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Ion: ANNEE. N' 6.982 ABONNEMÉST3 Ir. mois. SOCIALISTE Rédaction et Alatinistratina 36, Rhe RequeLuat - TOULOUSE Tél. 0-44 Compte Chèque. pmmux 8.47 BUREAUX A PARIS : Run d'Arbore«. 3 (ri Aernarliatenrent) Tilépkone 1 Central oe-e4 wu. 01, en fait, £1 conlrairement aux prointsses, o idetdit les ildetives communales et on se prive d'uee expérience prézieuse qu eût servi de leçon au pays pris fa plaine pour po. commenter la séance de ren- des Chambres, et miligner l'irrémédiable et inouï renonce- ' des députés, qui désormais n'ont plus de raison d'être puis- lie font fi de leur plus précieuse prérogative le contdde sur aouvernement et l'initiative législative. "xlitis à la réflexion, ce travail me parait inutile. Vous- l'aven fait, hier malin, dès la lecture des débats bourbonniens. ' Lorsqu'on Voit une cumin:miaule de rdelicaux sur cent cin- niure,au moment du vote un de leurs chefs, et même montent leur vrai chef à la Chambre, et qui demandait ment que le vendredi de chaque semaine fut consacré atm epellations, comme la coutume en avait été depuis fort long- e établie; lorsqu'on voit cette débandade du parti le plus Ine an parlement et au lendemain même d'un congrès dont on putten't l'amure d'union et de discipline, il est impossible que ion sans commentaires d'aucune sorte, n'approuve pas te qualificatif c d'eunuques » dont nous avons fustigé l'autre jour pentes poincaristes en général et la majorité des troupes sarrau- met en particulier, lesquelles se laissent émasculer par leur pire drersaire. C'est pourquoi je n'insisterai pas sur la rentrée parlemen- t' e rélude d'une session sans éclat oit la voix socialiste seule damera M vérité en mémé temps que la déception populaire. Laisse: moi donc MUS parler d'un sujet que je vous avais onnancé et qui intéressede plus près les classes laborieuses et e ministre de l'intérieur puisquil saga du pro da pain. n.% J'avais évoqué l'affaire l'autre jour à propos dis bluff admi- nistratif, présenté comme un élargissement des libertés commu- nales. Ainsi, M. Albert Sarraut affirme vouloir favoriser les initia- fui% municipales a d'ordre économique et social o. El nous affirmons ici qu'au contraire il vient d'en étouffer ;ne dont le retentissement quel que fut le résultat eut été con- ndemble dans la France entière, et eut servi d'enseignement pce- Cure La pmive? La voici Exposons d'abord les fulls, Au début de lété dernier lu municipalité socialiste de Tou- , émule tout à lu fois par la hausse persistante des farinés, l'impuissance ou l'indifférence des pouvoirs centraux, et par texislence d'une spéculation d'autant plus cynique qu'elle se ga- rait() l'abri; la municipalité n tenté de réagir, sans violer aucu- ne loi, en assurant aux boulangers de la aille des stocks de ,itrines sur le prix desquelles aucune opération spéculatrice t'aurait joué. Au fond, le projet consistait à acheter le blé au coure du Pur comme font' les minotiers; et après sa transforma- tion PD forme, comme font les minotiers à le vendre mu: boulangers cOmme le font les minotiers; avec un béné- fice loyal dont le taux est fixé missi bien par les tribunaux eue par les traditions du commerce hosniête; comme devraient hire les minotiers. Si les moulins de la ville avaient livré la farine à meilleur TecIté que lés minotiers, bien que ceux-ci jouissent à Tous- soie en particulier, d'un régime exceptionnellement favora- blr, le public en aurait tiré les conséquences qu'il aurait voulu, sois /a ville n'en °tirait lèré aucune. Elle ne cherchait d'autre talbfaction que 'telle mi on ressent de la réussite d'une entre- igililaire délicate et périlleuses. pour le seul entrepre- tnux Pour l'exécution de ce plan, la ville devait d'abord «ch le n, noek eb,geete mille (50.000) quintaux de blés repré- kntant l'approvisionnement en pain de la ville pain. trois plus des achats quotidiens de 650 quilitaux pour la consommation journalière. Ensuite, se procurer un moulin. Ce qu'elle avait fait en ",nt un contrat avec la Société Meunière du Midi qui lui il un moulin sis au faubourg des Minimes. Enfin, après avoir calculé tous ses frais divers, fixer le de la farine et est aviser les boulangers. qu'il n'y rivait pour ceux-ci aucune obligation de enpprovisionner au matai. de la 'in' N"tez que les minotiers toulousains tous affiliés étroite- nent à une firme tré pe' ante de nteusierie Couvre s cules la Fralicesenlié'r'e. pouvaient, s'ils agitaient s,nulus rus- tentative municipale, baisser leurs prix, car le One eins solides s, et par surcroît les frai,s de tous ordres sont te réduits pour eux que pour l'ensemble de leurs collé- s cadres villes: i aurait eu pour conséquences peut-être une difficile 'entreprise ntunicipale, niais en tout cas, dans toit. thèses, un abaissement sensible du prix du pain ice pour les boulangers. ience révée par les édiles toulousains méritait donc O avec attention, que cela t avec passion. e gouvernement trop lié avec les puissances de la se sentait pas le courage d'aider les administra- f air'ale Rose du moins avait-il le devoir impérieux de e. e demandaient rien que la liberté pour l'intérét gé- t'tlunes risques et périls. parmi les socialistes et les habitants de la grande connattre les dessous de la politiqua, les mie- nn gouvernants, el la rage de tant interdire rt C qui «Write l'actuel ministre de l'Intérieur. son approbation, In décision des édiles loulou- Maternent repoussée par M. Albert Sarraut. réponse, M. le Ministre discute le contrat. mots- er.des détails, et de la même manière que s'il était ttcipal de la ville, et en séance de délibérations. des objections dont les édiles ont déjà examiné S ont jugé ou inconsistantes ou pas décidues, à le lire qu'il oient d'apprendre par coeur les cri- ligues élevées contre le projet quelques jours plutôt par la presse réactionnaire de Toulouse. C'est le même souci de sauver les intérêts des minotiers, sous le prétexte public de protéger les intérêts de la collectivité. Entelicie,le s'écrier que «Les minotiers disposant de moyens financiers puissants feront certainement pendant quelque temps, en vue d'éliminer dit marché l'entreprise municipale, un sérieux effort voue ven- dre la farine à un prix inférieur à celui fixé parsie Eh! les édiles ont songé à cette éventualité plus improba- ble d'ailleurs que ne le prétend le ministre. Mats quel préjudice le consommateur pourrait-il craindre pour lui, de ce duel à mort ? La population tout entier, ne bénéficierait-elle pas au con- raire, dans cette concurrence apre, d'un prix enormement infé- rieur à tous les plus bas prix du reste du pays? Et quel mouvement d'opinion dans la nation si pareille lutte avilit pu s'engager! Et quelles conséquences terribles poile les minotiers s'ils avaient osé baisser les prix au-dessous même de leurs prix de revient, uniquement pour se déburrasser d'un organisme régn- a eur. Mais ce n'est pas pour les finances de la ville que M. Sar- raut eprouve des craintes. El on le comprend bien lorsqu'il écrit au début de sa ré- 0011Se d . Le traité soumis à mon examen rentre co effet dans le cadre des traités ayant pour objet l'organisation d'un SerViee public municipal. Or, la question est de savoir si l'approvision- nement en farines des boulangers peut constituer un service de /elle n t En l'état actuel de la législation, la négative ne parait pas douteuse. . 'Malgré l'intérêt social que présentent au premier chef tou- tes les mesures destinées à faire baisser le prix du pain, il ne saurait être actuellement question, pour les Municipalités, de se substituer au commerce libre, pour assurer te ravitaillement en farines de la population. Cette mesure ne serait susceptible d'être envisagée que si le commerce libre se tcmcvait «sol à satisfaire à tonus les besoins des consommateurs. Dans «clIc hypothèse, les pouvoirs publics auraient non seulement le droit, mais ainsi le devoir afin de prévenir des troubles pnptl- laires, de se substituer aux entreprises privées devenues défail- lantes. Or, en l'espèce, ces conditions ne se trouvent pas réalisées el rien ne paraît justifier. au regard de la loi l'institution d'un service mummpa/ appelé à poursuivre un but économique. Il n résulte que les entreprises dont les intérêts se trotiveraieut lésés par la mesure projetee seimtent fondees a attaquer devant le Conseil d'Etat avec toutes chances de succès, la décision nui éPProuverait le traité en question. Mt crainte de mécontenter les nmitres dit marché des fan- lues transmuait ici clairement. Elle est exprimée même en toutes lettres. Alors que le prix du pain fait l'objet de décrets officiels, B. Sarraut prétend que l'approvisionnement en farines, ne sau- rait constituer tilt service public ! Et pourquoi é Tout simplement parce que ce serait it se substituer au commerce libre ». Et parce que u les intérêts (des minotiers) se trouveraient lésés » Enfin l'aven est Mellé ! On voit des municipalités lutter par des méthodes analo- gues ou contre I« spéculation du bétail de boucherie; ou contre le trust du lait. On voit même, et l'événement date de la semaine passée lut sous préfet, devenir marchand de légumes et plus spé- cialement de patates, avec les éloges de la presse entière et sans doute avec l'approbation de 31. Sarraut, lextis on voit le même M. Sarraut interdire à I« municipalité de Toulouse de vendre de la farine à bon marche. C'est que la municipalité de Toulouse est entre les mains des Socialistes contre lesquels M. Albert Sarraut, soit lorsqu'il collaborait avec M. Clemenceau, soit lorsqu'il était, quatre mis durant, le ministre du Woc national, ci lutté avec acharnement. C'est que laitiers, bmichers, jardiniers, ne sont point réunis en consortium comme les minoteries de France. C'est que marchands de bestiaux et de légumes n'ont pas des Vilgrain à leur tête. C'est qu'ils saoul dispersés, et sans in f tuera, politique com- parable à celle des manitous des u Grands Moulins mm dont les minoteries toulousaines sont des associées C'est pourquoi, pour donner le change au peuple candide, on permet sur des points divers des essais isolés et sans reten- tissement, contre le 171C1111 fretin du commerce alimentaire. Mais contre les gros, défense de se remuer. Défense d'au« tant plus catégorique que la lutte serait plus ardente, entamée par une grande ville par des édiles résolus à pousser j«squ'au bout l'expérience. Preuve patente que l'on a peur de voir cette expérience terminer au bénéfice de la collectivité. El démonstration huseineuse que M. le ministre de l'Inté- rieur, lorsqu'il prétend vouloir accroître le pouvoir des élus mu- nicipaux a en matière économique et sociale s continue comme, il a toujours fait dans son passé, à aligner des mots prometteurs, chaque jour, par son action, démentis outrageusement. Léon HUDELLE. i_e ômnenie.air, ètè à sursss soi l'af ;aire Gasibaldi. Comment Us ont voté Voici cvr. qui, avant-hier, à la fin de la meunière séance o. voté pour b main- tien de leurs droits contre la tentative do dia... d. M. Poincaré. (Tous les s&ia- lisies, soit 944 (Tous communistes, soh 28.) (Quinze répillicair. socialistes, sur 30.1. (Quarante-boit 'radicaux, ou,, total de III I) Ajoutons une 10 de ces derniers se sont abstenue. Voici les &rus do3 48 amipoimaristes MM. André Escoffier. Archimbaud. Ange. eemeebee, Roué, Bouyssou, Carpin, Che:mulet. Chassaing, Claren, Con. nevot, Daladier, parais, magne, Dnmh,, Deéaraaald, Du..., Fm.ois Mme!, eiem, Ci,nnd, ..r Jarn- r., Schmidt, J. Maatl0ny, L01.., Malm, Mandrillon, Mar- aaine. Mat,c.oil. Léon 151eyer,- Pahnade, Deyeia, Pierre-Robert, René-Ri:bard, Char- u,. Roux, Rey&uard, Satie, Teyssier, William Bertrand, Guimet. Naturellement. les demc radicaux de l'Aude. qui sont sous la enhpe directe de M. Sarraut. ont voté pour le cabinet . Fa voici les H abat mimai,. Dix radicaux et radiceppsamalistes MM. Ch...Ie.-Pie. ,Oiôôvin Aôgeste, Hua., Man°, Némro, igue, Poulain, Roux André. Treamm Le Sculaîo do }di Somain L'abondance de notre informa- tion d'actualité rte noué Permet ses de dévoiler aujourd'hui le scandale dominical. Aussi bien gelai due flétiit plus huat notre `Pi71. es' pod m e copr up L'Abire Catfilarie LE COLONEL MACIA A PARIS 50d, 13 novembre. Lo colonel Mn. eh, o5.1 A. oomplét ôaidan..3t arrivé à Pari 310.ard'hal, à midi. Il devait arri- ver dons la mmin,e, à ,9 h. 55. mais M. Bon...ô...aire divRion.he à .éne 13 Sûr. urdo, ét.it dose d. l'àt aussitôt. M. Henriot, communiste, critique In régime capitaliste, le mercantilis- me, le colonialisme, l'impérialisme économique, cic. 31. POINCARE CONTR.E LES FONCTIONNAIRES Notre camarade Barthe insiste pour une revision do tarif douanier st la conclusion d un accord franco- allemand, par lequel l'exportation de nos vins en territoire du Reich soif enfin réglée comme il convient, M. Henri Le Mire réclame la sup- pression de la lise a I exportation. Aores ces observations généraleu, l'assemblée passe aux articles budgé- taires. Notre camarade Masson, socialitc, demande que soit réservé. l'article premier (traitement du personnel de Padmini0traRon centrale). MASSON. La situation des 0,55. LeMIDI SOCIALISTE s'efforce de donner aux informations fi,=ird:si,i.%'ll.P.0 .`ZrZeaulie. importance et la place qu'elles méritent. ne voulait pas leur accorder un ces- tune de phis ee ont déjà. Quelque lignes un drame banal d'amour ou d brio que e camle. Nous ne pouvons nous en tenir la. Les serviteurs de l'Etat doivent obte- Et bien daoaDtage aux &amonts qui doivent retentir sur le nuis oc qui le. est dus La Chambre, pays Ou sur la classe ouvrier& en réservant le vote de Earticte Pre- 9 c wrq M. MA, A' DIT : u, AU NOM DE MON PARTI, Je RECLAME CECI s. M. POUCARE REPOND c< Je you LE nE. FUSE o. QUE FAIT LE PARTI DE M22IJALV Y 2 IL APPLAUDIT.., M. POINCARE tendre, avait décidé de le faire descend. O la station de Villeneuve-le-Roi pons de. pister les curieux et pour éviter des inch. dente toujours onsibles. Am, à 9 heures, ce matin. M. Rendit aôconmeané d, M. Lob., se rendait à cette gare. Le train arriva avec un léger remrd D'un wagon de première cia.e descendit I, chef du complot catalan. enveloppé d.s un raglan et coiffé d'un chapeau mou..Il fut aussi,. conduit dans one voiture auto- mobile qui l'attendait et qui s'éloigna très rapidement dans la direction de Paris. ILS ONT ETE ECROUES A PARIS Paris, 13 novembre. Le colonel Macia et M. Ricioti Garibaldi ont été mis eu état d'arrestation et écroués il, Santé. AU PALAIS 151. Prouhararn procureur de la Rémi- blini., a été saisi, au début de la matinée, par le garde des Sceaux, du d.sier de Eaf. faire Ricin. Garibaldi nt Macla. Après avoir étudié ce /volumineux dos- sier, M. Prouharam s rédigé son réquisi. mire, dans lequel il retient les faits de dé- AU SON DES CLOCHES tention d'armes de guerre et de détention ET DU CANON d'explosifs à la <barge de Mau.. de Ri- et un voie ici, quelques instants avant em ciotti Garibaldi et de 27 complices. mariage religieux avec ln - Uri juge d'instruction, M. Munie, a été éd. t t oh sô ta M Pu,à /m,, gè o,,, père, à féoléô . d'ouvrir one instruction. Mile de Bruxelles. UNE CONFERENCE A LA PRESIDENCE DU CONSEIL Paris, II novembre. Ce matin, deux Conférences nom,, lieu au sujet de rince pation du co/onel Macia et de Rkietl Ga- ribaldi. Tout d'a/nord, M. Raymond Poincaré, président do conseil, a eu un échange de nous,,,., MM. Lords Barthou, g.de des Sceaux. et Ohiappe, secrétaire général du Mn:stère de l'Intérieur, dire... d. la Sûreté aônéraio. Rentré elac. VendSme. M. 13.nhou a une lommo ôoamton av.. MM. Progharam, Proc.., d. la Répéblique et Cab., Ir..on do. affôiroe Conlértences retisterlelles Le Budget de 1927'1' manifesterae son intention lade s'engager dans ctte voie. (ApPu- disseme.s à l'extrême gauche.) . 0* m. POINCAFIE. Le gonverne- LE TRAITEMENT DES FONCTION-nuire re'll'apôUret el';'dejétrequeen 'lem': NAIRES Ali PALAIS-BOURBON do, soit réservé. Pans, 10 novembre. La Cham- Quelle est la politique du gouver- bre 5.1 réunie 015 heures, sous la neihent I Au licu d'atigmenter les présidence de M. Raoul Péret. traitements ou de créer l'éclie/le am- La discussion du budget du com- bile, c'est-à-dire d'aller romdevant He mence et de l'industrie commence la chute dbiénitivF du franc, il veut 'DIMANCHE 11 NOVEMBRE 1920 i00000emehoeoehoohoûeaohcettm semblablement, de celle de la sta- bilisation, M. Mac Renne. et NI Poincaré, qui se sant d'ailleurs connus pendant gumre, ont, eu effet, intérgt, à l'occasion du pas- sage à Paris de Nb Mac Ken.. qui se iend à Bruxelles, à échan- ger, à Etre entièrement privé, leur avis concernant des sujets .r les- quels la compétence de MI Mac Kentia est particulièrement reçois. nue. X VANDERVELDE AU QUAI D'ORSAY Le désarmement 20l'Allemagne Bruxelles, 13 novembre. Erni- In Vandervelde, ministre des ab faires étrangères, est rentré de Pa- M. MAc KENNA CONFERE ris aupurd'hui. Il a confirmé que AVEC M. POIN,CARE M. Paiand et lui avaient constaté avec satisfaction la concordance absolue des vues des deux giéuven Pas, 13 novembre. n nements. 1./ a ajouté que 10015 une sident du Couinéa reçu, ce matin, Mt. Mac Emma. D'après les rem see de questions avaient ete exa- n minées ; la principale est celle seignements de sowce anglaise, rentrevue de l'ancien chancelier dont s'occupe plécisément aujour- d'hW m a même, au Quai d'Orsay, l de rEchiquier avec M. Poincaré conférence des ambassadeurs ; il aurait eu pouf but de discuter la s'agit do désarmement de l'Alle- question du rétablissement linon' cier de la Fiance. On rappelle 005- magne. suiet que M. è'lac Senne q, Le Reich est disposl, a précie partisan de la stabilisation et un le ministre. à orendre un certain adversaire de la déflation. nemore d'engagements assurant M. fvlsc -Kentia était accompagné la réduction de ses armemônts. de lord Mousse, banquier an- L'exécution de ces engagements: glais. L'entrevue a été des plus s'ils étaie. reconnus silffisants, cordiales. permearad la sup,Tession du con- Une dépôche de Londres avait trôle militaire interallié, Et, dans ce annoncé en ces termes la visite cas, c est la S. D'. N. oui repren- de M. M'ac Kerma drait la tâche de contrili, les ar- mements de l'Allemagne. La ques- L'entrevue de M. Mac Renne, tion est d'impmtance. président de la Midiand Elnk, et do M Poincaré, prévue pour au' . Les deux ministres français et muid hui, s'a aucun caractere of- belge se sont également occupés ficiel et a lieu sur le désir sévi- de l'assemblée que la Société des 'moque de l'ancien chancelier de nations doit tenir à. bref délai. Echiquies et du ninistre des fi- nances fiançais. 1--;`abi'l d° la """"fi" "laa Lisez ET FAITES URE éidonimentrexamen quest v de ions internationales, mais surtout, vrai- LE c MIDI SOCIALISTE e A 11 Chambre, lez eunuques continuent à tout encaisser Las derniers chapitres du hud.get du commerce et de l'industrie, ain- si que le budget du ministère de la justice et des services pénitentiai- ers, sont adoptés. On abords le budget de la marine. M. POLIZET. Je regrette de constater que les «o-dits demandés ppor la farine en vue l'exereiee 1926 sont en augmentatien sensible sur les mentit, de 19W, revaloriser le franc de façon a fame M. Vtol.. BREMOND. 'La crise Déjà l'indice des prix de gcos a ,fi- linS sévit dans le recrutement de la buinvr peu à peu le prix dé ta ni, marine a des MUS. inatérielles. Autre cause du malaise Sur 36 Le gouvernement s'intéresse, de amiraux, 6 ont d. emplois 0 la men, son mieux aux fonctionnaires, mais ot to capitaines de vaisseau, inc 150 il ne veut pas sacrifier les masses à Paris. moyenties, ni les petits rentiers qui ont fait confinnee juin France dans les heures difficiles. (APPlandisse- ments au centre et à gauche.) C'est pourquoi il lui parait sible d accorder une anginentation de traitements et, dès ce clumitre dronier, le gouvernement pose la q.e. mn do con tance. >> Par c.ontre, quelle situation la- Mais Noudide objecte que la poli- mentable .ust faite aux ingénieurs, tique de M. Poincaré aboutit à réel- aux technieions, aux ouvriers oes ser la stabilisation du franc au dé- arsenaux. La situation des agems triment des fonctionnaires. ton/iniques devrait égaiement être Par 345 voix contre 200, la Cham- améliorée ; quant aux ouvriers irn. bre refuse de réserver l'article pro- matriculés ou auxiliaires la lei. nuer, qui est ensuite adopte a mains mol apphquée d'ailleurs, du salaire /ove.. national pèse sur eux. Nous alles- Les chapitres tee b. 23 sont adop- dons toujours les résultats lis ka tés. Au oba.pitre 24, notre camarade «Ondes'ireoulinrteera'nqiUseks'Coennedecshns'a'.-- Cayrol demande os en sont les ne- laires, l r/ia eue m / çrAT nÏ1.7dee. L l'e.PertlPireot Les t P tés adoa dise. ussie il/générale est close. premiers chapitres sont d'août 192G est déposé, u. Au Chapitre Il teasinage do it Dans les ports, les afficiers atta- ehés h des commissions d'utilité douteuse sont innombrables. Onu, d'abus à. supprimer dans toutes ses adhôrenees parasitaires de la mari- ne, suivant votre propre expression, M. le ministre.' s. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LE nE. SOCIALISTE wu. 01, en fait, £1 …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1926/B315556101...durant, le ministre du Woc national, ci lutté avec acharnement. C'est que laitiers,

