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NMB Nouveau Musée Bienne / Neues Museum Biel
Faubourg du Lac 52 / Seevorstadt 52
Case postale / Postfach
2501 Biel / Bienne
Documentation pédagogique
La numismatique
Dans le cadre de l’atelier « Gardez la monnaie !»
proposé durant les Semaines promotionnelles (28.09 – 22.11.2015)
Denier de Trajan retrouvé à Studen-Wydenpark.
Médiation culturelle
Tél. : 032 322 24 64
www.nmbienne.ch
2
Contenu Présentation de l’atelier « Gardez la monnaie ! » ............................................................................ 3
Introduction ..................................................................................................................................... 3
Histoire ........................................................................................................................................... 4
Fabrication ...................................................................................................................................... 5
Apport de la numismatique en archéologie ..................................................................................... 6
Lecture d’une monnaie romaine ...................................................................................................... 7
Des monnaies celtiques et romaines à voir au NMB Nouveau Musée Bienne ................................. 9
Lexique ......................................................................................................................................... 10
Ressources pour l’enseignant ....................................................................................................... 11
Introduction à la thématique ...................................................................................................... 11
Ressources ............................................................................................................................... 11
Bibliographie et sites internet ..................................................................................................... 11
Sources des images (autres que NMB) ..................................................................................... 12
Les termes précédés d’un *astérisque sont expliqués dans le lexique en fin de dossier.
3
Présentation de l’atelier « Gardez la monnaie ! » De nos jours, nous manipulons sans cesse de l’argent qui peut prendre différentes formes, de la
pièce en métal aux billets en papier, en passant par les cartes en plastique ou tout autre objet qui
permette l’échange selon des normes plus ou moins standardisées, comme les bons cadeaux ou
les jetons de machines à bonbons. Qu’en était-il lors des périodes qui nous précédent ? Par un
excursus à travers quelques vitrines de
l’exposition permanente ainsi qu’au moyen
d’autres supports présentés pour l’occasion, les
élèves remonteront le temps pour découvrir
comment et sous quelle forme nos ancêtres
utilisaient la monnaie. Lors de l’activité
pratique, ils auront la possibilité de produire
leur propre monnaie romaine depuis la
préparation du métal et jusqu’à la frappe. Ils
emporteront chez eux une bourse en tissu
fabriquée par leur soin, réceptacle de leur
monnaie.
Introduction Le mot « monnaie » dérive du latin « moneta », du verbe « monere », et qui signifie « avertir ». Cet
adjectif était appliqué à la déesse Junon dans son temple sur le Capitole à Rome. On pensait que
c’était la déesse elle-même, par l’intermédiaire de ses oies, qui avait prévenu le peuple romain de
l’attaque imminente des Gaulois, en 390 avant J.-C. On l’appelait alors « Junon moneta », celle qui
a averti. C’est à proximité de son temple qu’étaient frappées les monnaies de l’atelier de Rome,
raison pour laquelle elles en tirent leur nom.
Le mot « numismatique », qui définit l’étude des monnaies, dérive du grec ancien « νομος »
(nomos), qui signifie la loi. Une monnaie est donc un objet qui est établi selon des lois, et issu
d’une autorité souveraine.
On connait bien entendu le rôle économique d’une monnaie. Toutefois, les monnaies ont pu jouer
d’autres rôles, notamment en contexte cultuel. En effet, il est fréquent que les archéologues
retrouvent des monnaies dans les tombes ou dans les sanctuaires. Complètement intégrée à la
société qui l’utilise, la monnaie est un marqueur culturel très important puisqu’elle évolue en
fonction des périodes, des régions géographiques, des fluctuations économiques et politiques : les
types monétaires ne sont pas les mêmes si l’on se trouve à Athènes au Ve siècle avant J.-C. ou à
Bâle au XIe siècle après J.-C. Par sa connaissance des types monétaires, le numismate parvient à
les rattacher à un contexte précis de l’histoire. L’étude des monnaies peut ainsi apporter bon
nombre d’informations à l’archéologue et à l’historien.
La carte bancaire, un moyen de paiement
contemporain.
