L’INFORMATION DE LA COMMUNAUTÉ URBAINE DE DUNKERQUE …€¦ · Pertuis de la Marine, BP 85530, 59 386 Dunkerque Cedex 1 / Tél. : 03 28 62 70 00 / Imprimeur : Mordacq / Distribution

LE JOURNALL’INFORMATION DE LA COMMUNAUTÉ URBAINE DE DUNKERQUE

N°41 AVRIL 2019Communautaire

www.communaute-urbaine-dunkerque.fr

L’agglo au fil de l’eau P4

2 Le journal communautaire n°01 / Septembre 2015

REGARD /XXXX

Photographe : xxxx

Sommaire

Directeur de la publication : Patrice Vergriete / Direction de la communication et du numérique : Jean-Pierre Triquet / Rédacteur en chef : Olivier Tartart / Rédaction : Stéphanie Abjean, Pascaline Duban, Agnès Godefroid / Photos : Sarah Alcalay, Georges Cantarutti, Sarah Damie, Pierre Volot / Mise en page : Anne-Carole Baylly, Alexis Truant / Tirage : 90 000 exemplaires / Dépôt légal : N°41 avril 2019 - ISSN : 2496-6657 / Éditeur : CUD, Pertuis de la Marine, BP 85530, 59 386 Dunkerque Cedex 1 / Tél. : 03 28 62 70 00 / Imprimeur : Mordacq / Distribution : 100 % Bons Plans

ACTUALITÉS P.4-7• L’agglomération valorise ses canaux

• Cure de jouvence pour six ponts à Dunkerque

• Moteur, ça tourne dans le Dunkerquois

RETOUR EN IMAGES P.8-9

LA CUD EN ACTION P.10-13• L’Europe, c’est aussi dans le Dunkerquois

• La CUD soutient le handisport

• Le Dunkerquois reconnu FrenchTech

À LA RENCONTRE DE… P.14-15• Didier Hau, Djamili Aboudou et Paul Dufour

TOUS ACTEURS DE L’EMPLOI LOCAL P.16-17• Participez au premier forum de la copropriété

INITIATIVES P.18-19• Essaimances se lance dans la permaculture

• Des offres d’emploi en apprentissage diffusées dans le bus

EXPRESSION P.20-21

HISTOIRE P.22-23• Le Dunkerquois, terre de tournages

PASSION LOISIRS P.24-25• 2e édition de la Semaine du végétal à Rosendaël

• 4 Jours de Dunkerque - Grand Prix des Hauts-de-France

PASSION CULTURE P.26-28• Découvrez l’exposition « Gigantisme »

• Des « Graines » de spectateur semées au Bateau Feu

AGENDA P.29-31• Devenez bénévole à la Bonne Aventure

P.7

P.24

TOURNAGES

LOISIRS

SPORT

P.4

P.25

CADRE DE VIE

Cap sur l’humourUne grande dose d’autodérision, beaucoup d’imagination, un brin de talent en bricolage, voici quelques prérequis pour s’embarquer dans la Cô Pinard’s Cup. Après les paddles, les fameux OFNI (objets flottants non identifiés) se sont lancés dans une course effrénée dans le bassin de la Marine à Dun-kerque, encouragés par les rires tonitruants du public.

4 Le journal communautaire n°41 / avril 2019

ACTUALITÉS /CADRE DE VIE

Le programme « L’agglo au fil de l’eau » avance à grands pas dans

le Dunkerquois, améliorant le cadre de vie, réalisant de nouvelles

liaisons douces et créant des espaces de loisirs et de détente.

L e saviez-vous ? L’agglo-mération dunkerquoise est traversée par 77 ki-lomètres de canaux qui

sont autant d’axes structurants pour la circulation du territoire, de corridors pour la biodiversité, sans oublier une fonction essen-tielle : l’enjeu hydraulique pour limiter les risques d’inondation. Afin de valoriser davantage ses canaux, la CUD a lancé un vaste programme baptisé « L’agglo au fil de l’eau », qui concerne actuel-lement Coudekerque-Branche (1,12 km), Grand-Fort-Philippe (1,5 km) et Dunkerque (1,15 km).Les objectifs sont multiples : marquer davantage la présence des canaux dans l’agglomération qui sont des lieux de mémoire et d’identité du territoire, se réap-proprier ces espaces parfois dé-laissés pour améliorer le cadre de vie et l’image des quartiers, développer les modes de dépla-cements doux : promenades pié- tonnes, voies vertes…, créer des

espaces réservés aux loisirs, aux sports nautiques, et pourquoi pas développer le tourisme fluvial ?

De nouveaux espaces de détente disponibles cet été Le programme de « L’agglo au fil de l’eau » a commencé avec un premier test à Coude-kerque-Branche en 2015. Les berges du canal de Bergues ont été réaménagées pour accueil-lir un espace de promenade, une voie verte et une descente à bateaux. Les travaux se pour-

suivent actuellement aux abords de la rue des Forts avec le pro-longement de la voie verte et de nouveaux espaces de détente aux bords de l’eau livrés cet été.

À Grand-Fort-Philippe, le che-nal de l’Aa est requalifié pour accueillir un espace de prome-nade et une voie verte séparés de la circulation. Un banc-muret et des îlots de verdure sont réa-lisés pour améliorer le cadre de vie sur la Flaque aux Espagnols qui accueillera le marché hebdo-madaire estival. Ce chantier est réalisé en deux phases : le tron-

C’est le montant de l’investissement du programme « L’agglo au fil de l’eau » sur la période

2016-2020, auquel s’ajoutent les réalisations menées par les communes concernées : nouvel éclairage, mobilier urbain, espaces verts…

6,4ME

ROSENDAËL

Retrouvez l’actualité des chantiers : www.communauté-urbaine-dunkerque.fr.

L’agglomération valorise ses canaux

Le journal communautaire n°41 / avril 2019 5

L’agglo au fil de l’eau, au fil des canaux

PATRICE VERGRIETE Président de la Communauté urbaine de Dunkerque

PERSPECTIVES

Terre gagnée sur la mer voilà des siècles, notre agglomération est toujours aujourd’hui traversée par de nombreux canaux qui la protègent des inondations grâce au savant mécanisme des wateringues.

Après avoir un temps joué un formidable rôle dans l’essor industriel et portuaire du Dunkerquois, les canaux sont quelque peu tombés dans l’oubli au fur et à mesure que notre agglomération s’urbanisait. Les villes se sont alors bâties en les considérant comme une frontière et une contrainte. Sans réellement prendre en compte que la présence de ces 77 km de canaux est un atout majeur dans le développement de notre agglomération.

Conscients que cette forte présence de canaux dans notre territoire était à mettre en valeur, nous avons lancé dès 2015 ce programme « L’agglo au fil de l’eau ». Tout d’abord le long du canal de Bergues à Coudekerque-Branche, puis aujourd’hui le long du chenal de l’Aa à Grand-Fort-Philippe et le long du canal de Furnes à Dunkerque et près de Ghyvelde.

Avec l’ambition d’améliorer le cadre de vie des espaces urbanisés traversés par ces canaux, en favorisant les mobilités douces (piétons - vélos) le long de ces espaces naturels qui favorisent la biodiversité. Sans oublier que si les canaux ont eu un rôle déterminant dans le développement économique de notre agglomération hier, ils participeront également au nouveau dynamisme touristique du Dunkerquois.

çon le long du boulevard de la République dont les travaux s’achèvent en mai prochain, et le tronçon de la Flaque aux Es-pagnols jusqu’au Minck, dont les travaux démarrent en mai et se terminent au premier trimestre 2020.

À Dunkerque, des aména-gements autour des canaux ont déjà été réalisés dans les quartiers du Jeu-de-Mail et du Carré-de-la-Vieille, ain-si que le long du nouveau boulevard Simone-Veil à Pe-tite-Synthe. Ils donnent aux

quartiers une nouvelle iden-tité, davantage tournée vers l’eau et désenclavée par de nouvelles liaisons cyclables et piétonnes. Dans le quartier de Rosendaël, le quai aux Fleurs est en cours de réaménage-ment, du pont des Corderies au pont du Littoral. Après les travaux d’assainissement et de suppression des réseaux aériens, la section se dote d’une voie verte ainsi que de quatre terrasses en bois livrées en septembre pour profiter des berges du canal de Furnes.

COUDEKERQUE-BRANCHE

GRAND-FORT-PHILIPPE

valorise ses canaux


ACTUALITÉS /CHANTIERS

A près le pont Saint-Charles remis en peinture en 2018, c’est au tour des six ponts enjambant le canal exutoire et le canal de

dérivation de Dunkerque de faire l’objet d’une rénovation. Une remise en beauté qui passe, selon les cas, par un renforce-ment de la structure, un décapage des peintures, des travaux d’étanchéité, une remise en état des trottoirs et de la chaus-sée et une mise en peinture de la char-pente métallique en rouge pourpre pour deux d’entre eux : les ponts de Rosendaël et Carnot. Ce programme présente un double objec-tif : remettre en état les ouvrages apparte-nant à l’État avant leur reprise en gestion

par la CUD (voir encadré) et mettre en valeur ces ponts caractéristiques du pa-trimoine de la reconstruction à Dunkerque tout en améliorant le cadre de vie. À titre d’exemple, afin de valoriser l’ouvrage, les parapets en béton qui longent le pont Car-not seront supprimés et remplacés par des garde-corps métalliques et ouverts.

Jusqu’en 2021, six ponts font l’objet d’un programme de rénovation à Dunkerque.

Cure de jouvence pour six ponts à Dunkerque

Des restrictions de circulation et des déviations seront mises en place au gré des nécessités des chantiers et seront communiquées sur le site : www.communauté-urbaine-dunkerque.fr, rubrique « actualité ».

