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LA VILLARELLE

n° 57

Novembre 2018

Allons-nous vers la disparition des Communes et des Maires ?

Depuis 2014 plus de 1000 Maires ont démis-sionné. Plus de 50 % déclarent qu’ils ne se représenteront pas. Il y a donc de quoi se poser des questions sur cette hémorragie qui semble s’accélérer. 1° Les difficultés financières Dans beaucoup de communes, les baisses des subventions et de dotations de l’Etat, des Régions et des Départements, depuis des années, découra-gent les élus qui souvent se retrouvent face à des populations mécontentes. 2° La perte des compétences. Petit à petit, la France supprime les acquis de la Révolution Française de 1789. Les Maires sont dépossédés de pouvoirs, comme le tourisme, l’économie, la gestion de l’eau, de l’assainissement… Ces compétences vont vers les intercommunalités, les communautés d’agglomérations, les métro-poles. 3° Des responsabilités supplémentaires Inversement l’on demande aux maires d’assumer des tâches nouvelles comme les : Gestion des risques d’incendies, qui jusque-

là dépendaient du Département. Gestion des risques majeurs (inondations,

coulées de boues…). les petites communes doivent produire des documents très compli-qués et souvent incompréhensibles pour les populations, sans pouvoir ensuite appliquer les préconisations.

Gestion des accès pour handicapés ? Tous les élus sont pour ces mesures.

Cependant certaines préconisations sont impos-sibles à réaliser, d’autres sont tellement fines et complexes que les élus s’y perdent. De plus, certaines personnes dans les corps de métiers concernés, s’en prennent aux élus locaux qui ne sont en rien responsables de ces situations.

Le temps des métropoles et des grands ensembles ? Tout devient plus grand et donc plus lointain. Les Régions ont été agrandies, Les cantons sont devenus immenses (ex : Villars est rattaché à Vence). Maintenant il nous est annoncé que l’on va di-minuer le nombre de dé-putés. Cela veut dire des cir-conscriptions encore plus grandes, où il sera quasi impossible pour les élus d’être à la fois à Paris et dans leur territoire d’élection.

Les vases communicants L’Etat veut supprimer des centaines de milliers de fonctionnaires. Mais pour combler ces vides, les Métropoles, les Agglomérations, les Intercommu-nalités se doivent de recruter. Ainsi d’un côté, moins de pouvoirs aux élus, moins d’élus, et de l’autre : plus de professionnels non élus, plus chers que les élus bénévoles, sou-vent contractuels, et des citoyens éloignés de leurs représentants. Vous rêviez d’une démocratie avec des élus proches des populations ?

Le petit mot du Maire

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1 – Transfert de la compétence eau / assainissement à l’intercommunalité La commune souhaite le report définitif de cette mesure de transfert de compétence et l’abrogation de la loi Notre. 2 – Emploi civique M. William Perrotte a fait acte de candidature pour un emploi civique. Un dossier sera déposé aux services de l’Etat concernés.

3 – Subventions

100 € accordés à l’association sportive du collège Auguste Blan-

qui et 60 € à l’Amicale des pêcheurs du Cians. 4 – Adhésion à l’écomusée la Roudoule

Adhésion annuelle 150€. 5 – Aménagements au Domaine de la Source Suite à la sous-commission départementale de sécurité, il con-vient d’effectuer des travaux notamment par la création de toi-lettes et de salle d’eau, en particulier pour les handicapés.

Montant des travaux : 23 361.00 € TTC

6 – Dotation cantonale d’aménagements - Voirie sur l’avenue Bischoffsheim, la place Robini et une par-

tie du boulevard Paul Fabry. Montant 59 936.20 € TTC + ca-

binet d’étude 5000 € (65 236.20 €). - Domaine de la Source : travaux de mises aux normes les plus

urgentes : maçonnerie 51 066.50 € TTC, mise aux normes

électriques : 34 875 €. Etude : 12000 € (97 942.10 €).

Plan de financement : 65 236.20 + 97 942.10 = 163 178.30 €.

Subvention du Département 81 275 € 7 – Complément voirie sécurisation. Amendes de police 2018 (régulation des eaux pluviales) Caniveaux, bouches à clefs, bordure béton …

Plan de financement : Montant 27 556.00 € HT. Sub. amendes

de police : 8 267€, part communale HT : 19 289.00 € 8 – Approbation du rapport commission locale d’évaluation des charges transférées (CLECT) et approbation du mon-tant Réversion à la commune du montant des produits de Fiscalité Professionnelle calculé par la Commission Locale d’Evaluation

des Charges Transférées (CLECT), soit 18 359.00 €.

Prochain conseil municipal : Le vendredi 14 décembre 2018

CONSEIL MUNICIPAL du 21 sept. 2018

Nous avons le plaisir de vous faire part de l’arrivée de Gaïa, le 11 juillet 2018, dans le foyer de Marie Saint Arnoult et Adrien Abelli.

Ils se sont unis. Toutes nos félicitations à : Agnès Aubanel et Olivier Sassi, unis le

25 août 2018. Ketty Barraco et Philippe Asli, unis le

1er septembre 2018. Isabelle Aubert et Philippe Simonutti,

unis le 25 août 2018. Nos amis se sont mariés à Thiery et ont ensuite invité toute la population villaroise à un apéritif dînatoire de qua-lité sur la place Robini. Une vraie réus-site de convivialité. Nous les en remer-cions.

