La Revue du lycée Rascol 2011

LA REVUE DU LYCÉE

Rascol

Édition 2011

Sommaire

-Le mot du proviseur .................................................. p3

-Présentation de l'établissement..............................p4

-Formations et filières.................................................p8

-Témoignages anciens élèves....................................p23

-Culture & projets à Rascol........................................p24

-Vie au lycée: associations, sport, clubs..................p30

-L’association Rascol-liens..........................................p35

-L’association TSI..........................................................p40

-Histoire: l’origine du lycée........................................p41

-Résultats aux examens 2010...................................p46

-Revue de presse.........................................................p48

-L’album photo.............................................................p50

Cette revue annuelle a été réalisée avec l’aide des enseignants et des élèves du lycée que nous

tenons à remercier.Le projet a été piloté par la direction du lycée L. Rascol en partenariat avec l’association des an-ciens élèves Rascol-Liens.Retrouvez toutes les informations utiles sur le portail du lycée: www.rascol.net

Lycée & Lycée Professionnel Louis Rascol Greta 10, rue de la République 81012 ALBI Cedex 9

Tel : 05 63 48 25 00 / Fax : 05 63 48 25 03

Le mot du proviseur

Situé au cœur d'Albi, le lycée louis Rascol accueille près de 1800 élèves et étudiants.Il est fortement ancré dans le tissu social et économique du territoire et constitue une vraie force pour l'insertion professionnelle des jeunes. Chaque années, 600 d'entre eux quittent notre établissement diplôme (baccalauréat,

BTS ou licence professionnelle) en poche.Près de 50 élèves accèdent après leur prépa-ration aux grandes écoles.Dans un contexte favorable à l'embauche detechniciens qualifiés, notre lycée offre uncadre de travail idéal à l'apprentissage et àl'épanouissement de nos élèves.Pendant près de dix ans, le lycée a profitéd'une restructuration complète. L'ensembledes bâtiments, des classes, des ateliers, deslieux de vie ont été réhabilités pour offrir à lacommunauté un cadre de travail moderne etagréable.Le lycée L. Rascol et sa Plate Forme Technolo-gique sont autant d'atouts pour les étudiants

qui participent chaque année à des projets industriels en relation avec les entreprises lo-cales.Le Greta est impliqué dans la formation continue et participe chaque année à la valida-tion d'acquis d'expérience.

Cette édition de la « Revue de Rascol » nous donne l'opportunité de vous faire découvrirquelques facettes souvent méconnues de notre établissement, en particulier l'associa-tion sportive ou encore le foyer socio éducatif.Nous avons consacré plusieurs pages dans la présentation des filières et des formations,notamment le futur Bac STI2D (Sciences et Technologie de l'Industrie et du Développe-ment Durable) qui sera proposé aux élèves dès la rentrée prochaine.C'est aussi pour vous, l'occasion de découvrir les derniers projets culturels pour lesquelsnos élèves et leurs enseignants se sont investis tout au long de l'année.L'association des anciens élèves « Rascol-Liens », présente son actualité et les diffé-rentes actions qu'elle mène, notamment pour faciliter les retrouvailles des anciens ca-marades.Enfin, un extrait de « La sup d'Albi, de ses origines à l'ensemble éducatif Louis-Rascol » deJustin Combelles (ancien élève décédé en 2007) retrace l'histoire de la création du pre-mier bâtiment (aujourd'hui le bât A), qui constitue la partie ancienne de notre établisse-ment, qui allait devenir quelques années plus tard le Lycée Louis RASCOL.

Je vous souhaite une riche lecture de l’édition 2011 de la Revue de Rascol.

Guy MUÑOZ, Proviseur

Revue L. Rascolédition 2011 -3-

Présentation del'établissementDepuis la fin du 17ème siècle, le site est le siège d'un établissement d'étude.Collège des Jésuites d'abord, Grand Séminaire avec les Lazaristes jusqu'au début du 20èmesiècle (avec Emile COMBES parmi les élèves), le premier établissement public d'enseigne-ment s'installe rue de la République en 1905.

École Primaire Supérieure, puisCollège Moderne et Techniqueet Collège Louis Rascol (du nomde son second Proviseur) l'ÉcoleNationale d'Enseignement Tech-nique laisse place en 1960 auLycée Technique d'État LouisRascol.

Avec la loi de décentralisation etle transfert des Lycées à la Ré-gion Midi-Pyrénées, les deuxEtablissements Publics Locauxd'enseignement

« Lycée et Lycée Professionnel Louis Rascol » constituent L'ENSEMBLE EDUCATIFLOUIS RASCOL.

L'ensemble Educatif Louis Rascol regroupe sur un Campus de treize hectares plus de1800 élèves, étudiants et stagiaires de la Formation Continue.430 membres du personnel assurent la totalité des fonctions d'accueil et d'héberge-ment, d'enseignement et de formation.

Tous les ans 800 élèves et étudiants se présentent à cinq Baccalauréats Professionnels,un Baccalauréat Professionnel par apprentissage, dix Baccalauréats de l'enseignementGénéral et Technologique, huit Brevets de Techniciens Supérieurs, aux Concours Com-muns Polytechniques d'accès aux Grandes Ecoles d'Ingénieurs ainsi qu'à la Licence Pro-fessionnelle « Conduite et Gestion de Projets Industriels en PME ».

Avec les services du GRETA du Tarn et du pôle industriel du GRETA, ce sont environ 2500personnes qui fréquentent chaque jour cet établissement.En application de la loi d'orientation pour l'éducation, le Lycée se préoccupe de la for-mation de ses élèves, initiale et continue, de l'aide à l'élaboration de leur projet d'orien-tation et au travers d'un suivi étroit et renouvelé d'une part, grâce aux efforts accomplispour organiser une bourse des emplois d'autre part, de leur insertion professionnelle.


L'Histoire de l'établissement témoigne de sa vocation à contribuer au développementéconomique de la Région par l'organisation dès l'origine, d'un enseignement technolo-gique industriel et commercial adapté et en étroite cohérence avec les besoins des en-treprises.Les évolutions successives ont conduit à compléter « la carte du Lycée » et c'est mainte-nant un établissement polyvalent qui accueille les élèves pour des études économiques,scientifiques ou technologiques. Il s'agit là d'une richesse véritable qui résulte du re-groupement sur un même site des spécialités et des talents les plus divers et les pluscomplémentaires.

Le second atout de l'établisse-ment consiste en un partagequi s'établit naturellemententre le Lycée Professionnel etle Lycée d'Enseignement Gé-néral et Technologique.Là encore il y a enrichissementmutuel des projets, des pour-suites d'études, des échangesd'expérience et la mise encommun de savoir et de savoir-faire.Établissement ressource, leLycée l'est particulièrementpour son environnement in-dustriel : au travers des projets

industriels et technico-commerciaux conduits par les étudiants, des stages des étu-diants, des aides et des conseils apportés par les Professeurs. Parce qu'à Rascol sont for-més nombre des futurs acteurs de l'économie locale, des liens forts s'établissent entreles Lycées et l'entreprise.« L'espace entreprise » défini au projet de restructuration, ce sont des locaux bien identi-fiés, des ressources offertes et des services rendus. Image de la politique de partenariatmenée par l'établissement, il doit mieux la faire connaître et en multiplier les effets. LaPlate-forme technologique ouverte à la rentrée scolaire 2001 y contribue fortement.Dans un bassin d'emploi qui a connu depuis quarante ans de nombreuses évolutionsavec tout d'abord la disparition des industries traditionnelles (minières et sidérurgiques)puis leur remplacement par des entreprises de petite taille aux activités diversifiées,l'ensemble éducatif a accompagné cette évolution par un développement et un enrichis-sement de ses formations pour répondre aux besoins.Le souci constant a été celui de la cohérence de ces dernières entre elles.Depuis neuf ans, la restructuration et la rénovation des locaux prennent en comptel'évolution des pratiques pédagogiques, l'apport des nouvelles technologies pour l'in-formation et la communication, les nouvelles missions et notamment celles de la Forma-tion Continue.Il s'agit là de préparer les vingt années à venir.Les personnels de l'établissement apportent leur aide et leurs conseils. Ils sont concer-nés par ce grand projet et s'impliquent.

Présentation de l'établissement Revue L. Rascolédition 2011 -5-

Vue de l’ensemble de l’établissement (dessin Charles Brizio)


Vue de l’ensemble de l’établissement Revue L. Rascolédition 2011 -7-

Formations et filières Revue L. Rascolédition 2011 -8-

Formations et filièresLycée SECONDES

retrouvez le détail des formations sur: www.rascol.net


Formations et filièresLycée BAC STI2D

Le bac technologique STI fait place au bac STI2D, comprenez «Sciences et technologiesde l’industrie et du développement durable». Dès septembre prochain, les filièrestechnologiques STI seront regroupées en 4 thématiques. Les futurs bacheliers auront

une formation plus adap-tée au monde du travail…vert !

Ambitieux, innovant, lenouveau bac STI2D débar-quera dès la rentrée. Sonobjectif principal? Acquérirune démarche scientifiquepar des activités pratiques.Au programme: les ma-tières traditionnelles, dufrançais à l’histoire-géo enpassant par les maths, as-sociés à quatre thèmesd’approfondissement: In-novation technologique etéco-conception (ITEC), Sys-tème d’information et nu-mérique (SIN), Energie etenvironnement (EE), etenfin Architecture et

construction (AC). Les changements visent à moderniser ce diplôme qui s’adapteramieux aux besoins des recruteurs.

