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Le modèle d’analyse Le modèle d’analyse RESEN (Rapport d’État RESEN (Rapport d’État d’un Système Éducatif d’un Système Éducatif
National)National)Pôle d’Analyse Sectorielle de DakarPôle d’Analyse Sectorielle de Dakar
Coopération FrançaiseCoopération Française
EthiopiaSomalia
Djibouti
KenyaUganda
Tanzania
MozambiqueZambia
Angola
CongoGabon
Chad
NigerMali
NamibiaBotswana
Zimbabwe
South Africa
Swaziland
MadagascarMauritius
Seychelles
Togo
Sierra Leone
GuineaGuinea Bissau
Gambia
Cape Verde
Senegal
Burkina Faso
Eritrea
Nigeria
Benin
Ghana
Ivory Coast
Liberia
Sao Tome & Principe
Rwanda
Burundi
DRC
CAR
Cameroon
Equatorial Guinea
ComorosMalawi
Lesotho
Plan de la présentation
Présentation du pôle d’analyse Présentation du pôle d’analyse sectorielle de Dakarsectorielle de Dakar
Initiative Fast TrackInitiative Fast Track Le RESENLe RESEN Difficultés rencontréesDifficultés rencontrées
Le pôle d’analyse sectorielle de Dakar
Justifié dans le cadre des engagements du forum Justifié dans le cadre des engagements du forum mondial sur l’éducation(Dakar Avril 2002) et de mondial sur l’éducation(Dakar Avril 2002) et de l’initiative PPTE.l’initiative PPTE.
Fruit d’une nouvelle approche de la Coopération Fruit d’une nouvelle approche de la Coopération française : sectorielle, inter-Etat, partenariale.française : sectorielle, inter-Etat, partenariale.
En partenariat avec l’UNESCO En partenariat avec l’UNESCO
Activités principales :Activités principales : Suivi EPT Suivi EPT Analyse sectorielle (RESEN)Analyse sectorielle (RESEN) Suivi de l’initiative Fast TrackSuivi de l’initiative Fast Track
ANALYSE SECTORIELLE EDUCATION
STRATEGIE SECTORIELLE NATIONALE
DSRPVolets sectoriels : -éducation-santé-etc.
PNA / EPT Requête FAST TRACK
Éligibilité PPTE
Éligibilité Fast Track
Évaluation des bailleurs : 1- Au niveau local2- Au niveau des sièges
Mise en cohérence
Fast Track : Rappel Chronologique Forum mondial de l’Education de Dakar, Avril 2000Forum mondial de l’Education de Dakar, Avril 2000 ““Aucun pays sérieusement engagé dans l’Education pour tous ne Aucun pays sérieusement engagé dans l’Education pour tous ne
sera empêché par manque de ressources” sera empêché par manque de ressources” Engagement des bailleursEngagement des bailleurs
Déclaration du Millénaire, September 2000Déclaration du Millénaire, September 2000 Scolarisation primaire universelle d’ici 2015 Scolarisation primaire universelle d’ici 2015 Equité garçons-filles d’ici 2005 Equité garçons-filles d’ici 2005
Etude sur le coût de la scolarisation primaire universelleEtude sur le coût de la scolarisation primaire universelle Avril – Juin 2002 – Lancement de l’initiative Education pour Avril – Juin 2002 – Lancement de l’initiative Education pour
tous/Procédure accélérée (Fast Track): 23 pays invités à tous/Procédure accélérée (Fast Track): 23 pays invités à participerparticiper
Novembre 2002 : élection de 7 premiers paysNovembre 2002 : élection de 7 premiers pays
Prochaine étape : mars-avril 2003Prochaine étape : mars-avril 2003
Fast Track : Les principes
fondamentaux • Concerne le financement des deux objectifs Education du Millénaire (Scolarisation Primaire Universelle, en ciblant le taux d’achèvement, parité) :
•calcul du besoin de financement jusqu’en 2015•présentation d’une première requête sur 2003-05
• Pré-requis pour être un pays éligible :
1/ Disposer d’un CSLP complet2/ Présenter un plan éducatif “crédible”
Fast Track : Les principes
fondamentaux •La procédure accélérée se fonde sur :
•le contexte général du secteur •les questions d’apprentissage des élèves •la nécessaire mobilisation de ressources pour stimuler la demande des populations difficiles et pallier l’impact du VIH/Sida
•Une approche empirique : •s’inspirer des pays les plus performants (étude BM) •pour mettre en place les réformes politiques qui amélioreront la production de services éducatifs.
