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KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER / CONTENU

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KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER / CONTENU

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Fondé en 1967 par Pierre Péladeau, Le Journal de Québec est aujourd’hui le quotidien numéro un à Québec. Depuis ses débuts, Le Journal de Québec a su établir une relation de complicité et de confiance extraordinaire tant auprès de ses lecteurs que de ses annonceurs. C’est d’ailleurs ce même lien, qui perdure maintenant depuis près d’un demi-siècle, qui lui a permis de s’épanouir et de jouer un rôle important au sein de la société.

Au fil des ans, Le Journal de Québec est devenu un lieu incontournable de débats où l’actualité y est analysée quotidiennement en profondeur et ayant pour mission d’informer, de divertir et de défendre les intérêts de 404 000 lecteurs dans la région de la Capitale-Nationale!

Le Journal de Québec, le journal qu’on aime lire à Québec et dans l’Est du Québec depuis près d’un demi-siècle!

Source : Vividata Q4 2015, Québec RMR, 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement.

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

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EN RÉSUMÉ, LE JOURNAL DE QUÉBEC C’EST :

LE MÉDIA DE MASSE PAR EXCELLENCE À QUÉBEC !

Le Journal de Québec rejoint chaque semaine 404 000 lecteurs à Québec. C’est 57 % des personnes de 12 ans ou plus à Québec.(Source : Vividata Q4 2015, Québec R.M.R., 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement)

LE QUOTIDIEN NUMÉRO 1 À QUÉBEC

7 jours sur 7, Le Journal de Québec est le quotidien numéro un à Québec.(Source : Vividata Q4 2015, Québec R.M.R., 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement)

UN LECTORAT AU PROFIL PERTINENT

• Le Journal de Québec plait autant aux hommes qu’aux femmes.

• Il rejoint des consommateurs dans toutes les tranches d’âge y compris les jeunes adultes : chaque semaine, 51 % des 18-24 ans lisent Le Journal de Québec.

(Source : Vividata Q4 2015, Québec R.M.R., 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement)

• Il rejoint les familles, les propriétaires, les gens scolarisés et les consomma-teurs avec un pouvoir d’achat élevé : chaque semaine, 52 % des foyers ayant un revenu familial de 100 000 $ ou plus lisent Le Journal de Québec.

(Source : Vividata Q4 2015, Québec R.M.R., 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement)

DU CONTENU PERTINENT

En plus de couvrir les faits saillants de l’actualité locale et internationale, Le Journal de Québec présente des sections thématiques et des chroniques jeunes et dynamiques aux goûts de ses nombreux lecteurs : Dimanche Québec, Mardi Québec, Vendredi Québec, Le pouls de Québec, Joggeuse urbaine, Touriste chez-soi, Argent, Autonet, Monde, Affaires, Politique et plusieurs autres. Lieu incontournable de débats à Québec, Le Journal de Québec accueille une équipe chevronnée de chroniqueurs d’opinions renommés.

DES POSSIBILITÉS CRÉATIVES

Aucune limite en termes de créativité média. Plusieurs formats de publicité sont offerts pour vous démarquer de la concurrence. Votre esprit créatif est notre limite !

UNE MARQUE MULTIPLATEFORME

En plaçant une publicité dans notre version papier, elle est automatiquement reprise dans la version électronique. Le site Web du Journal de Québec attire 1 209 000 visiteurs uniques par mois.

Sans oublier J5, notre application mobile personnalisable qui permet aux annonceurs de rejoindre efficacement leur clientèle cible où qu’elle soit tout au long de la journée.(Source : comScore Media Metrix Multi-Platform, février 2016)

Source : Vividata Q4 2015, Québec RMR, 12 +, cumulatif 7 jours, version papier seulement.

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

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CONTENUActualité + Chroniqueurs

Argent + Monde

Autonet + Sports

Cahiers spéciaux + Emploi

Weekend + Casa + Cahier Immo

MARDI Québec, VENDREDI Québec et DIMANCHE Québec + chroniques

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

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Découvrez les tout derniers faits saillants de l’actualité d’ici et d’ailleurs, des enquêtes exclusives et des reportages percutants, sans compter les compléments d’information disponibles sur le web !

Des chroniqueurs engagés, des opinions diversifiées !

ACTUALITÉ

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ACTUALITÉ

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CULTURE

CHRONIQUEURS

MICHEL HÉBERT

le JOuRNAl De QuÉBeC MARDI 21 OCTOBRE 2014ACTuAliTÉS10

Leministre Heurtel doit revoir sa décisionLe maire en désaccord avec la nouvelle carte des zones inondables de Québec et L’ancienne-Lorette

très contrarié par une récente réponse duministère de l’environnement dontl’application conduirait à élargirindéfiniment les zones inondables, lemaire Labeaume a demandé, hier, auministre david heurtel de revenirrapidement sur cette décision.

Environ 2000 maisons de divers secteurs deQuébec et de L’Ancienne-Lorette demeureraienten zone inondable, quelle que soit l’ampleur destravaux de 60 millions $ censés se terminer en2016, vient d’apprendre la Ville.Dans une lettre datée du 14 octobre et signéepar le sous-ministre à l’Environnement GilbertCharland, on peut lire que «les travaux ne per-mettront pas d’éliminer les contraintes d’aména-gement en zone inondable». Or, le but de la Villeest justement de «sortir les résidences des zonesinondables», a répété Régis Labeaume, visible-ment fâché. Dans certains cas, des maisonsn’ayant jamais été inondées et se trouvant «autroisième ou quatrième rang», à bonne distanced’une rivière, risquent de se trouver sur la carte,s’est inquiétée la conseillère Julie Lemieux.

VaLeur à La baisse

Le maire estime que la valeur d’une maisonpeut baisser – et le coût de ses assurances grim-per – à cause de son inscription dans une zoneinondable. «On veut qu’il (le ministre Heurtel)nous confirme que c’est sa bureaucratie qui a prisla décision et que ce n’est pas la sienne. On veutune prise de position publique, nette et par écrit»,a lâché M. Labeaume.La Ville de Québec a toujours refusé de rendrela carte publique pour «ne pas mettre la panique»,a réitéré Régis Labeaume. Chose certaine, la Mu-nicipalité ne mettra pas fin aux travaux en courssur la rivière Lorette. Elle pourrait cependant endiminuer l’ampleur.La carte devait être incessamment approuvéepar le conseil d’agglomération. À cause de la nou-velle donne, le maire a laissé entendre qu’il pren-dra tout son temps avant de procéder au vote.

tensions

En soirée, le ton est passablement monté entrele maire et Anne Guérette. La conseillère de l’op-position s’est demandé pour quelle raison la Villen’avait pas vu venir le coup. «On se trouve vrai-ment dans une drôle de situation parce qu’on n’apas bien travaillé en amont. Peut-être parce qu’onva à Chicago pour des réunions d’urgence!» a-t-elle raillé en faisant allusion à l’un des voyages dumaire. Piqué au vif, Régis Labeaume a invité laconseillère à avoir «un petit peu plus de jugementau lieu de tout virer en petit débat politique mina-ble».Pour une rare fois dans ce dossier, le maire deL’Ancienne-Lorette, Émile Loranger, s’est dit «à100 % d’accord» avec son homologue de Québec.«Bravo! On a la confirmation de ce dont on se dou-tait, a-t-il fait remarquer au Journal. On a tou-jours dit que c’est beaucoup plus facile de fairerentrer les résidences dans une carte des zonesinondables que de les en sortir.»

municipal

TaïebMoalla∫l tMoallaJdQ

c [email protected]

f 418.683.15732275

En recevant des dirigeants du ré-seau FADOQ (anciennement Fé-dération de l’Âge d’Or duQué-bec), lemaire s’est dit étonné deconstater que l’organisme consi-dérait comme «aîné» quiconquea 50 ans et plus. Régis La-beaume a suggéré plutôt l’âgede 60 ans.

«C’est un changement decap total du ministère del’Environnement dans cedossier. On est un peu prisen otage dans tout ça. Il ya des humains qui sontpris au piège.»

- Julie lemieux

Lemaire Régis Labeaumeattend une prise de posi-tion claire et nette dumi-nistre de l’Environnementquant à la nouvelle cartedes zones inondables. Ilcraint pour la valeur desmaisons et des assurances,surtout dans le cas où lesmaisons sont à bonne dis-tance d’une rivière.

photos didier debusschere

50

9ACtuAlitÉS

rÉGYS CAronBureau parlementaire

Alors qu’il continue à sabrer lesbudgets des universités, le gou-vernement Couillard songe à leurpermettre d’augmenter à leurguise les droits de scolarité desétudiants étrangers, a appris LeJournal.Québec se priverait ainsi de140 millions $ par année, selonles chiffres fournis par le minis-tère de l’Enseignement supé-rieur.Les universités sont, depuis2008, libres de fixer les droits descolarité des étudiants étrangersdans six champs d’études: droit,génie, informatique, mathéma-tiques et sciences pures, et ellespeuvent garder l’argent. Le gou-vernement continue à encaisserles droits de scolarité dans les17 autres champs d’études.L’Université McGill a profité decette liberté pour faire passer dusimple au double les droits de sco-larité exigés à ses étudiants étran-gers dans ces six champsd’études.La facture par étudiant est passéede 16 200 $ à 37 365 $ pour un bac-calauréat en commerce. Les aug-mentations en sciences pures, engénie et en droit sont dumême or-dre. McGill accueille environ 8000étudiants étrangers par année.Québec a ainsi retourné 135 mil-lions $ dans les coffres des univer-sités depuis six ans. Un rapport re-mis au ministre de l’ÉducationYves Bolduc recommande de lais-ser les universités fixer les prix les17 autres champs d’études pourles étudiants étrangers.

MARChé AnGLOPhOnE

Parce qu’elles sont des universi-tés anglophones et qu’elles ac-cueillent 40% des étudiants étran-gers, McGill, Concordia et, dansune moindre mesure, l’UniversitéBishop seraient favorisées par ladéréglementation globale. L’in-tention encore non avouée du gou-vernement fait sourciller dans leréseau universitaire francophone.«Le marché des étudiants an-glophones est beaucoup plus dy-namique. Le risque sera assumépar les universités francophoneset la déréglementation risqued’affecter particulièrement lesrégions», craint la présidente duréseau de l’Université duQuébec,Sylvie Beauchamp.Le système universitaire qué-bécois est conçu pour que lesfrais de scolarité facturés auxétudiants du 1er cycle contribuentau financement de l’enseigne-ment offert aux 2e et 3e cycles. «Legouvernement perdra l’argentqu’il allait chercher au premiercycle et il devra continuer à fi-nancer les 2e et 3e cycles, qui coû-tent beaucoup plus cher», s’in-quiète Mme Beauchamp.La clientèle des étudiants étran-gers a bondi de 46% depuis 2008,pour atteindre 32800 étudiants en2013.

Se renfloueravec lesétudiantsétrangers

universités

Alexandre Cloutierest bien préparéLe député de Lac-Saint-Jean a déjà son pland’attaque pour la course à la chefferie du PQÀ défaut d’avoir annoncé sa candidature àla chefferie du Parti québécois, le députéAlexandre Cloutier dispose déjà d’uneplateforme pour faire campagne.

Le député de Lac-Saint-Jean est à pied d’œuvredepuis mai, a confié un de ses proches collabora-teurs désirant ne pas être identifié. «Il a formédes groupes de réflexion sur différents sujets,rencontré des experts en environnement et enéconomie, dont Steven Guilbeault, fondateurd’Équiterre, et Claude Béland, ex-patron du Mou-vement Desjardins.»Bien que sa décision de se lancer dans lacourse ne soit pas prise, la réflexion du députéde Lac-Saint-Jean est avancée. Ses collabora-teurs précisent que ses principaux thèmes decampagne porteront sur la souveraineté,l’éducation, le développement économiquedes régions, «le pouvoir d’achat des mé-nages» et l’intégration des immigrants.Sur le front de la souveraineté, AlexandreCloutier a dressé un échéancier qu’il sou-haite voir s’enclencher dès l’élection duprochain chef du PQ. Les souverainistesdoivent profiter de leurs quatre annéesdans l’opposition pour consulter les Qué-bécois et préparer leur projet de pays, pro-pose M.Cloutier.«Le prochain chef devra mettre sur piedune équipe de préparation de la souverai-neté», a écrit le député sur sa page Facebook.

