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Édito
GUIDE UTE
C15-500 :
IMPÉDANCES ET
COURTS-CIRCUITS
Le nouveau guide
UTE C15-500, paru en
juillet 2015, permet d’ef-
fectuer tous les calculs
e lectriques ne cessaires
aux installations basse
tension pour e tre con-
formes a la NF C 15-100
et aux autres normes
applicables.
Plus de la moitie du
guide e tant de die e au
calcul des impe dances et
des courts-circuits, nous
avons choisi de consa-
crer le dossier technique
a ce sujet.
Vous trouverez dans
cette lettre la version
courte (deux pages tout
de me me !) de l’article
et la version longue
sur le site internet de
BBS Conception.
Nous vous souhai-
tons une bonne lecture
et un bel e te . La pro-
chaine lettre paraî tra a
la rentre e.
Bruno Slama,
BBS Conception
L’entretien : Christian Motzig, gérant de la société Genersys services
1
Christian Motzig est ge rant depuis 2005 de la socie te Genersys services, spe cialise e
dans la Gestion des e nergies et des syste mes de G.T.B. (Gestion Technique de Ba timents).
Acque reur voici un an du logiciel de calcul e lectrique Lise de BBS Conception, il nous fait
part de son expe rience.
« Le logiciel Lise nous a se duits par son prix et sa facilite d’utilisation. »
Pré séntéz-
nous votré
socié té ?
La socie te
Genersys ser-
vices com-
prend actuel-
lement sept
personnes.
Nos clients
sont des chauffagistes qui sous-traitent la
partie e lectricite de leurs installations car
ils n'ont pas les compe tences en interne. Ils
nous soumettent leurs projets et nous e la-
borons ensemble une solution pour le
client final.
Nous nous occupons de la partie
e tudes, puis nous concevons, re alisons et
installons les coffrets e lectriques. Nous
travaillons quasiment exclusivement sur
des chantiers de professionnels, tre s rare-
ment pour des particuliers.
Commént avéz-vous dé couvért lé
logiciél Lisé ?
Nous l'avons de couvert sur le site inter-
net d'Algo'tech informatique qui nous l'a
vendu. D'autres logiciels de calculs pour les
installations e lectriques e taient e galement
propose s mais celui de BBS Conception
nous a se duits par son prix et sa facilite
d'utilisation.
Nous ne voulions pas, en outre, d'un
logiciel constructeur puisque nous sommes
une socie te inde pendante et que nous
souhaitons garder la possibilite d'installer
le mate riel de notre choix.
En quoi vous ést-il utilé ?
Il nous est pre cieux pour des raisons a
la fois qualitatives et administratives.
Qualitatives, d'abord, parce qu'il nous
permet d'avoir une approche plus
technique, moins empirique, pour le choix
du mate riel. Nous pouvons apporter
une re ponse plus fine et plus adapte e a la
situation.
Administratives, ensuite, car il nous
permet de justifier nos choix aupre s des
bureaux de contro le. Nous pouvons leur
fournir des notes de calcul aux normes qui
sont un gage de se rieux.
Vous satisfait-il ?
Lise a e te agre e par l'UTE* et est facile a
utiliser, c'est ce qui nous importe.
Nous n'avons pas investi dans les modules
comple mentaires propose s car nous ne
nous occupons pas de la partie
distribution, seulement de la partie
chauffage-ventilation.
*Depuis que l‘UTE a rejoint l’Afnor, cette
procédure n’existe plus. Un nouvel agrément
devrait voir le jour.
2
Focus RT 2012
Syste mes a e nergies renouvelables
et qualifications RGE E tudes
P ar ses objectifs de consommation exigeants, la
re glementation RT 2012 encourage le recours
aux e nergies renouvelables dans l’habitat. Elle prescrit
par exemple, dans certains cas, le recours aux syste mes a
e nergies renouvelables, notamment l’installation de sys-
te mes avance s a e nergies renouvelables pour les nou-
veaux permis de construire.
Afin de mettre en valeur les e tudes des syste mes
e nerge tiques dans une de marche de valorisation de leur
savoir-faire, il est possible pour les bureaux d’e tudes
d’obtenir une qualification RGE E tudes (Reconnu Garant
de l’Environnement). Ces qualifications concernent no-
tamment les syste mes e nerge tiques de production/
distribution/e mission et re gulation a partir d’e nergies
renouvelables pour chauffage, climatisation, rafraî chisse-
ment, eau chaude sanitaire, etc.
