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LLLeee PPP’’’tttiiittt CCCooocccooorrriiicccooo La ferme de Sorel

Prix : 2,00€

NUMERO 5 MAI 2011

www.lafermedesorel.org

LES ECHOS DE LA BASSE COUR

LE NOUVEL AMI DU P'TIT COCORICO

LA RUBRIQUE DU " POTI POTIN "

LA MERE POULE VOUS

PROPOSE…

LE "PAPIER MACHE"

LE CRI DU COQ

ISSN : 2102-149X Dépôt légal : Mai 2011

LE DOSSIER DE L’ANNEE

LES CELEBRITES DE LA BASSE COUR

LOISIRS ET PASSIONS

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——————LE MOT DE MAÎTRE COQ——————

Le cinquième numéro a été « pondu » le 1er mai 2011

Ami du "P'tit Cocorico" bonjour,

Quoi de mieux que ce jour, jour de la fête du travail pour célébrer le cinquième numéro du "P'tit Cocorico" !

Le "P'tit Cocorico" est heureux de vous annoncer ses projets à venir qui débuteront courant septembre. Effectivement, après un an et demi de vie le "P'tit Cocorico" doit prendre un autre envol et s'adapter à la conjoncture actuelle « crise économique » !! Effectivement deux euros c'est deux euros ! Néanmoins tous les objectifs du "P'tit Cocorico" sont toujours aussi valables crises ou non ! Car la population a besoin d’un journal 100 % positif tel que notre trimestriel le "P'tit Cocorico". Il faut donc continuer nos efforts et le rendre gratuit. C'est ainsi que nous pensons à une réorganisation de notre site Internet où les articles seraient mis régulièrement à disposition dans la rubrique : le "P'tit Cocorico". Nous y trouverions plusieurs avantages ; économie de papier, un site Internet plus visité, moins de contraintes pour nos futurs partenaires car ils pourraient nous faire parvenir leurs articles à leur convenance et non plus avec une date butoir, toujours synonyme de contrainte.

Cette méthode de travail nous ouvre d'autres possibilités qui se trouvent être à la mode de nos jours tels que : reportages vidéo, suivre en temps réel des actions bien précises jour après jour comme par exemple un camp chantier, un voyage culturel... Etc. voilà donc un projet dans l'air du temps tout comme les émissions de télé réalité... Mais attention, en gardant les valeurs du "P'tit Cocorico" c'est-à-dire : la socialisation dans tous les sens de ce terme.

Des moyens humains sont à l'étude actuellement pour mener à bien ce projet, notamment la possibilité mettre en place un emploi service civique pour optimiser les chances du nouveau "P'tit Cocorico".

Le "P'tit Cocorico" n'oublie surtout pas toutes les générations ! C'est ainsi que vous continuerez de le trouver en version papier dans nos points de vente habituels que nous remercions au passage ; pharmacie de l'église de Précy sur Oise, M. coiffure à Creil, Tif-club à Gouvieux, entreprise Gibaud à Chantilly... N'oubliez pas, vous aussi chers lecteurs, si vous avez envie de partager une passion, un moment fort tel qu'un séjour, un sujet insolite... un poème ou toute autre chose, il vous suffit tout simplement de faire parvenir votre article au "P'tit Cocorico" selon une démarche toute simple.

- Rédigez de manière conviviale votre article sur un logiciel d'écriture. - Improvisez-vous photographe afin de réaliser deux ou trois photos. - Rendez-vous sur votre boîte courriel. (Rubrique écrire un message) - à [email protected] objet : le titre de votre article. - Pièces jointes : insérer votre article ainsi que les photos. - Message : un petit mot pour l'équipe du "P'tit Cocorico".

N'ayez aucune crainte sur la mise en page car l'équipe du "P'tit Cocorico" s'en chargera très volontiers ! Inutile de vous rappeler que tous les articles à caractère politique ou démagogique ne seront bien évidemment pas publiés !

Je vous souhaite une très bonne lecture à travers ces différents articles qui vous feront découvrir tous les aspects positifs que chaque être possède aux quatre coins du monde...

"Zéloi".

Editeur : Association La Ferme de Sorel, 22 sente de Sorel 60460 Précy sur Oise Directeur de publication : Eloi GAMBIER Responsables de la rédaction : Nadège COULON, Murielle HAPPIETTE Informatique et Maquette : Fabrice HAPPIETTE, Sonia HAPPIETTE Imprimeur : Association La Ferme de Sorel, 22 sente de Sorel 60460 Précy sur Oise

LES ECHOS DE LA BASSE-COUR

2/27www.lafermedesorel.org

Après plusieurs mois de préparation, nous sommes très vite arrivés aux 31 janvier 2011, date à laquelle le groupe de globe-trotters prirent l'avion direction le Bénin ;

Le groupe composé de Benoît et Éloi Gambier, Pricilla, Christelle, Christopher, Jean-Baptiste, Kévin était fin prêt pour la grande aventure !

Ce matin du 31 janvier il faisait -7°, ce qui n'a pas empêché l'avion de décoller comme prévu vers 13h00. Nous pouvions ressentir la joie et la bonne humeur de ce petit groupe qui pour la plupart fêtait leur baptême de l'air.

On se souviendra particulièrement de quelques réflexions de la part de Jean-Baptiste, comme par exemple lorsque l'avion, qui s'acheminait vers la piste de décollage, est passé au-dessus d'un pont Jean-Baptiste s'est exclamé - « c'est bon ! On a décollé ! » . Mais aussi et surtout lorsque l’avion a traversé les nuages, Jean-Baptiste s’est écrié - « on est arrivé au paradis ! On va voir Dieu ! ». On en rit encore !!

Le voyage s'est déroulé sans encombre durant 6h00 de vol au cours duquel nous avons eu quelques collations.

C'est aux alentours de 20h00 que les roues de l'avion ont touché la piste d'atterrissage de Cotonou et les portes se sont ouvertes : là le choc thermique ! Il faisait au moins 30° !

Cette première nuit nous l'avons passé chez notre amie Rosine.

Le lendemain matin, notre chauffeur toujours ponctuel nous a conduit chez un ami de Benoît pour prendre un petit déjeuner et direction le nord !

C’est donc sous cette chaleur que nous nous sommes glissés dans la cohue pour trouver nos valises et rejoindre notre encadrante béninoise « Gisèle » ainsi que notre chauffeur Loukouman Le compte est bon, tout le monde est là et en voiture dans ce car 4x4 qui sera notre véhicule tout le long du séjour. Place aux festivités direction le restaurant où nous avons pu déguster des escargots en terrasse.