Transfert d’ouvragesLe montant des travaux de rénovation des sept ponts (le pont Saint-Charles inclus) s’élève à 4,75 millions d’euros. Ils sont supportés à 63 % par l’État et 37 % par la CUD. Actuellement, les infrastructures des ouvrages sont à la charge de l’État alors que la structure en surface appartient à la CUD. Une fois la rénovation effectuée par le Grand Port Maritime de Dunkerque qui assure la maîtrise d’ouvrage par délégation, la gestion des ponts reviendra à la CUD qui en assurera dès lors leur conservation.


B esoin de créer un commissa-riat avec une vue portuaire ? Ni une ni deux, l’Hôtel des Technologies en voie de ré-

habilitation se rend disponible pour les besoins de la série « Kepler(s) ». Un coup de baguette magique qui fait gagner du temps (et de l’argent) aux cinéastes… Depuis l’instauration d’une cellule cinéma à la Ville de Dunkerque (lire notre article en pages 22 et 23), le nombre de jours de tournage n’a cessé de croître dans la cité de Jean Bart, et par répercussion, dans le reste de l’agglomération comme par exemple à Coudekerque-Branche et à Grand-Fort-Philipppe. Un engoue-ment qui se confirme en 2019 comme en attestent les tournages en cours de deux séries de France Télévision :

« Laetitia » et « Une belle histoire », suivis très prochainement de la troi-sième saison du « Baron noir » et, au début de l’été, du prochain long-mé-trage du réalisateur Samuel Benche-trit. Et ce n’est pas fini, d’autres repé-rages sont en cours pour d’éventuels tournages.

Faire durer les tournages pour optimiser leur impact économique Repérage de sites pour les tournages, recherche d’ateliers ou d’entrepôts pour les besoins des productions, mise à disposition de locaux pour les castings, propositions de candidaturesde comédiens professionnels et de techniciens, mobilisation des services municipaux… la cellule cinéma est à pied d’œuvre. L’objectif ? Attirer les cinéastes et faire durer les tournages localement pour en amplifier l’impact économique, en proposant d’autressites susceptibles de correspondre à leurs besoins. « C’est ainsi que cer-taines scènes censées se situer à Lille dans les épisodes du « Baron noir »

ont finalement été tournées dans le Dunkerquois. Dernière initiative qui a porté ses fruits, la promotion du site de l’ancienne raffinerie SRD avant sa démolition partielle, qui a servi pour trois courts-métrages et la série « Ke-pler(s) ». Avec « Baron noir », l’image de Dun-kerque a été considérablement modi-fiée. La réputation pour accueillir des tournages s’est confortée considéra-blement. Et le bouche-à-oreille conti-nue de fonctionner. Avec le tournage de Nolan, le territoire a démontré qu’il était capable de répondre aux besoins d’un tournage d’un blockbuster avec d’énormes contraintes, en mobilisant les différents acteurs concernés : cel-lule cinéma, sous-préfecture, Port de Dunkerque, douanes, police maritime, pour résoudre tous les problèmes. Une réactivité qui a sidéré la Warner ! Les réalisateurs viennent pour di-verses raisons à Dunkerque : un cli-mat social, une ambiance portuaire, une architecture atypique… mais tous s’accordent sur un point : la lumière y est exceptionnelle.

Miser sur les tournages pour changer l’image du territoire et booster l’économie locale,

c’est l’objectif de la cellule cinéma à Dunkerque. 2019

s’avère être une année très prometteuse avec trois

tournages de séries en cours et d’autres projets...

Moteur, ça tourne dans le Dunkerquois !

/ÉCONOMIE


RETOUR EN IMAGES /

Les bus de vie continuent de sillonner l’agglomération.

en images Mars / Avril

Fort-Mardyck a accueilli son

Salon de la BD et du

Livre.

Le Musée portuaire présente sa nouvelle exposition

D’eau, ré, mi.


Séries Mania a fait escale au Studio 43.

La 15e édition du Salon des langues s’est tenue à Dunkerque.

L’USDK décroche sa place en finale de Coupe de France de handball.


LA CUD EN ACTION /CITOYENNETÉ

D epuis la fin des an-nées 80, l’Europe est l’un des principaux par-tenaires des projets du

Dunkerquois. Touchée par la crise économique et la fermeture des chantiers navals, l’agglomération a entamé sa métamorphose au-tour des espaces portuaires avec le soutien financier de l’Union eu-ropéenne, tout en mettant l’accent sur l’innovation, la recherche et le développement, l’environnement et le développement durable. Les fonds européens ont également soutenu le développement écono-mique, social, environnemental, portuaire et urbain de l’agglomé-ration dunkerquoise.

Concrètement, grâce notamment au Fonds européen de développe-ment régional (FEDER), l’Europe a soutenu la mise en place d’équi-pements structurants (Musée Por-tuaire, FRAC, L’Escale…), le déve-loppement urbain (aménagements de la place du Minck, des quais des Hollandais et de la Citadelle…), le tourisme (Kursaal de Dunkerque, le PLUS à Cappelle-la-Grande, le port de plaisance, les digues…), le port (accessibilité, prolongement de terminaux…), l’environnement et le développement durable (centre de valorisation énergétique et or-ganique, bois des Forts…) et la mo-bilité (projet DK’plus de Mobilité). Outre l’implantation et le dévelop-

pement de l’université (ULCO) et d’entreprises, l’Europe, c’est égale-ment un coup de pouce au quoti-dien en matière d’emploi et d’in-sertion professionnelle. Grâce au Fonds social européen (FSE), dont la dotation dunkerquoise est gérée localement par Entreprendre en-semble, de nombreux porteurs de projets concrétisent leurs actions.Depuis trente ans, grâce au sa-voir-faire des acteurs du territoire dans le montage des dossiers de financement, plus de 200 millions d’euros ont été redistribués dans l’agglomération, permettant de favoriser son développement, son économie, sa compétitivité, son rayonnement et son bien-vivre.

L’Europe, c’est aussi dansle Dunkerquois !« Qu’est-ce que l’Europe fait pour moi ? ». Institution méconnue, le Parlement européen sera renouvelé du 23 au 26 mai dans les 28 états membres (le 26 mai en France). Ces élections européennes sont l’occasion pour la Maison de l’Europe - Europe Direct Dunkerque Littoral Hauts-de-France de mettre en avant comment intervient l’Europe dans notre quotidien.

48 %

Pour l’aménagement de l’EuroVéloRoute Bray-Dunes-Dunkerque et Dunkerque-Coudekerque-Branche.

Pour l’aménagement du territoire pour la mise en place du bus gratuit dans l’agglomération.

Pour l’aménagement de la digue en front de mer (rénovation et renforcement du perré).18 % 27 %

Ces projets ont bénéficié dernièrement d’un financement européen à hauteur de :


Et aussi 80 % de l’aménagement de la ceinture verte de Loon-Plage, 60 % du schéma numérique d’agglomération (SDUS), 60 % de l’animation de La Turbine, 70 % de la renaturation du canal de Mardyck, boulevard Simone-Veil, ou encore 50 à 55 % des projets Tendances (renforcement de l’attractivité des prestataires touristiques), Vedette (développement du parc paysager dunaire transfrontalier) et Eurocyclo (développement de boucles de découverte de l’Eurorégion à vélo).

Pour l’aménagement de la digue en front de mer (rénovation et renforcement du perré).

Pour la transformation de la Halle aux Sucres.% 23 %

www.cettefoisjevote.eu.www.europe-en-france.gouv.fr. DKPLUSEUROPE. maisoneuropedunkerque. @EuropeDunkerque.La Maison de l’Europe - Europe Direct Dunkerque Littoral Hauts-de-France 5, quai de la Citadelle, à Dunkerque, 03 28 21 00 16. [email protected].

Programme WIFI4EUSoutien financier aux autorités locales pour l’installation du wifi gratuit dans un espace public.

14 joursDélai de rétractation (à partir de la date de livraison) pour tout achat d’un produit sur internet, par téléphone ou à domicile.

2 ansGarantie légale minimale de tout produit manufacturé vendu dans l’UE.

eCallSystème d’appel d’urgence à bord de tout véhicule neuf (depuis mars 2018). Appel automatique du 112, indication de la position du véhicule.

PNRConsultation/échanges de données des passagers recueillis par les compagnies aériennes pour lutter contre le terrorisme.

Le label biologique européen est l’équivalent du label AB français.

AOP/IGPLabels européens de qualité pour valoriser l’origine géographique d’un produit alimentaire.

Carte européenne d’assurance maladie Utile pour bénéficier d’une prise en charge des frais de soins lors d’un déplacement européen.

Que fait l’Union européenne dans notre quotidien ?Exemples de réalisations dans l’Union européenne

27 522 sites naturels dont 1 766 en France, protégés par l’UE. Plus d’exemples sur :

www.ce-que-l-europe-fait-pour-moi.eu

LA CUD EN ACTION /NUMÉRIQUE


Qu’est-ce qu’une communauté FrenchTech ?« La FrenchTech est une initiative entrepreneuriale de portée mondiale, qui contribue à faire de la France un pays où les start-ups peuvent naître, croître et de-venir des entreprises florissantes. Elle est constituée de capitales, de communautés internationales et de communautés FrenchTech locales dont la commu-nauté FrenchTech Littoral Hauts-de-France depuis le 3 avril. Ces communautés rassemblent les fondateurs de start-ups, investisseurs, employés etc. La commu-nauté Littoral Hauts-de-France s’est construite autour d’un ensemble de valeurs dont les principales sont l’inclusion, l’indépendance, l’intégrité et l’unité. »

Pourquoi est-ce intéressant pour le territoire de décrocher ce label ?

