Le passe NavigoDépartement des systèmes d’information et de télécommunicationsChristophe Badesco / 22 juin 2006

Sommaire

1 – L’histoire2 – Le projet Navigo à la RATP3 – La sécurité et la lutte contre la fraude 4 – La protection des données individuelles5 – Les nouveaux médias

La technologie magnétique date des années 1970 Son renouvellement a été étudié dès le début des

années 90– Enjeux économiques– Enjeux commerciaux– Enjeux clients

Le choix de la technologie sans contact (basée sur une technologie à microprocesseur) s’est imposé

– Lecture sans contact : simplicité, fluidité, fiabilité– La puce : sécurité, mémoire, traitement– La personnalisation : identification des clients (fidélisation,

offres ciblées)

L’histoire du passe Navigo

Mise au point des prototypes en 1997 Un déploiement en trois temps

– Les agents RATP (depuis 1998)– Les abonnés annuels (Intégrale / Imagine R)– Les cartes oranges

Les autres acteurs en Ile de France (SNCF, Optile) sont au rendez-vous

Le projet Navigo

L’objet Navigo

La carte est la partie du SI de la RATP qui va dans la poche du client

La sécurité est basée sur Calypso (standard d’échanges carte / terminal)

– Transaction rapide et sûre (150 ms)– Choix basés sur des produits ouverts respectant des normes (14

443, 1545, 7816)– L’application billettique est éprouvée

La lutte contre la fraude est au centre des préoccupations– Le choix du microprocesseur– Une sécurité décentralisée– La personnalisation : identification des clients (fidélisation, offres

ciblées)

Le passe Navigo – la sécurité

La CNIL interdit de conserver des données relatives aux déplacements des personnes

Les données de validation sont stockées brutes pour traitement (détection de la fraude) pendant 48 heures puis subissent un traitement d’anonymisation

Le passe Navigo – les données individuelles

Les nouveaux médias : rechargement sur GAB

Les nouveaux médias : la vente en ligne

Les nouveaux médias : le téléphone mobile