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La pinacothèque du docteur faustrool

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Roland Reumond fragment d'une autobiographie pataphysique.

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ROLAND REUMOND

LA PINACOTHÈQUE DU DOCTEUR FAUSTROLL

Aujourd’hui, Ste Dondon, amazone,

Fête suprême quarte.

Comme je viens de le dire, aujourd’hui, en ce mardi 3 Gidouille 142

où les livres de Faustroll sont tous numérisés, et où le terme franglais

d’ebookothèque s’applique à des banques de données fécondes

comme des banques du sperme vitaminé, l’imagier en question se

dispose comme femme facile sous de gros disques durs. En son temps,

entre son oratoire où il médite sur le boutroule (1) du Monde et son

laboratoire où il excelle en alchimie du Verbe, le Docteur Faustroll ne

se doutait pas de cela, pas plus qu’il ne connaissait les OGM et les

GSM.

(…)

La Somme théologique de ce saint Thomas taquin n’est-elle pas

l’œuvre d’un incontestable pataphysicien ?

Ce saint docteur angélique qui à la fin de sa vie dira tout simplement :

"Tout ce que j'ai écrit n'est que paille, bon à brûler !"

n’était-il pas digne de figurer à côté de Rabelais dans la bibliothèque

de Faustroll ?

De la paille que je vous dis ! rien que de la paille pour les pourceaux,

lettrés aurait-il pu ajouter dans son élan d’humilité. Où majorer son

propos en ajoutant Objection – conclusion – solution poil au menton !

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Afin de clôturer son œuvre, en somme et en beauté.

Oui, n’en déplaise aux dogmatichiens de tous poils, Thomæ Aquinatis

était un pataphysicien hors paire de couilles, un homme, un vrai !

C'est cela la foi, nourrir son âme en tirant sur la paille, comme on tire

à la courte paille du toit de chaume sur les anges du ciel désappointés ;

afin de tirer au sort lequel de nous tous sera canonisé ou bonnement

béatifié, pour être ajouté corps et bien au perpétuel calendrier

pataphysique, entre les jours immoraux et immémoriaux, les jours

imaginaires, symboliques et réels auxquels Lacan s’accorde au présent

de l’indicatif tous les jours heureux que nous promet l’Éternité.

(…)

De la démonstration de Faustroll à la monstration de Vitruve, en

passant par les déclinaisons de la Summa totius theologiæ, on ne peut

que faire cet étonnant et détonnant constat : Dieu ou l’homme, n’est-

ce pas « la pareille photo » ?

(…)

Les fantômes de papier qui cohabitent dans les bibliothèques ne

disent-ils pas entre les rayons bondés comme des métros à l’heure de

pointe, que Dieu lui-même, en trois Personnes dans des wagons

hypostasiés qui constituent le traintrain divin. Cette essence qui leur

est commune, mais qui n’est pas commune aux hydrocarbures nous

permet de carburer, c’est cette « consubstantialité », cet

« homoousia » qui fait de nous des hologrammes de Dieu : corps, âme

et esprit bien connectés comme par « Oui fit » au divin.

Fiat volumtas tua, volonté, volupté et sainteté en un ; Marie elle-même

fut connectée à l’Esprit par interface et port sanctifié.

Dans l’œuvre gravée de l’« homme vitruvien » (gravures

xylographiques) datée de l’année 1521, par Cesare Cesariano (1475 -

1543) pour illustrer la première édition (en italien) du De achitectura

de Vitruve, son homme vitruvien comme son Duomo (cathédrale) de

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Milan répondent en fait aux études faites sur les justes et très saintes

proportions de Dieu.

Dans cette césarienne gravure, les bras en croix de l’homme accouché

par Cesare ne sont-ils pas la base même d’une perspective triangulaire

pointée (point de fuite) à l’infini ; tout comme sa gravure illustrant les

proportions de la cathédrale de Milan vient s’inscrire dans un triangle

parfait.

CQFD : Le seul point de fuite pour le Sapiens serait-il en cette

Infinie majuscule ?

Objection – conclusion – solution poil au menton !

Comme la lumière, telle une intuition Faustrollienne, comme le Oui de

Marie – Fiat voluntas tua – inaugure une formidable histoire d’amour

entre les dieux et les hommes. Amour infini pour des espaces infinis

que Dieu se manifeste, comme en mai 68, pour libérer les enfants de

toutes les peurs et de tous les dogmes qui contraignent la libre-pensée.

Tout n’est que paille !

N’est-ce pas pour cela que le Christ en croix donne les justes

proportions de l’homme, ses limitées, ses violences, ses latences ?

Pour nous libérer de la pensée, des croyances, des convictions ?

