastère du Mont Athos,qui donnait sur la mer.

Or, un jour, ils virent flotter quelquechose qui se dirigeait vers le rivage.C’était l’icône de la Mère de Dieu.Imaginez comment ils la recueillirentet quelle joie fut la leur !

Ils la vénérèrent avec infiniment derespect et voulurent la mettre dans lachapelle. À peine l’avaient-ils fait, quele lendemain matin, ils trouvèrentl’icône au-dessus de la porte de lachapelle. Ne comprenant pas, ils laremirent à sa place, dans la chapelle. Lelendemain, elle était encore sur la porte, etde même le surlendemain. Ils comprirent,alors, que la Mère de Dieu voulait être sur laporte, ce qui signifiait qu’elle était LAPORTE DU CIEL.

La suite de cette histoire vraie, de ce récitréel, est que cette icône exsuda très souventune huile extrêmement parfumée et que,parmi les milliers de reproductions qui en ontété faites et distribuées dans le monde,beaucoup ont exsudé aussi de cette huile !

Ainsi, moi votre Dieu, j’ai choisi pour vous,dans mon Amour, cette icône miraculeuse.Je n’ai pas choisi n’importe qu’elle icône.Regardez bien la blessure de la très SainteVierge Marie, cette blessure sur sa jouedroite.

C’est la blessure qu’elle vit toujours pourtous ceux de ses enfants qui, croyantconnaître Dieu, ignorent son Fils. Elleportera cette blessure, ce saignement,jusqu’à la fin des temps, pour vous, pourque vous croyiez en celui que j’ai envoyé,celui qui vous sauve, CELUI QUI EST.

Il vous a sauvés de tous vos péchés, de vosaveuglements même. Il suffit maintenant devous abandonner à lui. Tout est fait. Il nevous est demandé que de l’accepter, que dele reconnaître comme votre Dieu, votre Roi,votre Rédempteur !

Oh, laissez-vous faire, mes enfants, carvotre joie sera complète.

Le Père, votre Dieu.

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C’est vous que je cherche, c’est vousque j’appelle pour devenir chrétiens etpour sauver ensuite ceux de mon peuplechrétien qui m’ont oublié, qui ne saventplus que j’existe, pour les faire revenir àmoi !

Le 16 février 2006.Enseigne encore par ma Voix, par mesMots. Sois confiante. J’ai besoin d’aide.

Souviens-toi ! Pour porter la Croix despéchés du monde, j’ai été aidé par Simon leCyrénéen qui l’a portée avec moi. J’AIBESOIN DE TOI, J’AI BESOIN DE VOUS,J’AI BESOIN DE MES ENFANTS MUSUL-MANS. La croix aujourd’hui des péchés estsi lourde. J’appelle, j’appelle, pour que l’onm’aide à la porter jusqu’au Golgotha,

QUE JE PUISSE SAUVER LES ÂMES QUISE PERDENT PAR MILLIERS.

Écoutez, écoutez mon Cri. Regardez-moisur la Croix. Je crie, je pleure, je demande àboire pour les hommes, de la vraie nourri-ture, la vraie parole nourrissante, la parolede Vie. Je dis, je répète : j’ai soif… j’ai soifpour tous ceux qui n’ont pas la Vérité, laBoisson céleste, les onguents de maMiséricorde, de mon Cœur Transpercéd’Amour, les baumes de mon Pardon, lesbaumes de mes Caresses, de mes Parfums,pour tous les pécheurs qui ne savent pas quiJE SUIS !

J’ai besoin d’aide ! Oui, votre Dieu tout-puis-sant a besoin d’aide. Et c’est vous que jecherche, vous, mon peuple musulman. C’estvous que je cherche, c’est vous que j’appellepour devenir chrétiens et pour sauverensuite ceux de mon peuple chrétien quim’ont oublié, qui ne savent plus que j’existe,pour les faire revenir à moi !

C’EST UN PROJET INOUÏ AUQUEL NULN’AVAIT SONGÉ !

Seul Dieu qui vous aime tant peut vous faireune telle confiance car j’entends vos prières,je connais vos cœurs, je sais que vousm’écouterez, je sais que vous aurez pitié devotre Dieu qui pleure ! N’ayez pas peur ! Ohnon, n’ayez pas peur ! Je vous aime tant, jevous chéris tant ! N’ayez pas peur, n’ayez

plus peur !

À force de me chercher, à force de me prierchaque jour, n’est-ce pas juste que vous metrouviez vraiment ? Qu’enfin je me révèle àvous tel que je suis ?

JE SUIS est Père, Fils, Saint-Esprit. C’est laVérité. Il n’y a qu’une Vérité et elle est toutentière.

Le Père Céleste, votre Dieu.

LE SAINT NoM

Le 23 février 2006Enseigne, enseigne par mon Saint Nom !

Apprenez, mes enfants, apprenez par monSaint Nom. J’ai voulu qu’il soit devant vous,mon Très Saint Nom, tel qu’Abraham leconnaît, tel que tous les prophètes leconnaissent.

Mon Saint nom est devant vous tel qu’il estdans la Bible, tel qu’il est écrit dans la Bible,dont le Coran se réclame. Voici mon SaintNom, ce Saint Nom que les hommes ne pro-nonçaient jamais par respect et crainte dema Royauté toute entière !

Voici mon Très Saint Nom :

Il est en quatre lettres que vous pouvezcontempler et lire de droite à gauche,comme votre propre écriture. Oui !Contemplez-le, parce qu’en lui se révèletoute Vérité et qu’il suffit de le contemplerpour comprendre qui JE SUIS.

Oh ! Je n’aurai presque rien à dire, moi votreDieu, si vous prenez simplement le tempsde le contempler avec amour ! Car monAmour appelle votre amour et toute la Véritéest contenue dans mon Nom très Saint !