MODèLE éCOSSAiS

Alexandre Cloutier a déjà déclaré vouloirs’inspirer de la recette écossaise qui aconsisté à définir le projet de pays dans undocument destiné «à répondre à toutes lesinterrogations sur la souveraineté».Le Parti consacrera 50% de ses dons popu-laires au financement de la démarche de consul-tation, précisent nos sources. «Nous avons re-cueilli 1 million$ en 2013, ce qui signifie qu’en re-cueillant le même montant chaque année nouspourrions injecter 500000$ dans la démarche.»Pas question d’utiliser les fonds provenant duTrésor public, promet-on.

REGiStRE nAtiOnAL

À l’élection de 2018, le PQ devra signifier auxQuébécois son intention de tenir un référendumsur la souveraineté dans la deuxième partie deson mandat, s’il devait obtenir une majorité, pré-conise le camp Cloutier. Une fois élu, le gouver-nement ouvrirait un registre national destiné àrecevoir les signatures des partisans de la souve-raineté.Un million de signatures seraient nécessairespour enclencher le processus référendaire, à dé-faut de quoi le gouvernement y renoncera. «Labarre est haute parce que nous n’avons pas droità l’échec. Nous devons nous imposer un vrai testde crédibilité», prévient M. Cloutier.

RégysCaron∫l RCaronJDQ

PolitiqueLUNDI 20 OCTOBRE 2014 leJournAl de QuÉBeC

Alexandre Cloutier se prépa-re pour la course à la direc-tion du PQ. PhOtO D’ARChivES,

JEAn-FRAnçOiS DESGAGnéS

AlexAndreCloutierDéputé péquiste de Lac-Saint-Jean depuis 2007

Ex-ministre des Affaires intergouvernementalescanadiennes, de la Francophonie et de la Gouvernancesouverainiste

Porte-parole de l’opposition officielle en matière de Justiceet des communautés nordiques

Avocat, membre du Barreau du Québec depuis 2002

Baccalauréat en droit à l’Université d’Ottawa

Maîtrise en droit constitutionnel à l’Université de Montréalen 2003

Maîtrise en droit international à l’Université de Cambridge,au Royaume-Uni, en 2004

Marié à Marie-Claude Perron, père de deux enfants

Âgé de 37 ans

Aucunbreuvage

chaud à l’Hôtel-Dieu deQuébec

Aucunbreuvage

chaud à l’Hôtel-Dieu deQuébec

3LE JOURNAL DE QUÉBEC ACTUALITÉSJEUDI 30 OCTOBRE 2014

Le bris d’aqueduc majeur de laconduite principale de la ville deQuébec a occasionné bien destracas aux citoyens, auxcommerçants et aux hôpitaux. enplus des coûteux dégâts causéspar l’eau, l’avis d’ébullition aentraîné une vague de gensassoiffés dans les épiceries à laquête d’eau en bouteille.

Lorsque le tuyau d’alimentation d’eaupotable de 42 pouces a cédé mardi après-midi dans le parc industriel Cardinal, laville a réagi rapidement afin de stopperl’hémorragie, en isolant le bris. Puis, lestravaux de réparation ont été entaméspresque instantanément, sans appel

d’offres. Le maire Régis Labeaume amentionné avoir utilisé «ses pouvoirsspéciaux» pour faire réaliser les travauxurgents, évoquant «les dangers pour lasanté des citoyens».

« PAnIQue»

Malgré tous ces effets, l’accident n’a pasété sans dommages. L’avis d’ébullition del’eau a duré plus de 24 heures et auraforcé les citoyens à s’organiser autrementafin de s’hydrater. Les étagères des épice-ries se sont rapidement vidées, à un pointtel où les marchants ont dû réclamer descommandes supplémentaires.«On était sur le bord d’enmanquer. Lesgens veulent des litres! La panique amonté vite. Tout le monde voulait del’eau à Vanier», a affirmé Jessica McMa-nus du IGA Poulin.De plus, des dizaines de commercesont ajusté leurs façons de travailler afinde servir convenablement leur clientèle.

Dans la partie nord de Pierre-Ber-trand, cet incident avait des airs de déjàvu, car il s’agissait d’un quatrième avisd’ébullition en moins d’un an. Au restau-rant Normandin, un employé était payéà faire bouillir de l’eau en permanence,alors que dans les services de restaura-tion rapide des boissons gazeuses en ca-nette étaient offertes à la place de cellesen fontaine.Les hôpitaux de la région, excepté leCHUL, ont aussi été très incommodéspar l’avis d’ébullition, principalementsur le plan logistique. Plus de 33000 bou-teilles ont été offertes aux patients etemployés. Par chance, tous les servicesprévus ont été rendus.

LOng neTTOyAge

Entre temps, l’heure était au nettoyageà l’entreprise de machinerie LourdeSimplex où les dommages sont évalués àplusieurs milliers de dollars, principale-

ment parce que des «échafaudages à bat-teries» ont été noyés par l’inondationsoudaine. Le bris a eu lieu sur le terrainet, bizarrement, ils ont aussi été lesseuls particuliers aux prises avec des dé-gâts majeurs.Le Boulevard Pierre-Bertrand à la hau-teur de la rue Nolin, endroit où plusieursmètres d’eau se sont accumulés, estresté fermé à la circulation afin que lescols bleus pompent l’eau et nettoient lachaussée.Il s’agissait du deuxième bris majeurdans le même secteur lors des dix der-nières années. Selon le porte-parole dela ville, David O’Brien, cet aqueduc estencore «en bon état».

—Avec la collaborationde Taïeb Moalla

NicolasLachance∫l nicolasLachance

[email protected]

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Avisd’ébullition pour

100 000citoyens durant

près de 30heures

Une sectiondu Boulevard

Pierre-Bertrandfermée à la circu-

lation durant30 heures

4 hôpitauxde la région

affectés avec

33 000bouteilles d’eaudistribuées aux

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Avisd’ébullition pour

100 000citoyens durant

4 hôpitauxde la région

affectés avec

33 000bouteilles d’eau

Une sectiondu Boulevard

Pierre-Bertrandfermée à la circu-

lation durant

En chiffres

Québec Québec Québec

Une ruée vers l’eau en bouteille100 000 citoyens et des dizaines d’établissements incommodés par l’avis d’ébullition

jdeq.com/aqueducVoyez photos et vidéog

À Québec,il y a trois conduites

d’adduction majeures :

42 pouces(1953, la conduitequi a brisé mardi)

40 pouces(début 20e siècle)

30 pouces(fin 19e siècle)

À Québec,il y a trois conduites

d’adduction majeures :

42 pouces(1953, la conduitequi a brisé mardi)

40 pouces(début 20e siècle)

Une section du Boulevard Pierre-Bertrand a étéfermée à la circulation durant 30 heures

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Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

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Explorez la section ArgentDu lundi au dimanche, l’équipe de la rédaction du Journal de Québec couvre l’actualité économique locale, nationale et internationale et crée des rendez-vous qui répondent aux intérêts de ses lecteurs.

La section Monde regroupe toute l’actualité internationale quotidienne, quelle que soit la région du monde concernée. Les analyses de nos chroniqueurs Loïc Tassé et Richard Latendresse permettent de mettre en perspective l’information internationale.

ARGENT

MONDE

LE POULS DE QUÉBEC DANS VOS POCHES CHRONIQUE DE MICHEL GIRARD INVESTISSEMENT CONSOMMATION ASSURANCES IMMOBILIER

LE JOURNAL DE QUÉBEC LUNDI 27 OCTOBRE 2014MONDE34

KIEV | (AFP) Le camp pro-occiden-tal et nationaliste a remporté hier auxlégislatives une victoire d’une am-pleur sans précédent depuis l’indé-pendance de l’Ukraine, qui conforte,selon le président Petro Porochenko,le fragile processus de paix engagéavec les séparatistes prorusses dans

l’Est.Les sondagesréalisés à la sor-tie des bureauxde vote, dont leschiffres ont étérendus publics àleur fermeture,donnent environ70% des voix auxcinq mouvementspro-occidentaux,pour certains auxtonalités nationa-listes. Ils devront

se partager le pouvoir, aucun d’eux nese détachant largement.Le scrutin, au taux de participationlimité de 53%, est toutefois marqué parle maintien d’anciens alliés de l’ex-président prorusse ViktorIanoukovitch, à l’inverse du Parti com-muniste menacé, événement histo-rique, de disparaître de l’Assemblée.

PorochenKo en tête

Le Bloc Petro Porochenko du chef del’État arrive comme prévu en tête avec22% à 23% des suffrages, selon les son-dages diffusés par trois instituts. Maissa victoire est moins large que prévu etdeux autres forces pro-occidentales onten revanche surpris par leur score: leFront populaire du premier ministreArseni Iatseniouk (21%) etSamopomitch (13%), parti composé dejeunes représentants de la société civileet de combattants revenus de l’Est.Ce vote était crucial pour cette ex-ré-publique soviétique en proie à la pirecrise depuis son indépendance en1991, avec le renversement par la rue,en février, de Viktor Ianoukovitch,l’annexion en mars de la Crimée par laRussie et, dans les régions orientales,le réveil des séparatismes qui a dégé-néré en conflit armé.Ce pays de 45millions d’habitants estégalement le terrain d’affrontementsgéopolitiques entre Occidentaux etRusses, dont les relations, de l’aveumême deMoscou, ont «touché le fond».

Vaguepro-occidentaleauxlégislatives

Ukraine

43mortsdansdes raidsdu régime

Civils tués

BEYROUTH | (AFP)Au moins 43 civils, dont13 enfants, ont péri dansdes raids aériens de l’ar-mée du régime syrien surdes secteurs rebelles,rapportait hierl’Observatoire syrien desdroits de l’Homme(OSDH).Les rebelles ont perdude nombreux bastionsdepuis un an face au ré-gime d’Assad, appuyépar le Hezbollah chiite li-banais, mais aussi faceaux extrémistes sunnitesde l’EI dans le nord etl’est du pays. Ils tententnotamment de conserverleurs bastions dans laprovince septentrionaled’Alep, où ils doiventaffronter leurs deux en-nemis alors qu’ils sontnettement moins bienéquipés.Les raids de ce week-end ont visé des localitésde la province centralede Homs, où 31 per-sonnes ont été tuées, etcelle, méridionale, deDeraa, où les raids ontfait 12 morts.

FaMiLLe dÉciMÉe

Dans la province deHoms, 24 personnes, dont16 de la même famille,ont péri dans des raidssamedi soir et hier surTalbissé, l’ONG précisantque 12 enfants et 3 fem-mes sont parmi les vic-times.À Alep, deuxième villedu pays, des tirs rebellessur une école ont tué hierun enfant et un homme,et fait 26 blessés.Alep est divisée depuisjuillet 2012 entre sec-teurs loyalistes dansl’ouest et secteurs tenuspar les rebelles à l’est.Plus de 180 000 per-sonnes ont été tuées de-puis le début du conflitsyrien en mars 2011.

syrie Conflit

BrÉsilpage 37

afriqUede l’oUest

page36

aujourd’hu

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Monde

Nouvel assaut sur KobanéLes Kurdes en attente de renforts pour repousser l’ei

MursitPinar, turquie | (aFP) Lesforces kurdes défendant la villesyrienne de Kobané ont repoussé unnouvel assaut des djihadistes dugroupe État islamique (ei) dansl’attente des premiers renforts depeshmergas irakiens qu’elles espèrenten début de semaine.

À Kobané, les djihadistes ont échoué pour laquatrième nuit consécutive à prendre lecontrôle d’un quartier du nord proche de lafrontière avec la Turquie.L’EI se focalise sur ce lieu «afin d’assiéger» lescombattants des Unités de protection du peuplekurde (YPG) «dans la ville, couper leur voie d’ap-provisionnement et les empêcher d’évacuerleurs blessés vers la Turquie», selonl’Observatoire syrien des droits de l’Homme(OSDH).

renForts attendus

Les djihadistes poussent avant l’arrivée, an-noncée pour les prochains jours, de plusieursdizaines de combattants du Kurdistan irakien(peshmergas) que la Turquie a autorisés àtransiter par son territoire pour participer à ladéfense de la ville.Le président turc Recep Tayyip Erdogan a

cependant accusé le principal parti kurde deSyrie, le Parti de l’union démocratique (PYD),dont l’YPG est le bras armé, de ne pas vouloirde l’aide des peshmergas par crainte de perdreson influence, selon la presse turque.

