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1 L’Aventure de Noémie J’ai soixante-sept ans et je suis à la retraite. Depuis quelques temps et pour arrondir mes fins de mois, je fais des petits boulots dans mon immeuble. Je suis connu comme l’homme des dépannages urgents. Un vendredi vers treize heures, Sarah, une voisine d’origine juive tunisienne, sonne à ma porte et me demande de garder sa petite fille de neuf ans. Ma voisine est divorcée, et pour elle aussi les fins de mois sont difficiles. Elle est vendeuse dans une grande surface, et elle n’a trouvé personne pour garder sa petite gamine. Ma voisine ne rentrera que vers vingt-deux heures. Noémie est une adorable petite fille d’un mètre vingt de haut. De longs cheveux châtain clair coiffés avec des tresses, une belle bouche bien dessinée. Elle est vêtue d’une robe légère en coton imprimé. À peine entrée la gamine me demande si j’ai des jeux vidéo. Je lui réponds que non, mais j’ai des dessins animés. Je la conduis dans le salon où elle s’installe sur le divan. Je vais préparer des rafraîchissements dans la cuisine. Noémie saisit la télécommande et appuie sur tous les boutons. Sans le savoir elle lance le lecteur DVD. La télévision s’allume. Elle voit une jeune femme occupée à sucer la queue d’un homme. La gamine est intriguée par ce qu’elle voit pour la première fois. De retour dans le salon, je vois la gamine en train de regarder le DVD porno. Sans me fâcher, je m’installe à côté d’elle. Nous regardons la télévision ensemble. Noémie me demande pourquoi la dame suce le zizi de l’homme. Je lui réponds que ce sont des jeux pour les grandes filles et les grands garçons et qu’elle ne doit pas regarder ce film-là. La gamine me rétorque que sa maman lui dit souvent qu’elle est une grande fille, alors qu’elle peut le regarder. Je la regarde ouvrir la bouche et faire les mêmes mimiques que la vedette du film. Elle ouvre la bouche et passe sa langue sur une queue imaginaire. Soudain, Noémie me demande « tu veux que je suce ta queue ? » Comme elle le dit elle-même « Je suis une grande fille, alors je peux te sucer ! » Sans attendre ma réponse. Elle descend du divan et se place entre mes jambes. Elle pose la main sur l’élastique de mon training et le tire vers le bas. Ma queue à demi dressée jaillit devant sa bouche. Noémie reste en admiration devant ma bite. La nature m’a pourvu d’une longue queue mais pas trop grosse, vingt centimètres pour un diamètre de trois centimètres. La gamine la prend dans ses petites mains et passe un coup de langue sur mon gland. Ensuite elle me regarde et pouffe de rire. « Tu vois que je suis une grande fille. » Je lui dis « Continue si tu l’oses. » La gamine relève mon défi et repasse plusieurs fois sa petite langue sèche sur mon gland, ensuite elle ouvre la bouche et l’enfourne lentement tout en me regardant dans les yeux. Je mets mes mains sur sa tête et je lui donne la cadence. Ma queue entre et sort de sa petite bouche. À chaque fois, je lui pousse la tête un peu plus loin sur ma queue. Elle rentre de plus en plus au fond

L'Aventure de Noémie

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Un pervers profite de la garde de sa petite voisine pour abuser d'elle.

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L’Aventure de Noémie

J’ai soixante-sept ans et je suis à la retraite. Depuis quelques temps et pour arrondir mes fins de mois, je fais des petits boulots dans mon immeuble. Je suis connu comme l’homme des dépannages urgents.

Un vendredi vers treize heures, Sarah, une voisine d’origine juive tunisienne, sonne à ma porte et me demande de garder sa petite fille de neuf ans.

Ma voisine est divorcée, et pour elle aussi les fins de mois sont difficiles. Elle est vendeuse dans une grande surface, et elle n’a trouvé personne pour garder sa petite gamine. Ma voisine ne rentrera que vers vingt-deux heures.

