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La zone 51 Extrait du Projet 22 http://www.projet22.com/ufo-et-ebe/histoire/article/la-zone-51 La zone 51 - PAN, UFO et EBE - Des OVNI dans l'histoire ? - Date de mise en ligne : lundi 29 novembre 2010 Description : Le sujet a été revu maintes et maintes fois mais la zone 51 méritait d'etre pré-sente sur projet22. Projet 22 Copyright © Projet 22 Page 1/10

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La zone 51

Extrait du Projet 22

http://www.projet22.com/ufo-et-ebe/histoire/article/la-zone-51

La zone 51- PAN, UFO et EBE - Des OVNI dans l'histoire ? -

Date de mise en ligne : lundi 29 novembre 2010

Description :

Le sujet a été revu maintes et maintes fois mais la zone 51 méritait d'etre pré­sente sur projet22.

Projet 22

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La zone 51

Sommaire• Historique• Groom Lake• Quels projets militaires (...)• Les "témoins"• Quelques photos

Dans l'état du Nevada, à une cen­taine de kilo­mètres de Las Vegas, se trouve la base la plus secrète et pourtant laplus connue du monde. Elle se trouve au bord d'un lac asséché Groom.

Voir le site sur Google Maps

Non loin de la un site d'essais du Nevada : (Nevada Test Site : NTS) est une région des États-��Unis dépendant duDépar­tement de l'Énergie des États-��Unis ayant servi pour 928 essais nucléaires de 1951 à 1992. D'une super­ficiede 3500 km Voir cet site sur Google Maps

Historique

Cette base existe depuis 1954 et a servi de centre d'essai pour la mise au point d'avions-espions tels que lebom­bardier furtif "Steathl" ou encore l'avion furtif "F-��117".

Elle déchaine les délires de tous les ama­teurs d'Ovni des Etats-��Unis, prend plu­sieurs surnoms tels que : "Groom

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Lake" (du nom du lac salé à proximité), "Zone 51" (area 51 en anglais, réfé­rence au numéro iden­ti­fiant le secteuret figurant sur les anciennes cartes du Nellis "Nevada Test Site"), "DreamLand" ou "Ghost Field".

C'est en 1968 que, pour la pre­mière fois, les sovié­tiques révé­lèrent des photos satel­lites d'installationsamé­ri­caines au milieu de nulle part. Cela ne déclencha aucune réaction par­ti­cu­lière jusqu'en 1983, date àlaquelle de nou­velles photos mon­trèrent que la base avait grandi dans des pro­por­tions consi­dé­rables ets'étendait désormais sur un péri­mètre entre 10 et 16 km autour des ins­tal­la­tions aériennes.

On peut remarquer, sur les vues satel­lites, une piste d'atterrissage qui coupe le lac salé et qui mesure plus de 10km de long (la plupart des pistes des aéro­ports civils n'en faisant même pas le tiers). Groom Lake détient aussi unautre record : celui de la plus grande antenne de contrôle de trafic aérien au monde.

Depuis, de nom­breux bâti­ments volu­mineux ont été bâtis ; ce qui, s'ajoutant aux témoi­gnages d'une intenseactivité ces der­nières années à proximité du site, confirme le déve­lop­pement et l'exploitation de nou­veaux projetssecrets.

La Zone 51 n'est qu'une partie de l'immense espace mili­taire. On y trouve : le Nellis Bombing and Gunnery Rangeoù l'on expé­ri­mente les armes à grandeur nature. le Nevada Test Site où l'on a fait 928 essais nucléaires. leTonopah Test Range où l'on expé­ri­mente d'autres armes enfin la Zone 51...

Groom Lake

Groom Lake sert de centre de conception, de mise au point, et de test pour les "Black Pro­jects", les projets occulteset ultra-��secrets de l'armée amé­ri­caine. La somme allouée à ces projets est de 16 mil­liards de dollars par an

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(chiffre maintenu depuis des années), sans qu'aucun détail sur l'emploi de ces fonds ne soit fourni au Congrès. Unjour­na­liste a dit : que la Zone 51 est "un trou noir à la surface de la Terre où l'on estime que dis­pa­raissent chaquejour des mil­lions de dollars d'impôts sans que pra­ti­quement aucun mot d'explication ne réus­sisse à s'enéchapper."

L'activité du centre ne faiblit pas, et de nom­breux détails prouvent effec­ti­vement que des mil­liards de dollars ysont dépensés : une flotte de Boeing 737, sans marque d'identification, effectue chaque jour de la semaine entre 10et 12 rota­tions à partir de l'aéroport McCarran de Las Vegas ce qui suggère qu'au moins 1 500 per­sonnes (sanscompter les per­ma­nents) tra­vaillent sur le site.

