L’AFFIRMATION DE SOI CHEZ LES

JEUNES , LA PLACE DES PARENTS!

Natacha Condo, ps.éd.Conseillère en prévention et en promotion de la santé CISSS de LanaudièreStéphanie Roy, ps.éd. Intervenante psychosocialeL’Avenue, justice alternative

CE SOIR ENSEMBLE!

� Comprendre ce qu’est l’affirmation de soi

� Les types d’affirmation

� Comment favoriser une bonne affirmation de soi chez nos enfants?

� Différencier les termes de violence, colère et agressivité

� Identifier les stratégies et attitudes augmentant les escalades et les confrontations

� Identifier les stratégies et attitudes aidant à désamorcer les escalades et les confrontations

� Identifier des moyens pour ne pas exploser

CONCEPT DE SOI

� Ensemble des perceptions et des croyances qu’une personne a d’elle-même ainsi que des attitudes qui en découlent (Legendre, 1993).

ESTIME DE SOI

� L’aptitude d’éprouver un sentiment favorable à son endroit, lequel naît de la bonne opinion que la personne a d’elle-même et de la valeur qu’elle se donne (Fourgeyrollas, Cloutier, Bergeron, Côté et St-Michel, 1998).

� Chaque individu se fait une idée de lui-même. Cette image de soi, qui est fortement influencée par tous les changements sociaux, se construit au fil des années et n’est jamais acquise pour toujours (Duclos, Laporte et Ross, 1995).

L’AFFIRMATION DE SOI

� L’affirmation de soi consiste en la capacité d’exprimer ses émotions, ses pensées et ses opinions de même que de défendre ses droits tout en respectant ceux des autres, ceci de façon directe, honnête et appropriée(Louis Chaloult, 2014).

LES 3 ASPECTS DE L’AFFIRMATION DE SOI

� Les émotions, les pensées et les opinions: apprendre à bien les identifier;

� Les droits: apprendre à reconnaître ses droits de même que ceux des autres;

� La communication: s’entraîner à utiliser les moyens appropriés pour améliorer la qualité des échanges interpersonnels, donc connaître nos émotions, pensées, opinions et faire respecter ses droits en respectant ceux des autres!

3 TYPES DE COMPORTEMENTS

NON AFFIRMATIFS

•Soumis ou passif

•Agressif

•Manipulateur

COMPORTEMENT SOUMIS OU PASSIF:

� Incapacité à exprimer ses émotions, ses désirs et ses opinions ou de le faire de façon indirecte, inappropriée et au détriment de ses propres droits;

� Vous êtes invité à une soirée dont vous n’aimez pas le concept ni certaines personnes qui seront présentes: « oh ce ne sera pas possible, je suis fatiguée, j’ai été malade hier… »

� Votre enfant reçoit un ami pour jouer à la maison et celui-ci veut choisir le jeu qui n’est pas très apprécié de votre enfant: « ok, si c’est seulement à ça que tu veux jouer, on va jouer… »

COMPORTEMENT SOUMIS OU PASSIF

� Intention: plaire!

� Avantages immédiats: évitement des conflits, des tensions ou de la confrontation;

� Ressenti de la personne: anxiété, déception, perte d’estime de soi, colère et ressentiment;

� Ressenti de l’entourage: culpabilité, supériorité, irritation, pitié…

� Conséquences à long terme: n’obtient pas ce qu’elle désire, accumulation d’agressivité et mal être.

COMPORTEMENT AGRESSIF

� L’expression se fait au détriment des droits des autres et ceci de façon le plus souvent directe, mais presque toujours inappropriée.

� Votre ado offre de faire le lavage: « n’en met pas trop, ne mélange pas les couleurs et appuie sur le bon bouton, tu sais à quel point tu es gaffeuse! »

� Votre enfant reçoit un ami à jouer. À la fin de l’après-midi, ils cherchent une pièce: « tu vas la trouver, c’est toi qui l’a perdue, si tu ne la trouve pas, tu vas me racheter un jeu! »

COMPORTEMENT AGRESSIF

� Intention: dominer et/ou humilier.