La municipalité adresse ses sincères con-doléances à la famille de : Madame Nathalie Piller, décédée le 15

août 2018. Monsieur Louis Teisseire, décédé le 9

octobre 2018. Monsieur Emile Fostinelli, décédé le

14 octobre 2018. Monsieur Amor Mosbahi, décédé le 7

novembre 2018. Madame Yvette Busso, décédée le 19

novembre 2018

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Mercredi 1er août nous avons consommé l’ensemble des ressources naturelles que la

Terre peut renouveler en un

an : c’est le jour du dépassement

de notre empreinte écologique.

A partir de cette date et jusqu’à la

fin de l’année, l’humanité va donc

vivre à crédit de la nature et

l’échéance arrive de plus en plus tôt

chaque année. Inversons la ten-

dance, sinon nous risquons de lais-

ser une Terre en friche et devenue

invivable aux générations futures !

L'empreinte écologique aide à analyser l'état des pressions sur l'environnement sous un

angle particulier, en partant de l'hypothèse que la capacité de régénération de la Terre pourrait

être le facteur limitant pour l'économie humaine si elle continue à surexploiter ce que

la biosphère est capable de renouveler. Une métaphore souvent utilisée pour l'exprimer est le

nombre de planètes nécessaires à une population donnée si son mode de vie et de consomma-

tion était appliqué à l'ensemble de la population mondiale.

Lors des Villarelles n° 51 et 52, notre conseillère municipale J. Marchal,

responsable aux finances, nous donnait une solution pour combattre la

pyrale du buis. Depuis, cette pyrale a produit des dégâts considérables.

Nous n’avons pas pour habitude de faire la publicité pour un produit.

Mais celui que nous vous

présentons a été utilisé

par Joëlle et Alain dans

leur propriété au Suyet.

Le buis a été sauvé. Et le produit est bio.

Malheureusement, encore un effet désas-

treux du réchauffement climatique.

1er août : la planète perd sa capacité à se reproduire

La pyrale du buis, nous pouvons la combattre !

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Sachez que l'Allanthe est une espèce invasive, qui se propage par rejets ou par d’énormes dispersions des graines. Il est déconseillé d'en planter ou de les laisser pous-ser. En effet, cette espèce envahissante induit des perturbations importantes sur la biodiversité. A terme l’allante empêche la pousse d’essence beau-coup plus locale. Il est très difficile de s’en débar-rasser. Les pieds mâles dégagent en juin/juillet une odeur très prononcée peu agréable qui persiste dès qu’on touche la plante. Les feuilles de l'Allanthe sont toxiques et provoquent une inflammation du tube digestif. La sève est irritante pour la peau.

L’Allanthe, un arbre à ne pas laisser proliférer

Une récente étude française, menée par l’INRA, vient confirmer ce que beaucoup de scientifiques annoncent depuis des années : En mangeant bio les consommateurs sont beaucoup plus épargnés par le cancer. Cette étude a duré 7 ans et a porté sur 70 700 personnes. Il s’est agi de comparer l’alimentation non bio à l’alimentation bio. Résultats :

Les personnes qui mangent beaucoup ou un peu bio voient réduire la probabilité de cancer de 25 % et pour le cancer du sein, de moins 35%, après la ménopause. La raison se trouve sans aucun doute dans le fait que l’agriculture biologique refuse les pesticides, même si les produits bio en contiennent un peu à cause de la contamination par épandages sur les produits non bio. Bien sûr, si en plus les personnes qui mangent bio,

ne fument pas, ne boivent pas d’alcool, elles diminuent considérablement leur risque de cancer. Le prix du bio ? Souvent des personnes s’interdisent le bio pour des raisons de prix. C’est vrai que le bio est plus cher, mais il baisse au fur et à mesure que ses produits se vendent plus. Par ailleurs, il est possible d’économiser sur d’autres produits comme le tabac ou l’alcool. Le coût des soins est donc réduit si l’on fait attention à son hygiène de vie. C’est un choix.

Manger Bio réduit fortement les risques de cancer

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La municipalité de Lieuche et l’intercommunalité

ont organisé une journée consacrée à la Terre, au

climat qui se dérègle, aux pires catastrophes…

Message d’espoir. Un grand message d’espoir a été dé-

livré grâce au film « Demain », qui montre combien,

chaque région, chaque ville, chaque village, chacun

d’entre nous, pouvons participer à sauver la planète.

La grande salle de l’auberge a accueilli les livres,

les revues et les discussions.

Un repas bio végétarien a été très apprécié par les

convives et l’après-midi a été consacré aux jeux

éducatifs des enfants.

Edgar Malausséna Maire de Villars et Corine Braquet-Béjot pour le syndicat d’Initiatives

ont participé à cette journée qui aurait mérité la présence de plus d’élus.

Lieuche : Oui ! C’est possible !

Lors du Conseil d’école, un problème de sécurité a été soulevé. De plus en plus de voitures stationnent devant l’école au niveau du local à pou-belles et prennent cette zone pour un dépose minute. Or, lorsqu’un véhicule rentre en marche avant dans l’enclave de l’école, il doit ressortir en manœuvrant en marche arrière alors que de nombreux enfants et familles arrivent à pied.

Pour la sécurité des enfants, nous vous demandons de ne pas franchir le caniveau qui sert de séparation entre la chaussée et l’espace devant l’école. Un marquage au sol sera effectué si cela est nécessaire. Vous pouvez déposez vos enfants devant cette zone sans descendre de votre véhicule et repartir sans faire de manœuvre. Si vous souhaitez rencontrer les enseignantes, il faudra alors vous garer sur le parking. Nous vous remercions de respecter ces mesures de sécurité. La directrice

Sécurité aux abords de l’école !

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Il est quelquefois difficile de ne pas répondre aux critiques. Mais bon, il suffit d’attendre pour

que ces critiques s’éteignent

d’elles mêmes, faute de réalité.