Contemplez, contemplez !

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Il y a quatre lettres c’est pourquoi on l’ap-pelle : le tétragramme. Mais observez bien.Deux des lettes sont les mêmes : la deuxièmeet la quatrième. Il ne reste en définitive quetrois lettres différentes !

Oh ! Réjouissez-vous, mes aimés, monpeuple musulman ! Car mon Saint Nom, quiest celui de vos Pères dans la Bible, vous en-seigne toutes choses !

Il contient trois lettres différentes, Oui, Trois :

La première lettre à droite, יMoi le Père, qui suis dans les Cieux.

C’est pourquoi le signe qui me représente setrouve uniquement dans la partie supérieurede l’espace réservé aux lettres. Regardez, re-gardez, contemplez cet enseignement ! Moile Père, je suis dans les Cieux. Mais monFils, qui est la troisième Lettre en partant de ladroite, et qui est représenté au départ par lamême forme, s’incarne ו

Si bien que la lettre se prolonge jusqu’en basde l’espace réservé aux lettres, bas qui si-gnifie la terre. Oui, mon Fils Jésus-Christ,Verbe de Dieu, s’incarne, descend jusqu’à laTerre, pour vous sauver !Ô mes aimés, réjouissez-vous ! Contemplez

ce qui est et auquel vous ne pouvez résister,car là est tout votre Dieu.

Et la troisième lettre qui revient deux fois, ה

Que représente-t-elle ?Elle représente le Saint-Esprit, l’Espritd’Amour qui nous unit et dont je vous ai parléau début de ce livret, cet Esprit d’Amour quiunit le Père et le Fils. C’est pourquoi il est re-présenté deux fois, car il nous enserre et nousétreint dans une danse sublime d’Amour et deJoie.

Ô mes enfants, contemplez cette Merveilleécrite depuis le commencement de mesRévélations, écrite avant même que leshommes la comprennent au départ, car lesjuifs qui honoraient mon Saint Nom ignoraientsa signification, ne la saisissaient pas.

Seuls ceux qui se sont laissés embraser parl’Amour de mon Fils, Jésus-Christ, compren-nent le sens de mon Saint Nom. Et au-jourd’hui je vous le révèle, je vous dévoile sessecrets, je vous le donne entièrement. Ô mesaimés, laissez-vous enseigner et entrez,entrez dans l’arche de mon Cœur qui est leCœur Transpercé de mon Fils sur la Croix.

Votre Dieu.

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mère !V oui, l’hiver est fini pour toi,

ô mon peuple musulman !

AYEZ CONFIANCE. Ne croyez pas quemes premiers apôtres ont cru tout de suite !Non !

Même ma Sainteté inégalée, même les trèsnombreux miracles par lesquels j’ai mani-festé ma Puissance, même ma Mort et maRésurrection – car je suis apparu à beau-coup d’entre eux ressuscité – les ont laissésdans l’incompréhension de ce Mystère in-croyable de l’Incarnation du Verbe de Dieu,de DIEU FAIT HOMME.

Comment alors ont-ils cru définitivement ?Voici :Après avoir manifesté ma Résurrectionpendant de nombreux jours, je les ai ras-semblés pour les quitter et je suis monté auciel, devant eux. C’est ce qu’on appelle :mon Ascension. Cependant, avant celle-ci,je leur avais révélé que j’enverrais l’Esprit-Saint, la Troisième Personne de la SainteTrinité, qui leur expliquerait tout ce qu’ilsn’avaient pas compris. Mais lorsque je fus complètement disparu àleurs yeux, ils furent consternés et ne com-prenaient toujours pas. Ils s’en allèrent alorset comme ils avaient très peur des juifs quim’avaient tué, ils s’enfermèrent avec maTrès Sainte Mère dans une salle qui s’ap-pelle le Cénacle, et là ils prièrent.

Cinquante jours après ma Passion, unSouffle entra dans cette salle et se posa surchacune de leurs têtes en des langues defeu. C’était l’Esprit Saint.

Alors qu’ils craignaient tout des juifs, alorsqu’ils n’avaient jusqu’ici pas encore réussi àcroire entièrement en moi, Verbe de dieu,VOILÀ QU’ILS COMPRIRENT TOUT ÀL’INSTANT MÊME, qu’ils n’eurent plusaucune crainte, qu’ils sortirent de cette salleet ils enseignèrent à tous ceux qui étaient àJérusalem cette Vérité incroyable et si dan-gereuse à exprimer en public :

CELUI QUE VOUS AVEZ CRUCIFIÉ, CEJÉSUS DE NAZARETH EST DIEU !

On pouvait à l’instant les emprisonner et les

faire mourir. Qu’importe ! Plus rien ne les ar-rêtait. L’Esprit Saint, comme je leur avaispromis, s’était révélé en eux et leur avait dis-pensé tous ses Dons. À partir de ce momentlà, ils ne doutèrent plus jamais et donnèrentleur vie pour affirmer la Vérité.

OR VOICI QUE MAINTENANT JE FAIS DEMÊME AVEC VOUS.

Je vous envoie l’Esprit Saint afin que vouscompreniez ce que vous ne pouviez com-prendre, afin que vous sachiez ce que vousne saviez pas, afin que vous vous réjouis-siez de votre Dieu, afin que vous vousconvertissiez.

Que l’Esprit Saint pénètre dans chacunedes âmes qui lira ces écrits et lui enseignedirectement !Que l’Esprit-Saint, troisième personne de laSainte Trinité, les remplisse de Joie !Que l’Esprit-Saint pénètre dans cette salle,comme il y a 2000 ans, afin que tous ceuxqui y sont, le reçoivent, sentent leurs âmesdilatées de sa Présence, de sa Force, de saVérité, et que vous deveniez les apôtres dema Joie.

