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1 Le Book de Kamila Kamila avait 14 ans. Jeune adolescente, ses hormones étaient en ébullitions. Tous les garçons lui plaisaient. Elle se masturbait régulièrement en pensant à l’un, à l’autre... elle avait envie de sexe, bien qu’elle n’y connaisse rien. Elle connaissait la théorie, mais elle n’avait jamais fait de pratique. Souvent, son sexe était brûlant de désir, sa poitrine gonflait. – Rrrooooh j’aimerais bien me faire prendre comme il faut ! – pensait-elle. Elle ne réalisait pas l’intensité de ses propos. Elle y pensait souvent. Un beau garçon qui viendrait dans son lit, lui écartant les cuisses, s’empalant brusquement en elle... elle aimait y penser. Mais elle n’avait encore jamais embrassé un garçon, alors pour aller plus loin, elle avait du temps, et du chemin... On était en plein juillet, c’était les vacances. Avec le soleil, la chaleur, c’était encore pire. Elle s’imaginait acheter un gode puissant et se matraquer la chatte avec. Mais ça ne s’arrêtait qu’à son imagination. Dès qu’un garçon croisait son regard, elle baissait la tête en rougissant. « Ce n’est pas gagné », avait-elle pensé. Ce jour-là, elle avait envolé sa petite robe fétiche, une robe légère pour l’été, qui se déboutonne par devant de haut en bas. Elle avait mis sa culotte-boxer, elle se sentait bien là-dedans. Elle ne portait pas de soutien-gorge, sa poitrine étant naissante, elle n’en mettait pas à chaque fois, surtout pas quand il faisait très chaud. Kamila s’admirait devant son miroir. D’origine maghrébine, elle pouvait passer pour une belle italienne. Elle était grande pour son âge, les cheveux aux épaules, châtains qui éclaircissaient avec le soleil. Elle était plutôt mince, et elle espérait rester mince encore longtemps. Comme toutes les filles de son âge, la mode était son principal intérêt. Quelques semaines avant, sa mère l’avait mise en contact avec un photographe de mode. Kamila voulait un book et cet homme allait pouvoir le faire. Bien sûr, ses parents allaient payer, mais au moins, elle aurait une avance sur ses copines, elle aurait un « book ». Elle s’imaginait déjà sur les podiums, dans les magazines de mode... un rêve de jeune ado rêveuse. Elle avait rendez-vous avec lui, chez lui. Elle connaissait l’adresse, il habitait à 5 kilomètres, deux arrêts de bus et elle y était. Elle connaissait son nom, Daniel. Elle sonna. – Ah Kamila ! Bonjour ! Entre !! Kamila était rentrée, balayant l’endroit du regard. Une jolie maison, une belle décoration design. Elle s’était assise sur le canapé, aux côtés de Daniel. C’était un grand brun, bronzé, il faisait certainement beaucoup de séances d’UV, il avait de grands yeux verts. Kamila le trouvait beau, un peu vieux, mais beau. Il savait la mettre à l’aise. – Donc tu aimerais avoir un book, comme les mannequins ? – Oui... ce serait bien. J’aime la mode, j’aimerais faire ça pour des magazines, être en première page... – Tu es jolie, y a moyen, oui... faut persévérer. Par contre, faut pas t’arrêter à la première agence. – Je sais, oui. – Écoute... je te propose de venir voir mon studio, à l’arrière de la maison. Kamila le suivait. En passant par la terrasse, elle était entrée dans une pièce, style studio. Tout le matériel d’un photographe professionnel était là. La pièce était toute en blanc, fortement éclairée. Au milieu de la pièce, devant un mur blanc, un pied d’appareil photo, des spots sur les côtés. Deux réflecteurs photo de chaque côté du mur blanc, un argenté, l’autre doré. Dans un coin du studio, derrière un mur, se trouvait un canapé, une table basse, plus dans l’obscurité. C’est là que c’était

Le Book de Kamila

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Kamila, jeune et jolie adolescente, subit les assauts vicieux d'un photographe.

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Le Book de Kamila

Kamila avait 14 ans. Jeune adolescente, ses hormones étaient en ébullitions. Tous les garçons lui plaisaient. Elle se masturbait régulièrement en pensant à l’un, à l’autre... elle avait envie de sexe, bien qu’elle n’y connaisse rien. Elle connaissait la théorie, mais elle n’avait jamais fait de pratique. Souvent, son sexe était brûlant de désir, sa poitrine gonflait.