Si Vinci était l’enfant de Vitruve, alors, sans aucun doute, je suis le

bébé-éprouvette de Faustroll, la preuve, c’est que j’éprouve !

Objection – conclusion – solution

Pour entrer dans le mystère, il nous faut passer des apparences à

l’intériorité, nous glisser comme un voyageur virtuel dans un ruban de

Möbius.

L’ordre humain et l’ordre divin ne font qu’un, pareillement à l’ordre

architectural et à l’ordre cosmique ; tout comme la physique

quantique, la métaphysique et la pataphysique ne font qu’un !

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Si pour Vitruve l’architecture est l’art des sciences et la science des

arts, une sorte d’épistémologie du logis, avec Jarry, j’adhère à cette

idée que la pataphysique est une science véritable. Tout comme

Vitruve ne limite pas l’architecture à une seule discipline puisqu’elle

englobe l’ensemble des connaissances sapiennes (mathématiques et

géométriques, biologiques, anatomiques, etc.) la pataphysique est la

science par excellence de l’Homme qui vient !

(…)

Mon mentor incontesté et incontestable, le dénommé Docteur

Faustroll, n’est-il pas celui même qui calcula la surface de Dieu pour

en conclure que la Pataphysique est la science des sciences et quelle

touche à cette excellence pour démontrer le miracle des mirages et le

mirage des miracles c’est-à-dire que la grâce de toute cause est la

causalité de toute grâce ?

Nous connaissons tous ce célèbre tableau de G.Friedrich Kersting,

représentant Faust dans son cabinet d'étude, entre son oratoire et son

laboratoire, ce savant, mi- cabaliste, mi- alchimiste, livrait son combat

de Jacob avec les anges et les démons, au risque de se perdre et de

perdre les clés du Paradis, entre ces multiples passages qui vont de la

transcendance aux contingences, trait d’union entre l’absolu et

l’éternité, c’est au point tangent de zéro et de l’infini qu’il faut aimer.

Dans la bibliothèque comme dans la pinacothèque du Docteur

Faustroll, Dieu lui-même est un contenu et un contenant, une

intériorité toute contenue dans une armoire magique, et une extériorité

toute contenante en cette Création tout entière qui gémit dans les

douleurs de l’enfantement (Romains 8,22) ; le Logos le prouve et le

Cosmos l’éprouve. C’est là, tout l’hymne de l’Univers chanté par

Pierre Teilhard de Chardin et le triomphe de la religion sous-entendue

par Jacques Lacan.

Le grand C.S. Lewis qui avait lui-même une âme de pataphysicien

avait vu juste, c’est-à-dire qu’il avait la juste intuition qui fait des

autistes des savants et des fous des précurseurs entre tous. Et qu’en

outre, il faut avoir l’âme d’une enfant pour découvrir la porte et ses

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différents côtés (L’armoire magique). C’est-à-dire, qu’en dehors de la

foi l’enchantement risque de se rompre, et que les mathématiques et

l’intuition sont comme le chamanisme, les plus anciennes et

puissantes magies expérimentées par le Sapiens depuis la nuit des

temps, en ces passages multiples des contingences au point tangent de

zéro et de l’infini.

Comme Lacan qui sous-entend que la religion chrétienne est la bonne

puisqu’elle a la trinité en bandoulière, dans les triangles CAE (1) de

l’anthropologie judéo-chrétienne, ou ISR (2) de Jacques Lacan,

j’inscris l’ensemble des images du cabinet faustrollien, cabinet des

curiosités métaphysiques, dont ces illustrations, équations et icônes

associés au calcul de la Surface de Dieu, démontré par mon mentor

d’une manière magistrale, avec toute la rigueur qui était celle du

Docteur Faustroll.

(…)

La pinacothèque de Faustroll dépasse en qualité et en quantité sa

pauvre bibliothèque. De l’arbre des Sephirot aux multiples versions du

ruban de Möbius, des nus habillés d’équations savantes aux

smokings décomposés comme des écorchés …

Pornographique ou anatomique, toute image dit l’imaginaire de

Faustroll, pour illustrer sa propre kabbale, dans une symbolique

mathématique et mystique qui fait lien entre la physique quantique et

la théologie. Toute cette iconographie et l’ensemble de cette topologie

pourraient être ceux d’un chemin à travers le cerveau humain, avec ses

niveaux et ses étages : reptilien, limbique et cortical.