Sur la route nous sommes obligés de rouler de gauche à droite pour éviter des trous gigantesques. Nous croisons des véhicules qui n’ont plus d’âges, qui ne roulent plus depuis longtemps chez nous mais au Bénin……….. La seconde vie existe !



Juste une halte au village de Camate-shakaloké pour le déjeuner (le village où l’association Picardie sans Frontières est investie depuis bon nombre d'années) et nous voilà déjà repartis vers le pays des Tatasombas...

Ce soir-là, nous avons dormi à l'hôtel dans des paillotes et mangé bien sûr au restaurant...

Nous n'avions pas encore atteint notre objectif, la Pendjari (la savane béninoise) et il nous restait à emprunter 200 km de pistes de terre rouge. Aux alentours, la végétation et le Pays Somba où logeaient des familles qui n'hésitaient pas à nous faire signe...

Mais déjà il était temps de repartir car nous avions de la route, où plutôt de la piste à faire. C'est donc vers 13h00 que nous sommes arrivés dans la ville de notre chauffeur et à cette heure-ci notre préoccupation majeure était de se restaurer et de prendre une bonne douche.

En fin d'après-midi nous avons pu jouer au baby-foot avec des enfants de la commune de Tanguiéta. Le sol du baby-foot était identique à la route qui nous avait amené jusqu'ici... Un super match France/Bénin joué dans le respect et la bonne humeur et les deux équipes en sont ressorties toutes les deux gagnantes d’avoir partagé un moment de connivence.

Nous avions prévu d'aller visiter une Tata-somba mais pourquoi aller plus loin puisqu'une famille nous avait fait signe de s'arrêter et d'aller visiter leur domaine. Une impressionnante famille vivait là et je n'ai jamais réussi à compter le nombre d'enfants qui entouraient Priscilla et Christelle.

Les Tata sombas sont comme de véritables petits châteaux forts, des maisons assez basses avec des tourelles qui servent de réserve pour le grain

L'après-midi nous avons pris le temps d'aller voir la cascade de Tanougou où nous nous sommes baignés les uns ont trouvé que l'eau était chaude mais pour d'autres, vu la chaleur, elle pouvait sembler fraîche ! Mais le décor spectaculaire a charmé tout le monde !



C'est d'ailleurs ce soir-là, dans la chambre occupée par les filles que nous avons fait la connaissance avec l’araignée locale. Une Grosse araignée !... Qui n'a pas résisté au maître d'hôtel.

Nous nous sommes arrêtés à la chute de la Kota encore plus belle que la précédente mais encore plus froide et là pour ma part je n'ai pas mis un pied dans l'eau !

Un déjeuner a été pris dans un maquis et chacun a pu choisir son plat, sa boisson et goûter à la peau de vache grillée, plat qui semble être réputé au pays.

Je ne peux m'empêcher de vous raconter une petite anecdote ; avant de partir à nouveau sur la route, j’avais une petite envie pressante (Eh oui, cela arrive à tout le monde, l’effet de la bière locale à ce qui parait !). On m’a indiqué les toilettes derrière une porte en fer mais à ma grande surprise lorsque j'ai ouvert cette lourde porte et bien la pièce était vide mais à l'odeur il était évident que j'étais au bon endroit : j'étais donc dans les toilettes sans toilettes...Nous sommes arrivés au village au cours de l'après-midi après avoir traversé la ville de DASSA et emprunté une autre piste aux couleurs rouge et ocre. Je n'ai pas encore précisé que nos mains étaient autant fatiguées que le reste car tout au long des kilomètres que nous venions d’effectuer, tout le monde sur les bas-côtés de la route nous faisait signe du Sud jusqu’au Nord... À ce sujet, en France, essayez donc de saluer quelqu'un sur le trottoir !!! Ce soir-là, Benoît m'a emmené visiter le village : enfin les premiers 150 m car la convivialité et l'hospitalité des habitants de Kamaté-Shakaloké sont légendaires. Nous avons donc avancé à une vitesse moyenne de

Ce soir-là, Benoît m'a emmené visiter le village : enfin les premiers 150 m car la convivialité et l'hospitalité des habitants de Kamaté-Shakaloké sont. Nous avons donc avancé

La Pendjari : la chaleur, la poussière, les animaux, la fatigue aussi au rendez-vous ! Au cours de cette journée nous avons effectué environ 300 km de pistes, admiré différents races de singes, antilopes, crocodiles, hippopotames, gazelle, sans oublier les majestueux éléphants qui nous ont tous émerveillés... Que dire de plus, fantastique...Beaucoup de fatigue s'était accumulée au cours de cette première journée par 42°C voir 45°C et nous étions déjà contents de rejoindre le village pour se poser et se reposer

50 m à l'heure car au Bénin impossible de passer inaperçu ! Nous avons même appris que si on oubliait de saluer une personne celle-ci s'arrangera pour repasser devant nous et au cas où nous serions dans nos pensées, elle aura à cœur de savoir si tout va bien.

Dès le lendemain, chacun voulait mettre en place son projet personnel

Priscilla surnommée pour le séjour « mi-chouchou » avait pour objectif de passer quelques demi-journées au sein de l'école maternelle du village.



Priscilla a pu remarquer que tous les enfants ne mangent pas. Seuls les enfants qui ont les moyens financiers de payer le repas mangent tandis que les autres les regardent. Prix du repas 25 fr CFA/environ 0,30 € d'euro.

Christelle surnommée pour le séjour « cricri » avait pour objectif d'aider à la cuisine. C’est chose faite car Christelle a participé à l'achat et l'installation du réfrigérateur ainsi que de la nouvelle gazinière que nous sommes partis chercher à Cotonou et que nous avons installé dans la cuisine de CPN LES PAPILLONS. Les branchements ont été réalisés avec succès et tout fonctionne à la perfection... Et si Christelle fait parti du prochain séjour elle pourra ainsi montrer ses talents de cuisinière.

Et enfin celui qui n'est plus à présenter au béninois Kevin dit le Kéké des bacs à sable avait pour objectif de discuter avec les gens.

Son objectif a été atteint avec succès... Il faut reconnaître que la population béninoise est intarissable sur des discussions plus diverses les unes que les autres...

