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Dans un de trois de la vo des mé En situ essenti E 0. Absen 1. Idées d Pr Le So 2. Idées La plu 3. Idées La ne 4. Seule La A c de 5. Proje La mé 6. Proje La 7. Projet La La l’a La 8. Tenta La L’in sa X. Décès 1. Cr 2. Ev 3. Fa 4. Ne 5. N’ En l’o L’urgence d ne situation d’u s facteurs : le r olonté de se do édicaments ou uation d’urgenc iels de la négoc Evaluation d nce d’idées su diffuses ou pr remière étape a s idées peuven ont inclus dans plusieurs fois a personne pen us sérieusemen suicidaires fr a personne pen e serais pas mie e solution ou s a planification d ce stade, la per es éléments de et de passer à a personne a l édicaments… et de passer à a personne a le t de tentative a panification es a personne à pr arme à feu est c a personne men ative en cours a personne a m ntervention m auvegarde. s réer et entret valuer l’urgenc aire verbaliser e jamais utilise ’intervenez ph n cas de prés ordre. d’un passage urgence, il est risque suicidai onner la mort. L d’utiliser une a ce absolue, de ciation sont à g du degré d’u uicidaires actu récises mais n avec apparition nt être diffuses cette étape les s par semaine nse au suicide p nt, mais n’est p réquentes. Qu nse au suicide r mieux mort» scénario princ du suicide est e rsonne mentio la planification l’acte avec un le projet de pa l’acte dans le projet de pass e immédiate st complète et rojet de passe chargée. nace de l’utilise s ou débutée e mis en œuvre so médicale est né tenir une relat nce qui justifie r les émotions er des propos hysiquement q sence d’une ar e à l’acte nécessaire d’é ire, qui est la c L’urgence du p arme à feu ? evant une pers garder en tête urgence suic uelle non ruminées n d’idéation sui s (idée de mort s personnes qu e. Suicide env plusieurs fois p pas encore obs uotidiennes. régulièrement cipale – Scéna en cours. La pe onne qu’elle ne n (où ?, quand n délai supéri passer à l’acte es prochaines ser à l’acte dan imminente. er à l’acte imm er pendant l’ap et stoppée on plan d’action écessaire, soit tion de confia era les éventu s de la person s culpabilisan qu’en dernier rme (blanche évaluer le poten combinaison de passage à l’acte sonne qui est : cidaire s. «Flashs» icidaire. t, de sommeil p ui ont déjà pen visagé comme par semaine. L sédée quotidien : «Chaque jour ario complet ersonne a décid sait pas exacte ? comment ? a ieur à 48h e au-delà de 4 s 48h ns les 48 heure médiatement. Le ppel ou immédia n : les médicam t pour une pr ance (ne mente uelles actions m nne (il y’a toujo nts ou moralisa recours : SI l ou à feu) ou ntiel suicidaire es plusieurs fac e, et la létalité sur le point d : plus ou moins lo nsé au suicide p une possibilit La personne y p nnement par c ur, je me réveill dé que le suicid ement commen avec quoi ?) 48 heures. La es. L’endroit où e moyen reten atement après ments ont été a rise en charge ez jamais, ne pr mises en plac ours une soluti ateurs (« Pen le sauveteur n tout autre ob e, il résulte d’un cteurs et l’état du moyen : par de passer à l’ ong, accident m par le passé, m té pense, se pose ce choix. lle en me deman de est la seule nt elle va le fai personne pos ù la situation pr nu est immédia s avoir raccroc absorbés, la mu e médicale com romettez jama ce (agir verbale ion, le process nsez à vos enfa ne se met pas bjet dangereu ne combinaison t de chemineme rle-t-il de pren ’acte, trois po mortel) ou plus même si elles n’ e des questions andant si cela v solution ou qu ire, ni à quel m ssède le moye récise est conn atement dispon ché. utilation s’est e mpensatoire s On se retrou ais quelque cho ement ou phys sus n’est pas ir ants») s en danger ET ux, intervenez n ent ndre oints s précise mais ’y pensent plus s, envisage cet vaut la peine de ue c’est l’option moment elle va l en ou en a fac nue. Le moyen nible : les méd effectuée, l’arm soit pour une ouve le mois pro ose que vous n’ siquement ?) rréversible) T qu’il est SÛR z conjointeme généralement s a ctuellement. tte possibili té d de continuer à v n pri ncipale. le faire. Il manq cilement l’accè est à dispositi dicaments sont me a feu a été u privation de l ochain pour… le ’êtes pas sur d R de son actio ent avec les fo t brève. . de plus en vivre, si je que un ou ès : arme, ion. t déballés, utilisé. liberté de les noyades de tenir) on orces de Après un n un sujet ave dans ce do gérer un ar algorithmes plus de feel là où des médicales, L’idée de ce du «fil à ret Mais où les s’ouvrent. C démarche h thérapeutiq d’urgence q Epidé Autant pos suicide fera décès chez une moyen plus touché population est démont numéro complè vec un thème m omaine aussi, d arrêt cardio-re es, des recomm ling car il ne se s «constantes» , il est plus diffi ce numéro est d etordre» aux éq es pragmatique Car toute inter holistique se m ique, permetten que peut génér émiologie et ser le cadre c ait plus de mor z les 15-29 ans nne d’un mort és. Chaque ann adulte déclare tré dans les ra Suivez lètement physio moins techniqu des situations respiratoire peu mandations… la sera pas possib s» permettent fficile d’avoir re d’évoquer une s équipes interven es diront qu’il ervention de se met en place. L nt de voir émer rer une crise su t santé publ conceptuel rap rts que les gue s. Chaque anné toutes les 40 nées, 9 000 dé e avoir pensé à aisons qui ont p La Le nous sur Face iopathologique, que et plus psyc s d’urgences pe eut se faire ave la souffrance p ible de tout norm t de chiffrer c recours au scor situation qui do enantes. l suffit de «séd ecours, toute p Les retours d’ erger des recom suicidaire. lique pidement : selo erres et les hom ée, c’est enviro secondes. La écès sont décl à se suicider a poussé les pers Source Source a crise e Scope : le b ebook : Le Scop e, nous avons c ychologique. En peuvent surveni vec des gestes, psychique dem rmer. Dès le dé certaines don ring en psychia donne généralem édater et d’imm prise en charg d’expérience, tr mmandations, d on l’organisatio micides réunis on 800 000 pe France arrive larés suite à u au cours de l’an sonnes à se do : https://www.who : https://www.sant e suici bulletin de l’ur pe – Cont choisi n effet nir. Si s, des mande épart, nnées iatrie. ement mobiliser dans ge hospitalière très riches si il des facteurs de on mondiale d s. Il est la deuxi ersonnes dans e dans les pays un suicide. De p nnée. L’impact onner la mort. o.int/fr tepubliquefrance.fr/ idaire rgence – tact : bulletin.le s un matelas c e commence dè ils sont partagé de risques et à t de la santé, le ième cause de le monde, soit s d’Europe les plus, 5% de la profession nel / e.scope@gmail. coquille», les d dès qu’il y’ a une gés, et ce quell terme de pouvo l Moyens les Source : h .com débats éthique ne victime et c’ elle que soit l’iss voir se positionn s plus fréquem personnes s http://www.psyfontev ues et p hilosoph c’est pour elle q ssue de la dém nner da ns la sit mment utilisés c suicidées vraud.free.fr/cours44 phiques qu’une marche ituation chez les 4