Invoquez, invoquez l’Esprit Saint, qu’ilrépande ses Langues de Feu sur tous vosesprits ! Amen, amen !

Voici que le Père en moi renouvelle la facede la terre !Voici qu’il donne à qui a demandé !Voici qu’il nourrit celui qui a faim !Voici qu’il donne à boire à celui qui a soif !

Oh, mes aimés ! Voici que je vous aitrouvés ! J’accours vers vous, les yeuxbaignés de larmes. Plus personne jamais nevous séparera de moi.

Jésus-Christ, Fils du Dieu Vivant.

Et maintenant, écoute, ô mon peuple mu-sulman, le chant de l’épouse avec le bien-aimé. Oh, écoute ! Savoure et entre dansmon Jardin des Délices !

L’épouse : Mon bien-aimé a pris la parole, ilm’a dit : “Lève-toi, mon amie, ma belle, etviens ! Car voici que l’hiver est fini. La pluie acessé, elle a disparu, Les fleurs ont paru sur

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la terre, Le temps des chants est arrivé,La voix de la tourterelle s’est fait en-tendre. Dans nos campagnes ; Lefiguier pousse ses fruits naissants, Lavigne en fleur donne son parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle et viens !” (Extrait du Cantique des Cantiques, chapitre 2)

Oui, l’hiver est fini pour toi, ô monpeuple musulman !

Les fleurs ont paru sur la terre, letemps des chants est arrivé, la voix dela tourterelle s’est fait entendre dansles campagnes, le figuier pousse sesfruits naissants, la vigne en fleur, moi-même, te donne son parfum. Tu peuxvenir, ô mon peuple, t’y embaumer.Lève-toi, viens ! Ton Seigneur.

Grande, grande est la Joie au Ciel, ce livretfera la joie de tant d’âmes ! Oh, grande,grande est la Joie du Ciel ! Sarah tressaillede Joie car Agar, celle qui a été chassée,revient. Oui, elle revient portée par les angeset les archanges ! Elle revient portée par descohortes de saints, par les prophètes et leschérubins !

Oui, Agar revient avec son peuple.C’est Sarah qui étreint celle qui revient dudésert, qui l’introduit dans la plus belle destentes où l’attend Abraham prosterné devantson Dieu, le Dieu Trinité qu’il a trouvé etcompris en Jésus-Christ. Au sol, des tapis

somptueux, des tissus, des velours, des ten-tures de soie, partout des parfums qui em-baument l’espace, partout l’Amour et la Paix.

Amen, amen !

Ton Dieu Amoureux.Grandes, Grandes et Merveilleuses sont nosŒuvres !Moi, le Roi des Nations !

Retrouvez l’intégralité de cetexte dans le petit livre “Je techerche, toi mon peupleMusulman” (page 30)

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Je menais ma vie comme je le souhaitais.J'avais de mauvaises fréquentations. Versl'âge de vingt ans, je me suis posée desquestions sur l'existence de ma vie. Suis-jenée pour vivre, mourir et puis plus rienaprès ? Cette conclusion ne me satisfaisaitpas et je me disais que je devais bien êtresur terre pour quelque chose. Y avait-il unDieu qui s'intéressait à moi personnelle-ment ? Si oui, où le trouver ?Une conviction, sans savoir pourquoi, s'estimposée à moi : il y a sûrement un Dieu quiexiste et il doit être dans la chrétienté,

l'islam ou le judaïsme.Forte de cette conviction je décidai departir à Sa recherche, plutôt que de meconsacrer à mes études, mes relationsamicales et sentimentales, enfin tout !C'était devenu la priorité de ma vie.Connaissant un peu la religion catholiqueet ne connaissant que celle-ci, je décidaique le peu que j'en savais ne donnait pasde sens à ma vie. De même le judaïsme,que ma tante pratiquait assidûment. Ilrestait l'islam, religion inconnue.Je demandai à un ami de me conduire

« je suis lechemin, lavérité et lavie. ne pleure pascar je suis avec toi. »

« je suis lechemin, lavérité et lavie. ne pleure pascar je suis avec toi. »

« je suis lechemin, lavérité et lavie. ne pleure pascar je suis avec toi. »

Je m'appelle Mélatia.Je suis née dans une famille catholique modeste d'origine franco-espagnoleoù l'on ne pratiquait pas la religion, réduite aux seules cérémonies du baptêmeet de la première communion.

témoignage de mélatia

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dans un centre islamique et me convertis.Je respectai du mieux que possible les 5piliers, bien que ce ne fût pas toujours pos-sible.Malgré mes efforts, ma sincérité et toute mabonne volonté, je ne trouvais toujours pasde paix intérieure et mes questions res-taient sans réponses. Irai-je au paradis ouen enfer ? La réponse que me donnaitl'islam étant basée sur les bonnes ou mau-vaises actions que chacunpratique, n'apportaitaucune certitude !

Au bout d'un an, un choixse proposa à moi. J'avaisla possibilité de me marieret de partir vivre au Liban avec un mu-sulman de ma communauté.En même temps, je repris contact avec uneamie d'enfance avec qui nous avions fait lesquatre cents coups et je vis en elle unetransformation inexplicable. Elle parlait desa rencontre avec le Seigneur Jésus et deson expérience. Ce n'est pas tant ce qu'elledisait qui m'importait, mais sa paix, sa joieet ce rayonnement qui émanait de sa per-sonne. Je devais bien m'avouer que malgrémes bonnes pratiques, je ne vivais pas cela.C'est alors que je voulus en savoir plus surla Bible et me mis à la lire.Un jour, je tombai sur un verset qui boule-versa ma vie. Ce jour-là, une grandelumière m'a envahie avec une paix extraor-dinaire. J'ai ressenti un amour profond. LeDieu qui se révélait dans la Bible était unDieu d'amour, qui s'intéressait personnelle-ment à moi.

