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laG a zetteduFoyer Mail 2011 n° 1 Les fêtes de ma i La recette du jour La viellesse La revue du Foyer Résidence Tolosane - CCAS Ramonville St-Agne

laGazettedufoyer n°1

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La nouvelle formule de la gazette du Foyer Résidence Tolosane.

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laGazetteduFoyerMail 2011 n° 1

Les fêtes de mai

La recettedu jour

La viellesse

La revue du Foyer Résidence Tolosane - CCAS Ramonville St-Agne

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Foyer Résidence Tolosane83 ter Avenue Tolosane31520 Ramonville St-Agne

SommaireLes Fêtes de Mai

Pages. 2 et 3

La connaissance de soi Page. 4

La recette du jourDes proverbes de Mai

Page. 5

La viellesse vue par Philippe Noiret

Page. 6

PoèmesL’indispensable ognion

Page. 7

La vie au Foyer Page. 8

Les infos du FoyerL’agenda

Page. 9

Jeux et Passe temps Page. 10

L’équipe de rédaction

Renée BEAUDONYvonne SOULETDenise DUCOS

Giorgina CHASTELMichel LACAZEPierre FERAUT

Mise en pageFernando

2. La Gazette du Foyer, Mai 2011

Le 1er maiest un jour férie, c’est la fête du travail.Depuis 1947, le 1er mai est un jour férié, chômé et payé en France et dans d’autres pays du monde entier .Tra-ditionnellement ce jour est consacré aux défilés des syndicats du travail ou plu-tôt des travailleurs dans les grandes villes de France.

Mais aussi un jour de fête pour le muguet, car la tra-dition populaire veut qu’on offre un brin de muguet comme porte bonheur. Un peu de son histoire24 octobre 1793, dans son rapport sur le nouveau calendrier républicain de la Révolution française, Fabre d’Eglantine institue une fête du travail. Saint-Just établit des fêtes publiques le 1er de chaque mois dans les Institutions républicaines.La fête du Travail aura lieu le 1er pluviôse (20 ou 31 jan-vier).En 1848 la Constitution institue au 4 mars une fête du Travail dans les colonies pour oublier l’esclavagisme (abolition de l’esclavage en France et dans les colonies).En 1889, le Congrès Inter-

national Socialiste de Paris adopte le premier mai comme jour de revendication des travailleurs. Sur propo-sition de Raymond Lavigne, le Congrès prend la décision d’organiser une manifes-tation internationale à une date fixe pour que ce même jour les ouvriers demandent la journée de 8 h.En 1890, lors du premier mai, les manifestants portent un petit triangle rouge, symbole de la division de la journée de travail en « trois huit » : travail, som-meil, loisirs.Par la suite, ils fleuriront leurs boutonnières d’églan-tines, symbole de la foi en la Révolution et fleur tradition-nelle du nord de la France (d’où le surnom donné aux socialistes vers 1900 : les églantinards).En 1907 : le muguet appa-rait, c’est la fleur tradition-nelle de l’Ile-de-France (Chaville, Meudon) .En 1936 : on vend des bou-quets de muguet cravatés de rouge.De nos jours, on trouve des brins de muguet avec une rose.

Les Fêtes de Mai

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Le 8 mai, victoire du même jour en 1945, est l’anniver-saire de la capitulation du troisième Reich Allemand. Si l’on a toujours célébré celui du 11 novembre 1918, il a fallu attendre, pour des raisons qu’il n’appartient pas d’ana-lyser ici, plusieurs décennies avant qu’il en soit de même pour la commémoration du 8 mai. Pourtant, tout en reconnaissant l’importance de l’armistice de novembre 1918, qui mettait fin a 4 années de tuerie et de souffrances, on doit objectivement constater que ce jour du 8 mai 45 mérite tout autant de figurer dans notre souve-nir, car sa valeur symbolique est grande. D’abord il ne marque pas seulement pour la France la fin d’un conflit, mais aussi le retour à la liberté. N’oublions pas que pen-dant plusieurs années, le pays avait vécu sous la botte allemande. Nous avions perdu le bien le plus précieux pour un peuple, le droit de disposer de lui-même, ce qui n’avait pas été le cas lors du premier conflit mon-dial. L’existence du gouvernement fantoche de Vichy, manipulé par l’occupant ne doit pas faire illusion, il ne faisait que masquer, plutôt mal, une triste réalité : notre asser-vissement à une puissance étrangère. Dé-sormais, avec la défaite de l’oppresseur le pays allait recouvrer les libertés pour les-quelles les générations passées avaient tant lutté et reprendre en main son destin. Mais une autre raison fait la particularité de ce mai 1945 et nous amène à considérer cette date comme essentielle : Novembre 1918 marquait la victoire des armées françaises