« Mince, vous avez vu la taille de cet œuf ! De quoi faire une bonne omelette. »

Jean-Baptiste surnommé pour le séjour J.B, et Christopher dont le surnom est « aucun » avaient pour objectif de participer à la maçonnerie en plein coeur du village.

Ils gardent tous deux un souvenir mémorable d'un merveilleux moment à participer au crépissage de la maison en terre du chef du village avec de bonnes parties de rigolade... Ils se voient tous les deux futurs maçons entrepreneurs de CAMATE-SHAKALOKE.

Au village nous avons fait l'ascension de la colline d’où tout là-haut nous avons un point de vue magnifique sur la vallée. Quand on pense que nous étions en train de marcher à l'emplacement du premier village de CAMATE-SHAKALOKE en haut d’une colline faite de granite. On peut encore admirer à son sommet des creux bien alignés qui servaient dans le temps pour piler l'igname. Nous sommes passés aussi à côté de lieu de sacrifices (poulet)... Dommage qu'il y ait ces feux de brousse qui trompe le promeneur !

Le mercredi c'est le jour du rituel ! Le marché de GLASZOUE !

Le mercredi c'est le jour du rituel ! Le marché de GLASZOUE !



Un gigantesque marché, l’un des plus grands du Bénin, aux 1000 couleurs aux 1000 senteurs et aux 1001surprises...

Nous sommes passés à côté des boucheries où les viandes suspendues et découpées en gros morceaux juxtaposaient le stand de la poissonnerie. C'est justement à cet endroit que nous avons acheté de la viande pour faire griller au barbecue. À l'autre bout de ce marché c'est le coin pour s'initier à la bière locale à base de mil appelée communément « shakparo » accompagnée généralement de piment que l'on mange avec les doigts. Benoît m'avait réservé une surprise : il avait commandé exprès pour l'occasion une assiette de peau de vache !... Imaginez-vous sous ce toit en tôle où il devait faire 42°C !

On se souviendra aussi de ce fameux jour où nous avons rendu visite au père de Florence pour lui remettre la médaille des chasseurs français offerte par monsieur Jacques BEARTHEL trésorier de l'association des anciens chasseurs d’Afriques, Encore une fois on remercie avec un grand M Jacques. Il était fier, cela se voyait et il remercie infiniment pour ce geste...

Nous avons pris le temps d'aller visiter un village de potiers. Leurs poteries sont faites à base de terres à modeler qu’ils composent eux-mêmes et badigeonnées à l'intérieur d'une autre terre... Je n'ai pu m'empêcher de leur poser quelques questions - « qui vous a appris cette technique ! » Et la dame de me répondre qu'elle ne l'a pas apprise dans des livres mais tout simplement de sa mère et que sa grand-mère faisait comme cela et qu'il ne fallait pas oublier une étape... Ces poteries ou plutôt ces jattes de gros volumes sont cuites à la méthode traditionnelle. Dommage que, juste à côté, siège un four en brique de type européen que visiblement personne n’a pris le temps d’en expliquer le fonctionnement ni la maîtrise de la cuisson aux villageois. Souvent, les traditions valent mieux que la modernité ! Parfois on croit bien faire et on apporte une amélioration alors qu’il n’y a pas plus important que le savoir ancestral.

Nous avons aussi visité un atelier de menuiserie avec sa fabrique surprenante de cercueils. Je ne dirais pas que cela donne envie de mourir mais enfin des cercueils en forme de voiture, ça c’est de la classe !

La petite anecdote de ce lieu que je ne peux m’empêcher de vous raconter : au milieu de la cour il y avait un arbre, sur cet arbre il y avait un singe, et ce singe à la vue des visiteurs ne pouvait s'empêcher de montrer que nous lui faisions de l’effet et c’était très visible... Je vous laisse imaginer... Une chose était sûre : c'était bien un mâle !

Le soir on sortait pour aller manger en ville dans différents maquis, certains étaient plus bruyants que d'autres mais chacun avait leur charme et bien souvent les jeunes fatigués de leur journée finissaient par s'endormir sur place mais avaient du mal à repartir tant ils se sentaient bien...

Un jour je me suis rendu au collège de Sokponta, futur partenaire du "P'tit Cocorico", et après avoir discuté des différents objectifs avec le directeur et le professeur de français j'ai été présenté dans chacune des classes. A ma grande stupéfaction, j'ai été accueilli dans un profond respect par chacun des élèves : je ne méritais sûrement pas cet honneur !...

Nous avons aussi visité le dispensaire de Loulé pas très loin du village ; là nous avons été reçu par le directeur qui nous a parlé des maladies locales telles que le paludisme qui est la première maladie mortelle sévissant sur le continent Africain et le sida... Et les soucis pour la population de se soigner... À ce sujet on nous a indiqué que la veille il y avait eu une opération d’une hernie discale dans la pièce juste en face du bureau du directeur : une pièce derrière un rideau où l'on pouvait voir une table dans le centre de la pièce, une pièce en béton.



Il y a un réel manque de médicaments, l'ensemble des jeunes de "la Ferme de Sorel" ont été sensibilisé d'autant plus qu'à la fin de notre visite le téléphone a sonné : il y avait une urgence, une femme enceinte de six mois risquait de perdre à tout moment le bébé qui toquait déjà à la porte...

Comment ne pas se remémorer ce soir du 12 février puisque Priscilla est arrivée au Bénin à 17 ans et est reparti quelque jour plus tard à 18 ans !

rée !

Sur place il y a eu aussi un tournoi de foot, et comme il n'y avait pas tout le modernisme de jeux vidéo, la multitude de chaînes de télévision et Internet que nous connaissons en France, la plupart des loisirs étaient de se retrouver sous la tonnelle pour discuter avec les gens du village...

Mais la prochaine fois, nous allons tenter de faire quelques animations à notre manière... Je ne vous en dis pas plus puisque cela fera l'objet d'un prochain récit qui aura lieu pour la fin de l'année 2011...

Déjà le séjour touchait à sa fin ; Et le 16 Février, dans une brume qui annonçait de façon pernicieuse une journée lourde aussi bien par la chaleur que par une ambiance morose où sonnait le glas du dernier jour pour ce premier épisode de l'aventure en Pays IDASSHA, c'est donc vers 6h30 du matin que nous avons pris le chemin du retour vers Cotonou.C'est justement sur cette route que nous avons rencontré un semi-remorque pour le moins étrange puisque la roue de gauche sortait nettement de la remorque et la roue de droite…… en fait il n'y avait pas de roue de droite il y avait juste une jante et le camion roulait et a même doublé un autre camion : incroyable !