Forte de cette conviction, j'intensifiai mesrecherches sur la Bible et voulus en savoirplus sur Jésus. Pour moi c'était un prophèterespectueux, reconnu dans l'islam, maislorsqu'il disait qu'il était le Fils de Dieu, jeprenais la fuite, accusant les chrétiens deblasphémer. Je compris plus tard quelorsque la Bible parle ainsi de Jésus ce n'estpas fils dans un sens physique, car Dieu estsaint et n'a jamais eu de relations avec per-sonne, mais que c'était spirituel.Mais, j'étais terrifiée à l'idée de quitterl'islam. L'imam me disait que si je le faisais,j'étais une apostate et irais en enfer. Cettepeur était tellement forte et oppressanteque j'en avais des cauchemars la nuit et

j'étais tourmentée par des esprits mé-chants, les djinns.Je fus invitée à un séminaire où l'on priapour moi au nom de Jésus et je fus délivréede tous mes tourments.À partir de ce jour, j'étais convaincue que lenom de Jésus est le seul qui délivre de lapuissance des ténèbres. Encore méfiantepar rapport aux chrétiens, je ne pouvais niertout ce que je vivais.

Je réalisais toute seule enlisant ma Bible que le ChristJésus était mort sur la Croixpour mes péchés, que Luiseul avait payé le prix de laCroix pour moi et que jepouvais avoir la vie éter-

nelle, non par mes seules bonnes œuvres,mais en mettant ma confiance en Lui et enLe remerciant d'avoir pris sur la Croix ceque j'aurais dû subir.

C'est ainsi que je quittai l'islam, non pouraller vers une autre religion, mais vers unerelation personnelle avec Jésus qui donnela vraie Vie.Je reconnais que tout n'a pas été faciledans ma vie. J'ai rencontré des combats etdes difficultés, mais chaque fois que je Luiai obéi et que je Lui ai fait confiance, cettepaix était toujours là.C'est merveilleux lorsque vous voyez dansvotre vie et celle des autres des exauce-ments à vos prières, des vies libérées, descœurs convertis...Ma mère a vu ma transformation. Elle a euenvie d'en savoir plus sur Jésus. Elle Lui aaussi donné sa vie.

Il est dit dans la Bible : “Vous me cher-cherez, et vous me trouverez, si vous mecherchez de tout votre cœur.” (Jérémie 29,13).Jésus dit : “Demandez, et l'on vousdonnera ; cherchez, et vous trouverez ;frappez, et l'on vous ouvrira.”

Mélatia

Dans ce rêve, j'ai vu unêtre vêtu de blanc, quis'est adressé à moi.

C'était le Christ.

« Car si vous pardonnez aux hommesleurs fautes, votre Père céleste vous

pardonnera aussi à vous »Matthieu 14,6

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À l'âge de dix ans, ma mère mourut et cefut un drame pour moi. Mais en mêmetemps, je compris que sur terre on n'estpas éternel et qu'on peut partir du jour aulendemain. Bien sûr, au début, même si jecroyais en Dieu, je me suis révoltée. J'enai voulu à Dieu parce qu'il avait pris mamère.

Mais le temps a passé, et je me suissouvent posé la question : et toi, Nadia, lejour où tu vas mourir, tu vas partir où ? Ta

mère est morte. Tu penses qu'elle est auciel, parce que je pensais que ma mèreétait auprès de Dieu. J'avais vraimentenvie de mourir, moi aussi, et de partir larejoindre. Je me disais que la vie n'avaitpas de sens.

En grandissant, j'ai vu aussi que dansmon cœur il y avait le mal et je ne savaispas comment faire pour m'en débarrasser.Je savais que j'étais pécheresse et qu'unjour je devrais comparaître devant Dieu.

Je m'appelle Nadia.C'est toujours une grâce et une joie de pouvoir dire ce que Dieu a fait dansmon cœur. Je suis née au Maroc. Je suis issue d'une famille musulmane, pra-tiquante, modérée. J'ai eu la chance de voir ma mère parler avec Dieu et jepense qu'elle m'a donné la foi.

« Quelqu'unm'a parlé

de l’amour de dieu,

en la personne de jésus-christ. »

témoignage de nadia

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Je savais, qu'après la mort, on rencontraitDieu, que l'on ait vécu avec ou sans Lui.À l'âge de 22 ans, j'ai commencé à prati-quer l'islam, le ramadan, la prière et essayéde faire le bien. Cela n'a rien changé dansmon cœur, n'a pas transformé mon âme, nem'a apporté ni joie, ni certitude du salut.Plus je pratiquais, plus j'avais la convictionque j'étais pécheresse et loin de Dieu. C'estlà que le tourment a commencé dans mavie, le tourment spirituel. Je me disais : jepratique et je ne suis pas sûre de monsalut ! J'étais malheureuse, angoissée,jusqu'au jour où Dieu a mis sur mon cheminquelqu'un qui m'a parlé de son amour, en lapersonne de Jésus-Christ.Bien sûr, en tant que musulmane, jepensais que Jésus était pour le monde oc-cidental et que Mahometétait pour les musulmans.Pour moi, Jésus était unprophète, quelqu'un detrès bien, mais je n'avaisaucune relation avec lui.Ça m'était impossible.

Une fois, où j'étais en train de prier enarabe, j'ai entendu au fond de mon cœurune voix qui n'était pas audible mais qui medisait : tu oublies Jésus. Je fus secouée.Cela se répétait toutes les fois où je voulaisprier. Cette voix disait : tu oublies Jésus.