– Rrrooooh j’aimerais bien me faire prendre comme il faut ! – pensait-elle.

Elle ne réalisait pas l’intensité de ses propos. Elle y pensait souvent. Un beau garçon qui viendrait dans son lit, lui écartant les cuisses, s’empalant brusquement en elle... elle aimait y penser. Mais elle n’avait encore jamais embrassé un garçon, alors pour aller plus loin, elle avait du temps, et du chemin...

On était en plein juillet, c’était les vacances. Avec le soleil, la chaleur, c’était encore pire. Elle s’imaginait acheter un gode puissant et se matraquer la chatte avec. Mais ça ne s’arrêtait qu’à son imagination. Dès qu’un garçon croisait son regard, elle baissait la tête en rougissant. « Ce n’est pas gagné », avait-elle pensé.

Ce jour-là, elle avait envolé sa petite robe fétiche, une robe légère pour l’été, qui se déboutonne par devant de haut en bas. Elle avait mis sa culotte-boxer, elle se sentait bien là-dedans. Elle ne portait pas de soutien-gorge, sa poitrine étant naissante, elle n’en mettait pas à chaque fois, surtout pas quand il faisait très chaud. Kamila s’admirait devant son miroir. D’origine maghrébine, elle pouvait passer pour une belle italienne. Elle était grande pour son âge, les cheveux aux épaules, châtains qui éclaircissaient avec le soleil. Elle était plutôt mince, et elle espérait rester mince encore longtemps.

Comme toutes les filles de son âge, la mode était son principal intérêt. Quelques semaines avant, sa mère l’avait mise en contact avec un photographe de mode. Kamila voulait un book et cet homme allait pouvoir le faire. Bien sûr, ses parents allaient payer, mais au moins, elle aurait une avance sur ses copines, elle aurait un « book ». Elle s’imaginait déjà sur les podiums, dans les magazines de mode... un rêve de jeune ado rêveuse.

Elle avait rendez-vous avec lui, chez lui. Elle connaissait l’adresse, il habitait à 5 kilomètres, deux arrêts de bus et elle y était. Elle connaissait son nom, Daniel. Elle sonna.

– Ah Kamila ! Bonjour ! Entre !!

Kamila était rentrée, balayant l’endroit du regard. Une jolie maison, une belle décoration design. Elle s’était assise sur le canapé, aux côtés de Daniel. C’était un grand brun, bronzé, il faisait certainement beaucoup de séances d’UV, il avait de grands yeux verts. Kamila le trouvait beau, un peu vieux, mais beau. Il savait la mettre à l’aise.

– Donc tu aimerais avoir un book, comme les mannequins ?

– Oui... ce serait bien. J’aime la mode, j’aimerais faire ça pour des magazines, être en première page...

– Tu es jolie, y a moyen, oui... faut persévérer. Par contre, faut pas t’arrêter à la première agence.

– Je sais, oui.

– Écoute... je te propose de venir voir mon studio, à l’arrière de la maison.

Kamila le suivait. En passant par la terrasse, elle était entrée dans une pièce, style studio. Tout le matériel d’un photographe professionnel était là. La pièce était toute en blanc, fortement éclairée. Au milieu de la pièce, devant un mur blanc, un pied d’appareil photo, des spots sur les côtés. Deux réflecteurs photo de chaque côté du mur blanc, un argenté, l’autre doré. Dans un coin du studio, derrière un mur, se trouvait un canapé, une table basse, plus dans l’obscurité. C’est là que c’était

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installé Daniel pour montrer les photos qu’il faisait sur son ordinateur portable. Kamila aimait son travail.

– Alors, ça te dit de faire des photos pour moi ?

– Oui ! bien sûr...

Il continuait de lui montrer les photos qu’il prenait. Soudain, en cliquant sur un dossier, quelques photos de filles dénudées sont apparues. Daniel s’était empressé de refermé le dossier. Il ne paraissait pas gêné, mais avait voulu s’expliquer devant la jeune adolescente.