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Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison de trois facteursde la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyendes médicaments ou d’utiliser une arme à feuEn situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points essentiels de la négociation sont à garder en tête

Evaluation du degré d’

0. Absence d’idées suicidaires actuelle

1. Idées diffuses ou précises mais non ruminées. «Flashs» Première étape avec apparition d’idéation suicidaire.

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilité La personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

plus sérieusement, mais

3. Idées suicidaires fréquentes. Quotidiennes. La personne pense au suicide régulièrement

ne serais

4. Seule solution ou scénario principale La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option pri

A ce stade, la personne mentionne qu’elle des éléments de la planification (où

5. Projet de passer à l’acte avec un délai supérieur à 48h La personne a le

médicaments…

6. Projet de passer à l’acte dans les prochaines 48h La personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit o

7. Projet de tentative immédiate La panification est complète et imminente.

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponiblel’arme à feu est chargée. La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

8. Tentative en cours ou débutée et stoppée La personne a mis en œuvre son plan d’action

L’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge sauvegarde.

X. Décès

1. Créer et entretenir une relation de confiance2. Evaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en place3. Faire verbaliser les émotions de la personne4. Ne jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs 5. N’intervenez physiquement qu’en

En cas de présence d’une arme (blanche ou à fel’ordre.

L’urgence d’un passage à l’acte

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison de trois facteurs : le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyendes médicaments ou d’utiliser une arme à feuEn situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points essentiels de la négociation sont à garder en tête

Evaluation du degré d’

Absence d’idées suicidaires actuelle

Idées diffuses ou précises mais non ruminées. «Flashs»Première étape avec apparition d’idéation suicidaire. Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilitéLa personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibiliplus sérieusement, mais

Idées suicidaires fréquentes. Quotidiennes.La personne pense au suicide régulièrementne serais pas mieux mort

Seule solution ou scénario principale La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option priA ce stade, la personne mentionne qu’elle des éléments de la planification (où

Projet de passer à l’acte avec un délai supérieur à 48hLa personne a le médicaments…

Projet de passer à l’acte dans les prochaines 48hLa personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit o

7. Projet de tentative immédiateLa panification est complète et imminente. La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponiblel’arme à feu est chargée. La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

ntative en cours ou débutée et stoppéeLa personne a mis en œuvre son plan d’actionL’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge sauvegarde.

X. Décès

Créer et entretenir une relation de confianceEvaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en placeFaire verbaliser les émotions de la personneNe jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs N’intervenez physiquement qu’en En cas de présence d’une arme (blanche ou à fel’ordre.

L’urgence d’un passage à l’acte

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyendes médicaments ou d’utiliser une arme à feuEn situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points essentiels de la négociation sont à garder en tête

Evaluation du degré d’urgence

Absence d’idées suicidaires actuelle

Idées diffuses ou précises mais non ruminées. «Flashs»Première étape avec apparition d’idéation suicidaire. Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilitéLa personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibiliplus sérieusement, mais n’est pas encore obsédée quotidiennement par ce choix.

Idées suicidaires fréquentes. Quotidiennes.La personne pense au suicide régulièrement

pas mieux mort»

Seule solution ou scénario principale La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option priA ce stade, la personne mentionne qu’elle des éléments de la planification (où

Projet de passer à l’acte avec un délai supérieur à 48hLa personne a le projet de passer à l’acte au

Projet de passer à l’acte dans les prochaines 48hLa personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit o

7. Projet de tentative immédiate La panification est complète et imminente. La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponiblel’arme à feu est chargée. La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

ntative en cours ou débutée et stoppéeLa personne a mis en œuvre son plan d’actionL’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge

Créer et entretenir une relation de confianceEvaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en placeFaire verbaliser les émotions de la personneNe jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs N’intervenez physiquement qu’en En cas de présence d’une arme (blanche ou à fe

L’urgence d’un passage à l’acte

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyendes médicaments ou d’utiliser une arme à feu ? En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points essentiels de la négociation sont à garder en tête

urgence suicidaire

Absence d’idées suicidaires actuelle

Idées diffuses ou précises mais non ruminées. «Flashs»Première étape avec apparition d’idéation suicidaire. Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilitéLa personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

n’est pas encore obsédée quotidiennement par ce choix.