L’obtention de cette qualification permet d’attes-
ter d’un signe de qualite , d’une compe tence dans le
domaine et de faire e ventuellement be ne ficier les clients
des aides de l’ADEME. Cette qualification peut e galement
permettre d’avoir un avantage pour certains appels
d’offres.
Une variété de qualifications
Divers organismes peuvent de livrer la qualification
RGE. Parmi eux, l’OPQIBI (Organisme de Qualification de
l'Inge nierie) qui propose des qualifications « RGE
E tudes » pour un grand nombre de sujets.
Concernant les syste mes a e nergie solaire,
l’OPQIBI de livrait des qualifications en photovoltaî que :
« 20.11 : E tude d’installations de production utilisant
l’e nergie solaire photovoltaî que », et solaire thermique :
« 20.10 : E tude d’installations de production utilisant
l’e nergie solaire thermique ». Ces qualifications
porteront a partir du 31/12/2016 respectivement les
noms : « 20.15 : Inge nierie des installations de produc-
tion utilisant l'e nergie solaire photovoltaî que » et
« 20.14 : Inge nierie des installations de production
utilisant l’e nergie solaire thermique ».
D’autres qualifications existent pour la bioe nergie et
la ge othermie. Pour la premie re, il s‘agit des qualifica-
tions 20.12 « Assistance a maî trise d’ouvrage pour la re a-
lisation d’installations de production utilisant la bio-
masse » et 20.08 »Inge nierie des installations de produc-
tion utilisant la biomasse en combustion ».
Pour la deuxie me, il s’agit des qualifications 10.07
« E tude des ressources ge othermiques » et 20.13
« Inge nierie des installations de production utilisant
l’e nergie ge othermique ».
Prouver ses compétences
Des fiches de qualification sont disponibles sur le site
de l’OPQIBI. Elles de crivent l’ensemble des crite res a
remplir par un demandeur pour effectuer la de marche de
qualification en termes de moyens humains, mate riels et
me thodologiques.
Les moyens humains doivent e tre justifie s d’une
formation spe cifique a la qualification demande e, en
ge ne ral de trois jours. Ces formations peuvent e tre de li-
vre es par divers organismes et structures. Les moyens
mate riels ne cessaires sont ge ne ralement des logiciels et
outils de simulation. Enfin, une explication de la me tho-
dologie employe e est ne cessaire pour justifier de moyens
me thodologiques.
Chaque qualification demande un ensemble de justifi-
catifs spe cifiques pour fournir des preuves d’anciennete ,
d’expe rience et de compe tences pour re aliser les e tudes.
Des documents de re fe rence spe cifiques pour les e tudes
re alise es sont demande s afin d’attester des suivis et des
bons re sultats.
Pour en savoir plus sur la qualifications RGE E tudes
de l’OPQIBI et d’autres organismes, vous pouvez consul-
ter, entre autres, le site de l’Ademe :
www.ademe.fr/entreprises-monde-agricole/labels-
certifications/entreprise-batiment/devenir-
professionnel-rge-etudes
La re glementation thermique 2012, applicable a tous les ba timents neufs, comporte trois
exigences de re sultats (besoin bioclimatique, consommation d'e nergie primaire, confort en e te ) et quelques exigences
de moyens, comme le recours obligatoire dans certains cas a au moins un syste me a e nergie renouvelable. Son applica-
tion ne cessite de faire appel a des bureaux d’e tudes qui peuvent be ne ficier de la qualification nationale RGE E tudes et
valoriser ainsi leurs compe tences. Explications.
Dossier technique
Nouveau guide C15-500 : une bonne application
de la NF EN 60-909… et quelques erreurs
Pour ve rifier la conformite d'une installation a la NF C15-100, les logiciels de calcul e lectrique basse tension
effectuent des calculs qui ne sont pas de crits dans cette norme. Ils utilisent d'autres re fe rentiels en comple ment.
Le guide UTE C15-500 rassemble dans un seul guide toutes les informations indispensables pour effectuer un calcul
complet et conforme a la NF C 15-100 ainsi qu'aux autres normes applicables.
