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Bénir ou Maudire A l’école et dans notre société, Cessons de maudire ! Il est bon de bénir ! Récemment une personne qui a son fils aîné en grande section à l’école maternelle, me racontait que le bulletin de son enfant était arrivé à domicile. Son fils avait dans la totalité des matières des bonnes notes. Celles-ci se répartissent en 3 catégories : parfois, souvent, toujours. La mention « toujours » étant le maxi- mum. L’enfant avait partout des « toujours ». La maîtresse, au lieu de féliciter l’enfant et sa famille, mit une remarque générale : « Travail irrégulier, doit reprendre confiance en lui ». On imagine l’angoisse des parents. Surtout que cette baisse de régime pouvait s’expliquer par la nais- sance de la petite sœur. Je pourrais multiplier les exemples semblables d’insti- tuteurs et de professeurs qui pratiquent des remarques angoissantes, déstabilisantes et humiliantes. On dirait que pour certains, avoir des paroles de félicita- tions leur écorcheraient la bouche. Toujours là pour poin- ter la faute, mais rarement pour complimenter. On touche ici du doigt à la fragilité du système éducatif français. Le système est préoccupé dès le plus jeune âge à éliminer. Cette décision fit dire à un enseignant lucide : « En France, dès la maternelle, on prépare inconsciem- ment l’École Polytechnique ». Et au sommet de l’État, les énarques et les polytechni- ciens ont imposé leur présence écrasante et paralysante. Du temps de Valéry Giscard d’Estaing, Peter Gumbel a constaté que 61 % de l’entourage présidentiel venait de ces deux écoles, avec Nicolas Sarkozy on était tombé à 55% et avec François Hollande on est reparti flirter avec le pourcentage du temps de V.G.E. En France, le sésame pour ouvrir les portes de l’avenir sont les mathématiques. Vous serez un bon ou un mau- vais élève suivant que vous aurez une bonne ou une mau- vaise note en maths. Personnellement j’ai beaucoup aimé les mathématiques et le calcul au lycée, mais je sais aussi que cela ne peut pas être l’unique critère pour jauger un élève. L’expression orale, le goût de la création, le goût de la musique ou de la poésie, l’esprit de camaraderie, l’es- prit d’entraide sont des critères aussi importants que les maths, mais on en tient rarement compte dans le cursus de l’enfant. Il est bon d’avoir des polytechniciens dans un pays, mais le système éducatif est là pour faire réussir chaque enfant avec ses aptitudes et ses qualités. Les remarques négatives d’enseignants peuvent avoir sur l’enfant l’effet de malédictions qui peuvent traumatiser une personne pour toute une vie. Il est temps que dans l’école on cesse de maudire et qu’on préfère bénir. La malédiction est quelque part liée aux ténèbres, la bénédiction s’inscrit au contraire dans une trajectoire de vie. Les enseignants sont là pour être des porteurs d’espé- rance, en d’autres termes « des bénisseurs ». Peut-être en préférant bénir que maudire, notre pays re- trouvera confiance en lui ? C’est en tout cas ce que nous voulons défendre à la Banque Alimentaire du Bas-Rhin. Depuis de nombreuses années, l’équipe des cadres ainsi que le président appliquent un management où on encou- rage les partenaires, où on félicite les uns et les autres pour les bons résultats obtenus. Les paroles positives vont stimuler les uns et les autres et on obtiendra de meilleurs résultats. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas parfois recadrer l’une ou l’autre personne. Mais toujours dans un esprit positif, dans un esprit de respect l’un de l’autre. Cessons de maudire, il est bon de bénir ! Freddy Sarg LA LETTRE DE LA BANQUE ALIMENTAIRE DU BAS-RHIN ba news Ensemble, aidons l’Homme à se restaurer Juin 2013 n°12 SOMMAIRE Page 2-3 : Tous responsables : Accompagnement DANS et VERS l’emploi, un cadre protecteur - Une place pour tous : Le groupe Ecoles - Mieux se nourrir : Avec du pain rassis Page 4 : Ambiance : Retour sur les événements du 1 er semestre 2013 - Restaurer l’Homme : L’associaon «Les Disciples»

LA LETTRE DE LA BANQUE ALIMENTAIRE DU BAS-RHIN …ba67.banquealimentaire.org/sites/ba67/files/juin_2013.pdf · Du temps de Valéry Giscard d’Estaing, Peter Gumbel a constaté que

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Bénir ou MaudireA l’école et dans notre société,Cessons de maudire !Il est bon de bénir !