Groom Lake est le lieu d'expérimentation des der­nières géné­ra­tions d'appareils ultra-��secrets de l'USAF, ou desys­tèmes d'armes avancés, tout comme ce fût le cas pour l'U-2, l'A-12 (le pré­curseur du "Blackbird"), le SR-��71, leF-��117 A, et surtout tous les autres avions dont on ne connaît pas encore l'existence comme, par exemple, l'Aurora.Petite pré­cision inté­res­sante à ce sujet : le F-��117 A n'a été dévoilé au public que 7 ans après son entrée enservice opé­ra­tionnel (il était déjà présent clan­des­ti­nement lors de l'intervention au Panama). De nom­breuxexperts pensent dès lors qu'il devait donc être déjà dépassé.

Main­tenir un secret total sur des projets mili­taires aug­mente les dépenses de manière signi­fi­cative (au moins 15% selon les entre­prises contrac­tuelles) mais pré­sente de nom­breux avan­tages parmi les­quels celui d'éviter les"coupes sombres" du Congrès (comme pour le bom­bardier furtif B-��2) ou celui de n'avoir aucun compte à rendre surles travaux menés ou les sommes dépensées.

Cer­taines enquêtes tendent à démontrer que les tech­no­logies déve­loppées dans cette zone seraient pour partied'origine extra­ter­restre. En effet, en 1989, un ancien tech­nicien de la base affirmait qu'il existait une activité Ovniconduite par le gou­ver­nement amé­ricain pour tenter d'adapter la tech­no­logie extra­ter­restre à ses proprespro­grammes mili­taires. Mieux encore, ce tech­nicien déclarait que des extra­ter­restres ori­gi­naires du systèmestel­laire "Zeta Reti­culli" était soumis à des expériences.

La nuit, des chas­seurs d'Ovni à l'affût ont pu observer d'étranges lueurs qui sem­blaient trop rapides pour pro­venird'un avion classique...

Le gou­ver­nement amé­ricain s'est tou­jours refusé à admettre l'existence de pareils phé­no­mènes et sembleembar­rassé par de tels propos.

"Use of deadly force authorized."

"Usage des armes à feu auto­risées." Aver­tis­sement que l'on peut lire sur de nom­breuses pan­cartesbordant le site. Comme quoi, il suffit de quelques mots sur les pan­cartes, gardant l'entrée de la zoneinterdite, pour planter le décor.

Jusqu'en avril 1995, il y avait deux points de vue, "White Sides mountain" et "Freedom Ridge", à 19 km de dis­tancesur les mon­tagnes envi­ron­nantes, d'où les visi­teurs pou­vaient observer direc­tement la base secrète à l'aide dejumelles. Mais depuis, les mili­taires ont étendu la zone franche autour de Groom Lake en annexant purement etsim­plement les ter­rains adja­cents (sans aucune auto­ri­sation gou­ver­ne­mentale). A ce jour, le seulempla­cement demeurant acces­sible, "Tikaboo Peak", est situé sur une mon­tagne dis­tante à 1 heure et demi demarche dans les rochers, et nécessite un puissant télescope pour pouvoir encore aper­cevoir les grands hangars et

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les ins­tal­la­tions mys­té­rieuses de la base.

Les abords du site qui n'existent pas sont pro­tégés par une armée de gardes de sécurité n'existant pas non plus :les "Cammo Dudes", qui ne portent ni insigne, ni nom, mais des armes bien réelles avec de vraies balles, et quipatrouillent à la limite de la zone interdite et dans la partie publique adja­cente, avec des Jeep Che­rokee dotées deplaques gouvernementales.

Ils sur­veillent les quelques visi­teurs qui osent approcher à moins de quelques kilo­mètres de la zone interdite (lafranchir entrai­nerait une arres­tation immé­diate et une amende minimum de 6000 dollars), mais surtout évitentsoi­gneu­sement tout contact.

Ils sont avertis par un réseau de détec­teurs ins­tallés dans les 11 der­niers kilo­mètres de routes et de chemins quimènent vers la zone interdite, et par des tours équipées de sen­seurs très per­for­mants (ins­tallés par EG & G)dif­fé­ren­ciant les êtres humains des autres créa­tures peu­plant le désert. Cer­tains ont essayé de s'introduireclan­des­ti­nement dans la Zone 51 : ils ont été arrêtés dans les 10 à 15 minutes suivantes.