40 jours de coMbat

En 40 jours depuis le début de l’offensive del’EI, la «bataille de Kobané» a fait plus de800 morts, dont 481 djihadistes, 302 combat-tants kurdes et 21 civils, selon un décompte del’OSDH qui ne prend pas en compte les vic-times des frappes de la coalition.L’armée américaine a annoncé hier que cinqfrappes avaient détruit sept véhicules et unbâtiment de l’EI dans la zone de Kobané.Par ailleurs, en Irak, la coalition menée parles États-Unis a effectué une trentaine defrappes entre vendredi et hier. Elles ont enparticulier visé des positions de l’EI près dubarrage de Mossoul, le plus grand du pays, quiavait été repris fin août par les forces kurdeset gouvernementales et dont l’importancestratégique est majeure.Enfin, les services de renseignement alle-mands estiment que l’EI possède des lance-missiles capables de toucher des avions deligne, selon un article publié hier par le journalBild am Sonntag.

Un réfugié kurde regarde de loin les combats qui se déroulent à Kobané, où les forces kurdesrésistent tant bien quemal à l’assaut de l’État islamique.

Photo reutersPetro PorochenkoPrésident sortant

LE JOURNAL DE QUÉBEC DIMANCHE 7 SEPTEMBRE 2014MONDE24

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aujourd’hu

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mondeL’Iraksalue leprojetdecoalitionmondiale

État islamique

BAGDAD | (AFP) Les autorités ira-kiennes, après des appels à l’aide répé-tés, ont salué hier le projet de coalitioninternationale initié par les États-Unispour lutter contre les jihadistes de l’Étatislamique (EI) qui sèment la terreur enIrak et en Syrie.Ce projet a commencé à s’esquisservendredi en marge du sommet del’OTAN au Royaume-Uni, où le présidentBarack Obama s’est dit «confiant que lesAlliés de l’OTAN et leurs partenairessont prêts à rejoindre une vaste coalitioninternationale» pour «vaincre» l’EI.

RAIdS AÉRIENS

Accusé de nettoyage ethnique et decrimes contre l’humanité, ce groupe ex-trémiste sunnitemène depuis le9 juin une vaste of-fensive en Irak etest engagé depuis2013 dans la guerreen Syrie, procla-mant un califat surles vastes régionsconquises dans cesdeux pays voisins.Devant la progres-sion de l’EI dans lenord irakien, pous-sant à la fuite descentaines de milliers de personnes et me-naçant le Kurdistan, les États-Unis ontcommencé àmener, le 8 août, des raids aé-riens contre ses positions, en appui auxforces kurdes et fédérales. Ils ont aussi en-voyé plus de 800 conseillers militaires etsoldats pour défendre leurs personnels et,avec d’autres pays occidentaux, ont trans-féré des armes aux Kurdes.Mais après la décapitation en deux se-maines par l’EI de deux journalistesaméricains enlevés en Syrie – JamesFoley et Steven Sotloff - et la menace detuer un otage britannique, la commu-nauté internationale s’est montrée en-core plus déterminée à éradiquer cegroupe responsable de viols, d’exécu-tions, d’enlèvements et de persécutions.«Nous accueillons favorablement» leprojet de coalition pour contrer l’EI, a ditle ministre sortant irakien des Affairesétrangères Hoshyar Zebari.Poursuivant ses exactions en Irak, l’EIa tué par balle deux médecins qui ont re-fusé de traiter ses combattants blessés,de même qu’une candidate aux législa-tives de mai, devant leur maison àMossoul. Pour leur part, les États-Unisontmené de nouvelles frappes aériennesqui ont détruit sept véhicules de l’EIdans le nord irakien.

baRack obamaPrésident américain

[email protected]

Il n’y a pas à se conter d’his-toires: si la mission des Forcescanadiennes en Afghanistan estbel et bien chose du passé, lanouvelle aventure militaire duCanada vient de commercer.Une centaine de nos soldatsvont s’envoler pour l’Irak avecle mandat de se coller auxtroupes irakiennes et de lesconseiller avant qu’elles se lan-cent à l’attaque contre les extré-mistes de l’État islamique.

Le premier ministre StephenHarper, dans le communiqué annon-çant ce nouvel engagement militaire,n’a pas manqué d’employer des motsqui frappent l’imagination: le «fana-tisme» des terroristes de l’État isla-mique, le «carnage meurtrier», les«actes barbares», l’«assassinat systé-matique d’hommes, de femmes etd’enfants».Il faut quasiment être un bourreaupour ne pas vouloir soi-même s’enga-ger dans cette lutte contre le Mal.Reste que les militaires canadiens etceux de quelques autres pays mem-bres de l’OTAN qui se joindront à euxdoivent s’attendre à accomplir leurtâche bien au-delà des 30 jours de dé-ploiement initial, annoncé dans lecommuniqué du premier ministre.Les forces irakiennes – financées,formées, encadrées pendant des an-nées par les meilleurs au monde, lesAméricains – se sont liquéfiées de-vant les combattants islamistes. Il fau-dra plus que de judicieux conseilspour convaincre ces Irakiens de nepas reculer devant des assaillants qui,pour l’instant, semblent les terroriser.

L’EXPÉRIENCE AFghANE

Nos soldats ne partent certainement

pas de nulle part. Ils vont pouvoir pui-ser dans l’expérience acquise à former,pendant des années, les soldats de l’ar-mée afghane. Malheureusement, nousne sommes, là aussi, sûrs de rien. LesTalibans ne font pas parler d’eux au-tant que les extrémistes de l’État isla-mique, mais réussissent constammentdes coups d’éclat un peu partout enAfghanistan.On ne connaîtra réellement la va-leur du travail que les soldats cana-diens ont accompli auprès de leurscollègues afghans que lorsque, en find’année, tous les combattants étran-gers – il ne reste pratiquement plusque les Américains – auront quitté lepays, laissant la sécurité aux forceslocales.

ET LES SOLdATS AMÉRICAINS ?NO WAy !

En mettant sur pied cette grande co-alition pour combattre les islamistes,le président Obama s’avoue non seu-lement conscient des capacités mili-taires de ses opposants, mais égale-ment réaliste du peu d’entrain de sescompatriotes pour une autre guerre.Les Américains, pour la plupart, at-

tendent toujours de voir des signesconcrets de la reprise économique semanifester dans leur vie. La dernièrechose qui leur passe par la tête cestemps-ci, c’est de recommencer à gas-piller des milliards de dollars dans unautre conflit au Moyen-Orient.À preuve, il y a plus de trois ansque fait rage la guerre civile en Syrieet de mois en mois, le bilan des mortsn’a cessé de s’alourdir. 10 000,100 000, 200 000 morts, lesAméricains sont horrifiés, mais in-flexibles. Ils se sentent usés et sai-gnés financièrement par les cam-pagnes militaires afghanes et ira-kiennes et tant que les extrémistesagissent ailleurs, il n’est pas questionde s’en mêler.

L’OTANà lachasseaux islamistes

en Vert, territoire actuellementcontrôlé par l’état islamique en syrieet en irak.

PhOTO COURTOISIE

SI ON y MET LE PAQUET…10 pays, dont le Canada, fontpartie de la toute nouvellecoalition contrel’État islamique.Armée contrearmée, lesislamistes ne fontpas le poids.

AUSTRALIE, CANAdA, dANEMARk, FRANCE,ALLEMAgNE, ITALIE, POLOgNE, TURQUIE,ROyAUME-UNI, ÉTATS-UNIS

Coalition = 3 millions de soldats, prêts au combat

L’ÉTAT ISLAMIQUE EN 5 POINTS

√ Anciennement, Al-Qaïda en Irak.√ Objectif: créer un califat, grandterritoire pour tous les musulmans.√ En fait tous les musulmans sun-nites; l’EI maudit les chiites.√ Sa base principale est en Syrie,mais son influence s’étend en Irak.√ L’Iran, chiite, s’oppose aussi fa-rouchement à l’EI que lesOccidentaux.

L’ÉTAT ISLAMIQUE, UNE COALITIONINTERNATIONALE EN SOI

√ 12000 combattants étrangers, ve-nant de 81 pays, dont 3000Occidentaux.√ Ses 2 milliards $ d’avoirs en font legroupe terroriste le plus riche aumonde.√ Après un coup de pouce initial duQatar et de l’Arabie saoudite, l’Étatislamique produit maintenant sonpropre pétrole et lève ses proprestaxes.

État islamique = entre 30 000 et 50 000 combattants,dont 30 % sans expérience.

somaliepage 33

égyptepage 33

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états-unispage 34

LEJOuRNAL DE QuÉBEC LUNDI 27 OCTOBRE 2014ARGENT40

À table aVec… DominiqueAnglade

au premier regard, on l’imagine mal à latête d’une organisation d’affaires. petitscheveux attachés, robe colorée,Dominique anglade entre dans sonbureau, nerveuse comme un petit génie,en lâchant un soupir de soulagement

OLiviER BOuRQuEAgence QMI

«Ouf! Une chance, on a fait le ménage de monbureau. Je suis désordonnée, mais heureuse-ment, je suis très ordonnée dans ma tête», dit-elle, large sourire, en agrippant son rouge à lè-vres avant d’entamer l’entrevue.Mais rapidement, on voit très bien pourquoielle occupe le poste de PDG deMontréalInternational, un organisme qui vise à attirer lesinvestissements étrangers dans lamétropole.Communicatrice redoutable, son discours sonnecomme de lamusique aux oreilles dumilieu desaffaires, son approche est celle desmotivateursaméricains. On a l’impression d’entendre «Yes wecan» aux détours de toutes les phrases.La principale intéressée l’avoue, elle est tombéededans rapidement. Née auQuébec de parentshaïtiens (décédés durant le séisme de 2010), ellefait des études à la Polytechnique, puis elle tra-vaille chez Proctor andGamble et dirige uneéquipe de 100 personnes à l’âge de 24 ans.«C’était l’apprentissage à la dure. J’étais trèsjeune, surtout lorsque je regarde cela avec le re-cul. J’ai eu du plaisir, mais j’ai appris des chosesque l’on apprend 15 ans plus tard dans une car-rière. […]J’étais très motivé à performer, je va-lorise beaucoup le travail. J’ai investi beaucoupdans le travail», dit-elle.

attirer les entreprises

Son parcours l’a amenée chez Nortel, puisMcKinsey. Maintenant, c’est sur elle que reposela responsabilité de convaincre, de faire venirdes entreprises chinoises ou indiennes cheznous. Lorsqu’on lui demande sa plus grandequalité comme dirigeante, sa réponse étonne.«Je ne suis pas modeste. Je pense que la mo-destie est un défaut, un grand défaut. LesQuébécois et les Canadiens le sont de manièregénérale. L’humilité est une grande qualité, ellete permet de reconnaître tes faiblesses, c’esttrès important. De la mêmemanière, c’est im-portant de savoir quelles sont tes forces», dit-

elle.Cette modestie, ce qu’on a appelé ici «être népour un petit pain», elle veut la combattre. Maiselle sait que cela sera dur. D’ailleurs, elles’étonne que les Québécois – davantage sociali-sants, suspicieux envers l’argent – ne soient pasdavantage attachés à ses entrepreneurs.«J’avais vu un sondage qui disait que 50 % desgens ne pensent pas qu’il y a une véritable va-leur aux entreprises. C’est comme si la notionde création de richesse, c’est un problème. Fautbien ne jamais avoir vécu dans un pays pauvrepour penser que la création de richesse n’estpas une solution», dit-elle.Mais le problème ne vient-il pas du fait que lamajorité des gens ont l’impression que cette ri-chesse appartient en grande partie à une poi-gnée de privilégiés? Elle balaie cette analyse durevers de la main.«Globalement, dans les 15 dernières années, unmilliard d’individus sont sortis de la pauvreté ex-trême, car il y a eu de la création de richesse et ily a eu de la redistribution. Ici, il y a une chancede pouvoir y parvenir. Le rêve américain, c’est unrêve canadien. C’est ici que tu peux faire tachance. C’est aussi un rêve québécois», dit-elle.Même si elle défend ce modèle québécois, ellecroit qu’il est temps de le revoir.«On n’a rien à redistribuer, on paie des impôtsde manière importante, on a une péréquationimportante, on est obligé de faire avec lesmoyens du bord. C’est pour cela qu’on doit fairel’effort qu’on fait actuellement. Si on ne le faitpas, on met en péril notre système de santé et

Alors que la révision de la fiscalitéquébécoise est en cours, DominiqueAnglade fait un plaidoyer en faveur decertains crédits d’impôt, ceux qui ai-dent les secteurs en croissancecomme les jeux vidéo, l’aéronautiqueou les technologies de l’information.Même si elle se dit en accord avec le

processus en cours commandé par legouvernement Couillard qui veut cou-per des programmes pour équilibrerson budget, la femme d'affaires dé-

fend bec et ongles l’aide «bien ciblée».«La région métropolitaine n’a pas

beaucoup de moyens financierspour attirer les entreprises. Maisnous avons les crédits d’impôt. Laprévisibilité de nos crédits dans dessecteurs de haut savoir, c’est trèsimportant», dit-elle.Selon elle, ces crédits dans le sec-

teur des jeux vidéo qui ont été cou-pés en partie par le gouvernementlibéral doivent être rétablis.