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Ion: ANNEE. N' 6.982

ABONNEMÉST3Ir.mois.

SOCIALISTERédaction et Alatinistratina 36, Rhe RequeLuat - TOULOUSE Tél. 0-44 Compte Chèque. pmmux 8.47

BUREAUX A PARIS : Run d'Arbore«. 3 (ri Aernarliatenrent) Tilépkone 1 Central oe-e4

wu. 01, en fait, £1 conlrairement aux prointsses,o idetdit les ildetives communales

et on se prive d'uee expérience prézieusequ eût servi de leçon au pays

pris fa plaine pour po. commenter la séance de ren-des Chambres, et miligner l'irrémédiable et inouï renonce-

' des députés, qui désormais n'ont plus de raison d'être puis-lie font fi de leur plus précieuse prérogative le contdde suraouvernement et l'initiative législative."xlitis à la réflexion, ce travail me parait inutile. Vous- l'aven

fait, hier malin, dès la lecture des débats bourbonniens.' Lorsqu'on Voit une cumin:miaule de rdelicaux sur cent cin-

niure,au moment du vote un de leurs chefs, et mêmemontent leur vrai chef à la Chambre, et qui demandaitment que le vendredi de chaque semaine fut consacré atm

epellations, comme la coutume en avait été depuis fort long-e établie; lorsqu'on voit cette débandade du parti le plus

Ine an parlement et au lendemain même d'un congrès dont onputten't l'amure d'union et de discipline, il est impossible que

ion sans commentaires d'aucune sorte, n'approuve pas tequalificatif c d'eunuques » dont nous avons fustigé l'autre jourpentes poincaristes en général et la majorité des troupes sarrau-met en particulier, lesquelles se laissent émasculer par leur piredrersaire.C'est pourquoi je n'insisterai pas sur la rentrée parlemen-t' e rélude d'une session sans éclat oit la voix socialiste seuledamera M vérité en mémé temps que la déception populaire.

Laisse: moi donc MUS parler d'un sujet que je vous avaisonnancé et qui intéressede plus près les classes laborieuses ete ministre de l'intérieur puisquil saga du pro da pain.

n.%J'avais évoqué l'affaire l'autre jour à propos dis bluff admi-

nistratif, présenté comme un élargissement des libertés commu-nales.

Ainsi, M. Albert Sarraut affirme vouloir favoriser les initia-fui% municipales a d'ordre économique et social o.

El nous affirmons ici qu'au contraire il vient d'en étouffer;ne dont le retentissement quel que fut le résultat eut été con-ndemble dans la France entière, et eut servi d'enseignement pce-Cure

La pmive? La voiciExposons d'abord les fulls,Au début de lété dernier lu municipalité socialiste de Tou-, émule tout à lu fois par la hausse persistante des farinés,

l'impuissance ou l'indifférence des pouvoirs centraux, et partexislence d'une spéculation d'autant plus cynique qu'elle se ga-rait() l'abri; la municipalité n tenté de réagir, sans violer aucu-ne loi, en assurant aux boulangers de la aille des stocks de,itrines sur le prix desquelles aucune opération spéculatricet'aurait joué.

Au fond, le projet consistait à acheter le blé au coure duPur comme font' les minotiers; et après sa transforma-tion PD forme, comme font les minotiers à le vendre mu:boulangers cOmme le font les minotiers; avec un béné-fice loyal dont le taux est fixé missi bien par les tribunauxeue par les traditions du commerce hosniête; comme devraienthire les minotiers.

Si les moulins de la ville avaient livré la farine à meilleurTecIté que lés minotiers, bien que ceux-ci jouissent à Tous-soie en particulier, d'un régime exceptionnellement favora-blr, le public en aurait tiré les conséquences qu'il aurait voulu,sois /a ville n'en °tirait lèré aucune. Elle ne cherchait d'autretalbfaction que 'telle mi on ressent de la réussite d'une entre-

igililaire délicate et périlleuses. pour le seul entrepre-tnux

Pour l'exécution de ce plan, la ville devait d'abord «chle n, noek eb,geete mille (50.000) quintaux de blés repré-kntant l'approvisionnement en pain de la ville pain. trois

plus des achats quotidiens de 650 quilitaux pour laconsommation journalière.

Ensuite, se procurer un moulin. Ce qu'elle avait fait en",nt un contrat avec la Société Meunière du Midi qui luiil un moulin sis au faubourg des Minimes.Enfin, après avoir calculé tous ses frais divers, fixer lede la farine et est aviser les boulangers.

qu'il n'y rivait pour ceux-ci aucune obligation deenpprovisionner au matai. de la 'in'N"tez que les minotiers toulousains tous affiliés étroite-nent à une firme tré pe' ante de nteusierie Couvre s

cules la Fralicesenlié'r'e. pouvaient, s'ils agitaient s,nulus rus-tentative municipale, baisser leurs prix, car le One

eins solides s, et par surcroît les frai,s de tous ordres sontte réduits pour eux que pour l'ensemble de leurs collé-s cadres villes:

i aurait eu pour conséquences peut-être une difficile'entreprise ntunicipale, niais en tout cas, dans toit.thèses, un abaissement sensible du prix du pain

ice pour les boulangers.ience révée par les édiles toulousains méritait doncO avec attention,que cela t avec passion.e gouvernement trop lié avec les puissances de la

se sentait pas le courage d'aider les administra-fair'ale Rose du moins avait-il le devoir impérieux de

e.e demandaient rien que la liberté pour l'intérét gé-t'tlunes risques et périls.

parmi les socialistes et les habitants de la grande

connattre les dessous de la politiqua, les mie-nn gouvernants, el la rage de tant interdire rtC qui «Write l'actuel ministre de l'Intérieur.son approbation, In décision des édiles loulou-

Maternent repoussée par M. Albert Sarraut.réponse, M. le Ministre discute le contrat. mots-er.des détails, et de la même manière que s'il étaitttcipal de la ville, et en séance de délibérations.des objections dont les édiles ont déjà examinéS ont jugé ou inconsistantes ou pas décidues,

à le lire qu'il oient d'apprendre par coeur les cri-

ligues élevées contre le projet quelques jours plutôt par lapresse réactionnaire de Toulouse.