Mais l'extension de la zone franche, en 1995, a eu pour effet de la rendre encore plus célèbre, en tous cas beaucoupplus célèbre que ne le vou­drait l'USAF.

Le plus gênant étant tou­tefois que la crois­sance des curieux à proximité de Groom Lake aug­mente le nombre et lapré­cision des obser­va­tions concernant des appa­reils non iden­tifiés (cor­res­pondant souvent auxcarac­té­ris­tiques de l'Aurora), ce qui, vous l'avouerez, n'est pas idéal pour une base sensée être secrète.

Rachel, la ville la plus proche de Groom Lake, héberge l'Area 51 Research Center (centre de recherche sur la zone51) fondé par Glenn Campbell, un orga­nisme publiant des ouvrages, et vendant des sou­venirs sur Groom Lake. Labase secrète génère en effet un mer­chan­dising assez étonnant, qui témoigne de la passion des amé­ri­cains pourles extra-��terrestres.

En octobre 1994, le gourou de CNN, Larry King, s'est rendu à Rachel avec une équipe de 50 per­sonnes, pourréa­liser un émission en direct à proximité de la Zone 51. En 1994, le gou­verneur du Nevada, Bob Miller, arenommé la route 375, qui longe la zone interdite, la "Extra-��Terrestrial Highway" (l'autoroute des extra-��terrestres).

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Quels projets militaires ultra-��secrets se cachent àGroom Lake ?

Des sou­coupes construites à partir de tech­no­logies extra-��terrestres, des "aliens" captifs, des cités sou­ter­rainescachées, un gou­ver­nement de l'ombre com­plice de puis­sances venues d'ailleurs ; ce n'est ni la télé­vision(X-��files 2ème épisode "Nous ne sommes pas seuls"), ni le cinéma (Inde­pen­dance Day) qui démen­tiront tous lesmythes entourant la Zone 51.

Beaucoup de tou­ristes, venus seulement pour un soir, croient voir des Ovni partout, même si la plupart deshabi­tants de Rachel, ville située à 50 km de là, n'en n'ont jamais vu de leur vie ...

De nom­breux témoi­gnages font tout de même état d'observations plus cré­dibles concernant par exemple desappa­reils cor­res­pondant au signa­lement de l'avion espion Aurora , (mis au point à Groom Lake) carac­térisé parle bruit émis par son système de pro­pulsion unique.

Mais les témoi­gnages les plus trou­blants font état d'engins volants ayant été vus effec­tuant des manoeuvrestota­lement impos­sibles pour la géné­ration actuelle d'avions. Ces per­for­mances, certes inha­bi­tuelles etétranges, sont très pro­ba­blement le résultat de la tech­no­logie de poussée vec­to­rielle, qui expé­ri­mentée sur leX-��31, permet, en orientant par des pâles le flux à la sortie des tuyères, d'obtenir une "hyper-��manoeuvrabilité"abso­lument exceptionnelle.

Les "témoins" :

Bob Lazar : il a déclaré avoir occupé en 1984 un poste scien­ti­fique sur la base et avoir eu accès à des docu­mentssur le site ultra-��secret "S4" où des engins extra-��terrestres seraient stockés. Il a même pré­tendu que l'armée étaiten pos­session de neuf disques d'origine extra­ter­restre pro­venant de Zeta Reticuli, un système binaire se trouvantà 37 années-��lumières de la Terre... De plus, on ne sait rien sur Bob Lazar, seulement qu'il a tra­vaillé à Los Alamos.Il fit aussi une décla­ration sur­pre­nante. Il démontra l'existence d'une autre base secrète appelée S-��4 non loin dela Zone 51, près de Papoose Lake. Et c'est là qu'il tra­vailla sur le système de pro­pulsion d'une sou­coupe volante...

George K. : ce dernier a audi­tionné plu­sieurs témoins qui com­plè­taient les révé­la­tions de Bob Lazar, et aégalement reçu le témoi­gnage d'un homme qui déclarait que le gou­ver­nement amé­ricain dis­posait de corpsextra-��terrestres ainsi que de leur tech­no­logie depuis 1950.

Norio H. : ce came­raman japonais filma un objet lumineux au dessus de la base, objet qui, d'après les ana­lyses, nepouvait être un avion de type classique.

Jim G. : ce spé­cia­liste en aéro­nau­tique fait état d'engins silen­cieux et très rapides (16000 km/�h) incom­pa­tiblesavec la tech­no­logie humaine actuelle et connue.

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El mundo es extraño, ¿no te parece ?

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