Puis quelqu'un m'a donné une Bible. Je nel'ai pas lue, je l'ai mise de côté. La personnequi me l'avait donnée m'en a alors offerteune autre. Comme je n'avais rien d'autre,j'ai commencé à la lire, pour m'occuper. J'aicommencé par la Genèse et senti quec'était vraiment la Parole de Dieu, un Dieud'ordre. Il explique qui Il est, qu'Il a créé laterre. Je me suis dit : je ne sais si la Bibleest vraiment pour moi, mais ce que je lis metouche beaucoup.

Je continuais à faire ma prière musulmane.Mais un jour, dans le désespoir, j'aidemandé à Dieu : montre-moi si Jésus estvraiment le Sauveur de l'humanité, si vrai-ment il est mort pour mes péchés, si vrai-ment il a donné sa vie pour moi, s'il est vrai-

ment ressuscité ! Je ne veux pas seulementlire ou entendre des témoignages. Je veuxvraiment avoir une révélation de ta part ! Àcette époque, la seule chose qui comptaitpour moi c'était croire en la vie éternelle etsavoir où j'irai dans l'autre monde. C'étaitplus que vital, c'était une angoisse, plusqu'une recherche. Quand je priais, j'étais enpleurs.

Trois jours plus tard, quelqu'un m'a invitée àl'accompagner dans un lieu où l'Évangileétait prêché. Quand je suis rentrée danscette église, j'ai senti une présence.

Maintenant, que je suis chrétienne, je peuxdire que c'était le Saint-Esprit qui me sai-sissait. Le prédicateur parlait de Jésus, il

disait: “Jésus est venu. Il adonné sa vie pour l'humanitéafin que quiconque croie enLui, ne périsse pas, maisqu'il ait la vie éternelle.”C'était pour moi comme unerévélation. J'ai compris que

j'avais besoin d'être sauvée et que monsalut était dans ce Sauveur qui est Christ.Et ce Christ était ressuscité. Il n'était pasresté sur une croix, Il n'était pas une statue,une image, un prophète. Il était plus qu'unprophète. Il est vraiment Dieu lui-même,venu vivre parmi les hommes. Il a donné Savie pour nous. Il est ressuscité.

Aujourd'hui, je peux dire que j'ai la certitudede mon salut. Avant, j'étais angoissée,parce que je ne savais pas où j'irai après lamort. Maintenant, j'en ai la certitude. Cen'est pas une prétention. Je suis dansl'Espérance qu'après ma mort, je verraiDieu. Cela a commencé lors de la mort dema mère. Je bénis Dieu, parce qu'au-jourd'hui je marche auprès de Lui. Il tientma main !

Nadia

Je ne sais si la Bibleest vraiment pour moi,mais ce que je lis me

touche beaucoup.

«J’habiterai au milieu d’eux, et j’y marcherai, et je serai leur Dieu,

et eux seront mon peuple» (Lévitique 26:11-12)

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Mais mon ex-mari était un homme violent,alcoolique, autoritaire, allant dans les bars,courant après les femmes et l'alcool. Pendant quinze ans, j'ai demandé l'aide deDieu. Je souhaitais qu'Allah interviennedans mon malheur, mais... rien. Ce Dieuque je priais était loin, si loin... que je ne l'aijamais entendu. Il n'a jamais répondu à maprière. De plus, je baignais dans la sorcel-lerie, je voyais des choses, des ténèbres.Je voulais sortir de cet enfer mais rien.Un silence si terrible, maisj'avais l'espoir et j'adoraisDieu.

Ma maman était chré-tienne. Je discutaissouvent sur ma compré-hension du Coran et elle m'expliquait lesparoles de la Bible. Mais je pensais que leCoran était la vérité et je tenais fermementà mes convictions. Un jour ma mère m'a ditde venir écouter un soi-disant homme deDieu et que si je ne ressentais rien, jen'étais plus obligée de revenir.

J'y suis allée. Je n'étais pas convaincue,mais j'avais une certaine crainte. Moncœur était ouvert à recevoir ce que Dieuavait prévu pour moi. Le pasteur ademandé de fermer les yeux et la louange

a commencé. Il s'est alors passé unechose extraordinaire. Je sentais meslarmes qui coulaient et c'est comme si toutle poids que je portais s'envolait. Une paix,l'onction de Dieu était là, remplissant l'air etplanant au-dessus de moi. Je ressentisune joie que je n'avais jamais connue. Dieuétait présent et Jésus remplissait moncœur d'amour. En sortant de l'église, j'airetiré le voile de l'oppression et de la sou-mission à l'homme.

J'ai reconnu tout de suitemon Dieu. J'ai ressenti sasainteté et j'ai connuJésus, Celui qui avaitperdu sa vie pour que moije vive.

J'ai enfin cette paix que je demandais àDieu depuis quinze ans, ainsi que cetamour que je n'avais jamais même goûté.J'ai changé. Mon Seigneur m'a façonnée etest devenu mon meilleur ami, mon confi-dent, et, de plus, le seul à me connaîtreparfaitement. J'ai retrouvé l'amour pour lesautres et surtout pour ceux qui ne connais-sent pas le Seigneur de joie, Celui quichange les vies et les cœurs. Je remercieDieu de m'avoir choisie et je lui fais désor-mais confiance.

Kheira

J'ai reconnu tout desuite mon Dieu. J'ai

ressenti sa sainteté etj'ai connu Jésus.

Je m'appelle Kheira.J'ai entendu parler de Jésus en 1993.Musulmane et fiancée avec un mu-sulman, qui allait devenir mon époux,je suis repartie dans l'islam et je mesuis voilée par soumission à Dieu. Jefaisais mes cinq prières par jour.

j'ai reconnutout de suitemon dieu

j'ai reconnutout de suitemon dieu

témoignage de Kheiraoici ta

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En juillet 2000, à l'invitation de celui quim'avait témoigné de Jésus, j'accepte depasser quelques jours au CIJEM, un campde jeunes chrétiens. Cette semaine de campa été l'occasion pour moi de découvrir la per-sonne de Jésus-Christ, le sens de son sacri-fice sur la Croix et la véracité de sa parole, àsavoir qu'Il est le Chemin, la Vérité et la Vie.