C'est le même souci de sauver les intérêts des minotiers,sous le prétexte public de protéger les intérêts de la collectivité.

Entelicie,le s'écrier que«Les minotiers disposant de moyens financiers puissants

feront certainement pendant quelque temps, en vue d'éliminerdit marché l'entreprise municipale, un sérieux effort voue ven-dre la farine à un prix inférieur à celui fixé parsie

Eh! les édiles ont songé à cette éventualité plus improba-ble d'ailleurs que ne le prétend le ministre.

Mats quel préjudice le consommateur pourrait-il craindrepour lui, de ce duel à mort ?

La population tout entier, ne bénéficierait-elle pas au con-raire, dans cette concurrence apre, d'un prix enormement infé-rieur à tous les plus bas prix du reste du pays?

Et quel mouvement d'opinion dans la nation si pareillelutte avilit pu s'engager!

Et quelles conséquences terribles poile les minotiers s'ilsavaient osé baisser les prix au-dessous même de leurs prix derevient, uniquement pour se déburrasser d'un organisme régn-a eur.

Mais ce n'est pas pour les finances de la ville que M. Sar-raut eprouve des craintes.

El on le comprend bien lorsqu'il écrit au début de sa ré-0011Se d .

Le traité soumis à mon examen rentre co effet dans lecadre des traités ayant pour objet l'organisation d'un SerVieepublic municipal. Or, la question est de savoir si l'approvision-nement en farines des boulangers peut constituer un service de/elle n t

En l'état actuel de la législation, la négative ne parait pasdouteuse. .

'Malgré l'intérêt social que présentent au premier chef tou-tes les mesures destinées à faire baisser le prix du pain, il nesaurait être actuellement question, pour les Municipalités, dese substituer au commerce libre, pour assurer te ravitaillementen farines de la population. Cette mesure ne serait susceptibled'être envisagée que si le commerce libre se tcmcvait«sol à satisfaire à tonus les besoins des consommateurs. Dans«clIc hypothèse, les pouvoirs publics auraient non seulement ledroit, mais ainsi le devoir afin de prévenir des troubles pnptl-laires, de se substituer aux entreprises privées devenues défail-lantes.

Or, en l'espèce, ces conditions ne se trouvent pas réalisées elrien ne paraît justifier. au regard de la loi l'institution d'unservice mummpa/ appelé à poursuivre un but économique. Iln résulte que les entreprises dont les intérêts se trotiveraieut

lésés par la mesure projetee seimtent fondees a attaquer devantle Conseil d'Etat avec toutes chances de succès, la décision nuiéPProuverait le traité en question.

Mt crainte de mécontenter les nmitres dit marché des fan-lues transmuait ici clairement.

Elle est exprimée même en toutes lettres.Alors que le prix du pain fait l'objet de décrets officiels,

B. Sarraut prétend que l'approvisionnement en farines, ne sau-rait constituer tilt service public !

Et pourquoi é Tout simplement parce que ce serait it sesubstituer au commerce libre ». Et parce que u les intérêts (desminotiers) se trouveraient lésés »

Enfin l'aven est Mellé !On voit des municipalités lutter par des méthodes analo-

gues ou contre I« spéculation du bétail de boucherie; ou contrele trust du lait.

On voit même, et l'événement date de la semaine passéelut sous préfet, devenir marchand de légumes et plus spé-

cialement de patates, avec les éloges de la presse entière et sansdoute avec l'approbation de 31. Sarraut, lextis on voit le mêmeM. Sarraut interdire à I« municipalité de Toulouse de vendrede la farine à bon marche.

C'est que la municipalité de Toulouse est entre les mainsdes Socialistes contre lesquels M. Albert Sarraut, soit lorsqu'ilcollaborait avec M. Clemenceau, soit lorsqu'il était, quatre misdurant, le ministre du Woc national, ci lutté avec acharnement.

C'est que laitiers, bmichers, jardiniers, ne sont point réunisen consortium comme les minoteries de France.

C'est que marchands de bestiaux et de légumes n'ont pasdes Vilgrain à leur tête.

C'est qu'ils saoul dispersés, et sans in f tuera, politique com-parable à celle des manitous des u Grands Moulins mm dont lesminoteries toulousaines sont des associées

C'est pourquoi, pour donner le change au peuple candide,on permet sur des points divers des essais isolés et sans reten-tissement, contre le 171C1111 fretin du commerce alimentaire.

Mais contre les gros, défense de se remuer. Défense d'au«tant plus catégorique que la lutte serait plus ardente, entaméepar une grande ville par des édiles résolus à pousser j«squ'aubout l'expérience.

Preuve patente que l'on a peur de voir cette expérienceterminer au bénéfice de la collectivité.

El démonstration huseineuse que M. le ministre de l'Inté-rieur, lorsqu'il prétend vouloir accroître le pouvoir des élus mu-nicipaux a en matière économique et sociale s continue comme,il a toujours fait dans son passé, à aligner des mots prometteurs,chaque jour, par son action, démentis outrageusement.

Léon HUDELLE.

i_e ômnenie.air,ètè à sursss soi

l'af ;aire Gasibaldi.

Comment Us ont votéVoici cvr. qui, avant-hier, à la fin de

la meunière séance o. voté pour b main-tien de leurs droits contre la tentative dodia... d. M. Poincaré. (Tous les s&ia-lisies, soit 944 (Tous communistes, soh28.) (Quinze répillicair. socialistes, sur30.1. (Quarante-boit 'radicaux, ou,, totalde III I)

Ajoutons une 10 de ces derniers se sontabstenue.

Voici les &rus do3 48 amipoimaristesMM. André Escoffier. Archimbaud.

Ange. eemeebee, Roué, Bouyssou, Carpin,Che:mulet. Chassaing, Claren, Con.nevot, Daladier, parais,magne, Dnmh,, Deéaraaald,Du..., Fm.ois Mme!,

eiem, Ci,nnd, ..r Jarn-r., Schmidt, J. Maatl0ny, L01..,

Malm, Mandrillon, Mar-aaine. Mat,c.oil. Léon 151eyer,- Pahnade,Deyeia, Pierre-Robert, René-Ri:bard, Char-u,. Roux, Rey&uard, Satie, Teyssier,

William Bertrand, Guimet.Naturellement. les demc radicaux de

l'Aude. qui sont sous la enhpe directe deM. Sarraut. ont voté pour le cabinet .

Fa voici les H abat mimai,.Dix radicaux et radiceppsamalistes

MM. Ch...Ie.-Pie. ,OiôôvinAôgeste, Hua., Man°, Némro,

igue, Poulain, Roux André. Treamm

Le Sculaîo do }di Somain

L'abondance de notre informa-tion d'actualité rte noué Permetses de dévoiler aujourd'hui lescandale dominical.

Aussi bien gelai due flétiit plushuat notre

`Pi71. es'pod me copr up

L'Abire Catfilarie

LE COLONEL MACIA A PARIS50d, 13 novembre. Lo colonel Mn.

eh, o5.1 A. oomplét ôaidan..3t arrivé àPari 310.ard'hal, à midi. Il devait arri-ver dons la mmin,e, à ,9 h. 55. maisM. Bon...ô...aire divRion.he à.éne 13

Sûr. urdo, ét.it dose d. l'àt

aussitôt.M. Henriot, communiste, critique

In régime capitaliste, le mercantilis-me, le colonialisme, l'impérialismeéconomique, cic.

31. POINCARECONTR.E LES FONCTIONNAIRESNotre camarade Barthe insiste

pour une revision do tarif douanierst la conclusion d un accord franco-allemand, par lequel l'exportation denos vins en territoire du Reich soifenfin réglée comme il convient,

M. Henri Le Mire réclame la sup-pression de la lise a I exportation.

Aores ces observations généraleu,l'assemblée passe aux articles budgé-taires.

Notre camarade Masson, socialitc,demande que soit réservé. l'articlepremier (traitement du personnelde Padmini0traRon centrale).

MASSON. La situation des 0,55.

LeMIDI SOCIALISTE s'efforce de donner aux informations fi,=ird:si,i.%'ll.P.0 .`ZrZeaulie.importance et la place qu'elles méritent. ne voulait pas leur accorder un ces-

tune de phis ee ont déjà.Quelque lignes un drame banal d'amour ou d brio

quee camle. Nous ne pouvons nous en tenir la.Les serviteurs de l'Etat doivent obte-

Et bien daoaDtage aux &amonts qui doivent retentir sur le nuis oc qui le. est dus La Chambre,pays Ou sur la classe ouvrier& en réservant le vote de Earticte Pre-

9 c wrq

M. MA, A' DIT : u, AU NOM DE MON PARTI, JeRECLAME CECI s.

M. POUCARE REPOND c< Je you LE nE.FUSE o.

QUE FAIT LE PARTI DE M22IJALV Y 2IL APPLAUDIT.., M. POINCARE

tendre, avait décidé de le faire descend.O la station de Villeneuve-le-Roi pons de.pister les curieux et pour éviter des inch.dente toujours onsibles.

Am, à 9 heures, ce matin. M. Renditaôconmeané d, M. Lob., se rendait à cettegare. Le train arriva avec un léger remrdD'un wagon de première cia.e descenditI, chef du complot catalan. enveloppé d.sun raglan et coiffé d'un chapeau mou..Ilfut aussi,. conduit dans one voiture auto-mobile qui l'attendait et qui s'éloigna trèsrapidement dans la direction de Paris.

ILS ONT ETE ECROUES A PARISParis, 13 novembre. Le colonel Macia

et M. Ricioti Garibaldi ont été mis eu étatd'arrestation et écroués il, Santé.

AU PALAIS151. Prouhararn procureur de la Rémi-

blini., a été saisi, au début de la matinée,par le garde des Sceaux, du d.sier de Eaf.faire Ricin. Garibaldi nt Macla.

Après avoir étudié ce /volumineux dos-sier, M. Prouharam s rédigé son réquisi.mire, dans lequel il retient les faits de dé- AU SON DES CLOCHEStention d'armes de guerre et de détention ET DU CANONd'explosifs à la <barge de Mau.. de Ri- etun voie ici, quelques instants avant emciotti Garibaldi et de 27 complices. mariage religieux avec ln -

Urijuge d'instruction, M. Munie, a été

éd. t t oh sô ta M Pu,à /m,, gè o,,, père, à féoléô .d'ouvrir one instruction. Mile de Bruxelles.

UNE CONFERENCE A LA PRESIDENCEDU CONSEIL

Paris, II novembre. Ce matin, deuxConférences nom,, lieu au sujet de rincepation du co/onel Macia et de Rkietl Ga-ribaldi.

Tout d'a/nord, M. Raymond Poincaré,président do conseil, a eu un échange denous,,,., MM. Lords Barthou, g.de desSceaux. et Ohiappe, secrétaire général duMn:stère de l'Intérieur, dire... d. laSûreté aônéraio.

Rentré elac. VendSme. M. 13.nhou aune lommo ôoamton av.. MM.

Progharam, Proc.., d. la Répéblique etCab., Ir..on do. affôiroe

Conlértencesretisterlelles

Le Budget de 1927'1' manifesteraeson intention

lades'engager dans ctte voie. (ApPu-disseme.s à l'extrême gauche.)

. 0* m. POINCAFIE. Le gonverne-

LE TRAITEMENT DES FONCTION-nuire re'll'apôUret el';'dejétrequeen 'lem':NAIRES Ali PALAIS-BOURBON do, soit réservé.Pans, 10 novembre. La Cham- Quelle est la politique du gouver-

bre 5.1 réunie 015 heures, sous la neihent I Au licu d'atigmenter lesprésidence de M. Raoul Péret. traitements ou de créer l'éclie/le am-

La discussion du budget du com- bile, c'est-à-dire d'aller romdevant Hemence et de l'industrie commence la chute dbiénitivF du franc, il veut

'DIMANCHE 11 NOVEMBRE 1920

i00000emehoeoehoohoûeaohcettm

semblablement, de celle de la sta-bilisation, M. Mac Renne. et NIPoincaré, qui se sant d'ailleursconnus pendant gumre, ont, eueffet, intérgt, à l'occasion du pas-sage à Paris de Nb Mac Ken..qui se iend à Bruxelles, à échan-ger, à Etre entièrement privé, leuravis concernant des sujets .r les-quels la compétence de MI MacKentia est particulièrement reçois.nue.

X

VANDERVELDEAU QUAI D'ORSAY

Le désarmement 20l'AllemagneBruxelles, 13 novembre. Erni-

In Vandervelde, ministre des abfaires étrangères, est rentré de Pa-

M. MAc KENNA CONFERE ris aupurd'hui. Il a confirmé queAVEC M. POIN,CARE M. Paiand et lui avaient constaté

avec satisfaction la concordanceabsolue des vues des deux giéuvenPas, 13 novembre.nnements. 1./ a ajouté que 10015 unesident du Couinéa reçu, ce matin,

Mt. Mac Emma. D'après les rem see de questions avaient ete exa-nminées ; la principale est celleseignements de sowce anglaise,

rentrevue de l'ancien chancelier dont s'occupe plécisément aujour-d'hW m amême, au Quai d'Orsay, lde rEchiquier avec M. Poincaréconférence des ambassadeurs ; ilaurait eu pouf but de discuter las'agit do désarmement de l'Alle-question du rétablissement linon'

cier de la Fiance. On rappelle 005- magne.suiet que M. è'lac Senne q, Le Reich est disposl, a préciepartisan de la stabilisation et un le ministre. à orendre un certainadversaire de la déflation. nemore d'engagements assurantM. fvlsc -Kentia était accompagné la réduction de ses armemônts.de lord Mousse, banquier an- L'exécution de ces engagements:glais. L'entrevue a été des plus s'ils étaie. reconnus silffisants,cordiales. permearad la sup,Tession du con-

Une dépôche de Londres avait trôle militaire interallié, Et, dans ceannoncé en ces termes la visite cas, c est la S. D'. N. oui repren-de M. M'ac Kerma drait la tâche de contrili, les ar-

mements de l'Allemagne. La ques-L'entrevue de M. Mac Renne, tion est d'impmtance.président de la Midiand Elnk, etdo M Poincaré, prévue pour au' . Les deux ministres français etmuid hui, s'a aucun caractere of- belge se sont également occupésficiel et a lieu sur le désir sévi- de l'assemblée que la Société des'moque de l'ancien chancelier de nations doit tenir à. bref délai.Echiquies et du ninistre des fi-nances fiançais.