Dans tous les cas c'était une journée bizarre où les sentiments se mêlaient entre la joie de retrouver la famille restée en France et la tristesse de quitter des personnes auxquelles on était déjà attachés.

Nous avons fait un tour au marché artisanal de Cotonou où il a fallu marchander quelques objets souvenirs à la piscine de l'hôtel du port pour se rafraîchir. Il était déjà 19h00 lorsque nous avons quitté ce lieu de rafraîchissement pour se rendre au restaurant et comme pour faire une conclusion à ce séjour nous nous sommes restaurés chez « Adé » où nous nous étions restaurés le soir de notre arrivée. Et déjà il était temps de rejoindre l'aéroport, de dire au revoir et c'est à cet instant que les larmes se sont mises à couler malgré toute la volonté du monde à ne rien laisser paraître...

Nous avons fait la fête ; un repas ou plutôt un festin réalisé par notre amie Gisèle qui n'est pas seulement une cuisinière hors pair car nous la voyons partout : à la comptabilité, à la gestion de stocks, au ménage et sur les 17 jours maîtresse de maison. Toujours prête à remuer des montagnes malgré sa fragilité apparente.

Jean-Baptiste son frère a pu lui remettre le cadeau qu'il avait acheté en France ; une jolie chevalière accompagnée d'un bijou local un collier assorti de boucles d'oreilles...



L'avion a décollé à l’heure pour atterrir à Roissy 6 heures plus tard. Les bagages ont été récupérés rapidement il ne restait plus qu’à se rendre à Précy sur Oise où un petit déjeuner nous attendait avec son pain et ses croissants croustillants...

De l’avis du groupe ce fût un voyage hors du commun, hors du temps, dans un autre monde

Tous voyage est une aventure, mais au Bénin, l’aventure est d’abord humaine !

Zéloi GAMBIER

LA RUBRIQUE DU POTI-POTIN


« Un éléphant ça trompe énormément »��

Lors d'un voyage en 1983, au Sri Lanka, j'effectuais un circuit qui me conduisit à Kandy. Cette ville située en altitude, est réputée pour ses cultures de thés, à travers le monde. Outre cet aspect gastronomique, Kandy jouit d'une importante réputation, car cette ville est chaque

année, le siège d'une des plus grandes fêtes d'Asie : L’ESSALA PERAHERA. Cette fête consiste à sortir la relique de la dent de bouddha, abritée dans le temple de Kandy et

pendant 10 nuits, des groupes de danseurs et des centaines d'éléphants avec leur cornac, défilent en alternance et en dansant pour le plus grand plaisir des milliers de spectateurs amassés sur les trottoirs de la ville.

Il n'est pas rare de constater, qu’immobilisé par nécessité leur cornac situé soit à leurs côtés où sur leur dos, les éléphants rythment la musique en balançant leur trompe de gauche à droite et semblent impatients de voir les danseurs leur céder leur place.

Alors, avec beaucoup d'application, ils dansent sur place, provoquant des ovations de la foule qui les applaudit très largement.

La relique de la dent de bouddha, trône sur un éléphant. Tous les éléphants sont richement habillés de parures étincelantes, et semblent prendre un très grand plaisir à défiler munis de leurs plus beaux ornements.

J'ai découvert à cette occasion que les éléphants d'Asie aiment la fête et la danse !

Quand un groupe de danseurs fait sa démonstration, l'ensemble du cortège s'arrête et le groupe d'éléphants aligné juste après, attend sur place.

Cette explosion de joie semble les stimuler d’avantage et au son de la musique, ces magnifiques pachydermes évoluent sur place, en tournant, virant et balançant leur trompe comme pour « battre la musique ».

Ce spectacle est grandiose ! Ces très beaux éléphants oublient leur poids et prennent un réel plaisir à « faire la fête ».



Chaque soir, leur arrivée avant la fête sur la ville de Kandy est également un spectacle. Ils marchent des kilomètres emportant avec eux, une immense branche d'arbre, pour leur dîner sur la ville avant le spectacle. La procession est lente et tous les automobilistes, piétons s'écartent pour leur laisser le passage et les admirer.

Je lui parlais dans ma langue, il me regardait toujours et je me sentais totalement en confiance.

Le cornac m'invita à lui déposer directement dans sa gueule. Me sentant en entière confiance, je m'exécutais. Quelle surprise ! En effet, cette gueule était d'une extrême douceur et c'est avec une grande délicatesse et précision, que mon jeune ami l'éléphant préleva le bonbon ; à l'observer, je constatais que cette confiserie lui procurait un certain bien-être, il semblait apprécier au regard des démonstrations amicales qu'il me faisait, en parcourant sa trompe sur ma tête et mes bras.

Une conversation s'engageait à en anglais avec son cornac, sur le thème des éléphants que j'adore particulièrement depuis de nombreuses années. Je délaissais momentanément mon jeune ami, tout en étant placé devant lui.

Venant d'assister à l'arrivée des éléphants dans la ville, je me dirigeais vers le temple de la dent de bouddha, passage obligé pour atteindre mon hôtel afin de me préparer pour aller assister au spectacle de L’Essala Pérahéra.

Arrivée sur le trottoir qui longe le temple, je rencontrais un éléphanteau, un jeune bébé devant peser une centaine de kilos d'amour ! En effet, avec l'autorisation préalable de son cornac, je caressais cet animal qui me regardait et semblait intéressé par ma présence et mon odeur. parlaisdans ma langue, il me regardait toujours et je me sentais totalement en confiance.

Au bout de 10 minutes environ, je demandais l'autorisation au gentil cornac, d'offrir un bonbon à notre ami l'éléphant, ce qu'il accepta. Ayant un sac à main sur l'épaule gauche, j'ouvris la fermeture éclair devant l'animal et lui offrit un bonbon «Haribo» !

Puis tout à coup, je sursautais, car lors de notre conversation avec le cornac, le jeune éléphanteau doté d'une excellente mémoire visuelle, venait de diriger sa trompe à l'intérieur de mon sac, afin de reprendre quelques bonbons.