Noémie est une adorable petite fille d’un mètre vingt de haut. De longs cheveux châtain clair coiffés avec des tresses, une belle bouche bien dessinée. Elle est vêtue d’une robe légère en coton imprimé.

À peine entrée la gamine me demande si j’ai des jeux vidéo. Je lui réponds que non, mais j’ai des dessins animés. Je la conduis dans le salon où elle s’installe sur le divan. Je vais préparer des rafraîchissements dans la cuisine.

Noémie saisit la télécommande et appuie sur tous les boutons. Sans le savoir elle lance le lecteur DVD.

La télévision s’allume. Elle voit une jeune femme occupée à sucer la queue d’un homme. La gamine est intriguée par ce qu’elle voit pour la première fois.

De retour dans le salon, je vois la gamine en train de regarder le DVD porno. Sans me fâcher, je m’installe à côté d’elle. Nous regardons la télévision ensemble.

Noémie me demande pourquoi la dame suce le zizi de l’homme. Je lui réponds que ce sont des jeux pour les grandes filles et les grands garçons et qu’elle ne doit pas regarder ce film-là.

La gamine me rétorque que sa maman lui dit souvent qu’elle est une grande fille, alors qu’elle peut le regarder.

Je la regarde ouvrir la bouche et faire les mêmes mimiques que la vedette du film. Elle ouvre la bouche et passe sa langue sur une queue imaginaire.

Soudain, Noémie me demande « tu veux que je suce ta queue ? » Comme elle le dit elle-même « Je suis une grande fille, alors je peux te sucer ! »

Sans attendre ma réponse. Elle descend du divan et se place entre mes jambes. Elle pose la main sur l’élastique de mon training et le tire vers le bas. Ma queue à demi dressée jaillit devant sa bouche.

Noémie reste en admiration devant ma bite. La nature m’a pourvu d’une longue queue mais pas trop grosse, vingt centimètres pour un diamètre de trois centimètres.

La gamine la prend dans ses petites mains et passe un coup de langue sur mon gland. Ensuite elle me regarde et pouffe de rire. « Tu vois que je suis une grande fille. »

Je lui dis « Continue si tu l’oses. » La gamine relève mon défi et repasse plusieurs fois sa petite langue sèche sur mon gland, ensuite elle ouvre la bouche et l’enfourne lentement tout en me regardant dans les yeux.

Je mets mes mains sur sa tête et je lui donne la cadence. Ma queue entre et sort de sa petite bouche. À chaque fois, je lui pousse la tête un peu plus loin sur ma queue. Elle rentre de plus en plus au fond

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de sa gorge, ensuite elle se retire rapidement et donne l’impression de vouloir vomir. Ma bite, est entrée tout au fond de sa gorge. Je lui explique qu’au début c’est normal mais si elle continue, elle s’habituera vite.

Je la relève et je la déshabille complètement. Je la replace à côté de moi sur le divan. Elle est à quatre pattes, ses coudes posés sur ma cuisse, elle recommence à me sucer.

Je la regarde enfoncer ma longue queue dans sa bouche.

Mes mains lui caressent le dos et descendent vers ses fesses. Je lui caresse son sillon et mon index s’arrête sur son petit clitoris. Je lui caresse très lentement sa petite chatte. Mon doigt s’attarde sur l’entrée de son petit vagin et glisse à l’intérieur.

La bouche de la gamine se fige brusquement sur ma queue. Mon autre main se pose sur sa nuque et pousse légèrement sur sa tête. La gamine reprend sa succion !

C’est un véritable plaisir de sentir sa petite bouche toute chaude glisser le long de ma queue. Une de ses mains masse délicatement mes couilles.

J’entre mon majeur lentement dans son ventre, sa chattounette se lubrifie doucement sur mes passages répétés.

Noémie avale ma bite de plus en plus vite, suivant le rythme de mon doigt dans sa petite chatte.

Sans crier gare, la gamine lâche ma queue et elle se redresse. Elle ressert les cuisses et bloque ma main entre ses jambes. Elle se met à jouir dans une longue plainte. Sa chattounette est parcourue de spasmes et enserre mon doigt qui continue ses trajets dans son jeune ventre.