Cela remettait toutes mes convictions enquestion et une grande crainte me saisit. Etsi tout cela était vrai et que Dieu avait envoyéson Fils Jésus mourir pour moi ?Je prenais conscience qu'il me fallait prendreune décision devant Dieu, mais le pas à fran-chir était si grand que j'avais besoin que Dieului-même m'éclairât.Alors, j'ai commencé à lire la Bible et à crierà Dieu, qu'aussi vrai qu'Il existe, qu'Il memontre le chemin. J'ai prié le prophèteMahomet et Jésus-Christ afin que celui quiétait la vérité se montre à moi. Et Dieu m'a répondu.

Un soir, où je lisais seule dans le salon, uneforce extraordinaire commença à m'envahir.Au début, je croyais à un malaise, mais cetteforce s'intensifiait et se transformait en unamour infini, une paix et une joie incroyables.Elle était à la fois puissance et autorité.Soudain, je réalisais qu'elle était divine ; jebondis sur le canapé et me dis : C'est Dieu.Terrassée par cette glorieuse présence, jetombai à genoux le visage caché entre mes

mains. Je me suis alors trouvée aux piedsd'une personne qui se tenait en majestédevant moi et qui me dit : tout ce que tu asentendu est vrai. J'existe vraiment et Je suislà avec toi. J'ai toujours été là avec toi et Jeserai toujours avec toi. Cette personne étaitJésus-Christ. Dans les pleurs et dans leslarmes, je lui ai demandé pardon pour mespéchés. Les larmes de repentance qui cou-laient sur mon visage vinrent se mêler auxéclats de rire, j'étais animée d'une joieimmense et incomparable.

Ce soir-là, en un instant, toute ma vie prit unsens. Je réalisai que je ne connaissais pasJésus, mais que Lui me connaissait, etm'avait accompagnée durant toutes lesépreuves passées jusqu'à ce que je Le ren-contre enfin.Depuis, Il n'a pas cessé de me bénir. Mafamille, qui rejeta ma foi en bloc dans unpremier temps, s'est elle-même donnée auSeigneur. J'ai été complètement guérie de ladépression.

Grâce au Seigneur, j'ai pu pardonner à monpère, qui lui-même, touché par cet amour, aaccepté Jésus et retrouvé ma mère.Aujourd'hui, je suis aimée d'un mari formi-dable, que le Seigneur m'a donné, ainsiqu'une belle famille qui comble tout le videde mon enfance.

Faridey

Je m'appelle Faridey. D'origine iranienne, j'étais musulmane, pratiquante jusqu'àce que je me révolte contre la terre et le ciel. Je souffrais d'une dépression pro-fonde, que je cachais à mes proches. J'étais issue d'une famille déchirée, j'avaistout simplement envie de mourir.

mon père, touché lui-même par cet amour...

témoignage de Faridey

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En 1996, j'étais invité à prêcher une retraitepour les immigrants chrétiens présents dansles Émirats Arabes Unis. 33 arabes musul-mans y avaient pris part sans que personnene le sache parce qu'ils n'étaient pas au-torisés par la loi à prendre part à aucune desréunions organisées pour des chrétiens.Dans ces pays là, les chrétiens n'ont pas ledroit de parler du christianisme à des musul-mans, ni de leur donner une Bible ou de lalittérature chrétienne. Le quatrième jour dela retraite, ils sont venus à moi et m'ontdemandé d'organiser une réunion pour euxseuls, car ils voulaient en savoir plus sur leChrist, et j'ai accédé à leur demande.

Prédication aux musulmans Répondant à leur appel, je suis allé prêcherà 256 arabes musulmans venus pour en-tendre parler de Jésus. En premier lieu, j'aicommencé par leur livre, le Coran, où onretrouve de nombreux passages de l'AncienTestament. Le troisième jour, je leur ai ex-pliqué les dix commandements. À partir de leur propre Livre, je leur ai ex-pliqué les châtiments et les malédictions quipoursuivraient ceux qui ne les observentpas. Quand je leur a demandé une solutionau péché, ils n'avaient pas de réponse.Selon eux, Dieu, Allah, est un juge suprêmequi envoie le juste au paradis, un lieu oùabondent des consolations et des plaisirscent fois supérieurs à ceux que nous trou-vons sur terre... Et envoie le mauvais enenfer où l'attendent d'inimaginables torturesphysiques et morales. Et qu'en con-séquence, les hommes devaient vivre unevie droite et conforme aux prescriptions duCoran et, surtout, donner beaucoupd'aumônes. Ils ne purent pas me donner uneréponse convenable sur la manière dont

ceux qui sont tombés dans le péché pour-raient en obtenir le pardon et repartir ànouveau vers le ciel. Pour un Musulman, unDieu de miséricorde et de compassion, quirecherche avec amour le pécheur, n'est pasimaginable. “Œil pour œil, dent pour dent”est un des préceptes de l'Islam.J'ai alors cité un passage de la Bible : “Or ce sont nos souffrances qu'il portait, etnos douleurs dont il était chargé, il a ététranspercé à cause de nos crimes, écrasé àcause de nos fautes, le châtiment qui nousrend la paix est sur lui, et dans sesblessures nous trouvons la guérison. S'iloffre sa vie en sacrifice expiatoire il verraune postérité. Il prolongera ses jours, et parlui la volonté du Seigneur s'accomplira” (Is53,4-10).