En effet, lorsque la municipalité

a passé commande à Mme Pail-

lasse, villaroise propriétaire du

magasin Fleur Bleue à Carros,

elle était sûre de faire le bon

choix.

Mais voilà, parait-il, ces fleurs

étaient trop touffues, trop nom-

breuses, elles ne tiendraient pas

une semaine. Bref, la municipa-

lité n’aurait donc pas fait le bon choix…

Cinq mois plus tard force est de constater que les fleurs ont prospéré, se sont dévelop-

pées et ont résisté, aux pluies, aux chaleurs, à la pollution et aux…critiques.

Des belles fleurs bien résistantes …

y compris à la critique…

Arrosage des fleurs, par Julien,

sur la place Robini

Il n’existait aucune rampe, aucun garde-corps, dans

notre commune et très peu de barrières de sécurité.

Petit à petit les endroits les plus différents en ont été

pourvus, dans le village, route de Massoins à hauteur de

la rue du « Paradis », place Robini où les vieilles barrières

ont été totalement remplacées, face à l’entrée du parking

de la Vigne, au parking de La Vigne, au calenchon de la

Combe.

Dernière réalisation.

Une nouvelle rampe a été installée Bd Paul Fabry, là

où des travaux de doublement des marches ont été

réalisés récemment par l’Entreprise Yan.…

Sécuriser partout où cela est possible

Nouvelle rampe

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Etre à l’écoute des usagers est nécessaire

pour rendre la vie de tous les jours plus

agréable.

Quelquefois il en faut peu pour y parvenir.

Suite à deux ou trois demandes, la municipalité a décidé de faciliter l’entrée de l’Agence Postale

Communale, en rajoutant une marche.

C’était la seule solution, en effet, créer une

pente handicapée de côté, était impossible,

car il aurait fallut détruire le patrimoine que

représentent les « banquières ». Traverser le

trottoir pour atterrir au milieu de la chaussée

était tout aussi inenvisageable.

Julien et Soufiane sont intervenus rapide-

ment et les remerciements n’ont pas manqué.

Ces petits travaux et aménagements

qui rendent la vie plus facile et agréable

On ne se doute pas des difficultés que rencontrent les handicapés dans leur vie quoti-

dienne.

Par exemple qui aurait pensé qu’une personne en fauteuil

roulant ne pouvait pas accéder à une table sur laquelle

sont fixés deux bancs.

Solution trouvée avec du matériel recyclable.

La municipalité de Villars a commandé une table prolon-

gée des deux côtés pour qu’un fauteuil puisse s’y glisser.

Simple mais efficace !

Une nouvelle table accessible aux handicapés

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La honte !

Comment peut-on agir ainsi et donner une telle

image du village alors que tous les jeudis un ca-

mion est à disposition sur la place Robini ?

Comment jeter, sans vergogne, des centaines et

des centaines de mégots dans les rues à peine

nettoyées ?

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Rappel :

A l’initiative de l’intercommunalité, sacs de tri

sélectif disponibles gratuitement en mairie.

Chapitre II : Dispositions générales ap-

plicables dans l’ensemble du départe-

ment.

Article 4 : « …. L’incinération de tous dé-

chets verts produits par les particuliers, les

professionnels et les collectivités est interdite,

sauf dans les cas dérogatoires prévus aux

articles 5, 6 et 7 et moyennant les prescrip-

tions et restrictions édictées à l’article 8 ci-

dessous ».

Article 5 : « L’incinération de déchets verts

peut être autorisée par le préfet, de 10h à

15h30 et hors période et zone d’application

d’interdiction de l’emploi du feu, après avis

du Conseil Départemental ... ».

Article 6 : Concerne les déchets issus de la gestion

forestière ou du débroussaillage obligatoire.

Article 7 : « Compte tenu de son intérêt

technique (gros volume de végétaux générés

par les taille des arbres), agronomique ou sa-

nitaire, l’incinération des résidus de taille des

oliviers, mimosas et autres arbres fruitiers est

autorisée de 10h à 15h30 uniquement hors

période rouge ».

Article 8 : « Dans tous les cas, l’incinération

des végétaux coupés doit respecter les condi-

tions suivantes :

- Les végétaux incinérés doivent impérative-

ment être secs et ne pas être mélangés avec

des résidus de tonte ou d’entretien de jardin,

qui constituent des déchets verts dont l’inci-

nération est interdite.

- L’incinération est interdite en cas de vent

établi supérieur à 20 km/h.

- ... »

Rappel de l’arrêté préfectoral 2014-453 réglementant l’emploi du feu dans les Alpes-Maritimes Extrait

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Nous avons l’habitude de reconnaître notre village, grâce à des photos sou-vent les mêmes. Qui peut nous dire d’où sont prises ces deux photos du village ?