J’en profite pour tirer doucement ses petits tétons qui pointent fièrement sur une poitrine inexistante. Noémie, jouit comme une vraie femme, sa cyprine coule dans ma main.

Épuisée, elle se laisse aller en arrière je l’aide à se coucher sur le divan.

Je la regarde. Elle est adorable dans son plus simple appareil. Je la place avec les jambes pendantes hors du divan. Je m’agenouille et je lui lèche sa petite chatte. J’entre ma langue le plus loin possible dans son petit vagin, je bois son nectar.

Noémie recommence à pousser des petits cris de plaisir. Doucement, mes baisers remontent sur son ventre. Je lui suce ses petits bouts de seins. D’instinct, la gamine place ses jambes autour de ma taille. Mon gland est contre sa vulvette dégoulinante. Par des mouvements de mon bassin, je le fais glisser le long de sa fente.

La gamine jouit de plus belle.

Je pose mes lèvres sur les siennes et un long baiser est échangé.

Je glisse ma main entre nous deux et je présente ma bite à l’entrée de sa petite moule. Je fais jouer mon gland sur l’entrée de son petit vagin, lentement je l’entre dans son ventre tout en l’embrassant.

La gamine ne cherche pas à se dérober. Je n’ai qu’à pousser un peu et mon gland glisse sans trop de difficulté dans son vagin rendu bien glissant pas ses jouissances.

Noémie ouvre les yeux, ses bras se referment sur mon cou. Je sens mon nœud prisonnier du ventre étroit de la fillette. La gamine m’embrasse de plus belle en me serrant très fort dans ses petits bras.

Pour moi c’est le signal. Je donne un bon coup de rein et ma bite entre directement au fond de son petit ventre. Noémie hurle sa douleur dans ma bouche. Elle se crispe à mon cou et ses jambes se referment d’avantage sur ma taille.

Je glisse la main entre ses cuisses, je tâte ma bite. Elle est entrée de six centimètres dans la jeune chatte. Je reste sans bouger.

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Très lentement, la gamine se détend. Je l’embrasse de nouveau. Je donne à nouveau un coup de rein, ma bite s’écrase contre son jeune utérus. Maintenant, je suis vraiment bien au fond de sa petite chatte.

Je commence alors très doucement mes allers et retours dans ce ventre tout neuf. Ma bite est fortement étranglée dans son petit conduit vaginal.

Mon gland vient butter chaque fois au fond de son ventre. Je me redresse pour admirer ma queue dans son jeune vagin.

Je tiens Noémie par les hanches et je la tire vers moi. Sa petite chatte se déforme et rentre littéralement dans son ventre quand je la pénètre et elle ressort de plusieurs centimètres quand je me retire. Je vois un tiers de ma queue dans le giron de la gamine.

Noémie apprécie ma queue et se remet à pousser des petits cris de plaisir. Mes petits coups de butoir se font plus rapides et plus fort, la gamine remonte de plusieurs centimètres dans le divan quand mon gland pousse sur le fond de son vagin.

Elle jouit et ses contractions vaginales sur ma queue me font jouir en même temps qu’elle. Je lui envoie une quantité énorme de sperme qui lui inonde ses entrailles.

Je m’affale sur la gamine, mon long sexe reste en elle, il lui bouche hermétiquement sa petite chatte.

Après de longs instants, nous revenons sur terre. Je me redresse, je la regarde avec ma queue dans son ventre. Elle me sourit en me tendant les bras.

Je passe mon bras sous ses reins et je la soulève contre moi. Je me redresse avec elle. Elle me donne des petits baisers dans le cou. Ma queue bien que redevenue normale est toujours enfuie au plus profond de son ventre. Nous allons dans la salle de bain et nous prenons une douche ensemble.

Ma jeune voisine ne peut s’empêcher de me suçoter la queue sous la douche.

Je soigne ensuite sa chattounette malmenée avec un gel lubrifiant.

De retour dans le salon, aidé par Noémie, je fais disparaître toutes les traces de notre débauche.