Récemment une personne qui a son fils aîné en grande section à l’école maternelle, me racontait que le bulletin de son enfant était arrivé à domicile.

Son fils avait dans la totalité des matières des bonnes notes. Celles-ci se répartissent en 3 catégories : parfois, souvent, toujours. La mention « toujours » étant le maxi-mum. L’enfant avait partout des « toujours ». La maîtresse, au lieu de féliciter l’enfant et sa famille, mit une remarque générale : « Travail irrégulier, doit reprendre confiance en lui ». On imagine l’angoisse des parents. Surtout que cette baisse de régime pouvait s’expliquer par la nais-sance de la petite sœur.

Je pourrais multiplier les exemples semblables d’insti-tuteurs et de professeurs qui pratiquent des remarques angoissantes, déstabilisantes et humiliantes. On dirait que pour certains, avoir des paroles de félicita-tions leur écorcheraient la bouche. Toujours là pour poin-ter la faute, mais rarement pour complimenter.

On touche ici du doigt à la fragilité du système éducatif français. Le système est préoccupé dès le plus jeune âge à éliminer. Cette décision fit dire à un enseignant lucide :

« En France, dès la maternelle, on prépare inconsciem-ment l’École Polytechnique ».

Et au sommet de l’État, les énarques et les polytechni-ciens ont imposé leur présence écrasante et paralysante.Du temps de Valéry Giscard d’Estaing, Peter Gumbel a constaté que 61 % de l’entourage présidentiel venait de ces deux écoles, avec Nicolas Sarkozy on était tombé à 55% et avec François Hollande on est reparti flirter avec le pourcentage du temps de V.G.E.

En France, le sésame pour ouvrir les portes de l’avenir sont les mathématiques. Vous serez un bon ou un mau-vais élève suivant que vous aurez une bonne ou une mau-vaise note en maths.Personnellement j’ai beaucoup aimé les mathématiques et le calcul au lycée, mais je sais aussi que cela ne peut pas être l’unique critère pour jauger un élève. L’expression orale, le goût de la création, le goût de la musique ou de la poésie, l’esprit de camaraderie, l’es-prit d’entraide sont des critères aussi importants que les maths, mais on en tient rarement compte dans le cursus de l’enfant.Il est bon d’avoir des polytechniciens dans un pays, mais le système éducatif est là pour faire réussir chaque enfant avec ses aptitudes et ses qualités. Les remarques négatives d’enseignants peuvent avoir sur l’enfant l’effet de malédictions qui peuvent traumatiser une personne pour toute une vie.

Il est temps que dans l’école on cesse de maudire et qu’on préfère bénir. La malédiction est quelque part liée aux ténèbres, la bénédiction s’inscrit au contraire dans une trajectoire de vie.Les enseignants sont là pour être des porteurs d’espé-rance, en d’autres termes « des bénisseurs ».

Peut-être en préférant bénir que maudire, notre pays re-trouvera confiance en lui ?

C’est en tout cas ce que nous voulons défendre à la Banque Alimentaire du Bas-Rhin. Depuis de nombreuses années, l’équipe des cadres ainsi que le président appliquent un management où on encou-rage les partenaires, où on félicite les uns et les autres pour les bons résultats obtenus. Les paroles positives vont stimuler les uns et les autres et on obtiendra de meilleurs résultats. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas parfois recadrer l’une ou l’autre personne. Mais toujours dans un esprit positif, dans un esprit de respect l’un de l’autre.Cessons de maudire, il est bon de bénir !