«C’est une industrie en croissance,on avait 2000 postes avant, là onen a 900. D’autres postes serontcréés plus tard. La concurrence esténorme. […]Il ne faut jamais oublierqu’un dollar investi dans les techno-logies de l’information rapportebeaucoup plus au PIB qu’un dollarinvesti dans les mines. Le retour surinvestissement est plus grand dansles secteurs des technologies et depointe», dit-elle.

en croisade pour conserver les crédits d’impôt

OLiviERBOuRQuEAgence QMI

certains necroient pasnécessaire-ment à l’utilitéd’organismescomme mont-réal internatio-nal? Vous leurdites quoi?Auparavant, dansles années 80, il yavait 800 organi-sations dans lemonde comme lanôtre, au-jourd’hui il y en a4000. Pourquoi?Parce que les in-vestissements di-rects étrangerspour la régionmétropolitaine,ça représente 9 %de l’emploi, mais20 % du PIB. Cesont des emploistrès importants,de haut savoir.Quand vous pen-sez à ce quecoûte MontréalInternational etce que nousavons rapportél’an passé, unmontant de1,3 milliard $, il ya un gros retoursur investisse-ment.

Questionet réponse

empêched’avancer »« Lamodestie nous

DominiqueAnglade

photo agence

qmi, patrice

bernier

ArgentDollar canadien / USD Dollar canadien / Euro

0,89020,0000$US

0,7027- 0,0010$

NASDAQORPÉTROLE

4483,7151231,80

81,01

S&P/TSXDOWS&P/500

14 453,8216 805,411964,58

Les détails enpage43

LE JOURNAL DE QUÉBEC MARDI 28 OCTOBRE 2014ARGENT54

le régime épargne-études n’estpas utilisé par toutes lesfamilles. mais il le devrait. lereee, comme on a l’habitude del’appeler est un formidable outildont les bénéfices dépassentlargement l’aspect financier.

Si on me demande «Quel est le meil-leur investissement qui est possible defaire?», je réponds sans hésiter L’ÉDU-CATION. La capacité de savoir écrire,lire, s’exprimer, savoir compter, savoir seservir d’un ordinateur, naviguer sur in-ternet… etc., sont devenus aujourd’huides prérequis minimums pour exercerquelconque métier. Mais pour une pro-fession, on doit se spécialiser et celapasse par l’enseignement collégial etuniversitaire. Au Québec, les frais sontparmi les moins chers aumonde, mais ily a des coûts non négligeables liés à l’hé-bergement, le transport, l’alimentationet le matériel scolaire. Pour 2 ans de CÉ-GEP et 3 ans d’université, on peut parlerd’une facture totale dépassant les30 000 $, et ce,mêmesi l’enfanthabiteen-core à lamaison!

subventions et incitatiFs

Comme la facture est assez salée,dans les années 1990 le gouvernementcanadien amis en place la SCEE (la sub-vention canadienne à l’épargne étude).Les provinces ont ensuite emboîté lepas. Pour chaque dépôt (totalisantmoins de 2500 $ annuels) votre REEEreçoit une subvention canadienne de20 % et l’incitatif québécois de 10 %.Wow! 30 % en cadeau, ce n’est pas rien!Par exemple, si vous cotisez 100 $ parmois pendant 16 ans dans un fondséquilibré rapportant 6 % par année,vous réussirez à accumuler près de42 000 $ à l’abri de l’impôt! Votre apportsera de 1200 $ par an soit 19 200 $. Lasubvention et les intérêts cumulatifs re-présenteront 22 800 $. Un magot tombédu ciel, à ne pas négliger!Attention, tous les REEE ne sont pasidentiques. Certains fonctionnent sousforme de bourses et multiplient les res-trictions. Ou encore, on vous pénalisera

si vous devez stopper vos cotisations.Prenez votre temps pour magasiner lesprogrammes et ciblez les institutionsqui offrent le moins de contraintes pos-sible et des dizaines d’options de place-ment. Enfin, exigez que le REEE retenupermette le retrait maximum, voire laTOTALITÉ du paiement d’aide auxétudes (PAE) dès la première année desétudes postsecondaire. Si l’enfant n’apas besoin de toutes les sommes reti-rées, réfugiez-les dans une CELI.Pourquoi? Parce si vous retirez (dès quevous en avez le droit) toutes les subven-tions et incitatifs, on ne pourrait plusvous les enlever si l’enfant abandonneses études ou s’il prend une ou deux an-nées sabbatiques.

Fabien Major est un professionnel ins-crit à l’Autorité des marchés finan-ciers, en épargne collective pour ExcelGestion privée et comme conseiller ensécurité financière pour le cabinet deplanification financière Major GestionPrivée. Il peut percevoir des hono-raires et commissions liés à des pro-duits financiers.

CONSEILSSUR LE REEE√ Plus tôt vous cotisez, plus vousaccumulez.

√ Les grands-parents et lesproches peuvent contribuer.

√ Assurez-vous que l’institutionchoisie verse l’incitatif québé-cois.

√ Privilégiez les REEE ayant lemoins de contraintes au rachat.

√ Cherchez la souplesse et demultiples options de placement.

√ Informez et impliquez vosados dans le suivi de vos REEE.

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Fabien MajorFinancespersonnelles

Le Reee : votRemeiLLeuRpLacementàvie !

OTTAWA | (Agence QMI) Lamajoritédes Canadiens craignent de ne pas avoirsuffisamment d’argent lorsque viendrale temps de prendre leur retraite.D’après une étude sur la préparationdes Canadiens à la retraite menée par leConference Board du Canada, 60 % desrépondants ont indiqué ne pas avoirépargné assez pour vivre une retraiteconfortable.«Ces constatations sont troublantes etdonnent à penser qu’il faut faire beau-coup plus pour s’assurer que lesCanadiens sont prêts financièrementpour la retraite», a déclaré JudithMacBride-King, directrice de rechercheprincipale.

Âge moyen

L’âge moyen de départ à la retraiteprévu est de 63,2 ans, selon l’étude.Cependant, environ 33 % des répondantsdisent ne pas être certains du momentoù ils pourront quitter la vie active.Le rapport a aussi révélé que 24 % desCanadiens ont prévu un plan pour sepréparer à la retraite.«La crainte de ne pas avoir assez épar-gné pour la retraite a déjà conduit denombreux Canadiens à reporter la fin deleur vie active. Plus d’un répondant surcinq a décidé d’arrêter de travailler plustard qu’il ne le prévoyait il y a cinq ans»,peut-on lire dans l’étude.Près de 46 %des répondants ont soutenuvouloir continuerde travailler à tempspar-tiel ou sur une base contractuelle aprèsleur départ à la retraite officiel.Le sondage a aussi montré que de 19 %des répondants ont affirmé qu’ils neprendront jamais leur retraite.

60 % des Canadiens craignent de ne pasavoir assez d’économies pour vivreune retraite confortable.

photo d’archives

UnemajoritédeCanadiensprévoientmanquerd’argent

Retraite

Le JOUrnAL De QUÉBeC DIMANCHE 26OCTOBRE 2014ACtUALItÉS14

libéo voit loin. l’entreprise dequébec, qui œuvre dans le domainedes technologies de l’information,part à la chasse aux acquisitionsavec l’idée de devenir le leader desfirmes numériques au québec.

Avec une croissance phénoménale de400% en cinq ans, tous les espoirs sont per-mis pour Libéo, qui a su se tailler une placede choix dans l’industrie avec plus de750mandats à son actif.«Notre mission, c’est de prendre tous lesbesoins numériques des entreprises pourles propulser sur le web», a expliqué JoéBussière, le directeur général.Aujourd’hui, Libéo est prête à prendreson envol vers de nouveaux horizons. Enplus d’une croissance organique anticipéede 20,%, les dirigeants comptent faire aumoins deux acquisitions, dont une àMont-réal au cours des trois prochaines années.Pour être prête, l’entreprise a inaugurécet automne ses nouveaux locaux de12000 pi2 dans le quartier Lebourgneuf, oùl’activité foisonne avec 70 employés «à l’es-prit un peu fou».

une PIonnIère

Libéo, créée en 1996 par Jean-FrançoisRousseau, est une pionnière dans l’utilisa-tion de logiciels libres.Anciennement Sys-tech, l’entreprise esten croissance depuis 2003, quand Joé Bus-sière est arrivé comme associé. À l’ori-gine, Libéo ne comptait que cinq em-ployés.

La CONsTRuCTION de LOGeMeNTs eXPLOse

(Données réellesprovisoiresde laSCHL)

Libéo lorgneducôtédeMontréal

Le poulsde Québec

Argent dianeTremblay

1 M$ Pour la BoutIquel’IMaGInaIre

La Boutique L’Imaginaire de Lau-rier Québec double sa superficiegrâce à un investissement de 1 mil-lion $. Cet agrandissement permet-tra d’aérer davantage les sections ré-servées aux collectionneurs puisquela superficie passe de 8000 à19000 pi2. Un étage complet est ré-servé aux costumes.

la MaIson laVande s’étaBlIt à quéBeC

La Maison Lavande, fondée par deux ex-journalistes, Nancie Ferron etDaniel Joannette, prend de l’expansion du côté de Québec avec l’ouver-ture d’une parfumerie au centre commercial Laurier Québec. Il s’agirade la quatrième ouverture pour l’entreprise qui a déjà pignon sur rue àSaint-Eustache, Montréal et Laval.

Selon le directeur général de Libéo,Joé Bussière, l’objectif est de doublerle chiffre d’affaires au cours des troisprochaines années.

Photo danIel Mallard

hausse de 350 %

Blouindaniel

Il y a plusieurs années, vous m’au-riez offert d’investir seulement 2$en échange de 100% des actionsde votre commerce qui vendraitabsolument n’importe quoi (despeanuts aux pneus) dans un entre-pôt géant, qui autoriserait unique-ment ses membres à franchir l’en-trée pour y dépenser son argent,dont la carte de membre coûteraitde surcroît environ 55$ par an, quin’accepterait pas Visa/MasterCard,qui aurait un portier à la sortie ins-pectant le contenu des panierspour s’assurer que ses clients n’ontrien volé et aucune pub… je vousaurais assurément ri au nez. Paspeut-être. Garanti!

J’aurais déniché en vous un trèsgrand talent d’humoriste. Un vraiLouis-José du commerce. Je vous auraisprobablement même offert de devenirvotre gérant d’artiste.Je n’aurais jamais voulu perdre aussiridiculement un 2$ dans un commerceappliquant tout ce qu’il NE FAUT PASFAIRE pour attirer des clients et pros-pérer. Finalement, je serais donc assu-rément passé à côté de l’opportunité dedevenir l’unique propriétaire de votrechaîne de Costco pour seulement 2$.Mon petit doigt m’annonce que j’auraisprobablement pleuré toutema vie decette occasion ratée, constatant au-jourd’hui l’ampleur de votre succès.Sans blague. Qui aurait osé investirdans un commerce défiant toutes leslois de la logique commerciale? Rendulà, vous m’auriez dit que vous alliezprendre les empreintes digitales de vosclients à l’entrée pour vous assurerqu’il ne s’agit pas d’un client illégal queje vous aurais cru. Tant qu’à faire ex-près pour ne pas attirer des clients...