1--;`abi'l d° la """"fi" "laa Lisez ET FAITES UREéidonimentrexamen questv de ionsinternationales, mais surtout, vrai- LE c MIDI SOCIALISTE e

A 11 Chambre, lez eunuquescontinuent à tout encaisser

Las derniers chapitres du hud.getdu commerce et de l'industrie, ain-si que le budget du ministère de lajustice et des services pénitentiai-ers, sont adoptés.

On abords le budget de la marine.M. POLIZET. Je regrette de

constater que les «o-dits demandésppor la farine en vue l'exereiee1926 sont en augmentatien sensiblesur les mentit, de 19W,

revaloriser le franc de façon a fame M. Vtol.. BREMOND. 'La criseDéjà l'indice des prix de gcos a ,fi- linS sévit dans le recrutement de labuinvr peu à peu le prix dé ta ni, marine a des MUS. inatérielles.

Autre cause du malaise Sur 36Le gouvernement s'intéresse, de amiraux, 6 ont d. emplois 0 la men,

son mieux aux fonctionnaires, mais ot to capitaines de vaisseau, inc 150il ne veut pas sacrifier les masses à Paris.moyenties, ni les petits rentiers quiont fait confinnee juin France dansles heures difficiles. (APPlandisse-ments au centre et à gauche.)

C'est pourquoi il lui paraitsible d accorder une anginentationde traitements et, dès ce clumitredronier, le gouvernement pose laq.e. mn do con tance. >> Par c.ontre, quelle situation la-

Mais Noudide objecte que la poli- mentable .ust faite aux ingénieurs,tique de M. Poincaré aboutit à réel- aux technieions, aux ouvriers oesser la stabilisation du franc au dé- arsenaux. La situation des agemstriment des fonctionnaires. ton/iniques devrait égaiement être

Par 345 voix contre 200, la Cham- améliorée ; quant aux ouvriers irn.bre refuse de réserver l'article pro- matriculés ou auxiliaires la lei.nuer, qui est ensuite adopte a mains mol apphquée d'ailleurs, du salaire/ove.. national pèse sur eux. Nous alles-

Les chapitres tee b. 23 sont adop- dons toujours les résultats lis katés.

Au oba.pitre 24, notre camarade «Ondes'ireoulinrteera'nqiUseks'Coennedecshns'a'.--Cayrol demande os en sont les ne- laires,

lr/ia eue m/ çrAT nÏ1.7dee.

L

l'e.PertlPireot

Lest P tés

adoa dise. ussie il/générale est close.premiers chapitres sont

d'août 192G est déposé, u. Au Chapitre Il teasinage do it

Dans les ports, les afficiers atta-ehés h des commissions d'utilitédouteuse sont innombrables. Onu,d'abus à. supprimer dans toutes sesadhôrenees parasitaires de la mari-ne, suivant votre propre expression,M. le ministre.'

s.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

I

...FF,13.1 a LE MIDI SOCIALISTE marsairaiwaustesearmassiteasinnisina _ _____

flotte), M. Franck par voie d'amen-dement, demande une diminution decrédit, pour qu'un projet de loi descastres soit déposé le plus rapide-ment pOssible.

M. LEYGUISS, ministre de la ma-ria, Ce projet est prêt. Le gus-vernement ne peut adopter l'amende-ment ayant déjà adopté une redue-lion de crédits de huit millions msce chapitre

Et, par 350 voix contre 201, l'amen-dement Pou net est repousse.

Au chapitre 24 (constructions na-sales), M. Pouset demande une nus-mentation de prédit de deux millionsdans un but de protestation contreM suppression de l'arsenal de Roche-fort.

ENCORE LA QUESTIONDE CONFIANCE

Al, POINGARE. Le gouvernementpose la question de confiance sur le

l'or .310ment Posact est repousse.

Le reste du budget est adopté sansdiscussion.

Suite de la discussion du budget,mardi, à 15 heur..

La sdanu.o est levée a 18 h. Il.

TE CABINET ALLEMANDVA SE RECONSTITUER

thateller fürxbi Fre Us poittabits aux s Manse

Le chancelier alleu:ami, M. Marx,s fait hier une &m'arche importan-te en ouvrant des nef:relations sanale chef parlementaire des seri,démocrates Hemmen Mailler.

thr sait que la quesLion de las grande Mention n (démocrat.,sallmliques, populistes ut social-oé-omerateS) est posée outre-Rhin de-puis plusieurs mois. NI le cabinetprussmn qui comprend des aleial-deeperates, de,s démerides et descatholiques, ni le cabinet du Reich,qui rasseantble des populiste, noseatboliques et des dêm.rales, Montune base sullisamment steaks pourviare en sécurité. Si la s grande cm-/ilion » se refaisait, les populistesrentreraient dans le ce/Sinet prus-sien où ils out jadis siégé, et les se-mal-dernOcrat. dans le cabrnetduBroch, on ils ont, à Maintes relus-ses, détenu des portefeuilles. Lemois dernier, le président du Con-seil prussien, un social-démocrate,Otto Brama avait, Ouvert des pour-Parlesa avec les populistes, Maisces tractations axaient ête aussitôtinterrompues, les populistes jugeantinsuffisantes les propositions quileur avaient été remises.

C'est maintenant sur le plan micasinet d'Empire que I. s'env..-lions r.Oranuseeent. Dans les der-niers jours, le chancelier, M. Marx,a été mis plusieurs fois en échec,soit en semee plénière du Reichstag,soit en WarEe do Commission, à.

propos des allOcations aux chô-meurs. Il mat arrive que lot natio-nalistes et les racistee, pour lui in-fliger une défaite, ont veto des me-tiens s.ialiates ou communistes.L'existent, du Cabinet se treuvaitdoue en danger. C'est pourquoi M.'Marx a esti,. nécessaire d'élargirsa combinaison et d'inviter Res-sema Mol ne et ses amH à acaop-ter une part du pouvoir. J.qu'ici,le parti soeialsdémecrate s'étaitmoulin asser divisé sur lo retourà la « grande coalition a au meursdans le Gouvernement d'Empire.Il doit daliképer aujourd'hui etfoimMir restons se soie ou de-i/min

L'Araire bilmidi1,E FRIME ETAIT-IL COMPLICE?

Paris, 13 nosembre. Le « Cor-Cirre Deall Italian' s Qu'Ille aujour-d'hui deux revélations sensation-nelles, h propos de l'activité desagents du fascisme italien en Fran-ce r

Le vice président de /a Ligueitakenne lien Droits de I'llomnP,

M. Ubaldo a fait une décla-ration publique, êtsialss.sant que M.Sante Garibaldi était en Franceagent de la franc-maçonnerie rai-liée au fascisme. (On sait, en effet,qu'il s'est produit une scissiondans la Mans-maçonnerie italienne.dont une partie, reniee d'adieu,par la franc-maçonnerie universel-le, s'est ralliee au régime de Mata-solini);

Le jour où devait se realiserà la frontière italienne le plan dia-kolique renom u par Rfeehotti Gari-baldi et le questeur Lapolla, s'est-a-drre le pur oit Semais étant pas-se en territolin 12h01 devMt ètrefaussement convaincu d'y etre ve-nu pour cemsnettre un attentat, le

C'est la mon plus grand désir,fit-elle.

Demain, si le méd.in le per-

- A quoi heu consulter lo Mde-oisif Est-en serein ne me rends pascompte par mos-même de os pue jepuis ou de ou que je ne mus pasfaire?

En êtes-vous certaine?Maso/muent, mon amiAlors, que penssz.vous?

comte Spezsia, haut fonctionnairedo In potion ilutioron iuslnllé 50-consulat de NMe avm le titre device-consul, et qui !reçoit 'Momiesment les ordres de Mussolini, acherche b menasses à Nue une ren-contre aces us personnage anti-fasciste revenant dqtalie nt le &pu-te socialiste Morgari, réfugiéFranes depuis quelqu. temps.

La carnet-Name de cette reascentreraves rentrée en Italie do Scivolitlçanit sereir I faire retamber sur1m grnuopmrul.s sotlfasemstes d'us-tir ut do Fraisoo lu rosi onnuti liédu faux complot monté de Mutesprimes par Carohaldi et Lopolla.

Et fou Voit le park qu'on louaitevatirer Mussolini pour ses répressionsviolentes li Pinfarieur, ni pour rclamer o la France des mesures .

pouah'eu contre tOus MS refilaidnpolitiques ittdiens.

SANTE DAIIIILSALDI FUT MELEaux agissements drame frime

Paris. 13 novembre. Lu s Comrime mugi Ilaisa,lluuirlll de pu-blier, au Hart de Punie GarMalra,une .rie clinfornutions qui prou-sent que Paella a joue un rôle dan$les plus tanalsreases d'entre les af-faires du aelenel.

A la fin de tue, Soute, d'accordavec SOU frère s'entretint amuseMiasme d'ésoisse. poiitiques quiavait l'intentioa do fonder a Parisun quotidien italien. Il proposa mê-me de fournir des fOnds,

AL Denall, directeur du i. Corrie-re u, et 5e5 amis furent persuadesqu'il s'agissait d'argent appartenantpersonnellement à Soute Garibaldi.Les pourparlers n'aboutirent pas.

Rieciotts Garigaidi fit en janvier1926 un mysterieux voyage b 1355-selles, ou 11 Se mit en rapport avecl'allaché lutina Calderant. Rentre

de firtaXelles il d6eara à M. Donatiavoir reçu du grand maitre do lafra.-masonnerie italienne la mis-si,. de Sissuader les ;langres nefeeder un journal antifascisteretrangar, pour ne pas MuSer d'en-nuis h leurs amis d Italie.

Au mois d, mars, vint d Paris leoliMer Lapone Enfin, is la fin de

mars, Sanie Garibaldi devint le re-presentant, pour la France, des l'Institut pour /laide financièreaux Italiens Mueéx s émanationdisante du corasnismriat de l'Iumi-

gral000 de Relue.Or, déclare le Corriere » c'est

par le - canal de ce eommissariatquo vinreat en Franco les asndsdestines a la Ps0Pagalside l.""T";Enfin, en avril 10211, Sante présenta

Slusselini les Mlicilations de l'AS-sociation garibaldinienne dont ilétait le préesident.

LES ACCUSATIONS PRECISESDE L'OUVRIER ITALIEN MUCHILa Sûreté générale n'a fourni que

stsis renseignements laconiques surle confrontation de l'ouvrier /TitienMesabi avec Se commandant RicciottiGaribaldi, confrontation qui eut lieumardi dernier. D'après les indiscré-tions recueilli. Par 'I ColTle"degLi Italieni D, M. Meschi ne se Pré-senta pas arta dans le bureau de51. Benoît, il était accompagné detrois de ses amis, Mal. Diolavelli,Fantozzi, et Refusa, qui venaient té-moigner des faits suivants

Dans les premiers jours d'octo-bre, lorsque Ilimgotli Garibaldi re-vint de Nier, li demanda au garçonde bar.0 Scivoli de lui ménager unentretien avec un de ses camarades,très dévoué à la cause garibaldienneouvrier maçon, M. Mewbi. L'entre-tries, auquel devaient participerdeux autres .ais de Ni, Mescht, hm-que»la très dévoués à la cause gari-baldienne, devait être tenu secret.Scivoli pravint ses amis et se renditen outre chez al. Refuzzi, réfugie ita-lien, qui tient un restaurant avenuePhilippe-Auguste, 98, pour retenir unradiant particulier.

s L'entretien eut lien aux environs'du 10 octobre., Ricclotti Garibalditint aux conjurés le langage suivant oa Pour tuer le -Macho. en Italie. IIIfast d'abord supprimer Mussolini.Aussi, je suas veau vous demanderde m'indiquer trois camarades sûrspose exkuter un attentat contre lui.Lorsque .je connalarai leurs noms,M'eyers. &Mali en Italie avec les

trois hommes °isardjv de l'affaire. Ilsseront muais de lettres de rwom-mandations pour les riemocrates ro-mains, et je nie charge en outre defournir les fonds nec.saires à l'en-treprise. n

e MM. Meschi, Diotavelli et Fan-toge, assez surpris de ce langage,demandèrent du temps pour réflé-chir, amis /a chose n'en resta posQusiseenn joitirs plies tard, BiceiottiGnnihnluti pria M. Meschi de venirdans 1m bureaux de son frère, 41,rue Talbout. Moschi s'y rendit. Ric-cietti Garibaldi lui demanda une sn.ponse définitive, exigeant en outreune trtsre de loi, oLaoo tuqnelinNleschl t,si spécifdait qu'il se char-geait de lui fournir trois hommes deconfiance.

« M. Meschi a-t-il trouvé cette ba-tée ? On a trouvé dans les bagages

de Garibaldi une lettre de M. Me.hi,dit le « Corriere degli M'items a,.semble que c'est à Inc suite de la dé-couverte de cette lettre que la con-frontation fut décidée Mais notrecoati-ère ajoute ;s C'est vreasembla-'liement pour prenSeels tonnais:samede ce document et du complot queOestre jours plus tard, les polimersrepolis et MM vinrent à Paris, oitIls eurent de nombreuses conversa-tions avec Gartealtfi. Leur agent se-cars, aui venait de toucher 100.000 " " "";"sr-fran., avait à coeur de leur démon-trer qu'il n'avait pas vole son an- asuuecPont,

« A la sui.te de l'entrevue Garibaldi-Lapollu, la police italienne signala LES FA SISTeSimmédiatement au gouvernementfrançais que M. Savait et trois ante a

seules étaient usais à franchir lantière pour se rendre à Rome et

uer Mussolini. a

L'ESPAGNOL MYSTERIEUXHier, d 16 h. 30, une auto arrivait

au ministère de l'intérieur. Un hom-me d'environ 45 ans, d'allure dist/.guêe, au type capaanol, en descendit,

Ip'ecéeditin crielia'gsneen" inlouoioon.;ministère une heure l'aviron. Avec!