Idées suicidaires fréquentes. Quotidiennes. La personne pense au suicide régulièrement

Seule solution ou scénario principale – Scénario completLa planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option priA ce stade, la personne mentionne qu’elle ne sait pas exactement comment elle va le faire, ni à quel moment elle va le faire. Il manque un ou des éléments de la planification (où ?, quand

Projet de passer à l’acte avec un délai supérieur à 48hprojet de passer à l’acte au

Projet de passer à l’acte dans les prochaines 48hLa personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit o

La panification est complète et imminente. La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible

La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

ntative en cours ou débutée et stoppée La personne a mis en œuvre son plan d’actionL’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge

Créer et entretenir une relation de confianceEvaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en placeFaire verbaliser les émotions de la personneNe jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs N’intervenez physiquement qu’en dernier recoursEn cas de présence d’une arme (blanche ou à fe

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyen

En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points :

suicidaire

Idées diffuses ou précises mais non ruminées. «Flashs» Première étape avec apparition d’idéation suicidaire. Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilitéLa personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

n’est pas encore obsédée quotidiennement par ce choix.

: «Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

Scénario complet La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option pri

ne sait pas exactement comment elle va le faire, ni Ă  quel moment elle va le faire. Il manque un ou ? comment ? avec quoi

Projet de passer à l’acte avec un délai supérieur à 48h projet de passer à l’acte au-delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

Projet de passer à l’acte dans les prochaines 48h La personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit o

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible

La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

La personne a mis en œuvre son plan d’action : les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.L’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge

Créer et entretenir une relation de confiance (ne mentez jamais, ne promettez jamais quelque chose que vous Evaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en placeFaire verbaliser les émotions de la personne (il y’a toujours une solution, le processus n’est pas irréversible)Ne jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs

dernier recours : SI le sauEn cas de présence d’une arme (blanche ou à feu) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyen

En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points

:

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilitéLa personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

n’est pas encore obsédée quotidiennement par ce choix.

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option pri

ne sait pas exactement comment elle va le faire, ni Ă  quel moment elle va le faire. Il manque un ou ? avec quoi ?)

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

La personne a le projet de passer à l’acte dans les 48 heures. L’endroit où la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible

La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.L’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge

(ne mentez jamais, ne promettez jamais quelque chose que vous Evaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en place

(il y’a toujours une solution, le processus n’est pas irréversible)Ne jamais utiliser des propos culpabilisants ou moralisateurs (« Pensez à vos enfants»)

SI le sauveteur ne se met pas en danger ET u) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

de la volonté de se donner la mort. L’urgence du passage à l’acte, et la létalité du moyen : parle

En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

2. Idées plusieurs fois par semaine. Suicide envisagé comme une possibilité La personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

n’est pas encore obsédée quotidiennement par ce choix.

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option prine sait pas exactement comment elle va le faire, ni à quel moment elle va le faire. Il manque un ou

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

ù la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible

La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.L’intervention médicale est nécessaire, soit pour une prise en charge médicale compensatoire soit pour une privation de liberté de

(ne mentez jamais, ne promettez jamais quelque chose que vous Evaluer l’urgence qui justifiera les éventuelles actions mises en place (agir verbalement ou physiquement

(il y’a toujours une solution, le processus n’est pas irréversible)Pensez à vos enfants»)

veteur ne se met pas en danger ET u) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

parle-t-il de prendre

En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

La personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option prine sait pas exactement comment elle va le faire, ni à quel moment elle va le faire. Il manque un ou

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

ù la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible

La personne menace de l’utiliser pendant l’appel ou immédiatement après avoir raccroché.

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.médicale compensatoire soit pour une privation de liberté de

On se retrouve le mois prochain pour… les noyades

(ne mentez jamais, ne promettez jamais quelque chose que vous (agir verbalement ou physiquement

(il y’a toujours une solution, le processus n’est pas irréversible)Pensez à vos enfants»)

veteur ne se met pas en danger ET u) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Dans une situation d’urgence, il est nécessaire d’évaluer le potentiel suicidaire, il résulte d’une combinaison le risque suicidaire, qui est la combinaison des plusieurs facteurs et l’état de cheminement

il de prendre

En situation d’urgence absolue, devant une personne qui est sur le point de passer à l’acte, trois points

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralemSont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus a

La personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibili

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option prine sait pas exactement comment elle va le faire, ni à quel moment elle va le faire. Il manque un ou

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

ù la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

La personne à projet de passer à l’acte immédiatement. Le moyen retenu est immédiatement disponible : les médicaments sont déballés,

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.médicale compensatoire soit pour une privation de liberté de

On se retrouve le mois prochain pour… les noyades

(ne mentez jamais, ne promettez jamais quelque chose que vous n’êtes pas sur de tenir)(agir verbalement ou physiquement ?)

(il y’a toujours une solution, le processus n’est pas irréversible)

veteur ne se met pas en danger ET qu’il est SÛR de son actionu) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Les idées peuvent être diffuses (idée de mort, de sommeil plus ou moins long, accident mortel) ou plus précise mais généralement brève. Sont inclus dans cette étape les personnes qui ont déjà pensé au suicide par le passé, même si elles n’y pensent plus actuellement.

La personne pense au suicide plusieurs fois par semaine. La personne y pense, se pose des questions, envisage cette possibilité de plus en

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

La planification du suicide est en cours. La personne a décidé que le suicide est la seule solution ou que c’est l’option principale. ne sait pas exactement comment elle va le faire, ni à quel moment elle va le faire. Il manque un ou

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès

ù la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

: les médicaments sont déballés,

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé.médicale compensatoire soit pour une privation de liberté de

On se retrouve le mois prochain pour… les noyades

n’êtes pas sur de tenir)

qu’il est SÛR de son actionu) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

ent brève. ctuellement.

té de plus en

«Chaque jour, je me réveille en me demandant si cela vaut la peine de continuer à vivre, si je

ne sait pas exactement comment elle va le faire, ni Ă  quel moment elle va le faire. Il manque un ou

delà de 48 heures. La personne possède le moyen ou en a facilement l’accès : arme,

ù la situation précise est connue. Le moyen est à disposition.