(…)

Dieu ou Le divin sont là, dans ces méandres, entre ces circonvolutions

cérébrales et labyrinthiques où les elfes, les vrai et les faux trolls, les

Faust et le Minotaure se perdent comme Thésée ou Icare dans un

dédale de neurones en rubans et en boucles neuroniques spiralées

comme ADN tourmenté, c’est l’arbre de la connaissance, l’arbre

pataphysique qui porte des fruits mûrs comme une surface de Möbius,

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compacte avec un bord homéomorphe à un cercle comme Dieu lui-

même est homéomorphe, dedans comme dehors. Même que toute

tentative de définition ne peut se faire que « par torsion » des réalités

quelconques, ce que Maurits Cornelis Escher, autre pataphysicien de

renom a tenté de développer à travers son univers graphique à forte

composante mathématique.

(…)

L’auteur à l’âge de quatre ans.

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Entre le « Je » et le « Jeu », l’enjeu.

Parturition d’une réflexion pataphysique chez un enfant de dix

ans.

Reumond remonte !

Dans la Pinacothèque de Faustroll, d'imagier en Ymagier et d'image

en Ymage, les souvenirs reviennent, et les mots avec ...

Roland, gros gland, gros lent…

Depuis la communale, combien de fois n’ai-je pas entendu scander

des moqueries de gamins à l’égard de mon nom. Raillerie dont la

métrique est une règle sur le bout des oreilles. Les mots scannent le

réel, les mots nous situent, ils cadrent l’espace et mettent un cadre.

Oui, combien de ces tirades comme fusillades avec des mots de plomb

ai-je pu ouïr, en étant montré du doigt comme à bout d’un fusil. Que

ceux qui ont des oreilles l’entendent et que les sourds eux-mêmes qui

n’entendent rien à la pataphysique le comprennent sur le bout des

lèvres : les railleurs ne sont que des rimeurs sarcastiques frustrés, car

l’art poétique est ailleurs, tourner au ridicule n’a jamais fait tourner le

soleil autour de la Terre et pourtant ...

E pur si muove.

Exactement ! les images et les odeurs comme les sons de notre

enfance sont pleins de ces mots-là, gros, lourds et pâteux, pleins de

ces petits bonheurs sucrés et de ces douches froides comme des

douleurs acides. Sous le préau les mots s’abritent de la pluie et du

soleil, et dans la classe l’odeur de la craie se mélange à celle de nos

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vieux cartables et aux sueurs rances de l’enfance. À la risée de mots,

se jouer de nos noms comme de nos prénoms, c’était déjà se jouer des

autres, des identités et des vies, c'était déjà se jouer de demain, ouvrir

et fermer des portes à tous les possibles de la vie.

Suis-je comme ces encriers vides qui se souviennent d’avoir été pleins

de fautes d’orthographe – le verre est devenu trouble, mais les vieux

flacons ont gardé cette mémoire bleue comme mémoire des eaux.

Pour tuer le temps trop long, les petits sauvages s’amusent ainsi de

tout, et le plaisir des mots déjà fait son travail. Entre la dérision de

potache et les railleries du maître, les mots peuvent blesser en surface

et même couper les ailes. Combien de plaisanteries ont fait saigner

plus que des coups réels !

Entre provocations et espiègleries, clowneries et méchancetés,

persiflages et un réel don poétique, le Paradis de l’enfance est, lui

aussi, plus ou moins pavé de ces bonnes intentions. J’en ai entendu

dire de ces mots blessants sur les bancs de l’école et de ces quolibets

pointés de l’estrade, des noms d’oiseaux voletant dans la classe

comme des avions de papier. Du fond de la classe, j’ai pu ouïr des

rires et des rimes, d’amusantes railleries comme les mots d’un clown

et des rires comme des pics qui font mal et cinglent la chair comme

des martinets.

Au-delà de la vitrine où les objets et les outils pédagogiques prennent

la poussière des programmes scolaires, il y a des mots bonbons sucrés

et des mots bobos acidulés, des mots qui sont comme des trahisons ou

même comme des abandons.

Les gommes les plus dures ne peuvent effacer les mauvais souvenirs,

les émotions fortes et les sentiments négatifs, car on ne taille pas les

maux joyeusement comme on le fait des crayons de toutes les

couleurs.

« Combien de marins se voyant déjà « Capitaine »

Dans ce morne horizon scolaire

Se sont retrouvés mousse

à cultiver la haine ? »

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Entre cieux et terres, dans cet oceano box scolaire et

désenchanteur, combien de joutes vexatoires et de tournois sans fin

ont foulé la terre battue de nos terrains de « je », pour nous pousser à

bout, recherchant nos limites au prologue des larmes. De souvenirs

blessants en souvenirs heureux, de ces tourments puérils, certains ne

sont pas pour déplaire, ils donnent comme une identité, une

reconnaissance. Et, d’autre part, ils éprouvent la patience, heurtent les

sentiments, offensent l’amitié ou vexent à tout jamais ; tout comme la

rumeur laisse des traces grasses dans les regards défaits, ils laissent

des cicatrices comme des nœuds aux nattes et des claques sur les

joues.