4
Histoire Les archéologues ont pu mettre au jour des objets de
formes diverses qui semblent avoir été utilisés, durant la
Préhistoire, dans le cadre d’un système d’échange
primitif : ce sont par exemple des plaques ou des
anneaux en métal, ou encore des coquillages. Ces
objets fonctionnent comme des sortes de lingots qui
possèdent une valeur intrinsèque et qui sont facilement
échangeables. Par ailleurs, sur la base des
comparaisons ethnographiques, on pense que l’usage
du troc constituait la base du système économique dans
les sociétés pré- et protohistoriques.
Les sources historiques, notamment Hérodote au Ve
siècle avant J.-C., nous apprennent que la monnaie est
originaire de Lydie, en Asie Mineure, dans l’ouest de
l’actuelle Turquie. C’est effectivement en Asie Mineure
que les plus anciennes monnaies du monde occidental
ont été mises au jour. Ces premières monnaies datent
du VIIe siècle avant J.-C. Elles sont de formes diverses et
ne présentent pas encore de type iconographique sur les
deux faces, mais sont toutes de poids similaires, ce qui
permet de les qualifier de monnaies. Les plus anciennes monnaies présentant des types
iconographiques datent des environs de 600 avant J.-C. et proviennent toujours d’Asie Mineure.
Elles ont été retrouvées sous les fondations du temple d’Artémis à Ephèse, considéré comme
l’une des sept Merveilles du monde
antique. Les monnaies ont été
déposées avant la construction du
temple, pour s’assurer la bienveillance
de la divinité.
Dès lors, la monnaie se développe en
Grèce et son usage va progressivement
se généraliser dans tout le bassin
méditerranéen, puis même au-delà. Elle
devient de plus en plus élaborée,
frappée dans différents métaux et selon
plusieurs *modules et poids. Ces
variations forment ce qu’on appelle des « *dénominations » à l’intérieur d’un système monétaire.
Sur le plateau suisse, les Celtes sont les premiers à avoir utilisé et même produit des monnaies.
Lorsque l’Helvétie passe en mains romaines, l’usage de la monnaie se perpétue, mais les
monnaies ne sont plus produites localement.
Lingot en « peau de bœuf », Chypre,
1450-1050 av. J.-C. © Metropolitan
Museum, New York.
Statère lydien, 650-600 av. J.-C. © British Museum.
5
Fonctionnement de la frappe.
Fabrication Durant l’Antiquité, les métaux utilisés pour la fabrication des monnaies étaient l’or, l’argent et le
bronze. Dans le système monétaire romain, les aurei étaient en or, les deniers en argent, les
sesterces, les dupondii et les as en bronze. Souvent, on y ajoutait un métal moins précieux comme
le cuivre, le plomb ou l’étain pour diminuer la valeur intrinsèque d’une monnaie sans que cela
modifie complètement son aspect. Actuellement, en Suisse, les pièces de 5, 2, 1 francs et de 50,
20, 10 centimes sont en cupronickel, un alliage composé de trois-quarts de cuivre et d’un quart de
nickel. Les pièces de 5 centimes sont en bronze d’aluminium, un alliage composé majoritairement
de cuivre, avec un petit pourcentage d’aluminium et de nickel.
Aujourd’hui, les monnaies
sont frappées. C’était aussi
généralement le cas au
Moyen-Âge et durant
l’Antiquité. Pour la frappe, on
utilise un *coin d’avers et un
coin de revers, sur lesquels
sont gravés en creux les
images qui seront
reproduites sur la monnaie.
Le coin d’avers est fixé sur
une enclume ou dans un
billot de bois, le coin de
revers est maintenu à la
main ou mécaniquement. On
place ensuite un *flan entre
les deux coins et on utilise
un lourd marteau pour
frapper sur le coin de revers
afin d’imprimer l’empreinte
des coins sur le flan. Les
monnaies sont produites à la chaîne, dans des ateliers très contrôlés et dédiés expressément à
cette pratique. Une fois frappées, elles sont contrôlées : on vérifie qu’elles présentent toutes un
poids similaire et que la qualité du métal utilisé soit la même. Toutefois, avant la production
industrielle des monnaies, il était très fréquent qu’elles présentent des défauts, comme par
exemple une image un peu décentrée ou un flan fissuré. Cela n’empêchait cependant pas la
monnaie de circuler comme une autre.