� Avantages immédiats: réponse à ses demandes, sentiment de supériorité et de puissance, soulagement des tensions émotives;

� Ressenti de la personne: supériorité, soulagement, embarras ou malaise par la suite;

� Ressenti de l’entourage: humiliation, insulte, colère, désir de vengeance, méfiance, crainte;

� Conséquences à long terme: détérioration des relations, diminution de la qualité de vie, vengeance, rejet.

COMPORTEMENT MANIPULATEUR

� Se caractérise par l’expression dans le but de défendre ses droits et satisfaire ses besoins, mais de façon toujours indirecte et souvent malhonnête et ceci au détriment fréquent des droits des autres.

� Vous parlez depuis longtemps au téléphone avec une amie et souhaitez mettre fin à la conversation: « Je dois vraiment te laisser car j’ai le dîner au four, je dois aller m’en occuper ».

� Votre enfant brise son jouet et, quand vous arrivez sur les lieux, il vous jure que c’est son frère qui l’a brisé et l’accuse.

COMPORTEMENT MANIPULATEUR

� Intention: tromper pour satisfaire ses besoins.

� Avantages immédiats: réponse à ses demandes sans confrontation;

� Ressenti de la personne: anxiété, culpabilité, peur d’être découvert et des représailles;

� Ressenti de l’entourage: sentiment d’être trompé;

� Conséquences à long terme: détérioration des relations, diminution de la qualité de vie, vengeance, rejet.

LE COMPORTEMENT AFFIRMATIF

LE COMPORTEMENT AFFIRMATIF

� Il consiste à exprimer ses pensées, ses émotions et ses opinions et à défendre ses droits tout en respectant ceux des autres, ceci de façon directe, honnête et appropriée. Il est rarement inné, mais s’acquiert suite à un patient entraînement.

EXPRIMER PENSÉES, ÉMOTIONS ET

OPINIONS

� Pensées: il est important d’exprimer clairement ses pensées à notre entourage pour qu’ils puissent savoir ce que l’on pense et ce qu’on désire. Ex. Je suis fatigué, j’ai besoin d’aide…

� Émotions: l’expression adéquate des émotions permet de se sentir mieux et d’avoir de meilleures relations interpersonnelles. Ex: J’aime jouer avec toi. Je ne comprends pas pourquoi tu es fâché et ça me rend triste…

� Opinions: c’est une façon personnelle de voir les choses. L’estime de soi passe, entre autres, par la capacité à exprimer ses opinions. Ex: je trouve que tu as une belle robe, je trouve que ce jeu est ennuyant…

LE COMPORTEMENT AFFIRMATIF

� Intention: communiquer!

� Avantages immédiats: satisfaction, fierté;

� Ressenti de la personne: confiance en soi, respect et estime de soi;

� Ressenti de l’entourage: confiance, estime, respect;

� Conséquences à long terme: amélioration des relations, amélioration de la qualité de vie à tous les niveaux!

DÉFENDRE SES DROITS EN RESPECTANT

CEUX DES AUTRES

� Un des buts de l’affirmation de soi consiste à identifier nos droits et, par la suite, acquérir les habiletés pour les défendre adéquatement. Ex: Je veux prendre du temps avant de me décider, je n’ai pas envie de prêter ce jouet…

� Il est essentiel de reconnaître aux autres des droits identiques à ceux qu’on s’attribue à soi-même. C’est un aspect essentiel de l’affirmation de soi car celui qui ne respecte pas les droits des autres se comporte souvent de façon agressive. Ex: je comprends que tu sois en colère contre moi parce que je suis en retard, c’est normal que tu sois fâché, je ne t’ai pas demandé la permission pour prendre ton livre…

ASPECTS PRATIQUES DE

L’AFFIRMATION DE SOI

� Faire des demandes;

� Refuser des demandes;

� Exprimer des sentiments et de l’affection;

� Accepter les compliments ou l’expression de l’affection;

� Formuler une critique ou exprimer de la colère;

� Faire face à la critique ou à la colère des autres;

� Mettre un terme à l’affrontement.