Insolites photos villaroises

Mystérieux village inconnu ? Et bien non ! Tout simplement Villars-sur-Var noyé dans une immense brume matinale

Ici l’on peut rêver, voir le soleil se lever, regarder les montagnes chan-ger de couleurs dans la journée, se tourner vers les plus anciennes bâ-tisses, voir et entendre arriver l’eau du canal du moulin…

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La place Robini, libérée des véhicules est un vrai lieu de vie et d’animation. Ainsi de manière régulière : Tous les soirs à compter de 16h30 ce sont des di-zaines de familles qui permettent à leurs enfants de s’y ébattre. En matinée et en soirée, les retraités discutent de la vie de tous les jours, assis sur les banquières devant la Mairie ou sur les bancs sous les platanes,

Entre 12h et 15h les convives du

restaurant se régalent et se répandent dans le village. Souvent, une partie de la jeunesse, des parents avec en-fants s’installent sur les tables mises à disposition par la

commune, pour dis-cuter, boire, et pique niquer tranquille-ment. Et puis, tous ces marchands de toutes sortes qui ven-dent aux chalands intéressés et donnent dans la semaine et surtout les samedis, un air de fête permanent. Et puis, les associations comme Vill’Arts ou l’Amicale des sapeurs pompiers volontaires qui organisent des fêtes où des foules importantes se rassemblent pour dé-guster ou danser…

Oui, il faut libérer ou créer des espaces d’anima-tion et de vie afin que les personnes de tous âges puissent se rencontrer en toute sécurité. Oui la place Robini est devenue un lieu de vie collectif que bien des villages nous envient.

Place Robini : un lieu de vie collectif

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Exposition sur le centenaire de l’armistice : Merci Joëlle Une exposition comme on en voit peu. C’est notre Conseillère Municipale Joëlle Marchal qui a mis tout son cœur, à la préparer et à la présenter. Ce fut une réussite. Parallèlement, Joëlle aidée par Guy Bianchi et son époux Alain

ont fait peau neuve au sol, sur les ornements de l’autel, au tonneau… On peut demander à visiter car on y découvre des documents et des matériels de qualité et de mémoire.

Une pièce de théâtre bouleversante sur la guerre de 14/18 Sur un livre écrit par M. Coletta, trois artistes nous ont fait cha-virer dans le drame d’un jeune homme ne connaissant que son village et ne parlant que Gavot. Embarqué dans un conflit qui n’est pas le sien, il finit par mourir laissant Marie, sa belle promise, touchée au cœur jusqu’à la fin de ses jours. La salle du Poilu était pleine et merci à Vill’Arts, à Francette et Maurice qui

nous ont offert ce spectacle.

Une émouvante cérémonie, et merci aux jeunes ! Après la pièce de théâtre à la salle du Poilu, la foule s’est rendue au monument aux morts, où des jeunes ont porté la gerbe dédiée à nos morts. Puis, le Maire, visi-blement ému a te-nu à exprimer le ressenti de tous les présents, et a ter-miné son allocu-tion par la célèbre phrase des Poilus

« Plus jamais la guerre ». Après la Marseil-laise, chantée y compris par les jeunes, toutes et tous se sont rendus à la « Taverne Villaroise », pour le traditionnel apéritif d’honneur.

11 novembre

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Eclairage public : Forte mobilisation Cette dernière période a été caractérisée par une mobilisation forte concernant l’éclairage public :

La municipalité a installé l’éclairage en « leds » sur la quasi-totalité du territoire qui permet de très grandes économies, bonnes pour la planète et pour le budget.

La municipalité a rajouté un poteau d’éclairage public au calen-chon de la Combe.

La municipalité, en urgence, a remplacé le poteau d’éclairage pu-blic endommagé au Bd Paul Fabry.

De nouvelles installations :

Jeu de boules. Un détecteur d’éclairage automatique pour

1 028.04€ TTC.

Stade. Un détecteur d’éclairage automatique pour 1 002.79€ TTC.

Place Robini. Coffret de prise de raccordement pour les fêtes :

835.20€ TTC. Ainsi, jour après jour, notre éclairage se modernise tout en per-mettant de grandes économies de consommations énergé-tiques et budgétaires.

Une année électrique … !

Une station d’épuration ça fonctionne

24 h sur 24h, tous les jours, tous les

mois, sans arrêt…

Une station d’épuration est une machi-

nerie très complexe qu’il faut entretenir

un à deux jours par semaine.

Les travaux d’amélioration, comme

l’entretien sont réalisés par les ad-

joints techniques communaux.

Ce travail à l’écart du village passe tota-

lement inaperçu.

Mais si jamais la station devait tomber

en panne, ce serait une pollution certaine dans le Var, des odeurs épouvantables et d’énormes

complications pour la gestion de l’assainissement.

Merci à nos personnels et à ceux du Conseil Départemental qui s’investissent dans

cette tâche avec grande conscience.

Quartier Champ de Baude : la station d’épuration

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Il arrive que des touristes se baladent dans Villars et montent avec ardeur vers le haut village. Et quand ils viennent nous voir en Mairie, c’est pour décrire un endroit enchanteur auquel ils ne s’attendaient pas, surtout quand ils ont visité le moulin à huile.

Que de changements en environ 15 années

Lavoir. La structure et la toiture vieillissantes ont été entièrement refaites et l’on y peut voir encore une fresque d’Edmond Baudoin.

Haut du moulin. Avait brûlé, a été reconstruit et maintenant abrite un appartement.

Rue du moulin. Elle était en partie cimentée. Elle est maintenant pavée en «autobloquant » et sur-tout a été rendue imperméable.

Elle se prolonge vers la rue du Barri où les joints des pavés sont refaits progressivement.

Placette du moulin. A été sécurisée par de belles barrières et le sol est lui aussi pavé en autobloquant

Descente vers le moulin. A partir du lavoir, la descente est maintenant carrossable et aboutit sous une arche en belles pierres, où l’eau s’écoule en permanence à côté d’un banc pour méditer et jouir de la vue sur les collines du Ciampon et plus loin sur le Cival.

Montée vers le moulin. A partir de la route de Massoins il est désormais possible de cana-liser les eaux de pluies, et les talus sont con-fortés par des murs en gabion.

Après l’arche en pierres, vestige de l’an-cienne scierie, on se dirige vers le moulin sur une petite place entre les bassins de décanta-tion du moulin et des barrières vertes qui nous protègent du talus très pentu.