Freddy Sarg

LA LETTRE DE LA BANQUE ALIMENTAIRE DU BAS-RHIN

ba newsEnsemble, aidons l’Homme à se restaurer Juin 2013 n°12

SOMMAIRE Page 2-3 : Tous responsables : Accompagnement DANS et VERS l’emploi, un cadre protecteur - Une place pour tous : Le groupe Ecoles - Mieux se nourrir : Avec du pain rassis Page 4 : Ambiance : Retour sur les événements du 1er semestre 2013 - Restaurer l’Homme : L’association «Les Disciples»

TOUS RESPONSABLES

Accompagnement DANS et VERS l’emploi,vers une approche qualitative

(deuxième partie)

Les encadrants Coralie Tijou et Nicolas Maetz font valoir que, dans la mesure où il leur est imposé une performance, ils sont progressivement dans l’obligation de projeter des profils de candidats.

Ils insistent, selon leurs tendances, soit sur le fait que le poste doit être occupé par une personne capable de s’adapter à une technique précise et à la nécessité d’une formation soit sur l’existence d’un projet professionnel reposant sur des capacités de volonté et/ou de remise en question du salarié.

Les responsables soulignent, tous les deux, les difficultés à dé-terminer les recrutements « positifs » pour « des sorties dyna-miques » afin de s’inscrire à plus ou moins long terme sur un marché du travail de plus en plus exigeant.

C’est pourquoi ils tendent à faire valoir que la plus value de la SIAE consiste d’abord à constater la capacité de progression du salarié, que cette donnée qualitative est essentielle et qu’elle est nécessairement différente pour chaque CUI.

Ils constatent, impuissants, que le travail, en collaboration avec l’accompagnatrice socio-professionnelle concerne souvent l’urgence (logement, finances,…) et qu’il n’est jamais passé un temps suffisant et nécessaire à l’analyse du projet et à la recherche de formation compte tenu de l’importance de la de-mande.

Ils regrettent en effet le manque de moyens pour passer du TEMPS avec les salariés, pour améliorer les relations et consti-tuer surtout un réseau d’aide pour la sortie.

Ce constat est d’autant plus dur que, selon des exemples précis, presque tous les salariés, selon des degrés divers, progressent même s’ils ne retrouvent pas immédiatement un emploi à la sortie.

UNE PLACE POUR TOUS

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Ils souhaiteraient comme une majorité de travailleurs sociaux dont ils ont en partie endossés l’uniforme, que l’investissement soit également évalué par les financeurs selon des critères de qualité.

La technique de cette évaluation sur l’ampleur de la progres-sion technique ou psychique est toujours possible : elle consiste à comparer des résultats selon des objectifs qui répondent aux besoins du salarié avant tout, qui doit vaincre tant de difficultés

Sonia Garrigue

Groupe Ecoles de la Banque Alimentairedu Bas-Rhin

HistoriqueCréé en 1996 par Madame Martine JAHN, alors médecin à la retraite, sur la proposition de Monsieur Freddy SARG, le groupe Ecoles fonctionne depuis lors, sans interruption, avec un groupe de bénévoles qui évolue chaque année quant à son nombre.Actuellement, sept personnes, quatre femmes et trois hommes, composent le groupe écoles, issues de différents milieux socioprofessionnels mais tous retraités.

Missions La mission première du groupe Ecoles est de faire connaître la Banque Alimentaire, son fonctionnement et ses objectifs.Le second rôle du groupe est de sensibiliser les enfants des écoles, collèges et lycées sur les thèmes :- de la solidarité, du don et du partage- du gaspillage, du développement durable- de la pauvreté et de ses conséquences

Thèmes abordés en fonction du niveau des élèves Classes de CP, CE1, CE2 : Durée de l’intervention 30 mnA l’aide d’un dessin animé d’une dizaine de minutes, et sur un mode interactif, il est proposé aux enfants de réfléchir sur ce qu’est la solidarité, le partage et le don avec des exemples et des arguments simples. De même pour le gaspillage. Ame-ner les enfants à prendre conscience par exemple que jeter de la nourriture coûte cher et que certaines bonnes habitudes

