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Dossier de presse Février 2009

Larguez les amarres v4

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Page 1: Larguez les amarres v4

Dossier de presse

Février 2009

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Dossier de presse Février 2009

1/ Communiqué de presse 2/ Visite guidée de l’exposition « Larguez les amarres ! » 3/ Autour de l’exposition 4/ Saint-Martin-de-Ré à l’UNESCO 5/ Petit historique du Musée Ernest Cognacq 6/ Générique 7/ Photographies à disposition des journalistes 8/ Informations pratiques / Contacts

Sommaire

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1/ Communiqué de presse

Larguez les amarres ! Vivre à bord des vaisseaux au XVIIIe siècle

Du 4 avril 2009 au 15 mars 2010, le Musée Ernest Cognacq vous invite à découvrir sa toute nouvelle exposition temporaire, « Larguez les amarres ! ». Etre marin au XVIIIe siècle est un combat de tous les jours. Quelle est la vie à bord des vaisseaux – ces véritables combattants des mers – à une époque où les guerres se multiplient ?

Sous le règne de Louis XIV, le pouvoir royal prend conscience de la nécessité de maîtriser les mers : Vauban émaille le littoral de ses forteresses tandis que Colbert crée une marine de guerre et des arsenaux. Le XVIIIe siècle marque l’apogée de la marine à voile. Mais si l’Histoire a retenu l’épopée des grands voiliers, elle a accordé peu d’intérêt aux marins qui ont passé presque toute leur vie sur ces vaisseaux, loin de leur famille, confrontés à des combats d’une extrême violence.

Si l’île de Ré est avant tout une île de paysans de la mer, elle a fourni à la Royale et aux navires marchands un grand nombre de marins dont le principal défi consistait à « survivre à la mer ».

C’est l’histoire de ces matelots, ces « drôles d’oiseaux » que l’exposition tente de retracer par le biais d’une scénographie innovante alliant oeuvres originales, reconstitutions et dispositifs audiovidéo. Le visiteur embarque avec l’équipage. Il traverse les ports encombrés avant le départ, assiste à la répartition des munitions et des vivres dans des espaces restreints. Puis il découvre la « vie de chien » : la vie rythmée par les quarts, le hamac partagé avec un autre matelot, les plats prévus pour sept hommes, la discipline de fer, les blessures, les maladies, l’impuissance des chirurgiens de bord… Mal manger, mal dormir, se languir de sa famille… Au final, ces facteurs s’avèrent bien plus meurtriers que les combats. Les marins se réfugient dans la religion, les superstitions ou les jeux pour oublier des conditions qu’ils n’échangeraient, au final, pour rien au monde contre une vie de paysans.

C’est à une aventure humaine méconnue, à un voyage au long cours que vous invite le Musée Ernest Cognacq… Départ programmé le 4 avril prochain.

N’oubliez pas ! Une salle entière du musée reste consacrée à Vauban et à l’inscription des fortifications de la ville à l’UNESCO !

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2/ Visite guidée de l’exposition ENTRER au musée Le public peut accéder à l’exposition par deux entrées : - par la cour de l’hôtel de Clerjotte, librement ouverte à tous. Dans cet espace, le visiteur découvre une carte au sol de l’île de Ré de plus de 40 m2, où il peut distinguer rues, maisons et fortifications de Vauban. - par la nouvelle aile contemporaine où se situe la billette rie. DECOUVRIR une scénographie innovante Depuis sa réouverture en 2006, le Musée Ernest Cognacq développe une politique d’expositions temporaires ambitieuses. « Larguez les amarres ! » a donc été réalisée avec la collaboration d’un scénographe parisien, Vasken Yéghiayan, qui a souhaité plonger le visiteur dans l’atmosphère des navires du XVIIIe siècle, par le biais d’une scénographie dynamique. Chaque pôle de l’exposition a sa coloration et son ambiance particulières afin d’offrir un parcours fluide et compréhensible pour le public qui a un rôle de témoin, d’acteur plus que de simple observateur. Selon le scénographe Vasken Yéghiayan, il s’agit «d’évoquer et non de reconstituer, de mettre en perspective l’objet et l’histoire par une mise en scène ludique permettant de s’affranchir des vaines tentatives de reconstitution ». Le décor stimule l’imagination du visiteur qui est embarqué dans un voyage sur fond de chants de marins tempêtes et d’extraits du film « Master and Commander ». Enfin, des centaines de documents et d’objets animent le parcours, grâce aux prêts de nombreux établissements culturels : Musée national de la Marine, Musée de La Roche-sur-Yon, musée d’Histoire de la médecine, musée du Nouveau Monde de La Rochelle….Les collections du Musée Ernest Cognacq sont également mises en lumière. Le public pourra retrouver les maquettes du Protecteur et du Phénix, des instruments de marine, des armes, des pots d’apothicaire, le cahier de navigation d’un capitaine rétais,… Divisée en plusieurs pôles, l’exposition « Larguez les amarres ! » vous invite à prendre la mer toutes voiles dehors….