Et puis, on entre dans ce féérique moulin, où le souvenir de notre dernier moulinier Pierrot Carletti, est toujours présent.

Haut village, le patrimoine dans un petit écrin

Mais, pour finir la visite, n’oublions pas ce magnifique petit jardin remis en vie chaque année par des dames bénévoles du quartier, mais qui subit le vagabon-dage des chiens venus d’autres quar-tiers, y compris en présence de leurs maîtres.

Cela crée beaucoup d’amertume chez ces bé-névoles et on les comprend.

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Dernière Villarelle : nous avions informé nos concitoyens. L’eau et l’assainissement ne seraient plus gérés par les communes, mais par les intercommunalités.

On nous laisse libre de mourir par manque de subvention. D’un côté il nous est annoncé que les communes pourront continuer à gérer l’eau et

l’assainissement jusqu’en 2026. De l’autre, suppression de toutes les subventions de l’Agence de l’Eau, aux communes qui

auraient conservé la gestion en 2020. Ainsi on nous laisse libre de mourir par manque de subventions.

Nous ne nous résignons pas ! Les communes, surtout rurales, sont vent debout contre cette réforme qui se réfugie derrière la suppression des subventions. Des courriers sont envoyés au gouvernement, aux Ministères, aux Sénateurs, aux Députés de l’Assemblée Nationale…. Le Sénat nous est favorable. Bien sûr tous les députés ne sont pas d’accord avec cette mesure, mais ils sont minoritaires et c’est aux citoyens de nos communes de faire connaître leurs désac-cords.

Municipalité de Villars : poursuite du travail de ges-tion de l’eau au plus près des besoins De la Gare à l’Ablé Après l’arrivée de l’eau potable au Suyet et à Val de Thiery, la commune a lancé le projet de l’alimentation en eau de la Gare à l’Ablé. Il est attendu la dernière subvention, celle de l’Etat, pour lancer les appels d’offres publics. Quartier Narboin La municipalité lance maintenant une étude sur le quartier Narboin et vo-tera ensuite les demandes de subventions, afin de démontrer que le travail

de proximité est le plus efficace.

L’entretien de nos sources avec Isatis Cette année, un énorme travail a été réalisé grâce à notre collaboration avec l’Association Isatis. Les photos prises par Michel Ferreri montrent combien il est nécessaire d’entretenir nos territoires au plus près.

Des travaux de maçonnerie sont maintenant néces-saires pour que vive la source de Sarzit.

La bataille de l’eau continue !

Source de Sarzit envahie par la végétation

L’équipe d’Isatis pose pour la photo après un beau débroussaillage réussi

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Un vaste programme de rénovation du haut de la ligne des chemins de fer de Provence (entre la gare de la Tinée et celle de Digne) a démarré le 16 avril 2018.

Ces travaux, qui concernent les quais et les voies de 14 gares seront réalisés en trois phases :

La première phase qui portait sur la rénovation des gares entre la Tinée et Annot, s’est achevée le 13 juil-let.

La deuxième phase concerne les gares entre Le Fu-geret et Digne. Les travaux ont repris le 10 septembre 2018 et s’arrêteront mi-décembre. La pose des candé-labres sur l’ensemble des quais est prévue durant cette période.

La troisième phase permettra de rénover des sec-tions courantes (c’est-à-dire la voie ferrée) entre les gares de la Vésubie et de Puget-Théniers à partir de janvier 2019 et jusqu’en mai.

D’un coût de 21 millions d’euros, ces opérations seront complétées par le rehaussement de 5 quais sur les gares de Malaussène, Saint-Benoît, Méailles, Allons, Lunières.

A partir de 2019, la rénovation des gares principales : Puget-Théniers, Entrevaux, Annot, Tho-rame et Saint-André des Alpes achèvera le programme. L’ensemble de ce projet s’inscrit dans le cadre du Contrat de Plan Etat/Région d’un montant de 33 millions d’Euros qui s’achèvera en 2021. Sur le haut de la ligne : modernisation des voies, mise en accessibilité et amé-nagement des gares, confortement des ouvrages d’art, réfection des protections hydrauliques et traitement des passages à niveau amélioreront les conditions de circulation et l’offre de service.

Afin de réaliser ces travaux dans des

conditions optimales, la ligne a été cou-

pée entre les gares d’Annot et de Digne.

Réouverture : le 15 décembre. »

Modernisation des Chemins de Fer de Provence

Gare de Villars

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Comme il arrive avec le temps, les monuments se dégradent ou prennent l’eau de pluie.

C’est ce qui est arrivé à une fresque de la Chapelle des pénitents blancs. Michel Sidrach a exercé tous ses talents pour la rénover totalement. L’autel : un cadeau inattendu. L’autel au fil du temps s’était fortement dégradé. Cela faisait peine à voir. Michel a profité d’être sur place pour la rénovation des fresques au plafond. Il a gratuitement rénové l’autel qui a retrouvé son lustre d’antan. Qu’il en soit remercié.

Cette petite chapelle était devenue progressivement une verrue dans le cimetière.

Une villaroise s’était rendue en Mairie pour demander s’il était possible de faire quelque chose. La municipalité l’a entendu et a pris en compte la demande. Ainsi, en même temps que les travaux de l’Eglise la chapelle a été rénovée du toit jusqu’au sol.

Réhabilitation Chapelle des Pénitents

Blancs

… Et de la chapelle du cimetière

Façade de la chapelle en train de sécher Reprise de la faitière, de toutes les gouttières. But : tenter que l’eau de pluie ne pénètre plus

dans la façade et dans la sacristie

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Le patrimoine locatif de la commune augmente ré-

gulièrement, tant pour les appartements, des locaux

que pour les terrains à vocation agricole.

