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105' ANNEE. — N° 32. LE NUMERO : VINGT CENTIME* DIMANCHE 12 AOUT 1934. LE COURRIER DE L'OISE JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS Pa.ra.lssa 16 ^tQanoHm Ftédacteiar politique LEGrEîVIDRE A B O JST 3ST T23 JiÆ si isr -r s On a n .... Six mois. A nos Bureaux PT Posta 10 12 7 On s’aDoTioe anx Bureaux dm JouvTiaï «t dans iftrafl les Dureanx de poste. - I.'abnimemeat est naTabta d avance et continue de plem droit jusqu'à a-éccptia» d is contraire. inmmmaita par-teut du !•* de chmqrnm x&oür bureaux , rédaction ^ administration SE j \ LIS 9, IPlace H em -i-IV , 9 SEI^LIS TÉLÉPHONE N° 4 CompteChàques-Postaux Papls 478-50 Directeur Commercial : E. VIGNON 1 3 332 fci i a s r e t S 3 3B!i ■□c -1 o isr s Annonces l é g a l e s ............. ...... ........... | (r. 50 la ligna Ventes volontaires. — Publicités commerciales. — Demandes et offres; d’emplois (Pour tous renseignements écrire au journal) Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. (( Le vieil Homme des Mes » / Ces lacs sont les lacs de Mazurie, tout là-bas, au fond de la Prusse Orientale, au-des sous de Kœnigsberg, et le « vieil homme » dont-il s’agit, n’est autre que Paul Benckendorff von Hin- denburg. En 1911 on l’appelait ainsi ou encore le « vieux Fou ». Aujour d’hui, on en fait un demi-dieu : c’est le Héros de Tannenberg. Il est vrai que l’on a discuté ces jours-ci dans la presse française, l’importance du rôle qu’il joua dans cette bataille. On a dit que c’est la fatalité, l’im prudence et la trahison qui ont perdu les Russes et que toute l’habileté de Hindenburg-Ludendorff est d’avoir su exploiter les circonstances. C’est bien possible. Cependant il convient de re marquer que le fait d’avoir été d’abord /e vieil homme des Lacs de Mazurie préparait merveilleusement Hinden- burg à devenir le vainqueur de Tan nenberg. Comment donc était-il devenu le « vieil homme des Lacs », et pour quoi, en 1914, n’était-il que cela ? Hindenburg semble avoir été mé connu pendant longtemps. Lorsqu’il cpiitta l’école de Glogau où son père était en garnison on lui donna l’attes tation que voici : « Excepté son ba vardage, sa conduite a été bonne. Ses progrès en notions religieuses, en latin et en géographie ont été suffisants, mais l’arithmétique est au-dessous de tout ». Nous ne saurions dire si le jeune Hindenburg fit, plus tard, des progrès en arithmétique, mais nous savons très bien qu’il fut un luthérien pratiquant, qu’il se guérit du bavar dage au point de devenir taciturne. Après avoir fait les guerres de 1866 et 1870, il fut reçu le premier de la liste au concours de capitaine d’état-major. Sa carrière semble s’être déroulée sans incident. Général commandant de corps, il prend sa retraite, en 1911, à Hanovre, où on l ’a p e r ç o i t tous les jours au Café des Tilleuls, jouant aux échecs interminablement au milieu des nuages de fumée de ses innom brables pipes. Pendant que se déroule la bataille de Mons, il fume et joue aux échecs en discutant stratégie avec ses rares amis du Café des Tilleuls... Un beau jour, l’ordre lui arrive de rejoindre î’armée de la Prusse orien tale. Le Kaiser l’avait oublié. Luden- dorff lui avait rappelé « l’homme des lacs ». Que ferai-je de ce vieil hom me ? aurait dit Guillaume IL — Pré cisément, Sire, répondit Ludendorff, il connaît à merveille la région des lacs de Mazurie. Hindenburg en effet s’était fait une spécialité g)éog(raphique des lacs de Mazurie. Il avait autrefois emprunté un canon à la garnison de Kœnigsberg et à longueur de jour il faisait tirer ses artilleurs dans lès lacs pour juger des effets obtenus. En outre, il faisait rou ler son canon par toutes sortes de che mins pour se rendre compte de la ré sistance du isol. Lorsque le canon s’en lisait il le faisait dégager montre en main. Il étudiait la consistance de la boue. C’est ainsi qu’il fut appelé l ’H o m m e de Lacs ou le Général la Boue. Lorsqu’en 1913, il fut question d’as sécher les marais de Mazurie, l ’H o m me des Lacs s’appliqua à montrer qu’il fallait bien se garder de se pri ver de ce précieux moyen de défense. Pourquoi, en 1914, Hindenburg n’était-il que l’Homme des Lacs, et se trouvait-il en quelque sorte condamné à l’inaction ? Toujours à cause des lacs. Quelques années avant, qu’il prît sa retraite, il y eut dans cette région des lacs de Mazurie, de grandes ma nœuvres de l’armée allemande. Le Kaiser commandait une armée et Hin denburg commandait l’autre. Or, com me par hasard, le Kaiser fut le vain queur et Hindenburg fut le vaincu. Guillaume II ayant demandé au gé néral vaincu ce qu’il pensait du piège savant qu’il lui avait tendu, Hinden- Ite prix du Pain daùs TOlse LE Préfet de l’Oise à Messieurs les Maires du département J’ai l’honneur de vous faire connaî tre qu’en raison de la baisse survenue sur les blés et, par suite, sur la farine, dont le prix a été ramené à 188 francs, le prix limite du pain, en application du barême arrêté par la Commission départementale instituée par la loi du 31 août 1924, sera normalement de 1 fr. 95 le kilogramme (portage compris), au lieu de 2 francs, à dater du jeudi 9 août. Je vous prie instamment de veiller à l’application de ce prix, à moins que des circonstances locales vous permet tent de fixer le prix du pain dans votre commune à un chiffre inférieur. Dans le cas où des boulangers per sisteraient à vendre le pain au-dessus du prix normal, vous voudrez bien, en vertu des pouvoirs que vous tenez de la loi du 19-22 juillet 1791 (article 30), prendre d’urgence un arrêté fixant la taxe du pain dans la limite du maxi mum de 1 fr. 95 le kilogramme, portage compris. Le Préfet, ▲. B u s g i è r e , burg répondit : « Tout cela est très beau, Sire, mais si nous avions com battu réellement, je vous aurais man gé vos hommes. Votre Majesté a fait de grosses fautes. S’il s’était agi d’une bataille véritable, j’aurais pu prendre vos hommes à revers et tous ceux que je n’aurais pas tués je les aurais pous sés dans la Baltique ». On dit que cette réponse ne fut pas du goût de Guillaume II et que c’est la raison pour laquelle il avait laissé au début de la guerre l’Homme des Lacs sans commandement. Il fallut que l’armée allemande se trouvât en difficulté dans le Masurenland pour que l’on se décidât à faire appel à l’expérience géographique de l'Hom me des Lacs. Originaire de la Prusse orientale, Hindenburg disposait aussi d’une très spéciale expérience des choses russes. On rapporte un fait qui montre qu’il avait certainement des intelligences en Russie. Il possédait, paraît-il, des ter res quelque part sur les bords de la Volga. Or, en pleine guerre, il parvint a les faire vendre et à se faire apporter les fonds provenant de la vente, à son quartier général, alors que lui-même se disposait à passer en Russie à la tête de ses troupes. S’il en était ainsi, on comprend qu’il ait pu manœuvrer a son gré des généraux russes comme Samsonoff et Rennenkampf. C’est ain si qu’après avoir été, et précisément parce qu/il avait été, l’Homme des Lacs, Hindenburg devint le Héros de Tannenberg. . * * * Ceci fut très important et explique 1 immense popularité de Hindenburg. Sa victoire avait quelque chose de mystique. Toute cette région de la Prusse orientale avait été autrefois le théâtre de luttes formidables entre les Chevaliers de l’Ordre Teutonique et les populations Slaves. Le Tannenberg de 1914 apparaissait comme la revanche d’un autre Tan nenberg plus ancien, celui du moyen- âg e , OÙ le.Si l^ol ex*-» c. o x/ni I AT'<3 t. A chevaliers Teutoniques. Les Allemands et notamment Guil laume II ont toujours beaucoup re douté les invasions slaves et le fameux « rouleau compresseur » russe. Le vainqueur du Tannenberg de 1914 leur parut l’homme providentiel spéciale ment chargé par délégation divine de protéger la Pajtrie Allemande. C’est ainsi que commença le culte de Hin denburg, Non sans quelque extravagance. On se rappelle la fameuse statue où l’on plantait des clous. Il y eut pire, on lança le chapeau Hindenburg, le bon- lion Hindenburg, la bottine Hinden burg, le cigare Hindenburg... Les jeu nes filles lui envoyaient des chausset tes et des vers, les vieilles dames des recettes contre la goutte, voire même des pilules,^ des comprimés, des lo tions, etc. Ce culte n était cependant pas superficiel. Bien que l’intervention de Hindenburg sur le front occidental fut loin de donner des résultats bril lants, le vieux général garda toute sa popularité, et même, son ascendant moral ne fit que s’accroître, semble-t- il, au cours des difficultés que traver sait l’Allemagne d’après-guerre. Blessé à Rosberitz, lors de la guerre avec l’Autriche, décoré de la Croix de fer à la bataille de Saint-Privat, généralis sime des armées allemandes pendant la guerre, Président d’Empire en 1925, le vainqueur de Tannenberg, avait connu les trois Reich et même il avait présidé en personne à la naissance du troisième. Il incarnait aux yeux de tous le génie allemand. C’est pourquoi les Allemands lui ont fait ces jours derniers une telle apothéose. Ils lé ran gent dans leur estime sur le même plan que Luther et Bismarck, peut- être même sur un plan supérieur... C’est là une belle destinée pour un homme qui, au début de la guerre, n’était connu que sous le nom de l’Homme des Lacs et qui a commen cé sa vraie carrière à l’âge de soixan te-quatre ans ! A. C henet . Direction des P. T. T. de l’Oise L’Administration des Postes rappel le, dans l’intérêt des personnes qui se déplacent, que les journaux sont pas sibles, suivant le cas, de deux tarifs : Le plus réduit est valable seulement pour les exemplaires à destination du département de publication et des dé partements limitrophes ; le deuxième, qui est le double du précédent, est ap plicable dans les autres cas. En conséquence, un journal réexpé dié hors du rayon limitrophe, doit ac quitter le complément d’affranchisse ment au moment de la réexpédition ; si ce complément n’a pas été acquitté, le journal est frappé, à l’arrivée, d’une taxe égale au double de l’insuffisance d’affranchissement avec application du minimum de perception, fixé à 10 cen times par envoi. Les destinataires désireux d’éviter le paiement de cette taxe, doivent inviter la personne qu’ils chargent de faire suivre leur courrier, à compléter, s’il y a lieu, l’affranchissement des jour naux réexpédiés du rayon local au rayon général. Le mouvement des Instituteurs et Institutrices Arrondissement de Senlis Par arrêté du 26 juillet 1934 de M. le Préfet de l’Oise, sur la proposition de M. l’Inspecteur d’Académie, les nomi nations d’instituteurs et d’institutrices désignés ci-après, viennent d’être fai tes : _ MM. Doublet, Saint-Just-en-Chaus- sée (c. c. G.) à Chantilly (e. g.) ; Brouée Pont-Ste-Maxence (e. G. à Compiègne- Hersan (e. g.) ; Giraud, Ivors (éc. m.). à Nogent-sur-Oise (e. g.) ; ;Lesage, Pontarmé (éc. m.), à Cramoisy (éc. g.) ; Damelincourt, Grandvilliers (éc. g.) à Creil (éc. g.), rue des Usines ; Bectarte, Voisinlieu (éc. g.) à Pont-Sainte-Ma- xence rive gauche (g.) ; Mme Bec- tarte, Voisinlieu (éc. g. adjte), à p.ont- Ste-Maxence, r. g. (éc, f.) ; M. Queroy Nanteuil-le-Haudouin (éc. g.) à Verbe- rie (éc. g.) ; Mme Queroy, Nanteuil-le- Haudouin (éc. f.) à Verberie (éc. f.) ; MM. Pelle, Quesmy (éc. s. c.), à Ormoy- Vdlers (éc. g.) ; Cocuelle, Noyers-St- marùn (éc. g.), à Saint-Vaast-les-Mel- lo (éc. g.) ; Gillet, Ully-Saint-Georges, (ec. g.) à Therdonne (éc. g.) ; Mme Gillet, Ully-Saint-Georges (éc. f.) à Therdonne (éc, f.) ; Mme Brouée, Pont- Sainte-Maxence (éc. f.), à Compiègne- Heréan (adjte g.) ; Mlle Langlois Chambly (éc. mat. adjte) à Boran (éc. gf.) ; Mlle Warlot, Sainte-Geneviève (éc. f.) à Chambly( éc. f.) ; Mme Dan- ville, Angy (éc. f.) à Cires-les-Mello (éc. fO ; Mme Leroux, Beauvais P.- Bert (éc. f.) à Creil, rue de Verneuil (éa f.) ; Mlle Hussenet, Laigneville (éc. f.) à Montataire (éc. f.) ; Mme Trézel, Creil (adjte mat.), à Nogent-sur-Oise (éc. f.) ; Mme Rigaud, Auger-Saint- Vincent (ni.), à Orry-la-Ville (éc. f.) ; Mme^ Lefèvre, Vauciennes (chef-lieu m.) à Vauciennes sucreries (sc. f.) ; M. Dhuicque, Nogent-sur-Oise (adjte ec. g.) à Canny-sur-Matz (éc. m.) ; Mlle Janoueix, Senlis (mat,) à Creil (ec. mat., rue des Usines) ; Mme Mar- cellm-Farge, Creil, (éc. mat. r. des Usi- nette ''(atFjY.1 g)*) Y iTM o n fg rè sffifl\16tîiSuJ/’û- ne d’Orry-la-Ville (m.) ; Mme Regi- nensi, Bulles (éc. f.), à Villers-sous- Saint-Leu (éc. m.) ; M. Trubert, Cires- les-Mello (adpt.) à Chambly (éc. g. ad joint) à Chambly (éc. g. adjt.) ; Joly, Crépy-en-Valois (adjt. à titre provisoi re) à Crépy-en-Valois (adjt. définitif) ; Mme Thiefine, Sérifontaine (adjte à ti tre provisoire) ; Mlle Caron, Senlis, (adjte g.) à Senlis (adjte f., rue de Meaux) ; Mlle Castex, Thiverny (ad jointe f.), à Gouvieux Les Aigles (ad jointe éc. m.) ; Mme Gerardot, Nogent- sur-Oise (adjte m at.),'à Creil (mat. Pl. Carnot) ; M. Simon, Silly-le-Long (g.), à Nanteuil-le-Haudouin (g.), Mme Si mon, Silly-le-Long (f.), à Nanteuil-le- Haudouin (f.) ; MM. Piette, Longueil- Annel (g.) à Pont-Sainte-Maxence (R. d. g.) ; Baude, Balagny-sur-Thérain (g.), à Saint-Just-en-Chaussée (g. c. ci) ; Mme Baude, Balagny-sur-Thé rain (f.), à Saint-Just-en-Chaussée (G. adjointe ; MM. Derebergue, Cauvigny (g.), à Ully-Saint-Georges (g.) ; Ca- riat, Balagny-sur-Thérâin (adjt), à Noyers-Saint-Martin (g.) ; Merigonde, Pont-Sainte-Maxence (ad.) à Trosly- Breuil (Breuil, d. g.) ; Mme Mérigon- de, Pont-Sainte-Maxence (adjte) à Trosly-Breuil (Breuil g. adjte) ; Mme Thiefine, Creil (adjte g., rue Ribot), à Rantigny (f.) ; Mlle Guillaume, Monta taire (adjte) à Bulles (éc. f.) ; Mlle Ri- gal, Bonneuil-en-Valois (f.), à Neuf- chelles (m.) ; MM. Gagnerault, Coi- vrel (m.), à Auger-Saint-Vincent (m.) ; Tombois, Pont-Sainte-Maxence (adjte) à Choisy-la,-Victoire (m.) ; Morel, Sen lis (adjt g.), à Ivors (m.) ; MM. d’Her- signerie, Crépy-en-Valois (adjt.) à Litz (m.) ; Mme Germenot, Orry-la- Ville (adjte) à Pontarmé (m.) ; MM. Bardou, Senlis (adjt) à Varinfroy (m.) Mme Hue, Nointcl (adjte cl. en fantine) à Senlis (éc. mat. rue de Meaux) ; Mme Cigogne, Avilly-Saint- Léonard (m.), à Senlis (éc. mat., rue de Beauvais) ; Mme Letellier, Barbery, (f. adjte), à'Cires-les-Mello (adjte f.) ; Mlle Leflan, Bury (adjte f.), à Chambly (adjte mat.) ; Mme Perron, Grandvil liers (adjte) à Creil (mat, rue de Ver neuil (adjte) ; Mlle Malaval, Senlis, (adjte mat.), à Nogent-sur-Oise (adjte mat.) ; Mme Desmarest, Cires-les-Mel lo (adjte cl. enf.) à Thiverny (adjte). Examens préliminaires POUR L’OBTENTION DU BREVET D’EXPERT-GOMPTABLE RECONNU PAR L’ETAT ET DU DIPLOME DE GEOMETRE-EXPERT DU GOUVER NEMENT Pirotion dans le Mérite agriccla MM. Officiers Arsme-André Voidet, maréchal-fer rant i Boursonne (chevalier du 10 mai 1927). Reié Germond, jardinier à Chamant (cheraher du 13 août 1922). Chevaliers Enest-Louis Chantrier, horticulteur à Mirtefontaine. (J&rles Collette, jardinier à Crépy-en Valos. ' Jues Deniau, jardinier, à Villers-St- Paul Baltiste Despatin, directeur d’école, à Seilis. Reié Dclansoy, agriculteur à Cires- lesfftfello. 1 ictor-Charles Desprez, maréchal- ferrmtJà Duvy. 0orgfes-Léon Dumont, cultivateur à RyO- — 4«ffs- cVfûr-Oise. Hector L'abittè, jardinier à Pré- La deuxième Région Economique nous informe qu’une session de l’exa men préliminaire pour l’obtention du Brevet d’expert-comptable reconnu par l’Etat s’ouvrira le samedi 6 octobre 1934. D’autre part, une session de l’exa men préliminaire pour l’obtention du diplôme de géomètre-expert du Gou vernement, s’ouvrira le lundi 22 octo bre 1934. Pour ces deux examens, les deman des d’inscription, accompagnées des pièces réglementaires, seront reçues au Ministère de l’Education Nationale, Di rection Générale de l’Ense-'gnement - echnique (5e Bureau), iu.;qu’au 31 août 1934 inclus. Ifeien-Narcisse Leclerc, agriculteur' à l&iverny. Rjbert-Edouard Pensa, régisseur a- gn(î>le à Saint-Maximin. REGULARISATIONS Officier -M . Edgar-Eugène Drouard, maréchal- ferrant, à Senlis,' (chevalier du 20 août 1924). Chevaliers Alexandre Couty, commis principal des eaux et forêts, à Senlis. H.-J.-B. Troussé, jardinier, à Chan- tilly. Nos félicitations. • Pèlerinage diocésain à N.-D. de Lourdes M. le chanoine Delamotte, fait un ap pel en faveur des malades pauvres du prochain Pèlerinage à Notre-Dame de Lourdes. Toute offrande, même la plus modeste, sera reçue avec reconnaissan ce à « la Direction des Pèlerinages, 17, rue Angrand-Leprince, Beauvais ». Chèque postal n“ 1.733. 76 Paris. Les catastrophes de la semaine PAN DANS LA LUNE ! Nous n’en sommes pas encore à no tre dernière surprise avec les progrès de la science ! Non contents de vivre sur un globe, dont l’agitation est no toire, nous essayons de jeter le trouble chez les planètes voisines. En effet, après avoir atteint la hauteur de 18.000 mètres en ballon, Gosyns se pré pare à lancer une fusée dans la Lune. J u s q u ’à présent, en . imagination, nous nous contentions pour cet astre, de lui donner des coups de pieds, de lui faire des trous, ou d’y promener nos rêveries sans pousser toutefois l’auda ce jusqu’à la réalisation d’une telle profanation. Majesté de nos belles nuits d’été, la Lune promène solitaire, une clarté blafarde qu’elle étend dis crètement, comme un linceul, sur l’a gonie de nos jours éphémères ; chantée par les poètes, aimée de notre ami Pier rot, ce dernier sera inconsolable de voir défigurée le complice de ses amours avec Colombine. L’imprudent Gosyns lance sa fusée avec-'la certitude qu’elle ne retombera pas sur le crâne d’un citoyen terrestre. D’après ce physicien célèbre, la scien ce lui donne l’assurance que si le pro jectile rate le but, il devient satellite de la Terre et doit tourner autour d’elle sans jamais y revenir. Si tout est bien exact dans cette « relativité » bientôt le crime n’existera plus sur terre. Le jour où l’on voudra se débarrasser d’une personne gênante, on l’embarquera sur une fusée mal réglée, mais suffisante pour l’éloigner de toute attraction ter restre et ce nouveau satellite tournera « in æternam » sans autre espoir, pour obtenir la condamnation du coupable, que d’attendre le jugement dernier. Dé cidément la lenteur de la Justice est incommensurable. D’autres, mécontents de leur sort, pourront refaire leur vie dans un autre monde. Vénus est indiquée pour les amoureux ; Saturne, pour les sans- abris ; Mars, pour les militaires, etc. Bref illustre Cosyns, si vous persistez dans votre projet, visez bien et ne ratez pas le but. Malgré toutes vos assurances, à une telle distance le retour d’un projectile sur terre est des plus dangereux et, jusqu a preuve du contraire, je plains celui qui se trouvera sous la verticale *wiBe... renvoi de la Lune. Plumedoie. L’Aetualité politique La dérobade A la suite d’odieuses calomnies pa rues dans 1’ « Echo Républicain », j’ai envoyé à ce journal la rectification sui vante : Monsieur le Gérant, « Un homme jeune, sans fortune, ne possède qu’un seul bien aussi préciaux que la vie ; c’est son honneur. Un de voir impérieux lui commande de le défendre quand il est attaqué ou souil lé. Je ne fais donc qu’exercer un droit de légitime défense en vous priant d’in sérer cette rectification dans votre prochain numéro : Bien que ne me désignant pas nom- Lisez chaque semaine , Vendémiaire Le Plus Indépendant Le Plus Complet Le Plus Vivant des Grands Hebdomadaires Ses 2 Pages d’Echos Ses Romans — S'es Nouvelles Le Forum des Anciens Combattants Le Palais — l’Astrologie Le Théâtre — Le Cinéma Ses Nombreuses Rubriques, etc... Lisez : Vendémiaire 14 et 16 pages Le N° : 0,75 — Abonnement un an : 25 fr. rues », n’a laissé aucun doute dans l’esprit de vos lecteurs,..quant à la per sonne visée, le jeune politicien-journa liste..., futur champion des luttes élec torales, ne peut être que moi. C’est pourquoi je ne veux laisser à personne, le soin de vous répondre. « Le bruit singulier, tenace et grave » n’a pu germer que dans la cervelle maladive d’un maniaque de la diffama tion ou dans l’imagination haineuse d’un adversaire politique. Les mots me manquent pour expri mer avec exactitude en quel mépris je tîens, et les auteurs de ce grossier mensonge, et ceux qui comme vous, en ont recueilli complaisamment l’écho. Jamais je n’ai été pris : « la main dans le sac », jamais je n’ai été « ver tement démasqué », jamais je n ’ài triché ». La présente rectification vous étant faite sous réserve do toutes poursuites ultérieures ». * L’ « Echo Républicain » a cru devoir ajouter à ma réponse, un commentaire singulièrement embarrassé et filan dreux, dont voici un extrait : « Mpis que diable vient faire M. LEGENDRE dans l’histoire qui courait et qui court avons insérée, parce que communi quée par un de nos correspondants de cette ville. Il nous disait, ce correspon dant, qu’un bruit étrange circulait en ville. On y parlait de tricherie aux car tes, d’une grosse dispute dans un lieu public. On murmurait que l’un des par tenaires devait être un journaliste-po liticien. Nous demandions à être ren seignés. Et sur ce M. LEGENDRE é- prouve le besoin de faire publier qu’on a voulu attenter à son honneur. Où ? Quand et comment ? Avons-nous nom mé LEGENDRE ? M. LEGENDRE habite Paris, le fait s’est passé à Senlis... Et au surplus M. LEGENDRE se croit-il le seul journa liste-politicien en France ?... » Qu’on me permette de souligner l’hy pocrisie de ces gens dont le courage va, 'jusqu’à la diffamation, mais pas plus loin. Certes, je ne suis pas le seul « poli ticien - journaliste » existant en Fran ce, cependant je ne pense pas qu’il s’en trouve beaucoup, pour cumuler ce titre avec celui de : « futur champion des luttes électorales » dans cet arrondis sement ! L’ « Echo Républicain » joue, sur les mots. Il essaye de se défiler, Il n’y par viendra pas ! ses son avocat ferait récuser les jurés républicains et ainsi épuré le jury ne verrait qu’une question politique et ne le condamnerait pas ». Je n’aurais pas besoin d’employer cet artifice. Il me suffirait de prou ver : 1° Que M. VASSAL a touché de l’ar gent de M. Paul DEVOUGE. 2° Que M. VASSAL a fait des démar ches pour obtenir la Légion d’honneur à M. Paul DEVOUGE. 3° Que M. Paul DEVOUGE a fait vo ter les électeurs de BRASSEUSE pour M. VASSAL. Je me réserve de faire cette triple pijeuve dans mes prochains articles et dans mes conférences. Ce ne sont pas les menaces de M. VASSAL qui Mnîul^TY," teùice * 'irVbeluf crier' LEGENDRE peut être 'certain que je lui botterai le derrière, le jour où en ma présence, il osera répéter la saleté qu’il a lancée à Mareuil-sur-Ourcq et j’espère bien que mes camarades et mes amis, ne permettront pas, à ce triste sire en mon absence de renou veler son exploit ». Cela ne m’empê chera pas de dénoncer sa duplicité. D’ailleurs, M. VASSAL a déjà perdu deux occasions de mettre ka menace à exécution : je lui ai répété en face, à Mareuil-sur-Ourcq, les paroles que j’avais prononcées un quart d’heure plus tôt, devant ses amis, et il n’a pas bronché ! Samedi dernier, j’ai tenu à peu près le même langage aux audi teurs de VERBERIE, sans qu’un seul socialiste ne bouge ! La prochaine fois, il leur faudra rattraper le temps per du. Pour aujourd’hui, je ne veux tirer qu’une seule conclusion : Un parle mentaire chargé de faire les lois devrait avoir assez de dignité pour respecter les hommes intègres chargés de les ap pliquer ! Un parlementaire chargé de faire les lois devrait avoir assez de sé rénité pour en accepter les rigueurs, quand il les a encourues ! M. VASSAL ne possède ni l’une ni l’autre. Ce petit Lcspni a ia’înêSùre ub S'à CaHfe ! lie nouveau Collaborateur IL Vassal n’est pas content — On a 24 heures pour maudire ses juges — M. VASSAL ne l’ignore pas, et c’est pourquoi il déverse son fiel, abondamment, dans le dernier numéro de f « Echo Républicain » : « Ainsi deux affaires similaires : deux jugements différents. M. LEGEN DRE m’injurie. Je suis député, c’est la Cour d’Assises qui est compétente, dit le Tribunal de Senlis ». L’ « Echo Républicain » publie un extrait d’un journal parisien injurieux, paraît-il, pour M. TAITTINGER, dépu té nationaliste de Paris, c’est le tri bunal correctionnel qui est compétent dit le tribunal de .Senlis. Et gérant res ponsable de 1’ « Echo Républicain », je suis condamné. Comprenne qui pourra. Il paraît que c’est ainsi que la justice doit être ren due, en application des lois françai ses ». Parler procédure à notre député ? autant parler hébreu à un chinois ! Ce Monsieur ignore évidemment que toute injure ou diffamation à l’égard d’un homme public, est du ressort de la Cour d’Assises. L’assignation de M. TAITTINGER n’a rien de comparable avec celle de M VASSAL, M. TAITTINGER ayant été diffamé non pas en tant que député, mais en tant que Président des Jeu nesses Patriotes, nommément désignées dans l’article incriminé. La justice a été parfaitement rendue selon l’esprit et la lettre des lois que M. VASSAL vote, mais ne connaît point ! Au lieu de gémir, que M. le Député m envoie donc devant la Cour d’Assi ses, là, nous nous expliquerons. Seule ment il n’y tient pas du tout ! Il cache même sa fuite sous un prétexte : le manque d’argent ! S’il est à ce point impécunieux, qu’il demande l’assistan ce judiciaire ! En réalité M. VASSAL n’a pas confiance dans la solidité de son accusation. Bien mieux, il avoue ses craintes : « Devant la Cour d’Assi L’équipe de 1’ « Echo Républicain » vient de s’enrichir d’une nouvelle uni té de marque : Il s’agit de M. Paul DE VOUGE, ancien cultivateur, multimil lionnaire, chevalier de la Légion d’hon neur et fort honorablement connu à Senlis. Sa prose a les honneurs de la pre mière page dans le dernier numéro de notre confrère. Cette collaboration pour n’être qu’ex ceptionnelle et probablement involon taire, mérite d’être signalée. Nous en reparlerons... -»o«- Qüestions à fï. Warusfel Est-il vrai que vous vous soyez fait, le mardi 24 juillet, sur le champ de courses de Compiègne, l’écho de cette calomnie parue, quelques jours plus tard, dans le journal de M. VASSAL ? Si oui, veuillez avoir l’obligeance de m’indiquer la source de votre informa tion ! Est-il vrai qu’à la même heure, en ce même lieu, vous ayez de façon dubita tive, parlé de mes moyens d’existen ce ? Puisque ce sujet vous préoccupe, je suis à votre entière disposition pour dissiper vos honorables scrupules et vous donner — justification en main — tous apaisements. Je m’étonne mê me que vous ne m’ayez pas posé plus tôt cette question, à l’issue de mes con férences auxquelles vous avez assisté ! Donc : le mardi 24 juillet, vous col portez un « ragot » déshonorant pour moi et vous émettez des doutes quant à la source de mes revenus ! Or, le sa medi 28 juillet, deux articles de l’Echo Républicain » reproduisent fidèlement vos propos. Y a-t-il là, relation de cause à effet, ou simple coïncidence ? LEGENDRE. Chemin de Fer du Nord FETE DE L’ASSOMPTION, 15 AOUT A l’occasion de la fête de l’Assomp tion (15 août 1943) le service des trains de voyageurs sera le suivant : Sauf dérogations indiquées aux affi- ches-horaires, les trains prévus comme devant circuler les veilles de fêtes se ront mis en marche le mardi 14 août ; les trains prévus comme devant circu ler les jours de fêtes seront mis en mar che le mercredi 15 août ; les trains prévus comme devant circuler les len demains de fêtes seront mis en marche le jeudi 16 août. Enfin, les trains indiqués aux affi ches comme devant avoir lieu les sa medis seulement ne circuleront pas le mardi 14 août, de même ceux indiqués les lundis seulement ne circuleront pas le jeudi 16 août, sauf dérogations sti pulées aux documents sus-mdiqués. e