Il a d'abord eu comme e quivalent au niveau CENELEC le rapport R064-003, puis le TR 50480. Les deux textes
sont tre s proches. La plus grosse partie du guide (plus de la moitie ) est en fait consacre e au calcul des impe dances
et des courts-circuits base sur la norme NF EN 60-909, c'est pourquoi nous vous proposons de commenter le guide
sur ce sujet.
L a norme de re fe rence applicable pour le calcul des
courts-circuits (et cite e dans les re fe rences norma-
tives du guide C15-500) est la NF EN 60-909 (issue de la
CEI 60-909). Dans cette norme, la me thode de calcul appli-
que e est la me thode dite des "composantes syme triques".
Cette me thode permet d'aborder le calcul des courants
dans les 3 phases des syste mes triphase s en tenant compte
des de se quilibres et de l'influence mutuelle des 3 phases.
Elle est donc plus comple te qu'une approche qui consiste-
rait a conside rer que le syste me triphase est e quivalent a 3
syste mes monophase s strictement identiques et inde pen-
dants et a faire les calculs dans une seule phase.
Une application « vulgarisée » de la méthode des
composantes symétriques
Pour exprimer chaque grandeur (courant, tension ou
impe dance), au lieu d'utiliser trois vecteurs correspondant
chacun a une phase, la me thode des composantes
syme triques de compose le syste me triphase en 3 compo-
santes : directe, inverse et homopolaire (elles aussi
sont des vecteurs).
Mathe matiquement il s'agit donc d'un changement de
base. Dans un souci de simplicite , le guide C15-500 ne fait
pas apparaî tre explicitement les composantes syme -
triques, il pre sente les formules de calcul des courants de
3
Visite sur site pour la formation RGE études sur l’audit énergétique de BBS Slama © BBS Slama
Bon à savoir
L’OPQIBI propose e galement des qualifications
RGE E tudes pour les e tudes thermiques ne cessaires a
l’application de la RT 2012. BBS propose des sessions
de formation pour les qualifications RGE e tudes ther-
mique 1331 et 1332 de l’OPQIBI. Ces formations ont
lieu a Clermont-Ferrand ou a Paris. Depuis peu, BBS
propose e galement, pour les ba timents existants ter-
tiaires et/ou habitations collectives, la qualification
1905 « audit é nérgé tiqué dés ba timénts », RGE, dé
l’OPQIBI. Les aspects the oriques, pratiques et les cal-
culs ne cessaires sont aborde s, avec la prise en main
d’un logiciel d’audit base sur la me thode STD et une
visite sur site. www.bbs-slama.com/formations/
Fermeture d’e te
Cet e te 2016, BBS fer-
mera ses portes du 8 au
15 aou t compris.
Bonnes vacances et ren-
dez-vous le 16 aou t.
Une journe e technique
et scientifique de die e
au BIM
Le 7 octobre prochain,
BBS Slama organise a la
Fe de ration française du
ba timent (FFB) a Paris
une journe e technique
et scientifique qui sera
consacre e au contexte
normatif international
et europe en de la ma-
quette nume rique et a
la meilleure façon d’ap-
pre hender le BIM pour
ses projets thermiques.
Rendez-vous a la FFB,
7/9 rué La Pé rousé.
Paris 16. Tarifs : 250€
la journe e (repas com-
pris). L'inscription se
fait sur la page
www.bbs-slama.com/
formations/
Une journe e technique
et scientifique de die e
a l’e lectricite
Le 12 octobre prochain,
BBS Slama organise a la
Fe de ration française du
ba timent (FFB) a Paris
une journe e technique
et scientifique qui sera
consacre e au the me
« Connaî tre et com-
prendre l’e volution de
la C15-100 ». Rendez-
vous a la FFB, 7/9 rue
La Pe rouse. Paris 16.
Tarifs : 250€ la journe e
(répas compris). L'ins-
cription se fait sur la
page www.bbs-
slama.com/formations/
En Bref
4
courts-circuits sous une forme qui res-
semble a l'application de la formule ge ne -
rale I=U/Z a une boucle comme
avec un transformateur monophase .