Les archéologues ont retrouvé des moules qui prouvent que certaines monnaies étaient
également coulées, ce qui est attesté par la qualité moindre des monnaies finies, généralement
moins lisibles que celles qui ont été frappées.
6
Apport de la numismatique en archéologie Pour chaque période, le monnayage présente des
particularités que les spécialistes doivent connaître
dans le but de déterminer les monnaies et d’en tirer
des informations historiques. Par l’observation de la
monnaie elle-même, on peut récolter des informations
portant sur la date de la frappe de la monnaie – qui,
durant l’Antiquité, ne porte jamais de date explicite –,
sur la personne, la ville ou l’état qui a décidé sa
production, mais également sur les fonctions de cette
personne ou sur les modalités des représentations
iconographiques durant l’époque concernée. En
confrontant la monnaie avec le contexte archéologique
dans lequel elle est retrouvée, l’archéologue va
pouvoir donner une datation relative aux vestiges qui
se trouvent dans la même couche archéologique
qu’elle, mais aussi à ceux qui la précèdent et qui la
succèdent. Concernant les vestiges qui se trouvent
dans le même horizon archéologique et ceux qui la
succèdent, on parle de *terminus post quem : ces
objets ont pu être enterrés seulement à partir de la
date donnée par la monnaie, qui est celle de sa
fabrication et non celle de son enfouissement.
L’archéologue va également pouvoir
préciser la nature du site qu’il fouille. Par
exemple, si plusieurs monnaies sont
retrouvées regroupées, on peut admettre
être en présence du lieu de cachette d’un
trésor que son possesseur n’aura pas pu
récupérer après l’enfouissement. Ce type
de cachette est en général le reflet d’un
état de crise, par exemple une guerre ou
une invasion.
Stratigraphie archéologique sur le site du
Palais Granvelle, Besançon, Doubs. ©
Daniel Simonin, Inrap.
Trésor monétaire déposé dans un vase. Fanum Martis,
Famars, Nord. © Raphaël Clotuche, Inrap.
7
Lecture d’une monnaie romaine La monnaie en argent que les élèves reproduiront dans le cadre de l’atelier a été retrouvée sur le
site de Studen-Wydenpark, l’antique Petinesca.
On reconnait à l’avers le portrait d’un homme portant une couronne de laurier et qui regarde vers
la droite. On peut lire sur le pourtour de la monnaie les lettres
IMPTRAIANVSAVGGERDACPMTRPCOSVIPP. Les *légendes étaient écrites en latin, en abrégé
et les mots étaient souvent collés entre eux, afin de pouvoir donner le maximum d’informations sur
la monnaie. La légende de l’avers se lit « IMP TRAIANVS AVG GER DAC P M TRP COSVI P P »,
ce qui signifie :
IMP = Imperator. C’est le titre militaire de
l’empereur.
TRAIANVS = Trajan. C’est le nom de l’empereur
qui a ordonné la frappe de la monnaie.
AVG = Augustus. C’est le titre officiel de
l’empereur.
GER = Germanicus, vainqueur des Germains,
peuple originaire du nord de l’Europe.
DAC = Dacius, vainqueur des Daces, peuple
originaire de l’Europe de l’est.
P M = Pontifex Maximus, Pontife suprême. C’est
le titre religieux de l’empereur.
TR P = Tribunicia Potestas, investit de la
puissance tribunicienne, qui donne à l’empereur
la possibilité de s’opposer aux décisions du
Sénat, ce qui lui confère tous les pouvoirs.
COS VI = Consul pour la 6e fois. C’est le titre du
plus haut responsable durant la République,
récupéré par l’empereur durant l’Empire.
P P = Pater Patriae, le Père de la patrie. Ce titre
est donné à l’empereur par les membres du
Sénat.
Avers du denier de Trajan retrouvé à Studen-
Wydenpark.
8
Au revers, on distingue un personnage vêtu
d’une toge assis sur un siège curule dirigé vers
la gauche. Il tient un sceptre dans sa main
gauche et une patère dans sa main droite. On
lit les lettres DIVVSPATER TRAIAN autour de
la monnaie. Elle se lit DIVVS PATER TRAIAN,
ce qui signifie que Trajan dédie l’*émission de
ces monnaies à son défunt père, qui a été
divinisé après sa mort.