'soi 9 /.° searons-nous jamais 7 Puis,il répartit comme il était venu, pour

.1,8 Mn AnglaiseLA CONFERENCE

DES DEUEGUES MINEURSLOndres, 13 novembre. Par

452.000 'aile contre mua la confé-rence des delisSués mineurs a sen-mis aux districts .les propositionsgrapernementales avec reemnin_an-dation. de lm accepter.

tNE TRPLICErusso-turco-persanne

Constantinople, 13 november,lix garde toujours le secret

VeaVeR'sakUcU de "nase'c'a,.7c2et.-charme, entrevue dont /es detailsont été arrangés de façon à remdre claire aux nations de l'OrientFimpentance de l'hégémonie poli-tique russo-ttarque.

On considère a.si comme pro-bable que pour faire croire a cettehégémonie, Tewfik Rouchdy etM. Tchitcherine vont signer uneharle alliance russolurco-persaneavec le but spécial de consoliderl'indépendance de la Perse, dontla dynamo vient de changer.

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122 Le canote eut une hésitation. LFEUILLETTES DUS MIDI DPuis, comme \Vanda insistait en-

core, il acquiesça.Soit t nous. parti... soir.Le Serge et Soma applat rdissaient

oette résolution,Na allaient voir de nouvelles cou-

reiîracIe d'AmourToua les enfanta neprouvmaildtrées, admirer de nouveaux sites.

pas eetk même joie lors des dépla-cements, des voyages?par PAUL ROUGET lis eurent site fait leurs prepa

"'Clefs'. devait quitter fnterlalsenhuit heures, aller jusqu'à Cessés° où

Que nous devrions punie ce l'on ;arriverait h minuit. Des charn-soir. bres avaient été whamm par télé-

- Co soir... quel, imprudence I phone dans ton grand hôtel.Ce soir même. J'aurai, vous le

verres, la forre d'accomplir ce men-as lie 1011e ne ferons d'aillée., s'ille faut. qu'une petite étape

-- Vous le soldes?Simeremenk

EIM ajouta ?II me semble, je vous le répête,

que je serai mieux dans tout autrepays

Ali, comme elle avait hâte d'êtreloin, hors de ce cauchemar vivantqui depuis deux jours reaveloppait I

Le bruit court 7gele111.e 911dans l'entrevue il a été galeStitifilde la dénoricratIon du 551150trae mi-litaire tureo-msse, sui constitueun obstacle à lad/IL-m.0n de laTmquie dans la Société des Na-tions et sue moacou, pour emesé-cher cette adm1ssion, !..e prénom,ne de maintenir et morne d'éten-dre.

DEcHAINES

LES HONNEURSAU DRAPEAU FASCISTE

R.I., 19 novembre. Des inci-dents se produisaient panaris sur lepassage de cooleges fascistes lorsqueune personne ne /RUSH pas Ou re-fusait de saluer l'emblêMe du Mes-

.

Un communique OMM ' Par in« Foie a, organe fasciste, annonce

ue ésearna's obligation est faite itquimaque de saluer les drapeauxdes légions fascistes et les fanionsde faisceaux.

NOUVEAUX INCIDENTSRomes, 13 novembre. On dfignale

de nouvelles viole.. fascistes.A Venise, un tasciste a amasste

l'enseigne du consulat fiançai. Mê-mes manifestatio. antifraireaisesBologne, a Naples et à Gênes.

Les incidents de Vintimille se se-raient repelas tel et le.

La villa de Forte Dei Marini, all-partenant au comte Morse, ancienministre des Affaires étrangernu dl-talM, qui a toujours refuse do se ral-lier au fascisme a êt brûlée par lesfascistes.

LE CONGRES NATIONAL

des anciens combattants

répuleci.ns

L. deuxième ioomdeMontpellier, 13 novembre. Le

congrès national des Anciens COM-battants républicains, qui s'est ou-vert, vendredi, à Montpellier, acontinué, aujourd'hui, ses travaux.

La première commission, prési-dée par M. le docteur Sbut, a dé-cidé

I. bemander au gouvernmrsentque l'augmentation immédiate despenaions soit faite en basam lecoût de la vie de 1927 sur l'indice

2. Que, chaque année, unecommission paritaire se réunisse

COSTUMES VESTONpour hommes draperiesfanuisies

no, Sua 175, 155 95

PARDESSUSpivaren hoznlz,%rgne00 tees.

Saisies350, 250, 175 125

MARIAS/droit ou croisé forme villeou voyage fanmistes uni.et double race 150100, 300, 250

CHAPEAUXmérinos armes nouvellesnu..ces mode 35

Depuis

CASQUETTESanglaises formes plates én8 entes tissus fantaisiesnuances nouvelles. 12

Depuis

Elle avait lu da. 1es journauxtout ce pur avait été un prune ansujet de cette sensationnelle affairede l'Obnrland.

La criminelle... e'êtait elle.Elle seule et André Clertan pou-

vaient dissiper Le mystère profondqui entourait Ce drame ai lointainet quo les circonstmees venalmtpourtant de mettre au premier plande l'actualité.'

Le comte lui avait rwonté aussitout ee qu'on disait b l'hôtel.

Et lorsqu'il Mi fit part des soup-çons qui se portaient sur un pein-tre français qui avait été le compas

d' n de ce malheureuxon 8/1sir ms le peules._ non sans touriabe assassiné, elle pàlit soudain

avoir été obtigee de s'asseoir, de se et see yeux refléterent une souffrais-reposer d mainte,' repris., tant clin oc plua aransie encore,était faible encore, Wanda était ce- Mon Dies, que sa Passerait-il siPendsat Pasveene a eha,biller et a on amusait André Clertan ?

Colon polparer lUes malleu par samune ois re.

,. Son ancren amant/Comment se justifieraital?S'il s'était tu jusque-là, il parlerait

alorsIl 'dirait la vérité, toute la vérité.

et prépare le budget pour calcu-ler et fixer la pension.

Elle a eneuite émis le vises eueles anciens combattants de 1870

voient leurs Utres examinés envue de leur conférer la Médaillemilitaire et que les titre; qui ontété actedés aux bons serviteursdes rég:mes antérieurs, récompen-se natronalep si minime sou-elle,soient acce-dée alUt cons/se.ts.de 1870-1871.

La troisièrne commissionarme par le congrès de le Fédéra.thon national,' des combattants 'e-pot lbeulsos, avoir examiné etdiscuté 1,, divers projets de refor-ination de I organisabon de la ions'5100 militaire et, notamment, lerapport déposét0la tribune du S-nat par M. le énateur Poulle, aadomé les cour:huions du rapportprésenté par M. CAM', conseil in-ridique et m rdue du conseil non.051 de la Fédération son ramast-tour général, dont les dispositionsessentielles sont les suivantes

Suropression du Code de justicemilitaire ;

Suppression des tribunaux mill-tairee en temps de paix comme enterra, de guerre

Substitution du Code d'instruc-tion criminelk et du Cade péatilau Code de justice militaire pourtoutes les infractions de droit 00m.tous commises per les militairesen temps de paix comme entemps de guerre ,1

Annexe au Code d'instructioncrininelle pour l'organisation destribunaux aux armées en temps deguerre ;

Annexe au Code pénal pourarljonction des délits et des crimesd'ordre disciplinaire ;

Pour toutes les infractions corn-rrdses, par des citoyens militairesou non la loi et Ire juges doiventdtre les mêmes ;

Pour ks infractions d'ordre dis.ciin'ixairo, le ministère public aerarenrésenté par un délégué du mi-nistère de /a guerre au lieu de l'ê-tre me un délégué du ministère dela Justice.

CIIRONIOUE de la T.S.F.PROGRAMME DU 15 NOVEMBREA 10 h. 15, pas d'émission.A 12 h. 30, cours des marchés ré-

gionaux du Sud-Ouest; foires; bulle-tin météorologique.

A 12 h. 45, concert par l'orchestre1. «tlooky Dory D, marche (KoM-

mann); 2. s Sermata o (J.Maiats); 3.« Romance » (Sxendsen) par M i-man; 4. Madrld a, caprice (F. Tho-me); 5, a aVerther a, trio-selectron(J. Massenet); 1 a Berceuse a. (L.Wurmser); 7. s Vieille Chanson a

Mazellier), par M. Cayla; O, « Osasun frais sourire a (M. P.se); S.a New Charleston a (R. Morettia

A 13 . 45, radio -message.A 13 h. 50, informations générales.A 14 heur., fin de l'émise..A 17 heures, pas d'érnissiern.A 20 heures, dernières nouvelles

de la journée avec la collaborationes journaux régionaux de le repos

mIn Sud-Ouest; Bourse des valeurs deParis; pronostics et regrattais descourses de chevaux; .1Ietin de l'An-tomobile-Club du Midi.

A 20 h. 20, bulletin de le (Mead&ration des Radio-Clubs du Sud-

21) h. 27, causerie pour les jeu-n. engants.

A 21 h. 2, soirée dansante offerteaux popufations rurales des huit dé-partements qui subventionnent Ra-dio-Toulause.

A 22 heures, propsename du lende-main; lètes à soaltaiter; message mé-teorologigae.

STATION RAD/OTELF,PHONIQUEDES P. T. T. DE TOULOUSE

Jour de silence, afin de faciliterl'écoute de stations éloigné..

PETITS FAITSUN VAPEUR FRANÇAIS

ATTAQUE PAR DES PIRATESHens-Kons, 13 novembre. -.Peux

français « Hanoi s, venant d'Hmsbons,OH attaqué per 26 nasses soi ont tué as-cone de sot., annamites et ont volé50.000 dntsos. ensoyée renies doumas ma-mimes Se P.Ishor à la banque ds Siona-Kma ansi arre les baasaH des nsaareas,évslués à 20.00 dollars.

Le. pirates se eent enfuis ensuite eerela baie de Egos.

UNE CRUE DU ANONEHimes, 13 sexe:able. lu Ham de

Paientes pluies tombés, dans la iournée,bière Mare . Sabordé aux amér.. d.Nîmes. On usaala ana ara. du fais.. àBowcirsa, os le flets. sa mai de aa litet mis crue da Cardan, ma débarde à Me-nama'', et à Moine.,

Il reporterait .tk aecusation surla arme coupable.

En Rusai., MM n'avait rien àcraindre. Mais ici?

Elle pouvait être reconnue, quoi-que depuis dix ans nien des Mana-gement, physiques se fument pro-duits en elle.

Reconnue et arrêtée...... Traduite devant la justioe.

Condamnée?Oui, tout cela était possible et, à

cotte pensée, gon cur se glaçait dé.

i'reTtandale!Et pour ses enfants_ polir mn

mari, quelle souffrance et quellehonte/

Tl Collais pa,rtir, partir au plusvite... partir n'importe où.

Ais l or fut h une énergie surhu-maine qu'elle fit appel ce jour le.

Et, vers eine beur., un peu ras-surée, elle m tenait dans sa cham-bre quand elle entendit l'annonce ducamelot

Le eamte, avec eee deux enfants

a vie SpertiVeLes championna1s

T01.10 OOSTRE S. C. ALBIGEOISLe S. C. Albigeois sera aujOuarrIMi

h. au tennis du Para desS'ira ts, sedoutable et redoute ;II ysers sUrtout pour disputer aven la'MEC un match officiel eamptant

' 00,0 le chanipiininal. d. Peint..eôt Un rude ohnn en perspective,

dant il set bien difficile do predjpel'Issue aveu certitude.

Plut que jamais, en effet, cette sai-son le S. C. A. paratt solidement arsmé. Une ligne d'avents puissante,ruile, foraids surtouL de vieux bris-e.ds cm' marials.. leur métier.

Prévost, Marcel, Virnaule, le biter-rois Bousquet; une exuellente lignede demis, 11e lIen, Lamasouère et detrois-quarts qui Sen vont avec losVaysse, les /41p0Ity et autres "hop;l'aride,o est très sûr. Comme on lovoit le é, C. A. fai1 vraiment figure,de grande équipe ; aueun trou là-dedans.

Et maintenant que va-kil se pas-ser. Sfslo terrain n'est pas LrOp gr.,veila très sinceremmt notre avisLos avants albigeois plus puissantsque leurs adversaires pourront pren-dre parfois le meilleur en matée., eten touches, mais les Toulousains na-045teront cette infériorité par leurvitesse, leur cran, leur adresse dansIl jeta Ouvert,

Derrière la mêlée, les Toulousainsavec les Piles, Scrvole, Bouchet,Faure, 'Peessien sont superieursleurs adversaires.

SI doué les ToSeistes volent par-fois le Milon a la mêlée et attaquenthardiment, ils doivent marquer et

Pl!'illiat"dera'f'derrd de cette matée.

S. C. MAZAMETAIN CONTREU. S. MONTALBANAISE

Ce matai, promet d'être ardeemment disputé car les deux équipesdoivent être d'égale valeur ; toutesdeux tirent principalement leur re-noms-14e de Murs excellentes lignesd'avants, dureo et acerooheuses endiable. Par exempte, derrière, Ma-zamétai. ni Mmtalhanais sent plu-tôt faiblards et Ms deus lignes detrois-quarts valent surtout par leurtrès sûre défense. L'arrière montal-banais Namians vaut Berger et lecourageux petit dosui Caperas don-nera, du travail 5 son adversaire. Desdeux côtés le demi d'ouverture estencore b trouver.

Ceismadant nous donnons les Masa-métains vainqueurs, d'abord 'parcequ'ils puent ohez eux, ensuite parcequ'ils sortiront la balle plue sou-vent que les Montalbanais, ce quidonnera peut-être h Lavedan P.ca-sien d'aller déposer le balion derriè-re les poteaux des visiteurs.