ForMule unIque

Suis-je le seul qui aurait jugé votreidée ridicule? Aujourd’hui, je ne peuxque m’incliner devant ce succès com-plètement anticonformiste. Cette for-mule est unique. Je ne comprends tou-jours pas comment Costco a réussi à yarriver, mais je suis forcé de respecterses politiques audacieuses.Parce que Costco a l’avantage d’avoirles meilleurs prix en ville, me direz-vous? OK, alors disons que c’estl’unique raison. Admettons. Alors, sicette logique est à la source, pourquoidoncWalmart ne décide pasmaintenantd’interdire l’accès au grand public pourn’accepter que sesmembres qui ontpayé leur abonnement? PourquoiWa-mart accepte les cartes de crédit? Pour-quoiWallmart ne fait pas une vérifica-tion du contenu demes sacs à la sortie?Éclairez-moi, SVP!Si vous connaissez les proprios deCostco, dites-leur que j’aurais mainte-nant un 2$ à investir! Deal?

Bravopourl’anticonformisme!

[email protected]

Nombredemisesenchantierde logements locatifsdans laRMRdeQuébec

649septembre2014 144

septembre2013

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

Page 7: KIT MÉDIA 2016mediakit.quebecormedia.com › ... › JQC_KitMedia_2016_FR_Edition_P… · clientèle cible où qu’elle soit tout au long de la journée. (Source : comScore Media

Ce cahier entièrement consacré à l’automobile rejoint les passionnés de voitures. Avec son équipe rédactionnelle dédiée, ses collaborateurs renommés, des comptes rendus complets, des essais routiers et une foule de conseils pratiques, le cahier Autonet est sans contredit un produit des plus complets.

Une couverture sportive complète, les comptes rendus et les analyses détaillées de ses experts : Le Journal de Québec, la référence en matière de sport !

PROPULSÉ PAR8 - LE JOURNAL DE QUÉBEC | CAHIER AUTONET | DIMANCHE 26 OCTOBRE 2014

Mustang Shelby GT500 2008

Un tatou sur le cœur

A NAISSANCE D’UNEPASSIONLes autos sport ont toujours attiré

M. Bédard. La première Mustang qu’il a

possédée était un modèle réduit qu’il a

assemblé alors qu’il avait une

quinzaine d’années. « C’est cette voiture qui a

commencé à attiser mon rêve », raconte-t-il. Déjà

à ce moment-là, ce sont les Mustang qui ont

gagné son cœur. Il savait qu’un jour il en aurait

une. Sa passion a continué de grandir alors qu’il a

visité des expositions de voitures. Il va sans dire

qu’il s’agissait d’expositions de Mustang. « Les

premières expositions sont restées gravées dans

ma mémoire. C’était plaisant », rapporte

M. Bédard. Son amour pour les Mustang l’a même

poussé à aller en Ontario pour assister à une

exposition à l’usine Ford. Il est même allé

jusqu’aux États-Unis pour participer au Mustang

Week de Mirtle Beach. « La ville est imprégnée de

Mustang pendant toute une semaine. C’est très

particulier », souligne M. Bédard.

Avec les années, il a suivi l’évolution du modèle et

a continué de rêver du jour où il en aurait enfin un.

Les Mustang du début des années 70 l’intéressent,

mais ce sont les Mustang modernes qui lui parlent

vraiment. Son rêve s’est finalement réalisé en

2004, alors qu’il a acquis une première Mustang,

soit une GT décapotable 2004 40e anniversaire.

En 2008, il récidive et s’achète une Mustang

Shelby GT500 de l'année.

SA MUSTANG SHELBY GT500 2008L’acquisition de la Mustang shelby GT500 de

M. Bédard a été assez différente de la norme. En

2008, acheter une Shelby au Québec était très

onéreux. « Les concessionnaires demandaient des

prix exorbitants comparativement aux prix de

vente suggérés par Ford », rapporte M. Bédard. Il

a remédié à ce désagrément en faisant appel aux

services d’un importateur qui a fait venir la voiture

des États-Unis. Un ami de M. Bédard avait

d’ailleurs procédé de la sorte quelques mois plus

tôt sans anicroche. La voiture américaine de

M. Bédard est donc quelque peu différente des

modèles canadiens, notamment du côté des

phares avant et du compteur qui priorise les miles

sur les kilomètres. Cette Mustang n’était toutefois

pas tout à fait au goût de son propriétaire. Celui-ci

a donc entrepris d’y apporter des modifications.

LES MODIFICATIONSLa Mustang Shelby GT500 2008 de M. Bédard est

particulière puisqu’elle a été modifiée en modèle

Supersnake. Cette modification a été apportée

par M. Bédard. La voiture n’est donc pas

homologuée par Shelby puisqu’il s’agit d’un clone.

La première étape a consisté à s’attaquer à

l’aspect sonore que M. Bédard trouvait décevant. Il

a donc consulté des professionnels qui lui ont

conseillé quelques changements, notamment sur

l’échappement, l’entrée d’air et la poulie du turbo.

Ce faisant, sa voiture a obtenu un plus joli

L

J’aimemon char

PAR

PAMÉLAEGAN Collaboratrice spéciale{

M. Clément Bédard se passionne pour lesMustang. Il fait d’ailleurs partie du ClubMustang Québec et possède deux véhiculesde la marque, dont une Shelby GT500 2008.

Crédit : Clément Bédard

Le moteur V8 de 5,4 litres produit635 chevaux.

Crédit : Paméla Egan

Un serpent rehausse l’intérieur du compartiment moteur.

Crédit : Paméla Egan

PROPULSÉ PAR12 - LE JOURNAL DE QUÉBEC | CAHIER AUTONET | DIMANCHE 19 OCTOBRE 2014

PICK-UP:PICK-UP:

GMC SIERRA 1500 2015Le souci du détail définit bien le Sierra 1500. Lemodèle 2014 (photo) a remporté le prix de lameilleure nouvelle camionnette selon l'AJAC, doncaucun changement n'est à prévoir pour l'édition2015. Le prix du 1500 n'a pas encore été dévoilé (le2500HD 2015 est offert à partir de 38 300 $). GM

NISSAN FRONTIER 2015Le Frontier n'est pas le plus robuste, mais il pourraitvous convenir, selon les tâches que vous lui réservez.Le modèle S est abordable (le véhicule 2014 estactuellement en vente à 20 998 $, une légèreaugmentation est à prévoir pour le modèle 2015) etsa consommation est enviable (10,8 et 8,6 L/100 km,en ville/sur route). Nissan

CHEVROLET COLORADO 2015Le Colorado revient en force cet automne (saproduction avait cessé en 2012). Le nouveau pick-upintermédiaire bénéficie d'une panoplie de nouvellestechnologies qui pourraient vous convenir. Si vousêtes curieux et prêt pour un changement, un essairoutier s'impose. Prix à confirmer. GM

RAM 1500 2015Le V6 EcoDiesel de 3,0 litres proposé dans la série Ram1500 est si intéressant que le manufacturier peine àrépondre à la demande. Le confort et l'équipement sontdeux autres atouts de ce populaire pick-up. Une dizainede niveaux de finition vous sont suggérés et lesaccessoires sont dignes d'un véhicule de luxe. Prix àconfirmer (le modèle 2014 est actuellement en vente àpartir de 19 995 $). Ram

HONDARIDGELINE 2015Ce pick-up de ville est apprécié pour sa tenue deroute qui s'apparente à celle d'une voiture. Lemoteur V6 de 3,5 litres génère une puissance de 250chevaux et un couple de 247 lb-pi. Le look civilisé duRidgeline me plaît. Prix à confirmer (sans doute unpeu plus de 35K). Photo : modèle sport 2014. Honda

FORD SUPER DUTY 2015Fiable, efficace et robuste. Le Super Duty, dont laréputation n'est plus à faire, est offert en15 modèles. Pour les différentes déclinaisons duF-250 et du F-350, vous avez le choix entre lemoteur diesel V8 Power Stroke de 6,7 litresà 4 soupapes et le moteur à essence V8 à carburantmixte de 6,2 litres à 2 soupapes. Offert à partir de30 561 $. GM

CHEVROLET SILVERADO 1500 2015Un pick-up pleine grandeur fiable et bien pensé surle plan de l'ergonomie. Le moteur V6 EcoTec3 de5,3 litres (355 chevaux) est le plus populaire, maisvous pourriez aussi opter pour le 4,3 litres(285 chevaux) ou le 6,2 litres (420 chevaux). Selonvos besoins, le groupe de remorquageMax est offerten option. Le prix du 1500 n'a pas encore été dévoilé(le 2500HD 2015 est offert à partir de 38 200 $). GM

FORD F-150 2015Le F-150 continuera sans doute de trôner au sommetdes ventes au Canada. La version 2015 sera étofféed'une multitude d'innovations, lesquelles sontprotégées par plus d’une centaine de brevets. Mis envente à la fin de l'année 2014, le véhicule offriranotamment une plus grande capacité deremorquage et de chargement que les générationsprécédentes. Offert à partir de 21 399 $. Ford

TOYOTA TACOMA 2015L'année 2015 marquera le 20e anniversaire duTacoma. Les modèles 4x2 et 4x4 sont offerts avecune motorisation 4 cylindres de 2,7 litres(159 ch., couple de 180 lb-pi) et V6 de 4,0 litres(236 ch., couple de 266 lb-pi). Pour un peu plus destyle, de confort et de commodité, envisagez legroupe d’options SR5. Prix à partir de 25 650 $. Toyota

TOYOTA TUNDRA 2015Pour répondre aux besoins diversifiés desconducteurs canadiens, la gamme Tundra 2015 offredix modèles et 27 groupes d’options. Le pick-up estnotamment équipé d'un système audio à écrantactile et d'une caméra de recul de série. Deuxmotorisations s'offrent à vous, le 4,6 litres (couple de327 lb-pi) et le 5,7 litres (couple de 401 lb-pi). Prix àpartir de 29 140 $. Toyota

LES MEILLEURSDE 2015

AUTONET | DIMANCHE 19 OCTOBRE 2014

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Voici dix pick-up 2015 qui méritentnotre attention. Certains modèles n'ontpas changé, alors que pour d'autres,c'est tout le contraire.

AVEC

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AUTONET

SPORTS

LEJOuRnaL dE QuÉBEc VENDREDI 24 OCTOBRE 2014spORts90

Le jeu aérien s’imposele quart hugo richard profite d’une excellente protection de sa ligne offensivehabitués d’ouvrir des brèchespour les porteurs de ballon aucours des deux dernières saisons,les joueurs de ligne offensive durouge et or de l’Université lavalse font une fierté de protéger lequart-arrière hugo richard quiaccumule les verges par la passedepuis le début de la saison.

«Les défensives adverses vont devoircommencer à respecter notre jeu aérien,a mentionné le bloqueur Danny Groulx.Nos adversaires ont tellement peur denotre attaque au sol qu’ils remplissentla boîte défensive. Je peux comprendrepuisque le jeu au sol a été notre marquede commerce au cours des deux der-nières saisons et ça reste dans la tête.»«Dans le passé, nous étions six ou septpour bloquer et les défensives ame-naient toujours deux joueurs de pluspour nous arrêter au sol, poursuitGroulx. On réussissait quand même àcourir même si ce n’était pas toujoursparfait.»Groulx n’a pas de problème à travail-ler plus en protection de passe. «Noussommes préparés pour les deux. Onveut placer nos adversaires sur les ta-lons et dicter le jeu. Contre Bishop’s lorsdu dernier match, on a été capable dedistribuer le ballon où l’on voulait parceque la protection tenait. Le jeune s’amu-sait derrière la ligne de mêlée.»

retoUr réUssi

Même si le Rouge et Or lance le ballonaussi souvent, les joueurs de ligne offen-sive réussissent à s’illustrer avec desblocs très importants. Sur la passe detouché de 103 verges à Maxime Boutin,le centre Karl Monjoie a réussi tout unbloc contre un secondeur des Gaiterspour ouvrir la voie au porteur de ballon.«Wow, a lancé Groulx. C’était le bloctypique où l’on fauche le secondeurdans les jambes pour le faire tomber etouvrir une grande allée.»À son premier match depuis la ren-contre d’ouverture face aux Carabins del’Université de Montréal, Groulx estimeavoir connu une bonne performanceface aux Gaiters, et, surtout, n’a pas étéennuyé par sa blessure à une cheville.«Je considère que ma cheville est pasmal à 100 pour cent. Mon objectif était

de sortir du lit sans douleur et c’estmaintenant réussi. J’ai senti une petitefaiblesse dans ma jambe gauche àquelques reprises, mais la situations’améliore. J’ai perdu de la force pen-

dant ma convalescence et je dois la re-gagner.»