Grâce à ce qu’on a pu lire et reconnaître sur
cette monnaie, on sait désormais qu’elle a été
frappée par l’empereur romain Trajan, de la
dynastie des Antonins, qui vécut au IIe siècle
après J.-C. Comme on connait grâce aux
sources écrites la date à laquelle Trajan a été
consul pour la première fois, il est possible de
déduire que son sixième consulat a eu lieu
entre 112 et 114 après J.-C., ce qui date
également notre monnaie. Grâce à son poids,
sa taille et son métal, on peut dire qu’il s’agit
d’un denier, la *dénomination en argent la plus précieuse dans le système monétaire de l’époque,
mis en place par Auguste au début de l’Empire. Un
denier représente l’équivalent d’une journée de travail
d’un ouvrier, c’était donc une monnaie qui avait une
certaine valeur. Finalement, on sait que ce *type
monétaire a été frappé dans l’atelier de Rome, ce qui
renseigne les spécialistes sur la circulation monétaire :
à Petinesca, sur le plateau suisse, on utilisait une
monnaie qui avait été produite à plus de 900 kilomètres
de là.
Les monnaies de ce type sont retrouvées assez
couramment par les archéologues. L’argent étant un
métal pur, elles sont souvent assez bien conservées,
ce qui n’est de loin pas le cas de toutes les monnaies
retrouvées en fouilles. La terre qui s’agglutine autour de
l’objet, la corrosion et l’usure que la monnaie a subie
lors de son utilisation viennent compliquer la tâche de
l’archéologue et du numismate !
Avers d’une obole gauloise retrouvée à
La Tène. Elle est très usée et difficile à
lire.
Revers du denier de Trajan retrouvé à
Studen-Wydenpark.
9
Des monnaies celtiques et romaines à voir au NMB
Nouveau Musée Bienne Dans son exposition permanente « La fenêtre archéologique de la région », le NMB Nouveau
Musée Bienne présente des trésors, certains visibles au premier coup d’œil et d’autres plus
discrets. Parmi eux, des monnaies romaines et celtiques de Bienne et de sa région qui, lorsqu’on
les étudie, ne décrivent pas uniquement les règles économiques des sociétés antiques, mais
également leurs pratiques religieuses. Arrêtons-nous un instant sur les monnaies de la « Source
des Romains ». En 1846, des travaux de construction révélèrent à la Source des Fontaines, en
dessus de la ville de Bienne, quelques centaines de monnaies du Bas Empire. Elles attestent la
présence d’un culte et le caractère sacré de la source où on a vénéré une divinité durant toute
l’époque romaine. Depuis, la source est appelée « source des Romains ». A l’origine au nombre
de 300 ou 400, la majorité des pièces furent fondues, partagées entre les ouvriers, offertes ou
vendues. Seuls quelque 50 exemplaires sont parvenus entre les mains de collectionneurs et ont
pu être étudiées. Aujourd’hui, le NMB en abrite 10, et le Musée historique de Berne 26.
Monnaies de la source des Romains présentées dans l’exposition du NMB.
10
Lexique Coin : matrice de fer gravée en creux, qui servira à imprimer les types monétaires sur les flans.
Dénomination : valeur de la monnaie en fonction de sa taille, de son poids, du métal utilisé et
également de son type monétaire. Chaque système monétaire possède ses propres
dénominations. Ainsi, pour le système romain augustéen en vigueur jusqu’à Dioclétien, on connait
l’aureus pour les monnaies en or, le denier pour les monnaies en argent, le sesterce, le dupondius,
l’as, le semis et le quadrans pour les monnaies en bronze. 1 aureus = 25 deniers ; 1 denier = 4
sesterces ; 1 sesterce = 2 dupondii ; 1 dupondius = 2 as.
Emission : englobe toutes les monnaies présentant les mêmes types monétaires.
Flan : morceau de métal préparé dans le but de
pouvoir être converti en monnaie. On le place
entre deux coins pour y imprimer les motifs de
la monnaie lors de la frappe.