Après le repas du soir, nous sommes tous les deux nus, assis dans le divan. Ma jeune maîtresse est sur mes jambes avec ma bite passée entre ses cuisses, et elle dépasse allègrement de son ventre. La gamine la caresse doucement. Elle se retourne légèrement et me dit « Tu vois que je suis une grande fille. »

Je lui réponds « oui, Tu es vraiment ma petite femme. »

Les longues heures d’été passent doucement. Noémie s’endort sur moi.

Il est vingt-et-une heures trente. Je la fais glisser sur le divan. Je la regarde. Elle est couchée sur son côté, les jambes repliées sur son ventre. Comme beaucoup d’enfants de son âge, elle suce son pouce en dormant.

Je regarde sa petite chatte qui est à peine rougie par ma pénétration. Je la rhabille pendant son sommeil.

Il est vingt-deux heures quinze, Sarah arrive les bras encombrés de marchandise. Elle vient rechercher sa fille.

Je me propose de reconduire l’enfant chez-elle. Je porte Noémie endormie dans mes bras jusqu’à sa chambre.

Le lendemain matin, je vais faire mes emplettes sur le marché. Tout à coup, une petite main me tire par le short, c’est Noémie.

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Elle me fait une bise sur la joue sous le regard discret de sa mère.

Sarah s’avance vers moi et une courte discussion s’en suit. Elle m’explique que pendant les mois d’été le magasin qui l’emploie ferme plus tard et me demande si je peux garder sa fille encore quelques soirées, ça l’aiderait énormément.

Je suis d’accord et Noémie saute de joie. Elle viendra vers midi trente chez moi.

Il est midi trente-cinq quand le carillon de la porte retentit. J’ouvre et Noémie apparaît, elle est seule. Comme elle le dit, elle est une grande fille. La gamine me saute littéralement au cou et me dépose un baiser furtif sur les lèvres. Elle s’installe dans le divan, elle zappe directement et le DVD se met en route. Elle regarde une nouvelle fois la scène de la fellation.

Je m’installe auprès d’elle. La gamine se couche la tête sur ma cuisse. Sa main se pose sur mon entre-jambes, elle me masse la queue au travers du jogging. Elle regarde ma queue grandir sous le fin tissu de nylon.

Sans plus attendre, je lui enlève sa petite culotte et je commence à caresser sa petite chatte. Elle ouvre les jambes. Je fais glisser mes doigts sur sa petite fentine.

La gamine se met doucement à ronronner, mes doigts glissent avec une extrême douceur sur sa petite chatte dans un mouvement de haut en bas. Je sais que ce genre de caresse à un pouvoir relaxant sur les femmes, j’ignorais que c’était la même chose avec les fillettes.

Après une dizaine de minutes, je remarque que ma jeune complice est tombée endormie.

Je me relève du sofa avec précaution. Je la regarde dormir avec les jambes grandes ouvertes. Je prends mon appareil photo numérique et j’immortalise ce moment précieux. Ensuite je vais préparer un repas léger.

La sieste de la gamine ne dure pas plus d’une heure. Elle m’appelle dès son réveil. Je m’agenouille près d’elle et je lui caresse doucement sa petite fente imberbe en lui disant « Ma petite femme a bien dormi ? »

Pour toute réponse, ma jeune amante se contente de me serrer amoureusement dans ses bras. Je lui couvre le visage et le cou de petits baisers. Elle glousse de plaisir !

Je la prends dans mes bras et je l’emporte pour déjeuner.

Après le repas, j’emmène Noémie dans la chambre. Je la lance sur le lit, la gamine retombe mollement avec les jambes grandes ouvertes.

Je plonge tète première entre ses jambes, je lui lèche directement sa petite chatte. Ma langue s’insinue dans son sillon vulvaire. Elle parcoure toute sa petite fente.

Noémie se met à rire, elle trouve que ça la chatouille.

Après quelques minutes, la gamine commence à pousser des petits râles de plaisir.