: les médicaments sont déballés,

: les médicaments ont été absorbés, la mutilation s’est effectuée, l’arme a feu a été utilisé. médicale compensatoire soit pour une privation de liberté de

On se retrouve le mois prochain pour… les noyades

n’êtes pas sur de tenir)

qu’il est SÛR de son action u) ou tout autre objet dangereux, intervenez conjointement avec les forces de

Après un numéro complètementun sujet avec dans ce domainegérer un arrêt cardioalgorithmes, des recommandations… la soplus de feeling là où des «constantes» permettent de chiffrer certaines données médicales, il L’idée de ce ndu «fil à retordreMais où les pragmatiques diront qu’il suffit de «sédater et d’immobiliser dans un matelas coquille», les débats éthiques et ps’ouvrent. Car toute intervendémarche holistique se met en place.thérapeutique, permettent de voir émerger des recommandations, des facteurs de risques et à terme de pouvoir se positionner dad’urgence que peut générer une crise suicidaire.

Epidémiologie et santé publique

Autant posersuicide ferait plus de morts que les guerres et les homicides réunis. Il est la deuxième cause de décès chez les 15une moyenne d’un moplus touchés. Chaque années, 9population adulte déclare avoir pensé à se suicider au cours de l’année. L’impact professionest démontré dans les raisons qui ont poussé les personnes à se donner la mort.

Après un numéro complètementun sujet avec un thème moins technique dans ce domaine aussi, des situations d’urgences peuvent survenir. Si gérer un arrêt cardio-respiratoire peut se faire algorithmes, des recommandations… la so

feeling car il ne sera pas possible de tout normer. Dès le départ, là où des «constantes» permettent de chiffrer certaines données médicales, il est plus difficile d’avoir recours auL’idée de ce numéro est d’évoquer une situation qui donne généralement

fil à retordre» aux équipes intervenantes. Mais où les pragmatiques diront qu’il suffit de «sédater et d’immobiliser dans un matelas coquille», les débats éthiques et ps’ouvrent. Car toute intervendémarche holistique se met en place.hérapeutique, permettent de voir émerger des recommandations, des facteurs de risques et à terme de pouvoir se positionner da

d’urgence que peut générer une crise suicidaire.

Epidémiologie et santé publique

Autant poser le cadre conceptuel rapidementsuicide ferait plus de morts que les guerres et les homicides réunis. Il est la deuxième cause de décès chez les 15-29 ans. Chaque année, c’est environ 800une moyenne d’un mort toutes les 40 secondes. La France arrive dans les pays d’Europe les plus touchés. Chaque années, 9population adulte déclare avoir pensé à se suicider au cours de l’année. L’impact professionest démontré dans les raisons qui ont poussé les personnes à se donner la mort.

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aussi, des situations d’urgences peuvent survenir. Si respiratoire peut se faire

algorithmes, des recommandations… la socar il ne sera pas possible de tout normer. Dès le départ,

là où des «constantes» permettent de chiffrer certaines données est plus difficile d’avoir recours au

est d’évoquer une situation qui donne généralement aux équipes intervenantes.

Mais où les pragmatiques diront qu’il suffit de «sédater et d’immobiliser dans un matelas coquille», les débats éthiques et ps’ouvrent. Car toute intervention de secours, toute prise en charge hospitalière commence dès qu’il y’démarche holistique se met en place. Les retours d’expérience, très riches si ils sont partagés, et ce quelle que soit l’issue de la démarche hérapeutique, permettent de voir émerger des recommandations, des facteurs de risques et à terme de pouvoir se positionner da

d’urgence que peut générer une crise suicidaire.

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selon l’organisation mondiale de la santé, le suicide ferait plus de morts que les guerres et les homicides réunis. Il est la deuxième cause de

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selon l’organisation mondiale de la santé, le suicide ferait plus de morts que les guerres et les homicides réunis. Il est la deuxième cause de

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à un suicide. De plus, 5% de la population adulte déclare avoir pensé à se suicider au cours de l’année. L’impact professionnel

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selon l’organisation mondiale de la santé, le suicide ferait plus de morts que les guerres et les homicides réunis. Il est la deuxième cause de

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Moyens les plus fréquemment utipersonnes suicidées

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Conceptualiser le suicide

Les chiffres parlent d’euxde santé publique. Etudier la l’acte suicidaire, suicide. Dchacunepouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciatcomportement impulsif (raptus suicidaire), progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en plus inévitable

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrsuicidaire peut se définir parcelle-ci se sent dans une impasse et est cocette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de criseidées suicidaires «exprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidairescommence à envisagcelle-ci. Cette idéemoins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaireLes tentatives de suicide sont de létalité variable maissoit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»l’a définit comme «se tuer

La prise en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions peuvent être proposées. partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

Conceptualiser le suicide

Les chiffres parlent d’euxde santé publique. Etudier la l’acte suicidaire, est une manière de renforcer les stratégiessuicide. Derrière le terme de crise suicidaire, se cachechacunes avec leur stratégie pour permettre à lpouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciatcomportement impulsif (raptus suicidaire), progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en plus inévitable : la mort

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrsuicidaire peut se définir par

ci se sent dans une impasse et est cocette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de criseidées suicidaires «elles correspondent à l'élaboexprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidairescommence à envisag

ci. Cette idée, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généralememoins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaireLes tentatives de suicide sont de létalité variable maissoit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»l’a définit comme «la fin de la vie, résultant directement se tuer».