Le maître parle, la sonnette sonne, la récréation libère son gros lot de

cris. Chaque cour à sa bête noire et ses impopulaires écoliers, les

cancres ne sont pas les derniers à se jouer aussi des mots et des effets

de style, se précipitant dans le "Je" tout comme Monsieur Jourdain lui-

même s’immergeait dans la prose.

Roland, gros gland, Roland, gros lent…

Ainsi, bon an mal an, la vie nous initie à cette poésie que l’on dit «

naturelle », naïve et surtout brute. Qu’importe le nombre de syllabes,

le rythme fait la phrase et le mot fait son œuvre dévastatrice ou

créative, la parole fait ce qu’elle dit, à chaque mot, à chaque fois, elle

trace des chemins d’avenirs incertains !

Brelan de mot,

Roland, gros gland, gros lent,

À la mesure des uns et à la démesure des autres, la mesure des injures

participe aux bons comme aux mauvais jeux des mots; mots -

frustrations jusqu’aux mots de la guerre et de la privation, la survie à

des élans qui dépassent les déchirures et les petits tourments. Les

césures sont plus douces que certaines tristesses et le vers plus léger

que bien des ennuis ; les cours de récréation sont pleines de ces mots-

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là, mots - papillons qui maraudent et s’envolent au hasard des

divertissements ; la cour est une volière où les oiseaux portent des

rêves et des culottes trop courtes. Les enfants ont le vers libre et entre

eux le verbe féroce, des âmes de poètes avec des corps qui écorchent

l’harmonie et blessent les cœurs fragiles ; telle est la poésie

buissonnière, l’alexandrin lourd des vauriens lâchés comme pigeons

voyageurs. À regarder de plus haut, les gros mots s’alimentent à la

source des maux comme l’innocence des petits se nourrit à l’exemple

des grands.

Gros lent, gros gland, hareng ou merlan,

Tout comme ils savent donner de la voix, les garnements de dix ans

s’en donnent à cœur joie :

Gros lent, gros gland…

Mais « je » reste de bois, car « Je est un autre », si les connaissances

sont paresseuses, l’intuition est sûre ! Eux, les autres, ne savent pas

Rimbaud et restent Gros-Jean comme devant. Haro sur le baudet et la

rime qui fait glousser, car le clan des Reumond en a vu bien d’autres.

Toujours il Reumonte la pente ; c’est notre tribut, notre talent à nous

de nous jouer de ces mots en d’impossibles calembours, en de

multiples contrepèteries, car si les gros mots portent leur poids

d’insanité et si les grosses rimes volent comme des flèches, c’est pour

mieux venir glisser sur notre cuirasse d’airain bien lustrée par

l'existence.

[…]

Roland, espèce de pitre à bord ...

En ce temps-là, loin d'être un Pythagore, plutôt que de graver l’affront

des mots sur le fronton du temple des latrines, du haut de mes dix ans,

j’aurais déjà préféré que l’on profère avec éloquence des hymnes à

l’Univers, des cantiques à la science et des psaumes poétiques.

Comme de belles métaphores en fleurs des champs sur le flanc de

Sion, pour étendre ma pataphysique naissante au jardin de Jarry, entre

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celui des supplices de Mirbeau et celui des délices chantées par les

prophètes.

De tout mon cœur, j’aurais voulu étendre ma compréhension de ce

vaste Monde, Des origine des espèces à la fin du Sapiens, pour

accrocher ma pauvre science sur une corde à sous-vêtement infiniment

tendue, éternellement tirée et « raide comme une saillie » (Ces gens-là

de Brel), jusqu’au-delà de la métaphysique ; au travers du jambage des

dieux (entre les diagonales du temps et les herbages de l’espace) ;

utilisant pour les mots eux-mêmes, les plus précieux, comme des

pinces sans rire, jouant de la harpe verte entre la corde à dessous et la

corde du dessus, dans une sorte d’anaphore répétée comme un écho

quantique entre le chaînon manquant et le chaînon manqué, jouant

ainsi avec vous et avec les mots comme je me joue de la théorie des

cordes à sauter sur une mine de rien.

À y regarder de plus près au microscope Faustrollien, serais-je plutôt

une sorte de Pataphore, entre une pâte à pizza métaphysique et une

pâte à mots emblématique ?

[…]

Notes :

Illustration : l’homme vitruvien, gravure xylographique datée de

l’année 1521, par Cesare Cesariano (1475 - 1543).

(1) La Boutroule ou la boudinette ( le nombril), dans le

vocabulaire picard (Wallon), par analogie avec la Gidouille de

Jarry.

(2) Corps – âme – esprit

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(3) Imaginaire – symbolique – réel

(4) Père – fils – esprit, etc.