– Oh tu sais, je fais aussi des photos plus « hot »... ça arrive. C’est bien payé pour les filles qui se laissent prendre nues en photo, moi ça me rapporte bien aussi.

– D’ac... d’accord...

Kamila paraissait intriguée.

– Tu veux en voir quelques-unes ? Tu as quatorze ans ? Tu sais déjà ce que c’est, je pense.

Kamila n’avait pas osé refuser. Daniel avait lancé son dossier. On pouvait y voir des jeunes filles nues, impossible de leur donner un âge. Leurs positions étaient plus qu’explicites. Mais les photos étaient faites parfaitement et très jolies, sans défaut sur l’image. Plus loin, d’autres photos où on ne voyait pas le visage, cette fois. Les parties intimes étaient prises en gros plan. Kamila voyait des seins – certains gros, d’autres petits – des sexes rasés, des fesses, et parfois même les détails très crus, comme les petites lèvres et l’anus.

– On... on ne voit pas la tête...

– Non, certaines ne veulent pas. Alors je fais des photos qui sont plus dans l’art...

Encore plus loin, des photos à deux, un homme, une femme, des pénétrations, des sodomies, des fellations, souvent le visage caché, les yeux coupés sur la photo... Kamila n’osait plus regarder. Non pas que ça la gênait, mais elle se sentait excitée, et elle ne voulait pas le montrer devant Daniel.

– Excuse-moi, je dois te choquer ! Mais tu sais, ce genre de photos, ça rapporte bien, autant qu’à moi qu’au modèle.

Daniel était revenu aux photos de mode « normales ». Mais Kamila regardait sans regarder. Elle repensait à ce qu’elle avait vu.

– Tu sais, tu es vraiment jolie, tu as un corps parfait, je trouve. Tu veux te mettre devant moi, que je regarde ?

Kamila s’était levée sans poser de question, pour se mettre debout devant Daniel. Il la regardait sans dire un mot, de la tête aux pieds. Kamila lui souriait pour ne pas faire la potiche.

– C’est bien, viens, assieds-toi. Je confirme, tu pourrais faire la une des magazines.

– Merci.

Daniel avait posé son ordinateur sur la table basse et directement, avait dirigé sa main vers les boutons de la robe de Kamila, pour en défaire un puis deux, les premiers en partant du dessus, rapidement. Kamila n’eut même pas le temps de reculer. Un peu tétanisée, elle l’avait laissé faire. Les boutons étant peu espacés, il en avait défait un troisième. On pouvait voir le début de la poitrine de la jeune fille.

– Tu as une belle couleur de peau. Pas trop claire, ni bronzée... avec la lumière blanche et les réflecteurs, ça irait parfaitement.

Kamila était gênée, mais se refusait de se lever et de lui demander d’arrêter. C’était peut-être le professionnel de la photo qui parlait.

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Daniel s’est levé pour aller chercher son appareil photo, un Pentax avec un objectif de taille raisonnable. Il s’était rassis, et voyant que Kamila ne bougeait pas, avait pris une photo de son décolleté. Il lui tendit l’appareil pour lui montrer.

– Regarde, on ne voit pas ton visage, ne t’inquiète pas. Mais tu vois, sur la photo, tu as une peau superbe. Ça rend super bien.

Kamila trouvait en effet que la photo était jolie. Il était bon photographe. En posant son appareil, Daniel s’est penché sur la jeune fille et avait déposé ses lèvres sur les siennes. Kamila n’avait jamais embrassé un garçon, et là, y en avait un qui s’était penché pour le faire. Mais surprise, elle s’était enfouie dans le fond du canapé. Daniel l’avait suivie de près pour l’embrasser à nouveau, glissant sa langue dans sa bouche. Il collait son torse contre celui de la jeune adolescente.

Kamila se laissait embrasser, elle trouvait ça agréable, mais se rendait compte de la situation. C’était un homme d’une quarantaine d’années, elle ne devait pas le laisser faire, c’était tout simplement un viol, mais elle se rendait compte que rien que la pensée de partir ne la convainquait pas. Daniel l’embrassait, tout simplement, il roulait sa langue avec la sienne. Puis, défaisant encore un bouton, puis un autre, il avait glissé sa main ans la robe et caressait les petits seins de Kamila. Elle respirait plus vite. Elle se disait, au fond d’elle, « non, non ! » mais ne bougeait pas pour se défaire de son violeur.