Les enseignements transversaux permettent:

-D’acquérir les concepts de base de la technologie industrielle et de les appliquer dansune logique de développement durable-De mettre en œuvre une approche pluri technique montrant la richesse des solutionstechniques intégrant : la MATIERE, l’ENERGIE, l’INFORMATION-De communiquer, notamment en LV 1

Des activités concrètes :Investigation technologique

AnalyseExpérimentation

ModélisationÉtude de cas concrets

Travail en équipeDémarche de projet industriel


Formations et filièresLycée STI2D


Formations et filièresLycée STI2D


Formations et filièresLycée BAC S: Scientifique


Formations et filièresLycée BAC ES: Economique et SocialeUNE SERIE PLURIDISCIPLINAIRE POUR COMPRENDRE LE MONDE CONTEMPORAIN

Le bac ES est le plus équilibré des bacs généraux. Il offre une formation complète (ensciences humaines, maths, lettres, langues…) et donne une solide culture générale, avecune dominante économique et sociale. Il s’adresse à ceux qui veulent comprendre les principaux enjeux du monde contempo-rain et le fonctionnement de l’économie et de la société dans laquelle ils vivent. Il viseà construire et développer l’esprit critique. Il prépare à la poursuite d’études supé-rieures.

CE QUE JE SOUHAITE DECOUVRIR ET APPROFONDIR AVEC UN BAC ES

l’économie, la sociologie et les sciences politiques avecles SES (sciences économiques et sociales), afin demieux comprendre les économies et les sociétéscontemporaines (les revenus, la consommation, laBourse, l’emploi, la mondialisation, les inégalités, lesphénomènes culturels…)mais aussi l’histoire géographie et l’étude du XXèmesiècle ou

encore les maths, les lettres, les langues…


Formations et filièresLycée

BAC STG: Sciences et Technologie de la Gestion


Formations et filièresLycée

BTS CPI: Conception de Produits IndustrielsTitulaire d’un baccalauréat technologique (futur baccalauréat Sciences et Technologiede l’Industrie et du Développement Durable, STI2D), scientifique option Sciences de l’In-génieur ou professionnel avec une dominante dans le domaine du Génie électrique, tupourras intégrer cette formation, très recherchée par les entreprises. Elle te permettrad’acquérir des compétences solides en créativité, en conception et en définition de pro-duits innovants. Tu pourras alors t’intégrer dans une équipe afin d’exercer les activités

telles que :concevoir dans un bureau d’études, à partird’un cahier des charges, tout ou partie d’unproduit, d’une machine spéciale ou d’un pro-totype, dimensionner au mieux certainespièces ou composants, optimiser le choix dumatériau et du procédé de fabrication enprenant en compte les impacts environne-menaux, définir en dimensions et en formesles différentes pièces constituant l’ensem-ble, rédiger des documents annexes telsque notices de montage, de maintenance,…

Les débouchés sont donc multiples : bureaux d’études, services recherche développe-ment, suivi d’affaires,…et ceci, dans des secteurs d’activités très variés tels que lestransports (aéronautique, automobile, ferroviaire, construction navale,…), les biensd’équipement grand public, les équipements spéciaux destinés aux entreprises,…

BTS ET: ElectrotechniqueLe titulaire du BTS Electrotechnique exerce son activité dans tous les secteurs indus-triels :- en bureau d'étude : conception d'armoire, réalisation de schémas, choix de consti-tuants, programmes d'automates, conception d’installation de production par énergierenouvelable- en atelier : câblage d'armoire, mise en serviced'équipements, paramétrage de variateurs, miseau point de programmes- en service de maintenance- en clientèle : installation et mise au point sursite. Il devra en outre être un homme de dia-logue et de communication capable d'animer desréunions de groupes de travail.Quelques savoir-faire professionnels:Concevoir une armoire de commande, choisir lesconstituants; concevoir un programme d'automa-tisme. Concevoir une installation de production d’énergie renouvelableRéaliser le câblage d'une armoire électrique et effectuer les procédures de test.Raccorder au réseau et mettre en service un équipement électrique. Paramétrer unconstituant complexe. Effectuer un diagnostic sur un équipement. Mettre en place unprotocole d'essais pour identifier un dysfonctionnement.Faire des mises au point, effectuer des réglages et paramétrages sur site...


Formations et filièresLycée BTS IRIST: Informatique et Réseaux pour Industrie

et Services TechniquesTitulaire d’un baccalauréat technologique (Sciences et Technologie de l’Industrie et duDéveloppement Durable, STI2D), scientifique option Sciences de l’Ingénieur ou profes-sionnel avec une dominante dans le domaine du Génie électrique, tu pourras intégrer

cette formation, très recherchée par les entre-prises. Elle te permettra d’acquérir des compé-tences solides en informatique.Tu pourras alors t’intégrer dans une équipe afind’exercer les activités telles que :la conception matérielle et/ou logicielle de sys-tèmes informatiques ;la programmation de logiciel ;la configuration et la maintenance de réseauxinformatiques, ainsi que le développement desystèmes communicants ;l'installation, l'exploitation et la maintenancedes systèmes informatiques, la commercialisa-tion des systèmes informatiques.

QUALITES REQUISESCuriosité pour les nouvelles technologies ;Capacité d’abstraction, goût pour la programmation ;Dynamisme, esprit d’équipe et aptitude à communiquer ;Autonomie dans l’action et la prise d’initiatives.

BTS EN: Système ElectroniqueTitulaire d’un baccalauréat STI Génie Electronique ou Electrotechnique (futur Scienceset technologies de l'industrie et du développement durable), baccalauréat scientifiqueoption Sciences de l'ingénieur (S - SI) ou professionnel SEN, cette formation te permet-tra d’acquérir des compétences solides en analyse de structure électronique, en produc-tion, test et validation d’équipement, ainsi qu’eninstallation et maintenance de systèmes.Tu pourras alors t’intégrer dans une équipe afind’exercer les fonctions suivantes :création de nouveaux produits, programmationdes microprocesseurs et des circuits logiquespersonnalisables,assemblage et interconnexion, tests, mise aupoint, installation, maintenance de systèmesélectroniques management de projets, établisse-ment de devis…Les débouchés sont donc multiples : étude et développement, intégration et mainte-nance, suivi d’affaire. Ils sont présents dans les secteurs d’activités très variés tels queles télécommunications, l’informatique, les multimédias, le médical, l’instrumentation,l’électronique embarquée (voiture,avion,…), la robotique ainsi que dans la production.


Formations et filièresLycée BTS IPM: Industrialisation des Produits Mécaniques

Titulaire d’un baccalauréat technologique (futur baccalauréat Sciences et Technologiede l’Industrie et du Développement Durable), scientifique option Sciences de l’Ingénieur

ou professionnel avec une dominante dans le domaine duGénie mécanique, cette formation, très recherchée par lesentreprises, te permettra d’acquérir des compétences so-lides dans la conception et la définition de processus d’ob-tention de pièces mécaniques.Tu pourras alors t’intégrer dans une équipe afin de :concevoir en ingénierie simultanée,de participer à la création et à la définition des produitslors de la phase de pré-industrialisation,déterminer les objectifs de production (coûts délai, qua-lité),organiser et optimiser les moyens de production,animer et diriger une équipe de production,définir les processus de fabrications,gérer la disponibilité des produits et des moyens,assurer la maîtrise de la qualité.QUALITES DÉVELOPPÉES PENDANT LA FORMATION

Curiosité technologiqueDynamisme, esprit d’équipe et aptitude à communiquer, Autonomie dans l’action et prise d’initiatives

BTS MAI: Mécanique et Automatisme Industriels

Le BTS M.A.I est une formation polyvalente. Un technicien supérieur M.A.I est capable de concevoir, réali-ser et intégrer un système automatisé piloté par AutomateProgrammable Industriel (API) en utilisant les technologiesélectriques, pneumatiques et hydrauliques (vision artificielle,réseau d’automates, …).Sur un système industriel réel support de la formation, ilréalise :-la prise en main d’un cahier des charges rédigé avec un in-dustriel, la partie opérative en CAO 3D (Conception Assistéepar Ordinateur),- le choix de composants technologiques (mécanique, hydrau-lique, pneumatique, électrique),-la réalisation de schéma hydraulique, pneumatique, élec-trique-l’assemblage de la partie opérative,le câblage des circuits électrique, pneumatique et hydrau-lique,-la mise au point du programme d’application de l’Automate programmable,- les dossiers de réalisation, d’utilisation et de maintenance.


Formations et filièresLycée BTS CGO: Comptabilité Gestion des Organisations

L'objectif du BTS CGO est de former des techniciens spécialisés et performants dans lesdomaines de la comptabilité de gestion et de la comptabilité financière :-organisation du système d’information,-gestion des relations avec les salariés et les organismes sociaux,-gestion fiscale et réalisation des déclarations fiscales,-établissement et analyse du bilan et compte de résultat,-contrôle de gestion : calculs des coûts, études prévisionnelles,-gestion de la trésorerie, du financement des investissements.Ce BTS vise aussi à donner aux étudiants :des compétences en matière de communication au sein des organisations,des connaissances lui permettant d’envisager une poursuite d’études conseillée pours’adapter à l’évolution du métier.

QUALITES REQUISESUn sens logique affirmé pour une meilleure utilisation de l’outil informatique,Une bonne aptitude à gérer son temps,Du dynamisme pour profiter au mieux d’un travail autonome,Un esprit ouvert sur le travail en équipe,Une bonne organisation pour optimiser son travail.