LE COURRIER DE L'OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_08_12_MRC.pdf · sisteraient à vendre le pain au-dessus ... mystique. Toute cette région de la

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105' ANNEE. — N° 32. L E N U M E R O : V IN G T C E N T IM E *DIMANCHE 12 AOUT 1934.

LE COURRIER DE L'OISEJOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS

Pa.ra.lssa 16 ^tQanoHmF t é d a c t e i a r p o l i t i q u e L E G r E î V I D R E

A B O JST 3ST T23 JiÆ s i is r - r s

On a n . . . . Six m ois.

A nos B u reaux PT P osta

10 12 7

O n s ’aDoTioe anx B ureaux dm JouvTiaï «t d a n s iftrafl les D ureanx de p o s te . - I . 'a b n im e m e a t e s t naT ab ta d av an c e e t c o n tin u e de p lem d ro it ju s q u 'à a-éccptia» d is co n t ra i re .

inmmmaita par-teut du !•* d e chmqrnm x&oür

b u r e a u x , r é d a c t i o n ^ a d m i n i s t r a t i o n

S E j\ L I S 9 , I P l a c e H e m - i - I V , 9 S E I ^ L I ST É L É P H O N E N° 4 CompteChàques-Postaux Papls 478-50

D irecteur Com m ercial : E. VIGNON

1 3 332 fci i a sr e t S 3 3B!i ■□c- 1 o i s r s Annonces l é g a l e s . . . . . . . . . . . . . ................. | (r. 50 la ligna

Ventes volontaires. — Publicités commerciales. — Demandes et offres; d’em plois (Pour tous renseignements écrire au journal)

Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus.

(( Le vieil Homme des Mes »

/ Ces lacs so n t les la c s de M azurie, to u t là -bas, au fond de la P ru sse O rien ta le , au -d es­sous de K œ nigsberg , e t le « vieil h o m m e » don t-il s’ag it, n ’est

a u tre que P a u l B enckendorff von H in- d en b u rg . E n 1911 on l ’a p p e la it a in si ou enco re le « v ieux F o u ». A u jo u r­d ’h u i, on en fa it u n dem i-d ieu : c’est le H éros de T an n en b e rg . Il e s t v ra i que l’on a d isc u té ces jo u rs -c i dan s la p resse fran ça ise , l ’im p o rtan ce du rô le q u ’il jo u a d an s ce tte ba ta ille .

O n a d it que c’e s t la fa ta lité , l ’im ­p ru d en ce e t la t ra h is o n q u i o n t p e rd u le s R usses et que to u te l ’h ab ile té de H in d en b u rg -L u d en d o rff e s t d ’avo ir su e x p lo ite r les c irco n stan ces . C’e s t b ien p o s s ib le . C e p e n d a n t il c o n v ie n t d e r e ­m a r q u e r q u e le f a i t d ’a v o i r é té d ’a b o r d /e v ie il hom m e des Lacs de M azurie p ré p a ra it m erv e illeu sem en t H inden - b u rg à dev en ir le va in qu eu r de Tan­nenberg.

C om m ent d onc é ta it-il devenu le « vieil ho m m e des L acs », e t p o u r­quoi, en 1914, n ’é ta it-il q u e cela ?

H in d en b u rg sem ble av o ir été m é­co n n u p e n d a n t lo n g tem p s. L o rsq u ’il cpiitta l ’école de G logau où son p ère é ta it en g a rn iso n on lu i d o n n a l ’a t te s ­ta tio n que voici : « E xcep té son b a ­v ardage , sa co n d u ite a été bonne. Ses p ro g rè s en n o tio n s re lig ieuses, en la tin e t en géograph ie o n t é té su ffisan ts , m ais l’a rith m é tiq u e est au -d esso u s de to u t ». N ous ne sa u r io n s d ire si le je u n e H in d en b u rg fit, p lu s ta rd , des p ro g rès en a rith m é tiq u e , m ais nous savons trè s b ien q u ’il fu t u n lu th é r ie n p ra tiq u a n t, q u ’il se g u é r it d u b a v a r­dage au p o in t de d ev en ir ta c itu rn e . A près av o ir fa it les g u e rre s de 1866 e t 1870, il fu t reçu le p re m ie r de la lis te au co n co u rs de c ap ita in e d ’é ta t-m a jo r. Sa c a rr iè re sem ble s’être dérou lée sans in c id e n t. G énéral c o m m a n d a n t de corps, il p re n d sa re tra ite , en 1911, à H anovre , où on l’a p e rç o it to u s les jo u rs au Café des T illeu ls , jo u a n t au x échecs in te rm in a b le m e n t au m il ie u des n u ag es de fum ée de ses in n o m ­b rab le s p ipes. P e n d a n t q u e se dérou le la b a ta ille de M ons, il fu m e e t jo u e au x échecs en d is c u ta n t s tra tég ie avec ses ra re s am is du Café des T illeu ls ... U n b eau jo u r , l ’o rd re lu i a rr iv e de re jo in d re î’a rm ée de la P ru sse o rie n ­ta le . Le K a ise r l ’av a it oublié . L u d en - dorff lu i a v a it rap p e lé « l ’ho m m e des lacs ». Q ue fe ra i- je de ce v ieil h o m ­m e ? a u ra i t d it G u illaum e IL — P ré ­c isém en t, S ire, ré p o n d it L u dendorff, il co n n a ît à m erveille la rég io n des lacs de M azurie.

H in d en b u rg en effet s ’é ta i t fa it u n e spéc ia lité g)éog(raphique d es la c s de M azurie. Il av a it a u tre fo is e m p ru n té u n can o n à la g a rn iso n de K œ nigsberg e t à lo n g u eu r de jo u r il fa is a it t i r e r ses a r ti l le u rs d a n s lè s lacs p o u r ju g e r des effets ob ten u s. E n o u tre , il f a is a it ro u ­le r son can o n p a r to u te s so rte s de che­m in s p o u r se re n d re co m p te de la ré ­s is tan ce d u isol. L o rsq u e le can o n s ’e n ­l isa it il le fa isa it d ég ag er m o n tre en m ain . Il é tu d ia it la co n sis tan ce de la boue.

C’est a in s i q u ’il fu t ap p e lé l ’H om m e de Lacs ou le G énéral la Boue.

L o rsq u ’en 1913, il fu t q u e s tio n d ’a s ­séch er les m a ra is de M azurie, l ’H om ­m e des Lacs s’a p p liq u a à m o n tre r q u ’il fa lla it b ien se g a rd e r de se p r i­v e r de ce p réc ieu x m oyen de défense.

P o u rq u o i, en 1914, H in d en b u rg n ’é ta it-il q u e l ’H om m e des Lacs, e t se tro u v a it- il en q u e lq u e so rte co n d am n é à l ’in ac tio n ? T o u jo u rs à cause des lacs. Q uelques an n ées av an t, q u ’il p r î t sa re tra ite , il y e u t d a n s ce tte rég io n des lacs de M azurie, de g ran d es m a­n œ u v res de l’a rm ée a llem an d e . Le K aiser co m m an d a it u n e a rm ée e t H in ­d en b u rg co m m an d a it l ’a u tre . O r, com ­m e p a r h a sa rd , le K aiser fu t le v a in ­q u e u r et H in d en b u rg f u t le v a in cu .

G uillaum e II a y a n t d em an d é au gé­n é ra l vaincu ce q u ’il p e n s a it du piège sav an t q u ’il lu i av a it te n d u , H in d en -

Ite p r ix du P a in d aù s TOlseLE Préfet de l’Oise

à M essieurs les Maires du départem ent

J ’ai l’h o n n e u r de vous fa ire co n n a î­tre q u ’en ra iso n de la b a isse su rvenue s u r les b lés et, p a r su ite , s u r la fa rin e , d o n t le p rix a été ram en é à 188 fran cs , le p rix lim ite du pa in , en ap p lica tio n du barêm e a rrê té p a r la Com m ission dép artem en ta le in stitu ée p a r la loi du 31 ao û t 1924, s e ra n o rm alem en t de 1 fr. 95 le k ilog ram m e (po rtage co m p ris), a u lieu de 2 fran cs , à d a te r du jeu d i 9 août.

Je vous p rie in s tam m en t de ve ille r à l ’ap p lica tio n de ce p rix , à m oins que des c irco n stan ces locales vous p e rm et­te n t de fixer le p r ix du p a in d an s vo tre com m une à u n chiffre in fé rieu r.

D ans le cas où des b o u lan g ers p e r ­s is te ra ie n t à vend re le p a in au -d essu s d u p r ix no rm al, vous voudrez b ien , en v e rtu des pouvoirs que vous tenez de la loi du 19-22 ju ille t 1791 (a rtic le 30), p re n d re d’u rg en ce un a r rê té fix an t la taxe du p a in d an s la lim ite du m ax i­m um de 1 fr. 95 le k ilogram m e, p o rtag e com pris.

Le Préfet,▲. Busgière,

b u rg ré p o n d it : « T o u t cela e s t trè s beau , S ire, m ais si n o u s av ions com ­b a ttu rée llem en t, je vous a u ra is m a n ­gé vos hom m es. V otre M ajesté a fa it de g rosses fau tes . S’il s ’é ta it agi d ’une b a ta ille vé ritab le , j ’a u ra is p u p re n d re vos h o m m es à rev ers e t to u s ceux que je n ’a u ra is p as tu é s je les a u ra is p o u s ­sés d an s la B altiq u e ».

O n d it que ce tte rép o n se ne fu t pas du goû t de G uillaum e II e t que c’est la ra iso n p o u r laq u e lle il av a it la issé au d é b u t de la g u e rre l ’H om m e des L acs san s co m m an d em en t. Il fa llu t q u e l ’a rm ée a llem an d e se tro u v â t en d ifficu lté d an s le M asuren land p o u r que l ’on se d éc id â t à fa ire appel à l’ex périence g éo graph ique de l'H om ­m e des Lacs.

O r ig in a i r e d e la P r u s s e o r i e n ta l e ,H in d en b u rg d isp o sa it au ss i d ’u n e trè s spéciale expérience des choses ru sse s . O n ra p p o rte u n fa it q u i m o n tre q u ’il av a it c e rta in e m en t des in telligences en R ussie . Il p o sséda it, p a ra ît- il, des te r ­re s q u e lq u e p a r t su r les b o rd s de la Volga. O r, en p le ine g u erre , il p a rv in t a les fa ire v en d re e t à se fa ire a p p o rte r les fo n d s p ro v e n a n t de la ven te , à son q u a r tie r g énéra l, a lo rs que lu i-m êm e se d isp o sa it à p a sse r en R ussie à la tê te de ses tro u p es . S’il en é ta it a insi, o n co m p ren d q u ’il a it p u m a n œ u v re r a son g ré des g é n é rau x ru sse s com m e Sam sonoff et R en n en k am p f. C’es t a in ­si q u ’ap rè s avo ir été, et p réc isém en t p a rce qu /il av a it été, l ’H om m e des Lacs, H in d en b u rg d ev in t le H éros de T annenberg. .

** *Ceci fu t t rè s im p o r ta n t e t exp lique

1 im m en se p o p u la r ité de H in d en b u rg . Sa v ic to ire a v a it q u e lq u e chose de m y stiq u e . T o u te ce tte rég io n de la P ru sse o rie n ta le a v a it é té a u tre fo is le th é â tre de lu tte s fo rm id ab le s e n tre les C hevaliers de l ’O rd re T eu to n iq u e et les p o p u la tio n s Slaves.

Le T an n en b e rg de 1914 a p p a ra is sa it com m e la rev an ch e d ’u n a u tre T a n ­n en b e rg p lu s ancien , ce lu i d u m oyen-âge, OÙ le.Si l^ol ex*-» c. o x/ni I AT'<3 t. A „ch ev a lie rs T eu to n iq u es .

L es A llem ands et n o ta m m e n t G uil­lau m e II o n t to u jo u rs beau co u p re ­d ou té les in v as io n s slaves e t le fam eu x « ro u leau c o m p resseu r » ru sse . Le v a in q u e u r d u T an n e n b e rg de 1914 le u r p a ru t l ’h o m m e p ro v id en tie l spécia le­m en t ch a rg é p a r dé légation d iv in e de p ro tég e r la Pajtrie A llem ande. C’es t a in s i que com m ença le cu lte de H in ­d enburg ,

N on san s q u e lq u e ex trav ag an ce . O n se ra p p e lle la fam eu se s ta tu e où l ’on p la n ta i t des clous. Il y e u t p ire , on lan ça le ch ap eau H in d en b u rg , le bon- lion H in d en b u rg , la b o ttin e H in d en ­b u rg , le c igare H in d en b u rg ... L es je u ­nes filles lu i env o y a ien t des c h a u sse t­te s e t des vers, les v ie illes dam es des rece tte s co n tre la gou tte , vo ire m êm e des pilules,^ des co m prim és, des lo ­tio n s, etc. Ce cu lte n é ta it c ep en d an t pas superfic ie l. B ien que l ’in te rv e n tio n de H in d en b u rg su r le f ro n t occ id en ta l fu t lo in de d o n n e r des r é s u lta ts b r i l­la n ts , le v ieux g énéra l g a rd a to u te sa p o p u la rité , et m êm e, son a scen d an t m o ra l ne fit q u e s ’acc ro ître , sem ble-t- il, au co u rs d es d ifficu ltés que t ra v e r ­sa it l ’A llem agne d ’a p rè s-g u e rre . B lessé à R osberitz , lo rs de la g u e rre avec l ’A u trich e , décoré de la C roix de fe r à la b a ta ille de S a in t-P riv a t, g én é ra lis ­sim e des a rm ées a llem an d es p e n d a n t la g u erre , P ré s id e n t d ’E m p ire en 1925, le v a in q u e u r de T an n en b e rg , av a it co n n u les tro is R eich e t m êm e il ava it p rés id é en p e rso n n e à la n a issan ce du tro is ièm e. Il in c a rn a it a u x y eu x de to u s le génie a llem an d . C’est p o u rq u o i les A llem ands lu i on t fa it ces jo u rs d e rn ie rs u n e te lle apo théose . Ils lé r a n ­gen t d an s le u r estim e s u r le m êm e p la n que L u th e r e t B ism arck , p eu t- ê tre m êm e s u r u n p la n su p é rieu r...

C’e s t là u n e belle d estin ée p o u r u n h o m m e qu i, au d é b u t de la g u erre , n ’é ta it co n n u que sous le n o m de l ’H om m e des Lacs e t qu i a co m m en ­cé sa v ra ie c a rr iè re à l ’âge de so ix an ­te -q u a tre an s !

A. C h e n e t .

Direction des P. T. T. de l’Oise

L’A d m in is tra tio n des P ostes ra p p e l­le, dan s l’in té rê t des p e rso n n es qu i se dép lacen t, que les jo u rn a u x so n t p a s ­sib les, su iv a n t le cas, de deux ta rifs :

Le p lus ré d u it e s t va lab le seu lem en t p o u r les exem plaires à d es tin a tio n du d ép a rtem en t de pub lica tio n e t des dé­p a rtem en ts lim itrophes ; le deuxièm e, qui e s t le double d u p récéd en t, e s t a p ­p licab le dan s les au tre s cas.

En conséquence, u n jo u rn a l réex p é­dié hors du ray o n lim itrophe , do it a c ­q u itte r le com plém ent d’a ffran ch isse ­m en t au m om ent de la réexpéd ition ; si ce com plém ent n ’a pas été acqu itté , le jo u rn a l e s t frap p é , à l ’a rriv ée , d ’une taxe égale au double de l ’insuffisance d’affran ch issem en t avec ap p lica tio n du m in im um de percep tion , fixé à 10 cen­tim es p a r envoi.

Les d e s tin a ta ire s d és ireu x d ’év ite r le p a iem en t de cette taxe, do iven t in v ite r la p erso n n e q u ’ils c h a rg e n t de fa ire su iv re le u r co u rrie r, à com pléter, s ’il y a lieu, l ’a ffran ch issem en t des jo u r­n a u x réexpédiés du ray o n local au ray o n g énéra l.