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions peuvent être proposées. partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

Conceptualiser le suicide

Les chiffres parlent d’eux-mêmes, la problématique du suicide est un réel enjeu de santé publique. Etudier la mortalité, la morbidité et les causes a

est une manière de renforcer les stratégieserrière le terme de crise suicidaire, se cacheavec leur stratégie pour permettre à l

pouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciatcomportement impulsif (raptus suicidaire), progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en

la mort (ou le tché

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrsuicidaire peut se définir par : «une crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

ci se sent dans une impasse et est cocette personne comme le seul moyen, face Ă  sa souffrance et pour trouver une issue Ă  cet Ă©tat de crise

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, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généralememoins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaireLes tentatives de suicide sont de létalité variable maissoit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»

la fin de la vie, résultant directement

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions peuvent être proposées. Progressivement, les solutions seront abandonnéepartir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

Conceptualiser le suicide

mêmes, la problématique du suicide est un réel enjeu mortalité, la morbidité et les causes a

est une manière de renforcer les stratégieserrière le terme de crise suicidaire, se cacheavec leur stratégie pour permettre à la victime d’être aidée. Mais

pouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciatcomportement impulsif (raptus suicidaire), la crise suicidaire est généralement progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en

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La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrune crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

ci se sent dans une impasse et est confrontée à des idées noirescette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise

elles correspondent à l'élaboration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois exprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidaires

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moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaireLes tentatives de suicide sont de létalité variable maissoit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»

la fin de la vie, résultant directement

Source : http://eipas.org/images/crise_suicidaire.pdf

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions Progressivement, les solutions seront abandonnée

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

mêmes, la problématique du suicide est un réel enjeu mortalité, la morbidité et les causes a

est une manière de renforcer les stratégieserrière le terme de crise suicidaire, se cachent différentes étapes,

a victime d’être aidée. Maispouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciat

a crise suicidaire est généralement progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en

?... OK, ).

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrune crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

nfrontée à des idées noirescette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise

elles correspondent à l'élaboration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois exprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidaires

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de pl, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaireLes tentatives de suicide sont de létalité variable mais, peuvent se définir parsoit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»

la fin de la vie, résultant directement ou indirectement d'un acte positif ou négatif de la victime elle

http://eipas.org/images/crise_suicidaire.pdf

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions Progressivement, les solutions seront abandonnée

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

mêmes, la problématique du suicide est un réel enjeu mortalité, la morbidité et les causes associées à

est une manière de renforcer les stratégies de prévention du différentes étapes,

a victime d’être aidée. Mais, pour pouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de passage à l’acte dont l’issue est létale, sans signe annonciateurs et au

a crise suicidaire est généralement progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrune crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

nfrontée à des idées noires de plucette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois exprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidaires

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de pl, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidairepeuvent se définir par

soit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort»ou indirectement d'un acte positif ou négatif de la victime elle

http://eipas.org/images/crise_suicidaire.pdf

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions Progressivement, les solutions seront abandonnées au profit d’une pensée grandissante qu’il se

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

mêmes, la problématique du suicide est un réel enjeu ssociées à

de prévention du différentes étapes,

pour pouvoir aider quelqu’un, il faut accepter son comportement suicidaire et cela exige une compréhension de son état psychique. Même si il existe certains cas de

eurs et au a crise suicidaire est généralement

progressive et découle d’un cheminement pessimiste, dont l’issue est de plus en

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrune crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

de plus en plus envahissantes ; le suicide apparaît alors de plus en plus à cette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois exprimées sous la forme de menaces suicidaires. On parle de sujets suicidaires». La personne, faute d’avoir trouvé de

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de pl, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidairepeuvent se définir par «tout acte par le

soit de manière objective, soit de manière symbolique et n'aboutissant pas à la mort». In fineou indirectement d'un acte positif ou négatif de la victime elle

http://eipas.org/images/crise_suicidaire.pdf

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions au profit d’une pensée grandissante qu’il se

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendrune crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

s en plus envahissantes ; le suicide apparaît alors de plus en plus à cette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois ». La personne, faute d’avoir trouvé de

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de pl, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaire«tout acte par lequel un individu met consciemment sa vie en jeu,

In fine, le suicide est une mort volontaire. Dürkheim (1897) ou indirectement d'un acte positif ou négatif de la victime elle

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions au profit d’une pensée grandissante qu’il se

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

La pensée suicidaire évolue donc et atteint un stade crise, où la question d’une mort éventuelle est à prendre en considération. La crise une crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

s en plus envahissantes ; le suicide apparaît alors de plus en plus à cette personne comme le seul moyen, face à sa souffrance et pour trouver une issue à cet état de crise». Arrive dans un premier temps les

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois ». La personne, faute d’avoir trouvé de

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de pl, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidairequel un individu met consciemment sa vie en jeu,

le suicide est une mort volontaire. Dürkheim (1897) ou indirectement d'un acte positif ou négatif de la victime elle-

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions au profit d’une pensée grandissante qu’il se

partir d’un certain stade, le recours à l’hospitalisation et à un traitement médicamenteux et quasiment inévitable.

e en considération. La crise une crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

s en plus envahissantes ; le suicide apparaît alors de plus en plus à Arrive dans un premier temps les

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois ». La personne, faute d’avoir trouvé des solutions existantes,

er la mort comme l’une d’elles. Cette idée va grandir progressivement, et prendre de plus en plus de place dans l’esprit de , de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généraleme

moins à risques, vont commencer à survenir. Certains facteurs de risques peuvent favoriser l’arrivée de l’idéation suicidaire : tableau ciquel un individu met consciemment sa vie en jeu,

le suicide est une mort volontaire. DĂĽrkheim (1897) -mĂŞme, qui sait qu'elle va

se en charge repose sur le dépistage précoce des idées suicidaires. Plus on est loin du passage à l’acte, plus des solutions alternatives au profit d’une pensée grandissante qu’il sera difficile de contrer.