Maintenant son minuscule clitoris pointe fièrement pour mon plus grand plaisir. Je l’aspire entre mes lèvres, ma langue le titille en même temps. La gamine pousse de grands soupirs à chaque fois que je passe la langue sur son clitoris. J’entre mon doigt dans son petit vagin, c’est le déclencheur de sa jouissance. Elle se met à gémir, à geindre pour finir dans une apothéose de petits cris stridents tandis que mon doigt entre et sort de son jeune vagin. Ma langue lui lèche tour à tour son clitoris et l’entrée de son petit minou quand mon doigt s’en échappe.

La gamine est vraiment très douée pour les jeux de l’amour ! Elle jouit pendant presque trois minutes d’affilée, je ne connais pas beaucoup de femmes capables d’en faire autant. Noémie s’endort d’épuisement. Je la regarde sourire dans son sommeil, je la couvre d’un léger drap de lit.

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Les heures passent, ma petite maîtresse se réveille. Elle vient me rejoindre sur le sofa. Après quelques câlins, je lui donne un bain bien mérité. Malgré mes soixante-sept ans, nous jouons sous la douche comme des enfants.

Il est vingt-et-une heure quarante-cinq quand sa mère vient la rechercher. Elle me remercie pour la prise en charge de sa fille.

Le lendemain, vers midi trente-cinq, Noémie arrive chez-moi.

Mes mains glissent sous sa robe et lui caressent le dos et les épaules. Nos lèvres se rapprochent et un tendre baiser est échangé.

Je mets Noémie debout sur une chaise et je la mets nue. Je sors ma bite bandante de mon training et je la place tout contre sa petite fente. Je suis obligé de plier les genoux pour mettre ma queue dans l’entrée de son jeune vagin.

Je sens l’entrée de sa petite chatte toute chaude sur mon gland. La gamine me tient par le cou. J’aide ma queue à entrer dans son petit minou encore sec.

La gamine grimace un peu quand j’entre mon gland.

Je le ressors et je l’entre à nouveau plusieurs fois de suite. Sa chatte commence à mouiller et ma pénétration se fait plus aisée.

La gamine est prise en force. Mes mains sont sur ses hanches, je lui donne de grands coups de bite dans son petit ventre. Noémie manque de tomber plusieurs fois de la chaise sous mes assauts tant et si bien que je la retourne, elle s’agrippe au dossier de la chaise et se penche légèrement.

Je la reprends directement toujours en la tenant par les hanches. Je la tire de plus en plus fort vers mon ventre. Je vois ma bite entrer et sortir de sa petite chatte dégoulinante de plaisir. J’arrive à entrer presque huit centimètres dans son vagin. À chaque fois je cogne contre son petit utérus.

Noémie se pâme de plaisir. J’essaie de rentrer le plus loin possible dans son ventre. Quand ma bite est au fond, je la tire vers moi avec insistance tout en bougeant ses hanches. Elle pousse un petit gémissement de douleur à chaque fois. Mon gland est écrasé contre le fond de son petit vagin. Je reste sans bouger, ma queue appuyant un maximum sur son utérus. Je refais bouger ses hanches. Très lentement, je sens l’ouverture de son utérus céder sous la pression de ma bite. La gamine a les mains crispées sur le dossier de la chaise. Je continue à maintenir la pression de ma bite sur son utérus qui finit par s’entrouvrir de plus en plus.

Dès que l’ouverture est suffisante mon gland se glisse à l’intérieur. Noémie pousse un cri de douleur. J’en profite pour le pousser complètement dans son utérus. La gamine pleure à chaudes larmes. Ma bite est entrée d’un centimètre de plus dans son petit ventre !

J’estime que son utérus doit mesurer plus ou moins trois centimètres de long.

Aussi je continue à le tirer vers moi tout en la faisant onduler du bassin. La partie charnue de mon pieu est contre l’entrée de son utérus, j’accentue la pression de mon pieu en continuant de tirer son petit cul vers moi. Son utérus s’ouvre d’avantage et ma hampe entre d’un coup tout au fond de son giron.

La gamine se laisse aller sur la chaise comme une poupée de chiffon. Je n’ai que le temps de la rattraper. Elle est inconsciente ! La douleur a eu raison d’elle.