et alliées sur l’armée de l’Allemagne ; celle du 8 mai 45 était la victoire sur l’Allemagne nazie. Cet objectif est lourd d’importance, le nazisme était fondé sur le racisme, la dis-crimination, l’exclusion, le refus de recon-naitre à des millions d’individus, juifs, noirs, slaves, gitans, la qualité d’êtres humains. La concrétisation de cette vision négative de l’humanité avait été le massacre, l’anéan-tissement et l’asservissement de masses d’hommes, de femmes, d’enfants en par-ticulier dans ces camps de concentration dont les noms résonnement sinistrement à nos oreilles : Auschwitz, Buchenwald, Dora, Mauthausen etc.… On doit se rappe-ler que, jamais depuis le début de l’histoire, autant des moyens militaires et techniques n’avaient été mis au service de la barbarie. Certes la première guerre mondiale avait été particulièrement meurtrière, mais elle avait relativement épargné les populations civiles. La seconde ne fut pas seulement comme la première une boucherie, mais aussi un génocide méthodiquement orga-nisé. Par suite le 8 mai 1945 ne marque pas seulement une victoire militaire, mais celle d’une idéologie défendant les valeurs fon-damentales de la morale, la liberté, la tolé-rance, le respect de la dignité de tout être humain, sur celle qui n’avait eu de cesse pendant des années de les bafouer. Hélas, cette idéologie inhumaine recueillit l’adhé-sion d’un peuple conditionné par la propa-gande exclusivement à son service, mais elle trouva, aussi, des serviteurs zélés dans les pays occupés, dont le notre, ou, jusque dans les plus hautes sphères, se réveillèrent les vieux démons du racisme et de l’anti-sémitisme. Oui cette victoire mérite d’être célébrée, car elle est au delà du succès des armes, celui des valeurs essentielles de l’humanisme contre la barbarie. Par là elle nous assigne aussi une mission : « l’homme est un loup pour l’homme » écrivait le phi-losophe anglais Hobbes. Œuvrons en nous appuyant sur ce passé, pour qu’il n’en soit plus ainsi.

P.F.

Remarques sur une commémoration

La Gazette du Foyer, Mai 2011. 3

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… comme il a été évoqué dans l’article précédent, la connaissance de soi même nous permet de mieux conduire notre existence.

Les obstacles à franchir pour accéder, sont impor-tants.Le premier est dû fait que beaucoup vivent dans l’illu-sion que la connaissance de soi est naturelle, qu’elle est quasi innée, que nous la portons en nous-mêmes. A quoi bon alors, y consacrer son attention et du temps ? Une autre difficulté vient de ce que nos sens et notre entendement sont spontané-ment tournés vers le monde extérieur et les autres alors que se tourner vers soi même exige une prise de conscience qui n’est pas naturelle. Apprendre a bien se connaitre exige en effet que l’on prenne du recul, que l’on se donne du temps pour méditer sur notre com-portement, notre attitude, nos actes, pour procéder à une sorte d’examen interne. Or nous sommes le plus souvent accaparés par nos activités professionnelles et autres, par les soucis quoti-

diens de l’existence. Le sa-vant et écrivais Blaise Pas-cal disait que l’individu était comme victime de ce qu’il appelait le divertissement, au sens propre du terme, c’est-à-dire, de tout ce qui le détourné de lui-même, et ce dernier devient une sorte de drogue qui l’étourdit et lui permet d’échapper à la méditation sur lui-même. A cet égard, reconnaissons que le rythme, sans cesse accéléré, de la vie moderne tend à aspirer l’individu qui, entre les occupations pro-fessionnelles, les déplace-ments, les loisirs multiples, devient de plus en plus un extraverti qui a de moins en moins l’occasion de faire un retour sur lui-même. Mais une autre cause essentielle à cette méconnaissance de soi semble résider dans la nature même de l’homme : il faut, pour bien se connaitre, non seulement en prendre le temps, mais faire preuve aussi de beaucoup de luci-dité, de courage et d’objecti-vité. Or même un individu lu-cide et courageux se heurte à deux obstacles redoutables : le premier réside dans la com-plexité de la nature humaine. Nous savons depuis Freud

que notre attitude, nos actes sont dictés par notre moi rationnel, mais aussi par ces forces, ces tendances, souvent refoulés, que la psychanalyse appelle « le ça », c’est-à-dire, l’inconscient, qui échappent à notre regard même lucide. Or un nombre non négligeable d’actes inexpliqués et inexplicables pour la raison humaine, trouvent dans cet incons-cient leur origine. Le second obstacle à cette connais-sance de soi s’appelle, « l’amour propre » ce que le moraliste La Rochefoucauld

appelle « l’amour de soi et toute chose pour soi ». Cet amour propre nous amène souvent à une vision inexacte de nous même, mettant en valeur nos qualités, nos ver-tus et dissimulant ou mini-misant nos défauts et nos faiblesses, car il est, pour reprendre d’autres propos de La Rochefoucauld « le plus habile des flatteurs et le plus écouté des maîtres ».