e en considération. La crise une crise psychique dont le risque majeur est le suicide. Il s'agit d'un moment dans la vie d'une personne, où

s en plus envahissantes ; le suicide apparaît alors de plus en plus à Arrive dans un premier temps les

ration mentale consciente d'un désir de mort, qu'il soit actif ou passif. Ces idées sont parfois solutions existantes, ace dans l’esprit de

, de plus en plus importante va finir par obséder l’esprit de la personne. Des conduites suicidaires, généralement plus ou : tableau ci-contre.

quel un individu met consciemment sa vie en jeu, le suicide est une mort volontaire. DĂĽrkheim (1897)

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Evaluation du potentiel suicidaire

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Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres. Ce tableau pcatégories eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être influencés par les traitements. Les modifiablespotentialiser d’autres.

Evaluation du potentiel suicidaire

1 Homme2 Age compris entre 30 et 59 ans ou de plus de 75 ans3 Antécédent personnels de tentative de suicide4 Désespoir5 Troubles dépressifs non 6 Troubles bipolaires7 Troubles de la personnalité8 Schizophrénie et troubles apparentés9 Troubles anxieux10 Dépendance11 Anorexie mentale12 Mauvaise estime de soi13 Problème de santé physique

14 Antécédent de tentative de suicide chez les parents15 Antécédent de suicide chez les parents16 Maltraitance physique, psychologique ou sexuelle17 Abandon pendant l’enfance18 Divorce ou mésentente des parents19 Relations 20 Problème de santé mentale chez les parents21 Dépendances des parents à l’alcool et/ou aux drogues

22 Conflit avec une ou des personnes 23 Séparation avec un membre de sa famille24 Séparation avec une relation amicale ou amoureuse25 Deuil récent d’un membre de la famille26 Deuil récent d’une relation amicale ou amoureuse27 Deuil ou séparation d’un 28 Difficultés économiques persistantes29 Habitat en zone rurale30 Victimisation, harcèlement moral31 Isolement social ou affectif32 Endeuillé(e) par un suicide33 Contexte de contagion de suicide34 Problème 35 Placement en institution36 Difficultés scolaires ou professionnelles37 Difficultés avec la loi.38 Antécédent de séjour en administration pénitentiaire39 Antécédent de passage prolongé en unité psychiatrique40 Isolement psychosocial

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres. Ce tableau présente 40 facteurs de risques répartis en trois familles

: Les facteurs primaireseux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être influencés par les traitements. Les modifiables par une prise en charge. potentialiser d’autres.

Evaluation du potentiel suicidaire

Homme Age compris entre 30 et 59 ans ou de plus de 75 ansAntécédent personnels de tentative de suicideDésespoir Troubles dépressifs non Troubles bipolaires Troubles de la personnalitéSchizophrénie et troubles apparentésTroubles anxieux Dépendance Anorexie mentale Mauvaise estime de soiProblème de santé physique

Antécédent de tentative de suicide chez les parentsAntécédent de suicide chez les parentsMaltraitance physique, psychologique ou sexuelleAbandon pendant l’enfanceDivorce ou mésentente des parentsRelations conflictuelles avec les parentsProblème de santé mentale chez les parentsDépendances des parents à l’alcool et/ou aux drogues

Conflit avec une ou des personnes Séparation avec un membre de sa familleSéparation avec une relation amicale ou amoureuseDeuil récent d’un membre de la familleDeuil récent d’une relation amicale ou amoureuseDeuil ou séparation d’un Difficultés économiques persistantesHabitat en zone ruraleVictimisation, harcèlement moralIsolement social ou affectifEndeuillé(e) par un suicideContexte de contagion de suicideProblème d’intégration socialePlacement en institutionDifficultés scolaires ou professionnellesDifficultés avec la loi.Antécédent de séjour en administration pénitentiaireAntécédent de passage prolongé en unité psychiatriqueIsolement psychosocial

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres.

résente 40 facteurs de risques répartis en trois famillesfacteurs primaires qui peuvent s’additionner et interagir entre

eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être influencés par les traitements. Les

par une prise en charge.

Evaluation du potentiel suicidaire

Age compris entre 30 et 59 ans ou de plus de 75 ansAntécédent personnels de tentative de suicide

Troubles dépressifs non bipolaires

Troubles de la personnalité Schizophrénie et troubles apparentés

Mauvaise estime de soi Problème de santé physique

Antécédent de tentative de suicide chez les parentsAntécédent de suicide chez les parentsMaltraitance physique, psychologique ou sexuelleAbandon pendant l’enfance Divorce ou mésentente des parents

conflictuelles avec les parentsProblème de santé mentale chez les parentsDépendances des parents à l’alcool et/ou aux drogues

Conflit avec une ou des personnes importantes pour le sujetSéparation avec un membre de sa familleSéparation avec une relation amicale ou amoureuseDeuil récent d’un membre de la familleDeuil récent d’une relation amicale ou amoureuseDeuil ou séparation d’un animal de compagnieDifficultés économiques persistantesHabitat en zone rurale Victimisation, harcèlement moral Isolement social ou affectif Endeuillé(e) par un suicide Contexte de contagion de suicide

d’intégration sociale Placement en institution Difficultés scolaires ou professionnellesDifficultés avec la loi. Antécédent de séjour en administration pénitentiaireAntécédent de passage prolongé en unité psychiatriqueIsolement psychosocial

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres.

résente 40 facteurs de risques répartis en trois famillesqui peuvent s’additionner et interagir entre

eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être influencés par les traitements. Les facteurs secondaires

par une prise en charge. Les facteurs tertiaires

Age compris entre 30 et 59 ans ou de plus de 75 ansAntécédent personnels de tentative de suicide