Daniel s’était arrêté, et pas gêné pour un sous, la regardait en souriant. Il posait sa main sur son genou, il le caressait. Kamila était tétanisée, mais quelque chose bouillonnait en elle. Elle ne pouvait pas bouger. Son cerveau lui disait de se lever et de partir, mais son corps lui disait de rester.

Puis, il s’était de nouveau penché pour l’embrasser, touchant ses seins. Cette fois, elle essayait de se dégager, mais Daniel s’appuyait sur elle. Elle ne pouvait pas sortir de là. Et elle se rendait compte que la situation l’excitait. Elle qui pensait tout le temps à ça...

Daniel caressait ses seins, et laissant tomber un côté de la robe sur le bras de la jeune fille, il vit un téton... qu’il s’est mis à lécher directement. Kamila n’osait pas gémir, mais elle en avait envie. C’était si soudain ! Une langue sur son sein ! C’était si bon ! La bouche de Daniel l’excitait. Elle voulait lutter, mais elle commençait à mouiller.

Voyant l’ouverture, Daniel avait enlevé tous les boutons de la robe de Kamila, et l’avait enlevée. Elle était là, sur le canapé, en petite culotte, devant un homme qu’elle avait vu trois fois. Un homme d’expérience. Ça lui faisait peur et d’un coup, elle s’est mise à piquer un fard. Daniel caressait son ventre. Kamila était électrisée. Il venait d’enlever son t-shirt. Kamila regardait son torse velu, bronzé... elle qui rêvait de garçons de son âge, encore imberbes pour la plupart, elle se retrouvait avec un homme bien musclé, avec des poils sur le torse.

– Mmmh Kamila, tu es excitante... tu le sais, ça ?

Il s’était levé pour déboutonner lentement son pantalon, comme s’il attendait une réaction de Kamila. Elle ne bougeait pas, regardant simplement Daniel baisser son pantalon et le jeter plus loin. Il portait un très beau boxer qui lui collait au corps. Elle pouvait voir le paquet qu’il contenait, des formes généreuses. Elle commençait à avoir peur, tout allait si vite.

– Je... je ne sais pas si... je... je dois peut-être rentrer...

– Mais non, reste... Tu me plais beaucoup... Regarde, comme tu me plais !

Il lui montrait son caleçon et la bosse qui s’y formait. Kamila comprenait très bien ce qu’il se passait là-dedans.

– Tu ne vas pas me laisser dans cet état, hein...

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Daniel, prenant Kamila par les hanches, l’avait basculée sur le canapé pour qu’elle s’allonge, et lui enleva sa petite culotte. Elle essayait de l’en empêcher, gémissante et honteuse, mais Daniel lui avait pris la main... « Chuuuuut, laisse-toi faire, ma jolie, ne bouge pas. »

Une fois la culotte enlevée, il lui avait écarté les cuisses. Il lui caressait le sexe. Kamila mouillait.

– Oooh je vois que tu es trempée ! Tu es excitée... j’aime ça, ma jolie... Tu m’excites beaucoup, là...

Kamila avait honte d’être excitée ainsi. Daniel s’était mis à lécher son jeune sexe, à le titiller de la pointe de la langue. La sensation fut fulgurante, Kamila s’était mise à crier par surprise, à gémir ensuite. Qu’est-ce qu’elle aimait ça ! Elle s’imaginait se faire prendre, comme elle l’imaginait souvent. Elle voulait sa grosse queue, à présent. Elle voulait être prise, violée.

– Oh tu aimes ça, ma coquine ! Tu as une bonne chatte bien odorante… Mmmh délicieux ! Tu aimes, hein ?

– Oui ! oui ! oui ! Oh oui, j’aime !

C’était tout ce qu’elle pouvait dire. Daniel continuait de la lécher doucement. Il jouait aussi avec ses doigts, écartant les lèvres, glissant sa langue, titillant le clitoris. Kamila se cambrait de plaisir. Et elle ne put retenir cette phrase : « Oh oui prends-moi ! ». Une fois dite, elle fut ensevelie par la honte, mais c’était trop tard ! Elle l’avait tellement dite toute seule dans sa chambre en se masturbant, s’imaginant un jeune garçon venir la déflorer.