Implications du Fast Track Pays bénéficiaires : élaboration et mise en oeuvre de Pays bénéficiaires : élaboration et mise en oeuvre de
plan EPT crédibleplan EPT crédible Mobiliser un volume adéquat de ressources nationalesMobiliser un volume adéquat de ressources nationales Réformer le système pour améliorer la production des Réformer le système pour améliorer la production des
services éducatifsservices éducatifs Faire en sorte que les ressources nouvelles contribuent à Faire en sorte que les ressources nouvelles contribuent à
améliorer l’efficience de l’ensemble des fonds pour l’EPTaméliorer l’efficience de l’ensemble des fonds pour l’EPT Associer les partenaires financiers au suivi de l’ensemble Associer les partenaires financiers au suivi de l’ensemble
des dépenses des dépenses Partenaires financiers: mobilisation des fondsPartenaires financiers: mobilisation des fonds
Financer des dépenses courantes, pas seulement en Financer des dépenses courantes, pas seulement en capitalcapital
Utiliser de nouveaux mécanismes de transfert des Utiliser de nouveaux mécanismes de transfert des crédits, pas seulement par l’approche projet :crédits, pas seulement par l’approche projet :
Appui budgétaireAppui budgétaire Pool fundPool fund
Ensemble : Cibler le suivi sur les résultats et Ensemble : Cibler le suivi sur les résultats et Affiner le diagnostic pour améliorer la Affiner le diagnostic pour améliorer la performance du secteurperformance du secteur
Processus Fast Track
Invitation à participer par le secrétariat de Invitation à participer par le secrétariat de l’initiativel’initiative
Dépôt d’une requêteDépôt d’une requête
Evaluation des bailleurs de fonds locaux Evaluation des bailleurs de fonds locaux
(In country donors review)(In country donors review)
Sélection tenant compete de cette Sélection tenant compete de cette évaluation et d’une évaluation comparative évaluation et d’une évaluation comparative des équipes de siègedes équipes de siège
Prochaine échéance : mars-avril 2003Prochaine échéance : mars-avril 2003
ANALYSE SECTORIELLE EDUCATION
STRATEGIE SECTORIELLE NATIONALE
DSRPVolets sectoriels : -éducation-santé-etc.
PNA / EPT Requête FAST TRACK
Éligibilité PPTE
Éligibilité Fast Track
Évaluation des bailleurs : 1- Au niveau local2- Au niveau des sièges
Mise en cohérence
Origine et utilisation du RESEN
Très peu d’analyses sectorielles solides et récentes dans Très peu d’analyses sectorielles solides et récentes dans les paysles pays
Initiative PPTE demande dans les DSRP des stratégies du Initiative PPTE demande dans les DSRP des stratégies du secteur éducatif cohérentessecteur éducatif cohérentes
Changement d’attitude de certains bailleurs de fonds : de Changement d’attitude de certains bailleurs de fonds : de l’approche projet à l’approche programme (optimiser l’approche projet à l’approche programme (optimiser l’utilisation des ressources nationales)l’utilisation des ressources nationales)
Méthodologie développée par une équipe de la Banque Méthodologie développée par une équipe de la Banque Mondiale (Alain Mingat et Mamy Rakotomalala)Mondiale (Alain Mingat et Mamy Rakotomalala)
Document NATIONAL (appui des partenaires techniques): Document NATIONAL (appui des partenaires techniques): Rapport d’État d’un Système Éducatif NationalRapport d’État d’un Système Éducatif National
Pas un document de recommandations mais un diagnostic Pas un document de recommandations mais un diagnostic factuelfactuel
Équivalent existant dans le secteur santé (Banque Équivalent existant dans le secteur santé (Banque Mondiale)Mondiale)
Le RESENLe RESEN analyse et contextualise analyse et contextualise
• Les scolarisations (chap 2)Les scolarisations (chap 2)
• Les aspects financiers (chap 3)Les aspects financiers (chap 3)
• La qualité et l’efficacité interne (chap 4)La qualité et l’efficacité interne (chap 4)
• L’équité (chap 6)L’équité (chap 6)
• Les questions de gestion (chap 7)Les questions de gestion (chap 7)
• Secteurs connexes Secteurs connexes