« Le littoral est bien plus dynamique dans le monde de l’innovation que l’on peut se l’imaginer notam-ment parce qu’on y trouve une activité industrielle et commerciale diversifiée et intense qui a besoin d’innover pour évoluer constamment. Mais son éta-lement géographique, sa construction autour de mé-tropoles de dimensions comparables et l’ombre de la capitale lilloise si grande et si proche, rendent plus difficile l’identification du territoire comme terreau fertile pour l’innovation. Il est essentiel pour le littoral Hauts-de-France de faire savoir que l’on a ici toutes les ressources qu’il faut pour porter les projets les plus ambitieux. L’action de la communauté FrenchTech Hauts-de-France devrait contribuer à corriger cette injuste discrétion, une démarche déjà engagée par le projet Territoire d’innovation (TI). »

Quels vont être les objectifs et missions de cette communauté ?

« Nous avons bâti notre candidature selon trois axes de missions : partager les savoirs et l’information, multi-plier les points de rencontre entre acteurs, monde de l’éducation et passionnés de l’innovation afin de faire naître des synergies, accompagner les porteurs d’idées en leur apportant notre expertise et en leur faisant dé-couvrir les offres d’accompagnement à leur disposition sur les territoires. Tout ceci vise à soutenir un objectif : valoriser les forces locales et les aider à grandir dans les domaines du numérique et de l’innovation. Notre rôle est d’assurer le liant entre les idées innovantes et les moyens qui existent pour les concrétiser. »

Le territoire dunkerquois, avec ceux de Calais, Boulogne et Montreuil, vient d’être labellisé « Communauté FrenchTech », une aubaine pour les entreprises du numérique qui conforte la transition économique de l’agglomération. Explications avec Ludovic Isaert, dirigeant de IDI (Isaert Developpement Ingénierie) et président de la FrenchTech Littoral Hauts-de-France.

Le territoire reconnu FrenchTech

Jours de collecte En raison des jours fériés, les collectes du mercredi 1er mai en matinée sont reportées au samedi 4 mai à partir de 6 h et les collectes du mercredi 1er mai en soirée sont reportées au samedi 4 mai à partir de 17 h.

DÉCHETS


/ACCESSIBILITÉ

D epuis bientôt vingt ans, le Dunkerque Flysurfing Club ac-cueille et forme les

amoureux de kite-surf de notre Littoral. Ils sont près de 300 licenciés aujourd’hui à bé-néficier des conseils de l’équipe d’encadrement du club dun-kerquois pour appréhender cette discipline de haut vol. Parmi lesquels Pernelle Marcon qui pratique le kite surf depuis deux ans grâce à du matériel adapté (voir ci-contre). Depuis 2016, le Dunkerque Flysurfing Club compte en effet une section handi-kite. Pour développer ce projet et répondre à de nouveaux be-soins, le club sollicite le « fonds d’amorçage handisport » de la Communauté urbaine de Dun-kerque. En effet, chaque année depuis 2016, la CUD met une enveloppe à disposition des clubs du territoire qui sou-

haitent développer la pratique d’activités sportives adaptées aux personnes en situation de handicap. Pour en bénéficier, il faut investir dans du ma-tériel ou des aménagements spécifiques. L’aide allouée par la CUD peut atteindre 3 000€ par club sur présentation des factures et dans la limite de 50 % du montant global du projet. En 2018, grâce au fonds d’amorçage de la CUD, le Dunkerque Flysurfing Club a concrétisé certains projets dont la transformation d’un bateau, l’achat d’une remorque, d’un moteur ou encore de matériel adapté (ailes de kite, combinai-sons, etc.).

Depuis 2016, les clubs de l’agglomération

dunkerquoise qui développent le handisport

peuvent bénéficier d’une aide financière de la CUD

pouvant aller jusqu’à 3 000€ par an (sous conditions). À l’image du Dunkerque

Flysurfing Club qui compte une section handi-kite de

plus en plus dynamique.

La CUD encourage le handisport

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter le service des sports au 03 28 23 69 46.

PERNELLE MARCON

26 ans, licenciée au Dunkerque Flysurfing Club

« Je suis arrivée à Lille il y a quatre ans pour mes études, mais la mer me manquait alors j’ai eu envie de tester une activité nautique. On m’avait parlé du club de Dunkerque, j’ai fait ma curieuse et je suis allée voir. J’ai d’abord testé le paddle puis je me suis mise au kite grâce à Anémone et Sébastien qui sont formés et qui sont des gens super. Et pour avoir fait d’autres clubs en France, je peux dire que le DFC est une structure géniale : on peut arriver en voiture jusqu’au club, il y a des rampes partout, des vestiaires plus larges, des toilettes accessibles, des combinaisons adaptées, un kite-tender, etc. Le club souhaite développer sa section handi, mais le matériel spécifique coûte très cher, alors un petit coup de pouce financier est toujours appréciable pour permettre l’accès de la pratique à tous. Comme un petit coup de main : il nous faut toujours plus de bénévoles. »


À LA RENCONTRE DE...

À23 ans, le Coudekerquois Djamili Aboudou a déjà un très beau palmarès : deux fois champion de France amateur en catégorie super-lourds chez

les juniors et quatre fois titré chez les séniors, il a aussi décroché une médaille de bronze pour sa première par-ticipation aux championnats d’Europe de boxe amateur avec l’équipe de France. Avant d’être arrêté en quart-de-finale par plus fort que lui lors des derniers mon-diaux. Pas si mal, cependant, pour une toute première confrontation avec les meilleurs athlètes de la discipline. Ce palmarès donne à Djamili Aboudou la légitime ambi-tion de se voir qualifié pour les Jeux olympiques de Tokyo de 2020. « C’est un objectif tout à fait à ma portée pour lequel je m’entraîne au minimum trois heures tous les jours », précise celui qui a désormais intégré le pôle boxe de l’INSEP à Paris, éclosoir de nombreux athlètes de très haut niveau français. Toujours attaché à sa ville natale, Djamili Aboudou y revient régulièrement pour donner des cours aux licenciés du Ring coudekerquois. « C’est important de donner envie aux jeunes de pratiquer ce sport. Moi, c’est en accompagnant des copains que j’ai découvert la boxe à 14 ans. Si je n’avais pas rencontré, ici, des éducateurs sportifs qui m’ont donné envie de me dépasser, je ne serais pas aux portes des Jeux olympiques aujourd’hui », conclut-il, fier de porter haut les couleurs de l’agglomération dunkerquoise lors des compétitions internationales.

Jusqu’à il y a peu, Didier Hau n’avait jamais pratiqué la pêche. Jusqu’au jour où le Dunkerquois tombe par hasard sur une vidéo sur internet qui montre des pêcheurs à l’ai-

mant à Rotterdam. Immédiatement, il trouve géniale l’idée de pêcher avec un aimant les déchets qui stagnent au fond des canaux et, ni une, ni deux, achète un aimant industriel (d’une force d’environ 400 kg) qu’il attache à une grosse corde. « Et je commence à pêcher dans le canal de Furnes », commente le retraité. « Franchement, je n’aurais jamais pensé remonter autant de déchets », confie-t-il avant de sortir de sa poche la liste de ses « best-of » : des chariots, des vélos, des barrières de chantier, des poussettes, des panneaux de signalisation et même des coffres-forts. Très vite, la pêche de Didier Hau attire la sympathie et la curiosité. À tel point que, forte d’une petite quinzaine de pêcheurs à l’aimant, une association a été créée en janvier 2019 : L’Aimant dunkerquois. « Cela nous permet d’or-ganiser des pêches plusieurs fois par semaine dans les canaux et les bassins du port et de mettre en place, avec le concours de la ville de Dunkerque et de la CUD, le ramassage des déchets re-montés », précise le président. Soit 11 camions depuis le début des pêches, ce qui rend particulièrement fiers nos dépollueurs bénévoles régulièrement remerciés par les pêcheurs à la ligne, les plaisanciers et les mariniers.

Envie de rejoindre les pêcheurs à l’aimant dunkerquois ? l’aimant dunkerquois.

DIDIER HAU

Un boxeur sur la routedes JO de Tokyo

Pêcheur à l’aimant

Solidarité, innovation, persévérance… Les habitants de l’agglomération dunkerquoise participent à l’attractivité et au dynamisme du territoire. Partez à leur rencontre…

DJAMILI ABOUDOU


Partir à l’étranger, trop cher et trop compliqué pour moi ? C’est pour lutter contre ces idées re-

çues que Paul Dufour a été missionné pendant dix mois en service civique à la Maison de l’Europe-Europe Direct Dunkerque Littoral Hauts-de-France. « J’ai participé à un happy hour de la Maison de l’Europe. On m’a ensuite contacté. J’étais en pleine réflexion pour me réorienter. C’était l’occasion d’enrichir mon expérience. » Depuis le mois de décembre, il est ambassadeur de la plateforme Ready to Move des Hauts-de-France, qui a pour objectif de favoriser l’accès aux jeunes à la mobilité, en Europe et à l’internatio-nal.