Ayant obtenu à nouveau l'autorisation, au sein d’un grand éclat de rire général partagé avec les passants et touristes, je lui donnais moi-même les confiseries Haribo, en lui plaçant directement sur sa langue et il refermait sa gueule avec une extrême douceur sur ma main tendue. Cette rencontre est inoubliable. Ce jeune bébé éléphant, avait accompagné sa maman qui participait à L’Essala Pérahera chaque soir et qui confiait son bébé à son cornac pendant que d'autres cornacs commençaient à l’habiller avec sa plus belle parure. Je ne puis m'empêcher de penser à la publicité de cette marque de bonbons : «Haribo, c'est beau la vie, pour les grands et les petits ainsi que les éléphanteaux !!!»

Catherine LAUNOIS

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Encore une soirée Loto réussie à l’association « La Ferme de Sorel ». La salle était comble ce vendredi soir 28 janvier 2011.

Après l’entrée en musique des jeunes Pom-Pom girls la soirée a débuté en musique et le tirage des numéros animé par « Zéloi » a pris son rythme.

Mais me demanderez-vous pourquoi ces soirées Loto, somme toute bien ordinaires, ont-elles un tel succès à l’association ?

Eh bien si vous me posez une telle question c’est que vous n’êtes pas encore venu voir ce qui s’y passait.

Tout d’abord chaque numéro tiré correspond à un département et notre petite troupe de musiciens bénévoles aime toujours nous jouer un morceau de musique qui y est associé.

Ainsi cette fois-ci nous avons eu le plaisir d’apprendre à faire la fameuse crème chantilly qui comme chacun le sait est originaire de notre département (elle aurait été inventée par un des cuisiniers du Prince de Condé). Deux personnes dans la salle, choisies au hasard, ont eu la surprise, grâce à deux membres de la Confrérie des Chevaliers fouetteurs de crème chantilly présents ce soir-là, d’apprendre l’art de confectionner une bonne crème chantilly.

Zéloi nous avait aussi réservé quelques animations vidéo concoctées avec l’aide de toute l’équipe du Loto.

Chacun entonne alors un couplet ou un refrain et c’est toute la salle qui se retrouve à fredonner en cœur avec les musiciens.

Bien sûr les intermèdes musicaux durent bien souvent plus longtemps qu’il ne faudrait mais peu importe du moment que l’ambiance est là.

Sans compter que l’équipe des animateurs essaye de faire en sorte que chaque loto soit différent en nous réservant quelques surprises !



Voici quelques photos de nos heureux gagnants de ce premier loto de cette année 2011.

Eh voilà, maintenant vous avez compris pourquoi notre loto a autant de succès !La recette en est simple : une dose d’engagement bénévole, une dose d’humour bon enfant, deux doses d’animation en toute simplicité et le résultat est un moment convivial à partager sans modération. Rendez-vous au prochain loto !!!!!

Murielle HAPPIETTE



Si le 11 novembre 1918 est resté une date inoubliable dans la mémoire des Français, le 9 novembre 2010 restera une date gravée dans toutes les mémoires des collégiens du collège Jules Vallès de Saint leu. Ce jour-là, j'ai eu la chance de faire parti du public ; Comme par enchantement, aux alentours de 14h00, la pluie a cessé pour laisser place à un beau rayon de soleil qui égaya la cérémonie de mémoire de la commémoration de l'armistice. Les officiels du département de l'Oise ont fait leur apparition en nombre. Cet événement était sous la présidence de Monsieur l'inspecteur d'académie. Quel beau tableau ! De ma place je pouvais voir tout juste devant moi les officiels où flottait les différents drapeaux bleus blancs rouges, à ma droite au premier plan quelques collégiens qui avaient été désignés pour devenir les futurs porteurs du drapeau « les évadés de guerre et passeurs » au deuxième plan le public de plus en plus nombreux, à ma gauche deux chorales admirablement mises en place l'une du collège Jules Vallès de Saint-Leu sous la direction de Mme Dumay et l'autre du collège Anna de Noailles qui a fait le déplacement en bus. Et pour finir juste derrière moi une exposition concernant le sujet présenté.

14h30 arriva très vite et nous avons pu écouter les différentes allocutions des officiels toutes plus touchantes les unes que les autres, à la suite de quoi la chorale nous a chanté quelques airs... C'est d'ailleurs à cet instant que j'ai pu apercevoir dans le groupe des officiels une petite dame à l'œil vif qui allait remettre officiellement aux élèves du collège Jules Vallès le fameux drapeau « Des évadés de guerre et passeurs ». Mais avant toute chose, une flamme en mémoire de la commémoration de l'armistice de 1918 a été allumée et une minute de silence a été respectée en mémoire de toutes ces âmes emportées par cette tragédie.

Car même si cette cérémonie était placée sous le signe de la joie nous ne pouvions les oublier... Il y a eu la signature des registres et enfin ce moment tant attendu par tous où le drapeau a été confié officiellement à M. Roland directeur du collège Jules Vallès qui lui-même le confier aux collégiens porteurs du drapeau. Nous pouvions apercevoir sur les visages des membres du collège toutes générations confondues une certaine fierté à cet événement, je dois bien vous l'avouer moi aussi j'éprouvais une certaine satisfaction en tant qu'ancien élève de ce collège...



C’est ainsi que tous en choeur et toutes générations confondues nous avons pu reprendre notre hymne national « la marseillaise »... Cette cérémonie ne pouvait se finir sans le passage devant les drapeaux que chacun pouvait saluer avec tout le respect que nous leurs devons...

Zéloi.

Cet après-midi, s'acheva autour d'un pot de l'amitié...

PS : au-delà de ma fierté personnelle en tant qu'ancien élève du collège Jules Vallès un autre événement au cours de cette cérémonie m'a rempli de joie : c'est le moment où Alain Pickaert a été diplômé et médaillé en guise de remerciement pour tout le travail qu'il a pu réaliser pour cette cérémonie... Alain qui a été mon professeur d'histoire-géographie en classe de 6ème 6 il y a environ 25 ans et à qui je dois beaucoup en ce qui concerne mes études ... Cela fera bien l'objet d'un autre article...

LES CÉLÉBRITÉS DE LA BASSE-COUR


Aujourd'hui dans la rubrique célébrités de la basse-cour se sera le "P'tit Cocorico" lui-même !

Au Bénin, tout se recycle voyez plutôt ! Quelques leçons à tirer pour notre petit quotidien...

Ce coq a été réalisé par un artiste de Savalou au Bénin, il est réalisé à base de boîtes de conserves de concentré de tomates. Ce même artiste réalise aussi des lampes de chevet typiquement africaine à base de fers à béton, bougies de voitures, boulons sans oublier les boîtes de conserve… voyez donc ci-dessous...