R. C. NARB-0NNAJS CONTRIEA. S. GARGASSONNAISE

I e vieux Rasing et l'A. S. G. fa00ce, à Maraussan, est u0 ah00 ex-

ordinaire qui CHI. de tout bou-pverser en Languedoc, car Carcas-sonne. st Narhonnais veulent tous

eut Sus'binera dru pouo1u de 51011110.de frepstuts, leur ,ftreaoanadmeeetuer seût

aelou:nnirnous etbar.;ronspas de mowelesatsons trop iongu.,aous ;maries. as Ms points partira-'lel, gui ae Sauraient soue éclaireret nous irons droits au but.

Fesairte en avants, mais superio-riN Narbunnaise au tabassage. Su-pêrti,Itti Narbonne'su en demis. Ego-Ida lst 'no vett,' en Imola quarta,

Dona. Mus n'y allons pas par qua-tre chealins, à notre avis, la halaecePoil pencher en faveur du Racing,capala maaalaaree d-gualoaaalloan 1Ln rna,,leye si4suarsa:

bleues pas en outre que la partie sedermite a aanborme I Dans ces con-ditio. nous voyons une victoire,tres dure certes, mais vactoire quandmême du R. C. Naabormals,

A PERPIGNAN

MINS CONTRE A. S. BITERROISEL'A. S. Biterroioe viendra a/Hunter

les Qui.. LA. S. B. a les dents trèslongues, 0110 a repris cours..., elleveut reprendre aussi sa place paroiles meilleurs. D'am autre côté, letQuim veulent du Piteau; Us sontieun., leur appétit est féroce..., d'usaune partie farouche, disputée Pres-que avec d'énergie du désespoir. Quil'emportera 7

L'A, S. B. a, da. l'ensemble, Plusde flneeSe dans le jeu, mais elle seheurtera à un quinze à la fougue lé-gendaire ei qui s'est enfin aperçu queses troissquarts pramaient se 1ivrerà des attaques splendides. Le ballonsortira si épelle.., mettons ainsiDans ces conditions, la partie se

venait de se made° la poste. Wondu était seule.

Une angoism sans nom se peignaitaussitôt sur son visage.

Son cceur sO mettait h battre dé-sordonséenent.

André (l'esta° asrêtélCe qu'elle avait craint se produi-

sait.las événements se IssodaisaienT.Le danger grandissait autour d'el-

le d'heure en hou., de minute conunir

MM parvint pourtant à dominecetts épouvaube folle qui s'enumraitd'elle et h, aonner une femme dechambre.

Celleei entra presque aussitôt.La comtesse lut Pst para do son, dé-

sir d'avoir un numéro du journaloral qui venait de paraître.

Cinq minutes plu tard, elle étaiten posseesion do ce journal.

Et alorsotout en laseéraht, tout endéchirant 1¢ papier de ses doigtscontractés et qui, nerveusement,tremblaient, elle prit connaissance

R.A IWIALLass

,,ee,ei:,xe:tionreoorlaskatalM, l'heurerire le P. C, L egetable. Las a veriesormais la fol enerSallanne, ils semquegrâce à la pran miracle s'accore,cracheuse s'illes nt adroits, un cap,les sont les parenté,versaires dde l'ILest, il est vrai, u;pan contraire la

LIQulllanfers dis,

1a milee des humCes derniers seront cnocuvrês en avantscirconstances, MfliScoup en mêlée; ilsUs ouvriront le outdes %filette etlancés par Cutzac,Aussi, malgrê la a si

nows faisons des Qelanos favoris.

Quiss

050101m dos i'rmPlgosoag"

UN PERPARTOUTA TAREES. Stsdassos

Lourdais, Rade l'arsine'Les Lourdais noue narsissennmima mode o. lus Terbloia d'atm en forms; mais

à Tarbes s'est p000500,tiCII.C11.1n mat. nul. m" "sw

A AGEN, . Haes s,sourd,. A noire sari se rosi lesdo aUoAcemis soi oni Is as,s,''''`

l'e'd'orreanu"1.,°1:otTd:e''''miesaras vas, ka troi-s-qums.aena-om esse de Nasse.. Ma. salesdésiras.. Sans

AU BOUC-AU. Siseuulitln,sSss.watre BowauStads r favori le leur -Olympique.

A MAUS_EON. S.A. Médéa,.Aar,. aponnelsr Javari l'Aran'

A PAU. Section Palau cora. SpqjAsinien.° Ssint.Sevénest favori laPu mb se.

UN BEAU MATCH AMICALStade Toolcumin amas 0.0 du PansaLa Soude Toulouse., pear se rade

à la reneonts. waitmwde an Rssina a.k. de Faraov sel,darsPe le .lendrier, derua venin suis.d'hui O Tosiouse marcher, les Ch.113Pienede Manse, wit d'aller à Pm, soit d'esseer kur rencontre. Ler Parisiens n'au par

aseedé à se dés., eau pourquoi sui..d'hW is terrain ant.-Wallon sera 4 th&tue dune arande rencontre enrie 'Ose'Iman. et Parisiens.

Le jeu, en 4 sait à Tantouse. pratiquépar les chacapiens de Timeie de la renriond'honneur, pl., Druon..ré no alliep. sa vitesse et mn absolus earestion.L'estai,s chère à Alleu Midn, foetale,dattlears, sets raison encore, der amer5de tort mentes ordre. New vexions eswasts, liatememend Gonue, Ine da 5.lormsae. le Dayan., Leu.; les Dam,Lours ut sere. Dilleusenser. Es usaaufewa aune brochelo d'étages, oveDmanoh, Villanueves Gérald, de Miesdom, Chiba

D'ailleurs. l'arisées-H/nue strosbtiRadez s annonce qu'il déplacera os

émane au aread complet, aves au ken»ses diva... suiaws.

Cl les Nadia., amer mines, n'as.eu'à bien se tenir I

Qu'imams su &mem. massuesaan vrai répat epentif que lea "feelcuaantvont pouvoir ee nacre ara. la dent.

G. DOMEML.

LES VINSBéziers, 12 novent.. Cale of-

ficielle dus vine et allanals. Sourdue

du 6 au 12 novembreCours moyens vins ronges u

aras, 145 à 155 fr. ; tt deàà, 16,à PZ fr. ; Il degrés 185 à le frbasés 8 à il degrés 150 à /90 Mdhourret, picpoul, 10 b IX del"1.

220 francs $01051°saleur,ess, p,

et Handiti.s d'enlèvement.Careaszome 13 novessbria -

moyen pour 'la sernailae . Pa

novembre tVins rouges, de 111e1005

158 fr.; de 10 a"--,grés, de 1de 11 degrés, de 170 à 172

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grés de 150 155 fr.; de 1

de 1'60 h 165 fr.; de 11 deS0'0s,

à 171 fr.; de 12 degré.; de19;5 Os

és,

des liensa suivantes composées s5

gr. carmteresLE DRAME DE LA JUN

a Un vrai mue de théâtrese produire. Cet après-mdi,Mayer redescendu ce SuaPetite Scheidegg et el

en croapagnin du promtri., faire la mnstatat

eoveslany'reier 0As5

tan, le peintre frmçaisnageait jadis M. de Ro

eeniaALcoaandeacp,satee

homme ).Irt avouer on'le crime. Mais il se rdes détails sur l'asssimplement ear, tafemme dont il ipsonement l'identité.

letréfileÉCREINIE DErées te Pneu Doue. Expuerlre

mrrrnrcre:rr. mrce:re rr:rn:r:Turrn rr nr. ro: retwe.M.ntri: rn ro, rrer: rr.rr:ernm:r rr rer. ce mn: rr: ro: rrre- rr, rrn.r.:7n mer nr:MrInrinrin rrzrrr

EC LAM EZ C2rnet de ÉPBon: adues OSslipcûctusnaideas ARti red E tARGNE Carnet. àrunà miconque y et faites ihnar e 51

c,,e,,tà,. à ses hé-do 80111

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

-----Au CAPITOLE

:I municipal ae réuniraofficieuse, lundi 15 no-21 heures.

ra. Auctihon dePm-Met d'assainisse-

,hcation du Plan Da-R.1

mentP2,4°

sua°, en nature),Ires. (

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trnItIrfieetnou ildinit du

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,net iendus 2 fr. Da pure;m du poids de 425 gr. se-

1 fr. 30 pila

verlit'n ' 0 piète.

C8

06

Ce n'était pas un crime

Xffis avens, hier, fait part nesacteurs de la découverte faite

aux'irons de la Gare Matai/tau, dans

'Canal du Midi. du cadayre .du

narenoue..ans deenuelle fixe.Cm tomme /mutait des blessures

au crâne qui ont fait suprposerpait 10.1 être l'objet d'un meurtre,Ivan. non immersion dans le cana/.

?d. Sorel, mral.in légiste, a autop-tir hier le cadavre de Auriffi et af onstaté que len blessures au crâneana portait le défunt avalant MCproduites après la lient. EmtdenteilemDenet pris de h..o Au-nis.° est toni. dans le Canal et s'estnayé. M'a et jeté velentairement

Se. blemirres ne peuvent s'empli-pro

ipsoieie derle p,21 demotorn,dent le randous au préalable a ex-,trait le corps d'AuriaC de /a cou-chevair oû il était enlisé.effieffite*nnnlnlnnln°

CYCLESolosa-Y oaLe. Ileums bers-ligne'

varramvanatevenmanamtancameavasmate.

lmm, le praticien a canula à une frac_ 1 13153,01tra Ll.0 rtet.tleItenussat' 'nMARCHE MUNICIPAL tues du crâne dans la région o.k. etttffirl"° hlhIlh''' el '''''''

Choux, 0,85 à 1 fr.; carottes272

fr.l jage d'instruction, s'estVPl,,,n droites

énymnuen liornratern

I 1 SS à 5 e nb SlEildmni, enantpaquet ; P°n'eaux ' rendu sur les lieux, accompagne de

paquet; sala e ,

gros, 2 fr, le paquet; oignons petit035 et 1,50 le paquet; ail, 0,25 et 0la lite; navets, 1,25 /e parasol; en9:50 ./ 0,00 le pied; citrouille 1

In kilo; scorsonères, MO la batteradis noirs, 0,20 P.; épinards, 0 ,;ausnte ,,e0.0éSi.. aSaxrat, merle_

le kilo; betteraves, 0,50 l'une; cheux, eineatatai

flouer. 220 à 2,40 l'un; choux ei -gàesBrupII:s. 4,20 le kilo; châtaignes,t TIVOLIVAILLES

perm2,10 le kilo; céleri rave, 2,20 le PP1 Ri/Marner h N. Lacroix, Lycée de

Merl

quel; it. de terre, 0,95 te kilo. rassiouaa;Lait, 1,20 le

litre.achon, 5 fr.;- palier-s, rue St-Rose_mie.ch,41, une petite

Poisson.Otites; u, 4,50; hareng, 0,50; sardines usermen,reg à 31. On et, rue Debax, 1,fruiehes, 4,50; hamb.ie: h R d.1 'II,. (311?rZer, '29, ni; jla.e'l"'"4arluevisse, 1,25; meules Océan, 1,20; bal/

la° P ;M.

tees, 2,25, 2,50, 2,7a la 'douzaine. cecuerjel reiue ,aaàe,

s;vir,Cearmmor,¶01....7,

OsTsaa smessa,as verrière élu-Cc rie, porte-enomDE LA NATION t.io M. Maniere, rue Cahute:fiune h'e ; Carne., rueIl est rappelé aux intéresse. que MS agu

dey/ara/es rl'exoneratiene de frais, FOI: 24.,/ mu° fra.'e11.Ni-

àm. Gd/m-n/études et de compléments de bourm,PYrb Sompu's;3,, mo end-

ses en faveur des pLapilles de late'ir; ; su el°In 641 CIIP1Mle 1 auXation, suivant Penseugnement pri- 370a Paire de gants;Manie Pleura-jolie 01.1 s.ondaire da. an un Ildffionosement un trOuss.0des étusause,set, sea,a, au eataaa. de clefs ; aux Epaves î une boitedoivent immenir au secrétariat avant nYnn N.u.ures liffigéeS, un inc à

le 15 novembre. ! 21212.

Les demandes faites après cettedate ne pourront faire l'objet d'au-tub examen.

ELERTIONS AU CONSEILDE

PRUD'HOMMESLacemmission électorale a l'hon-mur de rimpeler a. elocteurs, mens-bers petrol. des diveIes catégories,des sections industrie et commerce,Ni le dimanche 14 novembre il seraProcédé h l'élection de huit incubonsminpasant le Conseil de Prud'hem-set di Toulouse.

coynni..ion présente an coll64e/Ih/reoai lez candidats ei-apres, c/t01-Ll3 'Par Our syndicat respectif etrti-poe,...ulloc,ràtse reineurciaux de la ville

Section de IindustrieIre catégorie : Antonin Pdsse, fa-

bruant de tiges, conseiller sortant.2e catégorie IatYmond Tresside,

rffirepreocur de plâtrerie.3,9.tegorie Marius Dulonganons-,-1,1lekr; Jersésident du Consul de

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Chronique de ToulouseBAL MEM PINNON

L'Association Générale des Et.disais donnera, le damnent 14 nd.vembre, b21 lieur., dans la salledes tètes de la rue l'OMM,

unenouvelle soirée dansante, à laquelleelle convie ses Mêles habitués.

GRAND RAL AUX JACOBINSLa Société l'Oaphéon Saint-Cyprien

da/men, ce soir dimanche 14 nevem-lace 1926, 21 heure. précises, sa soi-rée dansante annuelle, aux Jacobinsavec le concours d'un brillapt or-chestre réputé rani exéeutera les dan-ses Oradernes et /es plus variées.

Prix d'entrée messieurs, 2 frdames, 1 fr.

DECOUVERTE D'UN FOETUSmatin, vers futures, le tram-

rué Quillet, pêffieur de table, dem.-rant rue de ladomme-Arme, 19, quiétait occupe à soa travail, dans lebaasin de la Garonne, prêt du poolSaint-Pierre, a ramené avec sa dru,put un paquet enveloppa de papiernurml Cielt attaché un morceau depl 1 b de 1 kilogramme environ.A4 cd. ouvert ce paquet, il a constatequ'il contenait un foetus paraissantavoir de trois 2 unq mois de gesta-tion. Le Met. élé tranaporté h laFaralté de Médecine.