Deuxiéme parti de l’article de M. FERAUT, portant sur l’importance et la difficulté de la connaissance de soi même.

La difficulté de la connaissance de soi

4. La Gazette du Foyer, Mai 2011

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De la pluie le premier jour de mai, Ôte aux fourrages de la qualité.

Le mois de mai de l’année, décide la destinée.

Plus mai est chaud, plus l’an vaut

Brouillard de mai, chaleur de juin, Amènent la moisson à point.

La rosée du mois de maiRend le laboureur gai

Quand il tonne en mai, Les vaches ont du lait.

Mai, mois fleuri, mois béni.

Pendant le joli mois de Mai, Couvre-toi plus que jamais.

Frais mai et chaud juin, Amènent pain et vin.

Mariage du mois de mai, Fleurissent tard ou jamais.

Du mois de mai, la chaleur, De tout l’an fait la valeur.

Mai, Fait ou défait.

Quand le raisin naît en mai,Faut s’attendre à du mau-vais.

Noces de mai Ne vont jamais.

Des proverbes de Mai

Il en résulte une attitude très commune et très propre à la nature humaine. Comme l’a montré La Fon-taine dans une de ses fables « La Besace », nous voyons surtout les défauts des autres, prompts à les criti-quer, mais prompts à réagir avec hostilité si on ose par-ler des nôtres, car on nous dévoile une part de nous même que l’amour propre, notre ego, ne veut pas reconnaitre, ou du moins, qu’il minimise. Et quand quelqu’un veut attirer notre attention sur cet aspect peu valorisant de notre être, nous ripostons, souvent avec mauvaise foi, car comme le dit le célèbre proverbe « il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Reconnais-sons-le, il est plus agréable d’entendre les louanges des flatteurs que les critiques même objectives des cen-seurs. Mais un danger nous guette alors, celui de perdre de vue notre être véritable. C’est pourtant à partir de lui, et non de la fausse image que nous en avons, que nous parviendrons à nous construire et à aller de l’avant. Au lieu de leur en vouloir, soyons recon-naissants envers ceux qui, en nous révélant certains aspects de notre personna-lité, que nous nous cachions à nous-mêmes, nous per-mettent de progresser…

P.F.

La recette du jour

Menu à préparer chaque jour

Prenez deux décilitres de patience et une

tasse de bonté, quatre cuillères de bonne

volonté, une pincée d’espoir plus une dose

de bonne foi.

Ajoutez deux poignées de tolérance, un paquet

de prudence et quelques brins de sympathie, quelques brins de cette petite plante rare que l’on nomme l’amabi-

lité et une grande mesure de bonne humeur.

Assaisonnez le tout avec beaucoup de bon sens, laissez mijoter et vous obtiendrez une bonne journée

D. D.

La Gazette du Foyer, Mai 2011. 5

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Il me semble qu’ils fa-briquent des escaliers plus durs qu’autrefois. Les marches sont plus hautes, il y en a davantage. En tout cas, il est plus difficile de monter deux marches à la fois. Aujourd’hui, je ne peux en prendre qu’une seule.

A noter aussi les petits ca-ractères d’imprimerie qu’ils utilisent maintenant. Les journaux s’éloignent de plus en plus de moi quand je les lis : je dois loucher pour y parvenir. L’autre jour, il m’a presque fallu sortir de la cabine téléphonique pour lire les chiffres inscrits sur les fentes à sous. *

Il est ridicule de suggérer qu’une personne de mon âge ait besoin de lunettes, mais la seule autre façon pour moi de savoir les nouvelles est de me les faire lire à haute voix – ce qui ne me satisfait guère, car de nos jours les gens parlent si bas que je ne les entends pas très bien.

Tout est plus éloigné. La distance de ma maison à la gare a doublé, et ils ont ajouté une colline que je

n’avais jamais remar-quée avant.

En outre, les trains partent plus tôt. J’ai perdu l’habitude de courir pour les attra-per, étant donné qu’ils démarrent un peu plus tôt quand j’arrive.