Tout en la tenant contre moi, je l’emporte sur le lit. Je me couche sur le dos avec ma longue queue toujours bien au fond de son petit ventre. Je fais tourner Noémie sur ma bite, elle est face à moi. Je la relève doucement en le tenant sous les bras. Je suis toujours au fond de son petit utérus. Je la laisse

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descendre encore un peu sur ma bite. La gamine a maintenant douze centimètres de ma queue en elle !

Très lentement elle revient à elle. Elle me regarde en me demandant pourquoi elle a eu si mal. Je lui réponds que c’est normal je suis entré tout au fond de son ventre, que je ne saurai pas entrer plus loin et que maintenant elle est une vraie petite femme.

Je la laisse se coucher sur moi. Ma bite est toujours bien au chaud tout au fond de son petit corps.

Très doucement pour ne pas réveiller la douleur, je lui donne des tous petits coups de bite.

La gamine pousse des petits bruits de gorge. Je la sens se laisser aller sur moi, tous ses muscles se relâchent. Ma petite maîtresse me donne des petits baisers sur mon torse. Elle se met à suçoter mes tétons, c’est divin comme sensation.

Je commence à sortir très lentement ma bite de son utérus tout en laissant mon gland à l’intérieur. La gamine continue à me sucer les tétons. J’entre à nouveau le début de ma hampe au plus profond de son ventre. Je sens la bague de son utérus s’ouvrir et laisser ma bite entrer plus facilement.

Noémie émet juste un petit soupir. Je continue mon manège plusieurs fois de suite. La gamine me suce le bout d’un téton avec force.

Ma bite entre maintenant très facilement dans son petit utérus. Sans hésiter, je sors complètement ma queue de sa petite chatte pour la rentrer aussitôt d’un coup. Ma petite maîtresse pousse un petit cri de plaisir quand mon gland vient cogner le fond de son utérus.

Mes mains sont posées sur sa taille et l’empêche de remonter sur mon ventre quand j’entre ma bite au fond de son petit vagin.

La gamine se met à jouir. Son jus coule sur mon ventre. Ses gestes sont désordonnés, elle pousse des grands soupirs et termine dans des grands « Oui encore ! ».

J’accélère ma pénétration, ma petite maîtresse se pâme littéralement sous sa jouissance. Je lui donne la fessée en même temps. Noémie pleure de joie pendant sa jouissance. Je lui envoie ma semence tout au fond de son petit ventre.

Nous restons comme ça, l’un sur l’autre un bon quart d’heure pour reprendre nos esprits. Je lui caresse le dos et les fesses tout en lui disant des petits mots doux.

Après une douche bien méritée, nous nous installons dans le sofa.

Noémie est sur mes jambes, face à moi. Ma bite est contre son ventre. Elle me demande « tu l’as fait rentrer complètement dans mon ventre ? » Je pose ma main sur ma queue et je lui montre la taille de ma pénétration. Soit plus ou moins douze centimètres. La gamine pose ma bite sur son ventre et voit que je suis entré très loin en elle. Elle me demande si par le cul je saurais entrer ma bite complètement ? Je lui réponds que ne n’en sait rien, je n’ai jamais essayé.

Noémie me propose d’essayer. Je lui dis « demain, c’est promis ».

Le reste de la journée se passe à la câliner et à jouer avec elle. A la moindre occasion, mes mains voyagent sous sa jupe pour lui sentir ses fesses ou sa petite chatte. Noémie adore mes gestes indécents. Elle se sent être une vraie femme entre mes mains.

Le lendemain matin je trouve une poire à lavement sur un vide grenier. J’achète de la vaseline chez le pharmacien. Tout est prêt quand ma petite maîtresse arrive à midi trente.

Après un léger repas, je lui montre la poire et je lui explique la marche à suivre.