Une enquête est ouverte au 60 ar-rondissement., LE$ EFFETS DE L'Erik/FIER

Une enquête est ouverte au ler or-rundissement relative au vol nacde voyage, contenant un équipementde joueur de football, commis auprejuelme de M. Joseph Matignon,étudiant, demeurant, Il, rue de laBourse.

e !mit, partir du 07

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sire de M. VP' 1/nI. vue., emeurant âLauze, par ,.,

La pauvre femme' a la têteprise sous D roue droite de la voi-tura

M. le co.nissaire de police du5e arrondissement, .sisté de M. ledocte, Freneres, se sont rendus sur

llet lieux pour proeéder aux conga-'talions médieo-deusaies. A.ures exa

. Berges, substitut, et a ouvert unefor fiLe corps de la malheureuse septua-

génaire a été tranaporté au depôtmortuaireortuaire des Pornmes Funèbres, rue

NIS MATADORD,bia la Manque al11,41MBUI10"

COURRIER THEMA!.

eatégorie Marius Rourgarel,

THEATRE DU CAPITOLE

WERTHERce

»

L'uvre puistante et mélancoliquede Miissenet avait attiré, hier soirau théâtre du Capitole, un publicnone... L'histoire dan amourmagie/ire. exeMe beaucoup d at-Pan Sur les foules qui, de ternie entempe, sont heureuses de broyer unpeu de noir, pour faire passer uneombre sur le soleil d'un bouhe.urtrop portait. 'Tailleurs alt.ffiel atrouvé de si paffiétiq.s accents

r/M. sllil'eleZna de 00,1- 'est PliZeine: :énà,'eeué orle ; cimaaa mnat, patron sen par la musique et intéressent le

onseiller sortant. public par la sineérild de leur psi-erie t Philuppe Lay, patron tien.onaeiller sortant. Mais revenons h la resréffintatMn

Odu commerce qui, sans avoir atteint la

orte : Germain Corbin, perfection on sait d'ailleurs, dce.ien'est pas de ce monde, fut masa..moins fort satisfaisante en. Men despoints ; le publia a d'ailleurs leinol-MM sa vive approbation h d/vers.reprises, et aux différents interP.-Loa de Werther. Il a souvent applau-di M. Martel et lui a fait hisser lesvers d'Ossian ; l'artiste est sympa-

CAIFIES

Lno Swestka est Su 01e d'un joliacrenr de ineszo, mais froid, dé-pourvu de -.Muta et trial soutenuMois le registre élevé. Si la comé-dienne n'a pas d.né su rôle deCharltjte, le caractère de tendiediecairn et de poésie toitehante qui luicrament, elle a montré cependant

mir let qualités notamment àI air den « Larmes » et au duo dudernier acte, que nous avons eu leplaisir d'entendre eans coupure,atnsa. que cela se chante à l'Opéra-eunuque, pour la première fois àleatense.. Si M. Girard ne conservépas au personnage d'Ailhert, sonvrai caractère de gravité truie etcalme, il n'en éclaire pas moi. cerôle un peu terne, de sa voix bril-lante et couple,

2211e Cegglé joute le rôle de Sophie,In rayon de vieil de 1. Pièce avenune allure mutinement enjouée, etMlo chante de son timbre de volatoujours aigrelet, rair du e Gai Sa-

.

IR Manche. est on brave hommede bailli qui malheureusement riaqu'un rôle trop épisodique. M. Al.bony ri M. Palmyre fort 1/Minutasdans Itegrs refrains baohlques, lesobantent avec un entrain remarqua-ble. L'ombestre sous la Magistramdirection de M. LaParte, !duo dannun beau style large et tenare,des manies bien fondues et bien ho-rnegènes, la belle partition de Mas-senet.

Le epaelnele se terminait par leBallet de Coppelta merveilleusementconeu et réglé par notre talentueuteet très artsele maître.° de BalletMlle Nemy et remarquablement

bien dansê par ailles Davin,Lâtralraia et les daines du Ballet.

M. Mbony, dans /e illte de Coppe-lia. a QU apprécier une fois de plusses précieuses qualités de comédienet dg,. danseur.

CLAUDE-JEAN.

IL A ETE PERDU une chienne raceberger aBegland répondant au nemde Niai. Prière ramener au Thtà.trede, Variétés. latcoMpense.

COURRIER ARTISTIQUE

THEATRE DU CAPITOLEAujourd'hui dimanche, dernière re-

présentation, en matinée, de laReine de Saha D, dont l'interpréter

tion réunira les exatEents artistesqui ont assuré le granzl succés decette création t Mmes Paris, Laplace,Hormières, MM. Cazenave, Avon, Al-bany Mount., Consume, Parayre.

En soirce, r Carmen D sem chan eper le ténor M. Martel, dont la voixmélodieuse et les chants émouvantstraduisent avec sûreté les sentiments

s nage de Don José,t'areAllluAller de ne manquerapar de donner le relief qui convientau rôle de Carmen. M. Rougenet, autatous bpcanni, h la note toujoursjuste, présentera un Esramillo ;nna..gnifirpr 2. Grâce a ces artistes, effil se-ront secondés Par Milet Lablannt

rayre, D 14'

s toute la beauté deal Carmena7 :erellétera entièrement

".1./nUalletsa réglés Par Mme NnIch5seront dansés par Mlles Daytn, Casa-i., Langlois.

VIE OUVRIERS

ELECTIONS PRUD'HOMALESDU laIMANCHE tu NOVIRIBRE 1926

Aux Travailleurs,Le Comité de Vigilance de

Boume du Travail et de t'Union desSyndicats Confédérés, dans- sa séancede mercredi 10 novembre dernier, aratitffil tes candidatures au Conseildes Prud'hommes des camaradesdent les noms suivent

Section de HaduterieIre catégorie Gilis Jean Marie,

mapeuvtailleur, conseiller sortant2e catégorie I Courne Henri, ah.-

Cou. conseiller sortantSecatégorie Laditte Jacques,

ajusteur, conseiller sortant4e eatesorie Caffineuve Louis,

menuisier, co.eiller sortant ;

Ide catégorie l'orgues Julien,boulanger, conseiller sortant

ffiaaatcearorie Taché Louis, typo-graphe, conseiller sortant.

Section du Commerce.Ire catégorie Mouton Adolphe,

einpl Di de commerce, conseiller sortant

'catégorie : Bord Ernest, comp-table syndiqué.

Il en superflu d'énumérer la viemilitante et active de tous les candi.lats, qub par leurs aptitudes ut leurcm:Melun., sampo.nt nORS con,die les défenseurs de nos droits etusages, étant rua-mémes pan leurprofession Susceptible, de compren-dre et de solutionner aux mie,ru delos interna les conflits futurs qui

peuvent mitre des usages nouveauxrentrant journellffilent dams nOs p.fessions.

Le Comité de vigilance fait doncappel à tous les travailleurs inscritssur les listes .éleeterelelsà.plzmràrtg

l'eran.rair et"dnellitn'ion d. Syndicats;

esonlicerengel Êln'erdevigilance.

Sandreat des ouvriers lroulangers. Lesouvders boulangers sont tenus d'assister àle Muriav mensuelle du syndicat qui atnaIssu aujourd'hui, à 9 heures du matin.Boume du travidl.

Le arme..e de mee ke syndiqués est in.dimenmble.

Syndicat des emplouéu da nnnInt`rd°de Les camaradea employéssont iniormés qu'une Permeneme ktit5/464-nem aujoard'hui diffinffie 14 novembre,de 10 Ileum à midi, à le Bomse du tr,von me Med,.

Sy.dioa A. mimiez PkoMfers

goiim'couvreurs. Aujourd'hui diman-

che 14, Bourse du travail, permanence dutrémrier, de 10h. 100 II h. 30. caisse

LE MIDI SOCIALISTE

Spndices 0,110.51 des agent. des P.T.T.La section de la Hame-Garortne et le

comité régional de In treizième région or-g.wem, rom le ramedi 13 novembre .tle dimanche 14 novembre, dem manifesta-tions mndicales. avec le concours du cama-rade Lamarque, rédacteur principal àl'administration centralo.

Ces deux grande. réuniona swom lieudans k gmnde aalle des fêtes de /a Boursedu ermail, rendeakauesée.

Le samedi, à 21 beur., les questions sui-vant. seront traitées

I. Ima traitements en général; 2. La ai-dg. gmégcsies sacrifiées, fonction-nusanu

mmsgs. ggdps moyen, et, (application ducoefficient 74: 3. Echelle mobile; 4. Ré-forme administrative, économie, etc.; 5.Programme syndical.

Le dimmehe, à 15 heures, réunion. régi,ide mur ks receveurs et recevais.Traitait-mins, indemnités, charms d'em.

Ploi, corné., repos, mrsonnel, locam, hic.stem, sécunte, fraw d Mate, Mn

Trait le personnel, fonctionnaires, cadresmoyens et agen. «tom cordialement in,-tés à assister à ces deux rétmionn dans ks-quelles setont amplement traitées :mites lmquestions énumérée. ci-dessts.

couniEgNns idunliNTEBoo St-Itome, 35 pires du Capitole,noix ton timing pre Pompa. Orné..amas.»

LES SOC1ETES

Chrorarque des raretés. Les membresd.. La FraOrnelIe s des retraités de l'Etat,ciPls et militai., sont Priés d'a.ggd, àIn réunion plénière, le dimasohe 14 cou-myt. à 15 heures, au ume provionre,« parer des omit cebniaux t, 1, Place Wihson.

Ordre du jour : Réception des nouveauxadhérents; Examen et approhation des ara-trts, Commemicetione divereee.

Grand bal ana Jaeobins. meiéfél'Omhéon Saint-Cyprien », donnera di-

manche 14 novembre 1926. 8a boitée dan-sante annuelle, à 21 heures précims, auxJacobins, mes k concours d'un brillant nt.dîme. réputa qui maketera lm druems lieMaeffirekruee et les plus varieee.

Prix d'entrée Messieurs, 2 hume 1damea, 1 banc.

Athlétic-Club des Sem-Deniers. M1,1.lm joueura mat aride dn ea rendm le di-narre. 14 comffit, au same à 13 heuresrabanes. Maoh centre Négreneys.

0,05 01,0, ri. es. do ItenumatParures rle Mariées

VIE SPORTIVE

LNTIME SPORTIVE TOULOUSAINEAujourd'hui mateth contre équin:

(1) du Fettbalt .ffitub. Ren.det-voudes jouffirs au mage b 13 h. de.

Equipe 12), match contre Smat-Pierre au Siège à 13 h.

Asennatien déplacement à Mon-tai/igen, gare Mataterau b 8 heures.

Equipe 121 au terrain h 15 heu-res. Cross, Glmllenge L'Espérance auterrain du Club à 8 h. 30.

Préparation militaire tir h 8 h.Le noir à 20 heures, joueurs Hôtel

Patehnis.SOCIETE D'EDUCATION

PHYSIQUELa, Société d'Eklucation Hhysi,quo

Ide la IlteMarenno ...tara sonpremier tir d'entraînement au StandNiel dimanche 14 novembre à 14 h.Les jeunes gens sont inslareavetpriés de se rendre dimanche mutinO 9 heures b la Caserne du 8e Geniepour assister h l'instruction sur ledil tir.

Les inscriptions sont toujours re-çues In dimanche et le jeudi pen-dant les séances ou ehmt le Présidentrue des Lois, 32 bis.

FOOTBALL CLUB TOULOUSAINAfin de poursuivre son entraîne-

ment avant les épreuves efficielles,le Football Club TouleusaM, a tutappel à l'excellent quin.e de l'In-time Sportive Tou/et:saine,

La vaMur de ce dernier doit pro-curer au Fontball Club, l'occasion deparfaire une dernière mise au pointen prévision des preehaines reffiod-Mes pros ces peur le championnatdes PyréaêeS de deuxième série.

Coup &envoi à 15 heures.Equipe première b 14 h. au ter

rain.Equipe réserves. ru/da...vous Jar-

din du Capitole. hlattell mmtre leT. B. 0. (2) it Bonheur,AVENIR GLYMISIIST TOULOUSAIN

A 13 h. 30 l'équipe ra.,-.4.centrera sur le terrain' de Fentaine-Lestang, une excellente équilm de laVille.

A 15 heures précises, 1i toute pre-mière équipa du Galba jonera unmatch d'entraînement contre l'équi-pe première de l'A. 0.71..

Pre8,1,80 indisper.able de tous leséquipiers.

POUR I Ut.;8,.F.Si OBITSsun SA INTRYPIIIIII

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La Reine de Saba

En Soiréeor. I9l,,4be ta

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Mi. de Sweater, Penly ; MM. Mead,Rougenet, Alhnsr. Mme.,

Maffia e Aide r, evec Milee Nais, deSamteke, Lealeee; MM. Coecrr,e, Route -

net, Perne, Avon, Mffire.bat. u Le Ramier dc Sierlb r, seer

Mlle Garcia; Mme Hormièrm; MM. Ru -

hue, Pernet, André Girard. Lacoume.Le bureau do location est ouvert pour ks

représemnione de ce jour.Pons mpdi et ieudi, k Imation comm.,

cers lundi ma.. à Il heures.Service spécial de tramways à h ggii

du thé.m.THEATRE DES VARIETES.

burd'hoi dimanche es matinée. à 14 A,e chebeceuvre populaire d. I'ffiérettefranceiv s Le Mevotte ...c le .fficffivde Mme. Emmure Lefèvre, Midi, Diogd,MM. Cork. Jebie, Mevert, bd,, mballet Cola., mem Mlbe M. Ramille et

ArtiguasEn mirée, à 20 h. 30, k triomphal atm

abc « La Petite Bohème ., d'Hirohmennavec le concours di nimii Clairs Sigin.Lefèvre, Lormand, Marly, Guy, ChenetMM, Godan, jobin, Massart, Jodin, Pisan,et du ballet Colombo, avec Mllm Batailleet Aniaues.

Mise en mène de M. Théo Puget.Orchestre sous la direction de M. J.

G/d/no.Lundi tournée Omet r Ta BomheTHEATRE DES NOUVEAUTES.