Le mouvement des Instituteurse t Institutrices

Arrondissem ent de Senlis

P a r a rrê té du 26 ju ille t 1934 de M. le P réfe t de l ’Oise, su r la p roposition de M. l ’In sp ec teu r d ’A cadém ie, les nom i­nations d ’in s titu te u rs e t d ’in s titu tric e s désignés c i-ap rès, v ien n en t d’être fa i­tes :

_ MM. D oublet, S a in t-Ju s t-en -C h au s- sée (c. c. G.) à C han tilly (e. g.) ; B rouée Pont-S te-M axence (e. G. à C om piègne- H ersan (e. g.) ; G iraud, Ivors (éc. m .). à N ogen t-su r-O ise (e. g.) ; ;Lesage, P on ta rm é (éc. m .), à C ram oisy (éc. g.) ; D am elincourt, G randv illie rs (éc. g.) à Creil (éc. g .), rue des U sines ; B ectarte, V oisinlieu (éc. g.) à P on t-S ain te-M a- xence rive gauche (g.) ; Mme Bec- ta rte , V oisin lieu (éc. g. ad jte ) , à p.ont- S te-M axence, r. g. (éc, f.) ; M. Queroy N an teu il-le -H audou in (éc. g.) à V erbe- rie (éc. g.) ; Mme Queroy, N an teu il-le - H audouin (éc. f.) à V erberie (éc. f.) ; MM. Pelle, Quesm y (éc. s. c .), à Ormoy- V dlers (éc. g.) ; Cocuelle, N oyers-S t- m a rù n (éc. g .), à S ain t-V aast-les-M el- lo (éc. g.) ; Gillet, U lly-Saint-G eorges, (ec. g.) à T h erdonne (éc. g.) ; Mme Gillet, U lly-Sain t-G eorges (éc. f.) à T herdonne (éc, f.) ; Mme B rouée, Pont- S ain te-M axence (éc. f.), à Com piègne- H eréan (ad jte g.) ; Mlle Langlois C ham bly (éc. m at. ad jte) à B oran (éc. gf.) ; Mlle W arlo t, Sainte-G eneviève (éc. f.) à C ham bly( éc. f.) ; Mme Dan- ville, A ngy (éc. f.) à C ires-les-M ello (éc. fO ; Mme Leroux, B eauvais P.- B ert (éc. f.) à Creil, ru e de V erneuil (é a f.) ; Mlle H ussenet, Laigneville (éc. f.) à M on ta ta ire (éc. f.) ; Mme Trézel, Creil (ad jte m a t.), à N ogent-sur-O ise (éc. f.) ; Mme R igaud, A uger-S ain t- V incen t (ni.), à O rry-la-V ille (éc. f.) ; Mme^ Lefèvre, V auciennes (chef-lieu m.) à V auciennes su c re rie s (sc. f.) ; M. D huicque, N ogent-sur-O ise (adjte ec. g.) à C anny-sur-M atz (éc. m.) ; Mlle Jan o u e ix , Sen lis (m at,) à Creil (ec. m at., ru e des U sines) ; Mme M ar- ce llm -F arge , Creil, (éc. m at. r. des Usi-nette ''(atFjY.1 g)*) Y iTM onfgrèsffifl\16tîiSuJ/’û- ne d ’O rry-la-V ille (m.) ; Mme Regi- nensi, B ulles (éc. f.), à V illers-sous- S ain t-L eu (éc. m.) ; M. T ru b e rt, Cires- les-M ello (adpt.) à C ham bly (éc. g. ad ­jo in t) à C ham bly (éc. g. adjt.) ; Joly, C répy-en-V alois (ad jt. à titre provisoi­re) à C répy-en-V alois (adjt. définitif) ; Mme T hiefine, S é rifon ta ine (ad jte à t i ­tre proviso ire) ; Mlle Caron, Senlis, (ad jte g.) à Senlis (ad jte f., rue de M eaux) ; Mlle Castex, T h iverny (ad ­jo in te f.), à G ouvieux Les A igles (ad ­jo in te éc. m.) ; Mme G erardot, N ogent- sur-O ise (ad jte m a t.) , 'à Creil (m at. Pl. C arnot) ; M. S im on, S illy-le-L ong (g.), à N an teu il-le -H audou in (g.), Mme S i­m on, S illy -le-L ong (f.), à N an teu il-le - H audouin (f.) ; MM. P ie tte , L ongueil- A nnel (g.) à P on t-S ain te-M axence (R. d. g.) ; B aude, B a lag n y -su r-T h é ra in (g.), à S a in t-Ju st-en -C h au ssée (g. c. ci) ; Mme B aude, B a lag n y -su r-T h é ­ra in (f.), à S a in t-Ju s t-en -C h au ssée (G. ad jo in te ; MM. D erebergue, C auvigny (g.), à U lly-Sain t-G eorges (g.) ; Ca- ria t, B a lag n y -su r-T h é râ in (a d jt) , à N oyers-S a in t-M artin (g.) ; M erigonde, P on t-S ain te-M axence (ad.) à T rosly- B reuil (B reuil, d. g.) ; Mme M érigon- de, P on t-S ain te-M axence (adjte) à T rosly-B reuil (B reuil g. ad jte) ; Mme Thiefine, Creil (ad jte g., ru e R ibot), à R an tig n y (f.) ; Mlle G uillaum e, M onta­ta ire (ad jte) à B ulles (éc. f.) ; Mlle R i- gal, B onneuil-en-V alo is (f.), à Neuf- chelles (m.) ; MM. G agnerau lt, Coi- vrel (m .), à A ug er-S a in t-V in cen t (m.) ; Tom bois, P o n t-S ain te-M axence (adjte) à Choisy-la,-Victoire (m.) ; M orel, S en ­lis (a d jt g .), à Ivors (m.) ; MM. d’H er- signerie , C répy-en-V alois (ad jt.) à Litz (m.) ; Mme G erm enot, O rry -la - Ville (ad jte) à P o n ta rm é (m.) ; MM. B ardou, Senlis (ad jt) à V arin fro y (m.) Mme Hue, N ointcl (ad jte cl. e n ­fan tine) à Senlis (éc. m at. ru e de

M eaux) ; Mme Cigogne, A v illy -S ain t- L éonard (m .), à Sen lis (éc. m at., rue de B eauvais) ; Mme L etellier, B arbery , (f. ad jte ), à 'C ires-les-M ello (ad jte f.) ; Mlle Leflan, B ury (ad jte f.), à Cham bly (ad jte m at.) ; Mme P e rro n , G randv il­lie rs (ad jte) à Creil (m at, ru e de V er­neu il (ad jte) ; Mlle M alaval, Senlis, (ad jte m a t.), à N ogent-sur-O ise (ad jte m at.) ; Mme D esm arest, C ires-les-M el­lo (ad jte cl. enf.) à T h iv e rn y (ad jte).

E xam en s p r é lim in a ir e sPOUR L’OBTENTION DU BREVET

D’EXPERT-GOMPTABLE RECONNU PAR L’ETAT ET DU DIPLOME DE GEOMETRE-EXPERT DU GOUVER­NEMENT

Pirotion dans le Mérite agriccla

MM.Officiers

A rsm e-A ndré Voidet, m a réch a l-fe r­ran t i B oursonne (chevalier du 10 m ai 1927).

Reié Germ ond, ja rd in ie r à C ham ant (cheraher du 13 août 1922).

ChevaliersEnest-Louis C han trier, h o rticu lteu r

à M irtefontaine.(J&rles Collette, ja rd in ie r à C répy-en

Valos. 'Jues Deniau, ja rd in ie r , à V ille rs-S t-

PaulBaltiste D espatin , d irec teu r d’école,

à Seilis.Reié Dclansoy, a g r ic u lte u r à C ires-

lesfftfello.1 ictor-Charles D esprez, m aréch a l-

fe rrm tJà Duvy.0orgfes-Léon D um ont, cu ltiv a teu r à

RyO-— 4 « ffs - cVfûr-Oise.

H e c to r L 'a b ittè , ja rd in ie r à P ré -

L a deuxièm e R égion Econom ique nous inform e q u ’une session de l’exa­m en p ré lim in a ire p o u r l’ob ten tion du B revet d ’expert-com ptab le reco n n u p a r l’E ta t s ’o u v rira le sam edi 6 octobre 1934. D’au tre p a r t, u n e session de l’exa­m en p ré lim in a ire p o u r l ’ob ten tion du diplôm e de g éo m ètre -ex p ert du Gou­vernem en t, s ’o u v rira le lu n d i 22 octo­bre 1934.

P o u r ces deux exam ens, les dem an­des d’in sc rip tio n , accom pagnées des pièces rég lem en ta ires , se ro n t reçues au M inistère de l’E ducation N ationale, Di­rection G énérale de l’Ense-'gnem ent - echn ique (5e B u reau ), iu .;qu’au 31 ao û t 1934 inclus.

Ife ien -N arc isse Leclerc, ag ricu lteu r ' à l&iverny.

R jbert-Edouard P en sa , rég isseu r a- gn(î>le à S ain t-M axim in .

REGULARISATIONSOfficier

-M. Edgar-Eugène D rouard , m aréch a l- ferrant, à S en lis ,' (ch ev a lie r du 20 août 1924).

ChevaliersAlexandre Couty, com m is p rin c ip a l

des eaux e t forêts, à Senlis.H.-J.-B. T roussé , ja rd in ie r , à C han-

tilly.Nos félic ita tions. •

Pèlerinage diocésain à N.-D. de LourdesM. le chano ine D elam otte, fa it un ap ­

pel en fav eu r des m alades pau v res du prochain P è le rin ag e à N otre-D am e de Lourdes. Toute offrande, m êm e la p lus modeste, se ra reçue avec rec o n n a issa n ­ce à « la D irection des P è le rin ag es, 17, rue A ngran d -L ep rin ce , B eauvais ». Chèque posta l n “ 1.733. 76 P aris .

Les catastrophes de la semaine

PAN DANS LA LUNE !

Nous n ’en som m es pas encore à n o ­tre d ern iè re su rp rise avec les p ro g rès de la science ! Non con ten ts de v ivre su r u n globe, don t l ’ag ita tio n est no ­toire, nous essayons de je te r le troub le chez les p lan è tes voisines. En effet, ap rès avo ir a tte in t la h a u te u r de 18.000 m ètres en ballon , Gosyns se p ré ­pare à la n c e r une fusée d ans la Lune.

Ju sq u ’à p résen t, en . im ag ina tion , nous nous con ten tions p o u r cet as tre , de lui d o n n er des coups de p ieds, de lu i faire des trous, ou d ’y p ro m en er nos rêveries san s p o u sse r toutefois l ’a u d a ­ce ju sq u ’à la réa lisa tio n d ’une telle p ro fanation . M ajesté de nos belles nu its d ’été, la Lune prom ène so lita ire , une c la rté b la fa rd e q u ’elle étend d is­crètem ent, comme un linceu l, s u r l ’a ­gonie de nos jo u rs éphém ères ; chan tée p a r les poètes, aim ée de no tre am i P ie r­rot, ce d e rn ie r se ra inconso lab le de voir défigurée le com plice de ses am ours avec Colombine.

L’im p ru d en t Gosyns lance sa fusée avec-'la ce rtitu d e q u ’elle ne re to m b era pas su r le c rân e d ’u n citoyen te rre s tre . D’ap rès ce phy sic ien célèbre, la sc ien ­ce lui donne l’a ssu ra n c e que si le p ro ­jectile ra te le bu t, il dev ien t sa te llite de la T erre e t do it to u rn e r a u to u r d ’elle san s jam ais y rev en ir. Si to u t est b ien exact dans cette « re la tiv ité » b ien tô t le crim e n ’ex is te ra p lus s u r te rre . Le jo u r où l ’on v o u d ra se d é b a rra s se r d ’une personne g ên an te , on l ’em b arq u e ra s u r une fusée m al réglée, m ais su ffisan te p o u r l’é lo igner de toute a ttrac tio n te r ­restre e t ce nouveau sa te llite to u rn e ra « in æ te rn am » san s a u tre espoir, p o u r ob ten ir la condam nation du coupable, que d ’a tten d re le ju g em en t d ern ie r. Dé­cidém ent la le n te u r de la Ju s tice est incom m ensurable .

D’au tres , m écon ten ts de le u r so rt, p o u rro n t re fa ire leu r vie dan s un a u tre m onde. V énus est ind iquée p o u r les am oureux ; S a tu rn e , p o u r les sa n s- ab ris ; M ars, p o u r les m ilita ire s , etc. Bref illu stre Cosyns, si vous p e rsistez dans votre p ro je t, visez b ien e t ne ra tez pas le but.

M algré toutes vos a ssu ran ces , à une telle d istance le re to u r d ’un pro jec tile su r te rre e s t des p lu s d an g ereu x et, jusqu a p reuve du co n tra ire , je p la in s celui qui se tro u v e ra sous la vertica le

* w iBe... renvo i de la Lune.Plumedoie.

L’Aetualité politiqueLa dérobade

A la su ite d ’odieuses calom nies p a ­ru es dan s 1’ « Echo R ép u b lica in », j ’ai envoyé à ce jo u rn a l la rec tification su i­v an te :

M onsieur le G érant,« Un hom m e jeune , san s fo rtune , ne

possède q u ’un seul b ien au ssi p réc iau x que la vie ; c’e s t son h onneur. U n de­voir im p érieu x lu i com m ande de le défendre q u an d il es t a ttaq u é ou sou il­lé. J e ne fais donc qu’ex erce r u n d ro it de légitim e défense en vous p r ia n t d ’in ­sé re r cette rec tification d an s votre p ro ch a in num éro :

Bien que ne me d ésig n an t pas nom -

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Vendémiaire14 et 16 pages

Le N° : 0,75 — Abonnement un an : 25 fr.

rues », n ’a la issé aucun doute dans l’e sp r it de vos lec teurs,..quan t à la p e r ­sonne visée, le jeu n e p o litic ien -jo u rn a ­liste..., fu tu r cham pion des lu ttes élec­to ra les, ne p e u t ê tre que moi. C’est pourquo i je ne veux la is se r à perso n n e , le soin de vous répondre .

« Le b ru it s in g u lie r, tenace et g rave » n ’a p u g e rm er que dan s la cervelle m aladive d ’u n m an iaque de la d iffam a­tion ou d an s l ’im ag in a tio n ha in eu se d’un ad v ersa ire politique.

Les m ots me m an q u en t p o u r e x p ri­m er avec exactitude en quel m ép ris je tîen s , et les a u te u rs de ce g ro ss ie r m ensonge, e t ceux qui comme vous, en on t recueilli com pla isam m en t l’écho.

Jam a is je n ’ai été p ris : « la m ain dan s le sac », jam ais je n ’ai été « v e r­tem en t dém asqué », jam ais je n ’ài trich é ».

La p résen te rectification vous é ta n t faite sous réserve do toutes p o u rsu ite s u lté rieu res ».

*★ ★L’ « Echo R épublica in » a c ru devoir

a jo u te r à m a réponse, u n com m entaire s in g u liè rem en t e m b arra ssé e t f ilan ­d reux , don t voici un e x tra it : « Mpis que diable v ien t fa ire M. LEGENDRE dan s l ’h is to ire qui co u ra it e t qui court avons insérée, pa rce que com m uni­quée p a r u n de nos co rresp o n d an ts de cette ville. Il nous d isa it, ce co rresp o n ­d an t, q u ’u n b ru it é tran g e c irc u la it en ville. On y p a r la i t de tr ich e rie au x c a r ­tes, d ’une g rosse d ispu te dan s u n lieu public. On m u rm u ra it que l ’u n des p a r ­ten a ire s deva it ê tre u n jo u rn a lis te -p o ­litic ien . Nous dem andions à ê tre re n ­seignés. E t s u r ce M. LEGENDRE é- prouve le besoin de fa ire p u b lie r q u ’on a voulu a tte n te r à son h o n n eu r. Où ? Q uand e t com m ent ? A vons-nous nom ­mé LEGENDRE ?

M. LEGENDRE h ab ite P a ris , le fa it s’est p assé à Senlis... E t au su rp lu s M. LEGENDRE se cro it-il le seul jo u rn a ­lis te-p o litic ien en F ran ce ?... »

Qu’on me p erm ette de so u lig n e r l’h y ­pocrisie de ces gens d o n t le courage va, 'ju s q u ’à la d iffam ation, m ais pas p lu s loin.

Certes, je ne su is pas le seul « po li­tic ien - jo u rn a lis te » e x is ta n t en F ra n ­ce, cep en d an t je ne pense pas q u ’il s ’en trouve beaucoup, p o u r cu m u le r ce titre avec celui de : « fu tu r cham pion des lu tte s é lectorales » dan s cet a rro n d is ­sem en t !

L’ « Echo R épub lica in » joue, su r les m ots. Il essaye de se défiler, Il n ’y p a r ­v ien d ra p as !

ses son avoca t fe ra it ré c u se r les ju ré s rép u b lica in s e t a in s i ép u ré le ju ry ne v e rra it q u ’une question politique et ne le condam nerait pas ».

Je n ’a u ra is p as besoin d ’em ployer cet artifice. Il me su ffira it de p ro u ­v e r :

1° Que M. VASSAL a touché de l’a r ­g en t de M. P au l DEVOUGE.

2° Que M. VASSAL a fa it des d ém ar­ches p o u r o b ten ir la Légion d ’h o n n eu r à M. P au l DEVOUGE.

3° Que M. P au l DEVOUGE a fa it vo­te r les é lec teurs de BRASSEUSE p o u r M. VASSAL.

Je me réserve de fa ire cette tr ip le pijeuve d an s m es p ro ch a in s a rtic les e t dans m es conférences. Ce ne so n tpas les m enaces de M. VASSAL qui

Mnîul̂ TY," teù ice * ' i r V b e l u f c r ie r 'LEGENDRE p eu t ê tre 'c e r ta in que je lu i b o tte ra i le d e rriè re , le jo u r où en m a p résence , il o se ra ré p é te r la saleté qu ’il a lancée à M areu il-su r-O u rcq et j ’espère b ien que m es cam arad es et m es am is, ne p e rm e ttro n t pas, à ce tr is te s ire en m on absence de ren o u ­veler son exp lo it ». Cela ne m ’em pê­ch e ra pas de d én o n cer sa duplic ité . D’ailleu rs , M. VASSAL a déjà p e rd u deux occasions de m ettre k a m enace à exécution : je lu i a i rép é té en face, à M areu il-su r-O urcq , les p aro les que j ’avais p rononcées u n q u a r t d ’heure p lu s tôt, d ev an t ses am is, e t il n ’a pas b ronché ! S am edi d ern ie r, j ’ai ten u à peu p rès le m êm e lan g ag e au x au d i­teu rs de VERBERIE, san s q u ’un seul socialiste ne bouge ! L a p ro ch a in e fois, il le u r fa u d ra r a t t r a p e r le tem ps p e r­du.

P o u r a u jo u rd ’h u i, je ne veux t ir e r q u ’une seu le conclusion : Un p a r le ­m en ta ire ch a rg é de fa ire les lois d ev ra it avo ir assez de d ig n ité p o u r re sp ec te r les hom m es in tèg re s ch a rg és de les a p ­p liq u e r ! Un p a rle m e n ta ire ch a rg é de fa ire les lois d ev ra it avo ir assez de sé ­rén ité p o u r en accep te r les r ig u eu rs , q uand il les a en courues ! M. VASSAL ne possède n i l ’une n i l ’au tre . Ce p e tit L c sp n i a ia’ înêSùre ub S'à CaHfe !

lie nouveau Collaborateur

IL Vassal n’est pas content— On a 24 h eu res p o u r m au d ire ses

jug es — M. VASSAL ne l ’ignore pas, e t c’est pourquoi il déverse son fiel, abondam m ent, dan s le d e rn ie r num éro de f « Echo R épub lica in » :

« A insi deux affaires s im ila ire s : deux jug em en ts d ifférents. M. LEGEN­DRE m ’in ju rie . Je su is député, c ’es t la Cour d ’A ssises qui e s t com péten te, d it le T rib u n a l de Sen lis ».

L’ « Echo R épub lica in » pub lie un e x tra it d ’un jo u rn a l p a ris ie n in ju rieu x , p a ra ît- il , p o u r M. TAITTINGER, d ép u ­té n a tio n a lis te de P a ris , c ’es t le t r i ­b u n a l co rrec tionnel qu i e s t com péten t d it le tr ib u n a l de .Senlis. E t g é ra n t re s ­ponsab le de 1’ « Echo R épub lica in », je su is condam né.

C om prenne qui p o u rra . I l p a ra î t que c’e s t a in s i que la ju stice do it ê tre r e n ­due, en ap p lica tio n des lois f ra n ç a i­ses ».

P a r le r p rocédure à no tre dépu té ? a u ta n t p a r le r h éb reu à u n ch ino is ! Ce M onsieur igno re év idem m ent que toute in ju re ou d iffam ation à l ’égard d ’un hom m e pub lic , e s t d u re s so r t de la C our d ’A ssises.

L’a ss ig n a tio n de M. TAITTINGER n ’a r ien de com parab le avec celle de M VASSAL, M. TAITTINGER a y a n t été diffam é non p as en ta n t que député, m ais en ta n t que P ré s id e n t des J e u ­nesses P a trio te s , nom m ém ent désignées d an s l ’a rtic le incrim iné .

La ju stice a é té p a rfa ite m en t ren d u e selon l’e sp r it e t la le ttre des lois que M. VASSAL vote, m ais ne co n n a ît po in t !

Au lieu de gém ir, que M. le D éputé m envoie donc d ev an t la Cour d ’A ssi­ses, là, nous nous exp liquerons. Seule­m en t il n ’y t ie n t pas d u to u t ! Il cache m êm e sa fu ite sous u n p ré tex te : le m anque d ’a rg e n t ! S ’il e s t à ce p o in t im pécunieux , qu ’il dem ande l ’a ss is ta n ­ce ju d ic ia ire ! En réa lité M. VASSAL n ’a pas confiance d an s la so lid ité de son accusation . B ien m ieux, il avoue ses c ra in te s : « D evant la C our d ’A ssi­

L’équipe de 1’ « Echo R épub lica in » v ien t de s ’e n r ic h ir d ’une nouvelle u n i­té de m arq u e : Il s ’a g it de M. P au l DE­VOUGE, an c ien cu ltiv a teu r, m u ltim il­lio n n a ire , ch ev a lie r de la Légion d’h o n ­n e u r e t fo rt h o n o rab lem en t connu à Senlis.

S a p rose a les h o n n eu rs de la p re ­m ière page dan s le d e rn ie r num éro de no tre confrère .

Cette co llabo ra tion p o u r n ’ê tre q u ’ex­cep tionnelle e t p ro b ab lem en t involon­ta ire , m érite d ’ê tre signalée . Nous en rep arle rons...

- » o « -

Qüestions à fï. WarusfelE st-il v ra i que vous vous soyez fait,

le m ard i 24 ju ille t, s u r le cham p de courses de C om piègne, l ’écho de cette calom nie p a ru e , quelques jo u rs p lu s ta rd , dan s le jo u rn a l de M. VASSAL ?

Si oui, veuillez av o ir l ’ob ligeance de m ’in d iq u e r la source de vo tre in fo rm a­tion !

E st-il v ra i qu ’à la m êm e h eu re , en ce m êm e lieu, vous ayez de façon d u b ita ­tive, p a rlé de m es m oyens d’ex is ten ­ce ?

P u isque ce su je t vous préoccupe, je su is à vo tre en tiè re d isposition p o u r d iss ip e r vos hon o rab les sc ru p u les e t vous d o n n e r — ju stifica tio n en m ain — tous ap a isem en ts . Je m ’étonne m ê­me que vous ne m ’ayez pas posé p lus tô t cette question , à l ’issue de m es con­férences auxquelles vous avez ass is té !

Donc : le m ard i 24 ju ille t, vous col­portez u n « rag o t » d ésh o n o ran t p o u r moi e t vous ém ettez des doutes q u a n t à la source de m es rev en u s ! Or, le s a ­m edi 28 ju ille t, deux a rtic les de l ’Echo R épub lica in » rep ro d u isen t fidèlem ent vos propos.

Y a -t-il là, re la tio n de cause à effet, ou sim ple co ïncidence ?

LEGENDRE.