Vous aussi envoyer nous des photos de votre coq sous toutes ses

coutures ! Ainsi nous constituerons la galerie du

"P'tit Cocorico" !... À très bientôt

"Zéloi".

LE NOUVEL AMI DU PETIT COCORICO


Le labrador

Historique : Le labrador est une race de chien de nationalité anglaise qui à une étrange histoire .Il a été créé pour la chasse, du fait de ses qualités de rapporteur de gibier tombé au sol. Il partage aussi son statut de chien de chasse avec celui de chien de compagnie et d'assistance (aux aveugles, handicapés, personnes âgées)

Caractère : Il est calme, gai, doux, amiable, heureux courageux, intelligent, affectueux Il est bon nageur, il vit heureux dans des zones où la mer ou un court d’eau est proche Identité : Taille : de 56-57 cm pour les mâles, et de 54-56 cm pour les femelles. Poids : de 30 à 38 kg pour les mâles, et de 25 à 30 kg pour les femelles. Poil : Court (10 cm), épais, dense, rêche 0. Robe : Noire, marron (aussi appelée chocolat) ou jaune (de sable à roux). Tête : Large, au stop marqué; cou et mâchoires solides et puissante. Expression douce et Intelligente (trait distinctif). Yeux : Légèrement en amandes, de couleur marron ou noisette. Queue : Longueur moyenne

Durée de vie : Le Labrador brun vit entre 11 et 13 ans. Un chien maigre ou VRAIMENT en excès de poids risque d’avoir une courte vie ou des complications avec le temps. Il est important de bien avoir un poids en proportion de la taille. Plusieurs labradors bruns ont déjà vécu jusqu’à 15 et 16 ans.

LE NOUVEL AMI DU PETIT COCORICO


Toilettage du Labrador Le labrador a besoin d’un toilettage quotidien pour plusieurs raisons : - Stimulation de la peau. - Détection d’une éventuelle blessure ou d’un début de maladie. - Plaisir que ça lui procure. - Permet d’établir notre dominance dans la relation. Il faut éviter de le laver en hiver Certaines zones du corps du chien sont particulièrement importantes - Queue, Pattes, Oreilles, Haut du cou, Garrot. Il a besoin d’être brossé 3 fois par semaine avec une brosse ou un peigne de soies dures pour entretenir son poil et éliminer les poils qui tombent. Soigner ses oreilles, couper ses ongles. Un bain avec un shampoing neutre et doux 2 fois l'an est suffisant car il ne faut pas bougé la graisse du poil du labrador

Esmerie

Non, non je ne suis pas sale !!!! Ouaf, Ouaf, je vous l’assure, je suis un labrador noir. Mais je vous rassure, j’aime autant les câlins que mes frères de couleur différente !



Sur le précédent numéro du « Ptit Cocorico, on vous expliquait ce qu’était le bicarbonate et son histoire. Voici maintenant quelques suggestions

d’utilisation. A vous de tester !

Pour les soins du corps : • Pour assainir la bouche et purifier l’haleine

– Dosage: 5 g (1 cuillère à café) dissous dans un verre d’eau tiède

– Mode d’emploi: rincer énergiquement en faisant circuler l’eau bicarbonatée dans toute la cavité buccale pendant plusieurs minutes. Compléter éventuellement par un gargarisme.

– Explication: le bicarbonate aide à décrocher les particules qui se logent entre les dents et les gencives, combat par son action « tampon » les acides provoqués par les bactéries qui s’en nourrissent et neutralise les odeurs.

– Mise en garde: la mauvaise haleine peut être le symptôme d’une pathologie, l’utilisation du bicarbonate ne dispense pas de consulter un dentiste ou un médecin.

• Pour blanchir les dents

– Dosage: quelques grammes sur la brosse à dents

– Mode d’emploi: saupoudrer sur la brosse à dents humide, puis ajouter si vous le souhaitez votre dentifrice habituel. Brosser ensuite normalement. Pour davantage d’efficacité, la brosse à dents peut être humidifiée avec de l’eau oxygénée.

– Explication: les grains de bicarbonate très fins agissent comme un abrasif doux sur les dents et renforcent considérablement l’action du brossage sur la plaque dentaire et les tâches dues au café, thé ou au tabac.

– Mise en garde: ne pas excéder 2 à 3 usages par semaine, ne pas avaler. N’hésitez pas à en parler avec votre dentiste ou votre médecin, qui connaissent bien le bicarbonate.

Pour une bouche saine, pensons « bicarbonate



• Pour un lavage plus complet des cheveux et du cuir chevelu (pour enlever les traces de laque et de coloration)

– Dosage : 5 g (1 cuillère à café)

– Mode d’emploi : Ajouter le bicarbonate en poudre dans votre main à votre shampoing habituel, bien répartir et bien masser, puis rincer abondamment. Même si le shampoing mousse moins, les cheveux seront plus brillants et plus souples.

– Explication : le bicarbonate masse le cuir chevelu, renforce l’action nettoyante du shampoing et lutte contre les dépôts calcaires de l’eau de conduite qui ternissent progressivement dans les cheveux.

– Mise en garde : si vous vous lavez les cheveux très souvent, il suffit d’utiliser le bicarbonate en plus de votre shampoing habituel une fois par semaine. L’usage occasionnel du bicarbonate permet généralement d’espacer les shampoings.

Le bicarbonate débarrasse la chevelure de ses impuretés

• Pour une gorge irritée

– Dosage: 5 g (1 cuillère à café) pour un verre (250 ml) d’eau

– Mode d’emploi: pratiquer un gargarisme de plusieurs minutes, renouveler plusieurs fois par jour, de préférence le soir au coucher.

– Explication: le bicarbonate aide à libérer la gorge des bactéries, des levures, des virus ou des pollutions (dont le tabac) qui peuvent être à l’origine de l’inflammation. Ils sont neutralisés, décrochés et ensuite évacués ou entraînés vers l’estomac où ils sont détruits.

– Mise en garde: le bicarbonate n’est pas un médicament. Les maux de gorge peuvent être le symptôme d’une pathologie grave, l’utilisation du bicarbonate ne dispense pas de consulter un médecin.



• Pour les odeurs de transpiration

– Dosage: aussi souvent que nécessaire, de préférence sur une peau propre après le bain ou la douche

– Mode d’emploi: mouiller la main, saupoudrer d’une très fine couche de bicarbonate et masser doucement sous les aisselles.