Formations et filièresLycée Professionnel

3DP: 3ème Découverte Professionnelle

Avec 6h d’enseignement de découverte professionnelle, 2h de technologie, 21h d’ensei-gnement général ainsi que 2 semaines de période de formation en entreprise.

Quelques savoir-faire professionnelsde la formation :-Stage de découverte et d’aide dans lechoix d’orientation futur-Réalisation d’objets avec l’objectif deconnaître le métier associé-Visites d’entreprises industrielles-Participation à des projets impliquantle travail d’équipe-Initiation à l’utilisation de la chaîne nu-mérique (CAO, FAO)-Visite de salons en lien avec la décou-

verte de métiers (Industrie, automobile, …)-Participation au fonctionnement d’une mini-entreprise au sein du lycée

Tu veux réaliser des objets en atelier, tu veux t’impliquer et participer à des projets inno-vants et enrichissants, tu veux découvrir tous les métiers pour choisir sereinement tonorientation en BAC PRO : la 3°DP6 est faite pour toi!

BAC. PRO. M.E.I.: Maintenace des Equipements Industriels

Formation sur 3 ansAvec 14h d’enseignement professionnel, 20h d’enseignement général ainsi que 22 se-maines de période de formation en entreprise réparties sur les 3 ans.

Quelques savoir-faire profes-sionnels de la formation :-Installer, mettre en serviceune machine.-Assurer une maintenancepréventive-Diagnostiquer une panne.-Contrôler - mesurer - tester -régler - améliorer un équipe-ment automatisé.-Lire des schémas ou des plans de constructeurs (même en langue étrangère).-Assurer la traçabilité de ses interventions.-Appliquer les règles de sécurité.



BAC. PRO. TU: Technicien d’Usinage

Formation sur 3 ans- Avec 14h d’enseignement professionnel, 20h d’enseignement général ainsi que 22 se-maines de période de formation en entreprise réparties sur les 3 ans.Qualités souhaitées- Esprit logique- Habileté manuelle- Capacités de jugement et d’autonomieMatériels utilisés- Ordinateurs, simulateurs d’usinage - Machines à commande numérique- Matériel de mesure

Mon métier« A partir d’un plan et d’un dossier de fabrica-tion, je réalise la production de pièces méca-niques à l’aide de machines outils.

Ces pièces sont destinées à intégrer des ensembles mécaniques divers : automobile, aé-ronautique, outils industriels,… »

BAC. PRO E.L.E.E.C.: Electrotechnique, Energie, EquipementsCommunicants

Formation sur 3 ansAvec 14h d’enseignement professionnel, 20h d’enseignement général ainsi que 22 se-maines de période de formation en entreprise répartie sur les 3 ans.

Quelques savoir-faire professionnels de la formation :- Interpréter des schémas électriques et des documents de constructeurs.- Réaliser des installations électriques en autonomie en respectant le cahier descharges et les normes.- Mettre en service une installation.- Contrôler, mesurer, tester, paramétrer un équipement..- Diagnostiquer une panne et remettre en service- Assurer la traçabilité des interventions.- Travailler en toute sécurité.


BAC. PRO. CARR: REPARATION DES CARROSSERIES


Formation sur 3 ansAvec 14h d’enseignement professionnel, 20h d’enseignement général ainsi que 22 se-maines de période de formation en entreprise répartie sur les 3 ans.

Quelques savoir-faire professionnelsde la formation :

ACTIVITES DE SERVICE : Accueil / Diag-nostic avant réparation / ExpertiseREPARATION DES CARROSSERIES : Dif-férentes techniques de redressage /Réparation d’éléments soudés en acieret aluminium / Réparation d’élémentscompositesMECANIQUE – ELECTRICITE ELECTRO-NIQUE : Etude des organes électriques

/ Etude de l’électronique embarquéePEINTURE DES CARROSSERIES : Préparation des fonds.Différentes techniques d’application / Application de peintures à effets spéciaux, métal-lisées et nacrées

BAC. PRO. M.V.A: MAINTENANCE des VEHICULES AUTO


Témoignages d’anciensélèves

Isabelle PREGET 1998 - 2000 (responsable études et développement SAFRA- Carrosserie industrielle et ferroviaire) : "Passionnée par la mécanique et lesautomatismes, j'ai choisi à la suite d'un BAC S Option Technologie d'intégrerla section BTS CPI de Rascol. Les connaissances acquises lors de cette forma-tion m'ont donné envie de les approfondir. Pour ce faire, j'ai intégré sur dos-sier l'Ecole Nationale d'Ingénieur de Tarbes. J'ai rejoint l'équipe SAFRA à lasortie de l'école comme ingénieur d'études. Six ans après, j'ai la responsabi-lité d'un bureau d'études de six personnes."

Christophe GOUT 1998 - 2000 (responsable Bureau d’Etudes / Recherche etDéveloppement INFACO) :« Après un BTS CPI à Rascol, je suis rentré directement au CRITT sur un postede dessinateur projeteur puis au bout d’un an de responsable bureaud’études mécaniques. Repéré par la société INFACO, j’ai par la suite intégrécelle-ci pour devenir responsable du service Bureau d’Etudes / Recherche etDéveloppement. »

Xavier ROUCAYROL : En poste chez un sous-traitant aéronautique (Falgay-ras) à Toulouse depuis mon BTS (3 ans déjà!). Je suis en alternance entre laligne de production de produits Airbus et la maintenance électronique pourdivers clients (Eurocopter, Liebherr et d'autres...). Je dois prochainementprendre la tête d'une nouvelle ligne de production pour l'Airbus A400MLe BTS me permet d'évoluer plus facilement dans ma carrière profession-nelle. De plus grâce à mon diplôme j'effectue un travail polyvalent, c'est plusintéressant et ça permet de casser la routine. Et enfin le salaire est tout à faitconvenable.

Thomas BONAFOUS C’est au lycée Rascol que j’ai obtenu le BAC STI géniemécanique en 2003 ; puis un BTS productique mécanique en 2005.Le BTS m’a permis d’intégrer l’université et de passer une licence profes-sionnelle « gestion de la production industrielle ».En 2006 je termine mes études, et je suis aussitôt embauché en CDI commetechnicien lancement dans une importante entreprise sous-traitant pourl’aéronautique; un an plus tard j’étais promu chargé d’affaire et l’année sui-vante, le poste de gestionnaire matière m’était proposé.

Lucille MEDEL : J'ai intégré la formation BTS SE après un BaccalauréatGénie Electronique en 2007. Ces deux années m'ont permis d'approfondircertaines connaissances mais aussi d'en acquérir beaucoup d'autres lors Deplus l'équipe pédagogique a toujours été d'un grand soutien et à l'écoutepour nous conseiller dans nos poursuites d'étude. La formation reçue m'a donné la possibilité d'intégrer une classe prépara-toire puis une école d'ingénieur (l'ENSEIRB) où je suis encore étudiante enapprentissage avec comme entreprise Thales Systèmes Aéroportés où jetravaille dans le traitement du signal.


Culture & projets àRascol


Culture & projets à Rascol Revue L. Rascolédition 2011 -25-

Les multiples visages de la culture au Lycée Professionnel Louis Rascol

Depuis de nombreuses années les équipes du Lycée Professionnel élaborent des pro-jets culturels de qualité où se côtoient savoir faire professionnel et culture générale.Cette cohésion est sans doute une des clefs de la réussite de nos élèves, car elle leurpermet de faire le lien entre les différents savoirs dispensés.Les quelques actions dont nous avons choisi de vous parler pour ce premier numéro ontdébouché sur des réalisations concrètes, tangibles qui s'inscrivent dans le temps etprouvent que l'apport culturel est une donnée incontournable dépassant largement lecadre scolaire et la formation professionnelle. L'ouverture culturelle, dans son sens leplus large est au centre de l'épanouissement de l'individu et du citoyen.Nous privilégions donc l'ouverture culturelle par de multiples entrées :

-le cinéma, pour conduire les jeunes vers des oeuvres difficiles parfois, inhabituellespour eux, avec les dispositifs « Collège au cinéma » avec Média-Tarn, les cinémas d'Albi et« Lycéens au cinéma » en partenariat avec L'ACREAMP et la salle Arce/ l'Athanor scènenationale.

-le théâtre avec des compagnies ou des acteurs que nous recevons au lycée pour initier les élèves à la lecture d'oeuvres ou pour mettre en scène leurs productions. Des projets autour de la Sécurité routière ont permis la rencontre avecMallory Casas, comédien et metteur en scène pour jouer une pièce « la mob et les motsde Roméo » avec les 3èmes et en faire écrire et jouer une autre avec les grands élèves «Kill game, jouet mortel ». Cette année 2011, lors de la semaine des arts, nous accueillons un metteur en scène Rol-land Berger de la compagnie « les mangeurs d'toiles ».

-le jeu avec « Les chevaliers des mots », compétition de dictée lexicale pour apprendre àépeler des mots sans fautes sans oublier les accents, les traits d’union, les trémas. Des« joutes » sont organisées au CDI jusqu’à la grande finale pendant la semaine des Artsorganisée au Lycée du 21 au 25 mars.

-la chanson : des élèves ont pu travailler sur l'œuvre del'artiste, découvrir son l'univers artistique et jouer avecses mots aidé par Chantal Armagnac de l'associationClaude Nougaro.