Chemin de Fer du Nord

FETE DE L’ASSOMPTION, 15 AOUT

A l ’occasion de la fête de l ’A ssom p­tion (15 ao û t 1943) le serv ice des tra in sde voyageurs se ra le su iv a n t :

S au f déroga tions ind iquées au x affi- ch es-h o ra ires , les tra in s p rév u s comme d ev an t c irc u le r les veilles de fêtes se­ro n t m is en m arch e le m ard i 14 ao û t ; les tra in s p rév u s com m e dev an t c ircu ­le r les jo u rs de fêtes se ro n t m is en m a r­che le m erc red i 15 ao û t ; les tra in s p rév u s com m e d ev an t c irc u le r les le n ­dem ains de fêtes se ro n t m is en m arche le jeu d i 16 août.

Enfin, les tra in s ind iqués au x affi­ches com m e d ev an t avo ir lieu les s a ­m edis seu lem en t ne c ircu le ro n t pas le m ard i 14 août, de m êm e ceux ind iqués les lu n d is seu lem en t ne c ircu le ro n t pas le jeu d i 16 août, sau f d éroga tions s ti­pu lées au x docum ents sus-m diqués.

e

LE COURRIER DE L’OISÈ-*"f ' .....

A traversPHARMACIES OUVERTES : !

D im anche 12 août : P harm ac ie M or- ci'Ctli1, pliicc de la Halle.

Mercredi 15 août : PJiarm acte Lesa- ge, place H enri-IN .

Vélodrome de SenlisDIMANCHE 12 AOUT

à 14 heures

G R A N D E R É U N I O Nd e C o u rses R ég io n a les

avec les équipes Maurice P E R R IN - DELEVACQL1 E

L E G R IS - M O R ET CA N D EL1ER - Q U E V R E U X

IIE R B A IN - L E T E L L IE R B ER N A R D - L É O N -C H A R L E S

GALLARD - FAYARD G1LLE - N IC H O L L S

V O ILLO T - X ..., etc., etc.

Granfl Prix U la Villa âe Seiim Grasâ Prix îe l’Botel to Graii-Ceï!

Grani Prix fia lonrral « Le Journal »

DANS LA MAGISTRATUREM. Béteille, p ro c u re u r de la R épub li­

que de 2° classe, p rès le tr ib u n a l de Beauva.is, anc ien p ro c u re u r de la R é­pub lique à G om piègne e s t nom m é juge d’in s tru c tio n -a d jo in t au tr ib u n a l de p rem ière in stan ce de la Seine.

—̂ M. Cérède, p ro c u re u r de la R ép u ­blique de 26 c lasse , p rès le tr ib u n a l de prem ière in s tan ce de M elun, anc iensu b s t i tu t au p a rq u e t de Senlis, est n o m m e s u n s t i u i t - a u j o i u b o u px-ocurouj.de fa R épublique p rè s le tribunal* deprem ière in s tan ce de la Seine.

— M. D upin, p ro c u re u r de la R épu- b liquej p rè s le tr ib u n a l de p rem ière in stan ce de N antes, anc ien juge d’in s ­tru c tio n à S enlis, e s t nom m é su b s ti­tu t-ad jo in t du p ro c u re u r de la R épu­b lique p rès le t r ib u n a l de p rem ière in stan ce de la Seine.

-»o«-BISTINCTIONS HONORIFIQUES

À io ccas io n de sa v isite au M usée dotldé, à C hantilly , lé m ois d e rn ie r, le bey dé T un is a d écerné les d is tin c tio n s su iv an tes d ans l ’o rd re du N icham - Iftik b à r.

Plaque de Grand OfficierM. T>umoulin, so u s-p ré fe t de Een-

lis.M. H enri Malo, co n se rv a teu r-ad jo in t

du M usée Gondé, à G hantilly .Rosette d’Officier

M. Gafrius, seeré tû irè g én éra l dé la Sotis-R féfectufé.

Croix de CommandeurM. P h ilippe , com m issaire de police

de G hantilly.Croix de Chevalier

M, B reton , a g en t de police à C han­

teau de G hantilly.Nous ad resso n s à tous, nos sin cè ­

res com plim ents.*-------- »o«— ------

CHEVALIER DU MERITE AGRICOLED ans la d e rn iè re prom otion , nous

avons relevé avec p la is ir , le nom de M. D ëspatin , d ire c te u r de l’École pub lique des garço n s qui e s t nom m é C hevalier.

On Sait la p a r t active p rise p a r M. D espatin , dans l ’oeuvre si im p o rtan te des ja rd in s sco la ires e t avec ses am is, nous ap p lau d isso n s à cette d istin c tio n b ien m éritée.

- » o « -

DANS LA SURETE GENERALELa m édaille d ’h o n n e u r de la police

de la S û re té G énérale v ien t d ’ê tre dé­cernée à M. A ndré B audeloque, in sp ec ­te u r de police spéCiàlê, à P a ris .

Nous lu i ad ressons nos b ien sy m p a­th iques fé lic ita tions.

--------- 3>0<t---------Le Commandant honoraire MAHIEUX,

est üoiûinéChevalier de lâ Légion d’honnëurD im anche d e rn ie r , rtous avons a p ­

p ris avec p la is ir , la n o m ina tion , su r la p roposition du G rand C hancelier do la Légion d ’h o n n eu r, de n o t r e excellen t concitoyen, M onsieur P rosper-G eorges M ahieux, com m andan t h o n o ra ire des S ap eu rs-P o m p ie rs de Sen lis au g rad e de C hevalier de la Légion d ’h o n n eu r.

Le « Jo u rn a l Officiel » m en tionne qU àrah te-six années de b r illa n ts se r­vices et m ilita ires.

Cette bonne nouvelle ré jo u ira tous les am is, e t ils so n t nom breux , du n o u ­veau chevalier.

Le co m m andan t M ahieux, ap rès avoir fa it ses débuts de sa p e u r-p o m p ie r en la com m une de Ch am an t, son pays d ’o rig ine , v in t à Renlis en 1898, ou b ien tô t il fu t nom m é lie u te n a n t, eh. 1900, il re çu t les ga lons de cap ita ine .

S en lis n ’oublie pas les efforts de son co m m andan t p o u r l’am élio ra tion de son service d ’incendie. Ses n o m b reu x e t in ­té re ssa n ts ra p p o rts fu re n t très a p p ré ­ciés e t p ris en co n sidéra tion , ce qui p e rm it l ’o rg an isa tio n d ’une bonne dé­fense con tre l ’incendie.

Ën 1980, le cap ita in e M ahieux ré s i­lia ses fonctions e t fu t ensu ite nom m é co m fââh d âh t h o n o ra ire , en m êm e tem ps que le lie u te n a n t H ennequ in é ta it nom m é cap ita in e h onora ire .

S uccessivem ent v içe -tré so rièr, tré so ­rier général de l’U nion Départementa­le des S ap eu rs-P o m p ie rs de l ’Oise, le C om m andant M ahieux, reçu t p lu sieu rs mentions honorab les et lettres de féli-cita tio n s p o u r la façon d o n t il av a it o r­g an isé les secours con tre les incen-aies, il e s t titu la ire dé la m édaille d h o n n e u r en a rg e n t du GôUVéfhêhient, de la m édaillé d ’o r dé là M utualité, dé la m édaille d ’o r de l ’EdUcatioh p h y s i­que, il fu t lé fo n d a teu r et p ré s id en t de la P ré p a ra tio n M ilita ire de Sertlis p e n ­d an t 25 ans. M. M ahieux es t éga lem en t officier de l ’In s tru c tio n publique.

N ous nous jo ig n o n s au x nom breux am is du nouveau chevalier, p o u r lu i a d re sse r nos b ien vives e t cord ia les fé­lic ita tions.

-» os-DAN S L’ARMEE

Le m aréch a l des logis R ené G régoi­re, dti 4* S pah is m aro ca in s , e s t adm is dâftS lé co rps dêS Sdüs-ôffîciërs de c a r­r iè re âu titré du dëüxièm é sëm éstre 1934.

AU 4'* REGIMENT DE SPAHIS MAROCAINS

Le m aréchal des logis Jean L'Hoir e s t désigné p o u r su iv re un cours d’in s ­tru c tio n à l’Ecole S u p érieu re d ’E duca- tion P hysique de Jn inv ille , à com pter du l"r octobre 1934,

-»o«-

CROIX DE FEU ET BRISCARDSLe b u reau de la Section de Senlis des

Croix de. Feu, B riscard s , V olontaires N ationaux et M em bres du R. N., aviseses a d h é ren ts q u ’une pe rm an en ce est étab lie d ans une des Salles du Café du Chalet, tous les jeud is so ir de 20 h. à 22 heures.

Il inv ite les cam arad es à fréq u en te r rég u liè rem en t ces réu n io n s am icales et se tien t à la d isposition de toutes les perso n n es d é s ira n t av o ir des p réc i­sions s u r le m ouvem ent Croix de Feu.

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Madame RIGAUT, librairie, journaux,rue S ain t-H ila ire , inform e sa c lientèle, q u ’elle a cédé son fonds de com m erce à M. ASTÏÉR, e t là p rié de b ien vou­lo ir co n tin u e r à son successeu r, la confiance qu ’elle lui av a it accordée ju s ­q u ’ici. 9746

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AU SUJET DE LA FERMETURE HEB­DOMADAIRE DES MAGASINS DECHARCUTERIE, A SENLISA la su ite de d ivergences d’in te rp ré ­

ta tio n de l’a rrê té p ré fec to ra l du 29 m ai 1934, p re sc r iv a n t la fe rm etu re hebdo­m a d a ire G© jeud i) dés m ag asin s de ch a rcu te rie à Senlis, ville e t d an s tou t l ’a rro n d issem en t, M. le G om m issaire de police a dem andé à 1’âu to rité préfecto ra ie dan s quel sens ex ac t do it ê tre compris, interprété et appliqué P artic \o. i er d e l ’a-rroio s u s - v i s é a i n s i c o n ç u :

« D ans toute l ’é tendue du te rr ito ire « dé la Ville dé S en lis , les ch a rcu te - « ries spécialisées, a in s i que les ray o n s « d’a lim en ta tio n en a rtic les de ch a rcu - « terre p o u v an t ex is te r dan s les dépôts « tels que : ép iceries ou m ag asin s « d’ap p ro v is iô û n em en t quelconques, « se ro n t ferm ées au p u b lic p e n d a n t « toute là jo u rn ée dü jeu d i ».

La question su iv an te a no tam m en t été posée :

Les m ag asin s de ch a rcu te rie , au sens p ro p re e t m atérie l du m ot « m aga sin » do ivent-ils ê tre ferm és rée llem en t effectivem ent, à clé, poignée de po rte enlevée, rid eau de fe r b a issé a la de­v a n tu re ?

C erta in s c h a rcu tie rs dé la ville, fe r­m en t a in s i effectivem ent leu r m ag a ­sin , à l ’in s ta r des boucheries, p â tis se ­rie s e t salons de coiffures, a s tre in ts , ég a lem en t eux. au ss i à u n jo u r de fer m e tu re hebdom adaire .

U n au tre c h a rc u tie r de la ville, in te r ­p ré ta n t d ifférem m ent l’a rrê té sus-v isé , tie n t son m ag asin ou v ert au p u b lic le jeu d i (jou r de fe rm etu re h ebdom adai­re p rév u p o u r les ch a rcu te rie s) m ais ne vend au pub lic , au cu n e v ian d e de porc , fra îche , en sa la iso n s, en co n se r­ves ou en p ré p a ra tio n s spécialisées,œ ak, P6*A,’ê,,4fe1 ftÆÜHMi? ̂ Iiisform e de rô tis, du la p in fra is, des con­serves de po issons, de légum es, etc., etc.

D’a u tre p a r t, en ce qui concerne les ray o n s d ’a lim en ta tio n • en a rtic le s de ch a rcu te rie p o u v a n t e x is te r dan s tes m a g a s in s d ’ep icèrie ou d’ap p ro v is io n ­n em en t quelconques, il a été dem andé à l’au to rité p ré fec to ra le , si tes p ro d u its su iv an ts : la v iande de po rc fra îche ou s-aîée, les sa la iso n s de porc d iverses, 1e jam bon , les sau c isses e t les sp écia lités de ch a rcu te rie de toute n a tu re , telles que pâtés. Fillettes, etc., d ev a ien t ê tre re tiré s effectivem ent de la m ise en v en ­te d an s les d its m ag asin s d’ép icèrie et a u tre s , toute la jo u rn ée du jeu d i (jou r de fe rm etu re fixé) ou s im p lem en t re couverts, p a r exem ple, d ’une bâche ou d ’tin linge, p o u r in d iq u e r n e ttem en t au p ub lic q u ’ils ne so n t p as m is en Vente ce jo u r-là , p rocédé que ce rta in s , c h a r­cu tie rs réc lam en t e t qui s e ra it a p p lic a ­ble dan s ce rta in es villes:

M, te C om m issaire de police fe ra c o n n a ître à tous les in té ressés e t p a r voie de la p resse , l ’in te rp ré ta tio n exac­te de l ’a rrê té d on t s ’ag it, dès q u ’elle lu i se ra donnée p a r l ’au to rité com pé­ten te , ce qui m e ttra fin au x d iv e rg en ­ces d ’ap p lica tio n de ce récen t règ le ­m en t

PENSION DÈ FAMILLE

Chalet Saint-NicolasM a d a m e 3 D X S C O G K .

Rue du Bois, BEKCK* PLAGE

Cuisine so ign ée — ^ Prix t r è s m od érés9743

« PRIMES - SURPRISES »Le ré su lta t du tira g e des « P rim es-

S u rp risd s », rtôite é ta n t p a rv en u trop ta rd , n ’a pu être p u b lié la sem aine d e r­n ière ,

Voici la liste des num éros g a g n a n ts : Sérié 5

13 81 85 314 695 746 751 773 918 908Série 6 v

30 303 304 881 884 405 415 407 471 706 834.

Les lots devron t ê tre réc lam és a v a n t te p rem ie r sep tem bre.

A p a r t i r du 15 août, u n nouveau sorviee. « ftefllis-Prifnos », avoc p a r t i ­c ipa tion & la Loterie N ationale fonc­tionnera .

Les C om m erçants qui d és ire ra ien t co n tr ib u e r à dette ém ission n ’o n t qu ’à s ’a d re sse r à M. D uchet, 0, p lace de là H alle, à Senlis.

LES POILUS D’ORIENT DE SENLISA ROUEN

Un beau tem ps idéal, u n au tocar ra ­pide et doux, une bonne h u m eu r gétié- ra le , une récep tion trè s cord iale , tel est te b ilan de l’ex cu rsio n des Poily* (te )rien t le 22 ju ille t à Rouen.

Sous la ro n d h ite du sec ré ta ire de | a Section M. Je n n e q u in , trente-tro is voyageurs, poilus d’Ü rien t e t leu r fa­m ille, m o u la ien t d an s le c a r à 6 heu_ res, place de la H alte ; u n q u a r t d ’heure d’a r rê t k M agny-eii-V oxin p o u r « boire le ju s », e t à lu h eu res, du h a u t de la côte de B on-Secours, Roüen et les n îéan d res de la Seine appara issa ien t au x pieds des voyageurs.

D ébarqués au cen tre de la, ville, une h eu re V2 de lib e rté p e rm it an>4 Sruii-siens de p ren d re u n p re m ie r confeef'avec la vieille c ité n o r m a n d e ; on visi­ta les r u e s tes p lu s c u r ie u s e s , o n adm i­ra la Grosse H orloge, les s c u lp tu re s de la ca th éd ra le , la sveltesse d e sa flèche to u te a jo u r é e p o u r r e v e n i r a u P a la is de Ju s tice où tou t u n groupe de Poilus d ’O rien t ro u en n a is nous a t t e n d a i t

A m idi, le D octeur Audy rejo int le g roupe, un cortège s’o rgan ise ; les d rap eau x de la Sectio» Rouennaise et de la Section de Sentis en tête, le p ré ­siden t, le v ice-président, le secrétaire gén éra l e t une nom breuse délégation de la Section rouônnaise aecom pagien t les S en lisiens p o u r déposer une m a­gnifique gerbe de fleurs au m ohunent de « la V ictoire », érigé su r la pheê, face au P a la is de Justice.

Cette cérém onie term inée^ u n rou- veau cortège — un peu p lus do tan t toutefois — se forme po u r atteindre le bou levard de l’Y ser où nous atterri te dé jeuner.

Le p ré s id e n t R ousselet et Madtme Rousselet, M. Declêrc, vice-pfésidert de la section e t p ré s id en t de la Commis­sion des Fêtes ; M. L alm ant, secrélaire gén éra l ; M. C hagrot, porte-dfapeàu, p ré s id en t cette tab le de 40 convives.

M enu a b o n d an t e t exquis com porhnt le fam eux c an a rd à la R ouennaise. les pa la is un peu desséchés p a r le grau) a ir ap p ré c ie n t su r to u t un excoih-jabê­tit c idre p a rfa ite m en t ra fra îch i. |

A u dessert, le D octeur A udy reB fr- c ia te b u re a u de la Section Houennai- se de l ’accueil trè s co rd ia l fa it aux S en lis ien s , de toute la p e ine p rise pour l’o rg an isa tio n de le u r récep tion et du geste trè s am ical du seê ré ta ire général L a lm an t qui av a it été à le u r rencontre ju sq u ’à P o n t-d e -l’A rche, il exprima l ’esp o ir q u ’une ex cu rsio n du même gen re am ène u n jo u r tes camarades ro u en n a is à Senlis où 1e m eilleur ac­cueil le u r se ra réservé.

Le P ré s id e n t R oussele t assura être fier que la cap ita le de la Normandie a it ten té les S en lisiens e t très heureux d ’av o ir pu les accu e illir p a r une belle jo u rn ée e t en to u ré d ’une nombreuse délégation , il ex p rim a l’espoir que la visite des cu rio sités de la Ville proje­tée p o u r l ’ap rès-m id i la isse un souve­n ir d u rab le e t ag réab le au x visiteurs

Les g roupes de fo rm en t a lo rs rapide­m en t p o u r se ren d re au P ort, à Bon- Secours, au x p laces h isto riques de Rouen et à 6 h eu res Va, te ca r réem bar­q u a it ses voyageu rs les yeux e t la mé m oire p le in s des déta ils in téressan ts, ren co n trés à chaque pas.

geu rs, p a r u n e descente en lacets qui p erm it d ’a d m irè r le superbe pan o ram a de la vallée de la Seine, au x Andelys.

Le déjeuner était loin, un restau ra n t aim able accueillit au bord de la Seine les Seillisfens et les régala d’une fritu re fraîche pêchée qui rem onta 1e m oral si tan t est qu’il en fut besoin.

Lâ rou té dü re to u r, la n u it venue, fu t sa n s in c id en t e t à m in u it la Place dé la H alle rë te n tis sâ it des souhaits de bonne n u it que l’on se renvoyait- teu tüe llem eiit en esco m p tan t déjà üüe sem blab le bonne jou rnée po u r l’an bée p rochaine .

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LÉ 30 AOÛT A LISIEUX & DEAUVlLtE LES 8 ET 9 SEPTEMBRE

AU MONT SAINT-MICHELL a M aison CUISINIER, encouragée

p a r le succès de ses d e rn ie rs voyages et a ÿ a h t dû re fu se r des p laces à ses d e rn iè res so rties, in form e son aim able clien tèle, qu ’elle o rg an ise à nouveau lës deux excu rsions su iv an tes .

Le 30 août, à Lisieux et Deauville.P rix : 55 fr.

D épart : 5 h eu res du m a tin , p lace de la Halle. A rrivée à. L is ieux -e t v isite de la ville ; tes B uisSonnets e t le Gârmel en au tocar. V isite lib re de la B asili­que e t de la Ville.

D ép art de L isieux à 14 heu res, po u r tes perso n n es d é s ira n t a lle r à b e a u - ville e t T rouville . R e tou r dans la soirée po u r re p re n d re à L isieux les p e rso n ­nes don t cette ville se ra le seul b u t de l ’excursion .

In sc rip tio n s a v an t le 27 cou ran t, V er­sem en t à l ’in sc rip tio n : 30 fran cs, le solde au départ.

Lès 8 et 9 septembre, au Mont Saint- Michel, — P rix dü Voyage : 120 francs,dont 60 fran cs payab les à rihsC fip tioh , te soldé aü dép art, In sc rip tid n av an t le 5 sep tem bre au Café du Commerce, p lace de la Halle. 9767

FETE DE LA PORTE GOMPIEGNE

C’est dem ain d im anche que com ­m en cera la trad itio n n e lle fête d ite de « la M ère M aroux », elle se co n tin u e ra 1e m ercred i 15 août.

De nom breuses a ttra c tio n s sa tisfe ­ro n t les goûts des p etits e t dés g ran d s .

Comme to u jo u rs , u n bal sous une ta iilé p a rq u e tée au x sons d ’u n o rch es­tre Jazz, d o n n e ra sa tisfac tio n aux afin s dé là danse.

Qü’ôn se le d ise !

STAND DU M0NTAUBAIIGRAND CONCOURS DE TIR 1934D im anche d ern ie r, au S tan d du M011-

_auban, s ’ést ouvert 1e concours de tir (Arme de, g u erre et C arab in e j^q u ’o rg a- niso an n u e llem en t l ’A ssociàtioh A m ica­le des A nciens Elèves de l'Ecole P u b li­que des G arçons de Senlis, avec l ’aide des Sociétés S. À. G. de la localité.

Les nom breux com pétiteu rs de cette p rem ière jo u rn ée fu ren t ag réab lem en t surpris p a r les am élio ra tions apportées au P tând ; le te rra in de bask e t-b a ll de l’A m icale e s t b ien am énagé ; au t i r à la ca rab in e de g ran d es p la te s-b an d es vo isinen t avec de coquets p a r te rre s .

Ce m ilieu fleuri e t pa isib le accueille ;réab lem ent chaque d im anche tes

am ateu rs de p ing -pong , m em bres de TA m icale, tan d is que quelques fam il­les de. socié ta ires s ’y d o n n e n t r e n d e z - vous p o u r y goû ter lé repos hebdoxna- daire.

L’Amicale n ’a pas fa d h a son rote et nous ne sau rio n s trop com plim en ter le dévoué secré ta ire -ad jo in t, d irec teu r de la section sportive de l’A m icale : V. B ern ard , qui a su si b ien la ra je u n ir en l ’ad ap tan t aux tendances m odernes.

B ravo, B ernard ! l ’Am icale e s t h eu ­reuse d’avoir trouvé en toi l’a n im a te u r sp o rtif q u ’il lu i fa lla it. Elle te félicite e t te rem ercie cord ialem ent.

Ch. L.

TIRaoû t

MM.

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AUDIENCE DU TRIBUNALDE SIMPLE POLICE

D ans son audience m ensuelle tenue le 3 c o u ra n t sous la p résidence de M. C ôlônnà, juge de paix , le tr ib u n a l de sim ple police de Senlis a eu à s ta ­

tu e r s u r 148 affaires, p o rta n t dans l ’ëfiëem blè su r 132 con traven tions.

Des c o n d a m n a t io n s v a r i a n t d e 1 à 15 f r a n c s d 'a m e n d e o r tt ô té in f lig é e s au x cO n t-rêV éhan ts p o u r le s in f r a c t io n s ste v a n t e s :

Ivreêse pub lique et m anifeste .T apage n o c tu rn e ou in ju rieu x .ViolencêS légères.M araudage.D ivagàtlon de éh ien en ville o u en

p la ine . $In frac tio n s à la police de4 débits.In frac tio n s à la police du roulage.In frac tio n s à la police des é trangers.In frac tio n s aux a rrê té s m unicipaux

etc., etc.T ren te eu titre venants qui n ’on t pas

daigné sé p ré se n te r s u r avertissem en t san s fra is , d ev an t le d it T rib u n a l se­ro n t ass ig n és p a r m in is tè re d ’hu iss ie r à la p ro ch a in e audiêficfe qui se tien d ra 1e 5 octobre p ro ch a in , à 9 heu res, salle de la Ju s tice de PâiX,

M inistère pub lic ; M. K astner, com­m issa ire de policé.

C lassem ent de la jo u rn ée du Carabiné

Dam esMmes R averdel M., 91 points.