Légende : toute inscription figurant à l’avers
et/ou au revers d’une monnaie : ce peut être un
nom, une titulature, une date, une devise, une
indication d’un lieu d’émission,…
Module : c’est le diamètre d’une monnaie.
Terminus post quem : c’est une limite
chronologique à partir de laquelle il est possible
de dater un objet ou un évènement. Une
monnaie romaine, qu’il est possible de dater
assez précisément, donne un terminus post
quem à la couche archéologique dans laquelle
elle se trouve puisque la couche n’a pas pu être
formée à une date qui précède la fabrication de
la monnaie.
Type monétaire : ensemble des éléments
iconographiques et épigraphiques présents sur
chacune des faces d’une monnaie. Ils
constituent les caractères distinctifs des
monnaies d’une même émission par rapport aux
autres.
Dépôt de dix sesterces mis au jour sur la fouille
de la Vallée des Marotte, Béthencourt, Nord. ©
Virginie Bak, Inrap.
11
Ressources pour l’enseignant
Introduction à la thématique
Les questions suivantes pourraient être posées aux élèves afin de stimuler leurs réflexions sur la
thématique avant la visite au musée :
- Quelle monnaie employée dans d’autres pays avez-vous déjà utilisé ?
- Dans quel contenant gardez-vous votre argent ? Le cachez-vous quelque part ?
- Quelles sont les images représentées sur les pièces et les billets que vous utilisez
aujourd’hui ? Combien de pièces et combien de billets existe-t-il aujourd’hui dans le
système monétaire suisse ?
- Quelle est la date de la plus ancienne monnaie dans votre porte-monnaie ?
- Est-ce que vous ou vos parents pratiquez encore le troc ? Dans quel cadre ?
Ressources
Disponible à la médiathèque de la HEP BEJUNE :
- THOMAZEAU, Anne-Marie, Monnaies du monde : expliquées aux enfants, Paris : Ed.
de la Martinière jeunesse, 2012.
- Par ici la monnaie : l’origine et la fabrication de la monnaie, réalisé par Pascal Léonard,
Paris : France 3, 1996. (C’est pas sorcier). – 1dvd (25 mn.). Diffusé le 07 juin 1996
- La fabuleuse histoire du dollar, un film de Alain Lasfargue. - [S.l.] : Alegria, 2008. –
(Histoire vivante). – 1dvd (52 mn). Diffusé le 11 janvier 2009
- 5 valises « art, artisanat, commerce gallo-romain » (contenant 1 ou 2 pièces de
monnaie).
Films du CNRS disponibles sur YouTube :
- CAVILLON D., GRUEL K., L’histoire en pièce : les Gaulois, CNRS 1997.
- DEPEYROT G., FONTENOY Ph., L’histoire en pièce : les monnaies romaines, CNRS
1999.
- DEPEYROT G., FONTENOY Ph., L’histoire en pièce : les monnaies médiévales, CNRS
1999.
- FAUCHER T., COLLET R., Frapper monnaie, CEAlex ; CNRS 2009.
Bibliographie et sites internet
- AMANDRY M. (dir.), Dictionnaire de numismatique, Larousse 2006.
- METCALF W. E. (éd.), The Oxford handbook of Greek and Roman coinage, Oxford
University Press 2012.
- REBUFFAT F., La monnaie dans l’Antiquité, Picard 1996.
- www.swissmint.ch
12
Sources des images (autres que NMB)
Cartes bancaires : https://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_de_paiement
Lingot : http://www.metmuseum.org/collection/the-collection-online/search/248493
Monnaie lydienne :
http://www.britishmuseum.org/explore/highlights/highlight_objects/cm/e/electrum_16_stater.aspx
Stratigraphie : http://www.inrap.fr/atlas/besancon/sites/2694/Palais-Granvelle#.VeAZ8309mGc
Trésor : http://www.images-archeologie.fr/Accueil/Recherche/p-3-lg0-notice-IMAGE-Tresor-
monetaire-compose-de-134-pieces-de-bronze-fin-du-IIe-s.-de-notre-ere-Famars-Nord-
2008..htm?¬ice_id=5581&pagination_bloc=25&txt=fanum+martis&submit=Ok
Dépôt : http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Sites-archeologiques/p-14927-Vallee-des-
Marottes.htm