-la littérature, sous forme de rencontres et d'échangesavec des écrivains. Nous avons reçu par exemple, Abdelkader Djémaï, écri-vain francophone d'origine algérienne, auteur de « Un étéde cendres » (1995 folio Gallimard). En 2008 les 3ème ontreçu Vincent Cuvellier, auteur du livre jeunesse « Kilomè-

tre zéro » et cette année ils rencontreront en avril un poète contemporain, critique ettraducteur d’italien et de russe, rédacteur en chef de la revue Europe, Jean BaptistePARA, en partenariat avec Clérisse Carrasco de la Médiathèque d’Albi et ’associationARPO (Animations, Revues, Rencontres en poésie Albi Tarn )


Culture & projets à Rascol

- Des ateliers d'expression aboutissant à des réalisations de recueils, d'expositions oude mise en scène avec Une Edition « les éditions du Carrosse Imaginaire » qui ont pudonner le jour à deux ouvrages « Imaginez Venise, Immaginate Albi » - fruit d'un échangeculturel entre un lycée de Mestre et le Lycée Professionnel Louis Rascol- et « Masque lesenfants perdus », un recueil de poèmes et d'illustrations d'élèves.

- Des découvertes originales et des pratiques spécifiques pour les 3èmes : du hip hopet de la danse contemporaine en partenariat avec l'ADDA du Tarn, avec un danseur pro-fessionnel : Fabrice Labrana de la Compagnie Camargo, du Rap avec Pierre Khattou dugroupe Urban Kultur, du cirque avec Richard Tarditi de la compagnie des Razigoux. Enfindu Slam en partenariat avec la MJC et la réalisation d'un CD avec des 3èmes et des Ter-minales Bac Pro.

-La création d'un atelier d'écriture en 2010-2011 ouvert à toutes et tous, « Ricochets, Midi deux mots », qui est moment convivial d'échanges, d'initiation à l'écri-ture de poésies, de carnets de voyages, d'articles.

-Des créations cinématographiques : un film d'animation « Georges » avec la compa-gnie la Ménagerie, un film sur le thème de la sécurité routière « Eclats sang lendemain».

- Des expositions : « Little Toys » Exposition de machines sonores réalisées avec l’aidede l’artiste Basile Robert et du GMEA, Centre National de Création musicale d’Albi-Tarn.Ces machines fabriquées avec des objets récupérés, commandées à distance, seront ex-posées salle télé du CDI du Lycée Rascol du 25 mars au 8 avril 2011.

-Des réalisations techniques : en section carrosse-rie, la classe de terminale Carrosserie obtient en mai2009, le 3ième de prix de la réalisation techniquepour le concours national organisé par la sociétéAtlas Copco, avec la réalisation de « Ecostyle », unemoto munie d'un pédalier « le style sans la pollution».

-Des voyages d'étude à Paris au Mémorial de laShoah et en Pologne, à Auschwitz, qui ont donné lieu

à des rencontres inoubliables avec d'anciens déportés.

-Des créations de cartes format flyers expliquant le pourquoi et le comment des élec-tions, cartes élaborées par les 3èmes professionnelle et distribuées à tous les élèves de1ère et de Terminale d’Albi.

-La participation au concours d'Eloquence organisé par la Fondation la Dépêche et leRectorat, pour lequel, en 2010 la classe de 1ère Bac Pro carrosserie a obtenu le 3 ièmeprix, et en 2011, la classe de 1ère Bac Pro ELECT a obtenu le 2ième prix.


Culture & projets à Rascol

Un projet spécifique au Lycée professionnel louis Rascol.« Initiation à la philosophie en classe de terminale Bac pro »

Depuis de nombreuses années, le lycée louis Rascol dispense trois à quatre séances (paran) de 2h chacune, d’initiation à la philosophie aux élèves de terminale bac Pro.

Ce projet a pour objectifs:-L’ouverture des élèves aux cultures par une ap-proche philosophique.-Le développement de la réflexion et de l’esprit cri-tique sur des grands thèmes historiques et cultu-rels.-L’aide à la prise de parole en groupe.-Favoriser la liaison Bac. Pro – BTS en proposant auxélèves de Bac.Pro « Les mêmes outils » que leurs ca-marades du LGT.

Responsable du projet : M. HADIDOU, professeur demathématiques/sciences physiques et coordonna-teur « action culturelle » du lycée Louis Rascol, enpartenariat avec les équipes pédagogiques et unprofesseur de philosophie du Lycée

Des actions communes Lycée -Lycée professionnel

Dans le cadre de son projet d’établissement, le lycée organise des temps forts autourd’un sujet de société. Ainsi par exemple une action autour du thème « Prévention desviolences conjugales » a été organisée en 2009 :Cette action organisée par M Hadidou, avait pour objectif la sensibilisation des élèves etétudiants de la cité scolaire au problème de la violence conjugale et plus généralementcelui de la violence.

L’action s’est déroulée sur deux journées :Une journée au cours de laquelle les élèves ont assisté à la pièce « A bâtons rompus dethéâtre de la troupe « la compagnie du quatre » suivie d’un débat et échange avec lacompagnie. Quelques élèves volontaires ont participé par la suite à des groupes d’ex-pression.

La deuxième journée était consacrée à une rencontre avec madame H. PREVOT, juristeet déléguée aux droits des femmes auprès de la préfecture du Tarn.



Des lycéens en Argentine!

Sean realistas : pidan el imposible. Ernesto Guevara.(Soyez réalistes : demandez l'impossible.)

L'Argentine, pays de rêves et d'émotions, lieu de rencontres culturelles au climat chaleu-reux comme ses habitants, est la destination qui a séduit notre classe de premières S1 du lycéeLouis Rascol. Fin octobre, afin de terminer cette année 2011 en beauté, nous allons voler audessus de l'océan Atlantique en direction de l'inconnu.Notre projet :

Nous nous rendons dans le pays des gauchos et du tango afin d'accomplir une missionhumanitaire. En effet, nous voulons aider la fondation huertaniño qui soutient les peuples pre-

miers à devenir autonome. Nous noussommes intéressés plus particulièrement aupeuple Wichi. Nous irons donc à l'école pri-maire Mancapa dans le hameau de Añatuyaavec nos correspondants argentins que nousaurons rencontrés auparavant. Là-bas, nousparticiperons à la construction d'un puitspour favoriser l'irrigation des cultures desWichis.

Nos actions : Nous avons tout d'abord créé l'association Lycéens Rascoliens en Argentine pour récolter

et placer des fonds. Tout d'abord, nous avons reçu un financement du Conseil Régional de la ré-gion Midi-Pyrénées. Ensuite, nous arrivons à collecter de l'argent grâce à de nombreux sponsorset quelques dons : hypermarché Géant Casino, Crédit Agricole, Caisse d'épargne, Alliance Fran-çaise du Capitole et Association de Loto «Les Templiers».

Puis nous participons activement au financement à moindre échelle de notre projet :vente de gâteaux au lycée, vente de cartes de membres bienfaiteurs de notre association,vente de tickets de tombola, organisation d'une soirée tango.Notre ressenti :

Nous ne réalisons pas vraiment ce qui nous attend. Cependant, grâce à la vue de diffé-rents magazines et films, nous espérons découvrir des paysages splendides et une culture trèsriche, des modes de vie différents du nôtre. De plus, nous attendons avec impatience notre ren-contre avec les Wichis, qui ont une vision cosmogonite du monde : en effet ils considèrent quec'est l'Homme qui appartient à la Terre et non l'inverse comme les Européens. L'action humani-taire qui va leur être proposée sera une expérience humaine très enrichissante pour nous quin'avons pas l'habitude de côtoyer des peuples premiers.

Nous serons heureux de vous accueillir lors de la soirée tango qui aura lieu le 20 avril2011 vers 20 heures au réfectoire du lycée Louis Rascol à Albi. Au programme, il y aura unrepas argentin accompagné d'une démonstration de tango avec une initiation pour ceux qui ledésirent, ainsi qu'une tombola avec de nombreux lots. Nous vous rappelons également quenous organisons une vente de délicieux gâteaux et de crêpes savoureuses tous les lundis à9h50 et 15h35 devant la vie scolaire du lycée général. Nous comptons sur votre soutien pourque notre projet aboutisse et que nous puissions découvrir la vie exaltée de Buenos Aires.

Réservation :Lycéens Rascoliens en Argentine.Mme Itrisso : 06.35.57.20.50

Vie au lycéeLe Lycée et le Lycée Professionnel Louis Rascol à Albi accueillent plus de 1800 élèves et étu-diants.Situé en centre ville sur un campus de 14 hectares, il propose des formations conduisant auBaccalauréat Professionnel, Baccalauréat Général et Technologique Industriel et Tertiaire.Le secteur post-bac comprend huit sections de techniciens supérieurs différentes des do-maines industriels et tertiaires, deux classes préparatoires aux grandes écoles et une li-cence professionnelle en partenariat avec l’Université Paul Sabatier.

Le CDI est situé au cœur de l’établissement, au rez de chaussée du bâtiment face à lagrille d’entrée, dans le prolongement de la vie scolaire du lycée général et technolo-gique et de la salle des professeurs. Sa capacité d’accueil est de 70 élèves, 16 postes in-formatiques permettent aux élèves de faire des recherches en autonomie.

Il est composé de différents espaces de lecture et de travail,du bureau du conseiller d’orientation et d’un bureau pour leresponsable de l’E.N.T (espace numérique de travail).