Mais il ne faut pas oublier que cette appa-
rente simplicite des formules du guide
C15-500, parfois appele es me thode des im-
pe dances, masque en re alite l'utilisation
sous-jacente de la vraie me thode des com-
posantes syme triques. Soyons directs : il n'y
a pas, dans le C15-500, une me thode alter-
native a la me thode des composantes syme -
triques, et qui s'appellerait "me thode des
impe dances".
En re alite , le nom "me thode
des impe dances" provient du guide
C15-105, destine aux calculs re alise s
sans l'aide d'un logiciel, car il distingue
la me thode calculatoire exacte, qu'il
appelle "me thode des impe dances", d'autres
me thodes approche es qui n'exigent
pas la connaissance des impe dances des
mate riels.
Nous pourrions de montrer que le guide
C15-500 utilise la me thode des composantes
syme triques par une analyse mathe matique
de l'ensemble des formules, mais pour
rester synthe tiques nous allons simplement
commenter quelques cas inte ressants
ou proble matiques sur les courts-circuits
monophase s.
La formule de court-circuit monophase
se pre sente globalement comme suit dans
le C15-500 (la pre sentation originale est
un tout petit peu diffe rente, ici elle est
arrange e pour re duire le nombre de
variables a de finir) :
ou
Un ést la ténsion éntré phasés
(Rsup, Xsup) ést l'impé dancé dé la
source
(Rbphn, Xbphn) ést l'impé dancé dé
boucle des conducteurs d'une phase
et du neutre
La formule tire e de la me thode des
composantes syme triques se pre sente
comme suit :
En re sume , on constate que pour les
courts-circuits monophase s, les formules
sont strictement e quivalentes si l'impe dance
utilise e dans la formule du guide C15-500
est le tiers de la somme des impe dances di-
recte, inverse et homopolaire de la me thode
des composantes syme triques.
Il est possible de faire ce constat
dans plusieurs exemples de taille s dans
la version de l’article en ligne ( voir sur la
page des lettres de l’e lectricien : www.bbs-
conception.com/lettres-electricien/ ). Les
valeurs des impe dances utilise es dans le
guide C15-500 y sont commente es : on
constate que des approximations sont
faites pour les courts-circuits monophase s
et pour les courts-circuits proches des
alternateurs, et une erreur a e te trouve e
dans l'impe dance du re seau amont
pour les transformateurs a couplage triangle
-e toile. Les valeurs propose es par le C15-
500 sont toutéfois tré s utilés pour é tablir un
calcul en phase de conception ou lorsque les
caracte ristiques pre cises des mate riels ne
sont pas disponibles.
Une interprétation de la CEI 60909-0
Le guide C15-500 est bien issu de l'appli-
cation de la me thode des composantes
syme triques, mais il y introduit quelques
impre cisions, voire quelques erreurs. Il
apporte toutefois un certain nombre
d'hypothe ses, de pre cisions et de simplifica-
tions inte ressantes, peut-e tre parfois
ame liorables.
La réactance des lignes
Dans la CEI 60-909, celle-ci est
de termine e de manie re extre mement pre -
cise d'apre s la ge ome trie des lignes
(distancé éntré conductéurs, disposition...).
Cette me thode est tout a fait adapte e
aux lignes haute tension dont les caracte ris-
tiques ge ome triques sont connues avec
pre cision et constantes, mais elle est
plus difficile a appliquer aux lignes
basse tension pour diffe rentes raisons :
il est cou teux, peu pratique et difficile
(pour l'utilisatéur ou l'é ditéur du logiciél)
d'obtenir pre cise ment les caracte ristiques
ge ome triques des ca bles multiconducteurs,
l'espacement des ca bles monoconducteurs
5
Cette lettre d’information est éditée par BBS Conception www.bbsconception.com
n'est jamais parfaitement constant... Pour pallier ces pro-
ble mes, le guide C15-500 propose des valeurs de re ac-
tance moyenne pour les diffe rentes situations rencontre es
en BT (seulement trois valeurs possibles). Cela pourrait
toutefois e tre ame liore en distinguant une "moyenne
haute" pour le calcul des courts-circuits minimaux et une
"moyénné bassé" pour lé calcul dés courts-circuits maxi-
maux, notamment dans le cas de la pose espace e qui est la
plus irre gulie re.