AVANTAGES D’ÊTRE AFFIRMATIF

� Plus de confiance en soi;

� Peut exprimer verbalement et non verbalement une variété de sentiments et pensées qui peuvent être négatives ou positives;

� Peut prendre des décisions;

� Est traitée de la même manière qu’elle le fait envers eux;

� Se sent libre de se dévoiler;

AVANTAGES D’ÊTRE AFFIRMATIF

� A une communication plus ouverte;

� Est consciente qu’elle ne peut pas toujours gagner et qu’elle accepte ses limites;

� Peut dire non avec tact;

� A des relations interpersonnelles plus profondes et satisfaisantes;

� Reconnaît ses besoins personnels;

� Sentiment de contrôle sur soi.

ÉTAPES D’UNE BONNE COMMUNICATION

1. Exprimer le plus clairement possible ce que nous pensons, ressentons et voulons;

2. Vérifier auprès de la personne si le contenu et le sentiment compris sont bien ce que nous voulions exprimer (attention au non verbal!);

3. Écouter la confirmation de l’effet de notre message sur la personne. Ex. de question pour susciter la confirmation: Comment réagis-tu à ce que je viens de te dire?

4. Discuter de la différence entre l’intention et l’effet s’il y a lieu.

FAITES L’EXERCICE !

� Choisissez un sujet qui vous tient à cœur et discutez-en avec votre jeune. Vérifiez si vous arrivez à suivre les étapes d’une bonne communication!

AIDER MON JEUNE À DEVENIR AFFIRMATIF:

� Être un bon modèle!

� L’amener à s’exprimer sur les sujets d’actualité ou de la vie courante pour développer ses opinions;

� Encourager et accueillir l’expression de ses émotions;

� L’aider à exprimer ce qu’il pense chaque fois que l’occasion se présente et à développer ses idées.

ACTIVITÉ BRISE-GLACE!

Exercice du POING!

QUEL MOT VOUS VIENT EN TÊTE?

Elle nous permet de reconnaître ce que nous n’aimons pas et où se situent nos limites personnelles. Elle agit à titre de système d’alarme lorsque cette limite est franchie.

Violence

Colère

Agressivité

C’est une énergie, une pulsion instinctive et naturelle en réponse à une émotion

forte. Elle sert de « véhicule » aux émotions pour s’actualiser.

Elle est intentionnelle et porte atteinte à l’intégrité physique ou psychologique d’une personne.

DÉMÊLONS LES TERMES:

La soif de pouvoir

Le désir de vengeance

Le manque d’attention

L’abandon

« La maladie de l’adolescence est de ne pas savoir ce que l’on veut, mais de le vouloir à tout prix! »

(Phillipe Sollers)

QUATRE SOURCES D ’ÉMOTIONS INTENSES

JE ME METS EN COLÈRE QUAND…

� Je ne me sens pas respecté(e) dans mon autorité;

� Je dois répéter la même chose à plusieurs reprises;

� Je me sens ignoré(e) volontairement par mon enfant;

� J’ai l’impression que mon enfant me ment;

� J’ai l’impression que mon enfant minimise ses gestes et ses

paroles (attitude «Je m’en foutisme»);

� J’ai l’impression qu’on rie de moi;

� Je me sens jugé(e);

� J’ai l’impression qu’on me manque de respect.

Ma colère me domine! Risque de violence élevé!� Mes gestes et paroles pourraient blesser quelqu’un!

� S’ÉLOIGNER IMMÉDIATEMENT!

Mes émotions commencent à prendre le dessus, c’est risqué!

� Respirer profondément� Utiliser un moyen pour se calmer (ex: compter à rebours

ou énumérer des couleurs dans sa tête, etc.) � S’éloigner le plus vite possible!

Je ressens l’inconfort, mais je suis toujours en contrôle de mes émotions.

� Parler en «Je » � Tenter de corriger la situation avant qu’elle s’envenime

ou y mettre un terme.

AFFRONTER

ÉVITER

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8

7

6

5

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3

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COLLABORER

CÉDER

COMPROMIS

ATTITUDES À RISQUE D’AUGMENTER L’ESCALADE

Empêcher votre enfant de s’exprimer.