Je leur ai expliqué JésusQuand je leur ai demandé qui était celui quiavait souffert à cause de nos péchés, ils ontcherché dans la liste de tous leurs prophèteset leurs saints, sans pouvoir en trouver unseul. J'ai continué avec Zacharie 12, 10 :“Mais je répandrai sur la maison de David etsur l'habitant de Jérusalem un esprit degrâce et de supplication, ils regarderont versmoi, vers celui qu'ils ont transpercé, et ils selamenteront sur lui, comme on se lamentesur un fils unique.” Ils ne surent pas quelle réponse me donnerconcernant celui qui avait été transpercé.C'est là qu'en leur citant plusieurs extraits duNouveau Testament, je leur ai expliqué quiétait Jésus, le fils unique d'Allah, descendujusqu'à nous, afin de racheter nos péchés,en prenant dans son corps, sur la croix, lepoids de nos offenses, des châtiments etdes malédictions, avec son lot de maladieset de souffrances qui résultent. Je n'avais

retraite dans le Golfepar le père james manjackal

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pas une grande connaissance de l'Islam, jene l'avais jamais étudié de façon approfondie.Je ne sais pas comment j'ai pu parler avechardiesse du Christ pendant quatreheures et demie !Je suis absolument convaincu que tout ce queje leur ai dit ne venait pas de moi-même, maisétait l’œuvre de l'Esprit Saint. Je savais fort bienque ni mes propres connaissances ni mestalents auraient pu convaincre les musulmansque Jésus est Dieu ! Je leur ai parlé de laTrinité, de l'Incarnation, de la vie du Christ enraccourci, de la Crucifixion, de laRésurrection, et de la venue de l'Esprit.

Alors que j'arrivais à la fin de mon discours,je vis que ces hommes, au cœur soi-disantdur, pleuraient à chaudes larmes ! J'ai conclu et fait mine de partir, en disant quej'avais dit tout ce qui concernait Jésus. Alorsun jeune homme robuste a serré fortementmon bras, en fixant sur moi un regard perçantet il a dit : “Non, père, vous ne pouvez paspartir. Regardez-nous, nous sommes en trainde pleurer sur nos péchés comme il est ditdans le livre de Zacharie. Parce que nousavons refusé d'accepter Jésus, le Fils deDieu, nous sommes morts dans nos péchés.Père, s'il vous plaît, priez pour le pardon denos péchés et pour l'effusion de l'Esprit Saint,nous sommes prêts à suivre Jésus et laBible...”

À cet instant, j'étais dans une confusion totaleme demandant ce que je devais faire. J'étaisdans le Golfe Arabique, parmi des musul-mans, sur une terre où je n'étais autorisé àfaire aucune œuvre d'évangélisation ou deconversion. Je leur dis que je leur avais parlédans le seul but de leur faire connaître leChrist, mais que je n'avais pas la moindre in-tention de les convertir. Ils dirent tous : “Nous voulons simplementconvertir notre cœur à Jésus qui peut seulnous permettre de trouver la solution pour nospéchés et nos misères !”

L'effusion chez les musulmans J'étais plein d'appréhension et effrayé à lapensée du risque encouru. L'Esprit Saint mefit savoir clairement qu'il fallait que j'aille del'avant avec courage. Chacun d'entre eux dit,en touchant ma Bible des deux mains :“J'accepte Jésus-Christ comme mon seulDieu et je décide de suivre Son chemin”.

L'effusion de l'Esprit Saint J'ai imposé les mains à chacun d'eux, priépour le pardon de leurs péchés et demandéune effusion de l'Esprit Saint. Ils chantaientles quelques chants de louange que je leuravais appris et ajoutèrent leurs propreschants en Arabe. Ce qui a suivi cette prière aduré quatre heures ou plus, et est difficile àdécrire. Je les entendus louer à gorge dé-ployée, battre des mains et danser ensembleen poussant des cris de joie. On en voyaitquelques uns qui priaient en silence,prosternés sur le sol. À la fin, ils se mirent àpartager des témoignages de guérison.

Ils avaient tous senti l'effusion merveilleusede l’Esprit circulant en eux, qui les purifia enfaisant d'eux des hommes nouveaux. Je ne leur avais pas parlé du don des languesou des visions et, cependant, beaucoupd'entre eux priaient et chantaient en langues ;de plus, presque tous ont eu la vision deJésus Crucifié. D'ailleurs, en souvenir de leurexpérience de Pentecôte, ils m'ont offert uncrucifix en or, que je porte constammentdepuis. Tandis qu'ils louaient à pleine voix, se réjouis-saient et se partageaient leurs témoignages,je versais des larmes de joie et de bonheur etl'Esprit chuchota à mon esprit : “C'est la pre-mière Pentecôte des musulmans et beaucoupd'autres suivront”.

Je m'imaginais alors la première Pentecôte àJérusalem, lorsqu'une poignée de disciples deJésus, remplis du feu de l'Esprit Saint, avaientattiré une grande foule de juifs et réunit là desgens originaires de pas moins de seize pays.Comme Siméon je peux dire : “Mes yeux ontvu ton salut, que tu as préparé à la face de tousles peuples, lumière pour éclairer les nations.”(Lc 2, 29-32).Le Seigneur m'a laissé m'en aller. Mais II m'aramené encore et encore vers le Golfe pourm'y faire vivre d'autres expériences de cegenre. Et maintenant, des milliers de per-sonnes vivent du salut apporté par NotreSeigneur Jésus-Christ. Et, dans ces pays,des milliers et des dizaines de milliers debibles en arabe sont distribuées en cemoment. Je loue le Seigneur Dieu qui réalisede grandes choses en se servant de la faib-lesse de ses tout petits.

Source : Père James MANJACKAL Extrait du livre « Eureka », (voir page 30)

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Le calvaire de Joseph Fadelle, un convertiau christianisme en terre d'islam.Un livre poignant raconte ce que doit subirun musulman irakien qui devient chrétien.