MIEUX SE NOURRIR

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peuvent améliorer le sort de la planète.Classes de CM1, CM2 et 6e : durée de 40 à 45 mnUn film d’une quinzaine de minutes informe les élèves du fonctionnement de la Banque Alimentaire. Sont abordés succinctement différents thèmes : Qui sont les donateurs ? Qui sont les bénéficiaires ? Qu’est-ce que la solidarité ? Pourquoi le gaspillage ? Toujours sur un mode très interactif.Classes de 5e 4e et 3e : durée de l’intervention : 50 mnUn film d’une quinzaine de minutes informe les élèves du fonc-tionnement de la Banque Alimentaire et de son organisation. Des données spécifiques à la BA67 complètent le support.Les mêmes thèmes qu’en 6e sont traités mais plus en pro-fondeur, avec des chiffres et des statistiques. Beaucoup de questions sont posées aux élèves qui les font réfléchir sur ce qu’est la solidarité, la lutte contre le gaspillage, etc…Classe de 2e, 1ère et TerminaleLes interventions sont plus rares dans les lycées car les programmes des élèves sont très chargés. Cependant, les thèmes traités sont toujours les mêmes mais de façon plus théorique. Sont évoqués les enjeux sociaux, économiques et environnementaux que représente la lutte contre le gas-pillage et les conséquences sur notre société.

Les outils pédagogiques - un dessin animé de 9 mn pour les enfants de 6 à 10 ans en cours de remplacement - un film documentaire de 15 mn sur le fonctionnement et la mission des Banques Alimentaires- un magazine dédié aux enfants, avec une iconographie très gaie, un vocabulaire adapté et étudié ; des fiches théma-tiques, une BD, des jeux apportent des compléments d’in-formations sous une forme claire et amusante.Il est proposé aux Directeurs d’organiser une collecte au sein de leur établissement pour que les jeunes puissent mettre en pratique les informations reçues. Cependant, le but de nos interventions n’est pas de voir organiser une collecte mais bien d’informer les élèves sur les thèmes précités. Les col-lectes ne sont que suggérées.

Organisation du groupe EcolesUne réunion mensuelle dans les locaux de la BA permet de faire le point sur les interventions passées et futures.Chaque membre est responsable d’un secteur et se charge de contacter les établissements scolaires, puis de fixer le planning des interventions avec le chef d’établissement. Il contacte en-suite par Internet ses collègues qui vont intervenir à ses côtés. Internet permet une bonne coordination car les messages sont transférés à tous les membres du groupe.Un membre représente le groupe école au Conseil d’Admi-nistration de la Banque Alimentaire.Quelques chiffres pour 2011: 22 établissements visités, 121 classes, 2908 élèves sensibilisés et 8 bénévoles.Le fonctionnement et l’organisation du groupe Ecoles ne nécessitent aucun investissement financier en dehors des supports pédagogiques pris en charge par la Fédération.

Danielle Magoni

Avec du pain rassisPanzanella

Ingrédients (4 personnes)1 kg de tomates assez fermes, 150 g de pain de campagne rassis, 1 concombre, 5 cuillères à soupe d’huile d’olive, 3 cuillères à soupe de vinaigre de vin, 1 verre d’eau, sel et poivre.Préparation:Éplucher l’oignon et le couper en lamelles. Éplucher le concombre, le couper en deux dans le sens de la longueur puis l’épépiner. Le couper en fines rondelles. Laver les to-mates, ôter les pédoncules et les couper en quartiers. Cou-per le pain en gros cubes et le tremper dans un verre d’eau avec le vinaigre pour 30 min. Essorer le pain et mettre les tomates, les olives, l’oignon, le concombre et l’ail dans un saladier. Mélanger avec l’huile d’olive. Saler et poivrer généreuse-ment. Laisser reposer pendant au moins 30 minutes au frigo.Rectifier l’assaisonnement et servir à température ambiante. Penser à la sortir du frigo au moins 15 minutes avant de la consommer.