En cuisine et gastronomie : - Pour attendrir les viandes : saupoudrer uniformément la viande de bicarbonate,

éventuellement préalablement mélangé avec de la farine, et la placer plusieurs heures au réfrigérateur. Rincer soigneusement.

- Pour la purée : ajouter une pincée de bicarbonate lors de la préparation. La purée sera plus onctueuse et plus aérée.

- Tomates : 1 ou 2 pincées de bicarbonate dans l’eau de cuisson du coulis ou de la sauce neutraliseront l’excès d’acidité.

- Agrumes : 1 ou 2 pincées bien réparties sur la salade d’orange et/ou de pamplemousse neutraliseront l’excès d’acidité

- Confitures et gelées de fruits: pour tous les fruits, et surtout les plus acides (rhubarbe, fruits rouges, agrumes…), on a souvent tendance à ajouter beaucoup de sucre, dont une partie sert à neutraliser l’acidité. On recommande une proportion d’une cuillère à café (5 g) pour 3 kg de fruits, à introduire lors de la cuisson.

- Pour faire lever, alléger et aérer les pâtisseries, les pains et les gâteaux : 2 à 3 cuillères à café (10 à 15 g) pour 1 kg de farine.

– Explication: le bicarbonate bloque le développement des bactéries responsables de la dégradation des composants de la transpiration, et «tamponne» l’acidité propice à l’émanation des odeurs.

– Mise en garde: en cas d’irritation (phénomène très rare), espacer ou cesser les applications.



Pour l’entretien du linge et de la maison :• Pour désodoriser le réfrigérateur

– Dosage: 100 g (1/2 verre, 6 cuillères à soupe)

– Mode d’emploi: verser le bicarbonate dans une coupelle et la poser de préférence dans le haut du réfrigérateur. Remuer le bicarbonate de temps en temps et changer tous les 3 mois.

– Explication: le contact du bicarbonate, qui a une structure relativement poreuse et une grande surface de contact avec l’air, piège les odeurs et les neutralise.

• Pour nettoyer les casseroles et les poêles brulées :

– Mode d’emploi: saupoudrer le fond d’une couche bicarbonate (10 à 20 g soit 2 à 4 cuillères à café), ajouter de l’eau bouillante, laisser agir 2 à 8 heures. Si la partie carbonisée persiste, il est aussi possible de faire bouillir l’eau bicarbonatée dans la casserole pendant quelques minutes.

– Explication: le bicarbonate favorise la pénétration de l’eau dans la couche brulée, et ramollit les graisses et les protéines carbonisées en quelques heures. Si on fait bouillir, on accélère le processus et on transforme partiellement le bicarbonate de sodium en carbonate de sodium, détergent plus fort que le bicarbonate. Finir le nettoyage à l’éponge et rincer.

– Mise en garde: ne pas utiliser avec l’aluminium.

• Pour nettoyer sans rayer toutes les surfaces alimentaires (évier, plaques de cuisson, réfrigérateur, four à convection ou four à micro-ondes, plaques de cuisson, plans de travail et tables et marbre, bois, mélaminé et formica…). Pour supprimer les traces de calcaire (tartre).

– Mode d’emploi: saupoudrer une éponge ou un linge humide d’une couche de bicarbonate, puis frotter. Rincer et renouveler le bicarbonate quand tous les grains de bicarbonate ont disparu.

– Explication: les grains du bicarbonate en poudre exercent une abrasion douce sans rayer. Les grains se dissolvent doucement avant de risquer de rayer les surfaces. Le bicarbonate, lorsqu’il passe en solution (quand les grains disparaissent) dissout les graisses et les matières organiques qui occasionnent les tâches.

Pour réduire l’acidité, des tomates par exemple, pensez au bicarbonate !



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– Mise en garde: ne pas utiliser sur l’aluminium.

Pour l’hygiène de toutes les surfaces, le bicarbonate fait aussi des merveilles.

• Pour nettoyer, assainir et désodoriser les tapis et moquettes en limitant le développement des allergènes

– Dosage: 20 g/m2 soit 4 cuillères à café par mètre carré.

– Mode d’emploi: saupoudrer le bicarbonate le plus uniformément possible, faire pénétrer dans les fibres en brossant légèrement. Laisser agir de 4 à 12 heures. Aspirer.

– Explication: des études récentes ont montré que le bicarbonate stoppe immédiatement le développement des acariens et des moisissures

responsables de la formation des allergènes. Même après aspiration, les fines particules de bicarbonate vont freiner la réapparition des colonies d’acariens et la croissance des moisissures. De plus, le bicarbonate absorbe les graisses accumulées dans les fibres qui ternissent les couleurs et il piège les odeurs.

– Mise en garde: sur les tapis en laine, tester au préalable sur une petite zone. Ne pas utiliser sur la soie. Ne pas mouiller.

Pour le jardin, les animaux et le bricolage :• Pour lutter contre les moisissures (oïdium des rosiers et des cucurbitacés, tâches noires des rosiers…)

– Dosage : 5 g (1 cuillère à café) + 3 cuillères à café d’huile d’olive ou d’huile horticole par litre d’eau.

– Mode d’emploi: pulvériser sur les feuilles sèches, si possible dès l’apparition des premiers symptômes

Le bicarbonate bloque le développement des allergènes dans les matelas, moquettes, tapis…



– Explication: l’efficacité fongicide du bicarbonate a été démontrée par de nombreux travaux scientifiques (au Japon, en Italie, aux USA et au Canada…). L’huile permet d’améliorer la dispersion et l’adhérence du bicarbonate sur les feuilles. Répéter l’opération environ une fois par semaine et ou après toute averse ou arrosage important.

– Mise en garde : ne pas dépasser 0,5 % en poids de bicarbonate (soit 5 g par litre d’eau)

Le bicarbonate est fongistatique permet de lutter contre l’oïdium et le mildiou. • Pour nettoyer les tâches d’huile et de graisse dans le

garage, sur les pavés, sur la terrasse

– Mode d’emploi: rincer le sol à l’eau bicarbonatée à raison de 30 g (2 cuillères à soupe) par litre d’eau chaude. Ajouter si nécessaire du bicarbonate en poudre et frotter avec une brosse ou un balai à poils durs. Rincer.

– Explication: l’eau chaude bicarbonatée dissout les huiles et les graisses et les grains de bicarbonate vont exercer une abrasion sur les tâches.