Cette politique engendre des ressources,

mais aussi des dépenses d’entretien et de ré-

novation.

En ont profité, ces dernières années, un certain nombre d’appartements et de locaux

communaux et maintenant c’est au tour de la Maison Rose au quartier La Vigne.

Travaux de rénovation à la « Maison Rose »

Recettes et dépenses.

Guy Bianchi a rénové entièrement la cuisine. Le salon et la cuisine ont été totalement

repeints par l’Agent communal.

Le nombre de véhicules augmente considérablement. Dans certains quartiers il a qua-

druplé en quelques années. Par exemple au quartier Le Savel on est passé d’environ 10

véhicules en stationnement à près de 40 en 15 ans. La circulation est donc de plus en

plus intense et il devient nécessaire d’éviter des acci-

dents.

La municipalité avait souhaité une intervention départemen-

tale au quartier bas Lunel. Cela s’est avéré impossible dans la

mesure où en agglomération c’est la commune qui doit pren-

dre ses responsabilités.

C’est pourquoi, les adjoints techniques municipaux ont

installé des poteaux clignotants solaires qui avertissent les

conducteurs des sorties de véhicules sur cette zone très fré-

quentée. Espérons que cette initiative permettra à certains

automobilistes trop rapides, de ralentir

Lunel : réduire sa vitesse pour protéger des vies

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Le trottoir du boulevard P. Fabry avait entièrement été refait l’année passée. Ainsi un couvert en résine rose avait remplacé la couverture à moitié goudronnée et cimentée de ce lieu. L’installation de nouveaux bancs beaucoup plus solides avait encore amélioré le site.

La dernière partie du projet a été réalisée. Il s’est agi d’installer des bordures au pied de chaque arbre, afin de donner

un air de finition complète à ce côté du boulevard. L’entreprise Pratico qui avait réalisé le trottoir a été l’actrice de cette finition.

Boulevard Paul Fabry, fin d’un chantier

Edgar Malausséna Maire de notre

commune a tenu a remercier M. le

Président du Département et ses

services pour le magnifique travail

de reconstruction d’une bien belle

passerelle à l’Espignole.

Toute en bois, elle rajoute de la na-

ture à la nature du lieu.

Les amoureux de la nature vont

apprécier.

Reconstruction d’une bien belle passerelle

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Des villarois, nous ont posé des questions con-cernant la rénovation de l’Eglise paroissiale, qui principalement ont porté sur la nature des travaux et leur lenteur ? Nous leur devons donc des explications. Pour procéder à cette rénovation, la municipalité a eu affaire : ° A des textes législatifs précis du Ministère des af-faires culturelles. ° A la Direction Régionale à l’Action Culturelle avec à sa tête un Conservateur en Chef. ° Aux Bâtiments de France. Les architectes sont « Conservateurs du Patrimoine », ° Aux financeurs (Etat, Région, Département) qui n’attribuent les subventions qu’en fonction des avis

techniques du Conservateur en chef du Patrimoine et des architectes des Bâtiments de France ° A un architecte privé, délégué par la communauté de commune pas toujours enclin à nous écouter. ° A la gestion administrative normale de l’intercommunalité.

La commune émet « seulement » des avis Le propriétaire d’un bâtiment classé, ici la commune de Villars-sur-Var, est donc au bout de la chaîne, et doit accepter la quasi totalité des décisions techniques décidées par la DRAC, les Bâti-ments de France et les indications de l’architecte chargé du dossier.

Un parcours bien compliqué ? Le Maire et les adjoints qui se sont occupés de cette rénovation, ont participé à des dizaines de réunions, de discussions, à Puget-Théniers, en Mairie de Villars, allers et retours devant l’Eglise…. Les discussions n’ont pas été faciles… ° Nous nous devions de respecter nos concitoyens qui travaillent. Il a fallu refuser que la route de Massoins soit fermée durant 7 mois.et annuler les premiers appels d’offres car ils ne pre-naient pas assez en compte ces contraintes de circulation. ° Nous avons demandé pourquoi de juillet à septembre 2018 aucune préparation sur la nature des travaux et la stra-tification n’avait eu lieu. ° Il a fallu constater qu’après chaque réunion il fallait redis-cuter ce que nous pensions décidé. ° Il a fallu s’opposer à la disparition de pierres d’angles, sous l’enduit. ° Il a fallu entendre qu’aucun badigeon même faiblement coloré ne serait accepté.

Suite à ces contraintes l’entreprise a perdu un temps précieux, nous amenant à l’hiver. Il a fallu démonter les échafaudages sans avoir la certitude que l’entreprise aurait à peindre les façades et sans connaître véritablement le devenir de la façade place Robi-ni… Nous ne connaissons pas la date de reprise des travaux.

Eglise de Villars-sur-Var : « Bâtiment classé »

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Cet été, pas de vacances pour FAI ANA !

L’activité solidaire ne prendra pas de repos …

En cette période chaude de l’année où chacun mérite de prendre enfin un repos bien mérité, les activités de

Faï Anà redoublent au contraire d’intensité.

Ainsi au mois de Juin, c’était le lancement d’un pro-

jet de hangar scolaire à Bobo Dioulasso pour per-

mettre à plusieurs enfants accompagnés par l’asso-

ciation APIDE.Bobo d’accéder au soutien scolaire

et à l’enseignement. La construction est en cours

d’achèvement et le partenariat avec cette association

est lancé.