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Ma petite amie me fait un strip-tease en règle. Ensuite elle vient se camper devant moi en me tournant le dos. Elle se penche en avant les jambes tendues et le dit d’un ton autoritaire « Alors j’attends ! »

Je lui caresse son petit cul, j’entre le fin bout de la poire dans son petit anus et je lui injecte tout le contenu dans son intestin. La gamine sert les fesses et après cinq minutes elle court aux toilettes se soulager. Je recommence l’opération plusieurs fois. Noémie garde le mélange près de dix minutes dans son ventre avant d’aller se soulager.

Dès son retour et sans aucun mot, ma petite amante met ma bite dans sa bouche et me suce. Ma queue prend vie dans sa bouche. Après quelques minutes de succions, je prends Noémie dans mes bras. Je la fais mettre à quatre pattes sur la table de salon. J’enduis ma bite et l’entrée de son cul de gel lubrifiant. Comme j’ai une queue très fine, je présente directement mon gland sur son anus. Je tiens ma bite en main.

Je pousse mon gland contre son petit trou. Je le guide sur sa rosette. Il entre doucement dans son petit cul. Noémie me dit « continue, ça ne fait pas mal. »

La partie dure de mon pieu est à présent contre son anus. Je pousse encore un peu, son anus s’ouvre, ma hampe commence à entrer. La gamine pousse un petit grognement de douleur.

Je vois ma bite entrer dans son petit cul. Elle entre facilement grâce à la glycérine du lavement et au gel lubrifiant sur ma queue.

Je suis entré de quelques centimètres, son colon emprisonne ma bite. Je la prends par les hanches. Je la tire doucement vers moi. Ma bite entre de plus en plus loin dans son petit cul. Ma petite femme émet des petits « Oui ! » au fur et à mesure de ma pénétration. Je sens mon gland passer outre son anus. J’entre dans son rectum. Je ne suis enfoncé que de cinq centimètres dans son petit cul.

Je continue à la tirer doucement sur ma bite. Son petit cul se rapproche inexorablement de mon ventre. J’entre très doucement pour ne pas la blesser. Ma jeune partenaire continue à pousser des petits « Oui ! » approbateurs.

Je sens ma bite se frayer un chemin dans son rectum. Je continue ma progression dans son petit cul. Ma petite voisine bouge son petit popotin pour faciliter sa sodomie.

Ma bite est entrée aux trois-quarts. Je continue à la tirer vers moi. Son intestin bouge et se laisse envahir par ma longue queue.

Il ne reste que quelques centimètres à entrer dans la gamine. Je donne un petit coup de rein en la tirant vers moi, le reste de ma queue entre directement dans son petit cul.

Noémie pousse alors un cri de douleur. Elle m’insulte de tous les noms qu’elle connaît.

J’ai ses petites fesses plaquées contre mon ventre et mes couilles sont collées sur sa petite chatte. Je ne croyais pas ça possible, j’ai entré mes vingt centimètres dans son petit cul de neuf ans !

Je reste sans bouger quelques instants, ensuite je la tire le plus fort possible conte moi tout en serrant les fesses pour faire grossir ma bite au maximum. La gamine sent bien toute ma bite dans son derrière. Elle se trémousse des fesses. Je commence à ressortir doucement de quelques centimètres pour entrer à nouveau en la plaquant contre moi.

Ma jeune maîtresse aime sentir ma queue dans son petit cul de gamine. Elle respire de plus fort et de plus rapidement à chacune de mes entrées.

Je sors ma bite de plus en plus de son petit cul, je la regarde entrer et sortir d’entre ses fesses, maintenant je la sors complètement, son anus reste grand ouvert et attend que j’entre à nouveau mettre ma bite au chaud au fond de son intestin.

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Noémie joue avec son clitoris en même temps que je la sodomise à grands coups de bite. La gamine se met à jouir tandis que je l’encule à toute vitesse.

Je jouis en même temps qu’elle. J’inonde son intestin de six grands jets de sperme bien chaud. Je la tire violemment à chaque fois sur mon ventre quand j’éjacule. Ma petite femme pousse des cris stridents de jouissance.

Épuisée, elle se laisse aller sur la table basse du salon. Ma bite devenue molle glisse hors de son fourreau culier. Je prends Noémie dans mes bras et je l’embrasse amoureusement.