La puissance du christianisme réside moinsdans l'énoncé du dogme que dans la forceinégalable du témoignage. Celui de JosephFadelle a de quoi faire frémir. Né Mohammeddans une grande famille chiite (dont l'origineremonte au Prophète), il raconte dans le détailsa douloureuse conversion au christianisme,celle d'un jeune homme que tout destinait àla carrière des affaires. Au lieu de quoi, il asubi un véritable calvaire.

Durant toute sa jeunesse, Joseph entenditses proches insulter les Chaldéens (chrétiensd'Irak) et vit ces derniers se faire traitercomme des intouchables. “J'ai en mémoirecette insulte, une des pires qui soient, celle de"face de chrétien".”

De fait, Mohammed pensait, à l'instar de tousles siens, qu'il n'y avait rien de plus bas qu'uninfidèle. Jusqu'à ce jour où, convoqué pour ef-fectuer son service militaire, il se retrouvedans la même chambre que Massoud,conscrit chrétien qui montre d'entrée unegrande bienveillance à son endroit.

C'est la rencontre qui fait basculer sa vie.Massoud, garçon posé et réfléchi, a beau dis-simuler ses lectures, son camarade de cham-brée est attiré par sa paix intérieure et par saprofondeur.

De fil en aiguille, Mohammed se plonge dansles Évangiles et se prépare à un martyre quiculmine au moment où, entouré de ses quatrefrères qui le condamnent, il voit son propreoncle menacer de le tuer en posant un re-volver sur sa poitrine. Car le Coran pourfendle converti.

Ce récit poignant n'emprunte rien à la fiction.Il est la démonstration écrite de ce que subis-sent chaque jour des millions de chrétiens

d'Orient. Mohammed, devenu Joseph, nousfait découvrir la persécution de l'intérieur, celledont on ne parle pas assez. Du Nigeria à laMalaisie, en passant par le Pakistan, l'Égypte,l'Irak, le Maroc et l'Algérie, on tue chaquesemaine des chrétiens. Il est juste de dé-noncer les discriminations dont sont victimesles musulmans d'Europe. Mais, Dieu merci, iln'existe pas un seul pays chrétien au mondeoù les fidèles de Mahomet sont aussi mal-traités que les chrétiens en terre d'islam.

Extrait du site : http://www.lexpress.fr/actualite/monde

EXTRAITdu livre“Aimer ses ennemis”

“C'est sans aucun doute la chose la plus dif-ficile que le Christ me demande aujourd'hui :aimer mes ennemis. Quand on n'en a pas, cela peut semblerfacile. Mais quand on a contre soi des per-sonnes qui ont marqué votre chair, alors sejoue l'épreuve de vérité pour le croyant, cellequi montre si vous êtes vraiment chrétien.Sentir que j'ai encore cette haine en moiconstitue une véritable souffrance, uneépine dans ma foi. Mais c'est à ce prix quej'évalue désormais mon appartenance à lareligion que j'ai choisi librement d'em-brasser.Pour elle, j'ai déjà abandonné beaucoup demoi-même. Je me disais que j'avais méritéd'être baptisé, parce que j'en avais payé leprix, et très cher. Si je suis chrétien au-jourd'hui, ce n'est pas par héritage de mesparents.Désormais, si je veux parvenir à rejoindrecomplètement le Christ - je sais maintenantque c'est Lui que j'ai entrevu cette fameusenuit il y a seize ans -, il me faut accomplir unpas de plus, sans doute le plus coûteux,parce que c'est contre moi-même qu'il mefaut me battre.”

p.220 du livre "Le Prix à payer", Joseph Fadelle.Présentation sur le site de l'éditeur :http://www.oeuvre-editions.fr

le prix à payer

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“Oui, Mon Père vous exaucera. Il donnera lalumière aux musulmans sincères. Ils compren-dront peu à peu que je suis beaucoup plus qu’unprophète, que Je suis leur Sauveur et leur DIEU.Ils sauront, ils pleureront. Ils chercheront à rentrerdans les églises pour M’approcher. Ils sentirontleur âme exulter de joie, leur corps même s’allégerparce qu’enfin ils M’auront trouvé, eux qui Mecherchent depuis si longtemps !Récitez ce chapelet, chaque jour, et même plu-sieurs fois par jour. Répandez-le autour de vous !Qu'il se dise en France, en Europe et dans tout lemonde catholique, afin que les Musulmans osentenfin enfreindre les interdictions qui les empêchentde pénétrer dans Mes églises. Priez, intercédezpar ces mots si simples. Vos cœurs s'empliront decompassion pour eux qui ne connaissent ni MesConsolations, ni celles de Ma Sainte Mère, nicelles de Mon Père plus Aimant qu'aimant, plusMiséricordieux que la Miséricorde elle-même, plusDoux que toute douceur, plus Beau que toutebeauté, plus Souffrant de leur éloignement quetoute l'humanité souffrante ! Oh, que cette com-passion soit plus grande que vos peurs ou vos ju-gements ! Récitez, récitez ce Saint chapelet.Commencez tout de suite.”

Extrait : “Je te cherche, toi mon peuple Musulman”

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Page 32: je te cherche, toi mon peuple musulman

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L’expérience nous montre que laconfession est agissante, elle estpuissance de délivrance, de guérison,de réconciliation et de libération !Écrit par Thierry Fourchaud Préface du père Charles Tabanou

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Le saint frère André recommandait aux maladesde frictionner leur corps souffrant avec cette huileet de prier saint Joseph pour obtenir leur guérison. Cette huile vient de l’oratoire Saint-Joseph duMont-Royal au Canada + prière à saint Joseph.Prix : votre libre offrande(un seul flacon par commande, merci de votre compréhension)

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