Utiliser la menace

Faire son procès

Le rabaisser ou ridiculiser son point de vue

Essayer de le convaincre à tout prix

Augmenter les conséquences en cours de chicane

Demeurer dans l’interaction trop longtemps

Le retenir de partir ou le suivre lorsqu’il essaie de s’éloigner

Lui prêter de mauvaises intentions dès de début

DÉSAMORCER OU ÉVITER UNE CONFRONTATION

AIDER LE JEUNE:

� Reconnaître son émotion. « Je vois que ça te fâche… »

� Lui proposer une alternative « Que dirais-tu si on s’enparlait ce soir? »

� Lui permettre de ventiler, d’exprimer sa version des faitsjusqu’au bout avant de réagir, même si ça semblefarfelu ou irrespectueux…

� Lui permettre de s’éloigner si vous voyez qu’il se contrôledifficilement.

� Éviter de le retenir, de le suivre ou le relancer s’il décide des’éloigner.

� Lui donner le temps de se calmer avant de reprendre ladiscussion.

DÉSAMORCER OU ÉVITER UNE CONFRONTATION

POUR VOUS AIDER:

� Reconnaître votre émotion «Je suis en train de me fâcher… »

� Cesser la discussion dès que le ton commence à monter. Vouspourrez toujours la reprendre plus tard.

� Quitter l’endroit de l’altercation. (Sortir prendre l’air, allerdans un endroit tranquille (ex: votre chambre), etc.)

� Vous accorder le temps nécessaire pour vous calmer avantde reprendre la discussion.

� Vous donner le droit de déléguer ou de demander de l’aide aubesoin!

POUR VOUS AIDER:

� Reconnaître votre émotion «Je suis en train de me fâcher… »

� Cesser la discussion dès que le ton commence à monter. Vouspourrez toujours la reprendre plus tard.

� Quitter l’endroit de l’altercation. (Sortir prendre l’air, allerdans un endroit tranquille (ex: votre chambre), etc.)

� Vous accorder le temps nécessaire pour vous calmer avantde reprendre la discussion.

� Vous donner le droit de déléguer ou de demander de l’aide aubesoin!

DÉSAMORCER OU ÉVITER UNE CONFRONTATION

POUR VOUS AIDER:

� «Je suis tellement fâché que je préfère qu’on arrête d’en parlerpour l’instant. On en reparlera plus tard.»

� «Je préfère ne rien ajouter à cela pour l’instant, je suis trop encolère!»

� «Il y aura une conséquence à ton comportement mais, pourl’instant, je suis trop en colère pour en déterminer une. Je vaisme calmer et on en reparlera plus tard!»

POUR VOUS AIDER:

� «Je suis tellement fâché que je préfère qu’on arrête d’en parlerpour l’instant. On en reparlera plus tard.»

� «Je préfère ne rien ajouter à cela pour l’instant, je suis trop encolère!»

� «Il y aura une conséquence à ton comportement mais, pourl’instant, je suis trop en colère pour en déterminer une. Je vaisme calmer et on en reparlera plus tard!»

♦ Respirer profondément et se concentrer sur sa respiration

♦ En partant de 10 ou 20, selon les besoins, compter à l’envers dans sa tête avant de répliquer

♦ Reculer d’un pas (ou de plusieurs) pour vous éloigner physiquement de la situation

♦ Énumérer une liste d’objets X dans sa tête. Ex : Liste de couleurs, alphabet, jeu de cartes, etc.

♦ Autres :______________________

♦ S’asperger le visage d’eau froide♦ Prendre un bain/douche♦ Aller prendre l’air♦ Aller courir ou marcher♦ Utiliser des techniques de

relaxation ♦ Écrire ce que vous avez sur le cœur

et déchirer/brûler la feuille de papier

♦ Crier/frapper dans un oreiller♦ Faire de l’exercice physique ♦ Écouter de la musique qui nous fait

du bien ou la télévision♦ Parler à une personne de confiance♦ Autres:_______________________

MOYENS POUR NE PAS EXPLOSER…

EXPRIMER SON DÉSACCORD…

Approche traditionnelle Approche centrée sur les relations

«Arrête de crier ! »

«Écoute-moi donc quand je parle!»

«Ne fais pas ça, tu n’as pas le droit!»

«Je n’aime pas ça quand tu cries de cettefaçon »

«Ça me fâche quand tu ne m’écoutes pas»

«J’ai peur de ce qui pourrait t’arriverquand tu agis ainsi.»