• Contexte macro-économique et démographique (chap Contexte macro-économique et démographique (chap
1)1)
• Contexte de l’emploi / Efficacité externe (chap 5)Contexte de l’emploi / Efficacité externe (chap 5)
• L’Approche est comparative aux niveaux national L’Approche est comparative aux niveaux national
et internationalet international
Le RESEN propose un modèle de simulation Permet de Permet de confronter les besoins et les ressourcesconfronter les besoins et les ressources et et
ainsi mesurer le financement manquant nécessaire ainsi mesurer le financement manquant nécessaire (Financial Gap)(Financial Gap)
Permet de prévoir Permet de prévoir plusieurs scénariiplusieurs scénarii avec différentes avec différentes hypothèses sur:hypothèses sur: Les arbitrages budgétaires entre les différents niveauxLes arbitrages budgétaires entre les différents niveaux La taille des classesLa taille des classes Les différents statuts des enseignants (niveau de Les différents statuts des enseignants (niveau de
salaires)salaires) Le taux de transition du primaire au secondaireLe taux de transition du primaire au secondaire Le niveau des redoublementsLe niveau des redoublements % des effectifs dans l’enseignement privé% des effectifs dans l’enseignement privé
Permet d’aider le gouvernement à négocier avec tous les Permet d’aider le gouvernement à négocier avec tous les acteurs nationaux et internationaux et à valider ses acteurs nationaux et internationaux et à valider ses grands arbitrages sur une bonne connaissance des grands arbitrages sur une bonne connaissance des tenants et aboutissantstenants et aboutissants
Est semblable au modèle Fast TrackEst semblable au modèle Fast Track
Le RESEN Permet donc …Le RESEN Permet donc …
De synthétiser les forces et lacunes du De synthétiser les forces et lacunes du système et les écarts avec les grands système et les écarts avec les grands objectifsobjectifs
De simuler pour planifier, expliquer et De simuler pour planifier, expliquer et négocier les grands arbitrages du secteur négocier les grands arbitrages du secteur avec tous les acteurs (groupes d’intérêts avec tous les acteurs (groupes d’intérêts nationaux, société civile, bailleurs de fonds nationaux, société civile, bailleurs de fonds etc.)etc.)
De hiérarchiser les priorités pour instruire la De hiérarchiser les priorités pour instruire la meilleure stratégie meilleure stratégie
Données nécessaires et sources potentiellesLe RESEN essaye d’optimiser l’utilisation des données Le RESEN essaye d’optimiser l’utilisation des données
existantes existantes
Fichiers scolaires Fichiers scolaires
Recensements et enquêtes ménages (enquêtes nationales Recensements et enquêtes ménages (enquêtes nationales et internationales de type MICS, DHS)et internationales de type MICS, DHS)
Données financières : lois de finance, budgets exécutés, Données financières : lois de finance, budgets exécutés, données de la solde, DAF des ministères, DRH données de la solde, DAF des ministères, DRH
Données sur l’emploi : Enquêtes de suivi professionnel, Données sur l’emploi : Enquêtes de suivi professionnel, Données des agences pour l’emploiDonnées des agences pour l’emploi
Données sur les acquisitions scolaires: résultats aux Données sur les acquisitions scolaires: résultats aux examens nationaux, enquêtes internationales de type examens nationaux, enquêtes internationales de type PASEC, MLA, TIMSSPASEC, MLA, TIMSS
Les difficultés rencontrées ont trait à La production de statistiquesLa production de statistiques
1- Manque de compétences techniques dans les services1- Manque de compétences techniques dans les services2- Manque de rationalisation dans la collecte2- Manque de rationalisation dans la collecte3- Absence de données clefs3- Absence de données clefs
L’utilisation / l’exploitation des donnéesL’utilisation / l’exploitation des données4- Manque de lien avec les utilisateurs5- Manque de réponse aux différents niveaux d’évaluation6- Consolidation Macro / Micro non systématique7- Manque de confrontation entre différentes sources connexes.