Schizophrénie et troubles apparentés

Antécédent de tentative de suicide chez les parentsAntécédent de suicide chez les parents Maltraitance physique, psychologique ou sexuelle

Divorce ou mésentente des parents conflictuelles avec les parents

Problème de santé mentale chez les parents Dépendances des parents à l’alcool et/ou aux drogues

Conflit avec une ou des personnes importantes pour le sujetSéparation avec un membre de sa famille Séparation avec une relation amicale ou amoureuseDeuil récent d’un membre de la famille Deuil récent d’une relation amicale ou amoureuse

animal de compagnie Difficultés économiques persistantes

Difficultés scolaires ou professionnelles

Antécédent de séjour en administration pénitentiaireAntécédent de passage prolongé en unité psychiatrique

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres.

résente 40 facteurs de risques répartis en trois famillesqui peuvent s’additionner et interagir entre

eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être secondaires sont faiblement

facteurs tertiaires

Age compris entre 30 et 59 ans ou de plus de 75 ans

Antécédent de tentative de suicide chez les parents

Dépendances des parents à l’alcool et/ou aux drogues

importantes pour le sujet

SĂ©paration avec une relation amicale ou amoureuse

Deuil récent d’une relation amicale ou amoureuse

Antécédent de séjour en administration pénitentiaire Antécédent de passage prolongé en unité psychiatrique

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres.

résente 40 facteurs de risques répartis en trois familles et en trois qui peuvent s’additionner et interagir entre

eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être sont faiblement

facteurs tertiaires peuvent en

Le suicide est un phénomène multifactoriel et complexe, pour lequel une cause précise ne peut être définie, les différents facteurs interagissant avec les autres.

et en trois qui peuvent s’additionner et interagir entre

eux, ont une valeur d’alerte importante au niveau individuel et peuvent être sont faiblement

peuvent en

Trois idées reçues sur le suicide

«C’était son choix de se suicider»Le geste suicidaire résulte d’un choix

On entend souvent dire que le geste de l’individu, que c’est lui, ou elle, qui décide de mettre fin à sa vie. Il est toujours difficile d’aborder la question du choix parce qu’elle vient heurter la notion de liberté fondamentale. Par le biais du suicide, l’individu nerecherche pas nécessairement la mort, mais une manière de mettre fin à la souffrance qui a atteint un seuil insupportable. Pour l’individu qui croit avoir épuisé toutes ses ressources, le recours au suicide peut sembler la seule solution à une douleur devpas que le suicide soit réellement la seule solution qui lui reste, mais probablement la seule que l’individu en souffrance perçoit et à laquelle il porte de plus en plus attention.

«Il fait ça pour se donner en spectacleLe geste suicidaire pour attirer l’attention

Souvent, on peut penser ou croire que les personnes suicidaires ne sont que manipulatrices. La réalité affective et émotionnelle du geste suicidaire est plus complexe. Les personnes essayent avant tout de diminuer leur tension. En cas de troubles de la perobtenir des solutions de la part de leur entourage ou des intervenants, quitte à utiliser la perspective de leur suicide pour avoir plus d’influence. Dans ces situations, une consultation spécialisée doit être envisagée.ont un taux de suicides plus élevé. Une dimi«chantage au suicideprécède le suicide.

«Si elle en parle c’est qu’elle ne le fera pas»Ceux qui veulent vraiment mourir le font dans leur coin

La majorité des personnes qui tentent de se suicider en parlent dans les mois qui précèdent. Il faut prendre au sérieux tout signe d’alerte de ce risque de passage à l’acte. Le suicide est en réalité un «non choix» de quelqu’un qui veut arrêter de souffrir. Généralement, le passage à l’acte est l’aboutissement d’une rimportante. Pendant cette période, de plus en plus clairde mettre fin à ses jours.

Trois idées reçues sur le suicidePar J.L. Terra

«C’était son choix de se suicider»Le geste suicidaire résulte d’un choix

On entend souvent dire que le geste de l’individu, que c’est lui, ou elle, qui décide de mettre fin à sa vie. Il est toujours difficile d’aborder la question du choix parce qu’elle vient heurter la notion de liberté fondamentale. Par le biais du suicide, l’individu nerecherche pas nécessairement la mort, mais une manière de mettre fin à la souffrance qui a atteint un seuil insupportable. Pour l’individu qui croit avoir épuisé toutes ses ressources, le recours au suicide peut sembler la seule solution à une douleur devpas que le suicide soit réellement la seule solution qui lui reste, mais probablement la seule que l’individu en souffrance perçoit et à laquelle il porte de plus en plus

Il fait ça pour se donner en spectacleLe geste suicidaire pour attirer l’attention

Souvent, on peut penser ou croire que les personnes suicidaires ne sont que manipulatrices. La réalité affective et émotionnelle du geste suicidaire est plus complexe. Les personnes essayent avant tout de diminuer leur tension. En cas de troubles de la perobtenir des solutions de la part de leur entourage ou des intervenants, quitte à utiliser la perspective de leur suicide pour avoir plus d’influence. Dans ces situations, une consultation spécialisée doit être envisagée.ont un taux de suicides plus élevé. Une dimi«chantage au suicide» marque souvent la période qui précède le suicide.

Si elle en parle c’est qu’elle ne le fera pas»Ceux qui veulent vraiment mourir le font dans leur coin

La majorité des personnes qui tentent de se suicider en dans les mois qui précèdent. Il faut prendre au

sérieux tout signe d’alerte de ce risque de passage à l’acte. Le suicide est en réalité un «non choix» de quelqu’un qui veut arrêter de souffrir. Généralement, le passage à l’acte est l’aboutissement d’une rimportante. Pendant cette période, de plus en plus clairs de sa détresse et de sa détermination de mettre fin à ses jours.