Aujourd'hui dimando, en matinée et nemirée, le chanteur Gest«, avec ees tmt.dernières création, k ménagerie Bennle. celte. Arffild Dela. ban de,, ju-meme Nol.. et Ma pares attractions.

Un bon conseil, retenm Pkees.Trèe prochainement, M. Cima, Dg

frenne, directe, du mycose Mayol, peé-sente.« sa affine, aes décors, ses 250 mstomes des menons

Redisrn, Lanvin:

Worra et Rummel, dans a La Grande 12.,vae mue.. du nacomi Marot

viffitame tableaux, d. MM. Léo Lelieve et Hervi Voua

L'interprétatim comprendra tous ks art.meure dee rôles au mncert Marat

APOLLO-TIZATRE. Ictus maadeemetiffiee, mirée à 9 heir.Tana. m s PEemonee ra 5. °Aarau..

GAUMONT-PALACE TOULOUSAIN,Programma du vendredi 12 au jeudi 18

novembre :

Caturneet-PaleceDon « Gaumont Lm.v MetroMatinée à 3 heurea; soirée à 9 hem.

mannées 52 h. 30 et 4 h. 30:mirée, à 9 beur...

Deux erunde artistes, Marion Dsvies etCeared Nffiel. den. s Le Vieue Bread.ver ., uos dm Mue ioliee histoires da-eyour. Mise en scène de Monta Bell. Filmtiletro Gorawyn Mayer.

« Ça Gazes/ n a Ça Gaze, r. comique.Amemion de premier, ordre, le célèbre

comique Pélissier, dans son répertoire etH. Tartane, avec sa nomelle et brillantePhalange dartistes musiciens.

A9°.ER1CAN COSMOGRAPH. A2h. 30, 4 h. 30 .; 9 heures MiaDirt

e l'Hercule d. Orme r.SErLECT.CINEMA. A 3 heures et

9 herses « La Tragédie de Lourdesavec Henry Kraus..

GRAND-ROND CINEMA. Diman-ohe soirée 5e heures: matinées 52 heureset 4 /a 30

Roroanetti, le mi du maquis m «Areticibre denxieme émet., ; c Il,, Mmme. moavememé .orame..

SANT-CYPRIEN CIN.EMA. A 3 h.et 9 h. « Perdu Mme lee Ne/am demie;s trou Cho.. e, 4. épient°.

CinémeLe ROYAL"Auloard'hui dimanche

Deux Matinées t 2 h. 30 et 4 h. 3aSoiree a 9 h.

ÇA VA BARDERGrand Comique en 4 Parties

S Ird 0 N Eaprè la Pie ce de BR/EUXde l'Aemtkinie Française

avec LUCIENNE LEGRANDet DONATIEN

Location de 10 à 15h. et de 3 à 6 h.

Cinéma *OLYMPIA"Aujourd'hui Dimanche

Matinée 2 3 h. Soirée h 9 h.

LES M3SERABLES3° Effitede

pESTINeOU L'ENVOL DE L'AIGLE

Epepée de BONAPARTE -

1795 - 1796

Lffiation de IO 4 12 IL eL de 0 à 6 h

MAIRIE DE TOULOUSE

DECLARATIONS DE DES-ESCONVOIS FUNEBRES

Ire malte de la ville do Toulouse slamaneur de ramener t ses admi-nistrés afie de les mettre en gardecontre des erreurs regrettablee qua.cs DECIARATIONS OP DECES nepeuvent être reçues que dans LESBUREAUX DE ',ETAT CIVIL A LA5101111E, conformément aux artiel.17 et 70 du Code civil et du décret du

iltr, avril tel9.

rappetra. en mitre, qu'aux terumes de l'articles 97 chapitra d, de I.Mi Municipale du 5 avril 1804 Paulo-ailé municipale règle le AIODE DOTRANSPORT DES PEI/SONNES DECEDEES, les INHUMATIONS etEXHUMATIONS et, mien consé-quence elle a effile le droit de FIXERles heuret al es convois funabres.

THEATRE DU CAPITOLE. Am saaSehl..170heajeneui to- nvrocretMurer/ut nn tneld`°' r14 h`har'°' ° Labres. au Service IluirtiVal des POM.Reine de Sel. °Ci° ndl°2 PRS FINERRES, 3i. TUO Pargami.plen. Iterviires: nières. Téléphone 11-4(1. aul se chargeAlbe. Mouche., Lffimme. de TOIITF.s DEMARESEs an.. de.

En a,érée, à 21h. IL ° CE...Il St n'In MINISTRES DES DIVERS CULTES

groupant la pible, u0.propriété, ainsi que les jermiers

et Ics snéfayersSIEGE SOCIAL A TOULOUSE

ccustitutive de cet-te Fidnraton irai stest tenue ledimanche 31 octobre, a oLtenu unreugnifIque succès. Plus de trentesyndicat0 situés aux quant cm.du département avaient répondu

ne propnete seront en mu. onintervention se manifestera, soitpar la voie de la presse, soit parl'appel direct à l'opinion oubli-

est nécessaire dans une exploita-no, agricole engcais, semences,matériel agraire, etc... etc....

A2t. 4. déveloPPer entre

sllislierseMaiiinvouvesinna o

Haute .fiparnou nue Ofenêtre bard .ée de ter son én-' ou ii, as'ererelt vvetri;

FEDERamoN unit, sa i t et peut M'ut, et cala

D.ES SYNDICATSTS AGRICOLES ' use,preuDe de cette Leu. puisse.

ce, debore de r Énorme, tuaItse doomis runr.vons dans ro tu

Milonté. ne la tarrible Ida-gfficaise, qui a oblige, Ictrinme, en-fants, tiondees, valides ou Invalides

eeffiter à la réut ion organisée Panoth alU.. Gars la aaste s Barthilie:mur merndre la terrible velu dustentor, a une erateii étioleheviste.

La mie, malgré en grandes est trouvée trop ce, rondo,

à I appel des organisateurs, tan- 1P,ur l'alunir eet tq

One.

dis ue d'autres annonçaient leur Pcinant :mince minutes, le arardan

création prochaine. Les statuts .1..tieur a tenu so,19 le chai, de

présentés par la Commission mn- tzt bene éloquence, les milliers d'au-viseire oet été adoptés à runani. lInt,Innta Mm Ue a n au

Irrité. De ccesstatuts, nous croyons Itl'In"dild InloupeInaNe Pond ondevoir reproduire les articles "u`n."

sumeoniber par étourfmnent !

Malgré celd, le suce. se repré-senta dans la rue et sous uneminisbattante, la foule porta en loir omisejusqu'à son domicile le tribun 130/-ri rosir. 'route la nuit des gr :Mati

aglots Peur bien precmer les ire,[ives qui ont présidé à la consti-tution de cette organisation agri-

leArt. 2. La Fédération n'a-jIâe à aucun parti politique parcoururent nos rues, en aimatan

ede n'en affirme pas moins son laternationale et paussaid desdroit absolu d'intervenir dans les é hip et des » hourra. » en thon.questions musiques Mutes les fois neur du piani soir qui se cc parsque les intérêts moraux et 'Maté- lune un de nn°rials d, In petite et de la assayan, Culs la n'estril point, la marque dauf

rat prestige I Gest inetweilleux.ffien no peut y ré. Lsi,,,,,Es

Nous y reviendrons I

FL'ARNIRITICIE

Art3. La Fédération a pourbonG,U-RRE ET ANCIENS (ICIM,q

TIO1-1 DES VICTIMES D7. LA,'acuat de tout u

BAI fAN1S. Le 14 novâna-bre, à 10 heures, meme elennel-le A heures, manifeg.stort

syndeats et Ir, La formation du cortège aura

Pmeine de l'entr'aide et de lalinu

`Inv..' ln Innil'in Or us leseacaura;i0a apaea d membre ale umajalinipaalité,

Pr'..Pagaml'' vue nieré.mtuation morale des agricul-teuss et notamment de faire Pre. la acroUdation Oui e. invitée à sel

L'électrification complète 1e à 20 heures 36,grand laosoir

joindre au défilé.tue nos législateurs pour olâ- ur, '.

A 16 hees de l'après-midi etsientenir ;

non seulement de vitrages, maisaussi de toutes les exploitations ,a,N.NIVERSAIREgricotâ, ce nul faciliterait le MISTICE.ail de la terre et rendrait ausq. d04 Atqourd'hui

sema càlélyéna

emloeealegr'ééairleebdurl'anfrr loba'au'ue"'pnlérTélg Ve2ieferl'IalIroicveursnairéedadte nmpoisotlii:

d'hiver. ce,ous les auspices de la muni-hl La création de cinémas et parité ri conco

de théâtres populaires agricoles tou,e, les s.,,ciétés civiles de Ver,qui apporteraient aux populatione feil.murales cet alti:rient rrarral et inte.1- Nomme seeia,u. paaaassuenique,lectuel, qui leur fait encore corn- laaa aaata peau,

_senoae.

piétement défaut. et qui est une _"2% aa1andra _salera lades causes principales de l'exode, l-esyrnu. °P,uiareux us IiI,LIraneseas,achange jour, plus accentué de lacampagne vers ta aux morts, sous °amie oiloc

da a chef dévoué, M. Pélet, of,d P'hlIn d'Adémiede vue agricole de tous les ter- caaffiàa?,

mins militaires qui seraient brans- sidence de notre camarade Dan-d'amP'chien maire et .cumeill m aénéraldasoue la conduite et la direction 'se reunna sous la Ha/re atut

Pr'sf''''' d.'grkuk"''Aè' 4'11 Grains, à 10 emes très préenes,jeunes sOldats agriculteurs seraientemployés exciusivernent dans ces .

chanr, d'expériences, ce qui per-mettrai' de 'développer leurs con-naissances techniques et aussi defournir à la nation à un prix derevient excessivement truodique laplus grande partie des produits ali-mentaires dont l'armée a besoin,

Lv cons./ d adminutration, 811.12 A 15 heures, nrand concert ...aa été désigné, aidé en cela par la Halle aux Grains, avec les grau-une commission spéciale, a été d,-s <ln music-hall, smi%°Lare d'intensifier la propagande la direction de Mme. Calmon,pour grouper, dan, je ou, bygé compositeur, professeur de chantdélai possibIe, toute la démocratie et do Pian..rurale de la région dans notre F.0- A 25 heures, grand bal avendération. Pour cette tâche, dont 1,111ant °T,ehetIenul ne saurai, mé'conn,q, rin, A 23 heures, tirage de la tomeportance, noua faisons appel au Lola °figev. roi la Société desconcours de aron proaessespe de. Poilus du front, dont le premierglicuinne, techniciens avicAes, nuuère engema ou cocher ana,alu, do département, mearen de le tirage de la temhoIa, teltoutes les coroarames rurales, etc., Cul . continuera jusqu'à épuise,etc_ ... Ment complet des danseurs.

Ceux oui voudraient afintéreg.ter à notre ceuvre sont priés cben CATINSIq,tETinformer le tecrétaire de nut-e Fe- FOIRE NOUVELLE. Nouédération, M. E. Calvayme. pro-priétaire à Fonsorbes'11 te Ga "`"I' cari.- -

01vu ce u

kr au,, agriculmurs, aux comme,Ieur units et à tous let intéressés que

Iusnéln la prochaine foire, di. Foireramai !ilayea_Droncteilrod:aidérn_iin.interlopur., ,

NouvePe ae tiendra à Lama.guet ,raônru, se lundi 15 novembre{

a'aar,:ire', 1926. Elle s'ouvrira à IO heures.MaiuSAINT,ILLIA

A LA CHORALE. Glioraleifêtera, dimanche 14 novembre, safêté patronale de Sainte-Gecile. Dén-oie...rament avec /a fête de l'Aran.

n'A' 9 h. 30, réuni. des Inembreatifs et honoraires, à la salle de ré-tilion, pour la réception du pré.

sident.A 10 heores grande messe charp

tée par la Chorale. Après cette cêrê-manie, le cortège se rendra au monu-ment ,rua morts laffir Y dffimer 5110

eAbe demidi,niZquet, dans la mile dé

tiltIel>tenffires, concert seer; in halle,par la ('bore, bol,

grand bal clôt.rera cette fête,

coi <trime et adjoint au raa're, àL<ucbnc, sem...are-adjointre, propriétaire, conseiller munmi-pal. à Toulouse, trLoi:er Dan-Jan maraîcher, secrétaire de laCoopérative des Maraichers deToulouse, tréEorienadinint Sil-hères, propriétaire, à Loade,,es,mendare ; Croustes, secrétaire- dela Fédération Agricole intercan-tonale de Gourdan-Polignan,membre; Panebnf, propriétai-re maire de Montaigut-I.Iaint-Paul,membre. Par ordre '; le semé.taire t E. Calvnyrac,

BLAGNAC

1491PON-SE A L'ORGANE BOLCHE-VISTE. .- Grâce 1 a campirmemenée per M colicir cOmmunisteleantre !oralité, son haut prestige sagrande autorité, sur la municipalitéet le commerce local, la vie chèresana «eue ohez noue.

Saat vouloir froisser en aucunefaçon, la trop vertueuse modestiedes celtulards blagnacois, nous nedirons ims comme eux ; r. que déja.Mur action commence g. se tairesentir sur le pain e, nous affirme-rons quo grâce à eux, nous allonsavoir te pn;cSs 0.90 » le kg, et I

pinard ha 0.50 z le litre. Le heur.et I. épinards .et Salt ce qui s'ensuit, voire le chameau, vont bientôteen.Itre des prix analogues.

La cellule hlagnaeaise (offertegracieueemont par la municipalitéoartelliste de notre cité, aux /miche.vist00 hlagnaceis) est l'ancien asilede nuit, situé rue Jean Rivet. Malgré

our rendre au service religieuxet au monument mot morts, auied ducale/ seront déposés gor-et et boucauts par les diverses

société, les rupiles de la Nationet les enfants des écoles.

A midi, un banquet fraternel:servi dans les salons de l'Hâte/Da/R.2, réunira les anciens poi/u,

saecereemeeetsemdemeiseetsearesç

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TOULDUSS

eillititatMilaSISOSEEEMIEfflilefflslial

RUCHE IMIÉRIDI-ONALIE"scyr,TT TC)-CT

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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