Ce Téteghemois de 22 ans participe à différents événements de l’agglomé-ration : Salon des langues à la CUD, Forum Jobs à Coudekerque-Branche, Les Bons Tuyaux au Carré-de-la-Vieille, Forum de l’emploi et de la for-mation professionnelle à Gravelines…

Avec sa tutrice Marie Kabache, colla-boratrice à la Maison de l’Europe en charge de l’information, il y explique et valorise les différents dispositifs : Erasmus Plus, volontariat internatio-nal, apprentissage, stage… « Autant d’opportunités pour acquérir une nouvelle expérience à valoriser sur un CV, découvrir une nouvelle culture, améliorer sa pratique en langues étrangères, ou tout simplement s’en-richir personnellement, détaille-t-il. Pour certains programmes, aucune qualification ou expérience n’est exi-gée. Partir à l’étranger peut être un très bon tremplin pour se mettre en selle. »Avec 300 jeunes Européens, il est invité le 8 mai par la Commission européenne à Sibiu, en Roumanie, pour débattre de l’avenir de l’Europe dans le cadre du Dialogue Jeunes Citoyens, présenté le lendemain au Sommet des chefs d’États et de gou-vernements. « J’y vais pour découvrir comment l’Union européenne prend le témoignage des jeunes, j’ai sélec-tionné deux thématiques : l’avenir de l’emploi et le changement clima-tique », précise-t-il. Une expérience qui fera date dans le parcours du jeune homme qui déjà voit son ho-rizon s’élargir. « Après mon service civique, j’envisage de partir à mon tour à l’étranger. Je suis motivé pour reprendre mes études. »

Ambassadeur de la mobilité des jeunesMissionné en service civique à la Maison de l’Europe, Paul Dufour est ambassadeur de la plateforme Ready to Move, dont le but est de favoriser la mobilité des jeunes à l’étranger. Une expérience qui lui ouvre de nouveaux horizons…

PAUL DUFOUR

TOUS ACTEURS DE L’EMPLOI LOCAL


Vous êtes ou allez être copropriétaire ? Vous avez des

questions sur l’organisation d’un syndic de copropriété, sur

les travaux, les aides ? La CUD vous invite le

27 avril au premier forum de la copropriété en présence de nombreux partenaires.

D ans le cadre de son Pro-gramme local pour l’habitat (PLH) et comme annoncé lors des États généraux de l’em-

ploi local (EGEL), la CUD s’engage pour améliorer l’attractivité du territoire. Parmi les actions menées en ce sens, il y a celles qui visent plus particulière-ment les copropriétés (convention Ac-tion Cœur de Ville, projet Phoenix, pro-gramme de ravalement obligatoire, PIG Réflexenergie +, aides aux copropriétés de l’agglomération…). Tout récemment, la CUD a initié le lancement d’un pro-gramme opérationnel de prévention et d’accompagnement des copropriétés (POPAC) du centre-ville de Dunkerque.

D’une durée de trois ans, celui-ci a pour ambition de participer à la mise en va-leur du parc de la Reconstruction pour renforcer son attractivité et l’intégrer à la dynamique de revitalisation du centre d’agglomération (lire ci-contre). Ce qui se traduit par différentes actions, dont le lancement du 1er forum de la co-propriété, organisé le samedi 27 avril, de 13 h à 17 h, à la Communauté ur-baine de Dunkerque.

Si vous êtes ou allez être copropriétaire, et plus spécifiquement dans le centre-ville de Dunkerque, vous êtes invités à passer sur les différents stands de la CUD et des partenaires de l’évène-ment : l’Agence Départementale d’In-formation sur le Logement (ADIL), les

administrateurs de biens, SOLIHA, l’Association des Responsables de Copropriété, l’Echappée des copro-priétés, la Ville de Dunkerque qui vous apporteront informations et conseils pratiques et juridiques.

Trois ateliers seront organisés du-rant le forum autour des ques-tions du syndic de copropriété, des charges, et de la gestion de la co-propriété.

Inscription aux ateliers recomman-dée par mail [email protected] ou au 06 47 89 98 52.

Participez au 1er forum de la copropriété


« J’avais lu dans un numéro du Journal communautaire que la CUD pouvait donner des subventions aux copropriétés pour la réalisation de travaux énergétiques. C’était le cas pour notre copropriété, donc on a saisi l’occasion pour monter un dossier. On a été très bien accompagné et conseillé. Notre dossier a été accepté, ce qui a permis de faire les travaux d’étanchéité et d’isolation thermique d’une toiture terrasse plus rapidement, grâce à une aide de la CUD qui représentait environ 30% de la facture. »

Pour faciliter l’accès au logement des salariés, la CUD, la Ville de Dunkerque et Action Logement ont lancé le dispositif Louer pour l’emploi à destination des propriétaires privés et des salariés en quête d’un logement. Comment ? En proposant aux propriétaires privés un package de produits et services, en contrepartie de quoi ils s’engagent à proposer leurs logements en priorité à Action Logement pour des candidats labellisés « Louer pour l’emploi ». Pour en savoir plus, rendez-vous sur louerpourlemploi.actionlogement.fr, cliquez sur « Je suis propriétaire » pour proposer votre logement en location, ou sur « Je suis locataire » pour être accompagné dans votre recherche de logement.

Vous êtes copropriétaires et envisagez des travaux de réhabilitation énergétique ? La CUD vous accompagne dans la réalisa-tion de vos diagnostics et travaux : vous pouvez obtenir 50% du coût global du diagnostic, dans la limite de 150€ par loge-ment, et jusqu’à 1200€ par logement pour la réalisation des travaux (en fonction du nombre de postes de travaux à dimension énergétique, hors menuiseries).

Et avec le programme Réflexénergie +, vous pouvez obtenir des aides complé-mentaires, mobilisables lorsque les travaux permettent un gain énergétique de 35%. Plus de renseignements au 0800 59 14 62.À noter également la possibilité de béné-ficier de formations gratuites par l’ADIL à destination des copropriétaires du péri-mètre communautaire.

Ludovic Denis, président du syndic bénévole Copro Louis Lemaire à Dunkerque

Les aides de la CUD aux copropriétaires de l’agglomération dunkerquoise

Louer un logement avec Louer pour l’emploi


INITIATIVES /ENVIRONNEMENT

C houx, tomates, potimarrons, radis, salade, ail, auber-gines, poivrons… Tous les fruits et légumes de saison que vous pouvez trouver sur les étals d’un marché sont cultivés sur les terres d’Essaimances. A la nuance

près, peut-être, que tous les légumes de l’association grave-linoise sont produits selon les principes de la permaculture. « Nous avons créé notre association de production et de promotion en agroécologie, permaculture et agro-foresterie, et notre objectif est de prouver qu’une agri-culture encore meilleure que l’agriculture bio peut être moins chère qu’une agriculture traditionnelle », résume Olivier Soury, président de l’association Essaimances. Créée en juin 2018, celle-ci compte déjà plus d’une quarantaine de membres qui se réunissent plusieurs fois par semaine sur le

terrain de la Ferme d’animation de l’Aa à côté du Centre équestre de Gravelines, ou sur celui de la Communauté Paul-Machy à Petit-Fort. Ensemble, ils appliquent les préceptes de perma-culture, testent de nouvelles idées et veillent sur leurs semis. Ici on paille, on utilise de l’engrais naturel, du compost et du broyage, on fait de l’engrais vert, on crée des buttes de culture en lasagne, on fait pousser des carottes à côté des poireaux parce que ça les stimule et les protège, on cultive des fleurs qui vont attirer des insectes pollinisateurs, etc. Bientôt, ces adeptes du « potager du paresseux » récolteront le fruit de leur travail. « Notre volonté est de pouvoir revendre la production aux membres de l’association, mais aussi à la Ville ainsi qu’à des primeurs et entreprises locales pour développer les circuits courts », poursuit Olivier Soury. Pour promouvoir leur démarche, ils organisent régulièrement des ateliers à destination de tout public, proposent des animations pour les enfants le mercredi, et prévoient de participer à différents événements. Vous pourrez les retrouver à l’occasion de Grave-lines Nature le 19 mai, ou prendre part aux visites des jardins permacoles organisés en partenariat avec le Centre équestre cet été.

L’association Essaimances, qui a pris racine à Gravelines, propose une alternative à l’agriculture classique. Ses membres espèrent sensibiliser à une agriculture naturelle, saine et accessible, et contribuer à développer les circuits courts.

www.essaimances.fr B essaimances

La permaculture c’est quoi ?C’est cultiver la terre en la respectant. On ne retourne jamais un sol au risque de l’appauvrir. On n’utilise ni herbicide, ni pesticide, ni engrais chimique, le seul intrant autorisé étant l’eau. Enfin, un sol ne doit jamais être nu, c’est pour-quoi il est souvent recouvert de paille ou de compost qui vont le protéger (ce qui permet en plus de conserver l’humidité et de réaliser de substantielles économies d’eau).

Essaimances se lancedans la permaculture


/EMPLOI

« Pour le moment, nous sommes en phase expéri-mentale. Si les retours des employeurs sont bons, il est certain que le dispositif sera pérennisé et même étendu à l’ensemble du réseau de bus », commente

Laurent Mahieu, directeur de DK’Bus. Depuis le 29 mars et à l’occasion de la journée DK Job alternance du 3 avril au Kursaal, une trentaine d’offres d’emploi en alternance provenant de 22 artisans de Dunkerque s’affiche sur les panneaux lumineux des bus de la ligne C3 entre la gare de Dunkerque et le casino à Malo. « L’originalité du dispositif, c’est que l’offre s’affiche quand le bus passe devant l’entreprise qui la propose, ainsi la personne visualise immédiatement le trajet qu’elle aurait à faire si elle devait y travailler », détaille Laurent Mahieu. « Ce dispositif entre complètement dans la volonté de la Com-munauté urbaine de faire du trajet en bus un moment utile et agréable, d’autant plus depuis que le réseau est totalement gratuit, il séduit de nombreux nouveaux usagers », renchérit Jean-Yves Frémont, adjoint au développement économique à Dunkerque.

Donner une plus grande visibilité aux offres d’emploi et à l’apprentissageDu côté de la Chambre de métiers et de l’artisanat (CMA), on est également plus que satisfait de cette expérimentation. « C’est un moyen très innovant de parler de nos entreprises, souvent des TPE familiales que le grand public connaît peu par rapport aux grandes entreprises industrielles du territoire, souligne Christophe Fermaut, artisan boucher-charcutier à Dunkerque et élu à la CMA. C’est aussi une façon originale de

recruter et de donner à nos offres d’emploi une très grande visibilité. Il faut savoir que l’an dernier, à Dunkerque, une cin-quantaine d’offres d’emploi en alternance n’a pas été pour-vues, faute de candidats. » « Faire paraître nos offres au cœur des bus, c’est aussi prouver aux candidats qu’ils n’auront pas de problèmes de mobilité pour se rendre en entreprise puisqu’une ligne de bus y passe. En résumé, c’est tout bénéfice pour nos entreprises et pour nos apprentis ! », s’enthousiasme Jean-Yves Frémont. Un bilan de l’opération sera tiré d’ici quelques semaines.