G andon T., 88 points.- D oublet D.. 72 points.

A ider AL, 72 points.T u rlu re , 08 points.

V iennen t ensu ite : M mes Lofèvre et Y reven.

A dultesD oublet M., 89 points.M ingUet R., 89 po in ts.C astcila J., 89 points.A i d e r J . , 89 p o in t s .R o u i le f A., 89 p o in t s .G om piègne L., 89 points.H erb ert M., 89 points.G rân d p e rrin IL, 88 points. R averdel M., 86 points.D espatin J., 86 po in ts.M ention L., 85 points.G ressier G., 84 po in ts.B élier L., 83 points.L u zu rie r Ch., 82 points.T h ie rry R., 82 points.

V ien n en t ensu ite : MM. P age G., M. L iefquin. G renet F., Ô berti J., G rand- p e rrin Ch.. J e n n e q u in F., Leclerc J., B ern ard V., M arohois R., V incen t G.

Jeunesse Ju n io rs , au -dèssüs de 15 ans

MM. Cerri L., 89 points.B arbé G., 85 points.R rissé t J., 82 points.P igeard R., 78 points.L evasseu r J., 78 points.Casai g ran d i A., 74 points.M atton H., 68 points.Keim J., 66 points.

V ien n en t ensu ite : MM. B a tte fo rt J., Rondel J.

P up illes , m oins de 15 an sMM. D a ttu s G., 76 points.

Elophe R., 76 points.G ffjnêt M., S i points.Sansôfi J., (8 a n s) , 43 po in ts.

Arme de guerreA dultes

MM. Doublet M., 40 points.B ern ard V., 36 points.M artin M., 34 points.Lédlerc F., 34 points.C âstêlla P., 34 points.Gompiègne L., 34 points.Le g rahd IL. 31 points.R averdel M., 31 points.M ollât F., 31 points.M lhguet R,, 29 points.

V iennen t ensu ite : MM. S anson , G ressier, B ourbon, H erbert, V incent, T u rlu re , L am elle , O berti, M archois R,, Leclerc J.

JeunesseL evasseu r J., 39 points.B risse t J,, 33 po in ts.C erri L.,- 27 points.B arbé E,, 23 points.C asa lg rand i A., 19 points.M atton H., 12 points.Kein J., 7 points.P ig eâ rd R., 7 points,

D im anche p ro ch a in , 12 août, deux iè­m e séance du cônéours.

O u v e r t u r e d u S t a n d : 8 h e u r e s à 12 h e ü r è s e t 14 h e u r e s â 18 h e u r e s .

VELODROME DE SENLISD im anche p rocha in 12 août, g rande

réun ion de Courses Régionales o rg a n i­sées avec 1e p a tro n ag e du jo u rn a l « Le Jo u rn a l », de la Ville de Senlis e t de M. W on d rack , p ro p rié ta ire de l’Hôtel du G rand-Cerf.

Cette belle réu n io n , c in q u iè m e du c a le n d rie r du S. V. S enlis, nous p ro ­m et une belle ap rès-m id i sportive et tes sp ec ta teu rs qui fe ro n t te dép lace­m en t de S en lis do iven t a ss is te r à de jo lis em poignades, vu le lo t des cou­re u rs engagés.

Nous v e rro n s au x p rises avec les p a ­ris ien s les re p ré se n ta n ts du d é p a r te ­m en t de- l’Oise e t du S. V. S enlis, qui on t rem porté la victo ire au Vélodrom e de Creil, d im anche d e rn ie r, e t les Le- te llie r, H erb a in , B ern a rd , Léon Chartes, G allard , F ay ard , etc., etc., se heurte-. Vont au x m eilleures pédales p a r is ie n ­nes am ateu rs , in d ép en d an ts du m o­m en t .

Le p ré lude de cette réu n io n ré u n ira dans une course p a r é lim in a tio n le pe­t i t p rix du « Jo u rn a l », tous les jeunes du d ép artem en t e t nous v erro n s évo­lu e r avec p la is ir tes N icholls, Gilles, K âlin , Aebli, L éjéune, S âlvq C han tfe l- le, S auvai, ête.

Le g ran d p r ix de l’Hôtel du G rand- Cerf, épreuve de v itesse s u r 1.000 m é­trés, r é u n ira tous tes cham pions du dé­p a rte m e n t de l’Oise, B ern a rd , G allard , H erbâiiï, L etellier, Voillot, etc,, le S t- Q uentinois Q üévfeux, tes p a ris ie n s Le- g ris e t M oféb beau x espo irs du Gros- Caillou e t M aurice PERRIN, du VaUgi- ra rd -G fenelle Sportif, d o n t les ré fé ren ­ces sportives fe ra ie n t p â lir le b agage de ce rta in s gros professionnels* p u is ­qu ’il e s t cham pion o lym pique tandem 1932 à Los A ngelès (E .-Ü ,), tro is fois v a in q u eu r du g ra n d p rix de C openha­gue (v itesse), fina liste du cham p io n ­n a t du M onde e t dü g ra n d p r ix de P a ­ris, g a g n a n t de la finale des M édaillés 1030, a y a n t rem porté p lu s de 50 v icto i­res en vitesse à L ondres, Oslo, Copen­hague, V ienne, B erlin , etc. A lu i seul, M aurice P e rr in possède les références des m eilleu rs sp rin te rs .

Le p rog ram m e trè s com plet com ­p re n d ra éïi o u tre une épreuve in d iv i­duelle de 30 tours-, à laquelle p a r tic i­p e ro n t tous tes cham pions jeu n es et vieux,

Il _se p o u rsu iv ra p a r le g ra n d p rix de là Ville de S enlis, ép reuve d e rriè re m otos com m erciales en 2 m anches de 10 e t 15 k ilom ètres qui ré u n ira Dele- vacqüe, de P a ris , un h ab itu é du Vélo­drom e de Senlis e t une des vedettes am ateu rs des vélodrom es p a ris ien s , C andelier, l ’as a in iénois, anc ien cou­re u r du d ép a rtem en t de l ’Oise e t Creil- lois d ’o rig ine , qui es t ac tu e llem en t en belle form e, e t F ay ard , l ’as du Vélo­drom e de S en lis , qui a fo u rn i une course ad m irab le 1e 8 ju ille t d e rriè re m otos com m erciale au V élodrom e de Senlis. , ■

E nsu ite tou tes les équipes P e r r in - D elevacque, Legris-M oret, C andelier- Q uevreux, G allâ fd -F ây ârd , H erba in - L étellier, B em ard -L êo n C harles, Gil- tes-N ichülis, etc., , se trouvericwit réu n is dâng le g ra n d p rix d u jo u rn a l « Le Jo u rn a l », ép reuve de 100 to u rs â Tà- m érica inê , su p é rieu rem en t dotée p a r le g ra n d quo tid ien « Le Jo u rn a l ».

Une course de V étérans s u r 10 to u rs ré u n ira 2 cham pions no to ires de no tre ville.

L a M usique m un ic ipa le sous la di-fs.'ïoxxollo, cvrüdtO cîfe Itt

Garde R épublicaine, d o n n e ra son con cours à cette belle réu n io n qui doit am en er 1a foule dés g ran d s jo u rs au Vélodrom e de Senlis.

MM.

o æ î t i i l l ' s rHOTEL DU PARC

NOCESBANQUETS

GRANDES SALLES E t SALONS

AVIS DE POLICÉ POUR LA DEFENSE

DÉS AUDITEURS DE T. S. F.A la su ite de p la in tes ou réc lam a­

tions qui lui son t p a rv en u es encore tou! récem m ent, M. 1e C om m issaire de po li­ce, à titre d 'av e rtissem en t préven tif, rap p e lle aüx u sag ers de l'é lec tric ité que l ’a rrê té du 31 m ars 1933, p rév o y an t la suppresfeion d ’un g ra n d nom bre de p e rtu rb a tio n s est en tré p a rtie llem en t en v ig u eu r le p rem ie r ju ille t 1934.

Aux term es de l ’a rtic le 4 de cet a r ­rêté, les in s ta lla te u rs son t ten u s pour les in s ta lla tio n s liv rées p a r eux, so it d 'ü tilise r dps ap p a re ils pou rv u s au m o­ment- de le u r co n struc tion , de d isp o si­tifs de p ro tec tio n ,'so it de com pléter les ap p a re ils p a r l’ad jonction de d isp o si­tifs de p ro tec tion efficaces.

D’a u tre p a rt, conform ém ent à l’a r ­ticle 2 du m êm e a rrê té , des m ises en dem eure, se ro n t fa ites au x p e r tu rb a ­teu rs , d ’âVoir à Se m ettre en règ le avec la loi.

Les au to rité s m un ic ipa les et dé p o ­lice qui on t la ch arg e de défendre les au d iteu rs Contre lès p e rtu rb a tio n s p a ­rasites , so n t dafis l ’ob ligation a u jo u r­d ’hui de fa ire a p p liq u e r la loi san s fa i­blesse, un im pôt é ta n t perçu , du reste , p o u r lès dé ten tions d ’â p p â re ils de T. S. F.

M. le G om m issaire de police inv ite les c o n trev en an ts à se h â te r de fa ire poser des d ispositifs dé p ro tec tion ef­ficaces.

Ces ap p a re ils a n tip a ra s ite s se tro u ­ven t facilem ent dans le côtnm erce, m ê­me local.

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ON NE PEUT EXTRAIRE SANS DANGER

LA BALLE AU JEUNE DELACHASSELe « C ourrier » dan s son d e rn ie r n u ­

m éro a re la té les c irco n stan ces d an s lesquelles le jeu n e Edm ond D elachas- se, âgé de 13 ans, s ’é ta it tiré une balle de p isto let d an s la rég ion du cou.

Lu D octeur Bollot, m édecin lég iste , a p rocédé à la rad io g rap h ie du jeurte nom m e, il ré su lte que la ba lle é ta n t lo-

p rè s de deux vertèb res du cou ne p e u t ê tre ex tra ite san s d an g er, dan s ces conditions, D elachasse co n se rv e ra sa balle.

L’enquête ouverte p a r M. K astner, n ’a p u a b o u tir à une décision ferm e, a t ­ten d u q u ’au cu n délit p o u v an t m otiver une p én a lité n ’existe.

11 s e ra it à so u h a ite r dan s les c ir­constances p résen tes que le jeu n e De­l a c h a s s e s o i t c o n l i é à n u p a t r o n a g e q u i p o u r r a i t le c o n d u i r e e n b o n c h e m i n .

M. D elachasse v it seu l avec son fils dan s une b a raq u e en p lanches au lieu - d it la B iguë, tan d is que la fem m e est p a rtie em m en an t la sœ u r d u jeu n e Edm ond.

Voilà à quoi ab o u tit la d iscussion d ans tes fam illes et c’es t tr is te à Cons­ta te r.

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M onsieur COMPERE, agriculteur,la ite rie , ferm e des Clos, à M oussy-le- Nëüf, rem ercie tes perso n n es qu i lu i on t fa it Confiance et les in form e q u ’il c o n tin u e ra â les se rv ir rég u liè rem en t et au x m eilleu res conditions. 9761

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LES SUITES DE L’ACCIDENT MORTEL DU GENDARME HEVIN

Le « C ourrie r » a re la té en son tem ps, tes c irco n stan ces de l’acciden t qu i on t am ené la m o rt du gen d arm e Georges H évin, de la b rig ad e dé N an teu il-le - H audoUin, qui, su r la rou te la n u it ve­nue. fû t ren v ersé p a r Un au tom obiliste , M. A ndré M euret, de la ferm e de la H u- tëau (A isnè). Il succom ba p e n d a n t son tra n s fe r t à l 'h ô p ita l de Senlis.

L’affaire e s t VenUë d ev an t le tr ib u n a l co rrec tionnel.

M” C hâsta ing s’eât p ré sen té comme p a rtie civile au nom de la veuve e t deS tro is en fan ts m iriéürs du défunt.

M6 P ica rd a p ré sen té lâ défense de l ’autom obiliste .

Le tr ib u n a l a condam né M. M euret à 100 fran cs d’am ende.

S ta tu a n t su r tes conclusions de la p a rtie civile, ap rès avo ir déclaré que la re sp o n sab ilité de ce m a lh eu reu x acci­d en t incom bait po u r m oitié, à l ’au to ­m obiliste e t au gendarm e, il a alloué à la veuVe u n e som m e de 40.110 fr. 50, re p ré se n ta n t la m oitié du p ré ju d ice e t aux S en fan ts , ensem ble 37.500 francs, qui se ro n t p lacés en leu r nom en t i­tres de ren te pü en obligations de che­m ins de fer fran ça is .

L’au tom obiliste a eh ou tre été con­dam né au x in té rê ts de d ro it e t aux fra is du procès,

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L’AMNESIE ROSSEAÜA ETE RAPATRIE

Le su je t belge RoSsëaü d o n t nous âyôrts p a r lé d ans fiôtrô d e rn ie r nu m é­ro, â été ra p a tr ié d ans s a fam ille.

Agé de 29 âns, il é ta it co n trem aître p r in c ip a l de fila tu re à Leâse ê t h a b i­ta it D înan t,

A ux d ires de sa fem m e, son am nésie doit e tre a ttrib u ée à un g ra n d su rm e­nage ihtêilectU èi, à dés é tudes e t à dés recherchés scien tifiques trop poussées.

S a fam ille a été .très touchée dés m arq u es de m én ag em en t e t de sy m p a­th ie d o n t R osseau a été l’ob jet ta n t de lâ p a r t de lâ police locale, que du p e r­sonnel dé l ’h ô p ita l et de M. le D octeur C hastel, appelé â le so igner, elle en a exprim é toute sa vivë reco n n a issan ce â M, K astnôf, com m issaire de .police.

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PASSAGE DÉ COURSES CYCLISTES

On nous com m unique du C om m issa­r ia t de Police, les cou rses su ivan tes p o u r te d im anche 12 ao û t c o u ran t

I. Course o rg an isée p a r l ’U nion S portive DoittoütoiSe.

P a r c o u r s : S a r c e l l e s , C h a n t i l l y , S o n - lis, Compiègne, H am , C am brai.

C oncurren ts : 150.P assage : vers 9 heures.I tin é ra ire : rou te de C hantilly , place

de Creil, bou levard P as teu r, ru e du M oulin S ain t-R ieu l.

2. Course o rg an isée p a r te Cyclo- Club Creillois.

P a rco u rs ; Creil, Senlis, Gom piègne, C lerm ont, Creil.

C oncurren ts : 40,P assag e : 8 h eu res 30.I tin é ra ire : rou te dei Creil, bou levard

P as teu r, rue du M oulin B aint-R ieul.

3. Course cycliste o rgan isée p a r l ’Etoile Cycliste C ourneuvienne.

P a rco u rs : P a ris , Senlis, A iily-sUr- Noye.

P assag e : 8 heu res 55.I tin é ra ire : ru e du fau b o u rg S a in t-

M artin , p lace S a in t-M ârtin , bouleVârd des Otages, bou levard du M ôfitàuban, p lace et rou te de Creil.

4. Course o rg an isée p â r lâ Roue S portive de la Banlieue Nord.

P a rc o u rs : V illiers-le-B el, B ouque- va), p a r M ontgrêsin .

C oncurren ts : 200.P assag e : vers 9 heures.I tin é ra ire : rou te de NanteUil, p lace

du G hâlet, ru é de la R épublique e t ru e du faubôurg S a in t-M artin .

5. Course o rgan isée p a r la Société A snières, G enneviliiers Sportif.

P a rc o u rs : A sn ières, SeUlis, S â in t- Denis.

C o ncu rren ts : 60.PasSfigé : vers 15 heures.i tin é ra ire : rou te de Crépy, avenu®

du M arêchai-Foch , ru es de lâ R épubli­que et du fau b o u rg S a in t-M artin .

Le service d 'o rd re se ra a ssu ré p a r la police m un ic ipa le , d an s lés cond itions, habituelles-.

DIVAGATION DE VOLAILLESsur les Prom enades Publiques

D ans l ’in té rê t du tourism e, dé l ’eS- thé tiq u è de la ville e t de l ’hyg iêne p u ­blique, M. te C om m issaire"de police rap p e lle qu 'il est in te rd it de la is se r d i­v ag u er de v é ritab les tro u p eau x de vo­la illes s u r les p rom enades pub liques, comme cela a été consta té to u t récem ­m en t p a r le Service de la policé s u r 1e cours BellôVüê (re m p a rt S ain t-V ih - cent) e t le Cours T horé-M ontm oren- cy, e n tre 1e k iosque à m usique et la placé du Chalet.

--------- »CM---------QUELQUES CONTRAVENTIONS

Au cours de la sem aine écoulée, la police locale â eu â re lev er quelques co n trav en tio n s p o u r iv resse su r lâ voie pub lique, tap ag e n o c tu rn e , tap ag e in ­ju r ie u x e t défau t de reg is tre de lo ­geur.

» 0 «-------------

(Lire la suite dans le supplém ent).

HERNIEJ E SU IS GUERI. — C'est l'affirmation de

toutes les personnes atteintes de hernies qui oht porté lë nduvel appareil sâhs ressort de

M P I A C C D 10 Orand S p é c ia l is t e de ■ U L H O C n PARIS. 4 4 , Bd SÉBASTOPOL En âdoptarit tes noüveâux âppàreils, dont

l ’action b ie n fa is a n te Se réalise s a n s g ê n e , sans s o u f f r a n c e s rti In te r r u p tio n de travail, les h e r n ie s les plus V o lu m in e u s e s et les plus r e b e l le s diminuent Instantanément de volume et disparaissent peu à peu c o m p lè ­tem en t.

Devant de tels résultats garantis toujourspar écrit, tous eëdf. âttelhts de hernie doivent s'a­dresser sàhS retard â M G l a s E R qui ieurfèra gratuitement l'essai de ses appareils de 9 à 4 h. â

G om piègne , 11 Août, Hôtël de la Cloche, place de l’Hôtei-de-Villé.

B ea u v a is , 12 Août, Hôtel du Beauvaisis, 43, rue des Halles.

Creil, 13 Août, Hôtel du Commerce. Senlis, 14 Août, Hôtel du Nord,

C H U T E S P A T R I C E et to u sORGANES, VARICES, ORTH O PED IEG L A S E R , 4 <t, boulevard Sébastopôt, PARIS

9728

Conseil pratiqueQuelle que soit ta cause de l’étouffement,

qu’il provienne d’une crise d’asthme, d'ùn catarrhe, d’une bronchite chronique, de suites de pleurésie ou d’ihfluenza, 6 n est soulagé instantanément ën faisant usage de lâ Poudré Louis Lfegfâs, ëë ïhëfvéilleux fëmèdé qui a obtenu la plus haute récompensé à l’Espôsi- tiofl Universelle de içdô. Une boîtê est expé­diée centre mandat de ç ff. 25 (impôt ectaprls) adressé à Lsüis LegraS, i, bôüh Heari-IV, Pàriê.

Im p rim eries R éu n ies de Seulia 0, Place H enri-lV , g.

L é G érant : E . BOt*NvAl

AÎW ÙNCËg JÜfiîC IÀ IÏtËSAr t ic le l«r.

Etudes de M” Georges MÔRANl), avoué à Sentis

et de Me Marcel VIDY, notaire à Chantilly.

TENTE SUR LICITATIONDE

Située à LAMORLAYEà l’angle de la rou te nationale,

n° 10, de Paris à Dunkerque sur laquelle elle porte le n° 24,

éf de la ru e de S en îis

Une Maisons itu é e à LAMORLAYEroute nationale, n 08 35 et 37

48 ares 93 cent, de Prairieentourés de murs et treillages

A LAMORLAYErue de la Cannerie

ET

I I P i è c e s d e T e r r e P r é e t B o is

te r r o ir s de L am orlaye e t GoUVieüx

EN 14 LOTS Le tout plus ampleiiieht désigné

ci-âpfès.

route nationale, par derrière âMM, Gesseaume et Dupalu, m ur mitoyen, d ’un côté M. Vintenat (mur mitoyen) et d ’autre côté à M. Unzue.Mise à prix : 10.000 fr.

Deuxième lotUNE PROPRIETE située à La-

m orlaye, à l’angle de la route nationale n° 16 de P aris à Dun­kerque, sur laquelle elle porte le num éro 24 et de la ftie de Sen- lis, com prenant :

I. — Uü bâtim ent p rincipal d’habitation en façade sû t la rue nationale, élevé sur terre- plein d ’un rez-de-chaussée d i­visé en deux logements com pre­nant l ’un quatre pièces et un dé- btii'ras et l ’autre tro is pièces.

E t d ’un étage divisé aussi en dettx logements com prenant l ’un quatre pièces et un débar­ras e t l ’autre trois pièces.

Grenier au-dessus.Petit jard inet devant ce bâti­

ment et cour derrière dans la ­quelle plusieurs petits appentis, I cabinet d ’aisartees, descente de cave et pom pe à eau, laquelle | cour est séparée de celle ci- après p a r Un mur.

IL -— Un autre bâtim ent ayant sôh entrée p ar la rue de Senlis, élevé partie sur cave e t partie sur te rre-p le in d’un rez-de- chaussée et d’un étage avec gre­n ier au-dessus, couvert en tu i­les.

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 8 SEPTEMBRE 1934, à 15 heures, en l’E tude et p ar le m inistère de Mje Marcel VIDY, notaire à Chantilly, commis à cet effet.

et d ’un bout M. H ersent et d ’au­tre bout M. Jeannot Carmant.

Cadastrés section E, n° 768. Mise à p rix : 20 francs

Onzième lot1 are 36 centiares environ de

terre , au Rendit La Roche, te r­ro ir de Gouvieux, tenant de Mus côtés à M. H ersent Jean-Bap- tiste.

Cadastrés section E, n ” 683.Mise à p rix : 20 frahes

Douzième lot3 a re s 50 c e n tia r e s e n v iro n de

te r r e , p la n té e de p o m m ie rs , s i ­tu é s a u R e n d it L a R o ch e , t e r r b i r de G ouviéiix , te n a h t d ’un c ô té M. W eb b , d’autre côté m id i MM. Flam ant, Hivet, ÎTersent, EugèneBourne, Colin-Bourson et le 14' lot ci-après, et vers nord et vers ouest à la Société Saint frères.

Cadastrés section Ë, n 0 260 p. Mise à p rix : 50 frâhés

Treizièm e lot3 ares 06 -centiares de te rre et

bois, âtl lieudit Là Roche, te r­ro ir de, Gouvieux, tenant vers nord à M. Sallier, vers sud et vers est à M, H erséht et vers oüest à ühê pëtitê s'èhtè appe­lée La Sente Hersent,

Cadastrés section E, n 0 648. Mise à p rix : 50 francs

Quatorzième lot2 ares 05 cen tiares de pré, en-

res publiques, au -plus offrant et dern ier enchérisseur, et à Tex- tinction des feux, de l ’immeu­ble dont là désignation suit :

DESIGNATIONUN TERRAIN A BATIR, si­

tué à Créil, rue Blériot, R e n d i t « Le Petit M atais », d ’une con-

ance dé deux oént vingt et un m ètres carrés, tenant d un côté M. Gérard, d ’autre cote M. Tumerelle, p a r devant la Blériot et au fond les héritiers Pérrot.