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PARTAGER une aventure humaine Première étape : PRENDRE LA MER Le XVIIIème siècle est résolument maritime ; commerce et expéditions scientifiques se multiplient. Rendues possibles grâce au progrès de la construction navale et à l’engagement financier des Etats, ces aventures redorent également l’image du marin. Jusqu’alors homme peu recommandable, dur, agressif et grossier, l’homme de mer, volontaire ou réquisitionné, déployant des connaissances en cartographie, hydrographie et astronomie, devient savant. Ce pôle d’exposition présente cette professionnalisation de la marine de guerre avec la création d’arsenaux et les progrès de l’architecture navale qui donnent naissance à des bateaux plus légers et plus rapides. Cette modernisation s’accompagne d’un recrutement de plus en plus oppressant : dès 1688, tous les gens de mer doivent donner un an sur trois à la Royale. L’objet phare : La maquette du Phénix Le Phénix est le nom donné au vaisseau modèle de l’album de Colbert, recueil de 50 planches représentant toutes les phases de construction d’un vaisseau et vraisemblablement destiné à l’éducation du Roi. Navire amiral qui semble ne jamais avoir été construit, il pouvait supporter jusqu’à 86 canons et est encore richement orné, symbole de la magnificence royale.

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Deuxième étape : EMBARQUER

De grandes quantités de vivres, de matériel et de munitions sont nécessaires aux voyages au long cours. Ils font l’objet d’une répartition très rationalisée afin de maintenir l’équilibre du navire. L’approvisionnement est réglé avec une grande minutie car si un vaisseau n’embarquait pas assez de vivres, la situation pouvait s’aggraver rapidement. La scénographie invite le visiteur à se plonger dans des reproductions de la série des ports de France par Joseph Vernet et à observer les moindres détails : le contrôle des bombes de mortiers, les métiers de la construction navale, l’embarquement du bétail… L’objet phare : Cette artillerie embarquée, présente dans les collections du Musée Ernest Cognacq, témoigne de la violence des combats et des différentes armes utilisées par les adversaires : boulets pleins pour endommager la coque de l’ennemi, boulets ramés pour couper les manœuvres et déchirer les voiles de l’adversaire… Troisième étape : UNE VIE DE CHIEN « Mon Dieu quelle triste vie Que la vie du matelot Il mange que des gourganes Il ne boit que de l’eau Il couche sur la dure, Sur un vieux lit de camp, Il fait triste figure Quand il n’a plus d’argent » (chant traditionnel de marins « La triste vie du matelot ») Selon l’historien Daniel Dessert, sur les vaisseaux du roi, on meurt plus de crasse, d’ordure, d’accident ou de malnutrition que de combat. Souffrant de la promiscuité et du rythme trépidant qui leur est imposé, les marins vivent véritablement une « vie de chien », à côté d’un Etat-major, certes également contraint à une certaine discipline mais connaissant de meilleures conditions de vie. Le visiteur est embarqué dans un voyage peu confortable où il peut observer les hamacs que deux matelots se partageaient. Il peut écouter les chants qui accompagnaient l’effort lors de manœuvres souvent dangereuses ou encore suivre le rythme des quarts grâce à des illustrations de Jean-Benoît Héron.