Une trentaine d’offres d’emploi en contrat d’apprentissage s’affichent sur la ligne C3. Une innovation exemplaire que l’on doit à un partenariat entre la CUD, la Chambre de métiers et de l’artisanat, Entreprendre Ensemble, DK’Bus et la Ville de Dunkerque.

Des offres d’apprentissage diffuséesdans le bus

L’annonce s’affiche à l’écran lorsque le bus passe devant l’entreprise qui recrute un apprenti.


RASSEMBLEMENT RÉPUBLICAIN POUR LE LITTORAL EN MOUVEMENT

Contact mail : [email protected]

Notre agglomération dispose de nombreux espaces naturels de qualité, parfois méconnus, que nous mettons en valeur depuis cinq ans. Planté voilà plus de quatre décennies à Coudekerque-Village, le bois des Forts est le plus ancien poumon vert du Dunkerquois et les agents de la Communauté urbaine de Dunkerque l’entretiennent avec dextérité et régularité afin qu’il demeure un espace de qualité.

L’an dernier, nous avons entièrement réaménagé le parc de l’Estran à Grand-Fort-Philippe, délaissé pendant plusieurs décennies. D’une grande

richesse écologique, cette zone naturelle est une véritable porte d’entrée de la réserve naturelle nationale du Platier d’Oye, qui ravit à la fois les promeneurs comme les habitants.Par ailleurs, l’aménagement du boulevard Simone-Veil à Dunkerque (à la place de l’ex-pénétrante qui séparait Saint-Pol-sur-Mer et Petite-Synthe) a été l’occasion d’une grande opération de plantation d’arbres et arbustes dans le cadre de l’opération 10 000 arbres dont l’objectif est d’implanter de la nature en ville.À l ’est de l ’agglomération, de Leffrinckoucke à Bray-Dunes en passant

par Zuydcoote et Ghyvelde, l’Opération Grand Site de France permettra de mettre en valeur les espaces dunaires et historiques du territoire.

Et cette année, c’est au tour du lac de Téteghem d’être aménagé pour devenir un bel espace de promenade. Les cyclistes et cavaliers profiteront de ce nouveau lieu de balade dès cet été, grâce à ses cheminements balisés et sécurisés. Tandis que les promeneurs et les amoureux de la nature découvriront ses trésors naturels, sa richesse en matière de faune et de flore.

Depuis cinq ans, nous poursuivons nos efforts pour faciliter vos déplacements au quotidien.À terme, il sera possible de circuler en vélo, de Grand-Fort-Philippe à Bray-Dunes, en toute sécurité !

Si le projet DK’plus de Mobilité a permis de mettre en place un réseau de transport en commun efficace, rapide et gratuit, et de rendre notre agglomération plus agréable et plus attractive, il a également été l’occasion

de faciliter la pratique du vélo. Des aménagements cyclables ont été réalisés afin de connecter les différents tronçons de la véloroute voie verte qui traverse notre agglomération de Bray-Dunes à Grand-Fort-Philippe.

L’est de l’agglomération, entre Bray-Dunes et Dunkerque, a été connecté au réseau européen l’été dernier. Ce nouveau tronçon tracé à proximité immédiate de l’espace dunaire a rapidement été adopté par les cyclistes

et les promeneurs.

Depuis quelques mois, des travaux sont engagés. Le premier, à l’ouest de notre territoire, permettra de relier Grand-Fort-Philippe à Gravelines puis Bourbourg, le long du chenal de l’Aa. Un nouveau tronçon est également en cours d’aménagement entre Coudekerque-Branche et Grande-Synthe, afin de relier ces villes au tronçon existant à l’est.

Pour sa troisième édition, notre festival d’agglomération La Bonne Aventure propose les 22 et 23 juin une programmation exceptionnelle : Charlotte Gainsbourg, Feu! Chatterton,

Thérapie TAXI, Parcels, Boys Noize, MEUTE et bien d’autres se produiront sur la Grande Scène (toujours gratuite !), face à la mer, dans le Klub ou dans des lieux insolites de notre agglomération.

Un rendez-vous à ne pas manquer qui donnera le ton de la saison estivale des plages de notre agglomération, toujours plus animées.

Nous mettons en valeur nos espaces naturels

Nous facilitons la pratique du vélo

Nous vous proposons une Bonne Aventure exceptionnelle

Notre local est situé 16, rue Saint-Pierre à Dunkerque (derrière la tour du Reuze). Contact : [email protected].


Dès l’annonce du décès de Pierre de Saintignon, les réactions et hommages se sont multipliés dans toute notre ré-gion. Le groupe Littoral Gagnant souhaite saluer la mémoire d’une grande figure du développement économique. Fervent défenseur de l’insertion, il était à l’ini-tiative d’actions majeures: de Vitamine T qu’il a fondée, en passant par le premier Plan local d’Insertion par l’Economie, jusqu’aux circuits courts pour l’emploi des jeunes qu’il a lancés, il travaillait sans relâche pour faire avancer le dia-logue social, vecteur de démocratie et de compétitivité.

Pierre de Saintignon a été 1er adjoint en charge des finances à la mairie de Lille dès 2001, et 1er Vice-président de la ré-gion Nord-Pas-de-Calais de 2010 à 2016.

Investi par le Parti Socialiste comme tête de liste pour les élections régionales de 2015, il est resté fidèle à ses valeurs, par sa décision républicaine et courageuse de retrait au second tour face à la menace du Front National.

Nous présentons nos sincères condo-léances à sa famille, ainsi qu’à ses proches.

Notre territoire doit être perçu comme un es-pace de création de valeurs, un espace ouvert à des opportunités économiques, sociales et culturelles. Il est important de placer au cœur de nos priorités, l’innovation et le dévelop-pement de nouvelles filières d’avenir comme l’hydrogène vert, véritable outil et vecteur d’écosystèmes décarbonés (mobilité, stoc-kage, power to gas, captation du CO2, etc..). Cette dynamique s’entend à travers un terri-toire en ordre de marche, capable de définir les enjeux de diversification et se donner les moyens de se les approprier. L’appel à projets « Territoire d’innovation » permettra à travers des logiques de démonstrateurs et d’expéri-mentations d’y répondre en partie. C’est toute une agglomération qui doit continuer d’im-pliquer les citoyens. Nos actions en faveur de l’atténuation du changement climatique ou de la transition doivent être portées et com-prises par tous. Le green-washing, la méses-timation des externalités négatives de projets industriels ou le droit à polluer pour attirer de nouvelles entreprises n’a plus de sens et ne doit plus être un ultimatum à l’emploi. La qualité de vie de nos habitants est la priori-té, c’est avec un vrai courage politique qu’il nous faut combattre les crises écologiques et sociales.

Hommage à Monsieur Pierre de Saintignon

Voilà cinq ans que notre conseil de com-munauté est au travail, un temps suffi-samment long pour un premier bilan.Au-delà des actions et des politiques pu-bliques menées, l’un des changements majeurs que nous avons pu constater tient à la gouvernance de notre assem-blée.

Les méthodes ont bien changé depuis 2014. La conférence des maires par exemple a chassé le scepticisme qui l’ac-compagnait lorsque le président l’a mise en place. Bien sûr, c’est le rôle de la com-munauté urbaine de proposer une vision d’avenir pour l’ensemble du territoire, de prendre en charge des services publics plus efficaces à son échelle. Elle tient ce rôle en révolutionnant les transports urbains et le réseau de bus, en agissant plus que jamais sur la voirie, en étant in-novante dans son aménagement urbain (la reconquête des canaux) ou en faveur de la jeunesse et de l’emploi local (les ateliers linguistiques, la filière agro-ali-mentaire à initier pour la restauration collective, etc). Cette proximité nouvelle était attendue par les habitants.Mais cette vision territoriale doit for-

cément s’adosser aux élus de proximi-té que sont les maires et les conseillers municipaux, les élus qui ont la confiance de la population pour défendre leurs in-térêts. La conférence des maires a permis de symboliser et de cimenter cette forme de gouvernance et d’ouvrir des débats longtemps ignorés : la révision des dota-tions communautaires par exemple était réclamée par de nombreuses communes depuis longtemps, le fameux « partage du gâteau » a enfin progressé vers plus d’équité. Les projets communaux ont aussi trouvé à la CUD des leviers finan-ciers utiles.

Ce travail en faveur de l’intérêt général s’est mené au-delà des querelles politi-ciennes d’autrefois. Au sein de la com-munauté, seuls comptent les enjeux et les projets du Dunkerquois, qu’importe les ambitions de certains dans d’autres scrutins, à d’autres échelons.

De belles avancées ont résulté de cette nouvelle gouvernance depuis cinq ans avec l’ensemble des élus concernés. On ne peut que souhaiter que ce fonction-nement efficace perdure.

Police de nuit : le juste prixÀ Dunkerque, un policier municipal travaillant la nuit recevra une majoration brute de 8,75 € par nuit. C’est trop peu au vu des risques en-courus ! Nos forces de l’ordre méritent plus de considération et de soutien.

Non communiqué.