1- Manque de compétences techniques
Les services de planifications des MEN ont très rarement des statisticiensLes services de planifications des MEN ont très rarement des statisticiensConséquences : Conséquences :
- certaines sources sont exploitables avec beaucoup de difficultés ( ex : base - certaines sources sont exploitables avec beaucoup de difficultés ( ex : base scolaire RCI, cumulant cycle primaire préscolaire)scolaire RCI, cumulant cycle primaire préscolaire)- certains indicateurs très simples ne peuvent être calculés- certains indicateurs très simples ne peuvent être calculés- nécessité de faire appel à des compétences extérieures pour l’AS- nécessité de faire appel à des compétences extérieures pour l’AS
Idem pour certains INS, direction financières….Idem pour certains INS, direction financières….Conséquences (exemples): Conséquences (exemples): - phénomènes d’âges ronds, fragilisant les indicateurs par âge- phénomènes d’âges ronds, fragilisant les indicateurs par âge- projections démographiques peu fiables, ne tenant pas compte de toute - projections démographiques peu fiables, ne tenant pas compte de toute l’information disponible au niveau national et fragilisant fortement les indicateurs l’information disponible au niveau national et fragilisant fortement les indicateurs de scolarisation. ( ex.: Cameroun, Sénégal)de scolarisation. ( ex.: Cameroun, Sénégal)- données macro et financières difficilement exploitables- données macro et financières difficilement exploitables
2- Manque de rationalisation dans la collecte
Certains services collectent les mêmes donnéesCertains services collectent les mêmes données
Ex : Au Tchad, Ex : Au Tchad, triple collectetriple collecte sur les données du personnel dans sur les données du personnel dans les établissements scolaires effectuées par DAPRO, DRH du MEN, les établissements scolaires effectuées par DAPRO, DRH du MEN, rapport des inspecteurs (directions de l’enseignement de base et rapport des inspecteurs (directions de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire)0de l’enseignement secondaire)0
ConséquencesConséquences : gaspillages de ressources, peu d’utilisation de : gaspillages de ressources, peu d’utilisation de ces données ne sachant quelles sources est la bonne.ces données ne sachant quelles sources est la bonne.
Certains services disposent de données complémentaires Certains services disposent de données complémentaires mais ne les recoupent pasmais ne les recoupent pas
Ex : En RCI, certaines informations sur le personnels enseignants et Ex : En RCI, certaines informations sur le personnels enseignants et leur rémunération ont pu être confrontées à l’aide des services de leur rémunération ont pu être confrontées à l’aide des services de la fonction publique, du budget et de la DRH du MENla fonction publique, du budget et de la DRH du MEN
3- Absence de données clefs
Manque de données concernant l’emploi formel Manque de données concernant l’emploi formel (enquête de suivi professionnel, enquêtes emplois, (enquête de suivi professionnel, enquêtes emplois, déclaration auprès des CNPS etc..)déclaration auprès des CNPS etc..)
Manque de données sur le secteur informelManque de données sur le secteur informel
Conséquence : Conséquence : Dommageable dans une optique de réduction de la Dommageable dans une optique de réduction de la pauvreté car il devient difficile de faire un bilan pauvreté car il devient difficile de faire un bilan formation / emploi.formation / emploi.
Or : Or : Les emplois guident les formations et non le Les emplois guident les formations et non le contrairecontraire
4- Manque de lien entre statistiques et utilisateurs
Les statistiques devraient permettre l’élaboration Les statistiques devraient permettre l’élaboration d’indicateurs en lien direct avec des leviers de d’indicateurs en lien direct avec des leviers de politiques éducativespolitiques éducatives
Ex : en RCI, si peu de lien que le volet sectoriel du DSRP Ex : en RCI, si peu de lien que le volet sectoriel du DSRP ne se basait sur aucune statistique pertinente ne se basait sur aucune statistique pertinente
RESENRESEN
Ces indicateurs doivent être vulgarisés afin de faciliter Ces indicateurs doivent être vulgarisés afin de faciliter et systématiser leur utilisation.et systématiser leur utilisation.
5- Manque de réponse aux différents niveaux d’évaluation /pilotage L’actualité internationale cible certains indicateurs particuliers L’actualité internationale cible certains indicateurs particuliers
Ex : REM, dépenses publiques d’éducation en % du PIB, pourcentage du Ex : REM, dépenses publiques d’éducation en % du PIB, pourcentage du budget de l’éducation accordé au primaire….budget de l’éducation accordé au primaire….
Fast Track cible entre autre un REM de 40.Fast Track cible entre autre un REM de 40.