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L’image phare : L’illustrateur Stephen Biesty, édité par l’agence anglaise Dorling Kindersley, exprime parfaitement par ses dessins la vie quotidienne des matelots. Scène des funérailles : La religion est très présente à bord pour pallier le mal du pays et l’éloignement des familles. Les funérailles sont toujours un moment douloureux où le défunt est jeté à la mer dans un linceul ou une couverture, lesté d’une grosse pierre. Quatrième étape : NAVIGUER, SUIVRE SA ROUTE, FAIRE LE POINT Au XVIIIe siècle, on recherche sans relâche le moyen de se positionner sur les immensités marines, de baliser les dangers et de maîtriser les espaces. Les marins n’ont de cesse d’améliorer leurs instruments et leur art de la navigation. Cartes, octant, compas… autant d’ustensilles du pilote qui ont permis une meilleure alliance entre la navigation dite à l’estime et une autre plus savante fondée sur les observations astronomiques. L’objet phare : Né en 1775 à Saint-Martin-de-Ré, Louis Ricq s’engage dans la marine quelques années plus tard. Capitaine au long cours, il s’intéresse à la navigation de proximité et accroît sa connaissance des rivages rétais au bord des pertuis. Il écrit un ouvrage intitulé « L’hydrographie ou le cours de navigation par le quartier de réduction » : il y développe une grande culture scientifique en abordant des notions de géométrie, de trigonométrie, d’astronomie, le tout illustré de croquis, de cartes et de poèmes.

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Cinquième étape : VIVRE DANGEREUSEMENT « ceux qui sur mer naviguent, tant près sont du continuel danger qu’ils vivent mourants, et meurent vivants » (Rabelais dans Pantagruel) Les combats navals sont d’une rare violence ; boulets et tirs fusent de partout et provoquent de nombreux morts. Combats en ligne ou abordages sont très meurtriers même si on meurt moins au combat que de détresse physiologique. Les chirurgiens de bord sont souvent taxés d’incompétence et travaillent avec peu de moyens dans des conditions difficiles. « Ils ne connaissent rien à la chirurgie, sans parler de la médecine. Ils s’instruisent sur le tas aux dépens des marins, en souhaitant qu’il se trouve dans l’équipage un infirmier expérimenté, un vétérinaire, un guérisseur, voire un boucher… » (extrait de Maître à bord, roman de Patrick O’Bryan). L’avènement de l’Hôpital de Rochefort au milieu du XVIIIe siècle tend à améliorer la situation par un enseignement médical plus développé. Quant aux marins, ils tentent de conjurer le sort en multipliant les superstitions et les prières. L’objet phare : L’homme au citron Le scorbut est l’une des maladies les plus répandues lors des voyages au long cours : une grande partie de l’équipage du navigateur rétais Nicolas Baudin, découvreur de l’Australie, en est d’ailleurs morte. Cette maladie est due à une nourriture peu variée et pauvre en vitamine A. Pour y remédier, on conseille le citron, denrée difficile à embarquer sur les navires au XVIIIe siècle. TERMINER LE PERIPLE « Nous souhaitons dévoiler un pan méconnu de l’histoire maritime, sensibiliser le public à une vie de marins toujours aussi rude aujourd’hui », tel est le propos des commissaires d’exposition. Alors départ le 4 avril 2009 pour un périple d’un an…

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3/ Autour de l’exposition :

Le Lauréat du Prix des Musées pour Tous

En septembre 2008, le Musée Ernest Cognacq a remporté « le prix des Musées pour Tous » ex æquo avec le Château des Ducs de Bretagne à Nantes. Ce prix a été accordé au Musée Ernest Cognacq grâce à l’originalité de son dossier dans les efforts récurrents réalisés pour l’accueil des personnes en situation de handicap mental. Forte de cette reconnaissance, l’équipe du Musée Ernest Cognacq souhaite prolonger l’expérience étendre et développer des actions envers d’autres types de handicap : boucle magnétique, maquette tactile des fortifications, audio et visio-guides…