– Une chose à la fois, chérie, t’inquiètes pas, je vais te prendre bien comme il faut, mais sois patiente...

Daniel enfonçait un doigt, découvrant le vagin étroit de Kamila. Touchant l’hymen, elle s’était mise à crier.

– Oh ! Tu es vierge et excitée ! C’est vraiment très bon, ça ...... j’ai hâte de te déflorer !

Alors qu’il la léchait, il lui malaxait les seins. Il suçait ses lèvres. Kamila se cambrait de plaisir.

Tout en jouant avec son vagin avec ses doigts, il tendit le bras pour prendre son appareil photo et en profiter pour faire une rafale de photos du vagin mouillé. Après l’avoir posé, il redresse la jeune fille pour la basculer, la mettre face au dossier, les bras en appui dessus, lui écartant les jambes, les reins tendus.

– Mmmh comme tu es excitante, comme ça !!

Daniel caressait le dos de Kamila, les seins, les fesses, le vagin. Il continuait de prendre des rafales de photos. Il lui écarta les lèvres de la chatte serrée, caressant le clito.

– Rien de plus beau qu’une chatte trempée... Toi, tu mouilles bien...

Kamila ne se rendait plus compte de la situation, tellement les doigts de Daniel arrivaient à l’exciter. Elle était à genoux, elle offrait son sexe à cet homme qui la violait, qui la prenait en photo. Parfois elle resserrait les jambes par pudeur, mais Daniel les écartait aussitôt.

– Reste comme ça, j’aime voir ton petit cul serré entrouvert !

Les mots de Daniel faisaient frémir Kamila. Elle n’avait jamais pensé que ce genre de mots allait l’exciter. Elle n’avait pas remarqué que Daniel avait enlevé son boxer. Sa queue pointait vers elle. Le fauteuil ne touchant pas le mur, Daniel passa derrière, pour lui présenter son gourdin. Kamila n’avait jamais vu ça en vrai. Cette grosse queue l’impressionnait. Un bon vingt centimètres pour sept de diamètres, un monstre, à ses yeux. Une largeur impressionnante. Elle ne savait pas quoi faire avec ça devant elle.

– SUCE !!

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L’ordre de Daniel était plus que direct. Kamila avait maintes fois imaginé sucer une queue, mais pas de cette manière-là. Elle s’était imaginée faire ça en une fois, prenant tout, mais voyant la taille de l’engin, elle se demanda si c’était possible.

– Allez, suce !

Kamila avait ouvert sa bouche, posant sa langue sur le gland, jouant avec, comme elle l’avait vu sur des vidéos pornos sur internet. Elle s’était mise à sucer comme si elle avait un cornet de glace, centimètre par centimètre. Daniel regardait sans broncher.

Kamila était maladroite, elle suçait pour la première fois. Sa tête s’avançait et reculait comme une débutante. Puis, Daniel, la main posée sur sa tête, la tira vers lui, tout en enfonçant sa queue. Les yeux exorbités, elle senti la queue s’enfoncer directement, passant la luette, pour s’engouffrer dans sa gorge. Elle s’était mise à suffoquer, voulant repousser Daniel, le nez coulant, alors qu’elle était doucement en train de vomir. Elle recrachait avec un arbre dans la bouche. Daniel s’était mis à entrer et sortir de sa bouche sans la ménager.

– C’est ce que tu voulais hein ! Je le vois, tu aimes ça !! Mmmmh moi aussi ! J’adore ça !

Deux minutes, c’était long pour Kamila. C’était le temps qu’avait pris Daniel pour martyriser sa bouche. Puis s’était arrêté, refaisant le tour, pour passer derrière Kamila, qui toussotait et recrachait. Mais quelle horreur, avait-elle pensé ! Il avait violé sa bouche ! Une « gorge profonde » ! Oui, elle connaissait les termes !

Daniel caressait de nouveau sa chatte. Il s’y prenait tellement bien que Kamila se laissait aller. Puis, il attrapa ses petites cuisses et ses fesses pour les écarter et dévorer sa chatte. « Aaaaah, oui ! » Kamila n’avait pas pu se retenir. Elle aimait qu’on la lèche.

Daniel léchait et la caressait, Kamila s’était remise à mouiller.