Dans le prolongement du CDI, il y a une salle informatiqueavec 16 postes et 30 places assises et une salle de vidéo pro-jection pouvant accueillir 30 personnes.Trois enseignantes documentalistes (Thérèse LAGARRIGUE,

Charlène DUQUESNES BISTES et Nelly FOUGASSIES) assurent les diverses missions in-combant à leur fonction (accueil, pédagogie, gestion du fonds documentaire et ouver-ture vers l’extérieur).L’accueil est assuré sans interruption tous les jours à partirde 7h45 à 18h50 le lundi, 18h20 le mercredi et 19h45 chaquemardi et jeudi.Les documentalistes assurent la consolidation voire la forma-tion aux sciences de l’information à tous les nouveaux élèvesou étudiants arrivant dans l’établissement, ceci pendant deuxheures.Elles s’investissent également dans des projets pédagogiques en partenariat avec desenseignants d’autres disciplines. Il s’agit cependant, essentiellement de professeurs delettres, de langues ou d’histoire.

C’est ainsi que cette année parmi les projets culturels ou pé-dagogiques menés au CDI, il y a le concours de la Bande Dessi-née, le concours des Chevaliers des Mots, le concoursd’éloquence, le voyage culturel au musée Dali, la visite desmusées : musées des Augustins et des Abattoirs à Toulouse,musée Lapérouse ou Toulouse Lautrec à Albi, le concours delecture, la préparation du voyage à Madrid, en Argentine, desséquences pédagogiques pendant la semaine de la presse …

..Etc.les PPCP, projet pluridisciplinaire à caractère professionnel ;TIPE, Travail d'initiative per-sonnelle encadré ;les modules, l’ECJS, éducation civique et juridique ; les AP, accompa-gnements personnalisés……et bien sûr d’autres enseignements avec ou sans lacollaboration des documentalistes qui nécessitent le CDI comme lieu de travail.


Vie au lycée

L'internat du Lycée Louis Rascol accueille 300 élèves, de la classe de seconde auxclasses préparatoires. Cet internat se repartit sur deux bâtiments implantés au coeur del'établissement.Les élèves sont logés au sein de dortoirs en fonction de leurs niveaux d'études, dans deschambres de deux à cinq lits.Les internats sont ouvert dés la fin des cours à 17h40 ainsi que le mercredi après midipour les classes de premières et terminales.Le soir les élèves doivent de présenter à 18h30 au restaurant puis disposent d'un tempsde repos jusqu'à la montée aux dortoirs à 19h40.

Chaque soir, à partir de 20h00, le personnelde surveillance présent organise un tempsd'études variant d'une heure à une heuretrente, organisé en chambres ou en sallesde classe pour les plus jeunes. L'extinction des feux a lieu à 22h30.Les élèves peuvent disposer, à la demandede leurs familles, d'autorisation de sortieafin de pratiquer des activités sportives ouculturelles. Ils disposent alors à leur retourdans l'établissement d'un repas chaud.

Des activités peuvent être mises en placeau sein de l'internat à la demande desélèves. L'année 2010/2011 a vu ainsi la miseen place d'un atelier Hip/hop. Le lycée dis-pose également d'une salle équipée d'unécran géant.Le lycée mettra à leurs disposition dès larentrée 2011 un foyer disposant de jeuxcollectifs ( baby foot, billard).Il est important de noter que l’internat estouvert dès le dimanche soir.

Le ciné club

Le lycée dispose d’une salle de conférences (la salle P. Labérenne) équipée de matérielde vidéo projection.Chaque jeudi, une scéance cinéma est propo-sée aux élèves, accompagnée d’un mini débatautour du sujet du film.

Cette salle est aussi utilisée pour la projectionde séries ou pour les grands rendez-vous spor-tifs!


La cafétéria est située dans une des cours du lycée entre le bâtiment B, C et l’ancienneChapelle, dans le prolongement du self avec lequel elle communique Elle est composée de 2espaces distincts et mesure environ 120 m².Interview avec NIKYE, la responsable

Parlez-nous de vous, quel est votre parcours?Je suis arrivée au lycée Rascol en novembre 2000.Auparavant j’ai travaillé à la cafétéria du lycée Belle-vue. C’est l’association de réinsertion « Episode »quim’a proposé le poste. Ayant effectué une très bonneprestation, la directrice de l’Association a souhaité megratifier et m’a proposé la gestion de la cafétéria duLycée Rascol. Connaissez-vous l'origine de la création de la cafété-ria? D’après les renseignements que j’ai pu recueillir, la ca-fétéria n’avait que l’espace « comptoir »comme lieu devie. L’agrandissement et l’ajout du deuxième espace

s’est fait en empiétant sur le self. C’était un CPE : Monsieur GUY, à la retraite aujourd’huiqui a maintenu pendant longtemps cet endroit. L’ouverture n’avait pas d’horaires fixeset était assurée par des surveillants. On ne pouvait y acheter à l’époque que boissons etconfiseries. Le lieu est resté fermé par la suite et c’est l’Association « Episode » qui est àl’origine de la réouverture en signant une convention avec le lycée. Je considère que ladirectrice de cette association m’a vraiment fait un cadeau et je lui en serais toujourstrès reconnaissante.Êtes vous aidé dans votre tâche, par qui le cas échéant ?Aux récréations du matin, une ou un surveillant vient m’aider, ainsi qu’une vingtaine deminutes entre 12h et 13h45. Le reste du temps, 2 ou 3 élèves que je connais depuislongtemps et en qui j’ai toute confiance viennent me seconder quand ils sont disponi-bles.Quels sont les services que vous offrez ?En fait ils sont nombreux et variés.Au niveau de la restauration et des consommations je propose des boissons chaudes oufroides, des viennoiseries, de la sandwicherie et des confiseries.Les loisirs constituent également une part importante du succès et de la fréquentationdu lieu. Dans l’espace comptoir il y a une télévision. Avec la collaboration des représen-tants du Foyer, j’ai pu faire rentrer un baby-foot et un billard américain.C’est un lieu convivial où les échanges avec les lycéens, les étudiants et le personnel del’établissement sont nombreux et importants. Il y a toujours une anecdote, une colère,un souci de travail ou familial à me raconter.Je pense que je joue également un rôle éducatif non négligeable. En effet j’ai fait de lapolitesse et du respect mon cheval de bataille. Les jeunes sont très respectueux des per-sonnes et du matériel (environ 99% d’entre eux ôtent leur casquette ou capuche en en-trant, jettent les papiers dans les poubelles et rangent leur chaise en partant), ce quin’est pas le cas avec tous les adultes de la communauté rascolienne. Je n’hésite pas d’ail-leurs à en faire la remarque si cela se produit, en justifiant que c’est aux adultes salariésde montrer l’exemple aux jeunes.

Vie au lycée Revue L. Rascolédition 2011 -32-

La cafétéria est un lieu de convivialité propice au développement de relations amicales.L’aspect affectif du lieu est très présent. Ma relation avec certains jeunes ou certainespersonnes dépassent le cadre professionnel et une relation de confiance s’est mise enplace. Certains(es) manifestent leur inquiétude quand ils me voient fatiguée. Beaucoupd’entre eux(elles) reviennent me rendre visite amicalement au lycée voire à la maison,d’autres manifestent leur joie de me rencontrer à l’extérieur. Ils(elles) me téléphonent,me tiennent au courant de l’évolution de leur vie.

Quelle est la fréquentation de la cafétéria en nombre et en profil ? Il y a toujours du monde à la cafétéria, des personnes qui s’y arrêtent pour acheter uneviennoiserie ou une friandise, d’autres qui s’arrêtent pour me saluer ou passer un mo-ment avec des personnes présentes. Il n’y a pas de profil type, tout membre salarié (agents, enseignants, personnel adminis-tratif ou non de la communauté rascolienne),Quelle est la capacité d’accueil ? Dans la partie « comptoir », la capacité d’accueil est de 60 places assises (mais il y a tou-jours un nombre supérieur avec les personnes restant debout). L’autre partie étant peuexploitée pendant mes heures d’ouverture je sais par les organisateurs de différentesmanifestations, que le nombre de personnes présentes peut varier de 70 à 80 per-sonnes.Y a-t-il d’autres exploitations du lieu ? Chaque mercredi après midi, la cafétéria accueille la Croix Rouge dans le cadre duJ.A.P.D.Chaque jeudi soir, il y a le Hip-Hop cette année.Régulièrement, les diverses Amicales du Lycée utilisent le lieu pour des rencontres(repas avant les vacances, galette des rois…).D’autres exploitations peuvent avoir lieu ponctuellement.Cette cafétéria est, je me plais à le croire, un lieu très important de vie dans le lycée.D’y travailler, j’accuse beaucoup de fatigue mais aussi et surtout beaucoup de joie ; etsouvent de belles joies et surtout de belles rencontres.

PratiqueLa caféréria est ouverte:De 8h00 à 15h50 le lundi, mardi, jeudi et vendrediDe 8h00 à 13h15 le mercredi.


Vie au lycée

Vie au lycée

L’association sportive au lycée et au lycée professionnel

L’association sportive a pour objectif de permettre aux jeunes lycéens et lycéennes d’enrichirleur pratique dans les activités sportives mais également de s’initier à la connaissance dumonde associatif. Elle est un prolongement des cours d’EPS et chacun de ses membres peut ychoisir des objectifs variés : le perfectionnement dans une discipline précise, la rencontre spor-tive avec d’autres établissements, l’entretien physique ou encore le rôle de jeune officiel dansla gestion d’une compétition ou l’arbitrage.Le lycée Rascol propose des entrainements et des compétitions en athlétisme, en basket-ball,en badminton, en escalade, en football et futsal, en hand-ball, en musculation, en natation, enrugby à VII et à XIII, en sport boules, en tennis de table et en volley-ball.La cité scolaire regroupe chaque années quelques 400 licenciés, soit environ 25 à 30% de l’ef-fectifs du lycée.