Une exposition pour les enfants

En lien avec l’exposition et le patrimoine UNESCO de la Ville de Saint-Martin-de-Ré, le musée et son service éducatif proposent pour les enfants, des ateliers ludiques et pédagogiques, dans le cadre scolaire mais également pendant les vacances. Plusieurs ateliers ont été élaborés afin d’expliquer aux enfants le rôle de Vauban et la construction des fortifications. D’autres activités sont montées autour de l’exposition « Larguez les amarres ! » pour permettre aux plus jeunes de connaître les conditions de vie des marins à bord des vaisseaux au XVIII ème siècle. Tout au long du parcours muséographique, des jeux et des textes sont présentés spécialement pour le jeune public.

Une riche programmation culturelle

Avec son auditorium de 90 places, le Musée Ernest Cognacq développe une programmation culturelle généralement liée à l’exposition temporaire en cours. À l’occasion de l’exposition «Larguez les amarres !», il organise un cycle de conférences animées par des spécialistes du patrimoine maritime local ou national. Catherine Métais, artiste plasticienne guide conférencière à Beaubourg propose également ses « rendez-vous de l’art moderne » tous les 2 mois, avec la découverte, d’un courant artistique ou d’un artiste (Matisse, Picasso, le Bauhaus). L’histoire du patrimoine local sera au programme grâce à des historiens spécialisés. Sans oublier la participation aux manifestations nationales et européennes ; la Nuit des Musées, les Journées Européennes du Patrimoine, les Rendez-vous aux Jardins,...

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Découvrez les jardins de l’Hôtel de Clerjotte. Ces jardins ont été inaugurés le 13 octobre 2007 en présence de Craig R. Stapleton Ambassadeur des Etats-Unis en France, de Mme Georgine Lafontaine, Maire de Saint-Martin-de-Ré, de M. Léon Gendre, vice-président du Conseil Général de la Charente-Maritime et de la Princesse Marie-Sol de La Tour d’Auvergne, présidente de la French Heritage Society. L’association franco-américaine French Heritage Society œuvre depuis 25 ans pour la restauration des plus beaux monuments et jardins français en France et aux Etats-Unis. Grâce à son mécénat et à celui de plusieurs donateurs, la Mairie de Saint-Martin-de-Ré a pu créer ces jardins autour de la statue de George Washington et du médaillon de Nicolas Martiau, célébrant ainsi les liens qui unissent la France et les Etats-Unis. Les jardins créés par le paysagiste Pierre Joyaux avec l’aide des services techniques - espaces verts de la Ville de Saint-Martin-de-Ré répondent à trois objectifs : créer un jardin dans l’esprit de l’époque XVIIe, établir un lien avec l’architecture contemporaine de la nouvelle aile du musée et accueillir la statue.

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4 / Saint-Martin-de-Ré à l’UNESCO Capitale de l’île de Ré, Saint-Martin-de-Ré bénéficie d’un cadre de vie particulier dû à son histoire et son architecture. Assise sur la côte nord de l’île de Ré, en position centrale pour en former le réduit, Saint-Martin-de-Ré a connu en 1627 une première forteresse qui a essuyé le siège infructueux de l’armée anglaise. En 1681, Vauban va en réutiliser l’assiette pour construire une citadelle, associée à une enceinte urbaine largement surdimensionnée pour abriter toute la population avec son bétail en cas de débarquement ennemi sur un autre point. Conservée intacte dans son écrin de glacis non urbanisés, Saint-Martin-de-Ré est le meilleur exemple du premier système à la Vauban adapté en tant que réduit insulaire. Depuis le lundi 7 juillet 2008, le Comité du patrimoine mondial a décidé d’inscrire les fortifications de Saint-Martin-de-Ré avec 11 autres sites majeurs de Vauban sur la prestigieuse liste du patrimoine mondial. Ce bien est ainsi le 32e site du patrimoine mondial UNESCO en France. Le Musée Ernest Cognacq devient pôle de référence sur le patrimoine fortifié. En effet, la première salle de la précédente exposition temporaire « Vauban, ingénieur du Soleil » devient permanente. Cette salle met en valeur l’importance de l’Île de Ré dans l’histoire des XVIIe et XVIIIe siècles et permet aux visiteurs de s’immerger dans l’histoire locale à travers la présentation des fortifications Vauban sous forme d’une maquette 3D.