MISE A PRIX Outré les charges, clauses et

conditions insérées au cahiei des charges dressé par M* Bai- bier, notaire à Creil, et dépose en son Etude où toute personne 3eut en prendre coitndissaiîcfe,es enchères seront reçues sur la

mise à p rix dé dix Mille frahes, fixée p a r le jüge- fn-ent sus-énoncé, "j (](]{)(] Jf ,

Cour dans laquelle plusieurs I yiron ’ ,a;il lieud it Les Prés de la - 1 Roche, te rro ir de Gouvieux, te­

nant d ’un côté -est M> Hersent, d ’autre côté ouest M, Çolin-

et une

de

Eh exéchtion d’un iiigemeni rendu sur requête, par le T ribu­nal dé prem ière instâhce de Senlis, le douze juillet 1934, en­registré.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

l ent. M. Cliarlcs-Thonias Cun- nington, -entraîneur de chevaux de CotifSeS, de-iiiëüràht à Mai- sons-Lafflte, 4, avenue Destou- -ches ; 2's°t. Mme Hélène Cun- ningtOh, sahs profession, de­m eurant à Lamorlaye, 37, route nationale, veuve de M. R dw ard- JOseph H utchinson ; 3ent. Mme Florence - Eügéilie Curinington, épouse assistée et autorisée de M, Maurice-GeorgejS Lemelle, propriéta ire , avec lequel elle de­m eure à Lamorlaye, route de Gouvieux ; 4”°*. Mme Bêatrice- Marie Cunnin-gtoii, épotlse as sistée et autorisée, de M. Gaston Félix Barbaux, employé de ban que, avec lequel elle dem eure à Noisy-le-Sec, rue Dâmoiselet, n 6 8 ; S6”*. Mille Yvoftrté-Jeanrife Cunnin-gton, célibataire, majeu­re, sans profession, dem eurant â Lamorlaye, route nationale g®*4. jyj Robert-Charles-Félix Barré, dessinateur, dem eurant à Ehghien-les-Baitis, 18, allée des Ecoles ; T'"'. M. Félix-Francois Barré, ingénieur, dem eurant Enghien-les-Bains, 18, allée des Ecoles ; S8”1. Et M. H enri Fon­taine, p rincipal clerc de notaire dem eurant -à M ontmorency (S.- et-O,), agisattt au nom et -comme tu teur rtrf hoc de la m ineure Paulette-Amélie Barré et faisant fonctions de tu teur à raison de l ’Opposition d’in térêts existant entre la -dite m ineure et M, Fé- R x-François Barré, son père et M. CMirles-Thoüms Cunniiigton, son subrogé-tuteur ordinaire, fonction à laquelle il a été nom­mé aux term es d ’une délibéra­tion du Conseil de famille du 28 juin 1934.

Poursuivants- la vente ; Ayant pour avoué M6 Georges

M orand, dem eurant à Senlis.E n présence ou elle dûm ent

appelée de- :Mme Julia Barré, épouse au­

torisée de M. Lauté, sans profes­sion, avec lequel elle demeure à Orry-la-Ville, « agissant au nom et comme subrogée tu trice ad hoc de là m ineure Barré sus­nommée. »

Il sera, le Samedi 8 Septem bre 1934, à quinze heures, en l’E­tude et -par le m inistère de Maître Marcel Vidy, notaire â Chantilly, commis à cet effet, procédé à la vente sur lic ita­tion, aux enchères publiques, au plus offrant et dern ier enché risseur, à l ’extinction des feux, en quatorze lots, -des immeubles dont la désignation stlit i

DÉSIGNATIONET

MISES A PRIXDES IM M EUBLES A VEN D RE

Prem ier lotUNE MAISON située à Lamor

lave, route nationale, sur la quelle elle porte les num éros 35 et 3 7 , com prenant :

Un p rincipal -corps de bâ ti­m ent com prenant s un rez*tle= chaussée divisé en cuisine, pe­tite salle à manger, g rande salle à m anger, salon, salle de bains \Vater-closets, et un étage divisé eh palier, tro is cham bres, une autre petite chambre, et ttrt ca b inet de toilette.

G renier au-dessus dans lequel cham bre de bonne.

Cour dans laquelle :Un bâtim ent à -gauche compo­

sé d ’un rez-de-chaussée com pre nant une cuisine et d ’un étage divisé en deux cham bres.

A la suite quatre boxes et une remise.

Greniers au-dessus du tout.A droite autre bâtim ent élevé

partie sur caves et partie sur te rre plein d’un rez-de-ehaussée divisé en -cuisine, et lingerie buanderie, au-dessus une cham bre.

Basse-cour, trou à fum ier et -cabanes à lapins.

Grande remise.Grand jardin derrière. Petit

jard inet devant la maison.Le tout d’une contenance de

19 ares 92 centiares environ, -esdastrê section F, num éros 193 p. et 194 p. tient par devant a la

appentis, un hangar pompe aveic -puits.

Ja rd in entièrem ent clos Mûrs.

Autre petit ja rd in à la suite d’üfle -contenance de -cent -cin- {Juânte-cihq mètres environ.

L’ensemble tenant :(Par devant vers ouest à la

route nationale et p ar les ja r­dins à Mine veuve Bert et M. Ahiour Rimbert.

P a r d e rn iè re v e rs e s t à M. Tixiër.

D’un CÔt-é vers nord à Mme y-eüve Bèfit et p ar lé petit jard in â M. Mac Gee.

Et d ’autre -côté vers m idi la rue de Senlis,

Le tout -cadastré section D, num éros 123 p., 126 p., 127 p., 128 p. et 235 p. pour une con­tenance de neuf ares cinquante- trois cëntiarës.

Bours-on, d’un bout nord le 12' lot et d ’autre bout M. Bourne Eugène.

Cadastrés section E, numéros 248 et 249,

Misé à p rix : 30 frahes

En outre des -charges, clauses et -conditions énoncées au -ca­h ier des charges dressé p ar M' Vidy, notaire à Chantilly, et dé­posé en son E tude où toute pter- Sonne peut en p rendre eohhais- S-ancë, les immeubles èi-dessus désignés seront mis en vente sur les m ises à -prix sus-énoncées fi­xées p ar le, jugement précité.

mm à prix : 20.000 fftTroisièm e lot

5 ares environ . da pré , au I Reudit Le Village, te rro ir de La­m orlaye, -aVec lavoir Stir le ru Saint-Martin, tenant d ’un côté M. Letelliei*» d ’autre côté -le rü l Saint-M artirt, d’un bout est l ’an­cien chemin de Paris et d ’autre | bout M. Robquin.

Cadastrés section F, n° 408.Mise à p rix : 300 francs

Quatrième lot48 ares 93 centiares de p ra i­

rie, entourés de m urs et tre illa ­ges, situés à Lamorlaye, en la ruè de la Cahnerie, lieudit la Can­nerie, tenan t p a r devant la rué de la Cannerie, p a r derrière et | d’un côté m idi M. le -comte Vi- gier et d’autre côté MM. Rim bert | et Payen -et Trousset.

cad astrés section F, num éros] 65 à -69,

Mise à p rix : i.OÔO fraUfs

Cinquième lot10 ares 20 -centiares environ

de terre , au lieudit La Monta­gne, te r ro ir de Lamorlaye, te­nant d’üh éô tê levant M, Geor­ges Cunnington, d’autre côté couchant M. Caillotin, d’un bout là Vûirié dû Ëeaù L arris et d ’autre bout -la fonte des Meri­siers.

Cadastrés section B, num éros 568 à 571.

Mise à p rix : 200 francs

SixiêMé lot17 ares 38 -éetttiàfeS d’après I

titres et 18 lâfes 34 centiares d’après cadastre -de terre , au Reudit La Haie de Chantilly, te rro ir de Lamorlaye, tenantd’un -côté MM. Leroy et Hervé, d’autre -côté Ms Rim bert Amour, représentant Letellier, -d’un -bout la route nationale, et d’autrë bdtit la rite d u Comte de Ko- [ mâr.

Cadastrés section C, n 0 - 201, 2 ,0 0 0 francs

Fait et rédigé p a r l ’avoué poursuivant soussigné.

A Senlis, le 10 août 1934.-Signé : MORAND

E t enregistré.

S ’adresser pour les renseign ïnents :

A Mè Georges MORAND-, avoué à SéMis, pb-ürsuivant la véhte ;

A M8 F ierrë BABLOT, notaire à M ontmorency (Seine-et-Oise)

E t à M8 Marcel VIDY, notair a Chantilly, rédacteur et dèpo Sitaife du cahier des -fcliafges

Àia*. 2 .Etude d-e M6 L. Ç-HASTAING

avoué à Senlis et de M" BARBIER, notaire

à -Gred.

Art. 4.

Etude de M8 PRUNET docteur en droip avoué à Meaux>

-i- Avocatu> boulevard Jean-Rose ttccesseur de M8 Lugol).

Fait et rédigé p a r l’avoué poursuivant soussigné,

Senlis, le 11 août 1934.Signé : L. CHASTAING.

E t enregistré.

S ’adresser pour les renseigne- hients à :

1» M” E'- CHASTAING, avoué à Sertlis, poitrShiVrtnt la vente ;

2° M6 BARBIER, notaire à Creil, -chargé dë la vente- et dé­positaire du -cahier des charges. ^ 9751

Art. 3.

Etudes de M8 Gaston LOIR, avoué à Senlis

et de Me Louis BARBIER, notaire à creil.

Vente aux enchères publiquesAprès faillite

d e : UN

Fonds de CommèresDE

COIFFEUR MobÜief, Matériel

et Marchandisess i s à G ï2> Ü 3 1 I j

27, n ie Jean-JaurèS plus am plem ent désigné ci-après

Mise à p rix

Septième lot6 ares 50 centiares environ de

tërre, au lieudit Le Souillard, -terroir dé Lamorlaye, tenant d ’un -côté M, B iM lërt Amouf, d’autre -côté la Société du LyS- Ghadtllly, d ’un bout nord M, Champagne ou f-ëpféSërttartt, ët d’autre bout la route des Meri­siers.

Cadastrés section B, n 8 550 p. Mise à p rix : 50 francs

Huitième lot6 ares 13 cen tiares environ de

bois, au Reudit Le Blanc Champ, te rro ir de Lamorlaye, tenaht d’un -ëôté M. LangldiS, d’autfe côté représentant Heaume, d’ün bout M, Noël Champagne, ët d’autre bout la route de Goü- Vieux.

Cadastrés section B, n" 620 p.Mise à p rix : 50 francs

Neuvième lot33 afes 34 centiares de terre

et bois, dont 7 ares 62 centiares en lerfe et 25 Ures 62 eentiarës en bois, Situés au Rendit Le Blanc Champ, ou Sous la Fon­taine, te rro ir de Lamorlaye, te ­nant d ’un bout au* -cihemin du Beau L arfis, d ’autre boüt au chem in de Gouvieux à LamOr- laye et à M. Saigon, d’un côté Bl. Tàrdif oü représentant et d’âü- tre côté à M. Saigon.

Cadastrés section B, numéros 591 et 592 p.

Mise à p rix : 300 francs

Dixième lot1 are 53 centiares environ de

bois, au Reudit L’Hermitage ou Le Pain de Sticfe. te fro ir de Gouvieux, tenant d ’un côté M. Perpette Càrniant, d 'autre côté

Vent® sup L icitationUit.r eh'èh'èlres pitbligiies

au plus offrant e t dernier enchérisseur

d ’ü n

Terrain à Bâtirs i t u é à C R Ë Ï L

rite BléHot Rendit « Le P etit Blarais »

L’adjüdlcaitioü aura lieu le] LUNDI 10 SEPTEMBRE 1934, à 14 heures, en TEtude et p ar le j m inistère de M8 BABBIEr, no-j ta ire à Creil, commis à cet | effet.

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra ;

Qu’en vertu -et en exécution d ’un jugem ent rendu sur requê­te p ar le- T ribunal civil de Sen- Rs, le 12 avril 1933, enregistré

il sera aux requête, pmtfstti tes et diliigëil-oeS cHë- :

l ” Mme Adélaïde Julien, sans profession, veuve en prem ières noces -dp M. Camilïq - J-oseph- Frattçois Lepled, et épouse en secondes noces dë M. Edm ond Montmiat, com ptable, avec' le­quel elle demeure à Liancourt -(Oise), 1, rüe Jean-Macé, et le dit M. Edm ond Blontmiat, tant eh son nom personnel si besoin est quë pour l’assistance et l’au­torisation nécessaire à la dame son épouse; 2° M. Etienne-Emi- Ren-Adalbeyt Lepied, -compta ble diplômé, dem eurant à Mon- trouge (Seine), rue Marcelih- Berihelot, n° 9; S8 Mmë Gebf- -geltte Brunet, sans profession, dem eurant à Précy-sur-OiSe, veuvp, de M. H enri Viart, agis­sant au nom et comme tu tn eë légitime de Genevièv-e-Johanne- R obérte-ï Vonne-Adelâîdë-Ldüt

se-Marie Lepied, née le deux février 1921, à Blona-co, du ma­riage -dë M. Robert-Cbaflës-Al- b-ert Lepiëd, « Mort (unir la F rance », à Blentoii, je d ix no­vem bre 1922 et dé Mmë Yvon ne-Isabelle Legrand, elle-même décédée à Nice, le 14 mai 1932 Bt-nie Ÿvë Viart, liouiihée à cëtte fonction p ar Mille v

L’adjudication aura Reü le LUNDI 10 SEPTEMBRE 1934,14 hëufeS, en ü’E tüde et par le m inistère de Me BARBIER, no­taire à Creil, commis à cet -effet.

En exécution d’une ordon­nance rendu sur requête par M. Monnier, juge -commissaire a la faillite SduHllort, ëü date du 19 juin 1934.

AUX feqUêtes, poursuites et diRgëhces d-ë :

M" G. Loir, avoué-agréé, de­m eurant à Senlis, 43, rue de b. République, agissant au nom e comme syndic de Mï Sourillon coiffeur, 2-7, ru e Jean-Jaurès, Creil.

P o u r qu i d o m ic ile est élu en son Etude.

Poursuivant la vente Il sier-a le Lundi 10 Septembre

1934, -à 14 heures, en l ’Etude et p a r le m inistère dë M° Barbier notaire à -Creil, procédé à h vente aux ërt-chèreS publiques au plus offrant et dernier en- chérisseur, à l ’-extinction des feux, d’un foh-ds (dë Commerce de coiffeur, du rnbibilief, m até­riel et m archandises, dont la dé­signation suit :

V E K ' T Ësaisie immobilière

e n u n s e u l l o t

DE

LA FERME“ J5âisofi«fleutfe ” |

S itu é e -c o m m u n ie s d e

int-PatMs et larcliémoret(Seine-et-Marne)

t P teis-B ellevilleet Lagny-le-Sec(Oise)

Comprenant :

BATIMENTS D’HABITATION e t d 'E xplo ita tion

AVEC COUR, JARDIN, MARE, TERRES LABOURABLES

E T PRESLe tout d ’une contenance

de 147 hr. 12 a. 27 c, environ.

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 5 SEPTEMBRE 1934, à 14 heures, en l’audience des -criées dü Tribunal civil de BîèauX, au Palais de JtiSticë, à Meauxi

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra :

Qu'en vertu des grosses dû­ment e,n forme exécutoire : 1 ° D’un acte reçu p a r Me Delorme, nota/re à Dianimartin-en-Goëlc, le R novembre 1931, contenant Cflrfrat -conditionnnel de prêt jsLvje Crédit Foncier de France h Mil. Laurent et Jean Labour ci-après nommés, d ’une somme de [quatre dent quarante mille francs (440.000) avec affectation hypothécaires sur les immeubles ci-après désignés ; 2 “ d’un autre acte reçu p ar le même notaire, le 5 décembre 1931, constatant la réalisation dudit p rê t ;

Et en conséquence d’un com- mandeMeîit vâlaüt Saisie délivré

MBÏ. La-ufertt et Je Un Labour,

DESIGNATION(Et

MISE A -PRIXUN FONDS DË COMMERCE

de -coiffetir, exploité dans utile boutique et ses dépendances, à Creil, rue Jean-Jaurès, n° 27, com prenant :

1° L’enseigne, le nom com- m ëftiâ i, là -clientèle et l ’ttëhà- landage y attaché.

2# Les diffërëhts Objets mobi­liers ët (te m atériel Sërvdnt à son explbitatidtt et qui s-e trou­veront dans ledit fonds -de com ­merce le jour de son entree en jOUlssàncë.

3° Le d ro i t p o u r to u t lë temps qu i en reste-ra à c o u r i r à c o m p ­t e r -du jo u r de l ’e n tré e en jo u is ­sa n c e a u b a il -des lie u x se rv a n t à l ’e x p lo i ta t io n d iid it fo n d s d e c o m m e rc e .

4°' Les m archandises pouvant exister dans ledit fonds dë com ­merce.

Expiration du bail . l <>r n o v e m b r e 1946

Loyer aniiüël : 5.000 francs Im pôts fonciers en sus

Mise à prix : 3 0 0 0 fr.E t obligation p ar l’adjudica­

taire -de rem bdürser la somme de 2.550 -francs payée pour Ibvër ët -de -payer la Somme de 621 -fr. 90 due pour frais dë bail;

solde- dë

Consigtiatiod poür enchérit 5.006 fr.

EH outre des charges, -clauses et -conditions énoncées au -ca­hier -dtes -charges -dressé par M*

a , Barbier, iibtairë à Creil, et dé- ëiivë Le-1 nosê ên son -Ettidë ou toute per-

aux tëfnieS ! Sortné peut en prendre cdnhais- §e Soh t e S é i l t , en date . à» — ^ fonds de -commerce ex Nice, du 19 decerhbre 1929, ju­diciairem ent déposé au rang des m inutes de Me Fossati, no-

suivant exploit du m inistère de j cinq centiares. M” Pardé, hu issier à Dammar- tin-en-Goële, en -date du 22 sep­tembre 1933, visé, enregistré et transcrit au B ureau dés H ypo­thèques dp Mëaux, le 27 novem ­bre 1-933, vokpne 6 , n° 49, et au Bureau des H ypothèques de Senlis, le 30 noverhbrë 1933, vo- lurtie 105, n ” 8 ;

iEt encore ert tan t que. de b e ­soin du procès-verbal dë saisie réëlle drësSê par M4 Pardé, hu is­sier à Danimaftih-ën-Gdële^ le 15 septembre 1933, enregistré, à la requête de- la. Caisse Locale de Crédit Agricole de Dammar- tin-en-Goële* à ren co n tre de MM.Jeâfi et Laurent Labour, lêdit -procès-verbal ët l ’exploit de - d é ­n o n c i a t i o n tran scrits a-u Bureaudes Hypothèques de Meaux, te 22 septem bre 1933, volume 6 , n 8 34 ;

E t en exécution :1° D’un jugem ent -du Tribunal

-civil de Meaux, en daté du huit novembre mil neuf cen t tr-e-nte- trois, donnan t acte -des lë tiu re et piubliicâtiott du -ctiMer, des charges et renvoyant au 27 dé- cëm-bfë 1933 pour fixation de l ’âd-jndiifcatidh ;

2° D’un autre jugement du même Tribiinal en -date du vipgt-sept novem bre mil neuf défit trehtë-troiS r'ënVfiymit au 2l février 1934 pouf fixàtiori de l'adjudication ;

38 D’un autre jugement du même Tribunal du vingt et un février mil neuf cent tren te-qua­tre fixant l’adjudication au 11 avril 1934 ;

4° D’un autre jugement du même Tribunal en -date du onze avril mil heuf cent trente-quatre renvoyant la vente au 6 juin 1934 ;

5° D ’un autre juge mien t du même T ribunal en date du six juin mil neuf cent trente-quatre subrogeant le Crédit Foti-cier de France dans la poursuite -com- m.en-cée à la requête de la Caisse Locale de Cré-dit Agricole de Dàhirfiartin-en-Gocle et ren ­voyant au 11 juillet 1934 pour fixation de l ’adjudication ;

fi4 D’un a-utrë jdgemënt du même Tribunal en date du tinté juillët mil neuf cent ttéhte-quâ- tre fixant Tâdjildicâtio'n ati hièf- credi 5 septem bre 1934 ;

Et aux requête, poursuite éf diligeric-es dë :

Lë Crédit Foncier de France, société anonyme, dont le siégé est à Paris, 19, rde dés Capuci­nes, « agissant poursuites et di­ligences de son Gouverneur do­micilié audit siège » ;

Créancier poursuivant -par su- brdgatioli, I

Aÿant pour âvo'Uë fcohstitûé M° Prurièt, dem eurant à Meaux,15, b o u le v a rd JëaU -R ose ;

Ëii présence dû eux dflrtiènt appelés de :

1° M. Jeah-Françdis-Pàtbüs Labour, publiciste, dem eurant à Paris, 14, rue Lepic, ci-devant et actuellement 1 2 2 , rue de la Faisanderie ;

2° M. Laurent-Françbis-Fër

DÉSIGNATIONCommunes de Saint-Pathus

et M atchêm otet Canton de Danittiârtin-ën-GOële

Arrondissefilerit dë Mëaux Département de Seine-ët-Mathe

Communes de Lagny-le-Sec et du Plessis-Belleville

Canton de Nânteuil-le-HaudoüihArrondissem ent de Senlis

Départem ent de l’OiseLO T U XlQUE

UNE PROPRIÉTÉ RURALE dénommée « Ferm e dë Maisoh- Nëuve », située communes de Saint-Pathus et de, Marchémd- ret, canton de Dammartin-en_ Goële, a r r o n d i s e m e n t <le Xleaux,1S e i n e - e t - M-a rH fO et •coitlmtlnes de Lagny-le-Sëc (et du Plessis- Belleville, -canton de Nanteuil- le-Haudouin, arrondissem ent de Senlis (Oise), consistant en :

Bâtiments d ’habitation et d’exploitation avec cour, jard in , mare, te rres labourables et prés.

Le tou t paraissan t figurer au cadastre commune de Saint-Pa­thus, section A, 1, n 8 11. — Sec­tion 2, num éros 17, 21, 25, 31 OU 35, 61. — Section A, 3, numéros 24, 48, 49, 62. — Section B, cli­m at 3, rt8 14. —• Section B, 0, num éros 1, 7, 8 , 10. —- SectionB, 8 , num éros 1, 53 à 58 inclus.— Section B, 10, num éros 44, 50, 55. — SefctiOh C, 4, fiuthétds 2 à 7 inclus, 10, 12, 14, 18, 19, 20, 23. — Section C, 2, num éros 1 p., 9, 10, 12, 13 bis. •— SectionC, 5, num éros 22 à 27 inclus, 29, 30, 33, 36, 37, 39 à 42 inclus.— Section C, 6 , num éros 3, 4, 5, 9, 13, 14, 15, 17, 18, 19, 2 l, 23.— Section C, 7, num éros 1, 3, 5, 7, 8 , 10, 13, 14, 20, 21, 22 pour cinquante et un hectares vingt- cihq ares soixante-quatre cen­tiares.

Commune de MarchémoretSection B, 1, num éros 2, 3, 11,

12, 16, 17, 18. — Section B, 2,n u m é r o s 1 , 2 p o u r s i x - h e c t a r e s quatre-vingt-cinq ares vingt- c inq centiares.

Commune de Ldghÿ-le-SpcSection B, finihéfôs 19l, 198,

204, 206, 207, 210, 212, 217 ' 220 inclus, 222 à 225 inclus, 227 à 230 inclus, 234, 236, 237, 238,-— Section C, num éros 75, 147, 150, 154, 155, 158 à 163 inclus, 166, 168, 174, 175, 176 pour c in ­quante-sept -hectares neuf ares

Entfe : Madame BOÜBA Mar- celle-Marie-ARne, épousé de Mon­sieur BÊGRAirtté-Antoine-Amand, avec tëqfiél ëllë est dorrilëiliée de droit à Villers-Sâlnt-Paiil, mais autorisée! à fêsidêf el résidant de fait Sépdrériiènt audit llëu, chez sés paferifs.-

Demanderesse a i p rincipal, défenderésse reçqnVentionnelle, ayant poür avoué Me Ghastaifig.-

A r t . 9.

SOCIÉTÉ ABONŸMe

des HaWtatüs â ion MarcM le l’ArrtHjtteMit îe seuils

^ j r s a

MM. les Actionnaires de la So- Et : Monsieur BECK Aifné-An- ciété anonyme des Habitations à

toine-Amand, fHarioëüvre, demeu- R°n Marché de l’Arrondissement rant à Villers-Saifit-Paul, 32, rue de S en iis, sont convoqués en de l’Eglise. j Assemblée générale extraordi-

Défendeur au principal, de- jjqir_e pfôarie M ardi 4 S ep tem bre m andeut rëcôfiveûtionnèl, aÿant 11 Retires, au Siègepour aVedié Picard. w ,Q l " A“ l c' —

Il appert :Q u e le' d tV O rë é a é t é p r o r lo r ic é

d ’e n t r e l e s é p o u x B e c k - B o u r a , à l e u r s t ' r t s r é c i p r o q u e s .