Ma petite voisine me sert très fort contre elle. Après une toilette très intime, la gamine m’avoue que ma bite dans son cul lui a semblée meilleure que dans sa chatte, et qu’elle a envie de recommencer. Je lui promets de recommencer son enculage un peu plus tard.

Il est trois heures de l’après-midi et sa mère vient la chercher vers vingt-deux heures, ça me donne le temps de reprendre des forces pour la sodomiser une seconde fois.

J’enfile un short de basket et Noémie remet sa robe. Elle reste nue sous sa robe légère.

Je décide d’offrir un petit cadeau à ma petite femme enfant. Je l’emmène faire les boutiques.

C’est sans culotte que Noémie fait ses achats avec moi.

Je suis avec elle dans la cabine d’essayage, je ne peux m’empêcher de lui sentir sa petite chatte.

Je lui offre une nouvelle jupe très courte et tee-shirt avec un Mickey imprimé dessus. Elle adore mes achats.

Rentrés à l’appartement, je m’installe dans le sofa. Elle vient face à moi sur mes jambes.

La gamine sort ma queue de mon short et la fourre entre ses cuisses. Elle me dit « tu m’encules, s’il te plaît ? »

Je ne peux résister à sa demande et à la chaleur de son bas ventre contre ma bite qui se met à bander tout aussi vite.

J’attrape le tube de gel et je lui en mets sur sa rondelle et sur ma bite. J’entre tout doucement dans son anus bien serré. Noémie se blottit tout contre moi. Elle avance d’elle-même son petit cul sur la bite. Elle se laisse descendre sur ma queue.

Je regarde son visage souriant. Ses boyaux glissent sur ma bite et l’enserrent. La gamine a ses fesses tout contre mes couilles. Elle a toute ma bite dans son petit cul. Elle monte et descend sur toute la longueur de mon pieu. Je la tiens par la taille. Je freine ses ardeurs. Je la maintiens assise sur ma bite, son rectum me masse la queue. Sans bouger la gamine me donne du plaisir.

Je la fais aller et venir très lentement. Elle se pâme, ma bite entre tout au fond de son intestin. Elle passe ses bras autour de mon cou, elle m’embrasse goulûment, nos langues se mélangent.

Son petit cul va et vient sur mes jambes, mon pieu entre tout au fond de la gamine, elle bave de plaisir. Elle enfile ma bite à toute vitesse dans son fondement. Je me lève tout en la tenant par les fesses. Je la prends debout. La gamine jouit de plus belle. Sa petite chatte laisse couler tout son nectar sur ma bite.

Je repose ma complice sur la table. Elle ouvre ses jambes au maximum. Je la tiens par les épaules. Je vois ma tige entrer et sortir de son anus. Je la retire complètement et j’entre très lentement. Elle referme ses fesses sur ma queue dès qu’elle entre en hurlant de plaisir.

Je sens ma jouissance arriver. Je lui donne des grands coups de reins. Elle jouit en même temps que moi.

Nous restons tous les deux de longues minutes sans bouger. Seuls les soubresauts de ma bite lui donnent encore un semblant de vie dans son petit cul bien endolori.

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Je la recouvre de mon corps. Nous nous embrassons très longtemps.

Ma bite quitte à regret son petit cul si accueillant. Tout doucement je me relève et j’emporte ma maîtresse prendre un bain bien mérité.

La mère de Noémie revient la chercher vers vingt-et-une heure trente. La gamine dort sur le sofa. Je la prends dans mes bras. Je la dépose sur son lit. Après quelques paroles échangées je repars chez moi.

La charmante petite voisine dort jusqu’à midi.

Elle accourt chez moi peu de temps après son réveil. Je lui dis que je dois m’absenter quelques jours. Je la rassure en lui expliquant que je serai de retour vendredi soir. Après quelques bouderies, Noémie me saute au cou et loin des regards indiscrets, elle m’embrasse amoureusement.

***

Je suis sur la route, j’ai hâte d’être vendredi soir et de me retrouver avec ma petite voisine.

FIN