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5 /Petit historique du Musée Ernest Cognacq L’Hôtel de Clerjotte Le Musée Ernest Cognacq se situe dans l’Hôtel de Clerjotte, ancienne demeure seigneuriale du XVe siècle, embellie à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle de deux ailes inspirées d’une Renaissance tardive. Riche de ses décors gothiques et Renaissance, il est le plus bel exemple d’architecture civile de l’île de Ré. Vers 1690, il est transformé en arsenal militaire et le restera jusqu’au XXe siècle. Classé Monument historique en 1929, il abrite le Musée Ernest Cognacq et sert d’annexe au Musée de la Marine à partir des années 1960. Après le départ des collections de la Marine, le musée municipal réinvestit l’intégralité des lieux. Sa restructuration engagée en 2004 s’achèvera dans les années à venir et a déjà franchi un premier pas avec l’inauguration d’une nouvelle aile en 2006. Le Musée Ernest Cognacq : un musée centenaire En 1905, Théodore Phélippot, ancien Maire du Bois- Plage, érudit local et grand collectionneur meurt. Le petit “musée” qu’il avait ouvert au Bois-Plage dans sa maison de La Bénatière doit donc fermer. Ses collections, composées de livres anciens, d’objets d’art, d’archives et de curiosités très diverses, sont menacées de dispersion au sein de la famille. Le docteur Emile Atgier, lui-même grand collectionneur notamment d’archives, d’illustrations et de cartes, président de l’association des Rétais de Paris et président de la Société Française de Préhistoire, trouve en la personne d’Ernest Cognacq, natif de Saint-Martin et fondateur de la Samaritaine, un mécène capable d’acheter la totalité de la collection Phélippot pour la rétrocéder à la commune de Saint-Martin-de-Ré. La Ville fait l’acquisition en 1907, grâce une fois encore à la générosité d’Ernest Cognacq, de l’Hôtel des Cadets (ancienne propriété de l’Hôpital Saint-Honoré). C’est dans les années 1960 que les collections prennent place dans l’Hôtel de Clerjotte. Les collections du musée Les collections du musée présentent des thèmes très différents allant de la franc-maçonnerie à la céramique de Delft en passant par la cartographie ancienne, la peinture rétaise ou encore les livres anciens… Une nouvelle politique d’acquisitions plus cohérente permet de centrer les objets du musée sur des sujets fondateurs comme le bagne, la place des fortifications sur l’île ou encore le patrimoine maritime.

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6/ Générique Cette exposition a été initiée par la Commune de Saint-Martin-de-Ré, sous le mandat de Monsieur Patrice Déchelette, Maire de Saint-Martin-de-Ré. Commissariat de l’exposition Christelle Rivalland Scénographie Vasken Yéghiayan Graphisme de l’exposition : Laurent Martin des supports de communication : Bruno Rosier Réalisation de la scénographie Alain Merlaud / La Manufacture Impression et lettrages Olivier Puyravaud / Graphic Application Avec le soutien de: Ministère de la Culture et de la Communication DRAC Poitou-Charentes Conseil Général de la Charente-Maritime Association des Amis du musée de l’île de Ré Nous tenons à remercier: L’équipe du Musée Ernest Cognacq : Marianne Brunet-Hayet, Gabrielle Courbi, Caroline Grand-Lafon, Laurent Martin. L’ensemble des services et des élus de la Ville de Saint-Martin-de-Ré. Et particulièrement : Sophie Kervran pour son aide précieuse à la préparation de l’exposition.