Chaque année, les élèves du lycée participe au district des lycées Nord du Tarn qui regroupe 18établissements et propose le mercredi après-midi des ren-contres dans les différents sports pratiqués dans les établis-sements. La participation et les résultats font du lycée et du lycéeprofessionnel Louis Rascol un des piliers du district. Ainsi,en 2009 – 2010, le palmarès de l’établissement reflète le dy-namisme de ses participants : 8 titres de champions départementaux : cross-country ca-dets garçons, basket-ball cadets garçons, football cadetsgarçons, hand-ball cadets et juniors garçons, rugby à VII et àXIII cadets garçons, Volley-ball cadettes filles.3 titres de champion d’Académie : football cadets garçons,rugby à VII cadets garçons et rugby à XIII cadets garçons.2 participations au championnat de France : football cadetsgarçons (13ème), rugby à XIII cadets garçons (3ème).

Pour l’année 2010 – 2011, nous avons pour l’instant cinq titres de champions départementaux,4 équipes en finale académique et une équipe (athlétisme indoor) championne d’académie quitermine troisième au championnat de France.

Au cours du deuxième semestre de l’année scolaire 2010-2011, certains élèves du lycée et dulycée professionnel Louis Rascolvont continuer leur parcours pouressayer d’atteindre et de briller enchampionnat de France pendantque les autres vont participer auchallenge du district : compétitionsur six journées dans des activitésvariées (Futsal, Tennis-ballon,duathlon, canoë-kayak, escalade, tirà l’arc, VTT, etc.). La dernière ren-contre se terminant par une fête dudistrict à Valras.

Volley-ball junior

Equipe rugby CG


L’association Rascol-liensA PROPOS DE L’ASSOCIATION... "RASCOL - LIENS "

L’association des anciens Elèves a été officiellement enregis-trée au Journal Officiel du 2 décembre 1929 sous le nom "An-ciens Elèves de l’Ecole Primaire Supérieure et Professionnellede garçons d’Albi".Toutefois, son origine est encore antérieure,puisque c’est sous l’initiative d’Hubert JEANZAC qu’est crééeen 1920, l’Amicale de l’Ecole Supérieure.Ainsi, notre association a une histoire de près quatre vingt cinq

ans, elle a eu officiellement 75 ans le 2 décembre 2004. (Voir article sur les 75 ans del’Association).L’association dénommée à partir du 20 avril 1969 "Associations des Anciens Elèves de la"SUP" et du Lycée Technique Mixte Rascol" s’appelle aujoud’hui tout simplement

"RASCOL - LIENS" car elle veut marquer les liens inter-générations et ses relations avec l’établissement.

L’association édite un bulletin d’information "RASCOLIENS".

Ses Missions, son Engagement :

1) Envers les anciennes et les anciens :

Aider l’insertion des jeunes sortants, dans le monde du travail, grâce à la bourse d’ em-plois, aux parrainages. Une mise en réseau des anciennes et des anciens pour créer untissu de relations et permettre des échanges de compétences. Des rencontres convi-viales pour redécouvrir le lycée d’aujourd’hui. Collecter des offres d’emploi, pour les dé-butants, comme pour les expérimentés. Actualiser un annuaire de tous les anciens, pourfaciliter les contacts entre promos. Vous aider dans le cadre d’un projet professionnel.

2) Envers le Lycée :

Participer au projet d’établissement du lycée.(les relations avec le proviseur sont perma-nentes.) Les parrainages, témoignages, conférences, stages. La taxe d’apprentissage et en 2005 pour le centenaire du Lycée.

Ancien(ne) Elève, toi aussi souviens-toi et viens apporter ta contribution, dans une am-biance fraternelle et conviviale, afin de faire vivre l’esprit Rascolien au delà du périmè-tre du Lycée.


L’association Rascol-liens

L’édito du présidentUne nouvelle année démarre …

Elle est nouvelle pour le 13ème président de notre association « Rascol-Liens » qui a prisainsi la tête des anciens élèves en mars dernier pour poursuivre la démarche entreprise…Elle est aussi nouvelle pour le nouveau Proviseur du Lycée RASCOL qui a pris les rênesde ce magnifique établissement lors de la dernière rentrée.

En cette période où tout semble morose, (ne vient-on pas de voir que les Français sontles plus pessimistes des peuples interrogés ! Même les afghans sont plus optimistes quenous ! ) essayons de redonner confiance et de nous mobiliser dans une démarche com-mune et conviviale, sans se centrer que sur ses petits problèmes, pour œuvrer au profitdes autres et, en particulier, de notre lycée et de l’établissement qui nous a tant ap-porté.

Par ailleurs, quoi de plus sympathique et motivant de retrouver ses « racines pédago-giques » et ses anciens camarades de classe après quelques années …Le Centenaire de 2005 fut un évènement exceptionnel en terme de convivialité et d’ami-tié … même si le centenaire est unique …. Essayons de poursuivre sa finalité tous lesans.

Meilleurs Vœux à vous et à tous ceux qui vous sont chers … que l’année 2011 vous ap-porte toutes les satisfactions possibles Bonne Année 2011 à l’association des « Rascol-Liens »

ASSEMBLEE GENERALEde l’Association « RASCOL-LIENS »

D’ores et déjà notez bien la date de la prochaine AG, moment essentiel de la vie de l’asso-

ciation et de convivialité, qui aura lieu cette année un dimanche !

le dimanche 20 mars 2011 à 10 heures

au Lycée Louis RASCOL

(Amphithéâtre Pierre LABERENNE)

A noter : le repas à l’issue de l’AG sera pris au

Restaurant ALBIRONDACK à Albi



Bureau des « Rascol-Liens »

Nous vous rappelons qu’après l’Assemblée Générale et l’élection du nouveau Conseild’Administration, un nouveau Bureau a été élu le 29 Mai 2010.

Le Conseil d’Administration a élu le 13ème président de notre association « RASCOL-LIENS » il s’agit de Alain GALARD, 54 ans, ingénieur méthodes chez CONTINENTAL Auto-

motive à Toulouse.

Il est sorti du Lycée Louis RASCOL en 1975 de Terminale F2.(photo ci-jointe)

Président : Alain GALARD

Vice-présidents : Jean SERIN, Michel DIAZTrésorière : Paulette VICENTE - Trésorier adjoint : BernardKACZANSecrétaire : Véronique SIRGUE - Secrétaire adjoint chargéde la communication : Lionel BRUNMembres : Luc AMIEL (chargé des festivités) – Pierrick GAR-

NIER (relations avec autres associations) – Michel TEILLOL

Alain GALARD

Quelques nouvelles des anciens élèves ….

Jean-Marc CHALIN s’est reconnu sur la photo de la classe de Terminale E de 1978-1979qui est sur le site. Il se rappelle de Jean TERRAL et Sylvie GILLET mais aussi de Mous-tique (FABRE) qui était son équipier de chambre à l’internat. Il aimerait bien savoir ceque sont devenus les autres …Roger STIVANIN a visité le site très tard après la publication de la photo de classe deBTS BE de 1978. Il tient à souligner que les deux ans passés à RASCOL resteront pour luiun très bon souvenir. Il envoie ses amitiés à l’ensemble des collègues avec qui il a partagé ces belles années.Gilles de BOEVERE (et non DEKAEVERE comme initialement indiqué sur le site !)conserve de bons souvenirs de sa classe très vivante de 1ère 1 B de 1987-1988. Il esttoujours en contact avec certains de ces brillants lycéens (Hum !) … mais serait heureuxd’en retrouver d’autres !

Un avis de recherche …. Gérard CALAS recherche ses anciens camarades de Terminale F2 de 1971-1972. Il en aretrouvé un certain nombre lors du Centenaire de Juin 2005, notamment Patrick BEL-LET, Denis RAU, Gérard VIRGOS … mais il aimerait bien compléter la liste.Il recherche en particulier Christian LAFAGE, Serge BONNAFE, Christian PENNETIER,Dominique LASSERRE, Michel ROQUES.En attendant il nous a fait parvenir des photos de cette classe (voir site internet) et desdocuments (carnet de sortie, carnet de liaison, …)



Recherche pour les 40 ans !

Michel TEILLOL souhaite retrouver lors de la prochaine Assemblée Générale tous ses an-ciens camarades de Terminale E (1 et 2) sortis en 1971 …. Cela serait très sympa de se-revoir et fêter les 40 ans !

Terminale E1 1971

Terminale E2 1971


Souvenirs … souvenirs …. Journée du 16 octobre 2010 des TS2 BE de 1980Le repas annuel (20ème anniversaire) des TS2 BE de 1980 s’est déroulé cette année le16 octobre à CAUSSADE, à l’invitation de José BARREAU, à l’occasion des 20 ans deTRACTOMANIA.Après la visite des stands les plus intéressants de cette exposition / vente : les vieuxtracteurs, les machines à vapeur, les gazogènes, les gros moteurs fixes, les vieux maté-riels de pompiers et la confection des chapeaux, Jean-Marc DURAND indique que la vi-site s’est terminée par le démarrage d’un énorme moteur fixe le DUVANT de 6000 CVqui était le moteur du groupe électrogène d’un hippodrome parisien.Le groupe a été reçu par M. Yves DANSAN, l’actuel président de TRACTOMANIA.Il a ensuite rejoint l’Auberge de l’Hirondelle à Saint-Cirq pour un succulent repas.