Laval préparedéjàsonduel contrelescarabinsRichaRd BOutinLe Journal de Québec

Glen Constantin estime que la prépa-ration pour le dernier match de la sai-son face aux Carabins de l’Universitéde Montréal doit débuter dès ce soirface aux Redmen de McGill.«On doit être éveillé et émotivementprêt, a affirmé l’entraîneur-chef GlenConstantin. On ne doit pas se réveillercontre Montréal dans un match quisera physique et intense. Le matchcontre McGill est une étape versMontréal. Nous serons en mode sérieséliminatoires dès la semaine prochaine.Nous avons un bon groupe de joueurset ils seront prêts.»Constantin ne tente de berner per-sonne. «Les Redmen ont connu beau-coup de difficultés sur le terrain et àl’extérieur depuis le début de la saison,a-t-il mentionné. Je veux sentir qu’on seprépare bien et qu’on fait attention auxdétails.»«Il s’agira d’un match où nous auronsl’opportunité de donner du terrain àbeaucoup de monde, ajoute le pilote la-vallois. À des jeunes, mais aussi à desjoueurs aguerris comme Danny Groulxet Brandon Tennant qui ont vu peu deterrain cette année en raison des bles-sures. Ils doivent retrouver leur formede match.»Constantin souhaite une plus grandediscipline que lors du dernier matchface aux Redmen. Dans un gain de 70-3,le Rouge et Or avait écopé de 18 pénali-tés pour des pertes de 172 verges.«Il faudra contrôler nos émotions, a-t-il prévenu. Les Redmen sont très in-tenses et très hargneux. Il faudra êtreaussi intense qu’eux, mais afficher de ladiscipline, ce que nous n’avons pas faitlors du premier match.»

absents

Le bloqueur Karl Lavoie, le centre ar-rière Dave Savard, le secondeurMathieu Masseau et l’ailier espacéMatthew Norzil n’affronteront pas lesRedmen.Ennuyé par une blessure mineure àun genou, le secondeur ShayneGauthier représente un cas incertain.S’il n’est pas en uniforme, Jean-Philippe Bégin évoluera comme partantaux côtés d’Érik Morin. Il s’agirait deson premier départ cette année, lui quia participé à son premier match la se-maine dernière.

Avec des gains de 2061 verges par lapasse depuis le début de la saison, HugoRichard n’est plus qu’à 322 verges du re-cord national établi en 2011 par JérémiRoch, du Vert & Or de l’Université deSherbrooke, pour un quart-arrière depremière année.Dans un calendrier de neuf parties,Roch avait complété sa première saison

avec des gains de 2383 verges.Les 19 passes de touché de Richard re-présentent un sommet dans l’histoire deSIC pour un quart-arrière recrue. Réussien 2007 par LawrenceNixon, desHuskiesde la Saskatchewan, le record pour lepourcentage de réussite est de 69,3.Benoît Groulx vient au deuxième rangavec un taux de succès de 68,2 pour cent,

performance réalisée en 2005 à sa pre-mière campagne à Laval.Avec 130 passes complétées en 190tentatives, Richard pointe actuellementà 68,4 pour cent.Parce qu'il dispute deux parties en sixjours, le Rouge et Or a écourté ses en-traînements cette semaine et a prolongéles séances vidéo et les réunions.

Unrecordàportéedemaind’hUgorichardRichaRd BOutinLe Journal de Québec

RichardBoutin∫l rboutinJdQ

[email protected]

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Football RougeetOr

Danny Groulx et ses coéquipiers de la ligne offensive n’ont accordé aucun sac auxGaiters de Bishop’s, dimanche dernier.

photo d’archives, simon clark

LEJoUrNAL DE QUÉBECsports94

Boucharddéjà éliminéeà SingapourPage 84SporTS

VENDREDI 24 OCTOBRE 2014

historiquement, tomas plekanec asouvent servi d’ombrage aumeilleur centre de l’équipeadverse. Maintenant utilisé encompagnie d’alex Galchenyuk etde pierre-alexandre parenteau, letchèque retient moins l’attentionpour ses talents défensifs en cedébut de saison.

À une époque pas si lointaine, Plekanec adéjà connu des saisons productives sur leplan offensif.En 2009-2010, il avait amassé 70 points enjouant principalement au centre deMichaelCammalleri et d’Andreï Kostitsyn. En 2007-2008, il avait arrêté son compteur à 69pointsavec encore une fois Kostitsyn à sa gauche,mais aussi Alex Kovalev à l’aile droite.La saison n’est vieille que de septmatchs, mais le vétéran centre de31 ans se retrouve sur la bonne voie pourredevenir une menace offensive.Il compte déjà huit points (4 buts,4 passes) à sa fiche. À un tel rythme, ilterminerait la saison avec 94 points!«Tous les joueurs cherchent à marquerdes buts et à récolter des points, mais j’aitoujours accepté mon rôle au sein del’équipe, a-t-il dit. C’est vrai que je joue unrôleplusoffensif avecAlexetP.-A. Je trouveça parfait. Ça me rappelle un peu monépoque avec Alex Kovalev ou avec MichaelCammalleri.»

Juste sept Matchs…

Plekanec a aussi parlé avec la sagessed’un vétéran à sa sortie d’un entraîne-ment à Brossard.«Ça fait combien de matchs qu’on joue?Sept, huit? Évidemment, c’est un bon dé-part et j’en suis heureux. Pas pour lespoints ou être dans le top 20 des meilleursmarqueurs de la LNH, mais je suis contentde notre début de saison, personnellement,en tant que trio et au point de vue collectif.Mais ça ne fait que sept matchs, on doitcontinuer.»

L’eFFet GaLchenyuk

Avec le départ de Brian Gionta, Pleka-nec a perdu un bon ami, mais aussi sonprincipal compagnon de trio des der-nières saisons. Sur le plan hockey, il a tou-tefois fait un gain important cette saison.Il a reçu un cadeau sur son trio qui a pournom Galchenyuk.«Personnellement, j’aime beaucoupjouer avec Alex, a répondu celui qui porteun “A” en permanence sur son chandail.Il a maintenant une année de plus d’expé-rience et il s’en sert. Il est intelligent et ila tous les outils offensifs pour s’établirparmi les tops de la LNH.»Aux dires de Plekanec, Galchenyuk n’apas juste le numéro 27 en commun avecKovalev.«Il n’est vraiment pas loin d’un garscomme Alex Kovalev au niveau des habi-letés offensives. Mais, il est encore jeune,c’est tôt pour le comparer avec de grandsnoms.»

L’autre eFFet

Michel Therrien a maintenant le luxede libérer un peu plus Plekanec de sesresponsabilités défensives. L’arrivée deManny Malhotra a changé les plans.«Malhotra s’occupe maintenant de lapremière unité en désavantage numé-rique, a expliqué Plekanec. Je ne sais passi ça fait une immense différence pourmoi. Je joue encore en infériorité numé-rique, mais sur la deuxième vague.Manny a un impact important surl’équipe, surtout au cercle des mises enjeu. Il n’y a pas de doute qu’il nous aide.»Avec Malhotra comme nouveau maîtredes mises en jeu, Plekanec a gagné un as-pect non négligeable.«On obtient plus de mises en jeu enzone offensive. On commence avec la ron-delle en zone adverse, on applique plus depression, on contrôle davantage la ron-delle. Je n’avais jamais remarqué quelledifférence ça fait de commencer aussisouvent en zone offensive. Je suis contentd’avoir ces chances avec ces deuxjoueurs.»

c [email protected]

plekanec

Jean-Françoischaumont∫l JFchaumontJdM

plusoffensif

« Çame rappelleun peumon époqueavec alex Kovalevou avecmichaelcammalleri »—TomasPlekanec

Tomas Plekanec aime beau-coup jouer avec le jeune

Alex Galchenyuk.photo d’archives

MICHEL BERGERON

RÉJEAN TREMBLAY

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Tout au long de l’année, Le Journal de Québec fait paraître une série de cahiers spéciaux et de fascicules thématiques répondant aux intérêts de ses lecteurs.

Augmentez vos chances de trouver le candidat idéal en annonçant le mercredi et le samedi dans la section Carrières du Journal de Québec.

Chaque jour, les lecteurs du Saguenay et du Lac-Saint-Jean reçoivent une édition locale couvrant l’ensemble des activités de la région : sports, politique, actualités régionales. Une édition à l’écoute des gens de la région.

CAHIERS SPÉCIAUX ET FASCICULES

CARRIÈRES

ÉDITION SAGUENAY – LAC-SAINT-JEAN

DES THÉMATIQUES POUR TOUS :AUTOMOBILE CAMIONS ET MACHINERIES LOURDES ÉDUCATION-FORMATION FINANCES HABITATION IDÉES CADEAUX LES BELLES ANNÉES SPORTS SPORTS MOTORISÉS TOURISME ET LOISIRS VIE ET SOCIÉTÉ

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER

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Le cahier Weekend, la référence culturelle à Québec : musique, cinéma, télévision, théâtre et plus encore !

Cahier du samedi

Cahier du samedi

Section du samedi

Le cahier CASA présente une foule d’idées tendance pour la maison.

Rénovation, décoration, accessoires et jardinage sont au menu de ce cahier du samedi dont la popularité ne se dément pas.

La section Immo constitue la section immobilière du Journal de Québec de l’édition du samedi. Un cahier complet sur l’actualité immobilière. Les lecteurs découvrent chaque semaine à la une du cahier une maison coup de cœur. Ce reportage abondamment illustré est une source d’inspiration pour les futurs acheteurs tout comme pour les vendeurs d’une propriété.

CAHIER WEEKEND

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CAHIER | 16 PAGES | 18 OCTOBRE 2014

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COURTOISIE

LÉVIS

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La maison de la semaine‹‹‹Lorsqu'on visite ce plain pied de la rue des Érables, à Lévis, on a peine à croirequ'il a été construit en 1970. La façade nous donne un indice, mais l'intérieurentièrement rénové et la cour digne d'une station balnéaire nous fait oublier sonâge.

Les propriétaires actuels pensaient bien l'habiter encore longtemps, c'est pour-quoi ils l'ont actualisé notamment en s'offrant une cuisine et une salle de bain

haut de gamme, en maximisant la vue sur le fleuve, puis en réaménageant le rez-de-jardin avec deux chambres, une salle de billard, une salle de bain et de lavage,un salon avec foyer et une salle d'entraînement.

Le rez-de-jardin donne accès à la cour qui semble se prolonger dans le fleuve,avec ses grands arbres matures, ses deux terrasses, dont l'une couverte et chauf-fée, son spa et sa piscine creusée chauffée. On se sent en vacances!

MÉTAMORPHOSEMÉTAMORPHOSE

IMMO SAMEDI 18 OCTOBRE 2014 | LE JOURNAL DE QUÉBEC2 La maison de la semaine ‹‹‹

Une cuisine haut de gamme conçue pour rassembler les êtres chers.

Lorsque l'on envisage de vivre longtempsdans une maison, on ne lésine pas sur lesefforts et les investissements pour la transfor-mer en un lieu qui correspond à nos goûts, nosbesoins et qui nous offrira la vie rêvée.

C'est ce que les propriétaires ont fait, en ré-novant récemment ce plain pied.Mais la vie ré-servant parfois des surprises, ce sont les futurshabitants qui profiteront de toutes ces amélio-rations. Saisissez l'occasion!

Àpremière vue, la façade a fière allure pourune propriété construite en 1970, mais elle nedonne aucun indice sur ce qui nous attend.Déjà, en entrant par la porte du garage, on estépaté par la vue sur le fleuve que dévoilent lesmultiples fenêtres, comme si le paysage étaitpressé de nous souhaiter la bienvenue.