Il la doigtait, sans forcer l’hymen. Kamila avait déjà mis ses doigts en se masturbant, mais là, les doigts d’un homme imposant, ça l’excitait. Il la léchait de plus en plus fort.

– Mmmh regarde comme tu aimes ça ! Je bande comme un cheval !

Daniel jouait de plus en plus avec son clito, ses lèvres, donnant quelques coups de langue, Kamila sentait le plaisir monter, monter, elle avait envie de crier, elle se crispait, se cambrait... puis s’était lâchée en criant ...... Aaaaaah ... et en relevant ses fesses... elle jouissait...

Daniel la laissa s’affaler sur le canapé. Elle avait vécu son premier orgasme. Daniel, au-dessus d’elle, la regardait.

– Je bande, j’en n’ai pas fini avec toi ! Tu vas prendre...

« J’aimerais me faire prendre »... c’était les mots que Kamila se disait souvent ces derniers temps. Elle n’eut pas le temps de reprendre son souffle que Daniel lui écarta les jambes pour se mettre entre elles. La queue raide, ses sept centimètres de diamètres se sont empalé dans la chatte trempée de la jeune fille, déchirant l’hymen, la faisant crier.

– Ah tu veux te faire prendre hein ! Tu veux ! Tu vas voir comment je vais te défoncer !

Kamila ressentait la grosse queue dilater son vagin profané, le gland cognant dans le fond. Il lui donnait des coups de boutoir qui la faisait crier. Elle criait, elle ne pouvait pas se taire. Daniel n’y allait pas en douceur. La tenant par les hanches, il agitait sa queue dans la chatte étroite.

– Ooooh j’aime quand c’est serré ! Oooooh oui ! Sale petite salope ! Regarde comment tu écartes !!

Kamila avait les cuisses grandes ouvertes pour soulager sa chatte. Les coups que donnait Daniel la faisaient suffoquer, ils lui faisaient mal, mais elle était à la fois excitée et curieuse.

– Han ! han ! han ! han !

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Daniel s’énervait en donnant des coups de rein. Il voulait la violer. Il voulait que ça fasse mal. Il voulait qu’elle le sente au plus profond d’elle. Il voulait qu’elle ne retire aucun plaisir de son premier rapport sexuel. Puis, il s’est retiré. Kamila n’était pas ignorante, elle voyait la queue toujours raide. Il n’avait pas fini, elle le savait. Sa chatte la brûlait douloureusement. Elle la voyait ouverte, béante, violentée, un filet de sang qui coulait. Il prit son bras pour qu’elle se redresse, et d’une virevolte, elle se retrouvait à plat ventre sur le canapé.

– Non, pas... pas comme ça... – fit-elle, apeurée.

– Ne dis rien, ma jolie ! Laisse-toi faire ! chuuuuut...

Daniel redressa un peu la jeune fille. La tête sur le canapé, elle avait le cul en buse. Elle avait honte de se montrer comme ça comme une vulgaire chienne en chaleur. Elle vit Daniel faire une rafale de photos, encore. Il photographiait son cul, sa chatte encore ouverte. Puis, s’empala à nouveau à l’intérieur. « AAaaaaah ! » C’étaient les mots de Kamila. Daniel y avait été d’un coup.

Il la baisait sauvagement, s’agrippant à ses hanches, la tirant vers lui pendant qu’il s’acharnait sur sa chatte. Kamila était ballottée dans tous les sens, bousculée. Ce n’était pas ce qu’elle imaginait. Elle suffoquait. Elle avait longtemps imaginé se faire prendre de la sorte, mais la sensation était différente de ses pensées. C’était douloureux, sa chatte la brûlait. En même temps, malgré le tourment, il y avait une pointe d’excitation. Elle mouillait encore.

– Ooooh salope ! Tu mouilles quand je te défonce !!

Daniel s’activait encore. Kamila gémissait à présent. Elle jappait comme une chienne. Tout en démolissant la jeune chatte étroite, Daniel crachait sur ses fesses. Kamila sentait ses doigts étaler la salive sur son anus. Là c’était trop !

– Non, non s’il vous plait ! Pas là !

– Chuuuut, tais-toi ! Laisse-toi faire !