Ils ne prennent pas non plus la même étoffe pour les cos-tumes. Tous mes costumes ont tendance à rétrécir, sur-tout à la taille.

Leurs lacets de chaussures aussi sont plus difficiles à atteindre. Le temps même change. Il fait froid l’hiver, les étés sont plus chauds. Je voyagerais, si cela n’était pas aussi loin. La neige est plus lourde quand j’essaie de la déblayer.

Les courants d’air sont plus forts. Cela doit venir de la façon dont ils fabriquent les fenêtres aujourd’hui.

Les gens sont plus jeunes qu’ils n’étaient quand j’avais leur âge. Je suis allé récem-ment à une réunion d’an-ciens de mon université, et

j’ai été choqué de voir quels bébés ils admettent comme étudiants. Il faut reconnaître qu’ils ont l’air plus poli que nous ne l’étions ; plusieurs d’entre eux m’ont appelé « monsieur » ; il y en a un qui s’est offert à m’aider pour traverser la rue.

Phénomène parallèle : les gens de mon âge sont plus vieux que moi. Je me rends bien compte que ma géné-ration approche de ce que l’on est convenu d’appeler un certain âge, mais est-ce une raison pour que mes cama-rades de classe avancent en trébuchant dans un état de sénilité avancée ? Au bar de l’université, ce soir-là, j’ai rencontré un camarade. Il avait tellement changé qu’il ne m’a pas reconnu.

La viellesse vue par Philippe Noiret

6. La Gazette du Foyer, Mai 2011

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Une abeille un jour de printemps Voletait, voletait gaiement

Sur la rose bruyère en fleurDont si douce est l’odeur

Au pied de la bruyère en fleurUne pauvre chenille en pleur

Regardait voler dans le cielLa petite et son miel

Et la pauvre chenille en sanglotsLui disait «Je vous aime»

Mais l’abeille là-haut, tout là-hautN’entendait pas un mot

Cependant que les jours passaientLa chenille toujours pleurait

Et l’abeille volait gaiementDans le ciel du printemps

Après avoir pleuré jusqu’à la nuitNotre chenille s’endormit

Mais le soleil de ses rayonsVint éveiller un papillon

Par les bois les champs et les jardins

Se frôlant de leurs ailesIls butinent la rose et le thym

Dans l’air frais du matin

Et sur une bruyère en fleurNotre abeille a donné son cœur

Tandis que chantaient les grillons,Au petit papillon

Ma petite histoire est finieElle montre que dans la vie

Quand on est guidé par l’amour,On triomphe toujours

Henri Salvador

Poèmes

Mignonne, allons voir si l’arthrose Qui ce matin tant m’ankylose Depuis qu’a sonné mon réveil, Pour clore une nuit de som-meil, Aura perdu de sa vigueur Après un foo-ting d’un quart d’heure.

Las ! Voyez comme sont les choses, Il faudrait que je me repose. Mes maux, loin de se calmer Las, las, ne cessent d’em-pirer. Ô vraiment, marâtre nature Avec l’âge la douleur per-dure !

Donc, si vous m’en croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleu-ronne En sa plus verte nouveauté Avant que ne ternisse votre beauté, Pour assouvir toutes envies Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie !

Allons voir si l’arthrose…

L’indispensable oignonOmniprésent, l’oignon trône dans nos cuisines, tou-jours à portée de main. Aromatique, puissant quand il est cru ou adouci par la cuisson, il se glisse dans des multiples préparations. Il peut également devenir l’élément central d’une recette.

Astuces : pour limiter l’évaporation des essences vo-latiles responsables des larmoiements, épluchez les oignions sous un filet d’eau et utilisez un bon couteau pour couper franchement et non écraser les cellules, ce qui a pour conséquence de dégager des composés de souffre responsables de l’irritation des yeux. En fin pour chasser l’odeur de l’oignions sur vos mains tamponnez-les avec un coton imbibé de vinaigre ou frottez-les avec un demi citron.

La Gazette du Foyer, Mai 2011. 7

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La vie au Foyer Les anniversaires au FRT

Vendredi 22 avril, nous avons fêté les anniversaires du mois de 5 résidentes. Andrée, Solange, Pierrette et Nicole. Au moment du dessert, le cuisinier, Ber-nard, est arrivé dans la salle à manger avec le chariot et bien sur les gâteaux et le champagne. Les récipien-daires sont passées chacune à leur tour souffler leur bou-gie.