Pour extrait :Signé : GHASTAINGi

Visé pour timbre ët enregistré. 8747

A r t . 6.

EtUdè de M8 L. CHASTAINGavoué à Senlis.

Assistance Judiciaire.Décision du Êurèau de Senlis

dix 18 Féerier 1083

E xtra it de Ju g em e n t de D ivorce

D’un jugem ent contradictoire^ ment rendu par le Tribunal civil dp prëm ièrë instance de Senlis, lé sept mars 1934, enregistré.

Entre : Madame Marie-Lo- ise CORNETTE, ménagère, épouse de Monsieur Léon-Alphonse Augus­tin MERCIER, tâcheron-m açon, avec lequel elle demeuré de droit à Villeneuve-sur-Verberie, mâis autorisée à résider et résidant de fait aüditVilleneuve-sur-Verberîe, chez les épôux Cornette, ses père et mère.

Demanderesse au principal, défenderesse reconvenfionnelfe, ayant pour avoué Me CHastaing.

Et : Monsieur Léon-AL honse- Âugustin MERCIER, tâcheron- fhà'çpn, dem eurant à Villeneuve- sur-Verberie.

Défendeur au p rincipal, de-

Social, Hôtel dë Ville de Senlis. ORDRE DU JOUR :

1° Augmentation du Capital so-e i a l d ’u n e somme d e 9(5.OOü f r a n c s , r e p r é s e n t a n t l ’a c t i f d e . ï a S o c i é t é d ’H a b i t a t i o n s à B o n M a r c h é deV illers-Colterêts au moyen de l’absorption de cette Société.

2» Désignation dé deux Com- frfiSsâif'ës âvèc mission dë :

a) Vérifier les ô'pératiohs de dissolution de la Société absorbée.

b) E tablir un rapport sur la sincérité et la valeur des apports éù riâture* 9752

A r t . 10.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Leè créanciers dè lâ faillite du sieur DEUTSCHE Gaston, char­cuterie - comestibles à Villers - Saint-Paul, sont invités à se réu­nir le 21 Août 1934, à 14 h. ;0, en l’auditoir du Tribunal de Commerce de Senlis, pour donner feùr a Vis tant sur la composition de Tétat des créanciers présumés quë sur fa nomination du syndic définitif ët stir l’élection de contrôleurs.

Le G teffiér dü. Tribunal, 9762 G, GAVENG.

■n»

A r t . 11.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Par jugem ent en date du 31 juillet 1934, lè ’î'ribttftàl de Com- m eice de Senlis a déclaré en

. état de faillite ouverte le su urmandeur reconventronnel, ayant B0USSIBR Roger) m archand depour ir<OUé M« Prédrd. charbons à Senlis.

Il appert : 1 M. Bonamy, juge en ce siège, aQue le divorce a été prononcé été nommé juge commissaire à

Commune du Plessis-BellevilleSection B, num éros 2 8 9 , 2 7 0 ,

280 bis, 285 pour quatre-vingt- un ares dix ejentiares.

Total -de la contenance dès immeubles -composant le para- fgraphe prem ier : -cent seize hec­tares un are quatre centiares

Commune de Saint-Pathus-Section A, 2, num éros 59, 60.

— Section B, 8 , num éros 38, 39, 40, 44, 45, 46 p., 47. — SëctiOU C, 1, num éros 1 ,1 3 , 17. — Sec­tion C, 2, num éros 2 p., 3, 4, 5, 7, 8 . — Séction O, 2,- n° 11, — Sec­tion G, 5, num éros 14 p.,- 28, 38.— Section G, 6 , r tu m é T O S 2, 7 , 10 pour virtgt-trois hectares qua­tre-vingt-quatre àres dix-hdit centiares.

Commune de MarchémorclSéction A, num éros 1, 2, 3,

7 . — Section B, numéros 1, 15 b is pour -Cinq hectares trente ares c inq Centiares'.

Commune de Ltighÿ-të-SecS ec tio n B, n u m é ro s 20i,- 214,

215, 221. — S e c tio n C, n° 17-8 p o u r u n h e c ta re q u a tre -v in g t d ix -sep t.

Total de la contenance dès immeubles -composant le p ara ­graphe deuxième : Trente et urt hectares onze ares vingt-trois cehtiares.

CônteriàhCè tôtâlé : Cënf qUa- rante-s-épt héctdfës doùzë ârëS vingt-siept cëntiareS.

franes

dën tré lés époux Mercier Cof - nette; au profit de la femme.

Poür éxtèaltSigné : GHASTÂlN’G.

Visé poPr tim bré ët eïfrègîstfé. 9748

cette faillite et M* Chastaing, avoué agréé à Senlis, fyndic pro- visoire.

Le Greffier du Tribunal, 9703 G, GAVENC.

A r t . 7.

Etudes de LANGLOIS e t LOUATnotaires à Senlis.

Aux term es d’ün acte reçu par M® Langlois et Me Louât, tous deux notaires à Senlis, le prem ier août 1934, enregistré à Senlis, le six août 1934, folio 5, case 35, M. Lucien GABANELLÈ, marchand boucher, dem eurant à Senlis, rue dé f’Apport-aù-Pdin, m 17, usant dè lafâctilté qui lui a été accordée paé son contrat de mariage, a dé­claré opter pour la conservation, pour SOU compté personne), du fonds dé' com m eice de boucherie par lui exploité à Senlis, rue de t’Apport-au-Pàin n° 17,- qui dé­pendait de là eommu a té qui a existé entre lui et Mme Jeanne- Mélanie CLAIREMBAUDy son épouse décédée.

Les Oppositions, s’il y à liëüy seront rëçuës jusqu’au dixième jou r qui suivra la deuxième iü- seriion,- à Sènüs, en l’Etude de Mc Langlois, not-ire.

Pour prem ière insèrtiôn :9759 a . L a n g lo is ,

A r t . 13.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Par jugem ent du 7 août 1934, le Tribüt al de Commero-s de Senlis a homologué le concordat inter- vénfi le 34 j-îtfe t 1-934, entré M. Jaëqnès-Enrilë BLIN, ârtëièn1 gara­giste à Chantilly et ses créanciers.

Conditions som m aires : Paië- nïeht immédiat dè trenté pour cent du montant des créances.

Le Greffier du tribunal, 9764 G.- GAVENC.

a prix :Là fefffië de la MaHon-NëtivC

est ïohéë M. Rëüé-Pièrre Plttÿi- nage, agriculteur, aux fermes d’un bail aüthentiqtiè feçu par M” Dcforriïè, fiotairë à Darrimar- tin-eii-Goële, lë l ,r üécëfhbi-ë 1928, modifié par dëüx a-ctes Sbüs sign-atures privées en daté des 21 et 25 juin 1933, déposés âU rang des miHutëS dudit M“ DëloMnë, lès 4 ët 24 juilllet 1933.

NOTA. — Il est dêclar-é,- Con­form ém ent à l’article 696 du Code de procédure civile, que toüS ceux du chef desquels il peut être pris inscrip tion d ’hy­pothèques légales sur les im ­meubles SiiS-dêâigrtés, devront requérir ces inscrip tions avant la transcrip tion du jugement d’adjudication.

Fait et rédigé p ar M8 Prunet, avoué poursuivant soussigné.

A Meaux, le 3 août, 1934.Signé : Paul PRÜNe T.

E t enregistré.

ta irë à Nice, lë 3 juin 1932.Poursuivants, ayant Me L.

Chastaing, pour avOUé constitué, dem eurant à SènliS.

En présence ou ‘ elle dûment appelée de :

Mlle Mathilde-Marie-Stépha- nie - B énardine d’Hausspnville vice-présidente du Comité dés Dame-s dë là Société de Secours aux blessés m ilitaires, demeu rartt à Paris, rue Gonstantine, n° 5 , « p rise âu nom et comme subfogée-tutrice de la m ineure GëneVièvë Lepied. susnommée, »

Procédé aux jour, heure et lieu ci-dessus indiqués, à la Vénté sur Hc’ifàliOfi, aux enchè-

san-ce le fonds de -commerce ci dessus -désigné sëra mis en .vclÎLLSa ja i.p atlnis ; të sur la miâëi a p rix stls-indi-T quée fixée par l’ordonnance p ré­citée.

FavoüéF ait et rédigé p a r poürSttivafit Soussigné.

A Senlis, le 11 août 1934-Signé : LOIR.

E t enregistré.

S’adresser pour lès tënsèifjne- ments à :

M8 Gfiàfôn LOIR, avoüé à Seri- 1-is, pbüfsdivârtt la véntè ;

M" BARBIER, notaire à Creil, rédacteur et dépositaire du ca hier des chargés. .

9757

S’adresser p au t reriseigriements:A Meaux : A M“ PRUNET,

avoué, l5 , boulevard Jean-Rose (Tél. 40), pohrsüiVârit 1S vënf.ë.

A Diamniartin-ën-Goéle : Â M1 DELORME, Polaire (Tél. 1).

A M” PÀRDË, huissier (Télé­phone 1 1 ).

nand-Martin Labour, agricul- tëitr-propriétaire, dem eurant à

Parties saisies,N’ayant pas d’avoué constitué.3° Des Créanciers irtsefits et

autres parties intéressés ;N’ayant pas fiOU plus d ’avoué

constitué.Il sera, le Mercredi 5 Septem ­

bre 19it4, à 14 heures, en l’au­dience de vacations des criées du Tribunal civil de Meaux, au Palais de Justice à Meaux, p ro ­cédé à la vente aux enchères pu­bliques et Sür ààisié rêëllè, au plus offrant et dern ier enchéris­seur et à l ’extihetion des feux, en un seul lot, des immeubles dont la désignation suit, saisis sur MM. Jean ët Laurent Labotir susnommés.

Nota. — Pâlit énbhérir, lè ihl- histère d'un tWOtié exerçant près le Tribühdl ciliil de Meaux est obligatoire.

9760■iiÉi-iîi-J-‘ I MBHM BtlSmJi

Stude de tsrA r t . 5.

L. CHASTAING, avoué b Senlis.

Assistance JudiciaireDécision du Bureau de Senlis

du 30 Juillet 1932 .

Extra i t de Ju g e m e n t de DivorceD’un jugement contradictoire­

ment rendu par le Tribunal civil de prem ière instance de Senlis le vingt-Luit mars 1934, enregistré

ARt . 13.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Lés ëféaücïërs de la liquidation judiciaire dü sieur CHHISTIÀeNs GeorgëS, frég'ocia'nt â O rrÿ -la - Ville, s-ôtit invités à sè réünir le 4 Sépiétdbre 19:,4, d 14 heures 3(1, an l’audifoifé au Tribunal dè Gommerce dë Sentis, pour enten­dre la léélürë d a compté da sÿndié dë l’uüion e donner leur avis Sür l’extuSabilité du liquidé.

L i G refftèt du ffib u n d l, 9700. G’. GAVENC.

ArtI. 8 .

DEUXIEME AVIS

Suiv nt acte sous signatures privées fait triple à Baris, le 9 avril 1934, enregistré à Paris, S*' bureau des Notai es, le 23 ju ille t 1934, ' olume 931 a folio 23, ca'se 9, la Société à responsabilité lî mitée A. BERNARD et Cie (eh liquidation), ayant son Siège Paris, rue d’Amsterdam, ri 55

A fait apport à la Société dite SALPA FRANÇAISE, société ano nyme ayant son siège à Paris rue d’Amsterdam, n° 55 :

Du fonds dë com m erce de fabrication de cuir artificieRCréé et exploité par la Soéiété BERNARD et Ciè dans une usine sise à Pont-Stë Maxence (Oise), ap­partenant à la Société Salpa Fran çaise, dont celle-ci avait fait bail à la Société A. Ber- ard et Cie, le dit fonds com prenant : la elien tèle et l’achalandage y attachés dont la création et l’organisme émanent entièrement de la So­ciété À, Bernard et Cie, le maté­riel le mobilier et les matières prem ières existant au R i'janvier 1934.

Cet apport a eu lieu moyennant le prix fixé audit acte.

Il a été stipulé que la Société Sal a Française aurait la p ro ­priété d s b ens et droits compris audit apport, à Compter du jou r de l'approbation définitive prévue aèdit acte (laquelle a été -tonnée par l'Assemplée générale extraor­dinaire en date du 25 juin 1934), mais qu’elle ert aurait la jouis­sance à com pter rétroactivem ent du I èr janvier 1934.

A partir de la présente publica­tion courra le délai de quinzaine im parti par le second alinéa de l’article 7 de la loi du 17 marsI9o9.

D’autre p art, les oppositions s’il ÿ a lieU, devront être faites dans les dix jours de la présenfe publication à Pôht-Sàiritë-MïUeü- ce, au siège du fonds ayant fuit l’objet de l’apport.

L’insertion prescrite par la loi du 29 avril 1926 a été faite à'i Bul­letin Offi tel des Ventés et Ges-1 sions de Fonds de Commerce du | 4 août 1934. 9720 i

Eludés de M6' René PICARD, docteur en drôit, aVoué à Senlis,

2f, rue de Vilteyerf. Tél. 13(S'ü'ëéëësêuf de Me ESëâVy)

et dë M8 Robert DEROUIN, notaire à Pérros-Gnirec

(Côtes-d u-N ord). Téléphone 3.

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Les personnes de la ville ou étrangères à la ville ayant l’in­tention de soum issionner devront en inform er par écrit le Président de ladite Commission avanf'Ye 24 A o û t 1934. Elles s e r o n t avi­sées 24 heures au moins avant le iour fixé pour l’adjudication de l’admission de leurs offres. ’

Le cahier des charges indi quant les conditions du marché et les obligations imposées à l’adjudicataire est déposé an Bureau de la Commission des Ordinaires, au Quartier Ordener ou on pourra en prendre connais-sânee .

Senlis, le 2 Août 1934.Le Chef d'Escadrons,

Président de la Commission des Ordinaires

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Supplément au Courrier ae l’Oise du Dimanche 12 Août 1934

j T J ï c r v e r s S e r ^ S

(Suite)

LE GIBIER PARAIT ETREABONDANT !

Les braconniers ont déjà commencé leurs exploits

Dans la n u it de m erc red i à jeud i, les gendarm es de la b rig ad e .d e Senlis ac-

ic o m p a g n é s des g ard es V anel'lan, de Précy-sur-O ise et H utin , de S enlis, de la F édéra tion des ch asseu rs de l ’Oise,

« e x e rç a ie n t une su rv e illan ce active su r I le s te rr ito ire s de L a C hapelle -en -S er-

va! e t O rry-ia-V ille .| A un m om ent donné, ils e n te n d ire n t des coups de feu e t c o n s ta tè re n t que p lu sieu rs in d iv idus c h a ssa ie n t à la la n -

fte rne e t au d rapeau , i T rès ad ro item en t, ils a r r iv è re n t à

Isu rp re n d re ces ind iv idus qui se d ir i­gea ien t à tro is h eu res du m atin vers la gare de S u rv illie rs , la p rise é ta it bonne ca r ils av a ien t en m ain s 6 b eau x liè ­vres et 3 p e rd reau x .

A m enés à la g en d arm erie , ils décli- in è re n t a in s i le u r iden tité : C harles- A dolphe L eg rand , 31 ans, c im en tier, rue du J a rd in , à O snières ; F ranço is

IC ourtieux, 34 ans, à IT le-S ain t-D en is, 16, bou levard P agel ; M aurice Dehon, 34 an s, m an œ u v re spécialisé , bou le­v a rd J e a n -Ja u rè s , à Clichy. Ils ont

été rem is en lib erté ap rè s vérifica tion d ’iden tité e t p ro cès-v erb al p o u r chasse la n u it avec en g in s p roh ibés e t san s perm is.

Le p ro d u it du b raco n n ag e a été re ­m is à l ’h ô p ita l g én éra l de Senlis.

Les ch asseu rs fe ro n t b ien de faire su rv e ille r le u r chasse, ca r, en ra iso n de l’abondance du g ib ier, les b ra c o n ­n ie rs se ro n t au ssi nom breux .

- » û « -

UNE IVROGNESSE QUI CONTINUEA FAIRE PARLER D’ELLE

M. le C om m issaire de police v ien t de éèlever à nouveau , 3 co n trav en tio n s à .fa ch arg e de la fem m e B audequ in Hé- üèiie, épouse L evasseur, 52 ans, m anou- v riere , 23, ru e de P a ris à Seuils.

1° P o u r avoir été ren co n trée , d im an ­che ap rès-m id i, en é ta t d ’iv resse m a­nifeste su r la voie pub lique ;

2° P o u r v io len t tap ag e n o c tu rn e dan s la n u it de d im anche à lu nd i, de 2 2 h eu ­res à m in u it en v iron ;

3° P o u r nouveau e t au ss i v io len t ta ­page n o c tu rn e d an s la n u it de lu n d i à m ard i, ju sq u ’à 23 heu res.

Cette fem m e a dé jà été condam née le 5 co u ran t, p a r le tr ib u n a l de sim ple police de S enlis, à 15 fran cs d ’am ende (m axim um de l’am ende p révue p a r le code p éna l) p o u r des fa its sem blables.

Elle c o m p a ra îtra encore de nouveau d ev an t le m êm e tr ib u n a l, à la p ro ch a i­ne aud ience , e t a p p re n d ra à ses dépens que tro p c r ie r n u it, su r to u t la nu it.

ETA T CIVIL DE SENLISdu 2 a u 10 août 1934

Naissances7. E tienne-R ené-V incent Guillot, 12,

ru e L éo n -F au tra t.8 . Je a n n in e M aronat, route de Cré-

PY-Décès

(N éan t).Publications de M a ria g e s

E n tre M. M aurice Jeantet, ingénieur des M ines, d e m e u ra n t à Senlis; 1, rue C arnot, e t Mme A lbertine Josquin, sans p ro fession , d em eu ran t à Senlis, 1, rue Carnot.

E n tre M. G ilbert-Ju les Pahud, m aré ­c h a l-fe rra n t, d em eu ran t à Montlognon, e t Mlle L éone-S im onne François, m é­n ag ère , d em eu ran t à Senlis, 47, rue de M eaux.

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La regrettée Marie DRESSLERet Polly MORAN, dans

Ma Sœur Masseuseavec A n ita PAGE

La com édie de l’In s titu t P la s tiq u e - Un fo rm idab le a rse n a l esthétique... Com m ent on souffre po u r être belle... Les folles tra îtr is e s des cham bres de

beauté...

ECLAIR JOURNAL (A ctualités les p lus récentes)

etLes funérailles du Maréchal LYAUTET

Arrivée du Tour de France.

DIVAGATION NOCTURNEDES CHIENS HURLEURS

M. le C om m issaire dè police, ra p p e l­le qu ’il e s t in te rd it au x p ro p rié ta ire s de la isse r leu rs ch iens d iv ag u e r e t h u r le r la n u it s u r les p laces pub liques comme cela se p ro d u it trop souvent d an s le cen tre de la ville.

A défau t d ’a rrê té m u n ic ip a l in te rd i­sa n t ces b ru its , M. le C om m issaire de police to u rn e ra lég a lem en t la d ifficul­té en p o u rsu iv a n t les p ro p rié ta ire s co n trev en an ts du chef d’em b arra s de la voie pub lique e t de d ivagation de chiens. Cet é ta t de choses ne p eu t ê tre to léré p lu s long tem ps et en ou tre du troub le ap p o rté à la tra n q u illité des h a b ita n ts qui se reposen t, il p résen te un d an g e r p o u v an t avo ir de g raves conséquences p o u r les p a ssa n ts v e n a n t à ê tre m ordu la n u it e t p a r su ite de l ’obscurité de la ville ne p o u v an t id en ­tifie r les ch iens m a lfa isan ts .

- » o « -

REPRESSION DES FRAUDES Contrôle du poids des pains

dits de fantaisieEn vue de la rép re ss io n des fraudes,

M. K astner, com m issa ire de police e t 2 ag en ts de son service, se so n t p ré ­sen tés inop iném en t, jeu d i m a tin , 9 cou ran t, dès 8 h eu res , d an s tou tes les b o u lan g erie s de la ville , p o u r y p rocé­d er à la vérifica tion du poids des p a in s d its de fan ta is ie e t de tou tes catégo­ries (joko, sauc isson , fendus, roulés) 205 p a in s o n t été pesés.

A ucune in frac tio n à la loi du p re ­m ier ao û t 1905 ou a u x règ lem en ts m u ­n ic ip au x n ’a été relevée.

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A toute demande de rem et gnements, il ne sera répondu

Ique si la lettre est accompagnée ï d’un timbre pour la réponse.

C H A N T I L L YVue fillette tuée par une auto

Jeudi dernier, Vers 6 heures du soir, la petite Jeannine Smée, dont les parents habitent 27, quai de la Canardière, a été renversée dans la rue de Paris, par l’au­tomobile du Dr Marchai, de Creil.

La petite Smée sortait du catéchism e et se rendait avec la petite Degrez, chez les parents de cette dernière buraliste, rue de Paris où elle avait été invitée à goûter. Une auto en stationnem ent de­vant la boutique de M. B arrère m asquait aux deux fillettes la voiture fatale qui de­vait les renslerver. Bien que roulant à une, allure modérée — le Dr Marchai freina et s’arrêta presque sur place — Ce dernier ne put éviter l’accident, l’aile droite de l’auto accrocha les deux bam­bines, la petite Degrez fut relevée avec des contusions, tandis que la petite Smée violemment projetée sur le pavé de la rue, était transportée sans connaissance à l’Hôpital Condé, où elle succom bait à m inuit d’une fracture du crâne en dépit des soins empressés que lui prodiguè­rent les docteurs Maurat et Marchai.

Qe pénible accident a causé une émo­tion particulièrement vive à Chantilly.

** ★

(En ouvrant ici une parenthèse sur l ’aoeident, nous n ’entendons nullement faire le procès de son auteur ; sa res­ponsabilité d’ailleurs, p ara ît être à peu près dégagée. Mais pour un accident die ce genre combien d ’autres causés p ar l’insouciance ou le cynism e des conduc­teurs. I

Dans notre bonne ville de Chantilly — cet état de choses n ’est d’ailleurs pas spécial à notrje ville — il est amusant, quand il n’est pas tragique, de no ter le nombre de,s voitures qui enfreignent l’arrêté municipal in terd isan t de faire p lus de 10 kilom ètres à l ’heure — vi­tesse raisonnable — et de se doubler en ville. La rue du Connétable et plus en­core l’avenue de la Gare sont à cet égard des champs d’expériences singulièrem ent édifiants. Que faire ? répondent les auto­rités intéressées. Rien. Absolument rien que se laisser écraser ! C’est infinim ent triste , m a's c ’est ainsi.

Avec me circulation allant crescendo pour obtenir un résultat il faudrait que les agtents de la force publique se consa­cren t exclusivement à la surveillance de la route. On n’y peut songer, leurs obli­gations sont é,n effet m ultiples et même administratives. Bref ! il reste entre au­tre chose deux moyens de défense : l 'ap ­p lication im m édiate d ’une amende aux contrevenants contre un reçu détaché d ’un carnet à souches ou bien creuser de place en place dans la traversée des villes quelques profonds caniveaux. C’est un moyen sûr et qui m odère les plus belles ardeurs. On lui reproche de n’être pas élégant ni charitable à ceux qui res­pectent les lois. Je ne crois pas d’ailleurs que Ghantilly, ville touristique, se résol­ve jamais à accueillir à « coups de ca­niveaux », les pneux de ses visiteurs... La rue du Connétable, au contraire, va d’ici quelque temps, après sa réparation , de­ven ir unj merveilleux autostrade.