Puis ce fut l’achat de 5 matelas pour les malades du dispensaire et de la maternité de Samandéni et le verse-

ment de l’argent nécessaire à l’alimentation de l’orphelinat sur le compte bancaire de BASSITARA BURKI-

NA.

Le centre d’alphabétisation de Pompouré ac-

cueillait enfin ses nouvelles « tables-bancs » pour

permettre aux femmes du quartier de suivre les

cours de français et de mathématiques.

Le réseau de distribution d’eau de l’orphelinat, en panne depuis 2 jours, devait

rapidement se rétablir pour la santé et les besoins de ses bénéficiaires. Fai Anà participait à sa réparation en

réglant la facture du flotteur défectueux à l’électricien-plombier local.

En juillet, on procèdera à des cérémonies d’inauguration à Samandéni et à la réception de 2 tables à savons

fabriquées pour les femmes des quartiers.

La réfection des peintures des portes et fenêtres du dispensaire et de la maternité était prévue également.

Enfin en Aôut, On a assisté à une soirée contes et histoires de Villars, offerte à Faï Anà par Mireille

DROGOUL.

Merci pour votre soutien. P. BARRALIS

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Rencontres conviviales en montagne La route qui part de Pierlas, permet d’atteindre le col de la Sine, d’arriver à Ilonse et de redescendre dans la Tinée. Chaque année, fin juillet des habi-tants de Pierlas, de Lieuche, de Malaussène, d’Ilonse, de Villars, se rencontrent au « col de la Sine ». Une messe champêtre est organisée pour les croyants sur le plateau du col, pendant que d’autres personnes, des familles, des groupes d’amis s’installent dans les endroits ombragés ou

sous des « barnums » avec des chaises, ce qui fut le cas pour les membres du Lions Club de la Vallée du Var. Et là, chacun déballe, comme pour le 24 juin à Vil-lars, ses victuailles, ses boissons et partage avec ses voisins, alors que des musiciens à l’accordéon lancent des airs locaux que des chanteurs reprennent en cœur, y compris en langue niçoise ou gavot.

De nombreuses personnes s’at-troupent autour des joueurs de « moura » souvent jeunes et dynamiques, dont les voix portent loin dans ces collines et monts. Et la journée s’achève dans le sentiment que la montagne adoucit les mœurs et soude les gens.

Luc BOTTA : Guitares à Villars !

Comme chaque année, Luc Botta guitariste talentueux, mo-deste et fidèle a choisi Villars sur Var pour accueillir ses col-lèges et stagiaires en guitare classique et jazz pendant 5 jours (trop courts). Si Luc déclare "attendre ce stage toute l'année", la réciproque est vraie : nous aussi attendons Luc avec l'ambition de la réus-site d'un évènement local

sans prétention mais dont la qualité s'affirme. Les échanges sont toujours amicaux et sincères, le concert de fin de stage varié a évoqué des musiques de tous styles (même sud-américains). Merci au Père Christophe Armatys qui a autorisé ce concert et n'a pu être présent, à Luc Botta, à Danièle Dao-Lena qui organise cet événement, et à l'an pro-chain.

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Vill’Arts : près de 90 personnes à l’A.G.

Une salle comble, une ambiance

bon enfant, des bénévoles mobili-

sés, une Francette ayant l’œil sur

tout…

Tout a commencé par un super loto où

les participants eurent droit à une partie

supplémentaire et à de nombreux lots de

consolation.

A la technique Fred Belleudy, sur l’Estrade Karine Champoussin et Véronique Luche, dans la

salle Francette, Martine, Chantal…à la cuisine, les mêmes plus Annie, Christiane, Marie-

Eve, Monique, Françoise au service et à l’aménagement Guy, Christian, Pierre, Maurice et

des aides spontanées...sans compter les investissements d’autres bénévoles.

Une équipe solide. La Présidente Francette Decarlis et la Trésorière Karine Champoussin ont

fait le tour de toutes les activités de l’année écoulée (plus d’une animation par mois) et des

comptes de l’Association qui sont bien équilibrés et permettent de perpétuer les activités.

L’Assemblée à l’unanimité a voté le Conseil d’Administration. Francette a remercié le Maire

pour la subven-

tion annuelle, la

mise à disposi-

tion gratuite de

la salle et toutes

les aides durant l’année…

Un apéritif dinatoire incroyable !

C’est une habitude, plus c’est bon, plus il y en a. Entre une sangria parfumée, une profusion de

quiches, tartes, de légumes tartinés de crème de

sardine, d’anchoïade…, des « koka », de la char-

cuterie, des pan bagnat succulents… il y en avait

pour tous les goûts et pour toutes et tous.

La soirée s’est terminée par de longs échanges

entre les participants qui visiblement tenaient à

rester longtemps da ns cette bonne ambiance.

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Remerciements à ceux qui préparent nos fêtes

Nous ne pensons que rarement à

ceux qui préparent nos fêtes.

Merci à tous les bénévoles et aux

adjoints techniques communaux.

Nos pompiers ont de la mémoire Depuis pratiquement 30 ans, chaque année on se souvient de notre ami Claudy Sanial, pompier vo-lontaire et joueur de boules émérite. L’amicale des pompiers volontaires elle aussi se sou-vient et organise un grand concours de boules qui at-tire des joueurs extérieurs et souvent de qualité.

Cette année en-core, le combat amical a connu des grands moments avec des pointeurs et tireurs presque infaillibles. Il faut aussi noter

l’ambiance incroyable à la buvette, où chacun a pu se restaurer et se désaltérer en échangeant mille blagues avec les copains. Elus de la commune qui sont venus dans la journée : E. Malausséna, D. Dao-Lena, G. Bianchi, J. Marchal...