– Mise en garde : attention à la pelouse et aux plates-bandes : une concentration trop importante de bicarbonate est dangereuse pour les végétaux.

• Usage : shampoing sec pour chien (limite les odeurs et éloigne les parasites)

– Mode d’emploi: saupoudrer uniformément sur la fourrure en faisant pénétrer dans les poils. Laisser agir quelques minutes et brosser.

– Explication: le bicarbonate piège les odeurs accumulées dans le pelage du chien et repousse les insectes, et les puces en particulier, sans risquer d’irriter la peau du chien ou de l’intoxiquer.

– Mise en garde : en cas d’infestation massive de parasite ou d’odeur persistante de l’animal, consulter un vétérinaire.

Et si vous voulez tout savoir sur des dizaines d’autres utilisations du bicarbonate, rendez-vous sur le blog www.monbicarbonate.fr.Pour vous procurer du bicarbonate, rendez-vous sur le site : www.compagnie-bicarbonate.com.

Le bicarbonate rend aussi service à nos amis à quatre pattes !

LE PAPIER MACHE…


Priscilia et Robin : Où vont tous ces enfants armés ? Ces petits anges qui ne connaissent pas l'horreur de la guerre ? Ces petits garçons qui se rient de perdre leurs amis ? Ils vont se battre pour une cause qu'ils croient être noble Mais elle est ignobleOn ne leur laisse pas le choixCes enfants qui sont drogués, exploités, torturés, violésCes enfants si terrifiésIls ne sont plus que des esclaves de chefs sanguinairesQui ne pensent qu'à faire d'eux des militaires Ils tuent avec plaisir On dirait qu'ils ne savent pas qu'ils vont peut-être mourir La guerre est un bagne, un enferCes petits êtres si précieuxEntraînés pour tuerLa guerre est comme l'enfer Quand on y est on ne peut plus en sortirLa guerre est la mort en personne Elle nous dévore comme un ogre en colère Toute la vie ils se battent et toute la vie ils tuent La guerre doit ramener la paix mais elle apporte la peurCes petits enfants devraient être morts de peur Mais ils sont manipulés par les tueurs La guerre est cruelleLa guerre n'est pas faite pour ces enfants devenus militaires !

Thomas et Gabin :

Où vont tous ces petits orphelins ? Traumatisés, exploités, torturés, drogués et violés ? Ils ne devraient jouer qu'à des jeux enfantins Ils sont drogués pour tuerQui tuent comme la guerre Qui tuent sans conscienceLeur cœur est dur comme ferQui leur ont enlevé leur enfanceC'est Satan qui a recueilli des anges sos son aile Et qui en a fait des innocents sans vie et sanglants Sous les ordres de chefs ignobles et cruelsLes crânes qui souffrent sous les coups de pieds des enfants Les canons qui en ont marre de cracher du feu Qui sont si destructeurs à nos yeuxLe bonheur pour d'autres n'est qu'un mot d'une encyclopédie Car leur vie n'est que mépris Condamnés à tuer Condamnés à violer Pour eux la pendaison n'est qu'un amusement Mais ce n'est que le jouet du gouvernement A chaque attaque de villageIls assassinent des otagesIls brûlent tout sur leur passageMais ce n'est pas de leur âge Ils n'ont que dans les mains comme jouet une arme Qui ne cesse de faire couler des larmes !

LE PAPIER MACHE…


Les élèves du collège Jules Vallés de Saint-Leu-d’Esserent

D’autres poèmes seront diffusés sur le site internet

Juliette et Clara :

Que sont devenus ces enfants qu'on a retirés à leurs parents ? Ils sont éduqués pour tuerIls vivent dans la cruauté et la haineTerrifiés à l'idée d'être torturés On les exploite pour causer le chaos dans les villagesCes petits êtres innocents à qui ont fait croire qu'ils ne sont plus des enfants Ils jouent avec la mort et c'est le désordre On leur a appris à être des machines à tuer Ils sont traumatisés, horrifiés Ils ont peur mais ils ne peuvent pas se révolterCar ils sont drogués

Ce sont des solitaires au cœur sanguinaireCe sont les enfants soldatsIls errent de villages en villages Exécutent leurs parentsPendant des enfants de leur âgeLa guerre leur a volé leur enfanceElle les a rendus méchants, Alors que dans le fond ils sont innocents.

LOISIRS ET PASSIONS


En associant culture générale, exercices de grammaire, de conjugaison, de mathématiques, vous devrez répondre aux questions ci-dessous. Alors, seul ou en famille, faites travailler vos méninges…

LE FAMILISTERE DE GUISE : UNE UTOPIE REALISEE

Créé par Jean Baptiste André GODIN, fondateur des usines GODIN (chauffage et cuisson) le familistère de Guise est un palais social regroupant logements, piscine, théâtre, école, magasins, association coopérative, mutuelle, etc. pour le confort moral et matériel des ouvriers des usines GODIN.

- Mais dans quel département se trouve-t-il ? le double de dix écrit à l'envers

- En quelle année démarre la construction ? 2 x 930 - 1

- Quel est l’âge minimum des ouvriers travaillant dans les usines GODIN ? le quart de 56

- En 1878, combien d’ouvriers habitent le palais social ? le triple de 400

- Après la fête de l’enfance qui se déroule depuis septembre 1863, GODIN invente la fête du travail, pour redonner reconnaissance au travail de ses ouvriers. En quelle année a eu lieu cette première fête du travail ? 18 centaines, 6 dizaines et 7 unités

FORT BOYARD

Fortification située entre l’île d’Aix et l’île d’Oléron, il est construit sur un banc de sable nommé « longe de Boyard ». Mais connaissez-vous le nom donné localement à ce fort ? Cette charade va vous aider : - Mon premier est costaud - Mon deuxième est un article partitif - Mon troisième est la douzième lettre de l’alphabet - Mon quatrième ne sert à rien

Quelle est la date de début de construction ? 4 x (4 x 100 + 2 x 25 + 1)

Complétez ces phrases :

Le fort mesure 2 x 50 - 8 x 4 mètres de long sur 4 dizaines moins 9 unités mètres de large. Depuis le double de 1 000 moins la moitié de 20 il est le lieu de tournage d’un jeu télévisé du même nom.

Documents

Le P’tit Cocorico Prix : 2,00€ - la ferme de sorellafermedesorel.org/fermeJ15/images/stories/zateliers/...Cocorico" sont toujours aussi valables crises ou non ! Car la population