Pensez à votre COTISATION 2011 … Nous avons vraiment besoin de votre soutien … COTISATION 2011: 25 € (minimum) à l’ordre de « RASCOL-LIENS »Rappel : cotisation gratuite pour les moins de 26 ans et les anciens en recherche d’em-ploi et pour sa 1ère cotisation : 15 € Pour nous contacter : ASSOCIATION « RASCOL-LIENS »Lycée Louis RASCOL – 10 Rue de République 81000 ALBIOu plus facilement auprès de notre trésorière :Paulette VICENTE – 3 Rue Jean Renoir - – 81600 GAILLAC – 06 33 87 61 64

Mél : [email protected] Site : www.lycee-rascol.net

L’association Rascol-liens Revue L. Rascolédition 2011 -39-

Créée en 2007, cette association de type « loi 1901 » concerne les anciens et actuels étu-diants et professeurs des classes préparatoires TSI (anciennement TA) du lycée Rascol.Pour rappel, ces classes permettent à des bacheliers de la filière technologique, de pré-parer, en deux ans, les concours d’entrée aux grandes écoles d’ingénieurs françaises.L’objet de cette amicale tient principalement à la constitution et au maintien d’un an-

nuaire recensant ses membres et ouvert à eux afin de favoriserles contacts entre ceux-ci. Les relations ainsi entretenues pou-vant aller de retrouvailles d’anciens camarades à des échangesd’expérience avec les étudiants actuels, en passant par descontacts professionnels entre ingénieurs en activité.D’autre part, l’article 2 des statuts, ayant trait à l’objet de l’as-sociation, reconnaît aussi implicitement le rôle fondamentaljoué par l’association « Rascol-liens » vis-à-vis du lycée et de sesanciens élèves et se fixe comme objectif secondaire de contri-buer, dans son périmètre (la prépa TSI de Rascol), à l’action de

son illustre aïeule. De fait, dés sa création, l’Amicale TSI Rascol a toujours bénéficié duregard bienveillant des anciens de sa glorieuse ainée. Ce lien informel s’est d’ailleursconcrétisé dés 2007 par l’invitation faite par les membres du CA des Rascol-Liens auxprésident et intendant de l’Amicale à les rejoindre au conseil, proposition acceptée avecplaisir, même s’il faut bien reconnaître que l’engagement de ces derniers dans la vie desRascol-Liens est bien faible ! Le rare temps disponible étant plutôt dédié à la gestion del’Amicale.L’originalité de l’association est liée à sa forte utilisation des technologies informatiquespour réaliser sa mission. En effet, l’annuaire n’existe que sous la forme d’un site web aucontenu duquel les inscrits peuvent accéder à l’aide d’un identifiant et d’un mot depasse personnels. L’organisation de l’Amicale est plutôt légère, puisqu’un simple bureaude trois personnes (président, intendant et secrétaire) prend l’essentiel des décisionscourantes et que l’assemblée générale des membres n’est consultée que sous formeélectronique. Il n’y a d’ailleurs encore jamais eu d’Assemblée Générale « physique » del’Amicale TSI Rascol. L’occasion se présentera sûrement un jour de la coupler à un événe-ment important rythmant la vie de la prépa auquel l’association s’associera naturelle-ment. En attendant, la légèreté des moyens mis en place permet de faciliter la gestionquotidienne et de proposer une adhésion gratuite à tous nos membres. Le site est eneffet hébergé par le biais d’un serveur mutualisé que la plupart des offres d’accès à in-ternet proposent désormais en France. Cette gratuité permet de simplifier grandementl’administration en évitant une campagne annuelle de recouvrement d’une cotisationqui serait par nature très faible et donc peu « rentable » à collecter. Au rayon des chif-fres, l’annuaire compte, au 10 mars 2011, 262 membres, dont 12 professeurs en posteou retraités. Cette précision est d’importance, car elle souligne les bonnes relations en-tretenues entre l’association et l’équipe pédagogique depuis les débuts de l’aventure.Cette complicité a permis d’organiser plusieurs manifestations mettant en relation desanciens avec les étudiants d’aujourd’hui. Ainsi, des matinées consacrées à la préparationde l’épreuve d’oral de TIPE (Travail d’Initiative Personnelle Encadré) ont par exemple eulieu ces deux dernières années. L’Amicale est naturellement très heureuse d’apporterson aide à ce genre d’événements en faisant appel à ses membres.Pour plus d’informations, contactez Pierrick Garnier via le site:

www.amicale-tsi-rascol.c.la

L’amicale des TSI Revue L. Rascolédition 2011 -40-

Histoire: l’origine dulycée

Notre lycée, depuis son origine jusqu'à l'installation de l'Ecole Primaire supérieureet professionnelle en 1919.

Cette partie retrace l'histoire de la création du premier bâtiment (aujourd'hui le bât A), quiconstitue la partie ancienne de notre établissement, qui allait devenir quelques années plustard le Lycée Louis RASCOL.Extrait de « La sup d'Albi, de ses origines à l'ensemble éducatif Louis-Rascol » de JustinCombelles, ancien élève (décédé en 2007). Cet ouvrage de plus de 500 pages retrace l'his-toire de notre établissement. Il est disponible en libre consultation au CDI du Lycée LouisRASCOL.

Il avait été édifié en bordure nord de la route Albi-Alban, qui se continue par un embran-chement vers le Rouergue (Saint-Sernin, Saint-Affrique, Millau) et un autre vers le Bas-Languedoc par Lacaune et Murat. Ce n'est autre qu'une partie, modernisée, del'ancienne voie romaine Béziers¬Albi-Cahors. Jadis elle franchissait le Tarn par le PontVieux. A la hauteur du Séminaire, cet itinéraire en rencontrait un autre aussi ancien, ve-nant de Gaillac et se dirigeant vers Lescure ; il franchissait le Tarn, par un bac, près duconfluent du ruisseau de Coules, là où, au XIème siècle, on avait édifié le prieuré Saint-Michel. Cette dernière voie, sur les divers plans, figure sous des noms variables : cheminde Lescure, chemin de Saint-Juéry, chemin de la Renaudié, chemin de Loirat, V.O. n° 70,puis V.O. n° 16.A l'ouest du terrain, un passage existait, descendant jusqu'à la fontaine du Thérondel,encore appelée Théron de Dame Salvagne ; un chemin dénommé Impasse du Grand Sé-minaire, y conduit toujours. Ce théron, une source intarissable, aujourd'hui inaccessible,jaillissait dans la pente au niveau de la nappe phréatique. La fontaine était alors entou-rée d'une construction ; et, comme les adductions d'eau n'existaient pas, c'était ce Thé-ron qui devait assurer l'alimentation en eau de tout le secteur.Sur le terrain qui nous intéresse, un premier séminaire créé officiellement le 25 avril1683, avait été édifié avant 1687, et la rue était devenue rue du Grand Séminaire. Le ter-rain avait été donné aux Jésuites en 1641 par le chanoine David ; il comprenait alors unenclos, quelques bâtisses et un puits, selon l'Histoire du Lycée d'Albi (p.39). Enlevé auxJésuites le 2 octobre 1762, lorsqu'ils furent chassés de France, ce séminaire rouvrit sesportes dès 1763, d'abord sous la houlette de prêtres séculiers jusqu'en 1774, avantd'être confié aux Prêtres de la Mission jusqu'au 29 mai 1791, avec des effectifs variantde trente et un à cinquante-cinq élèves.Il est difficile de se faire une idée exacte de ce premier séminaire. Le plan Laroche, des-siné vers 1774-1775, ne décrit pas totalement la réalité ; hors du cœur de la ville, il fi-gure un développement prospectif ; il comporte notamment un pont nouveau sur leTarn qui sera construit près de cent ans plus tard. Un autre plan attribué au XVIIIe siècle,mais connu seulement par des épreuves imprimées au XIXe siècle, comporte pour le sé-minaire, une emprise au sol assez vraisemblable. Un bâtiment principal se situe en ar-rière de la rue et en parallèle à celle-ci, bordée par une rangée de bâtiments de moindreimportance.


Dans ce premier séminaire, la Révolution, en 1794, installa une fonderie provisoire deboulets, en attendant que celle de Saint-Juéry soit prête à produire. Cette fonderie nefonctionna que quelques mois ; déclarée trop chère, on la transféra en Grésigne. L'ex-chanoine Massol aurait voulu qu'on y logeât l'École Centrale. Il n'en fut rien et, le 3 mai1797, les bâtiments furent vendus au citoyen Boutet. Qu'advint-il par la suite ? Nousn'avons pas su ou pu le retrouver.Un jalon sûr : le plan cadastral de 1809, le premier qui soit exact. L'emplacement est fi-guré sous les numéros B 240, 241, 242 et 219 pour la plaine et B 220 et 221 pour lapente. B 219 est visiblement un jardin, B 241 une grande terre de près de deux hectares; B 240 devait être une vigne ; B 242 n'est qu'une minuscule construction : le séminaire adisparu.

En 1835, le plan de laville fut refait, leGrand Séminaire pos-sède ici tous les nu-méros de I 1 à I 20bis, à l'exception dedeux minuscules par-celles occupées parle théron qui est fon-taine publique. Lasurface totale est de3,1495 hectares ; lenouveau Grand Sémi-naire est représentéconstruit, mais leplan est faux car leprojet a finalementété réalisé de ma-nière différente.