En entrant dans la maison, nos yeux nesavent pas s'ils doivent d'abord admirer lacuisine haut de gamme, le paysage à traversles grandes fenêtres ou le foyer de la salle àmanger.

PLEIN LES YEUX!

Commençons par la cuisine rénovée, avecdes armoires en bois, un comptoir en granitbrésilien, un évier sous-plan et sa robinetteriehaut de gammede style col de cygne industriel,puis un grand îlot pour réunir les convives àl'heure de l'apéro.

La cuisine s'ouvre sur la salle à manger,dont la pièce maîtresse est certainement lefoyer au gaz vêtu d'un manteau de pierre, quiapaise et réchauffe l'ambiance lors des repas.Devant le grand mur aux multiples portes pa-tio et fenêtres, on prend quelques minutesavant de poursuivre la visite pour admirer lavue. D'ici, on aperçoit la rive nord, l'île d'Or-

Permis de rêver!Une vue incroyable, une cour de rêve et un intérieur entièrement rénové, voilà qui donneenvie de visiter notre maison de la semaine, située au 106, rue des Érables à Lévis.

√ Adresse: 106, rue des Érables, Lévis√ Numéro d’inscription: 16199932√ Type d’habitation: Plain pied√ Prix de vente: 749 000 $√ Année de construction: 1970√ Dimensions: : 69 X 31 pieds√ Nombre de pièces: 13√ Nombre de chambres: 4√ Nombre de salles de bain et salles d’eau: 2√ Foyer: 3 (bois et gaz)√ Stationnement: Allée (4), Garage (1)√ Parement extérieur: Brique et pierre√ Superficie du terrain: 11 155 pieds carrés

Renseignements:Nom du courtier : Louise BakerRe/Max 1er Choix inc.Tél.: 418 652-2000Courriel: www.louisebaker.netSite internet:[email protected]

Fiche descriptive

AMÉLIE DESCHÊNESCollaboration spéciale

[email protected]

Le foyer en pierre et la vue sont les éléments vedettes de cette salle à manger.

SAMEDI 18 OCTOBRE 2014 | LE JOURNAL DE QUÉBEC IMMO 3La maison de la semaine

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PHOTOS COURTOISIE

LES CHIFFRES√ Prix de vente: 749 000 $√ Évaluation bâtiment: 587 700 $√ Taxes municipales: 4 694 $√ Taxes scolaires: 1 312 $√ Total des taxes: : 6 006 $

SERVICES UTILES (distance)√ CLSC: 5,9 km√ Hôpital: 4,3 km√ Clinique médicale: 6,7 km√ CPE: 1,9 km√ École: 550 m√ Caserne de pompiers: 3,7 km√ Commerces de proximité: 2,7 km

LOISIRS (distance)√ Piste cyclable: 350 m√ Parc naturel: 450 m√ Centre de plein air: 3,3 km√ Golf : 5 km

TRANSPORT√ Circuits d’autobus à proximité: 11√ Axes routiers à proximité:

Axes routiers à proximité : Rue Saint-Joseph,boulevard de la Rive-Sud, route Lallemand

Imaginez vous prélasser sous la douche ou dans la baignoire en admirant le paysage.

léans d'une pointe à l'autre, les bateaux qui naviguent surle fleuve, la ville et les montagnes qui changent de cou-leurs. La grande terrasse dotée d'un garde en verre n'obs-true aucunement ce tableau naturel.

Et pourquoi ne pas s'asseoir quelques minutes du côtéde l'espace apéro, près du piano et du second foyer au gazadossé au premier, afin de poursuivre ce moment decontemplation.

Le salon a été aménagé sur la façade de la maison, là oùle paysage ne risque pas de détourner notre regard de no-tre feuilleton préféré.

Tout près, la salle de bain a été complètement rénovée.On est charmé par la grandeur de la fenêtre qui laisse en-trer la nature. Que ce soit dans la chic baignoire autopor-tante ou dans la douche en verre et en céramique, on selave en jetant unœil dehors, mais en ne risquant pas d'êtrevu. Tout ici est haut de gamme et de bon goût, comme lesarmoires en bois, le comptoir en granit, les sanitaires dis-tinctifs, les élégantes vasques, etc.

La porte voisine mène à la chambre principale quidonne sur la cour. En laissant la fenêtre ouverte, les futurs

propriétaires pourront s'endormir en écoutantla mélodie des vagues. La garde-robe triplefera le bonheur de madame et de monsieur.Juste en face, on découvre une autre grandechambre.

AGRÉABLE REZ-DE-JARDIN

Le rez-de-jardin combine plusieurs fonc-tions. Attention! Si vos grands enfants sonttoujours à la maison, il se peut qu'ils ne veuil-lent plus partir. On y trouve une table de bil-lard parfaite pour rassembler des amis, unesalle de bain qui sert aussi de salle de lavage,deux chambres du côté de la cour, un salonaménagé près d'un foyer au bois, une salled'entraînement avec vue sur la piscine et ungrand espace de rangement sous le garage, quiremplace la remise.Du salon, une porte patio nous guide vers la

cour qui nous transporte dans un «resort» dusud. Sur la terrasse couverte chauffée, dans lespa, au bord de la piscine creusée chauffée ou àl'ombre des grands arbres, on profite de la vie!

Ce qu’il faut savoir

Pendant l'hiver, passez rapidement du spa au salon, près du feu de bois.

Laissez-vous bercer par la marée, en laissant une fenêtre ouverte dans la chambre principale.

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MARDI, VENDREDI ET DIMANCHE QUÉBEC

DIMANCHE QUÉBEC QUOI FAIRE À QUÉBEC TOURISTE CHEZ-SOI LE COURRIER DU DOC LIVRES JOGGEUSE URBAINE

MARDI QUÉBECSPECTACLES LE CLIENT VEDETTE DE LA SEMAINE ÉCHOS SUR LA VILLE

VENDREDI QUÉBEC SPECTACLES EN ONDES LA BULLE À ROULEAU SORTIR

Chaque mardi, vendredi et dimanche, retrouvez nos cahiers Québec encartés au centre de l’édition régulière du Journal de Québec. Un contenu 100 % Québec dont les populaires chroniques :

DIMANCHEQUEBEC

Dimanche 12 octobre 2014 Cahier de 24 pages à détacher

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La joggeuse urbaine

Quandl’orignalse pointe lebout du nez

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Le côté sombredes Plaines

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La vie à deux,selon JanettePage 13

D7LE JOURNAL DE QUÉBEC DIMANCHE QUÉBECDIMANCHE 26OCTOBRE 2014Jo

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Une soirée entre«gentils» et «méchants»En panne d’inspiration pourvos sorties? Rassemblezquelques vieux copains,tombez en mode festif etosez une soirée qui sortdéfinitivement de l’ordinaireen assistant à… de la lutte!

Fondée en 2008 à Pont-Rouge, laNorth Shore Pro Wrestling a démé-nagé ses pénates au Centre Hori-zon, dans le quartier Limoilou, il y aquatre ans. Chaquemois, cette ligue– la seule dans la capitale – organisegalas et tournois auxquels prennentpart une vingtaine de lutteurs qué-bécois en plus de quelques figuresinternationales dumilieu.

GEntils vERsus méchants

«Au début, on attirait une quaran-taine de personnes par soir, sansplus. Le nombre de spectateurs acommencé à augmenter, de mois en

mois, ce qui nous a permis d’inviterdes lutteurs connus mondialement,des anciens de la WWE», expliqueSteve Boutet, fondateur de laNSPW, qui a lui-même lutté sous lenom du «gentil» Razen, pendantune douzaine d’années, avant debasculer chez les «méchants», l’andernier, en équipe aux côtés d’IvanSullivan.Car tout l’esprit de la lutte résideen cet affrontement entre les «gen-tils» et les «méchants», dans unegrande mise en scène parfois desplus théâtrales. Et le public est misà contribution, lui qui n’hésite paspour hurler son amour ou sa hainedes protagonistes, rendant l’am-biance de la soirée complètementsurvoltée!«Le plus grand défi pour un lut-teur est de faire en sorte que lesgens croient en ton personnage. Lebut, c’est ça: si tu n’es pas capable

de faire embarquer le monde danston personnage, dans le cadre deton combat, les gens ne s’attache-ront pas à toi et ne vont pas te trou-ver bon. Si tu réussis à faire ensorte que les gens t’haïssent out’aiment vraiment, ils vont te sui-vre et être derrière toi», résume-t-il.

sPoRtif

Derrière les personnages forts,les costumes clinquants et l’atmo-sphère déjantée se cache un en-traînement rigoureux. «Ce n’estpas une discipline facile. C’est fauxde penser que n’importe qui peutfaire ça. C’est sportif, les gens quifont de la lutte sont des athlètes. Etc’est ce qu’on veut mettre enavant-plan: la haute voltige, latechnique, la performance, toutesces choses-là», résume Steve Bou-tet.

Les membres de la ligue fontd’ailleurs du chemin. Deux des an-ciens champions de la NSPW ontrécemment signé des contratsavec la WWE. Afin d’assurer unerelève, la ligue a créé sa propreécole de lutte, en août dernier, tou-jours au Centre Horizon. «Les genspeuvent s’inscrire pour une ses-sion de trois mois et, après ça, on aune bonne idée de leur potentiel»,dit-il.Tenté? Le prochain tournoi setient samedi prochain. Il réunirahuit lutteurs poids lourds, qui s’af-fronteront lors de huit rondes éli-minatoires. «On est les seuls auQuébec, possiblement au Canada,à présenter un gala exclusivementcomposé de lutteurs en haut de220, 230 livres», précise le promo-teur.Un conseil, arrivez tôt si voussouhaitez obtenir une place assise!

La NSPW présentait le 11 octobre dernier sontraditionnel gala anniversaire, pour soulignerles six ans d’existence de la ligue.Photo Pascal huot

Événementsà venir1er novembreTournoi poids lourds

5 décembreGala de lutte

Où? Au Centre Horizon,dans LimoilouCoût 10$ en prévente,15$ à la porteLes billets sontdisponibles à la boutiquede jeux vidéo La Planque,chez Kind Informatiqueou au Centre Horizon(les jeudis soirsseulement)

D3LE JOURNAL DE QUÉBEC DIMANCHE QUÉBECDIMANCHE 26 OCTOBRE 2014

peu de gens savent qu’on trouve àsainte-anne-de-Beaupré la plusimportante collection de phonographesà cylindre d’amérique, qui comprendquelque 250 appareils. Le Musée Edisondu phonographe, situé sur la rue royale,est une véritable caverne d’ali Baba quiretrace plus d’un siècle d’histoired’enregistrements sonores.

Bien que cette municipalité située en périphé-rie de Québec accueille des milliers de touristeschaque année, le collectionneur Jean Agnardreçoit aumusée quelques centaines de visiteurspar année, sans plus.«Ce sont des pèlerins. C’est la basilique qui lesintéresse. [...] Ils ne savent pas que ça existe, ici.Ça me coûte quelques milliers de dollars par an-née pour garder le musée ouvert, je ne reçoispas de subventions. Si je continue, c’est que j’aiautant de plaisir à faire voir mes appareils qu’àles collectionner», a-t-il confié, le regard brillant.Pourtant, sa collection de «phonographes»,mot qui signifie «écriture des sons», est plusqu’impressionnante. Jean Agnard se fait unbonheur de faire une visite guidée pour passerà travers l’histoire de l’enregistrement sonore.

Il raconte l’invention des appareils, leur ac-quisition, l’histoire du dictaphone, qui servaitprincipalement dans les bureaux, la guerre en-tre Thomas Edison et Bell, et l’utilisation decette invention pour la musique, venue beau-coup plus tard. Sa petite histoire personnelle,elle, n’a rien d’ordinaire.

Un ExpErt

D’origine française, Jean Agnard a débarquéau Québec en 1968, service militaire oblige. Il aacheté son premier appareil en 1970 à Baie-Saint-Paul, un instrument qui date de 1901. Ilpossède également une réplique des premiersappareils datant de 1877. Depuis, il est devenuun expert en la matière: dans son atelier, il lesrépare et les restaure, puis confectionne égale-ment des reproductions pour les collection-neurs.Les appareils, rares et diversifiés, se sont ac-cumulés au fil des ans. En 1982, il a donc acquisun bâtiment de la rue Royale, une anciennecaisse populaire, un endroit assez grand où il aenfin pu ouvrir son musée au rez-de-chausséeet puis habiter l’étage pour l’aider à passer autravers d’une période économique plus sombre.Les comptoirs d’origine y sont encore.