Une gouvernance qui a fait ses preuves

RASSEMBLEMENT SOLIDAIRE COMMUNAUTAIRE GROUPE SOCIALISTE ET ÉCOLOGISTE COMMUNAUTAIRE

DÉFI BLEU MARINE

SANS ÉTIQUETTE LITTORAL GAGNANT

D. Bailleul, mail : [email protected]

D. Carême, [email protected]

P. Eymery - M. Fortuit : 11 rue du Ponceau, 59140 Dunkerque

Claudine [email protected]

Groupe des Élus Socialistes et Républicains du Dunkerquois (GRIC)contact : [email protected]


HISTOIRE /

M ai 1934, l’acteur Thomy Bourdelle prend un bain de mer à Zuydcoote, sous les yeux amusés des habitants. Il n’a pas choisi notre littoral pour y passer

quelques jours de vacances. Il vient tout juste de finir le tournage de « La Maison dans la Dune ». Tiré du roman de Maxence Van Der Meersch, le film raconte une histoire d’amour sur fond de contrebande, avec pour décor, nos poétiques ambiances dunaires. Inspiré du roman du journaliste belge OP Gilbert, « Mollenard » constitue quant à lui le premier tour-nage de film dans la cité dunkerquoise, réalisé par Robert Siodmak à l’automne 1937. Dans le rôle-titre, on trouve le célèbre Harry Baur. Il séjourne à l’hôtel du Grand Morien, où il est victime d’une attaque, heureu-sement sans gravité. Une centaine de personnes est

mobilisée pour le tournage, qui déjà, provoque une certaine animation dans toute la ville. L’été 1939, à la veille du second conflit mondial, le cinéaste Léonide Moguy plante sa caméra dans la campagne paisible du Prédembourg, à Grande-Syn-the, pour une séquence de son film « L’Empreinte de Dieu », tiré lui aussi d’un roman de Maxence Van der Mersch. Dans cette scène de repas de noces, les habi-tants de ce village de maraîchage y jouent leur propre rôle, en tant que figurants. D’autres séquences sont tournées à Bray-Dunes et à Zuydcoote, dans lesquelles on aperçoit les maisonnettes de pêcheurs. Interrompu avec l’entrée en guerre, le tournage est repris quelques mois plus tard.

Bataille de DunkerqueEn adaptant le roman de Robert Merle « Week-end à Zuydcoote » en 1964, Henri Verneuil, choisit d’effec-tuer son tournage sur les lieux mêmes de l’opération Dynamo. Fin mai, un convoi de quelque 70 véhicules militaires débarque sur le littoral, à la stupéfaction générale, rejoint par des chars d’assaut, des canons, des navires et des milliers de mètres de fils électriques pour les charges explosives. L’aérodrome de Mardyck accueille un Messerschmitt retapé, qui servira notam-

Le Dunkerquois, terre de tournages

Robert Siodmak, Henry Verneuil, Jean-Claude Brisseau, Christopher Nolan, et

bien d’autres réalisateurs ont choisi nos paysages et notre architecture pour planter

le décor de leur film. Reconnu désormais pour son accueil, le Dunkerquois s’affirme

comme une terre de tournages.

Pour les besoins de « Week-end à Zuydcoote », le sanatorium s’embrase. Photo M. Depriester


ment pour la célèbre scène du parachutiste allemand vers lequel se braquent 200 fusils. Aux côtés de la vedette Jean-Paul Belmondo, 1500 figurants sont mobilisés de Bray-Dunes à Dunkerque. Parmi eux, de nombreux dockers dunkerquois et ouvriers des Chantiers de France. Certains seront sollicités pour rouler en moto, sauter par-dessus un bateau, autant d’actions qui rehaussent leur cachet. Sorti en France en décembre 1964, le film est projeté dans le monde entier.

Climat socialAu fil des années, d’autres réalisateurs plantent le décor de leur film dans le Dunkerquois, attirés par une lumière particu-lière, des paysages pluriels et insolites ou encore un climat so-cial. À l’instar de Mario Monicelli pour « Rosy La Bourrasque » (1979), Jean-Claude Briseau pour « Noce blanche » (1989), Thomas Vincent pour « Karnaval » (1998). Et plus récemment, Romain Gavras pour « Notre jour viendra » (2010), Cédric Kla-pisch pour « Ma Part du Gâteau » (2011) et Jean-Paul Lilien-feld pour « Arrêtez-moi » (2013). Les téléfilms et séries ont aussi le béguin pour notre cité portuaire comme « Meurtres à Dunkerque » et « Tunnel » qui placent leurs intrigues dans les lieux insolites du Dunkerquois : le Chai à vin, la digue du Break, les dunes, les usines, les villas malouines…

Un territoire en état de marcheParce que les tournages génèrent de l’activité économique et valorisent l’image du territoire, la Ville de Dunkerque crée en 2014 une cellule cinéma (voir notre article page 7), avec pour objectif d’attirer des cinéastes en leur promouvant nos sites et en leur facilitant toutes les démarches. En 2015, en accueillant le tournage de la saison 1 de la série politique « Baron noir », le territoire franchit un nouveau pas. C’est le début d’une étroite collaboration (le tournage de la troisième saison dé-marre actuellement) entre les équipes de production et les instances locales. L’accueil chaleureux, les facilités de tournage et l’étendu des possibilités font la réputation du Dunkerquois. En 2016, Christopher Nolan choisit Dunkerque pour réaliser son film de survie pendant l’Opération Dynamo. Le tournage, spectaculaire par les moyens mobilisés (plus de 3000 figurants, une soixantaine de navires, des avions, des explosifs, la re-constitution d’une jetée), est le plus important jamais réalisé en France. Il se déroule pendant six semaines et génère des bénéfices directs pour le Dunkerquois estimés à 9 millions

d’euros. Sans compter une notoriété sans commune mesure pour le territoire et des répercussions au long terme sur le tourisme. Le film, qui, cerise sur le gâteau porte le nom de Dunkerque, est vu par 3 millions de spectateurs en France et plus de 40 millions dans le monde entier. Il franchit les 500 millions de dollars au box-office mondial et se voit auréolé de trois Oscars en 2018. Au printemps 2019, déjà trois tournages de séries sont en cours. N’en déplaise à l’icône des « Parapluies de Cherbourg », ce qui marche indéniablement à Dunkerque, ce sont les tournages...

1939Dunkerque accueille les vedettes américaines pour « Mollenard »

1964Tournage et sortie de « Week-end à Zuydcoote » d’Henri Verneuil

2014Création de la cellule cinéma à la Ville de Dunkerque

2015Début du tournage de la série « Baron Noir »

2017Sortie planétaire de « Dunkirk » de Christopher NolanD

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Succès planétaire pour le blockbuster de Christopher Nolan.

« L’Empreinte de Dieu» à Grande-Synthe. Photo Ville de Grande-Synthe.

La série « Baron noir » conforte la notoriété du territoire dans l’accueil des tournages.


PASSION LOISIRS /

L a Semaine du végétal débutera le mardi 23 avril à 18 h 30 par un « apéro-papotage » convivial organi-sé en mairie de quartier de Rosendaël en collabora-tion avec la Maison de l’environnement. L’occasion

d’échanger avec des associations qui vous démontreront que des solutions très faciles existent pour consommer autrement, de manière responsable. Parmi les temps forts de cette semaine, on peut noter la « Nocturne » organisée par le lycée professionnel agricole de Dunkerque le vendredi 26 avril de 16 h à 20 h. Au menu, ventes de plantes et bulbes mais aussi des expositions et une confé-rence sur les métiers en lien avec la nature. Une manifestation qui se prolongera le lendemain, samedi 27 avril de 9 h à 18 h lors des portes ouvertes de l’établissement. Evénement phare de cette semaine, le marché du végétal aura lieu le week-end des 27 et 28 avril dans le parc du Châ-teau Coquelle de 11 h à 18 h. Une quarantaine d’exposants y sont attendus. Ils vous proposeront des plantes, arbustes et bulbes mais aussi des produits biologiques et naturels ainsi que des légumes locaux de saison. Sera également installé un « village du développement durable » avec une grainothèque, un troc d’accessoires et d’outils de jardin,

une initiation au compostage ou encore un atelier « land art », c’est-à-dire l’art du graffiti avec des encres végétales. L’association La Fabrique verte ouvrira aussi son jardin pédagogique avec initiation à la permaculture pour ap-prendre à jardiner autrement. La Halle aux sucres s’asso-cie à cette manifestation en proposant plusieurs temps forts éco-culturels sous un magic mirror (chapiteau à l’ancienne) installé dans le parc Coquelle. Le samedi à 11 h 30 : présentation de son ABC de la biodiversité, à 15 h : spectacle-concert avec Des Jardins et des hommes, et enfin de 18 h à minuit, concert de musique tzigane et soirée DJ. Le Dimanche des arts urbains accueillera à 15 h le collectif Catastrophe pour un après-midi tourbillonnant ! Pas besoin d’avoir la main verte pour se laisser embarquer !

Toute la programmation est à retrouver sur www.ville-dunkerque.fr.

Forte de ses plus de 10 000 visiteurs l’an dernier, la Semaine du végétal revient à partir du 23 avril à Rosendaël sur le thème de l’alimentation durable. Avec en point d’orgue le marché du végétal le week-end des 27 et 28 avril dans le parc du Château Coquelle.

Semaine du végétal : une deuxième édition autour de l’alimentation durable


R endez-vous le 14 mai à 12 h 30, sur la place Jean-Bart de Dunkerque, pour le départ de la 65e

édition des 4 Jours de Dunkerque – Grand Prix des Hauts-de-France où s’élanceront des coureurs de prestige pour parcourir 1000 kilo-mètres dans toute la région. Le re-tour sur notre littoral est prévu le 19 mai avec les traditionnels dix tours dans la cité de Jean Bart. Côté ambiance, la 2e plus grande cara-vane publicitaire après celle du Tour de France ne manquera pas, comme à son habitude, de gâter les spec-tateurs ! Venez nombreux encoura-ger les sportifs et ne manquez pas les émissions spéciales et les Live durant 90 minutes à chaque fin de course, tous les jours sur votre web TV CorsaireTv.

www.4joursdedunkerque.com.http://www.corsairetv.fr.