Mendiant ou « Bettelmann »Ingrédients :1 baguette, 2 œufs, 100g de sucre, un sachet sucre vanillé (facultatif), 2 cuillères à café de cannelle, ½ l de lait chaud, 1kg de cerises ou de pommes, beurre, chapelure (on peut en faire en râpant du pain sec)Préparation :Faire bouillir le lait et le verser sur le pain, laisser reposer puis l’écraser à la fourchette quand il est ramolli.Ajouter les œufs battus, le sucre et le sucre vanillé, la can-nelle et mélanger.Ajouter les fruits : les cerises non dénoyautées donnent plus de saveur.Avec des pommes (les couper en fines tranches) on peut rajouter des raisins, des raisins secs trempés dans de l’eau ou de l’eau de vie.Beurrer un plat à bord haut, verser la préparation, saupou-drer de chapelure et parsemer de noisettes de beurre.Mettre au four pendant 1 heure à 200° thermostat 6-7

Journal réalisé par l’équipe communication de la Banque Alimentaire du Bas-RhinResponsable de la publication : Coralie Tijou

98, rue de la Plaine des Bouchers - 67100 StrasbourgTél. 03 88 40 30 40 - Fax 03 88 39 23 12 - courriel : [email protected] - site internet : ba67.banquealimentaire.org

AMBIANCE

RESTAURER L’HOMME

Ambiance de collecte chez Kraft FoodsDans le cadre du Servathon, action de solidarité des restaurants Sodexo, les employés de l’usine Kraft Foods se sont mobilisés pour collecter des denrées ali-mentaires au profit de la BA67.Grâce à leur générosité, 311 kg de denrées ont pu être récupérées soit l’équivalent de plus de 600 repas.

Week-end de solidarité chez EmmaüsLe samedi 27 avril, nos bénévoles se sont relayés pour représenter la Banque Alimentaire lors du week-end de solidarité de notre association partenaire.

AG du 30 mai 2013 A l’Assemblée Générale annuelle, présidée par Freddy Sarg et Coralie Tijou, l’accent a été mis sur l’importance de l’aide à apporter aux personnes en précarité en cette période de crise. Elle est possible grâce à tous les efforts conjugués entre élus, financeurs, donateurs, partenaires du réseau associatif, salariés et bénévoles de la BA. Pour l’année à venir il sera important de trouver de nouvelles sources d’approvisionne-ment pour répondre à nos besoins. La soirée s’est terminée par un verre de l’amitié dans nos locaux, permettant une rencontre conviviale entre toutes les personnes présentes.

UNIS VERS le SPORTCe même jour, l’association UNIS VERS le SPORT rééditait sa journée de solidarité, au stade de La Canardière, à la Meinau.Plus de 500 enfants des écoles strasbourgeoises étaient réunis autour d’ateliers sur le Sport, la Solidarité et la Santé-Nutrition.Les enfants, invités à apporter des denrées alimentaires, ont collecté 280 kg pour notre Banque Alimentaire du Bas-Rhin ! On peut les féliciter pour leurs exploits, sportifs et solidaires !L’un de nos bénévoles, a remis la coupe de la classe la plus solidaire aux élèves présents qui s’en sont réjouis !

A VOS AGENDASUne collecte spéciale lait aura lieu le 21 juin prochain

à Auchan Schweighouse ! Le 26 septembre la Banque Alimentaire du Bas-Rhin organisera sa

journée Portes Ouvertes et accueillera ses parrains locaux.

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L’association LES DISCIPLES

Cette association distribue des colis deux fois par mois à une population de familles et de personnes seules, dans une fourchette d’environ 250 personnes.

Elle compte 5 bénévoles et une dizaine de salariés dont 3 d’entre eux s’occupent plus spécifiquement de la distribu-tion alimentaire.C’est-à-dire faire les commandes à la Banque alimentaire, réceptionner la livraison des produits, les trier pour com-poser les colis puis les distribuer. Ils s’occupent également de la gestion des bénéficiaires du quartier envoyés par les services sociaux de la Ville et gèrent la répartition dans les colis. Tout ceci avec comme spot éclairé, l’accueil délicat et chaleureux de toutes ces personnes pour qui l’aide alimen-taire (entre autres) est vitale mais pas seulement.

Distribuer de la nourriture n’est qu’une des activités de cette association qui reçoit une petite centaine d’enfants en ac-compagnement scolaire.

Merci à cette équipe qui nous a reçus très agréablement pour notre visite annuelle au cours de laquelle les bénévoles que nous sommes, faisons circuler au mieux les informations pour un bon fonctionnement entre eux et la Banque Alimen-taire.

Noëlle Fiault

Les Disciples ont leurs locaux au 2, rue Paul Langevin à Strasbourg.