Objectifs: � Exprimer à votre enfant ce qui vous affecte dans son comportement� Permettre de vous humaniser� Faire prendre conscience à votre enfant des impacts (positifs et négatifs) de

ses gestes

LE MESSAGE «JE»

1. Nommer l’inconfort2. Nommer le comportement

qui dérange3. Nommer la perception que

vous avez de ce comportement

4. Nommer une attente ou une demande face à ce comportement

LES EXPLOSIONS ONT DES CONSÉQUENCES…

Il y a des choses qu’on ne peut jamais réparer une fois que c’est brisé…

RÉFÉRENCES � L’Avenue, justice alternative: www.lavenuejusticelaternative.com� BEAULIEU, Danie. Techniques d’impacts pour grandir: Illustrations pour développer

l’intelligence émotionnelle des adolescents, Les éditions Québécor, 2010.� BEAULIEU, Danie. 100 trucs pour améliorer vos relations avec les ados, Les éditions

Québécor, 2010.� BEAULIEU, Danie. 100 trucs pour améliorer vos relations avec les enfants, Les

éditions Québécor, 2010.� CENTRE JEUNESSE DE MONTRÉAL- INSTITUT UNIVERSITAIRE. « Programme

alternatives à la violence », mars 2009.� DIAPASON JEUNESSE. Groupe de parents d’adolescents. Soirée 5. 2004.� Éducaloi www.educaloi.qc.ca� ELAGRAVE, Michel. Ados: Mode d’emploi, Collection CHU Sainte-Justine pour les

parents, 2005.� FORTIN, S. « Thermomètre de la colère. Montréal», Centre hospitalier universitaire

mère-enfant de Sainte-Justine (CHU Sainte-Justine), 2003.� LARIVEY, Michelle. « La puissance des émotions », Les Éditions de l’Homme, 2010.� MERCIER, Carole-Anne. « Un petit coup de main pour ne pas en venir aux poings :

La colère, l’agressivité et la violence chez les jeunes», Saviez-vous que… Des réponsesà vos préoccupations cliniques, Centres jeunesse de Québec – Institut Universitaire,septembre 2008, p. 4.

� MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, La colère etl’agressivité, 2009.

� MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DES LOISIRS ET DU SPORT. Laviolence à l’école : ça vaut le coup d’agir ensemble!, document de travail,2010.

� LEROUX-BOUDREAULT, Ariane et POIRIER, Nathalie. Les enfantsvolcans, éditions Midi Trente, 2013.

� LOHMANN, Raychelle C. Journal pour gérer ma colère, collections ZéroZizanie, Éditions LBL, 2009.

� RIVARD, Marie-Josée. « Les limites de la colère » dans PsychologieQuébec, volume 30, no 1, janvier 2013. P. 34 à 41.

� VERDICK, Elizabeth et LISOVSKIS, Marjorie. Grrr! Commentsurmonter ta colère? Éditions Midi Trente, 2011.

� REGROUPEMENT DES ORGANISMES DE JUSTICE ALTERNATIVEDU QUÉBEC, « Guide d’animation de la formation de base » Passerelles,programme collectif de gestion des conflits en milieu scolaire, juin 2012.

RÉFÉRENCES (SUITE)

RÉFÉRENCES (SUITE)

� Boivert, J., Beaudry, M. S’affirmer et communiquer. Éditions de l’homme. 2012. 328p.

� Chaloult, L et coll. L’affirmation de soi. 2014.

� Duclos, G. Laporte, D. et Ross, J. L’estime de soi de nos adolescents. Guide pratique à l’intention des parents. Montréal. Hôpital Ste-Justine.1995.

� Legendre, R. Dictionnaire actuel de l’éducation. Montréal. Ed Guérin. 1993.

� Laporte, D. et Sévigny, L. Comment développer l’estime de soi de nos enfants. Montréal. Hôpital Ste-Justine. 1998.

� Paradis, R. et Vitaro, F. Définition et mesure du concept de soi chez les enfants en difficulté d’adaptation sociale: une recension critique des écrits. Revue canadienne de psychoéducation, 21(2), p. 93-114.