D u 20 au 22 avril, le club SCBB de Bourbourg organise son 29e mon-dial de mini basket. L’occasion de voir s’affronter les jeunes pousses

de la discipline. Parmi elles, Nanterre remettra son titre en jeu face à des équipes venues du Liban, de la Belgique, de la Suisse, de l’Algérie ou de la Roumanie, les places fortes françaises telles que Le Portel, Nancy, Orchies, Boulogne-sur-Mer ou Marseille, sans oublier les quatre équipes locales Gravelines, Bourbourg 1 et 2 et Grande-Synthe. D’année en année, l’évé-nement monte en ampleur et en niveau. Et l’ambiance reste toujours aussi festive !

www.mondialminibasket.fr. À partir du samedi 20 avril à 13 h, à Bourbourg dans les salles Anthony-Caro, Albert-Denvers et Jean-Jaurès (dans laquelle se joueront les fi-nales le lundi 22 avril à partir de 15 h.)

Mondial de mini basket

Les 4 Jours de Dunkerque du 14 au 19 mai

Pour vous y rendre gratuitement avec

Arrêt L’ANCRE

Ligne 23


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DES EXPÉRIENCESRENVERSANTES

NOUVEAU POUR LES ENFANTS :LA BULLE

JANVIER - JUIN

ASTRONAUTES

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Programme détaillé et informations sur

WEEK-END GRATUIT2/3 FÉVRIER

Partant de la riche histoire industrielle de l’agglomération, intimement liée à la création artistique, le FRAC Grand Large — Hauts-de-France et le LAAC – Musée de France lancent le 4 mai une initiative inédite, en partenariat avec l’association L’Art contemporain et la Chambre de commerce et d’industrie Littoral Hauts-de-France : créer une triennale art et design.

D unkerque, pays plat et terre de géants. Où jusqu’à la fin des années 80 les coques des na-vires construits dans les chantiers navals étaient grands comme des morceaux de ciel. Témoin

des mutations économiques et technologiques de la se-conde moitié du XXe siècle, le Dunkerquois est le terrain de jeu rêvé pour étudier les liens entre art et industrie. Une évidence pour le FRAC et le LAAC qui lancent le 4 mai une triennale artistique et culturelle sur ce thème dans quelques lieux symboliques du territoire. Au FRAC, niché dans la halle AP2 et sa jumelle, vestiges des anciens chan-tiers navals. Au LAAC, musée tant désiré par Gilbert Delaine dont la forme était alors en harmonie avec les grues des chantiers voisins. Mais aussi dans des lieux publics tels que la digue malouine, le canal exutoire, les ports de plaisance, la Plateforme, la Halle aux sucres ou le Musée portuaire.

Réaffirmant le caractère singulier de leurs collections (le reflet des mouvements ayant agité le bouillonnement ar-tistique de la deuxième moitié du XXe siècle pour le LAAC, une incroyable richesse d’œuvres de design pour le FRAC), ces deux piliers du pôle d’art contemporain proposeront donc, avec le soutien de mécènes privés, un événement populaire et accessible à tous avec des créations artis-tiques sur place, des rencontres insolites entre artistes, ingénieurs, designers et architectes tout au long d’un par-cours mêlant patrimoine vivant et création contemporaine.

Gigantisme marie art et industrie

- « Paysage mental » (Halle AP2 - FRAC - espace public).- « A l’américaine » (LAAC).- « Space Is A House » (FRAC).- « Ecrans parallèles » (LAAC).- « Points hauts, points bas » (programme de promenades et de découvertes, dans l’espace public).

Voyage en cinq chapitres

« Gigantisme », du 4 mai 2019 au 5 janvier 2020, expositions présentées au FRAC Grand-Large – Hauts- de-France, au LAAC et à l’AP2. www.gigantisme.eu. Week-end inaugural les 4 et 5 mai.

Pour vous y rendre gratuitement avec Ligne 4

Arrêt FRAC - LAAC


du 6 AU 22 avril 2019

LorPâques avec

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WEEK-END GRATUIT2/3 FÉVRIER

Palais de l’Univers et des Sciences, Parc zoologique, Halle aux sucres… Les équipements communautaires ont concocté une programmation « spéciale enfants ». Pendant les vacances de printemps, difficile de s’ennuyer !

Au Parc zoologique à Fort-Mardyck : Chaque week-end des vacances de printemps, l’entrée du parc est à 1,50 euro. Tous les jours, « jeu en autonomie » gratuit autour des ratons-laveurs. Carte de jeu à retirer à l’accueil. Profitez de votre visite au parc pour rencontrer ses nouveaux hôtes : trois ratons laveurs venus de Jurques (Normandie).

Vacances de printemps : difficile de s’ennuyer !

Au Palais de l’Univers et desSciences à Cappelle-la-Grande :

• « Atelier/Expo Mission plantes », dès 6 ans, du 9 au 19 avril, les mercredi et vendredi en accès libre, de 14 h à 16 h 30, avec la présence d’un animateur. L’occasion d’observer, expé-rimenter et jouer afin de percer les secrets de la physiologie des plantes !• Spectacle « Une histoire bête comme chou », dès 3 ans, du 16 au 19 avril, à 10 h 30, 14 h et 15 h 30. L’histoire de Tugu et Budu qui s’en vont chasser un mastodonte dans les prés.• Animation « La Lune magicienne », dès 8 ans, les mardi et jeudi jusqu’au 18 avril, à 14 h 30 et 16 h. Une animation qui permettra aux enfants d’observer la lune d’un autre œil. • Animation « Monstroplantes », dès 7 ans, les 20 et 21 avril, à 11 et 14 h. À l’aide de son cabinet à roulettes, le botaniste excentrique du PLUS vous fera découvrir des plantes improbables venues d’ici, et d’ailleurs !

Renseignements et inscriptions : 03 28 60 50 95.

À la Halle aux sucres, à Dunkerque : • « Cache-cache pétrole », un atelier à destination des 7-11 ans autour de l’exposition « Or Noir, ruée, marée, virage » le mercredi 17 avril, à 11 h. Où se cache le pétrole ? Dans la voiture ? Dans ton école ? Dans la rue ? On va le trouver, c’est sûr ! Durée 45 min - Sur réservation par mail : [email protected] ou au 03 28 64 60 49.• « Et si les objets pouvaient parler », un stage de trois jours à destination des 11-17 ans du 16 au 18 avril, de 10 h à 12 h. Et si les objets pouvaient parler qu’auraient-ils à raconter ? Lors de ce stage, vous connecterez les objets à une interface numérique pour créer un dispositif interactif.

Sur réservation par mail : [email protected] ou au 03 28 64 60 49.




Ligne 19

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Arrêt ZOO

Arrêt PLANÉTARIUM Arrêt HALLE AUX SUCRES


CULTURE

C ecilia, Jason, Dounia, Estelle et leurs camarades de la classe de CM1/CM2 de l’école Verlaine à Grande-Syn-the viennent d’achever leur prestation de théâtre d’ombres avec succès. Ils partent, sourire aux lèvres,

dans le hall du théâtre le Bateau Feu pour partager un goûter bien mérité avec les artistes d’une compagnie. Une expérience qui restera longtemps gravée dans la mémoire des écoliers. Et peut-être fera germer des vocations ? Car pour la troisième saison, l’opération Graine de spectateur, financée par la CUD et l’Etat, a permis à quelque 400 enfants scolarisés dans les quartiers prioritaires de l’agglomération dunkerquoise d’assister à des représentations, de visiter les coulisses du théâtre Le Bateau Feu, d’y découvrir les différents métiers, de participer à des ateliers avec des artistes et, pour certains, de monter avec eux leur propre spectacle.

Lutter contre l’échec scolaireLes écoliers de l’école Verlaine (Grande-Synthe), Langevin (Saint-Pol-sur-Mer) et Brassens (Téteghem) ont ainsi travaillé sur le théâtre d’ombres ou la danse. Ils seront ensuite invi-

Des « graines » de spectateursemées au Bateau Feu

tés à revenir au Bateau Feu avec leurs parents dans le cadre d’une action menée avec leur maison de quartier. « Ce sont des familles qui n’ont pas forcément l’habitude de pousser les portes d’une structure culturelle, l’objectif est de faire tomber les barrières culturelles et psychologiques, explique Chantal Janssens-Deloge, responsable du développement secteur jeune public. Pour des enfants en situation d’échec scolaire, cette sensibilisation culturelle peut constituer un déclic pour retrouver de la motivation ».Parallèlement, les enseignants engagés durant cette saison peuvent bénéficier d’une formation pour les aider à poursuivre la découverte artistique et continuer à monter des projets ar-tistiques au sein de leur établissement scolaire. Pour Emilie Bruaert, professeure des écoles à Grande-Synthe, l’expérience Graine de spectateur a été très bénéfique pour les enfants : « Sur scène ou en coulisse, certains enfants se révèlent, mal-gré leur timidité. Beaucoup n’avaient pas l’habitude d’aller au théâtre et ont désormais très envie d’y retourner ».

Dans le cadre de l’opération Graine de spectateur menée par le théâtre Le Bateau Feu avec la CUD, les écoliers des quartiers prioritaires sont sensibilisés aux arts de la scène. Une initiative qui permet de franchir des barrières. Et pourquoi pas de susciter des vocations ?


AGENDA

ZOOM SUR...