L'arrêté du Préfet qui en autorise l'édification est du 17 juin 1829. Il fut donc, pour l'es-sentiel, construit entre 1830 et 1840. Il était alors à la limite de la ville. Jusqu'au ruis-seau, le chemin de Lescure est à peu près vide de constructions : seul figure le châteaude Loirat, un château assez important qui, à sa grande époque possédait un beau jardin.Pour le reste, c'étaient des prés, des champs et des vignes sur le plateau, des bois et desfriches dans la pente, et peut-être de petits carrés de chènevières dans la boucle du ruis-seau. Le terrain va en descendant légèrement vers la rue de la République.Terminé, le Grand Séminaire se présentait tel qu'on le retrouve en 1908, entouré d'uneclôture, haute en moyenne de quatre mètres, avec toutefois, une grille et un beau por-tail donnant sur la rue.Le bâtiment principal, un grand rectangle de soixante-huit mètres sur quatre-vingt qua-tre était flanqué à l'est d'une chapelle, (trente mètres quatre-vingts sur onze mètressoixante) et de sa sacristie ; il avait deux étages et, au-dessus de la chapelle, on avaitaménagé des chambres. La construction s'était étalée dans le temps : d'abord la partie nord en forme de U, plustard le sud, les deux ailes est et ouest, plus étroites de cinquante centimètres, et sur-baissées de deux marches d'escalier ; puis la façade sur la rue ; et enfin la chapelle.

Histoire: l’origine du lycée

Façade vers 1910 - Poux Albi


A l'ouest, en bordure du sentier menant au théron, on avait édifié par la suite des bâti-ments annexes, des constructions quelconques pour la plupart, un petit bâtiment à l'ali-gnement de l'aile nord et relié à elle par un passage couvert (entièrement disparu) et unlong bâtiment avec six grandes portes cochères, plus une septième ajoutée encore plustard. Après 1923 tout cela fut prolongé presque jusqu'à la rue d'un certain nombre delogettes basses et inesthétiques.A l'est, enclose entre lebâtiment principal, lachapelle et la rue, oncréa une petite couravec quatre salles enrez-de-chaussée, le longde la rue.Côté rue, donc au sud,on fit des bordures d'ar-bustes et l'on plantadeux magnolias qui ontfort grandi depuis. Dansla cour centrale(soixante mètres surquarante) des massifs ;divers arbres (dont unarbousier et un so-phora) encadraient unbassin allongé, près duquel se dressait une statue de la Vierge. Derrière les bâtiments,au nord, c'était un grand jardin avec des plates-bandes régulièrement dessinées et aucentre un puits avec un bassin ; sur les côtés de ce jardin on avait planté des allées d'ar-bres : des ormeaux à l'ouest, et à l'est diverses essences, mais principalement des aca-cias (exactement des robiniers). Au fond du jardin, une terrasse un peu surélevée,embellie de treilles grimpant sur des arceaux, formait tonnelle et dominait le talus. Enhaut de ce talus sur un replat à l'est, cinq volières et un petit bassin, puis des arbres —dont deux cèdres devenus majestueux ; quelques mètres plus bas, une murette et enfin,la pente, presque abrupte, jusqu'au ruisseau.Extérieurement, les bâtiments avaient l'aspect qu'ils ont encore. Sur la façade, côté rue,rien n'a changé. Sur les trois autres côtés, quelques légères modifications ont été appor-tées aux ouvertures du rez-de-chaussée, mais celles des étages sont d'origine : chaquefenêtre correspondait alors, et ce sur chacune des deux faces, à des chambres desser-vies par un couloir central. Curieusement, les deux tours de la chapelle, alors surmon-tées d'une croix et d'un paratonnerre, ne sont pas sur la chapelle mais au-dessus del'aile est. Tout à fait remarquable, dans la Cour que nous appelons Cour d'Honneur, lagalerie de cloître qui court sur les quatre côtés avec des piliers de briques et pavée, pa-reillement, de briques. L'élégance vient des fenêtres des deux étages de l'aile principale,l'aile sud, donnant sur la cour : au premier étage, ce sont de larges baies avec des vi-traux, et au second des fenêtres à double arcature.L'aménagement intérieur d'alors,nous n'en connaissons plus grand chose. Toutefois, le rez-de-chaussée était le domainedes salles de classes et des études.


Vue en perspective 1926 - M. Guigues professeur d’Art


Les étages étaient pavésde briques : c'était àl'époque, la précautionqu'on prenait partoutcontre les incendies ; celasurchargeait fort les plan-chers et les poutres. Suiteà la loi portant séparationdes Églises et de l'État du9 décembre 1905, leGrand Séminaire fut attri-bué à la ville d'Albi par dé-cret du 24 août 1908, et larue prit le nom qu'elle agardé : Rue de la Répu-blique (pendant quelque

temps les séminaristes se replièrent sur En Calcat). Le séminaire avait des dettes peu im-portantes que le Conseil municipal prit en charge ; il espérait en solder la plus grandepartie avec les recettes disponibles du compte du séquestre.Le collège des Jeunes Filles fut transféré dès le 1er octobre 1908 dans l'ancien sémi-naire. Il n'occupa que le rez-de-chaussée et le premier étage (où l'on installa trois dor-toirs) ; les élèves de terminale avaient chacune leur chambre individuelle avec lavabo,au-dessus de la chapelle. Le second étage était inoccupé, sauf une salle pour le dessin.La cour dut être limitée à la Cour Centrale, dite Cour d'Honneur et à celle de l'est, lacour des externes. Le jardin et la vigne, c'est à dire les terrains derrière les bâtiments,furent loués par la Mairie pour l'année 1908-1909 à M. Magna, propriétaire aux Pradels,au prix de deux cent cinquante francs ; cependant la partie située au nord de la terrassejusqu'au mur d'enceinte fut laissée au collège pour le service de l'internat. On comprendmal la chose, car pour jouir de la terrasse, ces demoiselles étaient dans l'obligation soitde traverser les terrains loués, soit de les contourner par la pelouse ombragée qui exis-tait à l'est ; le fermier dut, à l'expérience, avoir la même appréciation, car il ne renouvelapas le bail ; et la Mairie ne trouva plus de preneur. En conséquence, le 16 octobre 1910,le Conseil municipal décida d'aménager à la place la grande cour qui ne devait être muti-lée qu'en 1965. La terrasse donnant sur les friches de la pente subsistait et, en avant, onlaissa un jardin potager large d'une quinzaine de mètres. Le long des bâtiments, le ter-rain devenait jardin d'agrément ; le resta-t-il longtemps ? On ne le sait. On y créa un trot-toir de trois mètres de large et on y installa deux pompes à pression. Entre les deux, laplus grande partie du terrain constitua la nouvelle cour, mais on respectait les grands ar-bres qui se trouvaient à l'est et à l'ouest. Cette cour, limitée à l'alignement des deuxailes est et ouest, mesurait soixante mètres sur soixante-dix. Au centre, on dessina unrond-point de vingt-six mètres de rayon d'où partaient quatre allées en croix, larges desix mètres et qu'on devait planter de marronniers. La réalisation fut différente. Le rond-point fut doté d'une seconde rangée de marronniers et l'allée menant au bâtiment prin-cipal fut faite ; en revanche, on ajouta une allée parallèle à l'aile nord en janvier 1911;oncombla le puits et le bassin devenus inutiles et l'on planta les marronniers dont certainsexistent toujours. L'angle près de la chapelle devait devenir terrain de tennis ; mais

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cela ne fut pas réalisé. La Vierge de la Cour d'Honneur avait quitté les lieux : il ne restaitque le bassin. En février 1910, on refaisait les massifs de cette Cour d'Honneur, demême que ceux qui bordent la rue. Quant aux bâtiments, des réparations s'avérèrent in-dispensables dès 1908 ; c'est une pénible constatation : en France, qu'il s'agisse des ad-ministrations publiques ou privées ou bien des particuliers, quand on a bâti, onn'entretient plus, sauf à la dernière extrémité. En juin 1910, la ville avait déjà dépensé115 000 francs (dans cettesomme il convient d'inclureune subvention annuelle de10 700 francs pour le collège).On demandait un secours àl'État et il restait beaucoup àrestaurer.Désormais, nous distingue-rons trois cours : la GrandeCour, cour de récréation, ci-dessus : la Cour Centrale, Courd'Honneur ; et la petite courau sud-est, dite cour des ex-ternes, car c'est par là qu'ilsentraient. C'est aujourd'huil'entrée principale du Lycée.A la déclaration de la guerre,les collégiennes durent partir à l'ancien archevêché. Les locaux permirent d'équiper qua-tre cent quatre-vingts lits pour l'hôpital auxiliaire n° 9 et ne furent libérés qu'en avril1919. M. Alric, ancien élève de la Sup qui devait y revenir comme maître-ouvrier en 1921pour trente-quatre ans, et qui était pour l'heure au Saut-du-Tarn, y installa une salle deradiographie en 1918, avec les accumulateurs pris à la rue de Bitche : à titre d'essai,l'opérateur lui radiographia l'épaule droite. Contre le mur de l'ancienne sacristie, l'auto-rité militaire avait fait construire un four crématoire pour incinérer les sanies d'hôpital.Quand elle se retira, elle oublia de le démolir, ce que l'école dut faire, probablement en1920.

Suite au projet d'installation d'une Ecole Nationale Professionnelle à Albi, la Municipa-lité avait proposé dès le 25 février, que le Collège de Jeunes Filles aille s'installer rue deBitche et que l'E.P.S. de garçons soit transférée rue de la République ; le Ministre avaitdonné son accord le 25 mai.

A la rentrée 1919, exactement le 3 novembre, l'E.P.S. de garçons s'installa rue de la Ré-publique, dans l'ex-grand séminaire d'Albi.Le premier directeur, M. Louis Rascol y installera son équipe éducative et sera à l'originedu développement de l'enseignement technique.

Hôpital temporaire vers 1917


Extrait de « La sup d'Albi, de ses origines à l'ensemble éducatif Louis-Rascol » de JustinCombelles


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