Avec sa salive, il la pénétrait d’un doigt, massant l’intérieur de son rectum, tout en baisant sa chatte. Il avait ralenti la cadence, Kamila pouvait ressentir le doigt fouiller ses entrailles, violant la virginité de son orifice culier.

– Il n’attend que ça, ton cul !

Il jouait avec l’anus. Kamila se tortillait comme si ça allait le faire arrêter, mais ça l’excitait encore plus. Il crachait, l’inondait de sa salive. Puis, il retira sa queue, posant son gland à l’entrée de la rondelle. Par réflexe, Kamila s’était allongée, serrant les fesses. Daniel avait alors attrapé les trois coussins pour les glisser sous son ventre, son cul était à nouveau légèrement redressé.

– Ça ne sert à rien, je vais te la mettre ! Laisse-toi faire et ça ira tout seul ! Sinon tu vas t’en rappeler !

Kamila sentait qu’il était inutile de négocier. Elle se serait bien arrêtée là, elle aurait bien voulu rentrer. Mais Daniel ne l’aurait pas laissé partir. Alors elle restait là.

Une main sur son épaule, l’écrasant presque, Daniel entra son gland, aspiré rapidement. Il s’était mis à s’enfoncer, un peu plus à chaque fois, avec de petits aller-retour, et s’enfonçant plus profondément à chaque fois. L’anneau culier s’ouvrait. Kamila sentait ses fesses se déchirer, elle ne pût se retenir de crier, de japper. Elle avait l’impression que son cœur allait exploser. La largeur de la queue de Daniel ouvrait ses fesses, elle avait l’impression qu’elle allait s’évanouir. Par réflexe, elle serrait les fesses.

– T’es serrée, j’adore ça ! Un cul serré ! Je vais te l’exploser !

En soulevant Kamila par les hanches, celle-ci sentit une douleur traverser son corps. Daniel avait donné un grand coup de rein et l’avait enculée jusqu’à la garde. Elle avait hurlé de douleur. Elle pleurait, serrant encore plus les fesses.

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– Plus tu serres, plus t’as mal ! Relax ma belle !

Mais la queue de Daniel était trop grosse. Kamila avait la tête qui tournait. Des ondes de douleur montaient en elle. Il l’avait lâchée, presque couché sur elle, et il y allait de plus en plus fort, allant et venant dans son cul.

– J’aime les trous serrés !

Kamila ne l’entendait plus. Elle avait l’impression qu’à chaque moment, elle allait tomber dans les pommes, mais non. Elle subissait les assauts de Daniel, qui l’enculait violement comme un animal. Il criait de plaisir, il devenait fou, allant de plus en plus vite. Puis, Kamila le sentit se calmer. Il avait pris un rythme normal. Elle ne criait plus, sa tête n’allait plus exploser.

Daniel s’était écroulé sur elle, l’écrasant de tout son poids, pour jouir dans son petit cul déchiré. Elle sentit son sperme couler en elle, déborder de ses fesses.

Il s’était relevé. Elle le regardait essuyer sa queue avec un chiffon qui était posé sur un meuble. En regardant le cul violenté de Kamila, qui restait couchée, il lui dit : « Mmmmh ton cul reste ouvert ! Attends, je prends vite une photo ! »

Daniel fit quelques photos du cul ouvert de Kamila récemment brutalisé. Puis, elle s’était assise. Ça lui faisait mal, de s’asseoir. Elle avait mal, mais c’était supportable. Elle essuya ses larmes dans un kleenex.

– Tu es en vacances, là ?

– Oui... deux mois...

– Je suis disponible les vendredis et samedis. Donc quand est-ce que tu veux venir pour faire des photos de ton book ?

– Je... je ne sais pas...

– Je te laisse réfléchir. Téléphone-moi pour qu’on se voie, pour qu’on en parle. Rentre chez toi, maintenant.

Kamila s’était rhabillée, puis était rentrée chez elle, les yeux rougis par les pleurs, le sexe désagréablement irrité et l’anus intolérablement douloureux. Elle avait pris une douche et avait repensé toute la journée au viol qu’elle avait vécu. Et en pleine nuit, elle s’était réveillée en train de mouiller.

Le lendemain matin, presque malgré elle, elle prit le téléphone.

– On peut se voir pour faire mon book ?

Kamila savait que Daniel ne s’arrêterait pas au book. Mais c’était sa décision......

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