Le pilotage National / local du système en nécessite d’autres Le pilotage National / local du système en nécessite d’autres
Ex : Gestion administrative et pédagogique aux différents niveaux du Ex : Gestion administrative et pédagogique aux différents niveaux du système éducatif système éducatif
Un REM de 40 peut cacher des différences notables d’un pays à l’autre Un REM de 40 peut cacher des différences notables d’un pays à l’autre mais également d’une région à une autre. mais également d’une région à une autre.
D’autres indicateurs doivent être disponibles pour mieux cibler la bonne politique éducativeD’autres indicateurs doivent être disponibles pour mieux cibler la bonne politique éducative
Benin
Bolivia
Burkina Faso
Cambodia
Cameroon
Chad
Côte d'Ivoire
Dem Rep. of the Congo Eritrea
Ethiopia
Gambia
Guinea-Bissau
Lesotho
Madagascar
Malaw i
Mauritania
Mongolia
Mozambique
Nepal
Rw anda
Senegal Tanzania
Togo
Uganda
VietnamYemen
Zambia
0
2
4
6
8
10
12
14
16
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Dépenses publiques d'éducation en % du PIB
Du
rée
mo
yen
ne
de
s sc
ola
risa
tio
ns
(an
né
e)
Des situations très variées d’un pays à l’autre
Des situations très diverses avec le même rapport élèves-maîtres moyen
REMCorrélation
élèves/enseignant
% d’écoles avec REM supérieur à
70
PAYS A 50
0.9 5
PAYS B 50 0.4 50
6- Consolidation macro/micro non systématique
Les suivi de la dépense publique d’éducation se fait généralement en partant Les suivi de la dépense publique d’éducation se fait généralement en partant du niveau central (ministère) et en allant au niveau le plus fin possible du niveau central (ministère) et en allant au niveau le plus fin possible (école).(école).
Un telle démarche peut être confortée par l’étude de la dépense partant de Un telle démarche peut être confortée par l’étude de la dépense partant de l’école et allant jusqu’au budget centralisé l’école et allant jusqu’au budget centralisé
Idem pour le calcul des coûts unitaires, on peutIdem pour le calcul des coûts unitaires, on peut- partir du budget national et arriver à un coût unitaire global- partir du budget national et arriver à un coût unitaire global- partir des grands niveaux d’éducation et recomposer un coût unitaire à - partir des grands niveaux d’éducation et recomposer un coût unitaire à partir des coûts de chaque sous secteur.partir des coûts de chaque sous secteur.
Idem pour l’adéquation formation / emploi.Idem pour l’adéquation formation / emploi.- mise en cohérence des formation / emplois (données nationales)- mise en cohérence des formation / emplois (données nationales)- calcul de rendements individuels / collectifs (enquêtes de suivi)- calcul de rendements individuels / collectifs (enquêtes de suivi)
7- Absence de confrontation de sources disponibles Plusieurs sources indépendantes permettent de conforter Plusieurs sources indépendantes permettent de conforter
certains indicateurscertains indicateurs Ex : Calcul du TBS primaire au SénégalEx : Calcul du TBS primaire au Sénégal
Mais peuvent montrer leur limites Mais peuvent montrer leur limites Ex : Calcul du TBS par région au SénégalEx : Calcul du TBS par région au Sénégal
Autres exempleAutres exemple : analyse des facteurs influençant la qualité des : analyse des facteurs influençant la qualité des apprentissages par l’utilisation d’enquêtes PASEC, et des fichiers de apprentissages par l’utilisation d’enquêtes PASEC, et des fichiers de résultats aux examens nationaux.résultats aux examens nationaux.
Source NationaleSource Nationale Source MICS 2000Source MICS 2000
69.4%69.4% 69%69%
Contacts Pôle de Dakar
Pour tout complément d’informationPour tout complément d’information : :
Mathieu BROSSARD, Marie DORLEANS, Nicolas REUGEMathieu BROSSARD, Marie DORLEANS, Nicolas REUGEBREDA – 12 av LS Senghor – BP 3311 – DakarBREDA – 12 av LS Senghor – BP 3311 – Dakar
Tél : 849 23 48Tél : 849 23 48Mél : Mél : poledakarpoledakar@@yahooyahoo..frfr
Ou Ou m.m.brossardbrossard@@unescounesco..orgorg, , m.m.dorleansdorleans@@unescounesco..orgorg, , n.n.reugereuge@@unescounesco..orgorg
Merci de votre attentionMerci de votre attention..