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Cette exposition a été rendue possible grâce aux prêts de : Musée national de la Marine, Paris Service Historique de la Défense, Rochefort Musée de La Roche-sur-Yon Musée du sous-officier, Saint-Maixent Musée Dupuy-Mestreau, Saintes Centre International de la Mer, La Corderie Royale, Rochefort Musée d’Histoire de la Médecine, Paris GRAN, Toulon Musée du Nouveau Monde, La Rochelle Et grâce aux droits d’utilisation accordés par : Musée d’art et d’histoire Hèbre de Saint-Clément, Rochefort Bibliothèque Nationale de France, Paris Réunion des Musées Nationaux, Paris Photothèque de la marine, Paris Museo Naval, Madrid National Maritime Museum, Greenwich, Londres Dorling Kindersley, Londres Bibliothèque Interuniversitaire de Médecine Musée des Augustins, Toulouse Nous tenons également à remercier les personnes suivantes pour leur collaboration: Jean-Benoît Héron, illustrateur Jean Boudriot, auteur de l’ouvrage de référence Le vaisseau de 74 canons. L’Association des Amis du Musée Ernest Cognacq pour son soutien moral et financier. Remerciements particuliers à UNIVERSAL pour son autorisation gracieuse de diffusion du film de Peter Weir, Master and Commander.

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7/ Crédits photographiques LES PHOTOS A DISPOSITION DE LA PRESSE Sur simple demande auprès du service communication du musée ([email protected]). Des vues de l’exposition seront disponibles à partir du 4 avril 2009. Vue générale du Musée Ernest Cognacq © Ville de Saint-Martin-de-Ré Vue des jardins du Musée Ernest Cognacq © Ville de Saint-Martin-de-Ré Le Phénix XIXème siècle Collection Musée Ernest Cognacq Ville de Saint-Martin-de-Ré Don de la famille du maquettiste Jean Cartier Couleuvrine Dépôt du DRASSM au Musée Ernest Cognacq Etat

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Scène de funérailles Illustration de Stephen Biesty, Cross-section of o Man-of-War, © Dorling Kindersley. L’hydrographie ou le cours de navigation par le Capitaine Louis Ricq Début XIXe siècle Collection Musée Ernest Cognacq Ville de Saint-Martin-de-Ré L’homme au citron XVIIIe siècle Collection Musée Ernest Cognacq Ville de Saint-Martin-de-Ré

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8/ Informations pratiques Musée Ernest Cognacq 13 avenue Victor Bouthillier 17410 Saint-Martin-de-Ré tél : 05.46.09.21.22 fax : 05.46.09.75.60 [email protected] www.musee-iledere.com Label Tourisme et Handicaps pour les personnes à mobilité réduite. Le Ministère de la Culture a décerné au Musée Ernest Cognacq le prix « Des musées pour tous ». L’espace librairie-boutique propose des livres en rapport avec l’exposition temporaire et le patrimoine de l’île de Ré, des cartes postales, des affiches, des produits pour les enfants… Visites guidées, Conférences, Renseignements et réservations auprès de : [email protected] Ateliers pédagogiques pour les enfants. Renseignements et réservations auprès de : [email protected] Horaires d’ouverture Du 1er octobre au 31 mars : de 10h à 12h et de 14h à 17h en semaine, de 14h à 17h les samedis, dimanches et jours fériés. Du 1er avril au 30 juin et septembre : de 10h à 13h et de 14h à 18h en semaine, de 14h à 18h les samedis, dimanches et jours fériés. Du 1er juillet au 31 aôut : de 10 à 19h Fermeture hebdomadaire le mardi. Fermeture annuelle : 1er janvier, 1er nov., 11 nov., 25 déc. Tarifs Plein tarif : 4 euros Tarif réduit : 2,50 euros pour les enfants de 6 à 18 ans, étudiants de moins de 25 ans,visiteurs handicapés. Gratuité pour les enfants jusqu’à 6 ans, chômeurs, RMIstes, Amis du Musée Ernest Cognacq, carte Pass, et le premier dimanche du mois.

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Contacts Julia Dumoulin-Rulié Responsable du Musée Ernest Cognacq 05 46 09 21 22 [email protected] Christelle RIVALLAND Service des collections 05 46 09 21 22 [email protected] Marianne BRUNET Service communication 05 46 09 21 22 [email protected]

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