Trois idées reçues sur le suicidePar J.L. Terra : www.hcsp.fr

«C’était son choix de se suicider»Le geste suicidaire résulte d’un choix

On entend souvent dire que le geste suicidaire est le choix de l’individu, que c’est lui, ou elle, qui décide de mettre fin à sa vie. Il est toujours difficile d’aborder la question du choix parce qu’elle vient heurter la notion de liberté fondamentale. Par le biais du suicide, l’individu nerecherche pas nécessairement la mort, mais une manière de mettre fin à la souffrance qui a atteint un seuil insupportable. Pour l’individu qui croit avoir épuisé toutes ses ressources, le recours au suicide peut sembler la seule solution à une douleur devenue accablante. En fait, ce n’est pas que le suicide soit réellement la seule solution qui lui reste, mais probablement la seule que l’individu en souffrance perçoit et à laquelle il porte de plus en plus

Il fait ça pour se donner en spectacleLe geste suicidaire pour attirer l’attention

Souvent, on peut penser ou croire que les personnes suicidaires ne sont que manipulatrices. La réalité affective et émotionnelle du geste suicidaire est plus complexe. Les personnes essayent avant tout de diminuer leur tension. En cas de troubles de la personnalité, elles peuvent chercher à obtenir des solutions de la part de leur entourage ou des intervenants, quitte à utiliser la perspective de leur suicide pour avoir plus d’influence. Dans ces situations, une consultation spécialisée doit être envisagée.ont un taux de suicides plus élevé. Une dimi

» marque souvent la période qui

Si elle en parle c’est qu’elle ne le fera pas»Ceux qui veulent vraiment mourir le font dans leur coin

La majorité des personnes qui tentent de se suicider en dans les mois qui précèdent. Il faut prendre au

sérieux tout signe d’alerte de ce risque de passage à l’acte. Le suicide est en réalité un «non choix» de quelqu’un qui veut arrêter de souffrir. Généralement, le passage à l’acte est l’aboutissement d’une rumination de plus en plus importante. Pendant cette période, apparaissent

de sa détresse et de sa détermination de mettre fin à ses jours.

Trois idées reçues sur le suicide www.hcsp.fr

«C’était son choix de se suicider» Le geste suicidaire résulte d’un choix

suicidaire est le choix de l’individu, que c’est lui, ou elle, qui décide de mettre fin à sa vie. Il est toujours difficile d’aborder la question du choix parce qu’elle vient heurter la notion de liberté fondamentale. Par le biais du suicide, l’individu nerecherche pas nécessairement la mort, mais une manière de mettre fin à la souffrance qui a atteint un seuil insupportable. Pour l’individu qui croit avoir épuisé toutes ses ressources, le recours au suicide peut sembler la seule

enue accablante. En fait, ce n’est pas que le suicide soit réellement la seule solution qui lui reste, mais probablement la seule que l’individu en souffrance perçoit et à laquelle il porte de plus en plus

Il fait ça pour se donner en spectacle» Le geste suicidaire pour attirer l’attention

Souvent, on peut penser ou croire que les personnes suicidaires ne sont que manipulatrices. La réalité affective et émotionnelle du geste suicidaire est plus complexe. Les personnes essayent avant tout de diminuer leur tension. En

sonnalité, elles peuvent chercher à obtenir des solutions de la part de leur entourage ou des intervenants, quitte à utiliser la perspective de leur suicide pour avoir plus d’influence. Dans ces situations, une consultation spécialisée doit être envisagée. Ces personnes ont un taux de suicides plus élevé. Une diminution du

» marque souvent la période qui

Si elle en parle c’est qu’elle ne le fera pas»Ceux qui veulent vraiment mourir le font dans leur coin

La majorité des personnes qui tentent de se suicider en dans les mois qui précèdent. Il faut prendre au

sérieux tout signe d’alerte de ce risque de passage à l’acte. Le suicide est en réalité un «non choix» de quelqu’un qui veut arrêter de souffrir. Généralement, le passage à l’acte

umination de plus en plus apparaissent des signes

de sa détresse et de sa détermination

suicidaire est le choix de l’individu, que c’est lui, ou elle, qui décide de mettre fin à sa vie. Il est toujours difficile d’aborder la question du choix parce qu’elle vient heurter la notion de liberté fondamentale. Par le biais du suicide, l’individu ne recherche pas nécessairement la mort, mais une manière de mettre fin à la souffrance qui a atteint un seuil insupportable. Pour l’individu qui croit avoir épuisé toutes ses ressources, le recours au suicide peut sembler la seule

enue accablante. En fait, ce n’est pas que le suicide soit réellement la seule solution qui lui reste, mais probablement la seule que l’individu en souffrance perçoit et à laquelle il porte de plus en plus

Le geste suicidaire pour attirer l’attention

Souvent, on peut penser ou croire que les personnes suicidaires ne sont que manipulatrices. La réalité affective et émotionnelle du geste suicidaire est plus complexe. Les personnes essayent avant tout de diminuer leur tension. En

sonnalité, elles peuvent chercher à obtenir des solutions de la part de leur entourage ou des intervenants, quitte à utiliser la perspective de leur suicide pour avoir plus d’influence. Dans ces situations, une

Ces personnes nution du

» marque souvent la période qui

Si elle en parle c’est qu’elle ne le fera pas» Ceux qui veulent vraiment mourir le font dans leur coin

La majorité des personnes qui tentent de se suicider en dans les mois qui précèdent. Il faut prendre au

sérieux tout signe d’alerte de ce risque de passage à l’acte. Le suicide est en réalité un «non choix» de quelqu’un qui veut arrêter de souffrir. Généralement, le passage à l’acte

umination de plus en plus des signes

de sa détresse et de sa détermination