D’EAU, RÉ, MI AU MUSÉE PORTUAIRE Le Musée portuaire de Dunkerque vous propose une nouvelle exposition qui explore et revisite les multiples rapports entre mer et musique. Ambitieuse tant par son contenu que par sa forme, D’Eau Ré Mi vous invite à un voyage musical, décliné en six étapes, qui traversera les époques et les genres. Pour l’occasion l’exposition laisse une large place au son au cœur d’une scénographie originale. C’est une véritable expérience sensorielle qui vous attend ! Jusqu’au 5 janvier 2020 au Musée portuaire de Dunkerque, 9, quai de la Citadelle 59140 Dunkerque, tél : 03 28 63 33 39, mail : [email protected]. Tarifs : adultes : 5€, enfants : 4€, familles : 11€

20 AVRIL

JeunesseL’HEURE DES PETITES HISTOIRES Médiathèque Ludothèque Jacques Duquesne à Bray-Dunes | GRATUIT | 10h30Séance d’éveil aux livres de 3 mois à 3 ans.

26 AVRIL

ConcertLOUD + DOXX + RYMZ + BEKAR Les 4Ecluses à Dunkerque | 15/12€ | 20hLes 4Ecluses vous offrent une nouvelle soirée riche de découvertes et de talents avec quatre ambassadeurs du rap et du hip-hop actuel...

26 AVRIL

DansePETITES HISTOIRES DU HIP HOP EN MOUVEMENT Salle Dany Boon à Bray-Dunes | 10/7/5€ | 20h30Conférence dansée par la Cie Zahrbat - Brahim Bouchelaghem. Sur un ton simple et léger avec quelques notes humoristiques, c’est dans ce même esprit et sur un carton rempli de vieux souvenirs, que Brahim mène cette conférence dansée, à la découverte de l’histoire du hip-hop.

DU 27 AVRIL 2019 AU 27 AVRIL 2020

ExpositionSIDÉRURGIE CONTEMPORAINE Château Coquelle à Dunkerque | GRATUIT Collectif (Robert Chata, Jean-Pierre Schorpion, Marcelle Thoris, Philippe Gardelein, Xavier Renard, Alain Bachy, Delphine Loonis et Thierry Robic encadrant). Avec le soutien de la Ville de Lille, la Ville de Dunkerque, la DRAC Nord-Pas-de-Calais, le Service Régional de l’Inventaire Nord-Pas-de-Calais, Canal 9, ArcelorMittal.

DU 25 AU 27 AVRIL

ConcertCHRISTOPHE WALLEMME QUINTET « ÔM PROJECT » Jazz-Club de Dunkerque | 15/10/7€ | 20h45 Ôm Project est une invitation très personnelle et élégante, traduisant une mixité de genres musicaux, percussive et mélodieuse, parfois modelée d’effluves indiennes.

23 AVRIL

MusiqueCANTABILE E SUONABILEÉglise d’Armbouts-Cappel | 9€ | 20h | Dès 11 ansDavid Plantier, premier violon du Concert d’Astrée, s’empare du répertoire du grand Giuseppe Tartini, violoniste de génie et compositeur prolifique, héritier de Corelli et Vivaldi, qui a révolutionné en son temps la technique du violon. Du grand art !

DU 24 AVRIL AU 11 MAI

ExpositionHUMANISME 70 Archives de Dunkerque, La Halle aux sucres | GRATUIT | de 10h à 18h Le photographe Dominique Prévost a choisi en 2012 de déposer l’ensemble de ses images au CMUA/Archives de DK. Cette initiative répondait déjà aux intentions qui sont celles de notre expo, construite avec sa complicité et celle du photographe L. Ceriez, de restituer par une multiplicité d’indices à la fois l’homme et le territoire dont il est issu.


AGENDAZOOM SUR...

LE FORT DES DUNES DE LEFFRINCKOUCKE OUVRE SES PORTES Le site de mémoire de Seconde Guerre mondiale, théâtre de l’opération Dynamo, rouvre ses portes jusqu’au 15 septembre, du mardi au dimanche, de 10 h 30 à 18 h. Venez profiter du circuit d’interprétation audioguidé pour parcourir le site en toute autonomie et découvrir des espaces extérieurs afin de mieux comprendre l’organisation stratégique et défensive, d’apprécier l’architecture exceptionnelle conçue par le général Séré de Rivières au XIXe siècle et voir les différentes traces de l’occupation allemande. Vous pouvez aussi profiter des visites guidées, proposées chaque jour de juillet et août à 15 h, déambuler dans le casernement des troupes à la découverte des expositions permanentes, sans oublier la maquette animée de l’opération Dynamo installée dans l’ancienne infirmerie.

Jusqu’au 30 avril, le Fort des Dunes accueille l’exposition « Les Derniers Combats de la Libération », réalisée par le centre de Mémoire Urbaine de l’Agglomération. Salles d’exposition : 4 € par visiteur - visite guidées : 7 € par visiteur - circuit d’interprétation : 5 € par visiteur (ce tarif inclut l’entrée aux salles d’exposition). Enfants de 7 à 18 ans : 50 % de réduction (gratuit pour les moins de 7 ans). Plus d’infos www.leffrinckoucke.fr et fort-des-dunes.fr/le-fort.

27 AVRIL

DanseBATTLE BRAMS Salle Dany-Boon à Bray-Dunes | 5/3€ | 16hDepuis 2006, Brahim Bouchelaghem a initié un principe de rencontres récurrentes entre jeunes danseurs amateurs du Nord de la France. La Battle Brams constitue un espace d’expression, d’échanges et de créativité pour un public qui échappe souvent aux dispositifs sociaux et culturels institutionnels.

3 MAI

CinémaNAVAJO SONGLINE / RENDEZ-VOUS DU DOC Studio 43 à Dunkerque | 6,50/4,80/4€ | 20h45C’est en s’attachant à une vision d’équilibre entre l’homme et la nature que se dessine à travers ce documentaire, une formidable fresque, l’histoire contemporaine des Dine. Ce film pose aussi les

questions sur l’évolution de notre société, de notre terre et de notre rôle à jouer pour les futures générations.

30 AVRIL

ThéâtreL’EMPEREUR C’EST MOI ! Auditorium Georges Bizet à Dunkerque | 8/6/4€ | 20hC’est une histoire vraie, l’autoportrait d’un enfant en colère, le combat d’un jeune autiste avec son double. Mêlant l’imaginaire aux souvenirs, Hugo nous raconte sa souffrance d’être différent, son refus de parler, son désir d’être un autre jusqu’à vouloir changer son nom.

DU 2 MAI AU 23 MAI

ExpositionPERSONNALITÉ EXPOSÉE CIAC à Bourbourg | GRATUIT Artiste étudiante à l’école supérieure d’art de Dunkerque / Tourcoing (ESÄ) Caroline Pichon a été invité à porter un regard sur l’exposition « Reflets intemporels » au CIAC avec une série intitulée «Terriens». Ce regard croisé aura suscité l’envie de prolonger le projet.

DU 29 AVRIL AU 3 MAI

Exposition LES ÉCOLES S’EXPOSENTCIAC à Bourbourg | GRATUITDurant l’année scolaire, les écoles du territoire travaillent autour de projets pédagogiques à partir de l’œuvre de Sir Anthony Caro mais également des expositions temporaires présentées au CIAC.


ZOOM SUR...

LA BONNE AVENTURE RECRUTE SES BÉNÉVOLESVous souhaitez faire partie de l’édition 2019 de la Bonne Aventure mais vous n’êtes pas une graine de star ? Pas de problème, les organisateurs recherchent également de nombreux autres talents : accueil, logistique, billetterie, communication, technique, service aux bars, sensibilisation au tri des déchets, sécurité, accueil des personnes à mobilité réduite… Plus de 180 places sont à pourvoir au sein de l’équipe de bénévoles du festival. Pour postuler, vous pouvez remplir le dossier d’inscription à retrouver sur www.labonneaventurefestival.com. Seule condition requise : être majeur et motivé.

3 MAI

ClassiqueORCHESTRE NATIONAL DE LILLE - PAYSAGES ROMANTIQUES Scène Vauban à Gravelines | 8/4€ | 20h30L’orchestre National de Lille sera de passage à Gravelines et proposera un programme consacré à Brahms. Ne manquez pas ce concert exceptionnel !

11 MAI

ThéâtreLES CONTES DE LA GRANGE Château Coquelle à Dunkerque | GRATUIT | 19hPar l’association Biz et Brouill’Art - Evelyne et Delphine Caloone. Les contes de la grange dans un château ? Et pourquoi pas ! Les jumelles Evelyne et Delphine vous livreront leurs contes et leurs histoires ! Des contes du répertoire classique... dépoussiérés, des scènes de la vie quotidienne revues et corrigées par leur œil de conteuse !

14 MAI

ClassiquePLAISIR DE L’ESPRIT, PLAISIR DES SENS Eglise Saint Jean-Baptiste à Bourbourg | 9€ | 20h | Dès 11 ansPour chanter les airs d’Etienne Moulinié, de Sébastien Le Camus ou de Michel Lambert, la soprano Élodie Fonnard est accompagnée par des instruments d’époque, flûte à bec, harpe et viole de gambe.

9 MAI

ClassiqueLA PÂQUE RUSSE-CHANTS DE L’ÂME RUSSE Temple protestant. 16 bis, Quai au Bois à Dunkerque | 17/9€ | 20hChœurs orthodoxes, chants spirituels et chants traditionnels de Russie. La Toison d’Art présente dans le cadre de sa tournée française un concert exceptionnel à Dunkerque le chœur de la société philharmonique de Saint-Petersbourg. Russie. Ensemble vocal mixte. Dirigé par Yulia Kuthoretskaya, il a été créé en 1992 et réunit des étudiants et diplômés de toutes les grandes écoles musicales de Saint-Pétersbourg.

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Du 14 au 19 mai 2019

Documents

L’INFORMATION DE LA COMMUNAUTÉ URBAINE DE DUNKERQUE …€¦ · Pertuis de la Marine, BP 85530, 59 386 Dunkerque Cedex 1 / Tél. : 03 28 62 70 00 / Imprimeur : Mordacq / Distribution