Adrée, notre centenaire, a

soufflé avec force une seule fois. 100 ans c’est beau, elle est formidable…

Les gâteaux et le champagne servis, Mme Jandau nous annonce une surprise de Fernando, notre animateur. Et quelle surprise ! Il avait préparé un petit film sur la vie de notre centenaire, depuis sa naissance jusqu’à son arrivée au foyer en 2006. Très émouvant. Les 4 rési-dentes fêtées ont eu un ca-deau et Andrée un joli bou-quet de fleurs en plus. Mais une autre surprise nous attendait. Un deuxième petit film sur Bernard, notre cuisi-nier, qui nous quitte pour une retraite bien méritée. Son départ nous a contrariés. Il a toujours été souriant et il avait toujours un mot pour blaguer. Nous lui souhaitons une bonne retraite et bonne santé pour bien en profiter.

Nous avons fait la connais-sance de notre futur cui-sinier Melchior, qui nous a promis de bons petits plats. Nous lui souhaitons la bien-venue parmi nous.

Nous avons terminé par le chant de bon anniversaire. Une journée agréable, très bon souvenir.

R.B.

Visite de l’EHPAD Les Fontenelles

Le 31 mars dernier nous sommes allés visiter la Résidence « Les Fontenelles ».

M. le Maire et la directrice de l’établis-sement étaient la pour nous accueillir et nous accompagner dans la visite. Les Fontenelles compte avec 2 salles de restauration communes, et 2 sa-lons pour recevoir la famille, une salle de lecture, un local pour le kiné et un autre pour les infermières. Un local pour le coiffeur et une salle dédié au culte. Le tout sur trois étages bien desservis par des ascenseurs. Les chambres sont meublées mais on peut les personnaliser. Il y a des grandes baies vitrées partout, ce qui donne beaucoup de clarté et une luminosité extraordinaire. Il y a aussi un patio intérieur très sympathique et le personnel est très aimable. A la fin de notre visite des anciennes résidentes du FRT ce sont joints à nous pour prendre un gouter. Un clafouti fait maison qui était délicieux. Je pense que l’ensemble est spacieux et très calme, et les résidents, sont bien en-cadres et satisfaits. G.C.

8. La Gazette du Foyer, Mai 2011

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Arrivés à un certain âge, que nous soyons dépen-dants ou pas, la vieillesse est la suite logique de notre vie, nous avons tous droit à la finir dans des bonnes condi-tions.

Si les enfants ou la famille ne peuvent pas s’occuper de leurs ascendants, pour de multiples raisons, et si ceux-ci et la personne âgée sont d’accord, la maison de retraite est la structure qui convient le mieux pour la fin de vie. Il faut que les personnes s’y sentent bien, qu’elles y trouvent un accueil chaleureux, du personnel qualifié et compétent, des repas adaptés à leur âge ou pathologie, des soins etc. La maison de retraite doit nous permettre de se faire des nouveaux amis, assister à des activités et bien sûr garder le lien avec la famille qu’on a côtoyéée et aimée pendant tant d’an-nées.

D.D.

Les Infos du Foyer

Nouvelle organisation de l’accueil du foyer

Comme vous avez pu le remarquer, les horaires de l’accueil ont connu quelques modifications depuis le début du mois.

Désormais, vous trouverez à l’accueil :

Gautier ou Laïla de 9 h à 12h et de 14 h à 16 h 30 du lundi au vendredi.

Nous vous rappelons que tous les jours à 16heures 30 le Thé est servi par Patricia autour de la che-minée, ou à la bibliothéque les jours de presence de Jo Vidal.

THE TIME

Pour le mois de Juin nous sommes en train de préparer un sortie promenade sur le petit Train de toulouse. Nous vous confirmerons la date trés prochainement.

AgendaDimanche 29 mai La fête des Méres

La Gazette du Foyer, Mai 2011. 9

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10. La Gazette du Foyer, Mai 2011

Jeux et Passe temps

Les Cent cases de Michel LACAZE

Dans le numéro précédent, une erreur c’est glissé dans la grille des mots croisés aux lignes hori-zontales 1 et 2, nous vous prions de nous excuser. Voici la correction.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

1 C M C A P G A G

2 H U E G U E U L E

3 I S A B E L L E N

4 H E U E L U A I

5 U E B S C C A

6 A S O R D O L

7 H L O U F O Q U E

8 U O K A I S

9 A D O Z I G Z A G

10 S A K E S T E P

FUBUKICHARADE = Photographe1- Faux, 2- Tôt, 3- Gras, 4- Feu

Mots Mixés1- FLEURETTE 2- CHEMINEES 3- PINGOUINS4- PARAPLUIE 5- LABRADORS 6- NOISETTES

Corrections n° précédent