P a r ailleurs si les grandes personnes

sont im pardonnables sachant le danger qu’ejles courent de ne pas prendre quel­ques précautions, peut-on demander à des enfants le même discernement. Leur ferait-on — et ce serait utile — la leçon à l’école qu'e l’ardeur du jeu risquerait fort de la faire oublier. A propos d école, lâ sortie des classes ne laisse pasid’être dangereuse, une conduite des élevés ne s’impos)e,-t-elle pas. Nos trottoirs, aussi sont trop encom brés ; il arrive fréquem­m ent dans la rue du Connétable d être obligé de descendre sur la chaussée. Un jour ou l ’autre, un enfant sera happé par une auto rasant le tro ttoir.

Les vies hum aines sont assez précieu­ses pour qu’on prenne le soin de réflé­c h ir sur tous les moyens — meme les plus petits — susceptibles de prévenir les accidents.

J ’ai l’honneur d’informer mon aimable Clientèle que

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m eilleure chance à ce sym pathique gar­çon qui doué de réelles qualités, ga­gnera peut-être un jour les galons d’in ­ternational. Un footballeur cantilien n’a- t-il pas toujours ce bâton de m aréchal dan si sa giberne.

iM. Vivian Cunnington blessé dans un accident d’automobile

Sur la route de P aris à Deauville, en­tre la Commanderie et Evreux, une au­tom obile conduite p a r M. Vuitton, de iParis, a dérapé sur la route rendue glis­sante p a r la pluie et est allée s’écraser sur un abne. M. Vivian Gunningtoiî, l’en­tra în eu r de M. A. Fould, se trouvait dans la voiture et a été assez sérieusement blessé.

Trois accidents, fa it curieux, se sont produits au même endro it à quelques mi­nutes d’intervalle, le 7 août dernier.

Démission d’un Conseiller MunicipalM. Diubrouillet, conseiller municipal,

adjoint au m aire de Chantilly, a remis sa démission à M, Paulvé, le lundi 6 août dernier.

Chronique sportiveNous relevons dans l’Auto du 7 août,

le nom de Garlier, garde but de l’équipel re du Red Star avec celui de Thépot, le titu laire , po rtie r b rillan t de l’équipe de Franc(e,.

Après Aston, Carlier dans l’équipe 1 audonienne, on ne peut n ier que Chan­tilly ne soit pas une pépinière pour les clubs parisiens.

Tïnnç tons, cas.

N O C E SBANQUETS

H O T E L LES TERRA SSESC H ^ l S r T X L I L - s r

Rem erciem entsM. et Mme Smée, profondém ent tou­

chés des marques de sym pathie qui leur ont été témoigné p our la m ort tragique­m ent accidentelle de leur fille Jeannine, rem ercien t vivem ent toutes les person­nes qui ont assisté aux obsèques et tou­tes celles qui ont offert des fleurs.

ConcertsComme nous l’avons annoncé, c ’est de­

m ain dim anche 12 que la Fanfare de Blangy-sur-Bresle exécutera d;e 16 à 17 heures, allée du Réservoir, le program ­me ci-dessous :1. Voyage en Provence (allegro) Giraud.2. Euterpe (ouverture) Eenhaes.3 . Danse Annam ite (fantaisie) H. M|a-

q u e t .4. Dans l’Alaska (scène dram atique) Del-

becq.5. Parfums troublants (valse) Garcieu.6 . Adieu, Adieu (one-step) R. Stolz.

M. Daviette, d irecteur.

Ce soir, sam edi 11, concert p a r la Musique M unicipale, au Bois Saint-De- nis, à 21 heures,

ANTILLY

Médaille d ’honneur. — La m édaille d’honneur du M inistère des Travaux P u­blics vient d’être décernée à M. Joseph Létolle, can tonn ier de la commune. 30 ans de services.

Nos com plim ents.APREHIONT

Le Poste d’Aide-Cantonnier garde- cham pêtre est vacant. Les candidats sont priés de se p résen ter le p lus tô t posible au Maire qui donnera tous renseigne­m ents nécessaires au po in t de vue tra i­tem ent et travail exigé.

A U G ER -SA IN T-V H M C EN T

D istinction honorifique. — A l’occa­sion du 49° Congrès de la Fédération Na­tionale des Sapeurs-Pom piers Français, la m ention honorable de la Mutualité a été décernée au sous-lieutenant Susset, d ’Auger-Saint-Vincent.

Nos com plim ents.CO Y E-LA -FO R ET

Fête d ’Eté. — Lei long de la Thève, que suivit tan t de fois G érard de Nerval, parm i les prés fleuris de m arguerites et de boutons d’or, et que chanta H enri de Régnier, c ’est encore fête au P arc de « La Ruche de Coye ». E t le beau tem ps, cette fois, est de la partie . Joyeuse ani­m ation autour des com ptoirs et des jeux,, t , i » « a•_ J I, ,. 1 - „44 L r»llnrm e « n n h a itn n s la ! u n e ibelle d e în o n stra itio n *d6 baskett-ba.ll»

tournoi de ping-'pong, de courses, de lancer du poids, et l’après-m idi passe comme un rêve.

A la nuit, le Parc s’illumine. Program ­me Variée et intéressant. Mouvements gymniques, rythm és p ar l’O rchestre, po­ses plastiques réunissant dans une même évocation et l ’âge de p ierre et les sporfs m odernes, exercices aux barres parallè­les, pyram ides, leçons d ’éducation phy­sique, poids et haltères, exercices de vol­tige : rien ne manque. E t pour dérider l’assistance, une amusante pantom im e est jouée de îacôn parfaite.

Le tem ps a passé bien vite ; sous les ombrages on est si bien, en cette belle nu it d’été et chacun se sent un peu poète. Mais il faut se rem ettre dans la réalité et l ’on regagne son gîte, heureux d’une bonne journée.

CUVERGNON

Ecole d ’agriculture. — A la suite des examens de l’école d ’agriculture de C r é r zancy, du 2 août dern ier, M. Félix An- celin, de Cuvergnon. a été admis à cette école.

Nous lui adressons nos bien vives fé­licitations.

DUVY

Acte de probité. — Ayant trouvé un sac ren ferm ant 3.0ûû> francs, le j'euiie An­dré Julien, âgé de 9 ans, s’est empressé de le rend re spontaném ent à sa p ro ­p rié ta ire .

Nos félicitations au jeune André Ju­lien p our son acte de probité.

UUHORL.AYE

Médaille d ’honneur. — La 'M édaille d’honneur de la police m unicipale vient d ’être décernée à M. Jean-llaptïste Ra- vet, garde-appariteur en cette commune.

Nos félicitations,

LA C H A PELLE-EN -SER V A L

Installation du nouveau curé. — L’ins­tallation solennelle de M. l’abbé Càbor- del, ancien curé de Ritry, nommé curé de La Chapelle-en-Serval et Orry-la-Ville, au ra lieu le dim anche 12 août, à 15 heu­res, sous la présidence de M. le chanoine Delvigne, arch ip rêtre de Compiègne, rem plaçant M. l ’A rchiprêtre de Sentis.

Nous prions notre sym pathique nou­veau curé d’agré'er nos vœux les m eil­leurs de bienvenue et d’heureuse fécon- dodé p o u r son m inistère.

OGNOM

Une bonne leçon de choses. — Di­m anche 5 août, un certa in nom bre d’éco­liers et écoliènes avec leurs parents, sous la conduite de la dévoué in stitu trice cl (Jgnon, Mime Becquet, sont àlles passer une journée à la mer.

Un confortable au tocar emmena les excursionnistes à travers les rian tes cam­pagnes du Beauvaisis, puis p ar la verte N orm andie où vaches, porcs et poules dans les p rés eurent le plus franc succès, jusqu’à Dieppe, term e du voyage.

La m er !... la m er que les enfants n ’a­vaient jam ais vue, quel merveille !

On visita la ville, le port de pêche, un paquebot du service Dieppe-Newhaven, on s|e baigna et le soir, tout le monde p r it le chemin du retour, un peu las, m ais la joie au cœ u r et une provision de jolis souvenirs, dont on parlera long­temps.

Bonne journée, pleine de cordialité,

pendant laquelle la plus saine gaîté ne cessa de régner.

Merci Madame Becquet. L. G.PLAILLY

Suicide. — M. Jean Mast, garçon de bureau à la Compagnie du chem in de fer du Nord, 49 ans, originaire de Verde- rqnne, était parti depuis le 2 août der- aier. 'sans dire où il allait, lorsqu’il y â quelques jours, sa femme reçut une car- te-ppètale venant de Boulogne-sur-Mer, et une enveloppe contenant sa photo au dos de laquelle étaient inscrits ces mois:« An devoir. Adieu », • A .

Mardi soir, vers 22 heures y2> t M. An­dré Mast, m écanicien, fils de Jit, Jean Mast,'entendit un coup de Jeu, il sortit et dépouvrit son père sur les m arches de la porte d’entrée de la maison. Je m al­heureux venait de se tire r une balle de revolver dans la bouche, celle-ci était restée dans la tête. Le sang sortait de la bouche. Le Dr Nocton, de Plaijlÿ, a dé­livré le perm is d’inbum er. Le défunt avait écrit un m ot pour la police disant :« Je me donne volontairement la mort. »

Une enquête est Ouverte pour déterm i­ner les causes de cet acte de désespoir.

’ï PONTPOiNTDans les eaux et forêts. ■— M„ Bourlet

André-Piere, fils de préposé agréé à Pontpoint, est nommé garde-dom anial des eaux et forêts de 6“ classe au poste non logé de Lignerolles ((Üe-dhlr).

P O M T - S i e - M A X E N C E

H i s to i r e de c h e m i s e s

Sous ce titre , M. M érigonde, P ré s i­dent de rA m icale S portive de P on t, p u ­blie1 Hans 1’ « Echo R épub lica in », du 28 juillet, un articfle qu ’il a la p ré te n ­tion de cro ire sp iritu e l. Npus avons dit que sur le te r ra in de sp o rts de l ’A. S. Pont, des d irig ean ts et jo u eu rs de cette société, av a ien t a rb o ré la chem ise « sang de bœ uf > du F ro n t C om m un ; cette nouvelle nous av a it été com m u­niquée p a r un am i p ré se n t au x ép reu ­ves du tou rno i de six te du 15 ju ille t.

Soucieux de ne r ien d ire qu i ne fû t exact, nous n ’avons tra n sm is le p a p ie r de notre am i qu ’ap rès avo ir procédé à une enquête. M. M érigonde avoue lu i- mêmu les faits to u t au m oins q u a n t à MM. Loire, d ir ig ean t, e t B ahu, joueur.

Nous ne pouvons que ré p é te r : il est inadm issib le que des m em bres d’une société sportive, au cours d ’une épreuve ouverte à tous, sur. u n te r ra in m unicipal, v io len t a in s i la n e u tra lité qui est de règle. Il est inadm issib le que le P résident de cette société, ap rès avoir toléré cette m an ife tsa tio n d ép la­cée, ne. trouve d es rep roches que p o u r le critique. M. M érigonde, s ig n a n t de son titre de p ré s id e n t de l’A m icale Sportive de P on t, u n a rtic le ne ttem en t politique, a m an q u é à son devoir.

Il a aussi m anqué à la po litesse ; on n ’est guère h ab itu é chez nous à trouver sous la p lum e d ’u n P ré s id e n t de Société, un tel ram ass is d ’in ju re s et d ’inepjies. Nos lec teu rs a u ro n t b ien de la peine à c ro ire , ap rè s l ’a rtic le de M. M érigonde, que l’A m icale Sportive de Pont, n ’est p u re m e n t e t sim plem ent, q u ’une, société sportive.

Le C orrespondant local.

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R ectification

On nous p rie d ’in sé re r : |vUn jo u rn a l de l’arrondissem ent ayan t

m is en cause le G. S. M- (Glub.Sainte- M axence) dan s u n a rtic le sigjié M éri­gonde, je tie n s à p réc ise r qu’aucun m em bre du G. S. M., en ta n t que joueur ou d ir ig e a n t de cette Société, n ’a p a r ­tic ipé à la rédac tion de l’article auquel s ’a ttaq u e le P ré s id e n t de l’A. S. Pont.

Les M em bres du B ureau et joueurs du Club S ain te-M axence ont bien cons­ta té la p résence s u r le te rra in m unici­pal de chem ises rouges n ’ayant rien de com m un avec celles des sympathiques jo u eu rs d’Avilly. Us on t gardé pour eux leu rs réflexions, e t se son t dépensé, p rès de leu rs cam arad es de l’A. S. P., po u r a s su re r la bonne m arche1 du to u r­noi. ,, ,,*,'1.-

Le G. S. M. tien t essentielefnent à e n tre te n ir avec tou tes Les Sociétés lo ­cales des ra p p o rts cordiaux. J’ai m oi- môme inv ité , il y a u n peu }lus d ’un an , le P ré s id e n t de l’A. S. P. à rég le r d ’accord avec nous, la que/îàon des tra n s fe r ts des jo u eu rs de nos Sociétés respectives. Je dem eure à sa disposi­tion p o u r le règ lem en t de cette ques­tion e t de celles qu’il voudra 'b ien me soum ettre .

Le S ecré ta ire g én éra l du G. S. M., Y. OLLIVIER.

Un p e tit p rocédé ' .de 1’ « Echo R ép u blica in »

Nos b rav es socia listes pontois — en l ’occurbence trè s probablem ent M. Loire fils — s’é to n n en t d ’un oubli du « C o u rrie r » re la tif au x prix alloues au x la u ré a ts du C e rtif ic a t. d’Etudes P rim a ire s . Le « C ourrier » 1 au rait ou ­b lié de p ro c lam er que, p o u r une fois, les S. F. I O. on t accom pli une bonne action . N ous ne dem anderions pas m ieux que de le u r d o n n er satisfaction.

M ais nous som m es obligés de co n sta ­te r que le p r ix S. F. I. O., co n tra ire - m ë h t . à C ertaines a u tre s récom penses, e s t to u t à fa it réservé. Q uand cê p r ix se ra su scep tib le d’être gagné p a r tous lés, can d id a ts ind istific tém eht, i l a u ra san s doute les h o n n eu rs de la p u b li­cité. C’es t d ’a illeu rs l’u n iq u e b u t visé p â r nos rév o lu tio n n a ires « en p eau de lap in ».

A M. Loire fils,Secrétaire de la Section Socialiste

S. F. I. 0.M. Loire fils dev ien t m odeste. D ans

1’ « Echo R épub lica in » du 28 ju ille t, il ne sè p a ré p lus que d’un seu l titré . Les fonds se ra ien t- ils te llem en t en b aisse qu ’il lu i faille d éd a ig n er son titre de « T ré so rie r F édéra l » ? Ou les bol- chevistes se se ra ien t- ils a r ra n g é s de façon à lu i en lever son S e c ré ta r ia t du Comité A ntifasc iste ? P eu nous im p o r­te ! Nous co n sta to n s avec p la is ir que no tre jeu n e section de Jeu n esses P a ­trio tes inquiète M. Loire. Oh ! tra n - qu illisbns-le . Nous’ ne lu i voulons a u ­c u n m al. N o u s t e n o n s m ô m e t e l l e m e n t à lu i m ire p la is ir que nous allons ré ­p ondre au x questions qu’il nous pose.

Com bien la section J. P. com porte- t-e lle de membres,, ? Près de so ix an te - dix. Je dois avouer qu 'e lle en a com ­porté u n peu p lu s il y a quelques a n ­nées : qu an d no tre cam arad e B e rn a rd C éler en é ta it sèc ré ta ire . B e rn a rd Céler es t m ort en héros, p o u f là F ra n c e . Nous qui l ’avons connu et a im é, nous con ti­n u ons son œ uvre.

Combien nous vendons de « N atio­na l » chaque d im anche ? N otre re ­cord : 150. N otre ven te hab itu e lle : 50 ou 100; su iv a n t les d im anches, et cela en m oins d’une heu re en ra iso n d ’au ­tre s occupations. Chiffres a isés à v é ri­fier.

V oilà M. Loire sa tisfa it. E t m a in te ­n a n t quelques réflexions. Chaque di­

îice poui ituMs.,,!.., jt;>, oiveuuu.T... jioui les autres ! Et il fau t vo ir la façon de vendre. Moi qui signe ces lignes, j ’ai vu de mes propres yeux im poser le « P o ­pulaire » à un hoiiornble com m erçan t de notre ville, le d im anche 22 ju ille t, vers midi, par un jeune éphèbe à che­veux blonds,«Après s’être excusé à tro is reprisp^fie, com m erçant, a ,dû lâ ­cher ses 6 sous, et a envoyé p ro m en e r la feuille révolutionnaire sous le com p­toir. 1 | )

Pour compléter no tre in fo rm ation , nous ejuuk'ions qu’il se yeqd chaque jo u r .à Pont gix num éros du * P o p u ­laire ». Gomment avons-nous en ces renseignements ? P a r une enquête d is­crète et sans avoir in te rro g é qui que ce soit. ,

Nous connaissons à quelques u n îte s p rès le nombre des ad h é ren ts’ S. F. I.O. de Pon! et des env irons : il n ’es t pas fort ! Mais nous n ’igno rons pas qu’il y â des sym pathisants non affiliés, e t des frères communistes, ce qu i crée u n e force* active,' e t p a r ta n t redou tab le . D’au tan t plus redou tab le q u ’elle e s t b ien financée.

M. Loire,a su p a r un « Œ iL de Mos cou », — que nous ayons ci’n illeu rs re_ p éré et qui n ’est jias le v é ritab le ■ que noUs étions quinze a n o tre de rm ere réun ion mensuelle. Nous ne l ’avons ja ­m ais caché e t le « C ourrie r de 1 Dise » du 29 a publié un com pte ren d u adé­quat. .

Nous tenons ,à fa ire re m a rq u e r a no tre compatriote socialiste que no tre L igue compte 300.000 m em bres. A la tête, des, hommes de v a leu r, écriva ins, avocats, généraux, p a rlem en ta ire s , ou ­vriers... Glémefiçeau é ta it J. P. Le m a­réchal Lyautey égalem ent. Le m a ré ­chal, Monsieur Loire, e t non le géné­ra l ! Vous êtes v ra im e n t m al re n se i­gné ! En dépit de S o n titre de < Je u ­nesses Patriotes », no tre L igue g io u p e des hommes de tous âges, jeu n es p a r le cœ ur, par l ’âm e, p a r l'-d11’, / 0/ ' , pouvons dope la isse r au x b. r . L u . les en fan ts -do la « M aternelle », d o n t u s se so n t d’anieiars dé jà se rv i p o u r la dîstriDuMoA uc .ia„„s jo u rn au x .

En septém bre, nous uc.. 0i<.î .r .<»ï’<jns no tre p ropagande. N ous lu tte ro n s de tou tes nos forces con tre la R évolution Rouge qui m enace e t ce la san s am ­bitions personnelles, p o u r le b ien de no tre pe tit pays, p o u r le b ien de la F rance , Pontois, vous m on tre rez vo tre désaffection pour les fau teu rs de tro u ­b les, e t vous ad h érerez au x g ro u p e­m en ts nationaux.

P o u r la section J . P.,Y. OLLIVIER.

Etat Civil pour le mois de juillet. — Naissances. ■— 1er- Massai Marcel-Lnnle- A n d ré , 12, rue P e r ro n e t.

1er. B ern a rd F ra n ç o ise -A n d re e -P ie rre t- te , 18, avenue B ria n d .

16. R ussek F ra n ç o is -E d w a rd , 44, c ite

19. Tétu Lucienne-Huguette, o, ci IM im b e rtin . . .t „ i nto i-I26. P u iz z o F ra n ç o ise -G e o rg e tte - , ^n e tte -A d é lin e , 43, ru e d u C ham p 1

28.' D U four M ichel-L ouis-E tienne, >1ru e de l ’E p e ro n . .„ ^ ?

30. Y sebaiert M aurice-A elnU e, 4», 1de l ’A b a tto ir . . , ité ^ I

30. D ie tz R o la n d e -S e rg in e , 45, e u e al ’Abattoir. , , , . 22,30. À n d r io llo M ax im ih en n e -M an e ,cité de Liancourt. de l’A-l

31. J e sk o H e n n - lg n a c e , 55, c ite d Ib a t to ir .

Mariages. — 3. M a n sa rd d e u r au to g èn e , d o m ic ilie a S an ._e t M lle A zzo lin i M arie, m o sa ïs te a P j S a in te -M ax e n ce . .

21. F iz e l R u b en s-V ic to r, < ?b a rcu t^ r e t M lle D a n ie l V io le tte -G ise le , san s p ro fes­sio n à P o n t-S a in te -M a x e n c e

23. C av ib ch i R om eo , m a rc h a n d d p m e u rs à P o n tp o in t r i ^ l e S «vyinsM J ° - s é p h in e , v e n d e u se a P on t-S te-M axe

Décès. — 9. S ev es tre A n d ré -L p u is , 19 a n s 2 5 ,’ r u e de M im b e rtin .

14 B ro u ée M iélanie, veu v e D e b rie , ■ an s , 'r u e de, l a C hape lle -S .a in t-Jean

21. L iq u e tte H é lè n e -V ic to n n e , 83 an*,Yiflimleàu d© IVIimbertiri. #

28. M onio lle M a r ie -G e o rg m a -L ib a , |v eu v e C h a n tre lle , 82 an s , c h e m in de Vd-

lerS' SAWT-KSAXIMtNS ec o u rs M utuels . — L e P ré s id e n t a,

l ’h o n n e u r d ’in f o r m e r le s ^ f t a i r e s a d ­h é r e n t s à la C aisse C h iru rg ic a le que le v e rs e m e n t d es c o tis a t io n s p o u r 1 an n ee 1934, a u ra l ie u à la r e c e t te de septembr .

SAINT-NtOOLAS O-ACY

Fête de SainCNicolas. — D im a n c h e 19 ao û t, ch e v a u x de b o is , c o n fise rie , t i r , b a l av ec jazz sous la te n te à 9 n . ôu.

L u n d i 20 ao û t, c o n tin u a t io n de la f^ V D is tr ib u t io n de f r ia n d is e s a u x e n fa n ts . T o u rs de ch e v a u x de bo is .

V e rs 15 h e u re s , b a l d e n fa n ts Bal avec Jazz sous la te n te a 9 h e u re s . On tro u v e ra au c à fe - re s ta u ra n t

le t te l ’a c c u e il le p lu s a im a b le , d e s c o n ­so m m a tio n s db p re m ie r c h o ix e t d e la p â tis s e r ie .

_ M P a u l R u d e a u , p ro fe s s e u r en ch ef à l ’H ôroital de la M a te rn ité de P a r i s , est

de la « g g j gN ous n o u s jo ig n o n s a s e s n o m n ie u x

am is de V e rb e r ie p o u r lu i p ré s e n te r no* s in c è re s fé l ic i ta t io n s . j-é c o le à V er-

— m . r .a ? to n , d i r e c te u r d éco le a t _b e r ie , v ie n t de re c e v o ir la ro s e u e c ie r à L 'In s tru c tio n p u b h q u e-

M. e t M m e C ap to n p r e n n e n t le u r re t r a i te , e m p o r ta n t la sy m p aR iie g re ts des h a b ita n ts de V e rb e rie .

V IL L E R S -S A iN T -P AUi.

Tombe profanée. — L e fo s so y e u r J œ s e p h B o u ra p ro c é d a n t au c im e tie re d c e tte lo c a lité à l ’in h u m a tio n d u c o rp s d e M m e R o b e r t H e n n e to n , n ee Ju l ie M an- c h e ro u ! in h u m é e le 25 ju i l le t d e rn ie r d a n s u n e to m b e p ro v is o ire , a c o n s ta téq u e p e n d a n t v ra is e m b la b le m e n t la n u itq u i a su iv i l ’in h u m a tio n u n ou p lu s ie u rs v a n d a le s a v a it v io lé le c e rc u e i l .

L a g e n d a rm e r ie de C re d a o u v e rt u n e em m êle e t le P a rq u e t d e S en lis a été