Mathieu Montini et Sébastien Gilli

Eddy Daghbaji et Patrice Aubin

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Villars, solidarité avec les sinistrés de l’Aude et du Var

Les scientifiques du monde entier ont raison. Le climat est totalement dé-traqué, et cette année fut la pire de toutes, y compris en France. Dans les Départements de l’Aude, et du Var le pire est arrivé. Les inondations furent terribles. Alors de partout, les français, les villarois se sont mobilisés.

Vill’Arts et la vente d’une gé-niale soupe au pistou L’association Vill’Arts a organisé la solidarité en vendant une gé-niale soupe au pistou qui a eu un grand

succès. Tout le monde s’est régalé. Les bénéfices ont été versées à

une commune sinistrée du Var (1060 €).

Lions Club. Une choucroute bien garnie. Près de 100 personnes. Les Maires de Massoins, de La Penne, de Pierlas, de Roubion, de Vil-lars, des élus, des Présidents d’associations, étaient présents.

Une am-biance su-per sympa grâce à « Adrien-Jo et Ginou » qui ont fait chanter et danser les participants tard dans la soirée.

Une organisation impeccable. Les bénévoles ont été merveilleux, gentils, efficaces, rapides, bref, c’était aussi bien que chez les pros. La présidente, Corine Braquet-Béjot a rappe-lé que toutes les sommes récoltées par le Lions étaient redistribuées pour l’aide à ceux qui en ont besoin, et dans ce cas pour les sinistrés de l’Aude et du Var, tout comme Vill’Arts l’a fait quelques jours plus tôt.

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Décembre 2018 - Janvier 2019

19 décembre 2018 : CCAS : Noël des enfants au Poilu

6 janvier 2019 : Vœux du Maire à la municipalité

19 janvier 2019 : CCAS : Repas du bel âge

26 janvier 2019 : Fai Anà : assemblée générale

Le calendrier des manifestations pour l’année 2019,

sera établi suite à la réunion de toutes les associations villaroises,

fin décembre 2018

Directeur de publication : Malausséna Edgar Mise en page : secrétariat Articles réalisés par des élus, des associatifs, des particuliers. Photos : M. Yves Dao-Léna, M. Guy Bianchi, M. Edgar Malausséna, M. Michel Ferreri. Edité par : Municipalité de Villars sur Var, Place Robini, 06710 Villars sur Var

mairie.villars-sur-var@wanadoo.fr www.villarssurvar.net papier recyclé

Le Lions-club et les nichoirs à oiseaux

à La Penne

A l’initiative de Mme la Présidente du Lions club

vallée du Var, Corine Braquet-Béjot, une heureuse

initiative s’est déroulée dans la commune de La

Penne.

En collaboration avec l’enseignant, les enfants de l’école

ont participé à l’installation des nichoirs et aussi aux hô-

tels à insectes réalisés par René Alzéal de Pierlas-

Narboin.

C’est un Conseiller Municipal de La Penne, membre du Lions Club, André Orsini, qui a offi-

cié sur les arbres.

Tout s’est terminé par une collation offerte aux enfants et aux participants de cette intéressante

journée.

En effet, avec le réchauffement du climat et

la disparition de nombreuses espèces vi-

vantes, plus de 60 % de disparition en 40

ans, ces initiatives, si humbles soient-elles,

nous encouragent à prendre le destin de la

terre en main, pour que vivent les généra-

tions futures.

Pour Villars-sur-Var, étaient présents, outre

Corine Braquet-Béjot, Michel Perdigon et Edgar Malausséna.

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Des villarois de sommets en sommet !

Depuis 2 ans on ne les arrête plus, Philippe DRIEL 51 ans et Nicolas BATTENDIER 38 ans, n’ont de cesse de parcourir les différents sommets de notre département ; tant par leurs entrainements que lors de leurs participations aux trails nature de notre région. Poussés sans cesse par leur gout commun à l’effort, ces derniers pratiquent la même discipline mais de manière différente portant ainsi les couleurs de notre village depuis la Cote d’Azur jusque sur l’Ile de la Réunion !

Philippe DRIEL Traileur Nature 20 a 25 kms pour un dénivelé moyen 1700M SAISON 2017 : FINISHER 6 TRAILS NATURE 18ème classement final SAISON 2018 : 11 TRAILS dont 4 PODIUMS (vétérants 2)CLASSE 3eme PODIUM FINAL CHAL-LENGE 06 TRAIL NATURE

Nicolas BATTENDIER Ultra Traileur longue distance 150 a 170 kms pour 10000 M de Dénivelé positif SAISON 2017 : ULTRATRAIL BALCON D’AZUR 80 kms ULTRATRAIL MERCANTOUR 145 kms en 42h52min SAISON 2018 : DEFI BALCON D’ AZUR 105 kms DIAGONALE DES FOUS - ILE DE LA REU-NION 165 kms en 47h.

La relève semble bien parti tant par un podium réalisé par Bastien DRIEL (6 ans) lors de sa première participation cette année au MiniTrail enfant de SOSPEL et une 5ème place par Lowan DRIEL, que par Ange, Alyssa, Antonin et Enzo qui ont étés enthousiasmés de découvrir L’ Ile de la Réunion au travers des différentes assis-tances et ravitaillements. Motivés plus que jamais par nos générations fu-tures PHILIPPE et NICOLAS souhaiterais pour l’ année à venir faire découvrir a nos jeunes sportifs Villarois le gout de l’effort par le sport en participant à des MiniTrails enfants de courtes distances. Nous ne pouvons que les encourager !