Parallèlement, Jean Agnard est diplômé encartographie aérienne, une spécialité qui n’arien à voir avec l’enregistrement sonore. Déten-teur d’un doctorat qu’il a fait au Japon, il a étéchercheur dans ce domaine pendant de nom-breuses années à l’Université Laval. Il est re-traité depuis 2000 et se consacre entièrement àsa passion.

sEUL En aMériqUE

Le musée a connu ses belles années au milieudes années 80. Après la bisbille avec la Villeconcernant l’affichage touristique qui s’est éta-lée pendant plusieurs années, M. Agnard a dé-cidé de fermer ses portes entre 1988 et 1997.Connaissant pratiquement tous les collection-neurs canadiens et américains, Jean Agnard setargue, avec raison, d’être propriétaire du seulmusée de phonographes entièrement consacréà Edison en Amérique du Nord. «Si vous allezau musée Edison du New Jersey, vous verreztrois phonographes. Et vous n’en verrez quequelques-uns de plus à la maison d’hiver d’Edi-son, en Floride.»Jean Agnard possède également quelques-unes des premières poupées de porcelaine par-lantes ainsi que des juke-box.

Musée Edison du phonographe

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Touristechezsoi

MuséeEdisonduphonographeOù? 9812, rue Royale, Sainte-Anne-de-Beaupré

Coût? 5 $ pour une visite guidée, enanglais ou en français

Information: 418 827-5957

Siteweb:www.phono.org/beaupre.html

Un trésor sonore

Secret bien gardéL’Halloween est à nos portes! Québec

par Coeur vous invite à découvrir les ma-gnifiques décorations qui ornent les jar-dins de l’Hôtel-de-Ville de Québec. Com-posées de 2 000 citrouilles, 1 000 potéesde chrysanthèmes et 500 tiges de bléd’Inde, ces décorations hautes en couleuren mettront plein la vue à toute la famille.

Québec par Cœur,ce samedi 13h30 à TVA.En rediffusion dimanche13h30 à TVA, sur Illico etquebecparcoeur.tv

Anciennement ingénieur en cartogra-phie aérienne, Jean Agnard possèdeplus de 250 phonographes, tous en étatdemarche. Il s’y intéresse depuis 1970,lorsqu’il a acheté un phonographe de1901 au coût de 135 $.

photos sandra godin

M19LeJOurnaL De QuÉBeC MarDi QuÉBeCMARDI 21 OCTOBRE 2014

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ille Halldescélébrités

Parmi les célébrités plusconnues, on retrouve: le chan-teurRock Voisine, lehockeyeurDavid Desharnais(Canadiens), les journalistesMarc-André Gagnon (Jour-nal de Québec), Jean-MichelBourque (TVA Québec),François-Étienne Corbin(RDS), Taïna Lavoie (Radio-Canada), la chroniqueuseÉmilie Jean-Fournier (SalutBonjour Week-end), HelenaCalil, Lisa-Marie Blais; lescomédiensMartin Lebrun etStéphane Breton, le maire de

Lévis, Gilles Lehouillier, laconseillère municipal AnnJeffrey, le députéMarc Pi-card et votre humble servi-teur.Notons aussi: Jean-SébastienCarré etNicolas Gosselin,mu-siciens; Charles Milliard,Louis Milliard etMathieuCoulombe, pharmaciens;Da-niel Cadrin, entrepreneur;De-nis Nolet, artiste peintre; Ca-therine Laliberté, designer;Gilles Fontaine, chercheurscientifique en astrophysique;Jean-François Damphousse et

Pierre-Luc Létourneau Le-blond, joueurs de hockey;Mé-lina Gosselin et Judy Quinn,écrivaines; Sania Quirion,acrobate; Sophie Samson,photographe etMaude Ju-lien, de la Clinique de pédia-trie sociale de Lévis.Finalement: Esther Bretonet Rachel Bruneau, méde-cins; Virginie Bruneau, spé-cialiste en médecine nu-cléaire; Geneviève Nadeau,chiropraticienne; Jean-Fran-çois Pichette, ergothéra-peute; Bruno Breton, agro-nome; Guy Lecours, actuaire;David Gendron, scientifique;René Breton, chercheurscientifique; Denis Gobeil,avocat;Martine Bédard, en-trepreneure; Pascal Brulotte,DG du Patro de Lévis; Sté-phane Chabot, ingénieur etconférencier et Luca Jalbert,réalisateur, acteur, romancier,chanteur, caricaturiste etconférencier. Félicitations àtoutes les célébrités!

Voici les membres du comitéorganisateur et initiateurs du

Hall des célébrités de l’écolePointe-Lévy. De gauche à

droite,LucLévesque, directeurde l'école Pointe-Lévy;Francepelletier, ex-technicienne en

loisir de l'école;ClaudeMiville,instigateur du projet du Hall etprofesseur de cinéma et d'his-

toire à l’école;nicoleBlanchet,secrétaire de gestion et isa-bellevachon, directrice

adjointe, école Pointe-Levy.

Comitéorganisateur

Parmi les personnalités que l’onpeut apercevoir sur le Hall descélébrités de l’école Pointe-Lévy, longtemps appelée lapolyvalente de Lévis, on

retrouve une quarantaine dejournalistes, scientifiques, gensd’affaires, musiciens, ensei-gnants et écrivains. estherLemieux, directrice généralede la Commission scolaire desNavigateurs, s’est réjouie decette initiative qu’elle verraitbien s’étendre dans toutes lesécoles secondaires du territoire.

Célébritéslévisiennes

La clinique dentaire desHalles du Petit Quartier

s’appelle désormaisGirard etMartineau et

leDrGeorgesGirard(photo), spécialiste en

implantologie, vient d’ycompléter un investis-

sement de plus d’undemi-million de dollars

pour construire unlaboratoire où seront

produites couronnes etprothèses rapidement

et à moindre coût.

Girard etMartineau

Une cinquantainedepersonnalités dumondeartistique, politique, économique, social ouscientifique ayant fréquenté l’école Pointe-Lévy lors deleur formationont étémises à l’honneur lors dudévoilement duHall des célébrités, inauguré le 4octobre dernier, dans l’institution secondaire de la ruedesCommandeurs à Lévis. Si le chanteurRochVoisineou le joueur dehockeyDavidDesharnais n’ont pu sedéplacer, Gilles Lehouillier,maire de Lévis, a réponduprésent à l’appel lancé à l’initiative de l’enseignantClaudeMiville qui souhaitait que l’on soulignedignement le 50e anniversaire de sonécole.

anniversairesEddy LaBrie (photo) auteur, et ex-journaliste au Journal de Québec, 73ans…Mélanie Turgeon, skieuse al-pine retraitée, championne du mondeen descente en 2003, 38 ans…Benja-min Presley Keough, fils de Lisa Ma-rie, 22 ans…Annie Blanchard, chan-teuse Star Académie 2005, 37ans..Carrie Fisher, actrice américaine(Star Wars), 58 ans…Jean Gauthier,homme d’affaires de Québec, prési-dent de Cellunivers, 61 ans…Benya-min Netanyahou, premier ministreisraélien, 65 ans.

DisparusLe 21 octobre 2013.Gianni Ferrio(photo), 88 ans, compositeur et chefd'orchestre italien…1997. SylvioKi-rouak, curé à la Cathédrale de Chicou-timi de 1947 à 1967…1996. LucilleDes-parois, 87 ans, conteuse et comé-dienne (Tante Lucille)…1993.DeniseProulx, 64 ans, comédienne québé-coise…1984. François Truffault, 52 ans,réalisateur français.

V13LE JOURNAL DE QUÉBEC VENDREDI QUÉBECVENDREDI 31 OCTOBRE 2014

rouleau c Avez-vousdescommentaires?

É[email protected]

cathleen

LabulleàRouleau

Bonne fête des Morts, tout lemonde!!!

Ceci dit, ce n’est pas nécessaire-ment une bonne idée d’entrer dansun salon funéraire en chantant:«Bonne fê-te à toiiiii, les cadeauxsont pour moiiiii!!!»... Ça risqueraitde faire un froid auprès des héritiers.

Halloween!!! La seule journée oùon a le droit de rire devant quelqu’unqui a un couteau planté dans la tête!

Halloween et sa délicieuse ironie:toute l’année, on répète à nos en-fants qu’il ne faut jamais accepter debonbons d’un inconnu et ce soir-là,on les encourage à aller frapper à laporte des inconnus pour leur deman-der des bonbons! Bonjour la confu-sion!

Même nous, adultes, aimons cettejournée. Ça nous permet de nous ca-

cher derrière des personnages...qui en fait, révèlent notre vraie

nature! Ce soir, dans les bars, onverra plein de gars déguisés enquelque chose deniaiseux/rigolo/un peu vulgaire(serviettes hygiéniques, pénis

géant, vieille prostituée...) et lesfilles, elles, porteront leur

plus bel habit d’infirmièressexy.

D’accord, je généralise.Il n’y aura pas QUE desinfirmières sexy... Il yaura aussi des écolièressexy. Des chats sexy. Descitrouilles sexy. Desportes-manteaux sexy.Des langues de porc trem-

pées dans le vinaigresexy...Qui que vous soyez,

lorsque vous déambulerezdans votre quartier, la nuit du 31,méfiez-vous. Les rues regorgentde trucs dangereux qui pour-raient ruiner votre soirée. Et jene parle pas seulement des en-fants; il y a aussi des voitures.

Si vous êtes un parent (ouune matante célibataire rejet)qui accompagne de la mar-maille dans sa récolte de carbu-

rant pour hyperactifs, voiciquelques conseils:

1- Évitez les masques. Ils rédui-sent le champ de vision de vosdemi-personnes, et en plus: c’estvraiment cheap, comme costume.Si votre gamin est pour se fairefrapper, organisez-vous au moinspour qu’aux nouvelles, on disequ’il avait un déguisement origi-nal.

2- Soyez intelligents. Quand ils’agit d’enfants, certains cos-tumes sont à éviter: prêtre, parexemple. Un bambin déguisé en

prêtre, c’estcomme un chatdéguisé en boîte derestaurant chinois.C’est juste malsain. Au-tre déguisement à pros-crire pour un enfant:manifestant proavorte-ment(!)

3- Organi-sez-vouspourqu’onvous re-marque.Portezdes bandesréfléchis-santes. Traînez deslampes de poche. Devenez juge àLa Voix.

Et n’oubliez pas de surveiller lesbonbons! Des lames de rasoir peu-vent s’y cacher. Particulièrementdans les bonbons des années 50(la tire Sainte-Catherine)!

aH, Pis Kin...

J’ai toujours fabriqué de ma-gnifiques costumes à peu defrais. Plus jeune, j’ai été Dra-cula: du linge foncé, une cape,un casque de bain noir, un peude maquillage... VOILÀ! C’étaittellement réussi que ma pro-pre grand-mère ne m’a mêmepas reconnue! Bon... Elle neme reconnaissait pas en géné-ral, mais quand même.

Il y a aussi eu le bouleaud’automne: enroulée dans ungrand drap blanc, je m’étaisrempli la tête de feuillesmortes! À part la partie oùdes chiens venaient «mar-quer leur territoire» sur messouliers, c’était GÉNIAL!

Mais mon meilleur coup aété le cadeau de Noël. Com-ment ne pas se casser la têteen quatre étapes: une boîte,trois trous, du papier d’em-ballage, un chou: THEREYOU GO.

Bonus: j’ai même envoyétrois hommes en prison! Ef-fectivement, il n’y a rien quidit «pédophile» comme laphrase: «Beau cadeau! J’peux-tu tedéballer?»

trois hommes en prison! Ef-fectivement, il n’y a rien qui

phrase: «Beau cadeau! J’peux-tu te

MERECONNAISSEZ-VOUS?Cette année, je me déguiseen renée Zellweger

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Lis ça,parceque.

Le Journal de Québec KIT MÉDIA 2016 ÉDITION PAPIER