La résistance des lignes
La norme CEI 60-909 indique que pour les courts-
circuits minimaux on doit calculer la re sistance des con-
ducteurs a la tempe rature de fin de court-circuit. La for-
mule de re sistance est donne e, mais la tempe rature de fin
de court-circuit n'est pas indique e.
Pour les circuits en amont du circuit en court-circuit, le
C15-500 pre cise qu'on utilise la tempe rature initiale du
ca ble (tempe rature max sur a me en re gime permanent).
En effet, dans le cas ge ne ral, la diffe rence de section exis-
tant entre les ca bles amont et le ca ble en court-circuit li-
mite l'e chauffement des ca bles amont. Pour le circuit sur
lequel a lieu le court-circuit, l'interpre tation la plus simple
est de dire qu'au pire, la tempe rature de fin de court-
circuit est la tempe rature finale admissible du ca ble
(témpé raturé a né pas dé passér én court-circuit pour né
pas endommager l'isolant).
Le C15-500 interpre te cela diffe remment : si la ligne est
prote ge e par un disjoncteur non retarde , il utilise la tem-
pe rature initiale. Si la protéction ést un fusiblé, il utilisé la
tempe rature me diane entre la tempe rature initiale et la
tempe rature finale admissible du ca ble (avec quelques
subtilite s supple mentaires pour le conducteurs PE et les
courants de de faut).
Pourquoi cette interpre tation ? Cela n'est malheureuse-
ment pas explique , et le manque d'explication est d'autant
plus regrettable que ça ne va pas force ment dans le sens
de la se curite par rapport a l'interpre tation la plus simple :
on obtient des valeurs de courts-circuits minimaux plus
e leve es qu'en prenant simplement la tempe rature finale
admissible du ca ble…
Dans la version de taille e de cet article (disponible sur
www.bbs-conception.com/lettres-electricien/), on montre
que le choix de la tempe rature me diane pour les fusibles
semble e tre le re sultat d'un raisonnement ou les hypo-
the ses et les re sultats on e te confondus, avec des approxi-
mations faites au de triment de la se curite . Les choix faits
pour les cas des disjoncteurs retarde s et non retarde s sont
eux aussi discutables.
En conclusion
Le guide C15-500 apporte, en plus d'une information
synthe tique, quelques simplifications, mais surtout des
pre cisions, des valeurs usuelles a utiliser par de faut, et
parfois des de viations par rapport aux normes en vigueur.
Tout cela facilite la vie des e diteurs de logiciels, mais par-
fois au prix de quelques impre cisions dans les calculs.
Ces impre cisions sont acceptables lorsqu'elles ne com-
promettent pas la se curite . Cependant, l'analyse approfon-
die que nous avons e te amene s a effectuer en cette pe riode
de discussion avec nos confre res (en vue d'e tablir une
nouvelle proce dure d'avis techniques), montre que cer-
taines impre cisions sont en fait des erreurs a corriger, et
que quelques points pourraient e tre encore ame liore s.
BBS vous propose :
Des formations :
Les formations signale es par le sigle « RGE » sont suscep-
tibles d'entrer dans le cadre des certifications pour l'ob-
tention de la mention RGE Études aupré s dés organismés
certificateurs. Les formations RGE doivent contenir une
partie the orique sur la me thode de calcul Th-BCE et une
partie pratique sur un logiciel de calcul thermique. Il est
possible de venir uniquement a l’une ou a l’autre si vous
avez de ja valide l’une des deux (non valable pour les for-
mations « audit e nerge tique des ba timents »).
20 et 21 juillet : Me thode Th-BCE 2012 -
ClimaWin Paris - « RGE »
27, 28 et 29 septembre : Me thode Th-BCE 2012 -
ClimaWin (de butant) a Paris - « RGE »
5 et 6 octobre puis 12 et 13 octobre : Audit e nerge tique
des ba timents a Paris - « RGE »
18 et 19 octobre : ClimaWin de butant a Paris - « RGE »
Retrouvez les dates suivantes et inscrivez-vous sur :
www.bbs-slama.com/formations
Des webconférences gratuites :
18 juillet : ClimAudit
22 juillet : Physalis Façade
25 juillet : PhysalisTherm
29 juillet : ClimaBIM (complet)
Retrouvez les dates suivantes et inscrivez-vous sur :
www.bbs-logiciels.com/webconferences